05-10-2020, 09:27 AM
Nous nous étions déshabillés pour aller prendre une bonne douche. J’avais mon sexe qui commençait à prendre un peu de volume, tout comme celui de mon amour. Je voulais attendre d’avoir fini la douche avant d’envisager de nous câliner, de nous aimer !
Nous n’avions jamais pris de douche aussi vite. Nous avions semble-t-il tous les deux envies de nous retrouver ensemble dans le lit. Nous nous comprenions sans avoir dit un mot. Nous ressentions certaines choses sans avoir besoin de faire un long discours. Une fois séchés, Juju m’avait pris par la main pour me mener à son lit. Une fois la porte refermée, nos langues s’étaient retrouvées, nos mains parcourraient nos corps qui avaient attendu ce moment depuis déjà pas mal de temps. Nous pouvions enfin nous retrouver pour passer une nuit chaude pleine de bonheur et de sentiments partagés.
Nos sexes étaient bien entendu dressés. Ils n’attendaient qu’une chose c’est qu’on s’occupe d’eux ! Bien sûr nos mains frôlaient nos protubérances, parfois elles s’y attardaient pour les quitter et se poser sur une autre partie sensible de nos corps ouverts aux caresses et aux baisers. J’aimais bien embrasser les épaules de Julien, aussi son visage mais encore ses mains et ses pieds. Il ne comprenait pas qu’on puisse avoir envie d’embrasser des pieds, mais il s’était fait à cette situation. Julien lui aussi embrassait mon corps, mes bras, mon cou, mon visage. Il est évident que pour nous deux le fait d’embrasser le gland ou le sexe de son partenaire était très excitant et nous donnait des frissons. C’est donc à la suite de ces embrassades sur nos parties intimes que nous avions commencé une fellation réciproque.
Nos bouches étaient attentives à procurer de belles sensations à l’être aimé. Notre langue parcourait la hampe dressée et s’occupait aussi du gland apparent qui lui n’attendait que ça, qu’on s’occupe de lui. Nous en avions pris l’habitude de nous sucer mutuellement. C’était toujours très jouissif et nous en retirions beaucoup de satisfaction. Bien entendu nous aimions aussi nous aimer en nous donnant à l’être aimé par voie anale. Mais nous apprécions un peu plus les fellations. C’est donc dans cette optique que nous nous sucions avec délectation. Nous savions ce que faisait plaisir à notre partenaire et nous nous appliquions en vue de lui procurer plein de sensations. J’entendais Julien haleter de plaisir. Moi-même j’émettais des sons de satisfaction bien audibles. Nous nous faisions monter la pression l’un l’autre et puis c’est dans cette position bien agréable que nous arrivions à nous donner mutuellement du plaisir. Nous nous appliquions pour que notre amour puisse ressentir le meilleur. Puis bien entendu en arrivant à la limite de l’extase, nous en profitions pour diminuer le plaisir en vue de retarder l’éjaculation. Ensuite, dans un dernier mouvement appuyé de la langue et de nos lèvres, nous donnions le coup de grâce pour l’explosion de nos sens déjà fort sollicités. Nous éjaculions pratiquement en même temps et notre semence allait s’écraser au fond de la gorge de l’être aimé, qui n’attendait que ce moment libérateur pour enfin gouter à cette semence de vie !
Comme souvent nous nous embrassions pour pouvoir mélanger nos spermes, heureux, mais fourbus, de nous être ainsi donné l’un à l’autre. Et enfin nos corps s’étalaient sur le lit pour enfin retrouver un peu de quiétude. Comme à notre habitude, nous nous remercions l’un l’autre de cette échange amoureux mené jusqu’au bout, dans un plein émoi partagé !
Nous nous étions endormis, heureux !
Ce n’est que vers neuf heures un quart que nous avions été réveillés par Béatrice. Elle nous avait trouvé nus, dormant au-dessus des draps, lovés l’un à l’autre. Elle nous avait dit qu’elle nous trouvait mignon ! Nous nous étions douchés avant de descendre prendre le petit déjeuner. Pierre était déjà à table et buvait une tasse de café. Julien et moi avions été saluer Pierre avant de nous mettre à table. Ensuite c’est Pierre qui nous avait demandé :
Pie : « Alors mes enfants, avez-vous bien dormi ?
Jul : Oui Papa, très bien.
Moi : Merci Pierre, oui j’ai très bien dormi !
Pie : Je te propose Phil, après avoir déjeuner, d’appeler chez toi en vue de savoir si tes parents ont déjà prévu quelque chose pour tes dix-huit ans.
Moi : Oui, comme ça nous pourrons envisager ensemble, Julien et moi, et avec vous bien entendu, ce que nous pourrions organiser.
Pie : C’est bien Phil. Nous avions pensé, Béatrice et moi, de vous laisser faire une liste de ce que vous avez envie de faire et aussi une liste des invités et tout ce qui va avec, carton d’invitation, … etc.
Jul : Merci Papa, vous êtes géniaux !
Moi : Merci Pierre, cela me touche beaucoup !
Béa : Mais c’est tout naturel mes enfants, avoir dix-huit ans est une étape et il convient de passer ce cap dans la joie et la bonne humeur afin d’en garder de très beaux souvenirs !
Jul : Merci Maman, je vous adore tous les deux !
Moi : Je ne sais que vous dire, … merci, merci pour ce que vous faites pour nous ! »
Nous nous étions mis à rire. Béatrice et Pierre étaient heureux de nous voir comme ça. Nous avions terminé de déjeuner dans la bonne humeur et le sourire aux lèvres.
J’avais alors téléphoné à la maison. C’est Delphine qui avait décroché. Je lui avais demandé comment ça allait à la maison. Puis j’avais demandé à avoir maman ou papa en vue de demander quelque chose. C’est maman qui avait pris le cornet et qui me disait :
Mam : « Bonjour Phil, tu as bien dormi. Tu voulais demander quelque chose à ce que nous a dit ta sœur !
Moi : Bonjour Maman, oui nous avons bien dormis. Hier soir chez Julien nous discuté avec ses parents au sujet de nos dix-huit ans. Je voulais savoir si vous aviez prévus d’organiser quelque chose pour mon anniversaire. En fait j’aimerai que Julien et moi nous puissions faire une fête commune et inviter nos amies et nos amis !
Mam : Oh là mon fils. Mais tu as raison de vouloir fêter ton anniversaire avec Julien, je le comprends très bien. Avec ton père nous en avions déjà discuté mais nous n’avons encore rien prévu. Nous comptions t’en parler d’ici quelques jours et nous avions aussi envisagé de faire une fête pour vous deux, Julien et toi !
Moi : Oh Maman, vous êtes super, je suis si heureux de voir que vous aviez aussi pensé à Julien. Je vous adore, je vous aime, vous ne pouvez pas savoir combien ça me rend heureux.
Mam : Je croix nous allons vous demander de prévoir sur papier ce qui vous ferait plaisir et aussi que vous établissiez une liste d’invités. On vous laisse carte blanche, mais il faut aussi que vous restiez dans une marge raisonnable. Puis dix-huit ans c’est un moment important et un passage vers le monde des adultes.
Moi : Je ne sais que dire Maman. Je crois que nous allons nous concerter Julien et moi, et vous demander, ainsi qu’aux parents de Julien, votre avis ! Merci, merci.
Mam : Je t’embrasse mon fils ainsi que Julien. Bisous à vous deux ! »
Des larmes de joie coulaient sur mes joues. J’avais rejoint Julien et ses parents. Ils se demandaient ce qui se passait, mais ils comprirent en voyant mon large sourire que c’étaient des larmes de joie. J’avais du mal à parler. Julien m’avait fait un énorme câlin et une fois remis de mes émotions j’avais pu expliquer que mes parents étaient partants, eux aussi, pour nous laisser organiser une fête commune tout en restant raisonnable. Béatrice et Pierre étaient quant à eux content de voir que notre rêve de faire une fête commune pour nos dix-huit ans allait se concrétiser !
Le reste de la matinée Julien et moi nous avions pris chacun deux feuilles de papier pour y noter sur la première ce que nous avions envie d’organiser et l’autre sur laquelle nous faisions la liste des invités. Nous allions ensuite mettre le tout en commun et faire une liste conjointe pour l’organisation. Nous avions le temps de penser à ce que nous voulions faire, mais nous étions pressés d’avoir quelque chose de plus ou moins abouti assez vite.
Nous avions gardé nos feuilles car nous n’avions pas terminé d’y apposer ce que nous voulions comme activités pour cette fête et la liste des invités que nous voulions rencontrer ! C’est donc vers midi que Béatrice nous avait demandé de lui donner un coup de main pour le repas. Nous avions donc mis la table, préparé les légumes, peler les pommes de terre, etc.
Après l’apéro nous nous étions tous placé à table. Stéphanie était revenue avec ma sœur Delphine. Nous étions donc six à table. Les discussions allaient bon train. Les filles voulaient savoir ce que nous avions déjà décidé pour fêter nos dix-huit ans. Julien et moi nous leurs avions répondu qu’il était trop tôt pour que nous puissions dire quelque chose à ce sujet.
Béatrice ainsi que Pierre étaient tous deux intrigués par notre attitude de ne rien dévoiler, du moins pour le moment. Bref nous ne savions pas encore si nos désirs allaient oui ou non être pris en considération. Nous avions déjà assez bien d’idées en tête mais fallait-il encore que ces idées soient réalisables !
Après le repas nous avions Julien et moi pris nos vélos pour faire un tour en forêt. Nous avions besoin de nous aérer l’esprit. Puis c’est en roulant à gauche et à droite que nous avions découvert un coin assez sympa, un peu reculé des chemins forestiers. Nous nous étions arrêtés pour y faire une pause. C’était en fait une clairière dont le sol était couvert d’herbe. Le soleil y pénétrait au travers des branches les plus élevées des arbres. Les oiseaux chantaient et le calme y régnait. C’est donc dans cette atmosphère feutrée que nous nous étions embrassés. Nos langues s’étaient enfin retrouvées. Elles se connaissaient, mais elles allaient pourtant se livrer à une sarabande mystérieuse nous apportant beaucoup de bonheur. C’est donc durant plusieurs minutes que nous étions comme en suspension, hors du temps, en extase, bien en communion l’un avec l’autre. Puis nous nous étions regardés les yeux dans les yeux. Nos mains vagabondaient alors sur nos corps, caressant nos vêtements. Nos slips et nos shorts semblaient trop étroit pour contenir nos protubérances gorgées de sang. Nous bandions si fort que les tirettes de nos shorts allaient pratiquement sauter. J’avais alors pris l’initiative et j’avais ouvert la ceinture et la tirette du short de Julien. Je pouvais alors voir la forme oblongue de son sexe bandé dans son slip. Le gland allait pratiquement sortir au niveau de l’élastique du slip. La pression était déjà plus supportable pour mon Juju.
Julien de son côté avait entrepris de ma libérer aussi de cette pression désagréable. Une fois la tirette de la braguette de mon short ouverte, je m’étais enfin senti plus à l’aise. Nos mains caressaient alors nos verges bandées au travers du tissus. Nos bouches s’étaient une nouvelle fois retrouvées. Nos langues dansaient entre elles comme au premier jour. Puis enfin j’avais laissé ma main passer entre le slip et le bas ventre de Julien. Elle pouvait alors s’emparer de cet attribut dressé. Julien avait lui aussi calqué ses mouvements sur les miens. Nous avions chacun le sexe de l’autre en main. Nous nous étions ensuite débarrassés de nos vêtements, nous étions nus, là au milieu de cette clairière, occupé à nous branler mutuellement. C’était divin, c’était la première fois que nous nous donnions du plaisir en pleine nature. Puis c’est couché, tête bêche que nous nous sucions enfin. Nos sens étaient décuplés, nous ressentions tellement de bonnes choses, tellement de sensations bienfaisantes. Nous savourions le gland bien humide de notre amoureux. Nous nous délections de ce membre bandé coulissant entre nos lèvres. Nous laissions entendre quelques râles de bonheur. Puis nous sentions chacun la pression monter chez notre amour. Nous nous arrangions pour nous procurer un maximum de plaisir. Puis je sentais que j’allais arriver au point de non-retour. Julien l’avait senti et il avait ralenti la pression exercée sur mon membre viril. De mon côté je ralentissais l’allure pour laisser à Julien le temps de se reprendre. Nous nous comprenions de plus en plus. Nous ressentions les désirs et les souhaits de notre partenaire. Nos corps étaient couverts de sueur, il faisait déjà chaud en extérieur et ajouté à nos ardeurs physiques, cela avait fait monté la température. Puis reprenant cette fellation féérique, nous savions que nous n’allions plus nous arrêter avant l’extase finale, l’explosion de tous nos sens et la libération de nos semences au fond de la gorge de notre très cher amour. C’est donc moi qui m’étais cambré le premier, qui avais dans un râle profond, laissé partir en toute force mon sperme chaud par jets. Julien avalait en partie ma contribution et de son côté Julien laissait lui aussi éclater sa jouissance tout au fond de ma bouche. Une fois l’explosion terminée, et enfin à nouveau tête à tête, nous nous étions embrassés, mélangeant avec volupté nos semences. Puis fourbus, nous nous étions couchés côte à côte pour savourer ce moment de béatitude partagé et ressenti.
Nous étions les plus heureux du monde. Nous étions comme sur un nuage blanc, immaculé balloté par une petite brise bien venue qui rafraichissait nos corps encore chauds de nos ébats.
Nous nous étions quelque peu assoupis. C’est une bonne heure plus tard que nous avions été réveillés par une petite brise un peu plus fraîche. Nous nous étions embrassés puis ensuite nous avions ré enfilé nos vêtements. Nous avions repris nos vélos pour prendre le chemin de retour. Nous étions heureux d’avoir passé un bout de temps, en dehors de toute contrainte, avec seulement l’envie d’aimer et d’être aimé par celui qui emplissait notre cœur à chacun. C’était une sensation assez nouvelle que de s’aimer en pleine nature. Pour ma part j’en retirais une très bonne expérience que j’avais déjà envie de refaire.
Tout en roulant je pensais à Lucas et à un coin de nature comme celui que je venais de quitter avec Julien. Il me fallait donc trouver un endroit assez discret pour être tranquille avec Lucas pour qu’il puisse être à l’aise et ainsi se confier plus facilement que chez l’un ou chez l’autre. Je me demandais si Lucas avait pu avoir Mathieu au téléphone pour en savoir plus. Pourquoi n’avait-il pas pu être avec Lucas durant le week-end ? Son père se doutait-il de quelque chose ? Sa maman avait-elle expliqué à son père ce qui se passait ? Bref je me posais un tas de question. Il fallait donc attendre d’être lundi matin pour que je puisse en savoir plus.
Une fois à la maison, Béatrice nous avait proposé de manger un bout, il était déjà plus de dix-sept heures. Nous n’avions pas vu le temps passer. Nous avions alors mangé une tranche de cramique avec du beurre salé, un délice ! Bien entendu nous avions pris une tasse de cacao chaud. C’est Stéphanie qui nous avait fait une remarque sur nos visages angéliques. Elle se demandait pourquoi nous étions si radieux et en même temps remplis de douceur et de paix. C’est Julien qui avait fait un signe à sa sœur pour lui demander d’attendre d’être un peu plus tranquille pour lui parler. C’est donc dix minutes plus tard que nous nous étions retrouvés dans la chambre de Stéphanie en compagnie de Julien et de Delphine.
Sté : « Alors les garçons, vous avez l’air si émus et à la fois réjouis. Il s’est passé quelque chose de particulier ?
Jul : Bon, enfin, Phil et moi nous avons fait un tour à vélo et nous étions arrivé dans une clairière très sympa. Nous nous y sommes arrêtés et nous n’avons plus fait attention au temps qui passe !
Del : Stéphanie a raison, il n’y a pas que ça. Allez, vous avez fait quoi les gars !
Moi : Bon, les filles, cela ne vous regarde pas !
Sté : Oui, c’est ça. Je pense que vous vous êtes branlés au milieu de cette clairière !
Jul : Mais non, pourquoi tu dis ça !
Del : Je suis comme Stéph, vous vous êtes aimés dans cette clairière.
Moi : Oui, nous nous sommes aimés. Nous étions en pleine nature avec les chants des oiseaux, un rayon de soleil qui nous chauffait et nous qui nous aimions ! Ça vous va !
Sté : Oh là, mais ça devait être chouette.
Moi : Oui, c’est une sensation très particulière de s’aimer ainsi en pleine nature. Je rêve de pouvoir le refaire dès que possible.
Del : Mais vous êtes fous, vous auriez pu vous faire surprendre !
Jul : On n’y a pas pensé, on était trop bien !
Sté : Je comprends maintenant pourquoi vous étiez si « zen » mes loulous !
Moi : Il ne faut rien dire aux parents !
Del : Compte sur nous, on saura se taire. Dit Stéph, nous n’avons pas encore fait ce genre de chose. J’ai bien envie d’une fois tenter l’aventure !
Moi : Vous devriez, vous allez voire c’est géant !
Sté : Et pourquoi pas. Faudra qu’on y pense. »
Nous nous étions tous mis à rire. La conversation s’était poursuivie ainsi jusqu’au souper. Nous avions parlé de tout et de rien mais aussi de nos couples et du fait que nous avions des parents en or.
Nous n’avions jamais pris de douche aussi vite. Nous avions semble-t-il tous les deux envies de nous retrouver ensemble dans le lit. Nous nous comprenions sans avoir dit un mot. Nous ressentions certaines choses sans avoir besoin de faire un long discours. Une fois séchés, Juju m’avait pris par la main pour me mener à son lit. Une fois la porte refermée, nos langues s’étaient retrouvées, nos mains parcourraient nos corps qui avaient attendu ce moment depuis déjà pas mal de temps. Nous pouvions enfin nous retrouver pour passer une nuit chaude pleine de bonheur et de sentiments partagés.
Nos sexes étaient bien entendu dressés. Ils n’attendaient qu’une chose c’est qu’on s’occupe d’eux ! Bien sûr nos mains frôlaient nos protubérances, parfois elles s’y attardaient pour les quitter et se poser sur une autre partie sensible de nos corps ouverts aux caresses et aux baisers. J’aimais bien embrasser les épaules de Julien, aussi son visage mais encore ses mains et ses pieds. Il ne comprenait pas qu’on puisse avoir envie d’embrasser des pieds, mais il s’était fait à cette situation. Julien lui aussi embrassait mon corps, mes bras, mon cou, mon visage. Il est évident que pour nous deux le fait d’embrasser le gland ou le sexe de son partenaire était très excitant et nous donnait des frissons. C’est donc à la suite de ces embrassades sur nos parties intimes que nous avions commencé une fellation réciproque.
Nos bouches étaient attentives à procurer de belles sensations à l’être aimé. Notre langue parcourait la hampe dressée et s’occupait aussi du gland apparent qui lui n’attendait que ça, qu’on s’occupe de lui. Nous en avions pris l’habitude de nous sucer mutuellement. C’était toujours très jouissif et nous en retirions beaucoup de satisfaction. Bien entendu nous aimions aussi nous aimer en nous donnant à l’être aimé par voie anale. Mais nous apprécions un peu plus les fellations. C’est donc dans cette optique que nous nous sucions avec délectation. Nous savions ce que faisait plaisir à notre partenaire et nous nous appliquions en vue de lui procurer plein de sensations. J’entendais Julien haleter de plaisir. Moi-même j’émettais des sons de satisfaction bien audibles. Nous nous faisions monter la pression l’un l’autre et puis c’est dans cette position bien agréable que nous arrivions à nous donner mutuellement du plaisir. Nous nous appliquions pour que notre amour puisse ressentir le meilleur. Puis bien entendu en arrivant à la limite de l’extase, nous en profitions pour diminuer le plaisir en vue de retarder l’éjaculation. Ensuite, dans un dernier mouvement appuyé de la langue et de nos lèvres, nous donnions le coup de grâce pour l’explosion de nos sens déjà fort sollicités. Nous éjaculions pratiquement en même temps et notre semence allait s’écraser au fond de la gorge de l’être aimé, qui n’attendait que ce moment libérateur pour enfin gouter à cette semence de vie !
Comme souvent nous nous embrassions pour pouvoir mélanger nos spermes, heureux, mais fourbus, de nous être ainsi donné l’un à l’autre. Et enfin nos corps s’étalaient sur le lit pour enfin retrouver un peu de quiétude. Comme à notre habitude, nous nous remercions l’un l’autre de cette échange amoureux mené jusqu’au bout, dans un plein émoi partagé !
Nous nous étions endormis, heureux !
Ce n’est que vers neuf heures un quart que nous avions été réveillés par Béatrice. Elle nous avait trouvé nus, dormant au-dessus des draps, lovés l’un à l’autre. Elle nous avait dit qu’elle nous trouvait mignon ! Nous nous étions douchés avant de descendre prendre le petit déjeuner. Pierre était déjà à table et buvait une tasse de café. Julien et moi avions été saluer Pierre avant de nous mettre à table. Ensuite c’est Pierre qui nous avait demandé :
Pie : « Alors mes enfants, avez-vous bien dormi ?
Jul : Oui Papa, très bien.
Moi : Merci Pierre, oui j’ai très bien dormi !
Pie : Je te propose Phil, après avoir déjeuner, d’appeler chez toi en vue de savoir si tes parents ont déjà prévu quelque chose pour tes dix-huit ans.
Moi : Oui, comme ça nous pourrons envisager ensemble, Julien et moi, et avec vous bien entendu, ce que nous pourrions organiser.
Pie : C’est bien Phil. Nous avions pensé, Béatrice et moi, de vous laisser faire une liste de ce que vous avez envie de faire et aussi une liste des invités et tout ce qui va avec, carton d’invitation, … etc.
Jul : Merci Papa, vous êtes géniaux !
Moi : Merci Pierre, cela me touche beaucoup !
Béa : Mais c’est tout naturel mes enfants, avoir dix-huit ans est une étape et il convient de passer ce cap dans la joie et la bonne humeur afin d’en garder de très beaux souvenirs !
Jul : Merci Maman, je vous adore tous les deux !
Moi : Je ne sais que vous dire, … merci, merci pour ce que vous faites pour nous ! »
Nous nous étions mis à rire. Béatrice et Pierre étaient heureux de nous voir comme ça. Nous avions terminé de déjeuner dans la bonne humeur et le sourire aux lèvres.
J’avais alors téléphoné à la maison. C’est Delphine qui avait décroché. Je lui avais demandé comment ça allait à la maison. Puis j’avais demandé à avoir maman ou papa en vue de demander quelque chose. C’est maman qui avait pris le cornet et qui me disait :
Mam : « Bonjour Phil, tu as bien dormi. Tu voulais demander quelque chose à ce que nous a dit ta sœur !
Moi : Bonjour Maman, oui nous avons bien dormis. Hier soir chez Julien nous discuté avec ses parents au sujet de nos dix-huit ans. Je voulais savoir si vous aviez prévus d’organiser quelque chose pour mon anniversaire. En fait j’aimerai que Julien et moi nous puissions faire une fête commune et inviter nos amies et nos amis !
Mam : Oh là mon fils. Mais tu as raison de vouloir fêter ton anniversaire avec Julien, je le comprends très bien. Avec ton père nous en avions déjà discuté mais nous n’avons encore rien prévu. Nous comptions t’en parler d’ici quelques jours et nous avions aussi envisagé de faire une fête pour vous deux, Julien et toi !
Moi : Oh Maman, vous êtes super, je suis si heureux de voir que vous aviez aussi pensé à Julien. Je vous adore, je vous aime, vous ne pouvez pas savoir combien ça me rend heureux.
Mam : Je croix nous allons vous demander de prévoir sur papier ce qui vous ferait plaisir et aussi que vous établissiez une liste d’invités. On vous laisse carte blanche, mais il faut aussi que vous restiez dans une marge raisonnable. Puis dix-huit ans c’est un moment important et un passage vers le monde des adultes.
Moi : Je ne sais que dire Maman. Je crois que nous allons nous concerter Julien et moi, et vous demander, ainsi qu’aux parents de Julien, votre avis ! Merci, merci.
Mam : Je t’embrasse mon fils ainsi que Julien. Bisous à vous deux ! »
Des larmes de joie coulaient sur mes joues. J’avais rejoint Julien et ses parents. Ils se demandaient ce qui se passait, mais ils comprirent en voyant mon large sourire que c’étaient des larmes de joie. J’avais du mal à parler. Julien m’avait fait un énorme câlin et une fois remis de mes émotions j’avais pu expliquer que mes parents étaient partants, eux aussi, pour nous laisser organiser une fête commune tout en restant raisonnable. Béatrice et Pierre étaient quant à eux content de voir que notre rêve de faire une fête commune pour nos dix-huit ans allait se concrétiser !
Le reste de la matinée Julien et moi nous avions pris chacun deux feuilles de papier pour y noter sur la première ce que nous avions envie d’organiser et l’autre sur laquelle nous faisions la liste des invités. Nous allions ensuite mettre le tout en commun et faire une liste conjointe pour l’organisation. Nous avions le temps de penser à ce que nous voulions faire, mais nous étions pressés d’avoir quelque chose de plus ou moins abouti assez vite.
Nous avions gardé nos feuilles car nous n’avions pas terminé d’y apposer ce que nous voulions comme activités pour cette fête et la liste des invités que nous voulions rencontrer ! C’est donc vers midi que Béatrice nous avait demandé de lui donner un coup de main pour le repas. Nous avions donc mis la table, préparé les légumes, peler les pommes de terre, etc.
Après l’apéro nous nous étions tous placé à table. Stéphanie était revenue avec ma sœur Delphine. Nous étions donc six à table. Les discussions allaient bon train. Les filles voulaient savoir ce que nous avions déjà décidé pour fêter nos dix-huit ans. Julien et moi nous leurs avions répondu qu’il était trop tôt pour que nous puissions dire quelque chose à ce sujet.
Béatrice ainsi que Pierre étaient tous deux intrigués par notre attitude de ne rien dévoiler, du moins pour le moment. Bref nous ne savions pas encore si nos désirs allaient oui ou non être pris en considération. Nous avions déjà assez bien d’idées en tête mais fallait-il encore que ces idées soient réalisables !
Après le repas nous avions Julien et moi pris nos vélos pour faire un tour en forêt. Nous avions besoin de nous aérer l’esprit. Puis c’est en roulant à gauche et à droite que nous avions découvert un coin assez sympa, un peu reculé des chemins forestiers. Nous nous étions arrêtés pour y faire une pause. C’était en fait une clairière dont le sol était couvert d’herbe. Le soleil y pénétrait au travers des branches les plus élevées des arbres. Les oiseaux chantaient et le calme y régnait. C’est donc dans cette atmosphère feutrée que nous nous étions embrassés. Nos langues s’étaient enfin retrouvées. Elles se connaissaient, mais elles allaient pourtant se livrer à une sarabande mystérieuse nous apportant beaucoup de bonheur. C’est donc durant plusieurs minutes que nous étions comme en suspension, hors du temps, en extase, bien en communion l’un avec l’autre. Puis nous nous étions regardés les yeux dans les yeux. Nos mains vagabondaient alors sur nos corps, caressant nos vêtements. Nos slips et nos shorts semblaient trop étroit pour contenir nos protubérances gorgées de sang. Nous bandions si fort que les tirettes de nos shorts allaient pratiquement sauter. J’avais alors pris l’initiative et j’avais ouvert la ceinture et la tirette du short de Julien. Je pouvais alors voir la forme oblongue de son sexe bandé dans son slip. Le gland allait pratiquement sortir au niveau de l’élastique du slip. La pression était déjà plus supportable pour mon Juju.
Julien de son côté avait entrepris de ma libérer aussi de cette pression désagréable. Une fois la tirette de la braguette de mon short ouverte, je m’étais enfin senti plus à l’aise. Nos mains caressaient alors nos verges bandées au travers du tissus. Nos bouches s’étaient une nouvelle fois retrouvées. Nos langues dansaient entre elles comme au premier jour. Puis enfin j’avais laissé ma main passer entre le slip et le bas ventre de Julien. Elle pouvait alors s’emparer de cet attribut dressé. Julien avait lui aussi calqué ses mouvements sur les miens. Nous avions chacun le sexe de l’autre en main. Nous nous étions ensuite débarrassés de nos vêtements, nous étions nus, là au milieu de cette clairière, occupé à nous branler mutuellement. C’était divin, c’était la première fois que nous nous donnions du plaisir en pleine nature. Puis c’est couché, tête bêche que nous nous sucions enfin. Nos sens étaient décuplés, nous ressentions tellement de bonnes choses, tellement de sensations bienfaisantes. Nous savourions le gland bien humide de notre amoureux. Nous nous délections de ce membre bandé coulissant entre nos lèvres. Nous laissions entendre quelques râles de bonheur. Puis nous sentions chacun la pression monter chez notre amour. Nous nous arrangions pour nous procurer un maximum de plaisir. Puis je sentais que j’allais arriver au point de non-retour. Julien l’avait senti et il avait ralenti la pression exercée sur mon membre viril. De mon côté je ralentissais l’allure pour laisser à Julien le temps de se reprendre. Nous nous comprenions de plus en plus. Nous ressentions les désirs et les souhaits de notre partenaire. Nos corps étaient couverts de sueur, il faisait déjà chaud en extérieur et ajouté à nos ardeurs physiques, cela avait fait monté la température. Puis reprenant cette fellation féérique, nous savions que nous n’allions plus nous arrêter avant l’extase finale, l’explosion de tous nos sens et la libération de nos semences au fond de la gorge de notre très cher amour. C’est donc moi qui m’étais cambré le premier, qui avais dans un râle profond, laissé partir en toute force mon sperme chaud par jets. Julien avalait en partie ma contribution et de son côté Julien laissait lui aussi éclater sa jouissance tout au fond de ma bouche. Une fois l’explosion terminée, et enfin à nouveau tête à tête, nous nous étions embrassés, mélangeant avec volupté nos semences. Puis fourbus, nous nous étions couchés côte à côte pour savourer ce moment de béatitude partagé et ressenti.
Nous étions les plus heureux du monde. Nous étions comme sur un nuage blanc, immaculé balloté par une petite brise bien venue qui rafraichissait nos corps encore chauds de nos ébats.
Nous nous étions quelque peu assoupis. C’est une bonne heure plus tard que nous avions été réveillés par une petite brise un peu plus fraîche. Nous nous étions embrassés puis ensuite nous avions ré enfilé nos vêtements. Nous avions repris nos vélos pour prendre le chemin de retour. Nous étions heureux d’avoir passé un bout de temps, en dehors de toute contrainte, avec seulement l’envie d’aimer et d’être aimé par celui qui emplissait notre cœur à chacun. C’était une sensation assez nouvelle que de s’aimer en pleine nature. Pour ma part j’en retirais une très bonne expérience que j’avais déjà envie de refaire.
Tout en roulant je pensais à Lucas et à un coin de nature comme celui que je venais de quitter avec Julien. Il me fallait donc trouver un endroit assez discret pour être tranquille avec Lucas pour qu’il puisse être à l’aise et ainsi se confier plus facilement que chez l’un ou chez l’autre. Je me demandais si Lucas avait pu avoir Mathieu au téléphone pour en savoir plus. Pourquoi n’avait-il pas pu être avec Lucas durant le week-end ? Son père se doutait-il de quelque chose ? Sa maman avait-elle expliqué à son père ce qui se passait ? Bref je me posais un tas de question. Il fallait donc attendre d’être lundi matin pour que je puisse en savoir plus.
Une fois à la maison, Béatrice nous avait proposé de manger un bout, il était déjà plus de dix-sept heures. Nous n’avions pas vu le temps passer. Nous avions alors mangé une tranche de cramique avec du beurre salé, un délice ! Bien entendu nous avions pris une tasse de cacao chaud. C’est Stéphanie qui nous avait fait une remarque sur nos visages angéliques. Elle se demandait pourquoi nous étions si radieux et en même temps remplis de douceur et de paix. C’est Julien qui avait fait un signe à sa sœur pour lui demander d’attendre d’être un peu plus tranquille pour lui parler. C’est donc dix minutes plus tard que nous nous étions retrouvés dans la chambre de Stéphanie en compagnie de Julien et de Delphine.
Sté : « Alors les garçons, vous avez l’air si émus et à la fois réjouis. Il s’est passé quelque chose de particulier ?
Jul : Bon, enfin, Phil et moi nous avons fait un tour à vélo et nous étions arrivé dans une clairière très sympa. Nous nous y sommes arrêtés et nous n’avons plus fait attention au temps qui passe !
Del : Stéphanie a raison, il n’y a pas que ça. Allez, vous avez fait quoi les gars !
Moi : Bon, les filles, cela ne vous regarde pas !
Sté : Oui, c’est ça. Je pense que vous vous êtes branlés au milieu de cette clairière !
Jul : Mais non, pourquoi tu dis ça !
Del : Je suis comme Stéph, vous vous êtes aimés dans cette clairière.
Moi : Oui, nous nous sommes aimés. Nous étions en pleine nature avec les chants des oiseaux, un rayon de soleil qui nous chauffait et nous qui nous aimions ! Ça vous va !
Sté : Oh là, mais ça devait être chouette.
Moi : Oui, c’est une sensation très particulière de s’aimer ainsi en pleine nature. Je rêve de pouvoir le refaire dès que possible.
Del : Mais vous êtes fous, vous auriez pu vous faire surprendre !
Jul : On n’y a pas pensé, on était trop bien !
Sté : Je comprends maintenant pourquoi vous étiez si « zen » mes loulous !
Moi : Il ne faut rien dire aux parents !
Del : Compte sur nous, on saura se taire. Dit Stéph, nous n’avons pas encore fait ce genre de chose. J’ai bien envie d’une fois tenter l’aventure !
Moi : Vous devriez, vous allez voire c’est géant !
Sté : Et pourquoi pas. Faudra qu’on y pense. »
Nous nous étions tous mis à rire. La conversation s’était poursuivie ainsi jusqu’au souper. Nous avions parlé de tout et de rien mais aussi de nos couples et du fait que nous avions des parents en or.