07-09-2020, 03:58 PM
Voici un récit que j'avais sorti il y a un ou deux ans sur Docti. C'est une histoire en bonne partie réelle et à laquelle je pense toujours avec beaucoup de plaisir. J'espère que vous en aurez également. La deuxième partie viendra dans quelques jours.
L'étudiant des montagnes
Je ne sais pas pourquoi, j'ai soudain eu envie d'écrire ce récit pour lequel je voyais très bien la trame principale. Ce n'est pas mon récit ni le sien, c'est le nôtre que nous avons intensément vécu pendant quelques mois, mois qui furent un éblouissement, une révélation quotidienne. Les circonstances de la vie ont fait que nous nous sommes séparés puis perdus de vue, mais ce qui est resté intact, c'est la force des sentiments que nous avons vécu, l'intensité de nos découvertes : toute notre vie, ces moments ont conditionnés nos expériences et à chaque expériences ou moments importants, je pense à Florentin et je revois son visage adorable de confiance et d'ingénuité et je sais, oui je le sais car cela ne peut pas être autrement, qu'il en est de même pour lui.
J'avais besoin de fixer ces moments de bonheur maximum.
** ** ** **
Il y a deux mois que l'année scolaire a débuté lorsque notre professeur de grec nous salue en entrant dans la classe et nous dit qu'il a une information importante à nous faire.
Aujourd'hui ou demain, nous allons accueillir un nouvel élève en provenance d'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur institut alpin de Suisse, dans la partie orientale du pays. Il nous demande de le recevoir avec gentillesse, d'autant qu'il doit être assez timide vu que c'est la première fois qu'il quitte son village situé à 1'800 mètres et qu'il va être complètement perdu dans notre grande ville et donc de l'introduire un peu partout. Il ajoute que, selon le directeur, c'est un crac scolairement parlant, en particulier en grec et latin.
Nous adorons Monsieur Lerch et nous l'assurons que nous ferons tout pour qu'il s'intègre dans notre classe, très homogène, et lui faciliterons au maximum la connaissance de la ville. De même, nous ferons notre possible pour qu'il n'ait pas à avoir honte de nos connaissances
Les cours reprennent immédiatement mais nous nous réjouissons de rencontrer ce nouvel élève : il faut dire que les candidats latin-grec ne sont pas très nombreux et que les nouvelles recrues sont plutôt rares : nous sommes une seule classe d'une quinzaine d'élèves en prématurité (pré-bac). Ceci explique pourquoi nous sommes extrêmement soudés et solidaires.
Le lendemain, le nouveau arrive avec Monsieur Lerch et naturellement tous les regards se tournent vers lui.
Monsieur Lerch : Tu peux s'assoir à côté de Benjamin, Benjamin tu voudras bien t'occuper spécialement de ce nouvel élève, comme je vous l'ai demandé hier. Florentin, peux-tu te présenter avec suffisamment de détails pour que la classe puisse bien te situer
Florentin : (A notre stupéfaction et celle de notre professeur, le nouveau s'adresse à nous en grec, c'est le cours d'aujourd'hui, d'une petite voix, heureusement il passera rapidement au français) Je me nomme Florentin et je viens du Collège catholique de D. où j'ai vécu depuis l'âge de 4 ans, soit durant 12 ans. Mon village est situé à 1'800 mètres d'altitude et pendant 5-6 mois le sol est recouvert de neige.
Florentin est un prénom romanche, langue que je parle bien sûr couramment puisque le romanche est la langue de ma région. C'est la première fois que je vais vivre hors de mes montagnes aussi je vous remercie de m'aider pour connaître les usages d'une ville et surtout je vous serais très reconnaissant si vous ne vous moquez pas trop de moi dans certaines réflexions, certaines attitudes que je pourrais avoir. Le français n'est pas ma langue maternelle mais mes parents ont toujours voulu que je la domine. A part ces deux langues, je parle couramment l'allemand et l'italien qui sont d'usage dans cette région de Suisse et l'anglais que nous avons comme langue étrangère. Excusez-moi si j'ai commencé mes explications en grec, ce n'était absolument pas pour faire le malin, mais au Collège nous avions l'obligation de nous exprimer en grec et en latin pendant les heures de cours sinon nous avions une ou deux heures de retenue.
Une chose encore que je préfère vous dire, il m'arrive d'avoir des coups de blues ce qui est dû au fait que mes parents sont décédés il y a deux ans dans un accident d'avion.
Monsieur Lerch : Merci, eh…, Florentin de ta présentation. Je suis certain que tes camarades auront des tas de questions à te poser pour mieux te connaître et, les connaissant bien, je sais qu'ils auront à cœur de t'entourer. Et maintenant au travail !
Benjamin : Inutile de dire que nous sommes bluffés par l'érudition de notre nouveau camarade qui a plutôt l'air gêné de son savoir et il nous a dit qu'il était naturellement à notre disposition si nous avions besoin d'aide. Je sens que nous allons faire de gros progrès au cours des prochains mois, car il faut dire que ce garçon est très sympathique. Il doit mesurer un peu moins de 180 cm, il a un corps très fin, des cheveux blonds ébouriffés, en tout cas aujourd'hui, quoi, c'est un garçon très classique qui passerait facilement inaperçu si ce n'était ses yeux d'un bleu très clair, un regard perçant dégageant une espèce de magnétisme qui nous a tous frappé.
Je sens que je ne vais pas me forcer pour m'occuper de lui et faire en sorte qu'il ne s'ennuie pas et se sente rapidement à l'aise. A midi, nous l'emmenons à notre restaurant habituel et c'est presque la bagarre car nous voulons tous être à la même table que lui : je laisse faire, mais je m'assois d'autorité à ses côtés, nous sommes plus serrés que d'habitude, mais cela ne me dérange pas, car ce que raconte Florentin nous fascine tous.
Mais nous constaterons rapidement que s'il a une très grande culture, et qu'il a des lacunes qui nous sidèrent : par exemple, il ne connait rien de la musique que nous écoutons tous, il donne l'impression de ne rien savoir des exigences de la vie quotidienne, le prix des produits. Il a fallu lui expliquer le sens de "sauterie", ces sorties que nous aimons les vendredi ou samedi et où nous nous laissons aller pour vivre notre jeunesse. Il a l'air stupéfait que dans ces soirées nous consommions de l'alcool, en général raisonnablement dans notre groupe, et que nous rentrions parfois tôt le matin ou même que nous improvisions pour dormir sur place, filles et garçons mélangés selon les circonstances.
Oui, nous allons avoir à faire pour le former, et je me sens tout disposer à le prendre en main. Par contre, nous ne savons rien de sa sexualité et vu qu'il vient d'un collège catholique, il y a des chances qu'il soit là également, assez ignorant. C'est un secteur que je pense me réserver personnellement ! Bon, autant que je vous le dise tout de suite, je suis essentiellement attiré par les garçons, la classe le sait et cela ne pose aucun problème. Mais attention, je ne rejette pas les filles, je les apprécie pour tout ce qui fait leur charme et qualité, mais sexuellement cela ne va pas beaucoup plus loin que des baisers, des caresses, même intimes parfois, voire de temps à autre, une fellation, mais franchement je préfère celles que peut me donner un garçon.
Cela fait maintenant quelques semaines que Florentin est parmi nous, il a pris beaucoup d'indépendance et, de plus en plus souvent, il me fait comprendre qu'il peut très bien se débrouiller tout seul. Attention, nous sommes très souvent ensemble, il est même capable d'être très attentionné, mais je ne suis encore jamais allé chez lui, même s'il m'a déjà plusieurs fois dit qu'il allait m'inviter… Je sais seulement qu'il a un appartement de 2 pièces et demie, un très grand séjour de près de soixante mètres carrés servant tout à la fois de salon, de pièce de travail et de coin à manger ; une petite chambre à coucher et, évidemment, des sanitaires. Plus d'une fois, je l'ai senti à deux doigts de me faire monter et puis, cela ne se concrétise pas.
En fait, il reste très secret, je n'ai jamais vu son corps car nous avons toujours le sport en fin de journée et il préfère se doucher chez lui, et, pour nous tous, il est un peu une énigme.
Scolairement parlant, il est très fort, en cours on le sent très concentré, il comprend très vite les explications des professeurs et on a pas l'impression qu'il travaille chez lui. Souvent il simplifie la présentation de nos enseignants d'une manière telle qu'en quelques minutes tout devient limpide ! Les mathématiques ne sont pas mon point fort, aussi ai-je l'intention de lui demander s'il ne pourrait pas me donner quelques cours pour me remettre à niveau.
Benjamin : J'en ai assez, je ne comprends rien à ces formules algébriques et ma moyenne devient catastrophique, je ne sais vraiment plus comment m'en sortir, surtout avec le résultat du test d'aujourd'hui
Florentin : Tu m'as tellement aidé au début, je pourrais, si tu le souhaites, t'aider à mon tour pendant quelques temps, histoire de te redonner confiance
Benjamin : Ouais ! cela serait sympa et je suis certain qu'avec toi je comprendrais très vite
Florentin : Je peux venir une ou deux fois chez toi, tu me dis les jours que tu préfères
Benjamin : (Non, pas chez moi, chez lui ! Il faut que je trouve très vite une raison valable) C'est super gentil à toi, mais je pense que cela serait mieux si je venais chez toi car je partage ma chambre avec mon frère (quand il est là !) et ma sœur cadette est un peu collante, je pense qu'on pourrait mieux travailler que chez moi
Florentin : (il reste un long moment silencieux, je sens qu'il réfléchit, je ne sais pas à quoi car, avec mes amis nous allons fréquemment chez les uns ou les autres, sans que cela pose le moindre problème, il nous arrive de dîner, que les parents soient là ou pas, et même de dormir chez eux, dans le même lit ou sur un matelas. Sans enthousiasme il me répond :
Bon, d'accord, je te propose le lundi et le jeudi, en sortant des cours, le temps qu'on soit chez moi, on pourra commencer à 17h 30 et tu pourras être chez toi vers sept heures
Benjamin : C'est parfait, merci beaucoup (même s'il a tout arrangé pour que je ne m'incruste pas, mais le fait d'être chez lui va grandement facilité notre connaissance réciproque, mais il faudra que j'agisse avec beaucoup de tact et de prudence !)
Florentin : Donc on commence demain, tant qu'à faire mieux vaut ne pas perdre de temps
Le lendemain, le jeudi donc, la journée traîne comme rarement, je suis distrait au point que je me fais rappeler à l'ordre par un de mes professeurs, tiens comme par hasard celui de math ! L'heure de la délivrance, celle de la découverte pour moi arrive, nous nous dirigeons vers son quartier, un des plus anciens de la ville, mais où les immeubles proches du fleuve ont été magnifiquement rénovés et modernisés. Je continue à avancer lorsque Florentin me stoppe, c'est ici ! Je suis stupéfait, c'est l'un des mieux situés, absolument splendide et, selon l'étage, on doit bénéficier d'une vue magnifique, je suis un peu déboussolé. L'ascenseur s'arrête au 5ème étage, il n'y a pas de 6ème. Une pièce superbe, immense, avec un mélange de quelques meubles anciens et modernes, une immense fenêtre double avec une vue à couper le souffle.
Benjamin : Eh bien ! tu m'en bouches un coin, c'est vraiment une superbe pièce, je ne m'attendais vraiment pas à ce que tu habites dans l'un des plus beaux emplacements de la ville. Et quelle pièce où chaque meuble est mis en évidence, où…
Florentin : Oui, c'est vrai, je suis privilégié mais en même temps, chaque fois que j'entre ici, j'ai un petit serrement de cœur, c'est là que mes parents ont vécu avant leur accident, heureusement qu'ils n'y étaient pas souvent car autrement cela serait insupportable, je n'ai aucun souvenir d'y avoir habité moi-même, mais, malgré tout, c'est l'appartement de mes parents.
En prononçant ces paroles, je le sens soudain très triste, il a les yeux humides et je le comprends, comment réagirais-je si je perdais brusquement mes parents ? Je ne sais pas si je survivrais au désespoir, à la solitude ? C'est vrai qu'il voyait rarement son père et sa mère, mais malgré tout. Je me tais car parfois le silence est la meilleure réponse. Je le regarde, il pleure doucement, j'ai envie de le prendre dans mes bras, de le consoler et lui dire qu'il n'est pas seul, que je suis là, comme tous mes camarades, moi peut-être une peu plus que les autres… Je me contente de poser ma main sur son épaule et ce seul contact me réjouis.
Florentin : Tu comprends maintenant pourquoi j'aurais préféré venir chez toi, car vois-tu Benjamin, j'aurais souhaité éviter que l'on ignore mon mode vie, il pourrait vite y avoir des jaloux, mais d'un autre côté, tôt ou tard cela ce serait su ; quand j'ai réfléchi avant de te répondre, je me suis dit qu'il valait peut-être mieux que cela soit toi le premier à le savoir, car j'ai confiance en toi et, honnêtement, je suis bien quand on est ensemble ! Et puis, maintenant, il n'y aura pas de raison à ce que tu ne viennes pas lorsqu'on en aura envie.
Benjamin : Tu sais, tu peux avoir toute confiance en moi, si tu le souhaites je ne dirai rien aux autres mais je crois qu'il serait préférable, comme tu l'as dit tout à l'heure, qu'ils le sachent ; mais il faudra aussi qu'ils sachent que si tu habites là, c'est à la suite d'une tragédie
Florentin : tu sais à quoi je pense, on pourrait faire à l'occasion une invitation chez moi et je leur expliquerai tout, qu'en penses-tu ? Mais si tu penses que c'est une bonne idée, il faudra m'aider pour la préparation, pour me soutenir également
Benjamin : Bien sûr que je t'aiderai, tu peux compter totalement sur moi, dans tous les domaines
Florentin : Maintenant, il serait temps de s'atteler aux choses sérieuses, ton ignorance en mathématique ! Viens on va s'installer à ma table de travail, l'un à côté de l'autre, pour que tu voies bien l'écran car j'ai préparé hier soir un petit programme que tu pourras charger pour faire les exercices que je t'ai concoctés
Nous nous asseyons en face de l'écran, un peu serrés pour bien voir ; je sens sa jambe qui appuie contre la mienne, au travers du tissu je sens sa chaleur corporelle. Je sens que dans mon slip, il y a une certaine agitation ce qui n'est pas forcément pour me déplaire mais, en même temps, il ne faudrait pas qu'il remarque la proéminence de mon pantalon. J'écoute ses explications qui, quoique limpides, n'entrent pas vraiment dans ma tête, distrais par ce qui se passe dans mon bas-ventre, dans ce bout de chair qui a tendance à vouloir se redresser et qui est déjà tout humide.
Florentin : J'ai l'impression que tu ne m'écoutes pas vraiment, y-a-t-il quelque chose qui te dérange ? Ah ! j'ai oublié de te montrer où sont les toilettes, veux-tu y aller ?
Benjamin : oui, c'est effectivement urgent
Florentin : tu n'avais qu'à le dire, c'est tout naturel et il n'y a pas de quoi se gêner pour si peu. (seul, oui cela devait urger à voir la bosse de son pantalon et le temps qu'il met pour revenir !) Bon, te voilà de retour, on en a encore pour une dizaine de minutes, après je te libère mais avec du travail pour la prochaine fois !
Effectivement, peu avant 19 heures, je le quitte, impressionné par ce que j'ai vu, impressionné par sa manière d'expliquer, impressionné par l'effet qu'il me fait. Il faudra que j'aborde assez vite ce sujet car je sens que je ne pourrai pas lui cacher longtemps tout ce que je ressens, mais en même temps, je redoute ce moment car je ne voudrais pas le blesser et encore moins perdre son amitié.
Deux fois par semaine, je suis chez lui et effectivement je fais des progrès. Jeudi en quittant le collège, il m'a proposé de venir demain comme d'habitude mais il me suggère de rester manger avec lui et qu'on regarde un film après. J'accepte bien sûr !
Le lendemain, répétition de math puis un apéritif sans alcool, gentiment je me moque un peu de lui et lui suggère de prévoir quelques boissons alcoolisées lors de la réunion de classe qu'il a envie de faire.
Florentin : Bon, on va aller manger, il y a un petit restaurant, à cinquante mètres de chez moi et où je vais souvent et on y mange bien
Benjamin : mais on peut manger ici, le restaurant cela revient cher et c'est souvent meilleur !
Florentin : Si c'est moi qui cuisine, tu ne voudras plus jamais revenir, je n'ai aucune notion pour préparer un repas : quand je mange chez moi, c'est soit des plats qu'il suffit de réchauffer ou alors de la charcuterie et des aliments froids. Quant au coût, ne t'inquiète pas, je n'ai aucun soucis financier, toujours en raison de la mort de mes parents
Et effectivement, Florentin doit avoir l'habitude de venir se restaurer car il est accueilli comme s'il arrivait chez lui. La nourriture est simple mais très bonne, accompagnée d'une demi-bouteille d'un bon vin rouge, le serveur a eu l'air surpris quand il a commandé une bouteille car ce n'est pas dans ses habitudes !
Nous rentrons chez lui, mettons un film, je ne me souviens plus du titre, et nous installons sur le canapé très confortable. Je ne sais si c'est le vin que j'ai bu, les trois-quarts à moi tout seul, si c'est le fait d'avoir Florentin à mes côtés, ou si c'est le film, je sombre dans une rêverie agréable, un peu érotique. Assez vite, je sens mon sexe durcir, prendre de plus en plus de place dans mon slip ce qui m'oblige à le remettre en place. J'ai dû défaire ma ceinture pour avoir un meilleur accès et j'oublie de la remettre. J'ai envie de me toucher, je résiste puis, sans vraiment m'en rendre compte, je déboutonne ma braguette, laissant apparaître un sous-vêtement bleu clair. Je lorgne du côté de Florentin qui regarde tranquillement le film. J'ai de plus en plus envie de me toucher, je réalise que j'ai ma main à l'intérieur de mon slip, déjà franchement mouillé, et très doucement je me masturbe. Mon sexe est devenu très dur, mon liquide séminal facilite le va et vient, je suis bien, j'oublie un peu où je suis, je regarde en louchant du côté de Florentin dont le pantalon léger qu'il porte ne cache rien de sa propre érection mais je vois également qu'il jette des coups d'œil vers moi : il ne peut pas ne pas voir ce que je fais avec ma main, cela doit l'exciter car à un moment donné j'ai la nette impression qu'il caresse doucement sa verge. Je suis toujours plus excité, j'oublie presque sa présence et ma queue est devenu tellement forte que le prépuce sort au-dessus de l'élastique, un prépuce rouge, brillant de ma mouille et prêt à expulser ma semence de garçon. Florentin est lui aussi en forme, au point qu'il a ouvert sa braguette et que j'ai tout loisir de voir son slip rouge vif avec devant une tache plus foncée. Cette vision provoque un choc, je sens mon sperme qui quitte le réservoir séminal, qui s'engage dans les canaux puis dans ma verge et enfin explose dans mon slip, sur ma main et mon pantalon alors que je pousse des gémissements et je m'entends dire,
L'étudiant des montagnes
Je ne sais pas pourquoi, j'ai soudain eu envie d'écrire ce récit pour lequel je voyais très bien la trame principale. Ce n'est pas mon récit ni le sien, c'est le nôtre que nous avons intensément vécu pendant quelques mois, mois qui furent un éblouissement, une révélation quotidienne. Les circonstances de la vie ont fait que nous nous sommes séparés puis perdus de vue, mais ce qui est resté intact, c'est la force des sentiments que nous avons vécu, l'intensité de nos découvertes : toute notre vie, ces moments ont conditionnés nos expériences et à chaque expériences ou moments importants, je pense à Florentin et je revois son visage adorable de confiance et d'ingénuité et je sais, oui je le sais car cela ne peut pas être autrement, qu'il en est de même pour lui.
J'avais besoin de fixer ces moments de bonheur maximum.
** ** ** **
Il y a deux mois que l'année scolaire a débuté lorsque notre professeur de grec nous salue en entrant dans la classe et nous dit qu'il a une information importante à nous faire.
Aujourd'hui ou demain, nous allons accueillir un nouvel élève en provenance d'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur institut alpin de Suisse, dans la partie orientale du pays. Il nous demande de le recevoir avec gentillesse, d'autant qu'il doit être assez timide vu que c'est la première fois qu'il quitte son village situé à 1'800 mètres et qu'il va être complètement perdu dans notre grande ville et donc de l'introduire un peu partout. Il ajoute que, selon le directeur, c'est un crac scolairement parlant, en particulier en grec et latin.
Nous adorons Monsieur Lerch et nous l'assurons que nous ferons tout pour qu'il s'intègre dans notre classe, très homogène, et lui faciliterons au maximum la connaissance de la ville. De même, nous ferons notre possible pour qu'il n'ait pas à avoir honte de nos connaissances
Les cours reprennent immédiatement mais nous nous réjouissons de rencontrer ce nouvel élève : il faut dire que les candidats latin-grec ne sont pas très nombreux et que les nouvelles recrues sont plutôt rares : nous sommes une seule classe d'une quinzaine d'élèves en prématurité (pré-bac). Ceci explique pourquoi nous sommes extrêmement soudés et solidaires.
Le lendemain, le nouveau arrive avec Monsieur Lerch et naturellement tous les regards se tournent vers lui.
Monsieur Lerch : Tu peux s'assoir à côté de Benjamin, Benjamin tu voudras bien t'occuper spécialement de ce nouvel élève, comme je vous l'ai demandé hier. Florentin, peux-tu te présenter avec suffisamment de détails pour que la classe puisse bien te situer
Florentin : (A notre stupéfaction et celle de notre professeur, le nouveau s'adresse à nous en grec, c'est le cours d'aujourd'hui, d'une petite voix, heureusement il passera rapidement au français) Je me nomme Florentin et je viens du Collège catholique de D. où j'ai vécu depuis l'âge de 4 ans, soit durant 12 ans. Mon village est situé à 1'800 mètres d'altitude et pendant 5-6 mois le sol est recouvert de neige.
Florentin est un prénom romanche, langue que je parle bien sûr couramment puisque le romanche est la langue de ma région. C'est la première fois que je vais vivre hors de mes montagnes aussi je vous remercie de m'aider pour connaître les usages d'une ville et surtout je vous serais très reconnaissant si vous ne vous moquez pas trop de moi dans certaines réflexions, certaines attitudes que je pourrais avoir. Le français n'est pas ma langue maternelle mais mes parents ont toujours voulu que je la domine. A part ces deux langues, je parle couramment l'allemand et l'italien qui sont d'usage dans cette région de Suisse et l'anglais que nous avons comme langue étrangère. Excusez-moi si j'ai commencé mes explications en grec, ce n'était absolument pas pour faire le malin, mais au Collège nous avions l'obligation de nous exprimer en grec et en latin pendant les heures de cours sinon nous avions une ou deux heures de retenue.
Une chose encore que je préfère vous dire, il m'arrive d'avoir des coups de blues ce qui est dû au fait que mes parents sont décédés il y a deux ans dans un accident d'avion.
Monsieur Lerch : Merci, eh…, Florentin de ta présentation. Je suis certain que tes camarades auront des tas de questions à te poser pour mieux te connaître et, les connaissant bien, je sais qu'ils auront à cœur de t'entourer. Et maintenant au travail !
Benjamin : Inutile de dire que nous sommes bluffés par l'érudition de notre nouveau camarade qui a plutôt l'air gêné de son savoir et il nous a dit qu'il était naturellement à notre disposition si nous avions besoin d'aide. Je sens que nous allons faire de gros progrès au cours des prochains mois, car il faut dire que ce garçon est très sympathique. Il doit mesurer un peu moins de 180 cm, il a un corps très fin, des cheveux blonds ébouriffés, en tout cas aujourd'hui, quoi, c'est un garçon très classique qui passerait facilement inaperçu si ce n'était ses yeux d'un bleu très clair, un regard perçant dégageant une espèce de magnétisme qui nous a tous frappé.
Je sens que je ne vais pas me forcer pour m'occuper de lui et faire en sorte qu'il ne s'ennuie pas et se sente rapidement à l'aise. A midi, nous l'emmenons à notre restaurant habituel et c'est presque la bagarre car nous voulons tous être à la même table que lui : je laisse faire, mais je m'assois d'autorité à ses côtés, nous sommes plus serrés que d'habitude, mais cela ne me dérange pas, car ce que raconte Florentin nous fascine tous.
Mais nous constaterons rapidement que s'il a une très grande culture, et qu'il a des lacunes qui nous sidèrent : par exemple, il ne connait rien de la musique que nous écoutons tous, il donne l'impression de ne rien savoir des exigences de la vie quotidienne, le prix des produits. Il a fallu lui expliquer le sens de "sauterie", ces sorties que nous aimons les vendredi ou samedi et où nous nous laissons aller pour vivre notre jeunesse. Il a l'air stupéfait que dans ces soirées nous consommions de l'alcool, en général raisonnablement dans notre groupe, et que nous rentrions parfois tôt le matin ou même que nous improvisions pour dormir sur place, filles et garçons mélangés selon les circonstances.
Oui, nous allons avoir à faire pour le former, et je me sens tout disposer à le prendre en main. Par contre, nous ne savons rien de sa sexualité et vu qu'il vient d'un collège catholique, il y a des chances qu'il soit là également, assez ignorant. C'est un secteur que je pense me réserver personnellement ! Bon, autant que je vous le dise tout de suite, je suis essentiellement attiré par les garçons, la classe le sait et cela ne pose aucun problème. Mais attention, je ne rejette pas les filles, je les apprécie pour tout ce qui fait leur charme et qualité, mais sexuellement cela ne va pas beaucoup plus loin que des baisers, des caresses, même intimes parfois, voire de temps à autre, une fellation, mais franchement je préfère celles que peut me donner un garçon.
Cela fait maintenant quelques semaines que Florentin est parmi nous, il a pris beaucoup d'indépendance et, de plus en plus souvent, il me fait comprendre qu'il peut très bien se débrouiller tout seul. Attention, nous sommes très souvent ensemble, il est même capable d'être très attentionné, mais je ne suis encore jamais allé chez lui, même s'il m'a déjà plusieurs fois dit qu'il allait m'inviter… Je sais seulement qu'il a un appartement de 2 pièces et demie, un très grand séjour de près de soixante mètres carrés servant tout à la fois de salon, de pièce de travail et de coin à manger ; une petite chambre à coucher et, évidemment, des sanitaires. Plus d'une fois, je l'ai senti à deux doigts de me faire monter et puis, cela ne se concrétise pas.
En fait, il reste très secret, je n'ai jamais vu son corps car nous avons toujours le sport en fin de journée et il préfère se doucher chez lui, et, pour nous tous, il est un peu une énigme.
Scolairement parlant, il est très fort, en cours on le sent très concentré, il comprend très vite les explications des professeurs et on a pas l'impression qu'il travaille chez lui. Souvent il simplifie la présentation de nos enseignants d'une manière telle qu'en quelques minutes tout devient limpide ! Les mathématiques ne sont pas mon point fort, aussi ai-je l'intention de lui demander s'il ne pourrait pas me donner quelques cours pour me remettre à niveau.
Benjamin : J'en ai assez, je ne comprends rien à ces formules algébriques et ma moyenne devient catastrophique, je ne sais vraiment plus comment m'en sortir, surtout avec le résultat du test d'aujourd'hui
Florentin : Tu m'as tellement aidé au début, je pourrais, si tu le souhaites, t'aider à mon tour pendant quelques temps, histoire de te redonner confiance
Benjamin : Ouais ! cela serait sympa et je suis certain qu'avec toi je comprendrais très vite
Florentin : Je peux venir une ou deux fois chez toi, tu me dis les jours que tu préfères
Benjamin : (Non, pas chez moi, chez lui ! Il faut que je trouve très vite une raison valable) C'est super gentil à toi, mais je pense que cela serait mieux si je venais chez toi car je partage ma chambre avec mon frère (quand il est là !) et ma sœur cadette est un peu collante, je pense qu'on pourrait mieux travailler que chez moi
Florentin : (il reste un long moment silencieux, je sens qu'il réfléchit, je ne sais pas à quoi car, avec mes amis nous allons fréquemment chez les uns ou les autres, sans que cela pose le moindre problème, il nous arrive de dîner, que les parents soient là ou pas, et même de dormir chez eux, dans le même lit ou sur un matelas. Sans enthousiasme il me répond :
Bon, d'accord, je te propose le lundi et le jeudi, en sortant des cours, le temps qu'on soit chez moi, on pourra commencer à 17h 30 et tu pourras être chez toi vers sept heures
Benjamin : C'est parfait, merci beaucoup (même s'il a tout arrangé pour que je ne m'incruste pas, mais le fait d'être chez lui va grandement facilité notre connaissance réciproque, mais il faudra que j'agisse avec beaucoup de tact et de prudence !)
Florentin : Donc on commence demain, tant qu'à faire mieux vaut ne pas perdre de temps
Le lendemain, le jeudi donc, la journée traîne comme rarement, je suis distrait au point que je me fais rappeler à l'ordre par un de mes professeurs, tiens comme par hasard celui de math ! L'heure de la délivrance, celle de la découverte pour moi arrive, nous nous dirigeons vers son quartier, un des plus anciens de la ville, mais où les immeubles proches du fleuve ont été magnifiquement rénovés et modernisés. Je continue à avancer lorsque Florentin me stoppe, c'est ici ! Je suis stupéfait, c'est l'un des mieux situés, absolument splendide et, selon l'étage, on doit bénéficier d'une vue magnifique, je suis un peu déboussolé. L'ascenseur s'arrête au 5ème étage, il n'y a pas de 6ème. Une pièce superbe, immense, avec un mélange de quelques meubles anciens et modernes, une immense fenêtre double avec une vue à couper le souffle.
Benjamin : Eh bien ! tu m'en bouches un coin, c'est vraiment une superbe pièce, je ne m'attendais vraiment pas à ce que tu habites dans l'un des plus beaux emplacements de la ville. Et quelle pièce où chaque meuble est mis en évidence, où…
Florentin : Oui, c'est vrai, je suis privilégié mais en même temps, chaque fois que j'entre ici, j'ai un petit serrement de cœur, c'est là que mes parents ont vécu avant leur accident, heureusement qu'ils n'y étaient pas souvent car autrement cela serait insupportable, je n'ai aucun souvenir d'y avoir habité moi-même, mais, malgré tout, c'est l'appartement de mes parents.
En prononçant ces paroles, je le sens soudain très triste, il a les yeux humides et je le comprends, comment réagirais-je si je perdais brusquement mes parents ? Je ne sais pas si je survivrais au désespoir, à la solitude ? C'est vrai qu'il voyait rarement son père et sa mère, mais malgré tout. Je me tais car parfois le silence est la meilleure réponse. Je le regarde, il pleure doucement, j'ai envie de le prendre dans mes bras, de le consoler et lui dire qu'il n'est pas seul, que je suis là, comme tous mes camarades, moi peut-être une peu plus que les autres… Je me contente de poser ma main sur son épaule et ce seul contact me réjouis.
Florentin : Tu comprends maintenant pourquoi j'aurais préféré venir chez toi, car vois-tu Benjamin, j'aurais souhaité éviter que l'on ignore mon mode vie, il pourrait vite y avoir des jaloux, mais d'un autre côté, tôt ou tard cela ce serait su ; quand j'ai réfléchi avant de te répondre, je me suis dit qu'il valait peut-être mieux que cela soit toi le premier à le savoir, car j'ai confiance en toi et, honnêtement, je suis bien quand on est ensemble ! Et puis, maintenant, il n'y aura pas de raison à ce que tu ne viennes pas lorsqu'on en aura envie.
Benjamin : Tu sais, tu peux avoir toute confiance en moi, si tu le souhaites je ne dirai rien aux autres mais je crois qu'il serait préférable, comme tu l'as dit tout à l'heure, qu'ils le sachent ; mais il faudra aussi qu'ils sachent que si tu habites là, c'est à la suite d'une tragédie
Florentin : tu sais à quoi je pense, on pourrait faire à l'occasion une invitation chez moi et je leur expliquerai tout, qu'en penses-tu ? Mais si tu penses que c'est une bonne idée, il faudra m'aider pour la préparation, pour me soutenir également
Benjamin : Bien sûr que je t'aiderai, tu peux compter totalement sur moi, dans tous les domaines
Florentin : Maintenant, il serait temps de s'atteler aux choses sérieuses, ton ignorance en mathématique ! Viens on va s'installer à ma table de travail, l'un à côté de l'autre, pour que tu voies bien l'écran car j'ai préparé hier soir un petit programme que tu pourras charger pour faire les exercices que je t'ai concoctés
Nous nous asseyons en face de l'écran, un peu serrés pour bien voir ; je sens sa jambe qui appuie contre la mienne, au travers du tissu je sens sa chaleur corporelle. Je sens que dans mon slip, il y a une certaine agitation ce qui n'est pas forcément pour me déplaire mais, en même temps, il ne faudrait pas qu'il remarque la proéminence de mon pantalon. J'écoute ses explications qui, quoique limpides, n'entrent pas vraiment dans ma tête, distrais par ce qui se passe dans mon bas-ventre, dans ce bout de chair qui a tendance à vouloir se redresser et qui est déjà tout humide.
Florentin : J'ai l'impression que tu ne m'écoutes pas vraiment, y-a-t-il quelque chose qui te dérange ? Ah ! j'ai oublié de te montrer où sont les toilettes, veux-tu y aller ?
Benjamin : oui, c'est effectivement urgent
Florentin : tu n'avais qu'à le dire, c'est tout naturel et il n'y a pas de quoi se gêner pour si peu. (seul, oui cela devait urger à voir la bosse de son pantalon et le temps qu'il met pour revenir !) Bon, te voilà de retour, on en a encore pour une dizaine de minutes, après je te libère mais avec du travail pour la prochaine fois !
Effectivement, peu avant 19 heures, je le quitte, impressionné par ce que j'ai vu, impressionné par sa manière d'expliquer, impressionné par l'effet qu'il me fait. Il faudra que j'aborde assez vite ce sujet car je sens que je ne pourrai pas lui cacher longtemps tout ce que je ressens, mais en même temps, je redoute ce moment car je ne voudrais pas le blesser et encore moins perdre son amitié.
Deux fois par semaine, je suis chez lui et effectivement je fais des progrès. Jeudi en quittant le collège, il m'a proposé de venir demain comme d'habitude mais il me suggère de rester manger avec lui et qu'on regarde un film après. J'accepte bien sûr !
Le lendemain, répétition de math puis un apéritif sans alcool, gentiment je me moque un peu de lui et lui suggère de prévoir quelques boissons alcoolisées lors de la réunion de classe qu'il a envie de faire.
Florentin : Bon, on va aller manger, il y a un petit restaurant, à cinquante mètres de chez moi et où je vais souvent et on y mange bien
Benjamin : mais on peut manger ici, le restaurant cela revient cher et c'est souvent meilleur !
Florentin : Si c'est moi qui cuisine, tu ne voudras plus jamais revenir, je n'ai aucune notion pour préparer un repas : quand je mange chez moi, c'est soit des plats qu'il suffit de réchauffer ou alors de la charcuterie et des aliments froids. Quant au coût, ne t'inquiète pas, je n'ai aucun soucis financier, toujours en raison de la mort de mes parents
Et effectivement, Florentin doit avoir l'habitude de venir se restaurer car il est accueilli comme s'il arrivait chez lui. La nourriture est simple mais très bonne, accompagnée d'une demi-bouteille d'un bon vin rouge, le serveur a eu l'air surpris quand il a commandé une bouteille car ce n'est pas dans ses habitudes !
Nous rentrons chez lui, mettons un film, je ne me souviens plus du titre, et nous installons sur le canapé très confortable. Je ne sais si c'est le vin que j'ai bu, les trois-quarts à moi tout seul, si c'est le fait d'avoir Florentin à mes côtés, ou si c'est le film, je sombre dans une rêverie agréable, un peu érotique. Assez vite, je sens mon sexe durcir, prendre de plus en plus de place dans mon slip ce qui m'oblige à le remettre en place. J'ai dû défaire ma ceinture pour avoir un meilleur accès et j'oublie de la remettre. J'ai envie de me toucher, je résiste puis, sans vraiment m'en rendre compte, je déboutonne ma braguette, laissant apparaître un sous-vêtement bleu clair. Je lorgne du côté de Florentin qui regarde tranquillement le film. J'ai de plus en plus envie de me toucher, je réalise que j'ai ma main à l'intérieur de mon slip, déjà franchement mouillé, et très doucement je me masturbe. Mon sexe est devenu très dur, mon liquide séminal facilite le va et vient, je suis bien, j'oublie un peu où je suis, je regarde en louchant du côté de Florentin dont le pantalon léger qu'il porte ne cache rien de sa propre érection mais je vois également qu'il jette des coups d'œil vers moi : il ne peut pas ne pas voir ce que je fais avec ma main, cela doit l'exciter car à un moment donné j'ai la nette impression qu'il caresse doucement sa verge. Je suis toujours plus excité, j'oublie presque sa présence et ma queue est devenu tellement forte que le prépuce sort au-dessus de l'élastique, un prépuce rouge, brillant de ma mouille et prêt à expulser ma semence de garçon. Florentin est lui aussi en forme, au point qu'il a ouvert sa braguette et que j'ai tout loisir de voir son slip rouge vif avec devant une tache plus foncée. Cette vision provoque un choc, je sens mon sperme qui quitte le réservoir séminal, qui s'engage dans les canaux puis dans ma verge et enfin explose dans mon slip, sur ma main et mon pantalon alors que je pousse des gémissements et je m'entends dire,