02-05-2023, 06:27 AM
Chapitre 031 : « Rentrée universitaire. »
Lee-Rim ouvre la bouche pour l’envoyer promener de la plus verte des façons, quand les paroles et surtout leurs véritables sens, s’impriment dans son esprit et la lui font refermée, dans l’attente de connaitre la suite.
Kai comprend qu’il a maintenant toute son attention, il vient alors s’assoir sur le lit près de lui pour réfléchir à ses prochaines explications, le doute s’immisçant petit à petit en lui que peut être cela ne sera pas entendu avec la réponse qu’il en attendrait.
Du coup il marque un temps d’hésitation qui commence à créer un climat délétère entre les deux garçons, Lee-Rim commençant à perdre patience, aussi il est donc le premier à reprendre la discussion en se forçant manifestement à rester calme.
- Je croyais qu’il fallait qu’on parle ? pourquoi alors te retrouves-tu muet d’un seul coup ?
- Parce que ce que j’ai à te dire pourrait également faire parti de ce que je pourrais regretter si ce n’était pas réciproque.
Le cœur de Lee s’affole soudainement dans sa poitrine, comprenant mieux maintenant le ton tout en retenu venant du blondinet, qui prit dans l’imbroglio de ses hésitations en devient plus craquant encore si c’était chose possible.
- Comment auras-tu ta réponse si tu ne poses pas la question ?
Kai se mordille les lèvres avant de prendre sa décision, il se relève alors pour faire face à Lee-Rim en lui attrapant les deux mains au passage, mains qu’il malaxe nerveusement, mais néanmoins en douceur avant que son regard ne se fige dans celui de Lee, ce dernier devenu on ne peut plus attentif à la suite des événements.
- Est-ce que tu veux bien être mon petit ami ?
- Oui !!
- Hein…
Lee-Rim s’amuse de voir la réaction du petit blond qui ne devait certes pas s’attendre à une réponse aussi tranchée.
- Mais… ne serait-ce pas mieux si la demande était formulée correctement ?
Kai va pour marquer son incrédulité devant la question, quand il remarque ce petit sourire en coin qu’il commence à bien connaitre, s’esquisser sur les lèvres de celui qui il l’espère de tout cœur deviendra son futur petit ami, aussi son esprit fait vite le tour pour comprendre ce qu’il en est exactement.
- Je reformule alors… est-ce que je peux être ton petit ami ?
Lee est cette fois celui qui marque son étonnement, reconnaissant au blondinet cet esprit vif qui ma fois est loin de lui déplaire, aussi se relève-t-il à son tour pour bien lui faire remarquer les quelques centimètres de taille qu’il a en plus que lui et qui en temps normal ne se remarque pas forcement, mais qui là semble prendre toutes leurs importances.
- C’est toujours oui…
Lee préfère mettre les pendules à l’heure tout de suite devant le regard devenu soudainement brulant fixer sur lui.
- Mais… je suggère que nous reprenions tout depuis le début sans nous précipités.
- Comment ça ?
- J’ai entendu parler de la façon dont vous passez du bon temps entre vous et je ne suis pas près à vous suivre dans cette façon de faire, pour ma part je n’ai jamais eu de relation et je t’avouerais même que je suis le premier surprit que mon premier « Crush » soit un garçon.
- Tu es encore puceau ? à ton âge ?
- Je ne vois pas ou est le problème avec ça, alors que je viens tout juste d’avoir dix-huit ans ?
Il voit les doigts de Kai commencés à comptabiliser les années depuis que lui ne l’est plus et il l’arrête de suite.
- Je ne veux pas savoir depuis quand tu t’amuses de cette façon avec tes potes, juste qu’il va bien falloir te mettre en tête que cela doit s’arrêter si tu veux qu’entre nous deux cela puisse commencer un jour.
Devant l’expression confuse du petit blond, Lee croit bon de préciser sa pensée, histoire d’être bien sûr d’avoir été compris.
- Etonnant n’est-ce pas que je sois monogame alors que ce n’est pas le cas d’où je viens, remarque cela l’est autant de votre côté qui semblez aimer faire cela à plusieurs, alors que les Nordiens prêchent la monogamie comme la seule façon d’être.
Lee-Rim voit bien que ses paroles troublent Kai et il en comprend très bien la ou plutôt les raisons, sans doute lui sera-t-il difficile, voir impossible de rompre ce lien si fort qui les unissent depuis si longtemps.
- A toi de réfléchir à mes paroles, je ne t’en voudrais pas si tu choisis tes amis, après tout qui suis-je vis-à-vis d’eux alors que nous ne nous connaissons que depuis quelques jours. Pour le reste de notre discussion et pour maintenir une paix sociale avec nos bailleurs, je suggère que nous arrêtions de nous envoyer des pics et que nous nous comportions comme des amis, qu’en penses-tu ?
- Je… je… Pffttt !! Faisons comme ça pour le moment, toi tout comme moi devons réfléchir à ce qui vient de se dire et juste j’espère que nous trouverons un terrain d’entente, parce que je dois bien t’avouer que je t’ai dans la peau.
- Je t’aime déjà beaucoup moi aussi, mais cela n’enlève pas mes valeurs, je suis d’accord pour réfléchir à tout ça calmement et pour moi aussi il va maintenant être difficile de me tenir près de toi sans pouvoir te montrer tout ce que je ressens pour toi.
Kai lui lâche les mains, hésitant à formuler la demande qui lui vient soudainement avant de quitter la chambre.
- Je… peux t’embrasser ? une seule fois pour m’aider à réfléchir, tu… tu veux bien dis ?
Lee-Rim sourit devant le visage si craquant et tout en « mignonitude » qui se tend vers lui, se sachant vaincu d’avance à tenter d’y résister, aussi prend-t-il les devant pour exhausser son souhait et vient-il coller ses lèvres aux siennes d’une douceur qui lui amène un fort frisson de plaisir.
Le baiser dure plus que la normale et montre bien combien les deux garçons s’apprécient, il leurs faut faire un véritable effort après plusieurs minutes pour pouvoir finalement se détachés l’un de l’autre.
Kai disparait alors rapidement comme s’il avait soudainement pris feu, laissant Lee-Rim debout, seul devant son lit à passer deux de ses doigts sur ses lèvres, essayant de revivre cette sensation unique qu’il vient de ressentir pour la première fois de sa jeune existence.
Kai traverse le couloir pour retourner dans sa chambre, tombant comme il se doit sur le quatuor en plein boum et c’est sans hésiter qu’il les rejoints pour passer cette envie de sensations érotiques que son esprit lui réclame à cor et à cris.
***/***
« Box au sous-sol de l’immeuble. »
Charles profite qu’il va être seul pendant un long moment, pour enclencher l’ouverture secrète après s’être assurer qu’il avait bien fermer le box.
Un large passage dans le mur du fond s’ouvre alors, conçu à l’origine du projet de construction avec l’architecte et le maitre d’œuvre, moyennant quelques centaines de milliers de couronnes en sous-mains.
Un local n’existant sur aucuns plans apparait alors, d’une confortable superficie d’environ cent mètres au carré et équiper d’instrument divers et variés, d’un cout et d’une complexité défiant l’entendement puisque conçus exclusivement à l'aveugle par des entreprises sous-traitantes sur des plans réalisés par ses soins.
Chaque entreprise ne recevant que la partie à mettre en fabrication, Charles s’étant réserver l’assemblage final pour que le secret sur ces appareils uniques au monde reste entier.
Le détecteur de présence et de reconnaissance faciale fait sa fonction en allumant les plafonniers, découvrant ainsi à sa vue se qui pour un néophyte serait un mélange de laboratoire et d’usinage, le tout intelligemment agencé pour ce à quoi tout ce matériel est destiné.
Charles par précaution supplémentaire referme l’entrée secrète derrière lui, il va s’assoir ensuite devant un établi où un étrange appareil de la grosseur d’un disque dur externe est raccordé à une batterie de puissants ordinateurs dernier cri.
Charles met l’ensemble en service pour reprendre ensuite la longue batterie de tests encore nécessaires à la finalisation de son projet.
Lee-Rim ouvre la bouche pour l’envoyer promener de la plus verte des façons, quand les paroles et surtout leurs véritables sens, s’impriment dans son esprit et la lui font refermée, dans l’attente de connaitre la suite.
Kai comprend qu’il a maintenant toute son attention, il vient alors s’assoir sur le lit près de lui pour réfléchir à ses prochaines explications, le doute s’immisçant petit à petit en lui que peut être cela ne sera pas entendu avec la réponse qu’il en attendrait.
Du coup il marque un temps d’hésitation qui commence à créer un climat délétère entre les deux garçons, Lee-Rim commençant à perdre patience, aussi il est donc le premier à reprendre la discussion en se forçant manifestement à rester calme.
- Je croyais qu’il fallait qu’on parle ? pourquoi alors te retrouves-tu muet d’un seul coup ?
- Parce que ce que j’ai à te dire pourrait également faire parti de ce que je pourrais regretter si ce n’était pas réciproque.
Le cœur de Lee s’affole soudainement dans sa poitrine, comprenant mieux maintenant le ton tout en retenu venant du blondinet, qui prit dans l’imbroglio de ses hésitations en devient plus craquant encore si c’était chose possible.
- Comment auras-tu ta réponse si tu ne poses pas la question ?
Kai se mordille les lèvres avant de prendre sa décision, il se relève alors pour faire face à Lee-Rim en lui attrapant les deux mains au passage, mains qu’il malaxe nerveusement, mais néanmoins en douceur avant que son regard ne se fige dans celui de Lee, ce dernier devenu on ne peut plus attentif à la suite des événements.
- Est-ce que tu veux bien être mon petit ami ?
- Oui !!
- Hein…
Lee-Rim s’amuse de voir la réaction du petit blond qui ne devait certes pas s’attendre à une réponse aussi tranchée.
- Mais… ne serait-ce pas mieux si la demande était formulée correctement ?
Kai va pour marquer son incrédulité devant la question, quand il remarque ce petit sourire en coin qu’il commence à bien connaitre, s’esquisser sur les lèvres de celui qui il l’espère de tout cœur deviendra son futur petit ami, aussi son esprit fait vite le tour pour comprendre ce qu’il en est exactement.
- Je reformule alors… est-ce que je peux être ton petit ami ?
Lee est cette fois celui qui marque son étonnement, reconnaissant au blondinet cet esprit vif qui ma fois est loin de lui déplaire, aussi se relève-t-il à son tour pour bien lui faire remarquer les quelques centimètres de taille qu’il a en plus que lui et qui en temps normal ne se remarque pas forcement, mais qui là semble prendre toutes leurs importances.
- C’est toujours oui…
Lee préfère mettre les pendules à l’heure tout de suite devant le regard devenu soudainement brulant fixer sur lui.
- Mais… je suggère que nous reprenions tout depuis le début sans nous précipités.
- Comment ça ?
- J’ai entendu parler de la façon dont vous passez du bon temps entre vous et je ne suis pas près à vous suivre dans cette façon de faire, pour ma part je n’ai jamais eu de relation et je t’avouerais même que je suis le premier surprit que mon premier « Crush » soit un garçon.
- Tu es encore puceau ? à ton âge ?
- Je ne vois pas ou est le problème avec ça, alors que je viens tout juste d’avoir dix-huit ans ?
Il voit les doigts de Kai commencés à comptabiliser les années depuis que lui ne l’est plus et il l’arrête de suite.
- Je ne veux pas savoir depuis quand tu t’amuses de cette façon avec tes potes, juste qu’il va bien falloir te mettre en tête que cela doit s’arrêter si tu veux qu’entre nous deux cela puisse commencer un jour.
Devant l’expression confuse du petit blond, Lee croit bon de préciser sa pensée, histoire d’être bien sûr d’avoir été compris.
- Etonnant n’est-ce pas que je sois monogame alors que ce n’est pas le cas d’où je viens, remarque cela l’est autant de votre côté qui semblez aimer faire cela à plusieurs, alors que les Nordiens prêchent la monogamie comme la seule façon d’être.
Lee-Rim voit bien que ses paroles troublent Kai et il en comprend très bien la ou plutôt les raisons, sans doute lui sera-t-il difficile, voir impossible de rompre ce lien si fort qui les unissent depuis si longtemps.
- A toi de réfléchir à mes paroles, je ne t’en voudrais pas si tu choisis tes amis, après tout qui suis-je vis-à-vis d’eux alors que nous ne nous connaissons que depuis quelques jours. Pour le reste de notre discussion et pour maintenir une paix sociale avec nos bailleurs, je suggère que nous arrêtions de nous envoyer des pics et que nous nous comportions comme des amis, qu’en penses-tu ?
- Je… je… Pffttt !! Faisons comme ça pour le moment, toi tout comme moi devons réfléchir à ce qui vient de se dire et juste j’espère que nous trouverons un terrain d’entente, parce que je dois bien t’avouer que je t’ai dans la peau.
- Je t’aime déjà beaucoup moi aussi, mais cela n’enlève pas mes valeurs, je suis d’accord pour réfléchir à tout ça calmement et pour moi aussi il va maintenant être difficile de me tenir près de toi sans pouvoir te montrer tout ce que je ressens pour toi.
Kai lui lâche les mains, hésitant à formuler la demande qui lui vient soudainement avant de quitter la chambre.
- Je… peux t’embrasser ? une seule fois pour m’aider à réfléchir, tu… tu veux bien dis ?
Lee-Rim sourit devant le visage si craquant et tout en « mignonitude » qui se tend vers lui, se sachant vaincu d’avance à tenter d’y résister, aussi prend-t-il les devant pour exhausser son souhait et vient-il coller ses lèvres aux siennes d’une douceur qui lui amène un fort frisson de plaisir.
Le baiser dure plus que la normale et montre bien combien les deux garçons s’apprécient, il leurs faut faire un véritable effort après plusieurs minutes pour pouvoir finalement se détachés l’un de l’autre.
Kai disparait alors rapidement comme s’il avait soudainement pris feu, laissant Lee-Rim debout, seul devant son lit à passer deux de ses doigts sur ses lèvres, essayant de revivre cette sensation unique qu’il vient de ressentir pour la première fois de sa jeune existence.
Kai traverse le couloir pour retourner dans sa chambre, tombant comme il se doit sur le quatuor en plein boum et c’est sans hésiter qu’il les rejoints pour passer cette envie de sensations érotiques que son esprit lui réclame à cor et à cris.
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Charles profite qu’il va être seul pendant un long moment, pour enclencher l’ouverture secrète après s’être assurer qu’il avait bien fermer le box.
Un large passage dans le mur du fond s’ouvre alors, conçu à l’origine du projet de construction avec l’architecte et le maitre d’œuvre, moyennant quelques centaines de milliers de couronnes en sous-mains.
Un local n’existant sur aucuns plans apparait alors, d’une confortable superficie d’environ cent mètres au carré et équiper d’instrument divers et variés, d’un cout et d’une complexité défiant l’entendement puisque conçus exclusivement à l'aveugle par des entreprises sous-traitantes sur des plans réalisés par ses soins.
Chaque entreprise ne recevant que la partie à mettre en fabrication, Charles s’étant réserver l’assemblage final pour que le secret sur ces appareils uniques au monde reste entier.
Le détecteur de présence et de reconnaissance faciale fait sa fonction en allumant les plafonniers, découvrant ainsi à sa vue se qui pour un néophyte serait un mélange de laboratoire et d’usinage, le tout intelligemment agencé pour ce à quoi tout ce matériel est destiné.
Charles par précaution supplémentaire referme l’entrée secrète derrière lui, il va s’assoir ensuite devant un établi où un étrange appareil de la grosseur d’un disque dur externe est raccordé à une batterie de puissants ordinateurs dernier cri.
Charles met l’ensemble en service pour reprendre ensuite la longue batterie de tests encore nécessaires à la finalisation de son projet.
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