CHAPITRE XXIV (Suite)
- Chut,
- Je fais ce que je peux.
- Doucement. T’es où ?
- Ici. Viens !
Heureusement, nous avions préparé notre coup, vêtements à minimum, pas de culotte, pas de slip, juste un short et un tee-short chacun avec des baskets aux pieds pour tous les deux, une lampe torche et un plaid. On est sortis dans la nuit sous un ciel magnifique. Je n’ai jamais vu autant d’étoiles.
- C’est beau.
- C’est magnifique tu veux dire.
Main dans la main, on avance dans le pré le plus proche, là ou l’herbe a été fraîchement fauchée. Le terrain est en pente. Alice ricane toute seule.
- Chut, on va se faire repérer.
- T’inquiète. A cette heure-ci tout le monde dort.
J’entends de l’eau chanter.
- C’est là en bas. Viens. Attention à la branche.
- Je te suis mon cœur.
- C’est ici ?
- Oui, ça te plaît ? Quand j’étais gamine, je venais souvent par ici la nuit. Parfois, je voyais un renard. C’est rare car ils sont très méfiants. Le plus souvent, c’est les biches avec leurs faons qui viennent se désaltérer. Parfois aussi de temps en temps un cerf, c’est impressionnant à voir. Je ne bougeais pas. Je regardais simplement. J’avais une certaine angoisse mais c’est ce qui faisait le côté excitant. Si tu ne bouges plus et que tu écoutes, tu entendras le moindre petit bruit. On va mettre le plaid ici.
Je regarde mon amoureuse admiratif. Sur ce genre d’expédition, elle est au top. D’ailleurs, elle est au top partout mais là, elle est particulièrement douée. Elle me prend dans ses bras, sa tête sur mon épaule. Je la laisse faire. J’adore sa petite tête toute chaude dans le creux de mon cou, je ne m'en lasse jamais. J’aime quand ses lèvres cherchent les miennes avec envie. J’aime quand au moment du baiser mes lèvres s’échappent, juste pour jouer et décupler son désir. J’aime lorsque conquises, elles finissent par s’abandonner ensemble les unes contre les autres, sans retenue. J’aime lorsque comblées, elles se séparent lentement avec la promesse d’y revenir au plus vite.
Allongés sur le plaid, nos mains s’activent tout en douceur. Les miennes sont amoureuses de son visage. Un visage si noble, si enfantin que chaque creux, chaque bosse devient un délice sensuel à conquérir.
Alice a pris possession de mon torse sous mon tee-short. Elle caresse, tire, pince avec une douceur extrême. Elle joue de ma peau avec délectation et sa main est passée sous mon short, juste pour tester l’état de ma virilité. Et son sourire de petite fille espiègle s’est épinglé au coin de ses lèvres. Ses doigts sont revenus inspecter mon visage, des doigts précis, calmes, souverains et plus que ses doigts, ce sont ses lèvres qui ont pris le dessus. Son pubis s’agite maintenant lascivement tout contre le mien pendant que sa bouche pose des papillons d'amour partout sur mon corps. Mes mains sont elles aussi parties se cacher sous le tissu de son short et elles s’emparent délicatement de ses fesses. Alice a fermé les yeux. Je la regarde magnifique dans la montée de son désir.
- Tu es belle ma puce. Tu es admirable. Je t’aime.
Alice s’évertue à me retirer mon short.
- Lève tes fesses gros lourdaud dit-elle en riant.
Et je m’exécute. Je me retrouve à moitié nu sous l’œil expert de ma petite chérie qui en profite pour faire de même et revenir s’allonger sur moi. Seule sa poitrine est suspendue, hors de tout contact corporel. Mes mains effleurent, frôlent pour ne pas réveiller la douleur, pour ne laisser que le plaisir prendre possession de mes paumes de main et sentir les battements de son cœur dans sa poitrine.
- C’est rigolo. On est là, presque nus. On est bien comme ça, juste comme ça. Toi, moi, la nature, le ciel, l’eau qui court dans le fossé, c’est unique ces moments là. Je crois que je n’ai jamais goûté à autant de sérénité. J’oublierais presque qu’on est venue ici pour faire l’amour.
- C’est vrai que la nature est magnifique et avec toi dans mes bras, c’est purement divin. Si on a l’occasion, il faudra revenir.
- Hep ! C’est quoi ce coup de mou ?
- Ben ma puce, le côté nostalgique aidant, si on ne s’occupe plus de lui, il se rendort.
- Oula urgence parce que moi le côté nostalgique m’a largement émoustillée.
Et ma grande amoureuse se concentre pour revenir triomphante de ce dur combat.
- L’avantage, c’est qu’avec une léchouille, c’est reparti. Tu vois, je suis super efficace. Bon, passons aux choses sérieuses.
A califourchon sur mon pubis, Alice a pris la direction des opérations et là aussi elle excelle. J’adore le moment ultime où elle prend possession de ma verge. Son visage concentré, son sourire discret, ses paupières mi-closes. Juste une fois, j’aimerai habiter le corps d’une femme pour ressentir ce qui l'émeut, ce qu’elle éprouve à ce moment précis. Dans la danse amoureuse, le partage des perceptions est trop individualiste à mon goût. Il ne s’agit pas juste de pénétrer pour jouir soulagé mais bien de ressentir le plaisir de l’autre, savoir communiquer sur l’état d’avancement de son propre plaisir. Faire l’amour, c’est un art compliqué et les carcans éducatifs, religieux ou autres ressemblent plus à des freins puissants qu'à de véritables moteurs du plaisir.
Alice est dans son trip. Elle me prend les mains et le contact sensuel est établi. Je cherche son regard. Il a disparu sous ses paupières. J’écoute son cœur mais il est trop éloigné. Ses lèvres entre-ouvertes, c’est un premier signe. Elle accélère le rythme. La pression de ses mains se fait plus puissante, son souffle plus court. Mon plaisir a pris pied. Il me faut l’entretenir, surtout ne pas le laisser déborder et c’est compliqué parce que je ne suis pas en position de maîtriser le mouvement. C’est mon subconscient qui prend le relai maintenant. Je suis connecté sur l’intensité des gémissements de mon amoureuse, sur la pression de ses doigts sur les miens, sur la fréquence de son souffle, sur l’accélération de son rythme.
Et tout se précipite. Je vais perdre le contrôle.
- Viens ma chérie. Vite je … Je …
Ma puce est au bord de son plaisir. Me retenir devient surhumain, impossible d’aller au-delà. Je la sens fondre en moi tout comme je fonds en elle. Ses doigts se sont incrustés dans les miens, son ventre s’est creusé sur son nombril. Elle ralentit le mouvement pour savourer les ondes de plaisir qui l’envahissent. En toute innocence elle s'assure de la vigueur de ma verge pour décider de prolonger le mouvement pour mon propre plaisir. Et dans le doute, elle m’interroge.
- Tu as jouis ?
Je l’embrasse. Je ne répondrai pas par jeu ou par pure provocation. Elle reste sur moi encore un moment me caressant le visage de ses doigts affectueux.
- Je ne te sens plus aussi vigoureux.
- je crois que je t’ai laissé des millions de petits bouts de choux. A toi de choisir.
- Tu es gonflé quand même. Tu aurais pu penser aux préservatifs ?
- Tu y a pensé toi ?
- Oui dans la chambre et puis j’ai oublié de te demander. Si on devait avoir des enfants, je préférerais qu’on détermine ensemble le moment où on les fera. Je crois que je serais encore plus excitée, rien qu’à l’idée de se dire, c’est maintenant. Pas toi ?
- Idem ma puce. Mais ça ne marche pas du premier coup tu sais. Il faut beaucoup d’entraînement. J’ai entendu trois fois par jour.
- Pff tu serais pas en train de fanfaronner par hasard ? Tu as aimé mes seins ?
- Oui, pour moi, ça ne change rien. Le plaisir de caresser, de les prendre entièrement dans mes mains est toujours là. Je ne fais pas la différence mis à par l’absence de mamelon.
- Moi je sens bien tes mains et j’aime aussi. Ça me rassure parce qu’il est peut-être possible que le mental puisse prendre le pas sur le physique. Et comme quand tu me les caresses j’aime tout autant, ça signifie que psychiquement, je suis capable de reproduire un simili-plaisir. C’est bon signe.
- Chut,
- Je fais ce que je peux.
- Doucement. T’es où ?
- Ici. Viens !
Heureusement, nous avions préparé notre coup, vêtements à minimum, pas de culotte, pas de slip, juste un short et un tee-short chacun avec des baskets aux pieds pour tous les deux, une lampe torche et un plaid. On est sortis dans la nuit sous un ciel magnifique. Je n’ai jamais vu autant d’étoiles.
- C’est beau.
- C’est magnifique tu veux dire.
Main dans la main, on avance dans le pré le plus proche, là ou l’herbe a été fraîchement fauchée. Le terrain est en pente. Alice ricane toute seule.
- Chut, on va se faire repérer.
- T’inquiète. A cette heure-ci tout le monde dort.
J’entends de l’eau chanter.
- C’est là en bas. Viens. Attention à la branche.
- Je te suis mon cœur.
- C’est ici ?
- Oui, ça te plaît ? Quand j’étais gamine, je venais souvent par ici la nuit. Parfois, je voyais un renard. C’est rare car ils sont très méfiants. Le plus souvent, c’est les biches avec leurs faons qui viennent se désaltérer. Parfois aussi de temps en temps un cerf, c’est impressionnant à voir. Je ne bougeais pas. Je regardais simplement. J’avais une certaine angoisse mais c’est ce qui faisait le côté excitant. Si tu ne bouges plus et que tu écoutes, tu entendras le moindre petit bruit. On va mettre le plaid ici.
Je regarde mon amoureuse admiratif. Sur ce genre d’expédition, elle est au top. D’ailleurs, elle est au top partout mais là, elle est particulièrement douée. Elle me prend dans ses bras, sa tête sur mon épaule. Je la laisse faire. J’adore sa petite tête toute chaude dans le creux de mon cou, je ne m'en lasse jamais. J’aime quand ses lèvres cherchent les miennes avec envie. J’aime quand au moment du baiser mes lèvres s’échappent, juste pour jouer et décupler son désir. J’aime lorsque conquises, elles finissent par s’abandonner ensemble les unes contre les autres, sans retenue. J’aime lorsque comblées, elles se séparent lentement avec la promesse d’y revenir au plus vite.
Allongés sur le plaid, nos mains s’activent tout en douceur. Les miennes sont amoureuses de son visage. Un visage si noble, si enfantin que chaque creux, chaque bosse devient un délice sensuel à conquérir.
Alice a pris possession de mon torse sous mon tee-short. Elle caresse, tire, pince avec une douceur extrême. Elle joue de ma peau avec délectation et sa main est passée sous mon short, juste pour tester l’état de ma virilité. Et son sourire de petite fille espiègle s’est épinglé au coin de ses lèvres. Ses doigts sont revenus inspecter mon visage, des doigts précis, calmes, souverains et plus que ses doigts, ce sont ses lèvres qui ont pris le dessus. Son pubis s’agite maintenant lascivement tout contre le mien pendant que sa bouche pose des papillons d'amour partout sur mon corps. Mes mains sont elles aussi parties se cacher sous le tissu de son short et elles s’emparent délicatement de ses fesses. Alice a fermé les yeux. Je la regarde magnifique dans la montée de son désir.
- Tu es belle ma puce. Tu es admirable. Je t’aime.
Alice s’évertue à me retirer mon short.
- Lève tes fesses gros lourdaud dit-elle en riant.
Et je m’exécute. Je me retrouve à moitié nu sous l’œil expert de ma petite chérie qui en profite pour faire de même et revenir s’allonger sur moi. Seule sa poitrine est suspendue, hors de tout contact corporel. Mes mains effleurent, frôlent pour ne pas réveiller la douleur, pour ne laisser que le plaisir prendre possession de mes paumes de main et sentir les battements de son cœur dans sa poitrine.
- C’est rigolo. On est là, presque nus. On est bien comme ça, juste comme ça. Toi, moi, la nature, le ciel, l’eau qui court dans le fossé, c’est unique ces moments là. Je crois que je n’ai jamais goûté à autant de sérénité. J’oublierais presque qu’on est venue ici pour faire l’amour.
- C’est vrai que la nature est magnifique et avec toi dans mes bras, c’est purement divin. Si on a l’occasion, il faudra revenir.
- Hep ! C’est quoi ce coup de mou ?
- Ben ma puce, le côté nostalgique aidant, si on ne s’occupe plus de lui, il se rendort.
- Oula urgence parce que moi le côté nostalgique m’a largement émoustillée.
Et ma grande amoureuse se concentre pour revenir triomphante de ce dur combat.
- L’avantage, c’est qu’avec une léchouille, c’est reparti. Tu vois, je suis super efficace. Bon, passons aux choses sérieuses.
A califourchon sur mon pubis, Alice a pris la direction des opérations et là aussi elle excelle. J’adore le moment ultime où elle prend possession de ma verge. Son visage concentré, son sourire discret, ses paupières mi-closes. Juste une fois, j’aimerai habiter le corps d’une femme pour ressentir ce qui l'émeut, ce qu’elle éprouve à ce moment précis. Dans la danse amoureuse, le partage des perceptions est trop individualiste à mon goût. Il ne s’agit pas juste de pénétrer pour jouir soulagé mais bien de ressentir le plaisir de l’autre, savoir communiquer sur l’état d’avancement de son propre plaisir. Faire l’amour, c’est un art compliqué et les carcans éducatifs, religieux ou autres ressemblent plus à des freins puissants qu'à de véritables moteurs du plaisir.
Alice est dans son trip. Elle me prend les mains et le contact sensuel est établi. Je cherche son regard. Il a disparu sous ses paupières. J’écoute son cœur mais il est trop éloigné. Ses lèvres entre-ouvertes, c’est un premier signe. Elle accélère le rythme. La pression de ses mains se fait plus puissante, son souffle plus court. Mon plaisir a pris pied. Il me faut l’entretenir, surtout ne pas le laisser déborder et c’est compliqué parce que je ne suis pas en position de maîtriser le mouvement. C’est mon subconscient qui prend le relai maintenant. Je suis connecté sur l’intensité des gémissements de mon amoureuse, sur la pression de ses doigts sur les miens, sur la fréquence de son souffle, sur l’accélération de son rythme.
Et tout se précipite. Je vais perdre le contrôle.
- Viens ma chérie. Vite je … Je …
Ma puce est au bord de son plaisir. Me retenir devient surhumain, impossible d’aller au-delà. Je la sens fondre en moi tout comme je fonds en elle. Ses doigts se sont incrustés dans les miens, son ventre s’est creusé sur son nombril. Elle ralentit le mouvement pour savourer les ondes de plaisir qui l’envahissent. En toute innocence elle s'assure de la vigueur de ma verge pour décider de prolonger le mouvement pour mon propre plaisir. Et dans le doute, elle m’interroge.
- Tu as jouis ?
Je l’embrasse. Je ne répondrai pas par jeu ou par pure provocation. Elle reste sur moi encore un moment me caressant le visage de ses doigts affectueux.
- Je ne te sens plus aussi vigoureux.
- je crois que je t’ai laissé des millions de petits bouts de choux. A toi de choisir.
- Tu es gonflé quand même. Tu aurais pu penser aux préservatifs ?
- Tu y a pensé toi ?
- Oui dans la chambre et puis j’ai oublié de te demander. Si on devait avoir des enfants, je préférerais qu’on détermine ensemble le moment où on les fera. Je crois que je serais encore plus excitée, rien qu’à l’idée de se dire, c’est maintenant. Pas toi ?
- Idem ma puce. Mais ça ne marche pas du premier coup tu sais. Il faut beaucoup d’entraînement. J’ai entendu trois fois par jour.
- Pff tu serais pas en train de fanfaronner par hasard ? Tu as aimé mes seins ?
- Oui, pour moi, ça ne change rien. Le plaisir de caresser, de les prendre entièrement dans mes mains est toujours là. Je ne fais pas la différence mis à par l’absence de mamelon.
- Moi je sens bien tes mains et j’aime aussi. Ça me rassure parce qu’il est peut-être possible que le mental puisse prendre le pas sur le physique. Et comme quand tu me les caresses j’aime tout autant, ça signifie que psychiquement, je suis capable de reproduire un simili-plaisir. C’est bon signe.
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