09-09-2024, 08:20 PM
Doc Matt 1 : Almir le bosniaque
[1] Bonjour
[2] Quel est ton nom ?
[3] Almir. Enlève-le.
[4] Couches-toi.
[5] Respire.
[6] Se coucher.
[7] Lève-toi.
[8] Enlève-le.
[9] Non !
[10] Oui! Visite médicale! Obligatoire! Si tu refuses, maman Tul appelle la police! Vous, la famille, expulser.
[11] Tousse.
[12] Encore !
[13] Tourne-toi !
[14] Détends-toi.
[15] Visite médicale ! Obligé !
[16] Détends-toi.
[17] Détends-toi, respire.
[18] Non, non, arrête-ça !
[19] S'il vous plaît, arrêtez! Enlevez-le !
[20] Couché !
[21] Avale-moi !
[22] Félicitations.
[23] À bientôt.
La vie n’est parfois pas ce qu’elle aurait dû être…
Je suis médecin… ou tout du moins j’aurais dû l’être si j’avais réussi le concours de médecine. Faute de quoi, je suis devenu infirmier, mais il n’est pas rare que je rende quelques services…
On me surnomme « Doc Matt, le médecin des pauvres », un surnom que je tiens de mon prénom Mathéo et du fait que je propose des consultations pas chères à tous les défavorisés que je peux faire bénéficier de mon savoir et surtout… je ne pose pas de questions.
Je n’ai pas vraiment de cabinet, je me déplace discrètement chez mes patients, habitués ou non ; et de temps en temps, j’ai de belles surprises comme ce soir.
Vingt heures, je sors de la salle de sport dans laquelle je me rends cinq fois par semaine. Je m’entretiens et plutôt bien. Conserver musclé mon mètre quatre-vingt-dix demande beaucoup d’efforts et de fonte. Mais tous ces efforts payent, personne n’ose me faire chier et je peux baiser à peu près tout ce que je veux.
Je monte dans ma voiture un vieille Clio II qui a connu de meilleurs jours mais que je ne risque pas de me faire voler quand je me rends en consult dans les quartiers chauds. J’abaisse le pare-soleil et vérifie l’état de ma coiffure, passe une main sur ma barbe de trois jours impeccablement taillée et vérifie mon sourire extra blanc.
''Parfait. Comme toujours. ''
Ce soir je vais m’éclater ; ou plutôt je vais éclater le mignon petit couple que je baisse une fois par semaine depuis quelques mois déjà. Je ne m’en lasse pas, ce qui est rare chez moi.
****
J’avais levé la fille, un soir, alors que je rentrais chez moi à moto après une consult. En panne, elle essayait désespérément de changer sa roue avant, dans son tailleur strict et ses talons hauts. Il faisait très chaud, la route était déserte et la nuit presque tombée, bon prince je m’étais arrêté.
D’abord nerveuse en me voyant m’approcher sur ma moto, elle s’était détendu lorsque j’avais ôté mon casque, lui décochant mon plus beau sourire, celui qui fait toujours son effet.
Changer son pneu ne m’avais pris que quelques minutes et en me relevant, je lui avais demandé si elle n’avait pas quelque chose à boire. Navrée de ne rien avoir à me m’offrir, elle m’avait proposé de passer chez elle. Elle habitait à côté avec son mari, à peine à cinq minutes.
''Et voilà, elle est ferrée…''
Souriant intérieurement j’avais accepté si, bien sûr, cela ne les dérangeait pas, ni elle, ni son mari. Bien évidemment, je ne les dérangeais pas, s’était-elle empressée de me dire et que son mari rentrait tard.
Tant de naïveté… s’en était déconcertant…
Je l’avais suivi jusque chez elle et tandis qu’elle me servait un verre d’eau, je m’étais collé contre son dos, plaquant mon corps contre le sien, la bloquant entre le comptoir et moi. Elle était beaucoup plus petite que moi et sa tête reposait contre mon torse. J’avais plaqué mes mains contre sa petite poitrine et elle avait poussé un cri avant de lâcher le verre.
''Classique…''
Puis tout était allé très vite et elle avait fini nue, à quatre pattes sur un grand canapé d’angle, tandis que je la prenais vigoureusement en levrette, mes mains fermement serrées autour de ses hanches. Elle ahanait comme une possédée tandis que je la ramonais sans pitié, si bien que je n’avais pas entendu la porte d’entrée s’ouvrir. En revanche j’avais sans difficulté perçu l’exclamation de surprise du mari qui venait de rentrer, un beau petit blond bien ferme, vêtu d’un costume sombre. Les yeux écarquillés, il nous avait regardé bouche bée. Sa femme avait essayé de se relever mais je l’avais repoussé d’une main ferme, la bourrant que quelques coups supplémentaires, rivant mon regard à celui de son mari, un sourire arrogant aux lèvres. Le message était clair :
''Tu vois, c’est comme ça qu’elle aime être baisée…''
Je pouvais lire en lui comme en sa femme. Il avait hésité entre se jeter sur moi ou s’enfuir. Mais je ne lui avais pas laissé le temps de murir sa réflexion. Délaissant sa femme, je m’étais approché de lui à grand enjambées, les vingt centimètres de ma queue fièrement dressés, puis je l’avais saisi par la nuque et plaqué ma bouche contre la sienne.
''C’était un soumis, je m’en étais rendu compte au premier regard…''
Il n’avait d’abord pas réagi puis, se rendant compte de ce qu’il me laissait faire, il avait essayé de m’échapper. J’avais resserré ma poigne sur sa nuque puis l’avais obligé à s’agenouiller. Il avait voulu crier, mais j’en avais profité pour lui enfiler mon érection jusqu’à la garde, me calant bien au fond de sa gorge douce et accueillante. Il s’était instantanément calmé tandis que j’avais de nouveau rivé mon regard au sien, rempli de larmes.
Me rappeler cette nuit-là me foutait la trique, à chaque fois. Je lui avais baisé la bouche puis je l’avais mis nu en quelques secondes et je m’étais occupé de son cul vierge. Je l’avais fait gueuler puis chougner et enfin gémir. Puis j’avais de nouveau baisé sa femme, et encore lui, alternant entre les deux une bonne partie de la nuit. J’avais dormi dans leur lit, entre eux deux et les avais de nouveau baisés le matin avant de me barrer.
Une semaine plus tard j’étais revenu. En me voyant j’avais presque pu les voir mouiller tous les deux tant ils étaient excités. Et de nouveau, je les avais baisés sans pitié, comme toutes les semaines depuis lors.
****
''Et ce soir je vais…''
Glissant la clé dans le neiman, je démarre ma vielle Clio et m’apprête à démarrer lorsque mon portable sonne. Un soupir m’échappe en voyant le nom, celui d’une de mes plus fidèles cliente, une vieille bosniaque immigrée clandestine qui me sert souvent d’intermédiaire en me rabattant de nouveaux clients moyennant une petite commission. J’hésite encore un instant en pensant à mon beau petit couple puis je décroche.
— Oui, quoi de neuf Mama Tùl ? un surnom dont j’ignore l’origine.
— Clients pour vous, petite fille malade et papa visite médicale.
Elle avait un fort accent slave et ne s’encombrait jamais de détail. Elle accueillait plutôt qu’elle ne recueillait des immigrés de toutes origine, bien qu’elle préfère ceux de son pays. Elle les hébergeait contre rétribution mais exigeait que tous les hommes passent une visite médicale avant de les loger. Pourquoi que les hommes ? Encore un mystère…
Deux patients, cela pouvait valoir le coup s’ils avaient les moyens de payer. Je devais m’en assurer avant toute autre chose.
— Ils payent ?
— Oui eux encore argent, eux peuvent payer toi et moi.
Elle ne perdait pas le nord, la vieille. Mais bon à cinquante euros la consult, ça valait le coup, mon petit couple allait devoir attendre. J’enverrai un message à Julien, le mari, pour qu’il se plug en attendant, ça l’assouplirait.
— Ok Mama Tùl. Je serai là dans quinze minutes. Prépare le père pour la visite médicale. Douche complète, brossage de dent et lavement à la poire.
Je déteste les patients crasseux, il faut parfois s’assurer d’un minimum d’hygiène.
— Papa sera prêt, moi lui expliquer.
Je raccroche et démarre en trombe direction les quartiers chauds de la ville. J’y suis en dix minutes. Je sors de ma caisse et repère un groupe de zonard.
— Toi, j’appelle un des garçons. Viens-là !
Je le connaissais pour avoir soigné sa mère. Il n’avait pas de quoi payer alors je l’avais sauté dans un coin. Un bon petit hétéro au cul vierge mais souple, tout juste majeur.
Il s’approche, les yeux baissés. Je le savais dompté.
— Quoi ?, me répond t-il doucement.
— Tu surveilles ma caisse. Si elle a la moindre égratignure supplémentaire, ça sera de ta faute et c’est ton cul qui prendra, c’est clair !
— Oui, monsieur.
Il a les yeux toujours baissés. Je pense que je l’ai bien dressé, faudra que je revienne pour m’occuper de lui un de ces jours. Mais pas ce soir, je n’ai pas le temps.
Je fais le tour de ma voiture et sors ma trousse de médecin du coffre, puis j’entre dans l’immeuble délabré tenu par la vieille femme.
— Zdravo[1] Doc, me salut Mama Tùl. Chambre Tuzla. Eux t’attendent. Mais parle pas français, que bosniaque.
La vieille avait nommé toutes ses chambres par des noms de villes de son pays natal. Un peu curieux mais chacun son trip.
La chambre Tuzla est au rez-de-chaussée. Elle me la réserve pour mes consults et j’y ai installé un peu de matériel récupéré dans l’hôpital où je travaille.
— Ok Mama, comme d’habitude.
La vieille me sourit, de son sourire édenté. Je lui fais un clin d’œil et me dirige vers la chambre Tuzla.
Quand j’entre je vois d’abord une femme sur le vieux canapé qui occupe l’angle de la pièce. La chambre n’est pas grande, mais propre avec du vieux parquet au sol et des lambris sur les murs. Au centre j’ai installé une grande table de bois sur laquelle j’ai fixé des sangles et des attaches pour y mettre des étriers et, contre le mur, un grand plan de travail pourvu d’un évier surmonté des placards dans lesquels je rangeais mon matériel. La femme tient dans ses bras une fillette et la berce tendrement. Puis un homme sort de la petite salle de douche attenante. Un vrai colosse. Le papa, je suppose. Plus grand que moi et tout en muscle. Il a revêtu un pyjama bleu jetable récupéré à l’hôpital. Ils sont toujours beaucoup trop grands mais sur lui le vêtement parait très ajusté. Il porte ses cheveux châtains très courts et une barbe de trois jours à peine. Je l’examine de la tête aux pieds, et m’attarde sur son entre-jambe plus que prometteur. Mon instinct de dresseur se réveille, je le sens. La visite médicale promettait d’être intéressante, j’en salivais d’avance.
L’examen de la fillette ne me prend guerre de temps. Après une osculation rapide, tout en essayant d’obtenir des informations de sa mère, je diagnostique une angine. Avec le temps, j’avais appris à me débrouiller pour communiquer et, grâce à Mama Tùl, j’avais acquis quelques notions de bosniaque bien utiles. Je leur fais comprendre qu’il faut des antibiotiques mais qu’il en en coutera vingt euros de plus. La femme semble inquiète et rassurée à la fois, regardant son mari. Probablement à cause de l’argent. L’homme acquiesce d’un bref mouvement de tête et sort des billets d’un petit sac de voyage. Il les compte et me les remets presque tous. Je les prends et vérifie la somme. Le compte est bon, cent vingt euros. Une bonne soirée. Je remets les antibiotiques à la mère en lui expliquant la posologie puis leur explique qu’elles doivent sortir pour que je puisse m’occuper de la visite médicale.
Pendant presque tout le temps de la consultation, l’homme était resté debout derrière moi, immobile, ses bras épais et poilu croisés sur son torse musculeux. Une position qui aurait pu le rendre menaçant aux yeux de plus faibles que moi. En ce qui me concerne, cela augmentait encore plus mon envie de le dresser.
Une fois la femme et la fillette sortie, je me rends vers le plan de travail pour appuyer sur un discret petit bouton localisé juste en-dessous afin de déclencher les caméras dissimulées dans la pièce. Je me retourne ensuite vers l’homme. Il est plus jeune que ce que je ne l’avais pensé d’abord, probablement pas plus de trente-cinq. Il se tient toujours debout devant moi, les bras solidement croisés sur sa poitrine. L’air sombre, il me regarde de ses yeux noirs, attentif et méfiant.
Mama Tùl ne m’a dit ni d’où il venait, ni ce qu’il faisait en Bosnie, mais il puait le militaire ou plutôt le milicien à plein nez.
Je le regarde dans les yeux. Je suis obligé de lever un peu la tête pour lui faire face, je n’ai pas l’habitude. Mon instinct de dresseur me dit qu’il est temps que je m’occupe sérieusement de lui.
Je commence par lui demander son nom dans sa langue :
— Kako se zoveš ?[2]
— Almir.
''Almir… je n’ai jamais dressé d’Almir…''
Sa voix est grave et profonde.
— Almir. Skini mu.[3]
Je continue de lui parler dans sa langue en lui mimant de retirer le haut de son pyjama jetable. Il fronce les sourcils, me fixe un instant, puis sans me quitter des yeux décroise lentement ses bras et m’obéit. Je profite du spectacle tandis qu’il passe le haut de son vêtement jetable par-dessus sa tête. Son torse est musclé et puissant, recouvert une toison de poils noirs et cours, probablement tondus, à moins qu’il ne se les rase habituellement et qu’il n’ait pas pu le faire depuis quelques temps. Au bord de ses pectoraux, deux petits tétons bruns ressortent malgré sa peau bronzée. Je sens ma queue tressaillir.
— Sjesti[4].
Je me montre directif et il obéit, l’air mécontent, en s’asseyant sur le bord de la table. Je récupère le stéthoscope dont je m’étais servi sur sa fille et le place sur mes oreilles puis sur sa poitrine. J’entends son cœur qui bat lentement et puissamment comme celui d’un athlète.
— Disati[5].
Je continue à lui lancer mes consignes sans le regarder, concentré son mon examen. J’entends ses poumons se remplir puis se vider. Je déplace le streptocoque sur tout son torse, passant de ses pectoraux bombés à ses abdominaux sculptés avant de revenir sur un de ses téton. Je le sens tressaillir.
''Humm… sensible…''
— Da legne[6].
J’accompagne mon dernier ordre en plaquant une main sur son torse et appuyant fermement pour l’allonger. Je le sens résister une seconde puis céder et s’allonger complètement contre le bois de la table, les bras le long du corps, les jambes dans le vide.
Pour ne pas l’effrayer et le calmer je prends d’abord sa tension puis je regarde le fond de sa gorge, ses oreilles. Tout au long de l’examen je le manipule dans tous les sens, le met sur le côté puis de nouveau sur le dos, palpe son cou, son ventre, ses pectoraux. Comme un animal, je dois l’habituer à mon touché, au contact de mes mains, à m’obéir sans que j’aie besoin de parler. Il est tendu, rétif, et il me faut plusieurs minutes pour commencer à percevoir un léger signe de détente. Tout à l’air en ordre. Il respire la force et la santé. Il est temps de passer aux choses sérieuses.
— Ustani[7].
Il se lève et se met debout, me faisant de nouveau face. Je prends l’élastique de son pyjama jetable et tire dessus pour lui indiquer de le retirer.
— Skini mu[8].
— Ne ![9]
Sa voix est grave et son regard noir. Il me résiste. J’aimes-ça !
Je prends un air sévère pour lui répondre.
— Da ! Medicinsku posetu ! Obavezan ! Ako odbijanje, Mama Tùl poziv policija ! Vi, porodica, protjerati.[10]
Il fallait lui faire comprendre qui commandait. Ce n’était pas à lui de décider des conditions de son séjour en France. Si je ne lui délivrais pas son certificat, Mama Tùl n’hésiterait pas à les faire expulser, lui et sa famille.
Son regard reste rivé sur moi, noir et menaçant, mais il blêmit. Il prend l’élastique de son pantalon de pyjama à deux mains et le baisse lentement, sans me quitter des yeux, découvrant peu à peu des hanches larges, et des cuisses épaisses. Quand il se relève, je découvre un sexe qui pend lourdement entre ses cuisses, une longue queue molle reposant sur des bourses parfaitement proportionnées. Comme sur le reste de son corps, sa pilosité était sombre et développée mais sans excès de longueur.
D’un geste, je lui indique le vieux stadiomètre que j’avais fixé au mur afin de pouvoir le mesurer. Sans paraître gêné par sa nudité, il s’installe sous la potence que j’ajuste au-dessus de sa tête.
''1 m 98… impressionnant ! ''
Puis c’est au tour de la balance, une vielle machine à contrepoids que j’ai récupéré à l’hôpital. J’ajuste les poids jusqu’à l’équilibre.
''95 kg… belle bête, une des plus belle que j’ai eu à dresser…''
Je lui fais signe de retourner vers la table puis le positionne debout, face à moi. J’enfile une paire de gants en latex et sans lui laisser le temps de réagir, je glisse une main gantée entre ses cuisses et soupèse ses bourses.
— Kašalj[11].
Il essaye de reculer mais rencontre la table tandis que je serre un peu plus fort son scrotum.
— Kašalj !
Je me vois obligé de lui répéter l’ordre de tousser, ce que je déteste, mais il finit par s’exécuter.
— Ponovo ![12]
Il tousse de nouveau.
Je décalotte son gland avant de lui redonner le même ordre.
Il rechigne, souffle, mais recommence.
Je le maintiens dans ma mains quelques minutes de plus pour l’habituer à me laisser avoir accès à tout son corps puis le relâche.
— Okreni se ![13]
Lentement, il se retourne et fait face à la table de bois. J’appuis fermement une main entre ses omoplates pour le faire se pencher mais il tente de résister en posant ses mains sur la table.
— Ne !
Je lui tape dans les jointures des coudes d’un geste sec pour les faire plier et le positionner accoudé contre le bois de la table. Je me recule un peu pour l’observer et le laisse dans cette position, semi-couché, les pieds au sol, tandis que je me rends vers le plan de travail. J’ouvre les placards et sors un tube de gel, un vieux speculum anal en métal, un œuf anal vibrant argenté muni d’une télécommande sans fil et un plug écarteur verrouillable en acier que je place sur une petite desserte roulante que j’amène à côté de lui afin qu’il les voie.
Je me positionne derrière lui et prend un peu de gel ma main droite avant de poser la gauche sur le bas de son dos.
— Opustiti[14].
Je lui parle d’une voix calme afin qu’il se détende puis je pose mes doigts lubrifiés contre son anus, entre ses fesses charnues et musclées. Je masse doucement le sphincter que je sens palpiter contre ma main puis j’y glisse mon index. Il grogne, avance ses fesses pour échapper à l’intrusion mais je ne le laisse pas faire et enfonce mon doigt fermement en lui. Il est chaud, serré, vierge à priori. Je fais coulisser mon doigt en lui en ajoutant du gel de temps à autre puis, quand je le sens prêt, j’en ajoute un deuxième. Il se redresse, essaye de se retourner mais je le repousse fermement en l’invectivant :
— Medicinsku posetu ! Obavezan ![15]
Je lui rappelle ainsi que l’examen fait partie de la visite médicale et qu’il ne peut y échapper.
Il se laisse finalement faire mais souffle fort et grogne tandis que mes deux doigts coulissent en lui pour l’assouplir. Je prends mon temps pour profiter du spectacle qu’offre le début de sa soumission, c’est toujours le moment que je préfère. Je commence par caresser l’intérieur de son fondement puis doucement, j’appuis sur sa prostate. Je le sens sursauté, elle me semble très sensible… tant mieux. J’attends un peu puis j’exerce une nouvelle pression, plus forte et plus soutenue. Inconsciemment, il bouge son cul, hésitant entre essayer d’échapper à mon contact et s’y enfoncer plus avant. De ma main libre, je tâte ses bourses lourdes et probablement bien pleine, guettant ses réactions. Mais il se laisse faire. Je m’enhardis et saisis son sexe. Il est à demi dur, mais déjà prometteur. Je fais quelques va et viens lents pour le stimuler tout en continuant la pression que j’exerce sur sa prostate. J’ai toujours trouvé qu’Il y avait quelque chose de magnifique à voir une montagne de muscles se trémousser entre mes doigts.
Quand je le sens prêt pour la suite, je saisis ses tibias et le soulève pour le placer à genoux sur la table. D’abord surpris, il essaye de se retourner, mais le mouvement l’en empêche et bientôt, il se retrouve les genoux sur la table, coincés entre le bois et son torse. Dans cette position ses fesses s’ouvrent largement et laisse voir son anus luisant de lubrifiant.
De nouveau, je pose mes doigts sur le sphincter et le masse puis le pénètre de mes doigts pour le rassurer pendant que de ma main libre je prends le spéculum et l’enduis de lubrifiant.
— Opustiti[16].
Je lui ordonne de se détendre tandis que je présente le spéculum et l’enfonce doucement en massant son anus.
— Opustiti, Disati[17].
Je l’entends suivre mes conseils et respirer profondément tandis que le spéculum se fraye un passage dans son rectum. Un gémissement plaintif lui échappe mais je ne me laisse pas émouvoir. Quand l’objet est bien planté, je le tourne lentement puis je presse doucement les poignées pour l’écarter.
Je sens qu’il panique et se retourne, me criant d’arrêter :
— Ne, ne, stani ![18]
Je sens la peur, dans sa voix.
Je le prends par la nuque et le force à se coucher tout en relâchant un peu la pression, laissant le spéculum se resserrer. Lorsque son souffle se calme, je recommence à le dilater. Je l’entends taper du poing sur la table en grognant mais il se laisse faire.
J’alterne, pendant plusieurs minutes, des phases de dilatation de plus en plus larges et de repos au cours desquelles je le rassure par des caresses dans le dos ou sur les fesses tout en lui susurrant des encouragements dans sa langue. Peu à peu, son anus se dilate et me laisse poursuivre mon examen. La muqueuse est saine, je peux donc passer à la suite.
Retirant le spéculum, je me saisis du petit œuf vibrant en métal de deux centimètre et demi de diamètre et l’installe sans effort dans son anus dilaté, laissant ressortir la ficelle noire permettant son extraction. Puis je m’empare du plug écarteur en acier composé d’un bulbe insérable de quatre centimètres de diamètre sur dix de long, formés de trois pétales capables de se déployer lorsque l'on fait tourner le disque supérieur. Toute extraction est rendue impossible par un cadenas qui scelle le dispositif. Je l’enduis abondamment de lubrifiant et le présente contre son sphincter déjà dilaté prenant garde à ne pas abîmer la ficelle de l’œuf. J’entre doucement l’objet tout en maintenant Almir par la nuque, plaqué contre la table. Je vois tous ses muscles trembler tandis que le plug écarte son anus et se fraye un passage en lui. Son souffle est rapide et des grognements sourds s’échappent de sa gorge. Lorsque la partie la plus épaisse de l’objet métallique est passé, le reste est comme aspiré en lui, trouvant instantanément sa place.
De nouveau je le laisse récupérer en le flattant pour calmer ses gémissements et ses plaintes puis, j’actionne le disque, entrainant le déploiement des pétales de métal en lui. L’effet est immédiat, il se cabre brutalement et tente de saisir le plug de ses mains pour le retirer. Mais il est déjà trop tard, je viens de refermer le cadenas à code, lui bloquant toute possibilité d’ouverture.
Il jaillit de la table, une main derrière lui tentant de retirer le plug, s’arrachant lui-même des gémissements de douleurs. Voyant qu’il n’y arrive pas, il s’avance vers moi les jambes écartées, comme s’il descendait de cheval. Il me menace, m’insulte et quand il s’apprête à me frapper, j’actionne la télécommande de l’œuf vibrant. Sans comprendre ce qui lui arrive, il se retrouve à genou au sol, plié en deux, haletant. Il essaye de se redresser mais j’augmente le degré de vibration.
Il est maintenant à quatre pattes, m’invectivant, mi-insultant, mi-suppliant, entre deux gémissements, une main sur le sol, l’autre contre son ventre.
J’augmente la stimulation d’un cran supplémentaire et il s’effondre au sol. Je vois ses abdominaux qui palpite et son sexe qui durcit et commence à suinter.
Il me regarde maintenant les larmes aux yeux, magnifique, totalement nu devant moi.
— Molim te, prestani ! Skini mu ![19]
Tout en essayant de retirer le plug il me supplie d’arrêter et de le lui retirer.
— Da legne ![20]
Sévèrement je lui ordonne de retourner se coucher sur la table en la lui montrant du doigt.
J’augmente et de nouveau la stimulation et son corps se cambre violemment. Puis, presque inconsciemment, il commence à ramper vers la table. Lorsqu’il arrive aux pieds de la table, je diminue la stimulation pour le laisser ramper jusqu’au plateau et s’y affaler à plat ventre. Sans perdre de temps, je l’oblige à se mettre sur le dos. Il se laisse faire, à moitié dans les vapes. Je contourne la table et lui attache les mains contre le plateau de bois à l’aide des sangles qui l’équipent. Puis je lui enfile la boule rouge d’un bâillon et le lui attache derrière la tête. Il essaye de se redresser mais ses mains sont solidement attachées contre la table et la boule lui bloque toute possibilité de crier. Pour finir je reviens au niveau de ses jambes et fixe deux étriers gynécologiques au plateau de la table avant d’y bloquer ses jambes.
Il est maintenant offert devant moi, les cuisses grandes ouverte, le plug en acier bloquant l’ouverture de son anus. Je pousse la stimulation de l’œuf anal et de spasmes violents secouent son corps. Les liens qui lui maintiennent les poignets et les jambes bloquées dans les étriers l’empêche de tomber de la table. Tout en maintenant la stimulation, je le délivre du plug, laissant son anus béant. Je prends la ficelle de l’œuf et tire doucement dessus tout en maintenant la vibration. Il se tortille comme j’extrait doucement l’objet, son sexe dur rejetant un liquide clair et abondant. J’en prends un peu entre mon pouce et mon index et le porte à mes lèvres. C’est doux et salé, très apetissant. Je me baisse et le prend tout entier dans ma bouche en tirant d’un coup sec sur l’œuf qui se retrouve éjecté avec un « ploc » sonore. Je me retire un peu et ne garde que son gland dans ma bouche, le pompant et le léchant furieusement, propulsant Almir dans un monde de plaisir et de douleur mélangés. Il se contorsionne, lutte comme un beau diable, si bien que la table grince dangereusement sous sa masse.
Je lui enfile à nouveau un doigt pour tester la résistance de son anus. Vaincu, le sphincter ne semble plus capable de s’opposer à rien.
Délaissant son sexe je me redresse et lui fait face, le regardant droit dans les yeux alors que j’ouvre mon jean et, avec mon boxer, le baisse sur mes genoux. Face à lui, je masturbe mon sexe fièrement dressé, regardant ses yeux s’écarquiller tandis qu’il découvre mes vingt-deux centimètres de chair épaisse. Je caresse son sexe pour récupérer l’abondant liquide séminal visqueux qui s’en échappe puis j’en enduis son anus ouvert avant d’y plonger deux doigts pour quelques allers et retour, stimulant sa prostate au passage.
''Il est prêt.''
Je présente mon gland contre son entrée qui aspire littéralement les dix premiers centimètres de mon sexe. Son intérieur est doux, chaud, accueillant. Je rencontre une résistance lorsque je m’aventure plus loin mais je continue sans m’en préoccuper ; je veux qu’il sente chaque centimètre s’introduire en lui.
Ses yeux révulsés sont emplis de larmes et sa bouche se serre contre la boule du bâillon, poisseux de salive. Son ventre palpite sous mes yeux et tous ses muscles sont bandés. Je l’encourage dans sa langue, vantant son courage et sa force jusqu’à ce que je sente ses testicules contre mon pubis. Mon sexe a totalement disparu en lui. Je reste un moment ainsi et retire mon t-shirt pour pouvoir stimuler mes tétons sensibles. Après un moment, je ressors un peu puis rentre de nouveau. J’y vais prudemment, par petits à-coup tout en m’agrippant à ses cuisses, me retirant toujours un peu plus pour mieux revenir. Au bout de quelques minutes je coulisse en lui sur toute ma longueur. J’aime voir ma queue entrer et sortie d’un magnifique cul musclé. J’accélère progressivement le rythme, sentant le plaisir monter en moi. Maintenant je le pilonne littéralement. La table bouge et grince sous mes coups de boutoir. Il ne se débat plus, il se laisse faire, son sexe à demi-bandé. Je le prends dans ma main et le branle au même rythme de je le pilonne, passant mon pouce sur son gland luisant. Il se tortille de nouveau puis brusquement un geyser blanc jaillit de son gland, envoyant des trainés de foutre sur son torse. Excité je me déchaine sur son cul jusqu’à ce que sente mes testicules se resserrer et mon foutre le féconder. Terrassé par la jouissance, je m’affale sur lui. L’odeur de sa sueur, toujours excitante, m’assaille. Je reste callé bien au fond de lui, toujours agité des spasmes de mon éjaculation, son cœur battant puissamment contre mon oreille. Je suis toujours dur tellement il m’excite.
Je me redresse et sors doucement de lui. Un peu de mon sperme s’échappe de son anus encore ouvert et luisant de lubrifiant. Je retourne vers le plan de travail et récupère des pinces à tétons reliées par une chaîne et deux godes. J’approche la première pince de son mamelon gauche et joue un peu avec son téton qui durcit, me permettant d’y poser la pince. Sous la morsure, Almir inspire puissamment et couine presque, mais lorsque je fixe la deuxième il se cambre violemment et son sexe encore à demi dur se redresse entre ses jambes toujours maintenues par les étriers. Je tire délicatement sur la chaîne qui unit les deux pinces et le sens réagir comme un cheval à ses rênes.
Une fois les pinces solidement installées, je m’occupe du premier gode. Il n’est pas très long, à peine dix-huit centimètres, mais assez large, bien plus que moi en tout cas. Le gland pénètre facilement sans lubrifiant mais je dois exercer une pression soutenue pour faire entrer le reste. Le cul d’Almir se lève comme s’il venait à la rencontre du gode massif et des gémissements tente de sortir du bâillon. Je tiens la ventouse à deux mains et fait aller et venir l’objet sur toute sa longueur à l’intérieur du cul qui se trémousse. Nos regards sont rivés l’un sur l’autre. Il ne pleure plus mais ses yeux noirs semblent à la fois exprimer la colère, la soumission, la douleur et la honte du plaisir qu’il commence à ressentir comme en témoigne son érection qui revenait. Je lui souris, vicieux, il allait devenir une vraie salope.
Après plusieurs minutes à aller et venir en lui je prends l’autre gode. Il n’est pas plus large mais long d’une trentaine de centimètre et le pénis se termine par une largeur de dix bons centimètres de diamètre. Je le lubrifie et tente de le lui introduire, mais son anus résiste à mi-parcours . Le tenant à deux mains, je le calle contre mes abdominaux pour y appliquer progressivement mon poids. Son anus continue de résister un moment. J’entends ses grognements masqués par le bâillon, probablement me demande-t-il de continuer… ou plutôt d’arrêter. Puis brusquement, alors que je me penche en avant pour augmenter ma poussée, son sphincter cède et le gode s’enfonce brutalement en lui, propulsé par le poids de mon corps. Trébuchant, je me retrouve allongé entre les cuisses d’Almir, sentant un liquide chaud se rependre sur mon torse. Je me redresse, mes pectoraux sont visqueux de son sperme. Il a de nouveau joui. Je me redresse et prend le gode que je fais aller et venir doucement en lui. Tout son corps se tend et s’arque à chacun de mes mouvements, puissant et soumis à la fois. Son sexe ne ramolli pas et semble au contraire devenir de plus en plus dur. Je plonge le gode bien à fond puis le contourne et détache ses mains puis retire son bâillon. Ses yeux sont maintenant suppliants. Mais ils ne me supplient plus d’arrêter. Je passe mon gland sur ses lèvres et il m’avale complètement en lui. Je pose ma main gauche sur sa nuque et la droite sur sa tête et lui lime profondément la bouche. Il est loin de maîtriser l’art de la fellation mais ses efforts m’émeuvent tant il met de cœur à l’ouvrage. J’ai l’impression de redevenir adolescent, quand je parvenais à coincer certains de mes coéquipiers de l’équipe de natation à laquelle j’appartenais dans un vestiaire. Eux aussi se montraient rétifs au départ, mais je parvenais toujours à mes fins.
Ma queue va et vient, épaisse entre ses lèvres charnues. De temps en temps je la retire et m’en sert pour lui claquer le visage. Je le vois qui essaye de l’attraper avec sa bouche à chaque fois, comme un nouveau-né le sein de sa mère. Quand j’ai assez joué je la lui redonne. Il la tête un moment puis je le lime de nouveau sentant la jouissance revenir. Elle est intense, encore plus que la première et je me déverse abondement dans sa gorge. Il est surpris et essaye de me recracher mains je le maintiens fermement et lui ordonne d’avaler.
— Progutati me ![21]
Il déglutit, d’abord timidement, puis m’aspire puissamment comme s’il ne voulait qu’aucune goutte ne lui échappe. Je le laisse faire, fier de lui. Quelques minutes plus tard, je glisse mon sexe ramolli hors de ses lèvres. A gestes tendres je lui retire le gode et les pinces à tétons puis l’assois sur la table et me place entre ses cuisses. Il tient à peine droit tout seul. Je le prends dans mes bras et le regarde. Ses yeux sont vitreux et ses lèvres gonflées et brillantes de sperme et de salive. Je colle sa poitrine contre la mienne, pose mes lèvres sur les siennes et l’embrasse profondément. Je cherche sa langue, avec la mienne et elle régit immédiatement. Notre baiser d’abord hésitant devient torride et je le sens fondre dans mes bras. Je m’écarte un peu de lui et lui souris puis, après un dernier baiser sur son front je lui ordonne d’aller se doucher et de se rhabiller. Pensif, il me regarde et se lève. Je le vois grimacer tandis qu’il se rends vers la salle de bain, une main sur son anus dilaté, l’autre sur son ventre.
Pendant qu’il s’occupe de se laver, je me rhabille, récupère la carte mémoire où sont stockées les vidéos des caméras qui ont enregistrés toute la scène, nettoie soigneusement mon matériel et valide son certificat médical. Je finis juste lorsqu’il sort de la salle de bain, habillé d’un vieux jean et d’un t-shirt délavé. Il a les yeux baissés, le regard fuyant. Je connais cette réaction de honte qu’il ressent, je l’ai fréquemment vu chez mes patients. Je m’approche rapidement de lui et le saisi par la nuque en le plaquant contre moi. Je l’oblige à me regarder en glissant ma main contre son ventre pour saisir son sexe. Il durcit instantanément. Je lui souris et l’embrasse brièvement mais virilement, fouillant sa bouche de ma langue. Puis je le repousse et lui tend son certificat validant la visite médicale. Je le félicite dans sa langue.
— Čestitka[22].
Un petit sourire se dessine sur ses lèvres. En moi je me dis qu’il faudra que l’on se refasse une deuxième séance.
— Vidimo se uskoro.[23]
Sur ce, à bientôt !, je prends ma sacoche et sors de la chambre sans attendre sa réaction.
Mama Tùl m’attend sur le perron.
— Alors Doc, visite bonne ? me demande la vielle.
— Da Mama, Da, je lui réponds.
Puis je quitte l’immeuble délabré pour retrouver ma voiture. Le petit hétéro est encore là mais je n’ai pas le temps de m’occuper de lui. Dommage, je l’aurais bien pris à même le capot de ma voiture tant je suis excité. Pas grave, j’ai mon petit couple qui m’attends…
[1] Bonjour
[2] Quel est ton nom ?
[3] Almir. Enlève-le.
[4] Couches-toi.
[5] Respire.
[6] Se coucher.
[7] Lève-toi.
[8] Enlève-le.
[9] Non !
[10] Oui! Visite médicale! Obligatoire! Si tu refuses, maman Tul appelle la police! Vous, la famille, expulser.
[11] Tousse.
[12] Encore !
[13] Tourne-toi !
[14] Détends-toi.
[15] Visite médicale ! Obligé !
[16] Détends-toi.
[17] Détends-toi, respire.
[18] Non, non, arrête-ça !
[19] S'il vous plaît, arrêtez! Enlevez-le !
[20] Couché !
[21] Avale-moi !
[22] Félicitations.
[23] À bientôt.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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