05-09-2020, 12:31 PM
(Modification du message : 10-09-2020, 01:34 PM par laurentdu51100.)
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2eme ANNÉE Pâques : (01/127) (Reims) (Chez les Viala)
« Une semaine plus tard, dimanche matin »
Je me réveille en m’étirant des quatre membres, le contact d’un autre corps près du mien me fait faire attention à mon geste pour ne pas réveiller Damien qui depuis une semaine partage mon lit en attendant que nous trouvions une solution d’hébergement pour Antonin qui a pris temporairement sa chambre.
C’était la meilleure solution pour qu’il ne se sente pas oppressé ni harcelé ou encore obligé à quoi que ce soit envers moi.
D’ailleurs « Dami » c’est de lui-même proposé à cette solution, trop content de partager notre chambre et ainsi de pouvoir resserrer encore plus les liens qui nous unissent, même si j’ai ma petite idée sur la deuxième raison plus « orbitale » celle-là qui l’a amené à déménager aussi vite.
Je me tourne vers lui en souriant, un autre coup d’œil rapide vers Guillaume qui dort toujours lui aussi et je pousse un petit soupir de satisfaction à les avoir retrouvés après une si longue absence.
Thomas est reparti en Australie jusqu’à la fin de la semaine, alors que Yuan passe la nuit chez sa copine et doit nous rejoindre dans l’après-midi avant de retourner sur Paris pour reprendre ses cours.
Je souris une nouvelle fois en me rendant compte que Thomas dort encore mais qu’il fait un rêve où il est allongé près de moi sur une plage exotique de sable fin en se faisant doré par le soleil.
Notre connexion est devenue maintenant tellement naturelle que bien souvent nous ne nous en rendant même plus compte, nous contentant d’un sourire quand l’un ou l’autre se trouve dans une situation cocasse comme la fois où il s’est fait ouvertement draguer par une femme couguar qui ne voulait manifestement pas comprendre qu’un si beau garçon ne soit pas intéressé par elle.
Le reste du temps, le simple fait de sentir notre présence nous suffit pour être heureux et évite ces moments pénibles que nous connaissions d’être si loin l’un de l’autre.
Nous avons découvert une particularité du lien qui nous unit tout à fait par hasard, un soir en semaine quand l’envie d’un câlin se faisait trop sentir et que nous étions prêts l’un comme l’autre à nous soulager à l’ancienne, comme le dit si bien Damien.
Nos esprits ont créé une pièce où nous nous sommes enlacés et avons fait l’amour, c’était si réel que nous avons joui dans un ensemble parfait et avons pu nous caresser à l’envi en retrouvant quasiment toutes les impressions d’une relation réelle.
Le seul imprévu ce jour-là a été quand nous nous sommes retrouvés plutôt mal à l’aise dans nos sous-vêtements gluants que nous avions tout simplement oublié d’ôter, ne nous doutant pas un instant que cela allait nous amener jusque-là.
De penser à ça me fait bander, l’envie du matin est trop forte pour que je songe une seconde à y résister et c’est tout naturellement que je repousse la couette vers Damien pour me retrouver à l’aise et que je commence à me caresser lentement d’abord pour faire monter la pression, puis de plus en plus rapidement au fur et à mesure que l’excitation ainsi que l’envie de jouir me prend.
La couette tombe hors du lit, le corps de Damien est lui aussi pris subitement de soubresauts qui me font comprendre que ma petite branlette matinale a fait des émules aussi je tourne ma tête vers lui en ouvrant les yeux pour constater que je ne me trompais pas et que lui aussi s’active sur son sexe bien dur.
Il ouvre les yeux à son tour et me sourit en continuant de plus bel, jusqu’à ce que comme la fois avec Aurélien, il se tourne vers moi pour m’asperger le pubis de son jus chaud qui déclenche aussi sec mon orgasme en m’inondant cette fois la poitrine sous son regard rieur et satisfait de notre complicité.
C’était à peu près certain que nos manipulations frénétiques feraient suffisamment de bruit pour réveiller l’autre habitant de la chambre qui nous regarde surpris de cet échange de bons procédés.
- On ne s’emmerde pas on dirait !! Vous auriez pu me réveiller quand même !! Bande de cochons !!
Il vire rapidement sa couette pour nous montrer son érection qui au contraire de nous, n’a pas encore reçu l’aide nécessaire pour qu’elle se calme.
- J’ai l’air de quoi maintenant ?
- (Damien) D’un autre cochon qui va se branler devant nous pardi !!
Guillaume sourit en se redressant sur les coudes et en observant son sexe tendu.
- Il y en a un qui se dévoue ?
Damien me regarde surpris.
- C’est l’hétéro qui vient de parler tu crois ?
- On dirait bien Hi ! Hi !
- Chiche on le prend au mot ?
2eme ANNÉE Pâques : (02/127) (Reims) (Chez les Viala) (suite)
Guillaume nous voit alors nous lever, son visage marque alors l’incrédulité la plus pure.
- Hé !! Je disais ça pour déconner !!
Un peu tard car nous sommes déjà sur lui, Damien à lui prendre les deux mains pendant que je m’allonge sur son frère en riant et surtout en étalant bien sur sa peau le sperme dont j’étais recouvert, recevant en retour des petits grognements offusqués de mon copain.
- Mais t’es dégueulasse !! J’en ai partout maintenant !! Bande de PD !!
- (Damien) C’est nous qu’il traite de PD ?
- On dirait bien, oui !!
- (Damien) On lui montre qui c’est le PD ?
- Chiche Hi ! Hi !
- (Guillaume) Hé !! C’est quoi l’embrouille ?
- (Damien) Vas-y « Flo » !! Je le tiens !!
Je regarde Guillaume pour m’assurer qu’il prend bien ça à la plaisanterie, ses joues enflammées et son regard faussement outragé me confortent que c’est bien le cas, aussi je m’assois sur ses genoux pour bien le bloquer à mon tour.
- Combien tu paries que tu ne tiens pas une minute ?
- (Guillaume) Dans tes rêves le rouquemoute Hi ! Hi ! Ce n’est certainement pas un mec qui va me faire cracher, sois en sûr !!
Damien vient s’asseoir sur le haut de sa poitrine pour lui bloquer les bras avec ses genoux, il ne se rend même pas compte qu’en faisant ça, il met quasiment son sexe devant les lèvres de son frère.
- Vas-y « Flo » !! Je tiens le pari !!
Malgré tout, force est de constater que le gaillard ne débande pas un instant et qu’au contraire il est même de plus en plus raide, sa queue faisant de légers battements d’avant en arrière sous l’excitation qui le tient en haleine.
Ça me fait tout drôle de lui attraper la hampe, c’est la première fois que j’ai un geste aussi intime avec lui, alors que jusque-là nous nous contentions de nous masturber l’un près de l’autre et que les seuls contacts que j’avais jusqu’à présent étaient ceux d’avec sa cuisse contre la mienne.
- (Guillaume) Déjà dix secondes, blaireaux !!
- Il m’en reste bien assez pour que tu arroses le cul de ton frère mon gars !!
Mon pouce vient recouvrir son gland en le frottant doucement, l’effet doit être suffisamment plaisant car il s’arrête aussitôt de gesticuler pour pousser un petit cri de gorge.
- Arhh !! Putainnnn !!!!
- (Damien) Il a l’air d’aimer ça en plus !! Et c’est nous qu’il traite de cochons ? J’y crois pas !!
Je presse de plus en plus fort en tournant légèrement pendant que mon autre main part à l’aventure et lui attrape les burnes qui remontent vite fait, preuve s’il en faut que mes caresses ne le laissent pas indifférent.
Je laisse mon pouce frotter doucement sur son gland décalotté pendant que le reste de ma main le masturbe avec de plus en plus de force et il ne me faut pas longtemps avant de comprendre qu’il arrive au point de non-retour, la couleur du gland devient cramoisie quand le premier jet s’échappe, vite suivi de plusieurs autres tout aussi puissant qui viennent atteindre les fesses de Damien visiblement étonné de la jouissance aussi rapide de son frère.
Il se penche en avant pour s’en assurer et regarde par-dessous son aisselle, ce geste amène son sexe à se poser sur la bouche de Guillaume qui crachote alors en tournant la tête.
- Pouah !! Vire ta queue de là si tu ne veux pas que je te la morde frangin !!
Damien ne se le fait pas dire deux fois et se lève d’un bond en mettant sa main à son cul pour constater qu’il y a bien reçu les giclées de Guillaume.
- Beurk !! C’est dégueu !!! Bon !! Je file sous la douche !!
Nous restons tous les deux Guillaume à nous regarder bizarrement, moi avec gêne maintenant que l’amusement est passé et lui avec une certaine honte mêlée encore du plaisir qu’il y a pris.
- (Guillaume) Je n’aurais jamais cru que ça me ferait un effet pareil !! Parole !!
- Tu ne m’en veux pas ?
- Bien sûr que non !! Je n’avais qu’à pas commencer !! Quand Léa va savoir ça, je n’ai pas fini de me faire charrier crois-moi Hi ! Hi ! Il n’y a pas à dire, tu es doué !! J’ai pris mon pied comme jamais !!
- Hé !! Tu ne vas pas virer homo ?
- Pas de risques t’inquiète !! Juste que je ne mourrai pas sans savoir ce que ça fait Hi ! Hi !
2eme ANNÉE Pâques : (03/127) (Reims) (Chez les Viala) (suite)
« Dans la chambre de Damien »
Les exclamations, les rires et le claquement de la porte de la chambre voisine quand Damien file à la douche, réveillent Antonin qui s’ébroue, toujours autant surpris de se retrouver dans un vrai lit.
La semaine qui vient de s’écouler a été pour lui comme un conte de fées, la découverte d’une quantité invraisemblable pour lui d’amis de Florian lui tourne encore la tête et il doit bien s’avouer qu’il n’en a pas retenu la moitié des noms, mise à part bien sûr la fratrie Viala avec qui il a tout de suite sympathisé.
L’accueil qu’ils lui ont fait n’a d’égal que la gentillesse de Florian depuis toute cette semaine auquel il se remémore les points essentiels pour sa nouvelle vie.
***/***
« Lundi »
Témoignage au bureau de la DST et demande de papiers d’identité, avec toutes les autorisations nécessaires pour qu’il puisse vivre sans soucis en France le temps qu’il le voudra.
« Mardi »
Rencontre avec la famille Viala ainsi qu’avec tous les amis de Florian vivant à Reims.
« Mercredi, jeudi et vendredi »
Explications de son futur travail et installation dans un bureau provisoire au secrétariat du CHU, où toutes les communications pour le docteur De Bierne transiteront à partir de la semaine suivante.
Antonin est resté avec la secrétaire d’André qui a passé les trois jours pour lui expliquer son tout nouveau travail ou du moins la partie médicale et administrative pendant les jours de présence de Florian à l’hôpital.
« Samedi »
Laboratoires Bohringer où comme pour le CHU, Antonin s’est vu attribuer un bureau près de celui que Florian s’est vu également mettre à disposition après une présentation au personnel qui marque encore Antonin par cette étrange atmosphère de respect et d’adulation qu’il a ressenti tout au long de cette journée.
***/***
Ça, c’était la journée, car les soirées ont été tout aussi remplies et Antonin s’est émerveillé de cette ambiance familiale si particulière chez les Viala où tous ont le même droit à s’exprimer et ne s’en privent pas, traitant de tous les sujets sans tabou ni faux semblant avec une sincérité désarmante pour qui comme lui y assiste pour la première fois.
Le vendredi soir est celui qu’il a le plus apprécié, y découvrant encore de nouveaux amis mais surtout s’émerveillant de cette musique tout autant que de la voix d’Anthony, le garçon aveugle qui a réussi l’exploit de lui amener les larmes aux yeux pendant toute la durée du concert.
Un petit ricanement amusé quand Antonin visualise mentalement Florian à la guitare, décidément son ami le surprendra toujours autant et cette soirée restera longtemps dans sa pensée.
Antonin décide de se lever pour satisfaire un besoin pressant qu’il retenait depuis un moment, voulant profiter le plus possible du confort douillet de ce lit ainsi que de cette chambre qui lui a été si gentiment mise à sa disposition.
Il tombe nez à nez avec Damien qui sort nu de sous la douche.
- (Antonin) Excuse-moi !! Je croyais qu’il n’y avait plus personne et la porte n’était pas fermée.
- (Damien) Tu sais ici nous ne sommes pas vraiment pudique et ça t’arrivera encore, alors tu ferais mieux de t’y faire.
La vue de Damien nu lui parlant comme si de rien n’était trouble plus que de raison Antonin qui se dit que ça aurait aussi bien pu être Florian et qu’il se serait encore une fois débrouillé pour ne rien laisser paraître alors qu’il ne souhaite qu’une chose, retrouver la même intimité avec lui que lors de leur première rencontre sous la douche où des choses ont été dites ce jour-là qu’il ressasse en boucle depuis.
- (Damien) Ça va ?
2eme ANNÉE Pâques : (04/127) (Reims) (Chez les Viala) (suite)
- Hein !! Heu !! Oui, pourquoi ?
- J’en sais rien en fait !! Je te trouve bizarre à me regarder sans me voir, perdu comme tu sembles l’être dans tes pensées. Si quelque chose ne va pas, tu peux nous en parler tu sais ?
- Non !! Tout va bien, merci !! Juste que je n’en reviens toujours pas de tout ce qu’il m’arrive.
- Et c’est de me reluquer la queue qui te fait penser à ton ancienne condition ?
- Bien sûr que non !! Ça n’a rien à voir !!
- Peut-être que tu en voyais une autre et que tu n’oses pas franchir le pas ? C’est si difficile pour toi de t’avouer que quelqu’un te plaît suffisamment pour avoir envie de le serrer dans tes bras ?
Antonin baisse les yeux en rougissant violemment, il ne pensait pas être aussi lisible pour les autres.
- Tu ne comprendrais pas de toute façon !
- Est-ce que tu me considères comme un ami ?
Antonin relève les yeux pour fixer Damien avec franchise.
- Bien sûr pourquoi cette question ?
- Parce qu’à un ami on peut tout dire.
- Mais !! Il n’y a rien à dire Damien, tout simplement !
- A d’autres !! Et puis arrête de te tortiller comme ça, va pisser si tu as envie !!
Damien voit la gêne sur le visage d’Antonin.
- Je vais me raser si ça ne te dérange pas, comme ça, je te tournerai le dos et tu pourras le faire tranquillement.
Il joint l’acte à la parole et ne fait plus cas d’Antonin qui après une longue hésitation, soupire un grand coup mais ne résiste plus à l’envie qui lui monte à la gorge.
Il descend le devant de son pantalon de pyjama une fois devant la lunette des toilettes et commence à se soulager en jetant néanmoins un regard inquiet vers son ami de peur qu’il se retourne.
Damien n’en a bien sûr pas la moindre intention et commence comme il le lui a dit à se raser le visage, seulement aucun des deux n’a pensé qu’une autre personne pourrait avoir la même envie et comme la porte n’est toujours pas fermée à clé, ce qui devait arriver arriva, celle-ci s’ouvrant une nouvelle fois pour laisser apparaître un petit rouquin qui d’abord étonner de les voir à deux dans la salle de bain alors qu’il croyait n’y voir que Damien, il ôte son slip sans aucune pudeur pour filer sous la douche se nettoyer des affres de leur réveil mouvementé.
Antonin se fait tout petit en essayant vaille que vaille de terminer ce qu’il était en train de faire malgré la honte qui le reprend une nouvelle fois à être découvert dans un moment pour lui aussi intime.
Malgré tout, il ne peut s’empêcher de tourner la tête vers le petit rouquin qui s’ébroue sous l’eau chaude de toute évidence ravi de s’y trouver et bien sûr ce qui devait ne surtout pas arriver ne manqua pas de le faire, Antonin sentant son sexe gonflé dans sa main pour bientôt se dresser fièrement à sa plus grande honte mais surtout sous l’œil amusé de Damien qui a pu observer tout ça depuis le miroir du lavabo.
Il passe son visage sous l’eau pour l’essuyer ensuite avec une serviette et s’apprête à les laisser seul, non sans lui glisser quelques mots au creux de l’oreille pour qu’Antonin seul l’entende.
- Elle se pose beaucoup moins de questions que toi on dirait Hi ! Hi ! Jette-toi à l’eau mon pote, ou plutôt va le rejoindre sous la douche ce qui reviendra au même Hi ! Hi !
Damien va pour sortir, il se reprend en rajoutant d’un air grivois.
- N’oublie pas de refermer derrière moi cette fois Hi ! Hi ! Manquerait plus que ce soit un des parents qui se pointe !!
Antonin remet tant bien que mal son sexe dans son pantalon qui de fait montre un joli chapiteau qui est encore plus explicite sur son état d’excitation avancée, il plaque une main dessus pour camoufler du mieux possible son érection et s’apprête à suivre le conseil éclairé de Damien, sauf qu’il reste hésitant en se tournant une fois de plus vers Florian qui lui tourne toujours le dos dévoilant ainsi ses petites fesses d’un blanc laiteux des plus attirantes et après un long soupir de regret Antonin préfère sortir à son tour, n’osant pas aller le rejoindre malgré les fortes pulsions qui l’y pousse.
2eme ANNÉE Pâques : (01/127) (Reims) (Chez les Viala)
« Une semaine plus tard, dimanche matin »
Je me réveille en m’étirant des quatre membres, le contact d’un autre corps près du mien me fait faire attention à mon geste pour ne pas réveiller Damien qui depuis une semaine partage mon lit en attendant que nous trouvions une solution d’hébergement pour Antonin qui a pris temporairement sa chambre.
C’était la meilleure solution pour qu’il ne se sente pas oppressé ni harcelé ou encore obligé à quoi que ce soit envers moi.
D’ailleurs « Dami » c’est de lui-même proposé à cette solution, trop content de partager notre chambre et ainsi de pouvoir resserrer encore plus les liens qui nous unissent, même si j’ai ma petite idée sur la deuxième raison plus « orbitale » celle-là qui l’a amené à déménager aussi vite.
Je me tourne vers lui en souriant, un autre coup d’œil rapide vers Guillaume qui dort toujours lui aussi et je pousse un petit soupir de satisfaction à les avoir retrouvés après une si longue absence.
Thomas est reparti en Australie jusqu’à la fin de la semaine, alors que Yuan passe la nuit chez sa copine et doit nous rejoindre dans l’après-midi avant de retourner sur Paris pour reprendre ses cours.
Je souris une nouvelle fois en me rendant compte que Thomas dort encore mais qu’il fait un rêve où il est allongé près de moi sur une plage exotique de sable fin en se faisant doré par le soleil.
Notre connexion est devenue maintenant tellement naturelle que bien souvent nous ne nous en rendant même plus compte, nous contentant d’un sourire quand l’un ou l’autre se trouve dans une situation cocasse comme la fois où il s’est fait ouvertement draguer par une femme couguar qui ne voulait manifestement pas comprendre qu’un si beau garçon ne soit pas intéressé par elle.
Le reste du temps, le simple fait de sentir notre présence nous suffit pour être heureux et évite ces moments pénibles que nous connaissions d’être si loin l’un de l’autre.
Nous avons découvert une particularité du lien qui nous unit tout à fait par hasard, un soir en semaine quand l’envie d’un câlin se faisait trop sentir et que nous étions prêts l’un comme l’autre à nous soulager à l’ancienne, comme le dit si bien Damien.
Nos esprits ont créé une pièce où nous nous sommes enlacés et avons fait l’amour, c’était si réel que nous avons joui dans un ensemble parfait et avons pu nous caresser à l’envi en retrouvant quasiment toutes les impressions d’une relation réelle.
Le seul imprévu ce jour-là a été quand nous nous sommes retrouvés plutôt mal à l’aise dans nos sous-vêtements gluants que nous avions tout simplement oublié d’ôter, ne nous doutant pas un instant que cela allait nous amener jusque-là.
De penser à ça me fait bander, l’envie du matin est trop forte pour que je songe une seconde à y résister et c’est tout naturellement que je repousse la couette vers Damien pour me retrouver à l’aise et que je commence à me caresser lentement d’abord pour faire monter la pression, puis de plus en plus rapidement au fur et à mesure que l’excitation ainsi que l’envie de jouir me prend.
La couette tombe hors du lit, le corps de Damien est lui aussi pris subitement de soubresauts qui me font comprendre que ma petite branlette matinale a fait des émules aussi je tourne ma tête vers lui en ouvrant les yeux pour constater que je ne me trompais pas et que lui aussi s’active sur son sexe bien dur.
Il ouvre les yeux à son tour et me sourit en continuant de plus bel, jusqu’à ce que comme la fois avec Aurélien, il se tourne vers moi pour m’asperger le pubis de son jus chaud qui déclenche aussi sec mon orgasme en m’inondant cette fois la poitrine sous son regard rieur et satisfait de notre complicité.
C’était à peu près certain que nos manipulations frénétiques feraient suffisamment de bruit pour réveiller l’autre habitant de la chambre qui nous regarde surpris de cet échange de bons procédés.
- On ne s’emmerde pas on dirait !! Vous auriez pu me réveiller quand même !! Bande de cochons !!
Il vire rapidement sa couette pour nous montrer son érection qui au contraire de nous, n’a pas encore reçu l’aide nécessaire pour qu’elle se calme.
- J’ai l’air de quoi maintenant ?
- (Damien) D’un autre cochon qui va se branler devant nous pardi !!
Guillaume sourit en se redressant sur les coudes et en observant son sexe tendu.
- Il y en a un qui se dévoue ?
Damien me regarde surpris.
- C’est l’hétéro qui vient de parler tu crois ?
- On dirait bien Hi ! Hi !
- Chiche on le prend au mot ?
2eme ANNÉE Pâques : (02/127) (Reims) (Chez les Viala) (suite)
Guillaume nous voit alors nous lever, son visage marque alors l’incrédulité la plus pure.
- Hé !! Je disais ça pour déconner !!
Un peu tard car nous sommes déjà sur lui, Damien à lui prendre les deux mains pendant que je m’allonge sur son frère en riant et surtout en étalant bien sur sa peau le sperme dont j’étais recouvert, recevant en retour des petits grognements offusqués de mon copain.
- Mais t’es dégueulasse !! J’en ai partout maintenant !! Bande de PD !!
- (Damien) C’est nous qu’il traite de PD ?
- On dirait bien, oui !!
- (Damien) On lui montre qui c’est le PD ?
- Chiche Hi ! Hi !
- (Guillaume) Hé !! C’est quoi l’embrouille ?
- (Damien) Vas-y « Flo » !! Je le tiens !!
Je regarde Guillaume pour m’assurer qu’il prend bien ça à la plaisanterie, ses joues enflammées et son regard faussement outragé me confortent que c’est bien le cas, aussi je m’assois sur ses genoux pour bien le bloquer à mon tour.
- Combien tu paries que tu ne tiens pas une minute ?
- (Guillaume) Dans tes rêves le rouquemoute Hi ! Hi ! Ce n’est certainement pas un mec qui va me faire cracher, sois en sûr !!
Damien vient s’asseoir sur le haut de sa poitrine pour lui bloquer les bras avec ses genoux, il ne se rend même pas compte qu’en faisant ça, il met quasiment son sexe devant les lèvres de son frère.
- Vas-y « Flo » !! Je tiens le pari !!
Malgré tout, force est de constater que le gaillard ne débande pas un instant et qu’au contraire il est même de plus en plus raide, sa queue faisant de légers battements d’avant en arrière sous l’excitation qui le tient en haleine.
Ça me fait tout drôle de lui attraper la hampe, c’est la première fois que j’ai un geste aussi intime avec lui, alors que jusque-là nous nous contentions de nous masturber l’un près de l’autre et que les seuls contacts que j’avais jusqu’à présent étaient ceux d’avec sa cuisse contre la mienne.
- (Guillaume) Déjà dix secondes, blaireaux !!
- Il m’en reste bien assez pour que tu arroses le cul de ton frère mon gars !!
Mon pouce vient recouvrir son gland en le frottant doucement, l’effet doit être suffisamment plaisant car il s’arrête aussitôt de gesticuler pour pousser un petit cri de gorge.
- Arhh !! Putainnnn !!!!
- (Damien) Il a l’air d’aimer ça en plus !! Et c’est nous qu’il traite de cochons ? J’y crois pas !!
Je presse de plus en plus fort en tournant légèrement pendant que mon autre main part à l’aventure et lui attrape les burnes qui remontent vite fait, preuve s’il en faut que mes caresses ne le laissent pas indifférent.
Je laisse mon pouce frotter doucement sur son gland décalotté pendant que le reste de ma main le masturbe avec de plus en plus de force et il ne me faut pas longtemps avant de comprendre qu’il arrive au point de non-retour, la couleur du gland devient cramoisie quand le premier jet s’échappe, vite suivi de plusieurs autres tout aussi puissant qui viennent atteindre les fesses de Damien visiblement étonné de la jouissance aussi rapide de son frère.
Il se penche en avant pour s’en assurer et regarde par-dessous son aisselle, ce geste amène son sexe à se poser sur la bouche de Guillaume qui crachote alors en tournant la tête.
- Pouah !! Vire ta queue de là si tu ne veux pas que je te la morde frangin !!
Damien ne se le fait pas dire deux fois et se lève d’un bond en mettant sa main à son cul pour constater qu’il y a bien reçu les giclées de Guillaume.
- Beurk !! C’est dégueu !!! Bon !! Je file sous la douche !!
Nous restons tous les deux Guillaume à nous regarder bizarrement, moi avec gêne maintenant que l’amusement est passé et lui avec une certaine honte mêlée encore du plaisir qu’il y a pris.
- (Guillaume) Je n’aurais jamais cru que ça me ferait un effet pareil !! Parole !!
- Tu ne m’en veux pas ?
- Bien sûr que non !! Je n’avais qu’à pas commencer !! Quand Léa va savoir ça, je n’ai pas fini de me faire charrier crois-moi Hi ! Hi ! Il n’y a pas à dire, tu es doué !! J’ai pris mon pied comme jamais !!
- Hé !! Tu ne vas pas virer homo ?
- Pas de risques t’inquiète !! Juste que je ne mourrai pas sans savoir ce que ça fait Hi ! Hi !
2eme ANNÉE Pâques : (03/127) (Reims) (Chez les Viala) (suite)
« Dans la chambre de Damien »
Les exclamations, les rires et le claquement de la porte de la chambre voisine quand Damien file à la douche, réveillent Antonin qui s’ébroue, toujours autant surpris de se retrouver dans un vrai lit.
La semaine qui vient de s’écouler a été pour lui comme un conte de fées, la découverte d’une quantité invraisemblable pour lui d’amis de Florian lui tourne encore la tête et il doit bien s’avouer qu’il n’en a pas retenu la moitié des noms, mise à part bien sûr la fratrie Viala avec qui il a tout de suite sympathisé.
L’accueil qu’ils lui ont fait n’a d’égal que la gentillesse de Florian depuis toute cette semaine auquel il se remémore les points essentiels pour sa nouvelle vie.
***/***
« Lundi »
Témoignage au bureau de la DST et demande de papiers d’identité, avec toutes les autorisations nécessaires pour qu’il puisse vivre sans soucis en France le temps qu’il le voudra.
« Mardi »
Rencontre avec la famille Viala ainsi qu’avec tous les amis de Florian vivant à Reims.
« Mercredi, jeudi et vendredi »
Explications de son futur travail et installation dans un bureau provisoire au secrétariat du CHU, où toutes les communications pour le docteur De Bierne transiteront à partir de la semaine suivante.
Antonin est resté avec la secrétaire d’André qui a passé les trois jours pour lui expliquer son tout nouveau travail ou du moins la partie médicale et administrative pendant les jours de présence de Florian à l’hôpital.
« Samedi »
Laboratoires Bohringer où comme pour le CHU, Antonin s’est vu attribuer un bureau près de celui que Florian s’est vu également mettre à disposition après une présentation au personnel qui marque encore Antonin par cette étrange atmosphère de respect et d’adulation qu’il a ressenti tout au long de cette journée.
***/***
Ça, c’était la journée, car les soirées ont été tout aussi remplies et Antonin s’est émerveillé de cette ambiance familiale si particulière chez les Viala où tous ont le même droit à s’exprimer et ne s’en privent pas, traitant de tous les sujets sans tabou ni faux semblant avec une sincérité désarmante pour qui comme lui y assiste pour la première fois.
Le vendredi soir est celui qu’il a le plus apprécié, y découvrant encore de nouveaux amis mais surtout s’émerveillant de cette musique tout autant que de la voix d’Anthony, le garçon aveugle qui a réussi l’exploit de lui amener les larmes aux yeux pendant toute la durée du concert.
Un petit ricanement amusé quand Antonin visualise mentalement Florian à la guitare, décidément son ami le surprendra toujours autant et cette soirée restera longtemps dans sa pensée.
Antonin décide de se lever pour satisfaire un besoin pressant qu’il retenait depuis un moment, voulant profiter le plus possible du confort douillet de ce lit ainsi que de cette chambre qui lui a été si gentiment mise à sa disposition.
Il tombe nez à nez avec Damien qui sort nu de sous la douche.
- (Antonin) Excuse-moi !! Je croyais qu’il n’y avait plus personne et la porte n’était pas fermée.
- (Damien) Tu sais ici nous ne sommes pas vraiment pudique et ça t’arrivera encore, alors tu ferais mieux de t’y faire.
La vue de Damien nu lui parlant comme si de rien n’était trouble plus que de raison Antonin qui se dit que ça aurait aussi bien pu être Florian et qu’il se serait encore une fois débrouillé pour ne rien laisser paraître alors qu’il ne souhaite qu’une chose, retrouver la même intimité avec lui que lors de leur première rencontre sous la douche où des choses ont été dites ce jour-là qu’il ressasse en boucle depuis.
- (Damien) Ça va ?
2eme ANNÉE Pâques : (04/127) (Reims) (Chez les Viala) (suite)
- Hein !! Heu !! Oui, pourquoi ?
- J’en sais rien en fait !! Je te trouve bizarre à me regarder sans me voir, perdu comme tu sembles l’être dans tes pensées. Si quelque chose ne va pas, tu peux nous en parler tu sais ?
- Non !! Tout va bien, merci !! Juste que je n’en reviens toujours pas de tout ce qu’il m’arrive.
- Et c’est de me reluquer la queue qui te fait penser à ton ancienne condition ?
- Bien sûr que non !! Ça n’a rien à voir !!
- Peut-être que tu en voyais une autre et que tu n’oses pas franchir le pas ? C’est si difficile pour toi de t’avouer que quelqu’un te plaît suffisamment pour avoir envie de le serrer dans tes bras ?
Antonin baisse les yeux en rougissant violemment, il ne pensait pas être aussi lisible pour les autres.
- Tu ne comprendrais pas de toute façon !
- Est-ce que tu me considères comme un ami ?
Antonin relève les yeux pour fixer Damien avec franchise.
- Bien sûr pourquoi cette question ?
- Parce qu’à un ami on peut tout dire.
- Mais !! Il n’y a rien à dire Damien, tout simplement !
- A d’autres !! Et puis arrête de te tortiller comme ça, va pisser si tu as envie !!
Damien voit la gêne sur le visage d’Antonin.
- Je vais me raser si ça ne te dérange pas, comme ça, je te tournerai le dos et tu pourras le faire tranquillement.
Il joint l’acte à la parole et ne fait plus cas d’Antonin qui après une longue hésitation, soupire un grand coup mais ne résiste plus à l’envie qui lui monte à la gorge.
Il descend le devant de son pantalon de pyjama une fois devant la lunette des toilettes et commence à se soulager en jetant néanmoins un regard inquiet vers son ami de peur qu’il se retourne.
Damien n’en a bien sûr pas la moindre intention et commence comme il le lui a dit à se raser le visage, seulement aucun des deux n’a pensé qu’une autre personne pourrait avoir la même envie et comme la porte n’est toujours pas fermée à clé, ce qui devait arriver arriva, celle-ci s’ouvrant une nouvelle fois pour laisser apparaître un petit rouquin qui d’abord étonner de les voir à deux dans la salle de bain alors qu’il croyait n’y voir que Damien, il ôte son slip sans aucune pudeur pour filer sous la douche se nettoyer des affres de leur réveil mouvementé.
Antonin se fait tout petit en essayant vaille que vaille de terminer ce qu’il était en train de faire malgré la honte qui le reprend une nouvelle fois à être découvert dans un moment pour lui aussi intime.
Malgré tout, il ne peut s’empêcher de tourner la tête vers le petit rouquin qui s’ébroue sous l’eau chaude de toute évidence ravi de s’y trouver et bien sûr ce qui devait ne surtout pas arriver ne manqua pas de le faire, Antonin sentant son sexe gonflé dans sa main pour bientôt se dresser fièrement à sa plus grande honte mais surtout sous l’œil amusé de Damien qui a pu observer tout ça depuis le miroir du lavabo.
Il passe son visage sous l’eau pour l’essuyer ensuite avec une serviette et s’apprête à les laisser seul, non sans lui glisser quelques mots au creux de l’oreille pour qu’Antonin seul l’entende.
- Elle se pose beaucoup moins de questions que toi on dirait Hi ! Hi ! Jette-toi à l’eau mon pote, ou plutôt va le rejoindre sous la douche ce qui reviendra au même Hi ! Hi !
Damien va pour sortir, il se reprend en rajoutant d’un air grivois.
- N’oublie pas de refermer derrière moi cette fois Hi ! Hi ! Manquerait plus que ce soit un des parents qui se pointe !!
Antonin remet tant bien que mal son sexe dans son pantalon qui de fait montre un joli chapiteau qui est encore plus explicite sur son état d’excitation avancée, il plaque une main dessus pour camoufler du mieux possible son érection et s’apprête à suivre le conseil éclairé de Damien, sauf qu’il reste hésitant en se tournant une fois de plus vers Florian qui lui tourne toujours le dos dévoilant ainsi ses petites fesses d’un blanc laiteux des plus attirantes et après un long soupir de regret Antonin préfère sortir à son tour, n’osant pas aller le rejoindre malgré les fortes pulsions qui l’y pousse.
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