16-03-2023, 01:52 AM
Très bon le coup de la "203". Mais, extrapolons dans la divagation : une 203 ♂ positionnée sur une 203♀, suite à coup de patin brutal de la 1ère, donneront-elles une...406?
16-03-2023, 01:52 AM
Très bon le coup de la "203". Mais, extrapolons dans la divagation : une 203 ♂ positionnée sur une 203♀, suite à coup de patin brutal de la 1ère, donneront-elles une...406?
17-03-2023, 08:29 AM
À mon habitude je me réveillais avec le jour. Hans était allongé nu sur son lit et il bandait. Il devait faire un rêve érotique parce que de temps en temps il se branlait. Et recommençait à gémir. Je saisis sa queue et je la suçais. Très vite il me jouit dans la bouche et ça le réveilla. Il me fit un sourire magnifique et vint m’embrasser.
Ma queue fut vite raide.
Puis on alla à la piscine. Les gamins se débrouillaient bien, on avait même légèrement dégonflés leurs brassards. Pour les repas on faisait avec ce qu'il restait dans les frigos. Et oui, on était déjà samedi et demain, on repartait. Les gamins voulurent dormir une dernière nuit ensemble. C’est mon frère qui les garda. On refit l'amour, longuement et tendrement. Enfin pas tout le temps. On avait rapproché les lits et j'étais allongé sur le dos au milieu des deux et Hans me chevauchait et donnait des coups de fesses de plus en plus puissants. On jouit en même temps… et presque au même moment, les lits s'écartèrent et on se retrouva par terre. Coincés entre eux ! On éclata de rire. On se dépêtra comme on put et on resserra les lits.
On s’était réveillés en même temps, Hans et moi, on se fit un 69. Puis on alla courir et on dut se faire une branlette dans la douche, pour pouvoir être décent pour en sortir. Après, tout se passa vite. Le temps de ranger et de nettoyer le mobile-home, de faire les sacs et l'état des lieux, il n'était pas loin de midi. Quand on demanda aux gamins ce qu'ils voulaient manger la réponse fut unanime steak-frites. Et nous voilà tous partis commander ça.
On parlait des vacances qu'on venait de passer et le temps fila vite, quand je me garais devant chez mes grands-parents, les enfants dormaient toujours. J'arrêtais le moteur et ça réveilla les gosses.
J'étais assis entre ma grand-mère et Cyprien. Et c'est en patois que je demandais :
Gaston releva la tête, se leva et fit signe à son fils de le suivre. Il se dirigea vers la porte et alla s'asseoir sur le banc où lui et Cyprien avaient l'habitude de s'asseoir pour discuter.
Quelqu'un frappa à la porte qui s'ouvrit sur Tim et Mary. Adeline et les jumeaux leur sautèrent dans les bras et Tim se moqua gentiment de leur coiffure.
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17-03-2023, 10:20 AM
J'aime beaucoup ce croisement rare et étonnant entre un récit gay et celui de la description une vie de famille très vivante. Merci, gaetanbg !
17-03-2023, 09:26 PM
"Trouvailles" inattendues pour Gaston l'Ancien. Il y a de quoi ressentir des émotions et essayer, un peu, de rattraper la grosse bêtise faite par le passé en accueillant petits-enfants et arrières-petites filles ce qui, par parenthèse, ferait grand plaisir à messieurs Augustin et Cyprien junior. Il va y avoir de la joie dans l'air dans peu de temps.
20-03-2023, 06:41 PM
Les trois se mirent à parler en même temps. Les châteaux et les pâtés écrasés, qu'ils dormaient tous ensemble, Lily et Lilou, le pizzaiolo, la piscine, le tout dans la confusion la plus totale. Tim me fit un signe. Je m'approchais de lui.
Puis on s'habilla et on descendit faire les courses. On alla au supermarché et c'est la première fois que je grondais vraiment les garçons qui me faisaient un gros caprice. Ça les surprit et Adeline les consola comme elle pouvait. Même Hans ne disait plus rien. Ils m'avaient vraiment foutu en rogne. L'après-midi, on fit plein de choses. Je commençais par m'occuper de la piscine avec l'aide de tout le monde. Elle était encore fraîche mais elle serait bientôt 'baignable’. Puis on fit des plantations. Cyprien nous avait donné des graines ‘surprises’ avait-il dit. C'était des sachets où il y avait des graines mais il avait oublié de mettre ce que c'était, alors, on allait avoir des surprises quand ça pousserait. On alla goûter chez mes grands-parents. Puis ils allèrent ramasser les fraises au jardin. Enfin, on les ramassait et ils les mangeaient, parce que si on les avait écoutés à part les fleurs, les autres étaient toutes mûres … et il fallait qu'on soit vigilant en les leur donnant pour pas qu'un d'eux en ait une plus petite que les deux autres. Avant de repartir, on déposa Adeline chez Tim et Mary qui étaient rentrés. Et Gus essaya une fois de plus de tirer les vers du nez de Mary pour savoir quel gâteau elle allait faire pour samedi soir. Mais elle ne céda pas.
Je me levais, en même temps que le jour et je partis bosser. Je ne rentrais pas à midi. Et le soir quand j'arrivais, ça riait à gorge déployée.
Ça les fit se tordre de rire.
La semaine passa vite et le samedi matin on descendit faire les courses, Hans et moi. C'est les parents de Tim qui les gardaient tous les trois à leur demande. C'est souvent que le week-end les grands-parents s'en occupaient. Car c'est tout juste s'ils ne nous reprochaient pas, à Mary, Tim et moi, d'avoir embauché Hans et de ne plus pouvoir profiter d'eux comme avant … alors qu’ils adoraient tous celui-ci ! On ne traîna pas et dès qu'on rentra, je fis ma pate pour les pizzas du soir que je mis au frigo. On mangea un bout et c'est Hans qui proposa d'aller courir.
De là on passa chez mes parents et je demandais à mon père s'il voulait nous accompagner et il accepta. Il proposa même de prendre son pick-up pour faciliter le transport de tout le monde. Même, ma mère allait nous accompagner. Puis on passa chez les parents de Tim récupérer les jumeaux. Ils n'avaient pas trop envie de venir parce qu'ils s'amusaient bien. Mais je ne cédais pas.
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20-03-2023, 11:36 PM
Hé oui, les "cagades" ont laissé de beaux restes...chez les loupiots innocents qui répètent ce qu'énonce le vénérable papé en occitan-provençal : si c'est papé qui le dit, ce ne peut être que bien!
Ça a l'air de bien se passer entre les gamins et Hans : tant mieux. Mais il faut quand même assister à des "leçons" car ces chers petits, à 3 ans, seraient bons pour la maternelle. Et apprendre à faire des efforts n'est pas toujours la tasse de thé de notre chère marmaille qui préfère souvent s'amuser voire imiter les "grandes personnes" sans en avoir forcément les capacités. Et un début d'exercices physiques ne peut que leur faire du bien.
22-03-2023, 05:43 PM
Ensuite, on se retrouva à la cuisine. Je fis des petites boules de pâte et je les étalais ensuite. Puis je descendis à la cave récupérer 2 bocaux de sauce tomate faite par ma grand-mère. Gus et Chip essayaient d'étaler les boules de pâte sans y réussir parfaitement.
Hans servit du vin à Tim et à Mary, avant de s'en servir un verre et il posa une boite de coca devant moi. Et puis, Hans leur parla de sa proposition de faire l'école, jusqu'à leur entrée en sixième. Mary et Tim ne promirent rien. Ils voulaient y réfléchir et en parler entre eux. Ce qui était tout à fait compréhensible.
Finalement, le gâteau de Mary, c'était une charlotte aux fraises. Et les enfants, gavés et fatigués, s'étaient endormis sur le canapé, on les monta se coucher. Tim nous parla de ses projets.
Cyprien me demanda de le suivre. On alla là où il avait trouvé les pierres qui lui servaient de banc au jardin.
J’y allai avec mes fils. Il nous ouvrit et je lui tendis le plat.
- Bébé, Tim, vous connaissez ,sans le connaître, mon petit fils. Il va sur ses 40 ans. Il a un fils, mon arrière-petit-fils, qui a 15 ans. Tous les deux sont des passionnés de chevaux. Ils en ont cinq, déjà. Louis, c'est mon arrière-petit-fils, il fait des concours hippiques. Et je sais qu'ils cherchent des terrains pour y mettre des chevaux. Je pense qu'ils seraient intéressés par les vôtres. Avant de les promettre à quelqu’un, tu me laisses leur en parler.
Et à peine la porte fermée, Hans me poussa sur le canapé et commença à me faire l’amour... Je finis nos galipettes, en le prenant sur la table de la salle à manger. Et on monta se coucher. On n'avait même pas soupé, tellement on avait trop mangé le midi. On se fit une câlinerie au réveil et, après avoir bu le café et répondu à l'appel de la nature, on partit courir mais pas au même endroit qu’hier. Quand on revint, j'avais deux messages sur mon téléphone. Un de mes parents et un appel de Gaston mais pas de message. Mes parents nous invitaient à manger les restes de la veille. Avant d'aller chez eux, on passa chez le père Mathieu. Il avait téléphoné à son fils, et lui et son petit-fils, étaient intéressés par les terrains, si Tim les leur cédait. On passa pour faire un coucou aux grands-parents qui n'étaient pas là. Puis on passa chez les parents de Tim et on entendait rire de l’extérieur. On entra, les jumeaux avaient mis des fringues d’Adeline et Adeline celle de garçon… et faisaient les pitres ! On éclata de rire aussi. Ils vinrent nous faire un bisou tous les trois et repartirent en riant. Mes grands-parents étaient chez mes parents. On finit les restes et on rentra en amoureux. Il faisait chaud et on alla sur la terrasse où on se mit nus et on essaya la piscine. L'eau était encore fraîche mais baignable, même si quand on sortit, l'escargot était rentré dans sa coquille, sous l'effet de l'eau froide. Le soleil nous réchauffa vite et les attouchements de Hans m'aidèrent beaucoup. Quand il vit que je bandais bien dur il posa son cul sur ma figure. C'était une caresse qu'il appréciait énormément et quand je dis énormément c'était même plus que ça. Il récupérait le liquide qui sortait de son méat et m'enduisait le sexe avec. Quand il se sentit prêt, il se déplaça et vint s'asseoir sur mon mat de cocagne. Je le laissais aller à son rythme. Par contre, je jouais avec ses seins. Je sentais les pointes durcir sous mes doigts.
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23-03-2023, 02:26 AM
Avec l'arrivée des "chéries" des jumeaux Chips et Gus + Adeline, va y avoir des cavalcades dans la maison. Je ne sais si les filles auront le temps de "faire une partie de poupées"...Ah les morilles, que c'est bon! Concernant les cavaliers, deux vont venir exercer leurs petits talents. Mais y aura-t-il des sauts de barrières? Il faudra penser à mettre des clôtures assez hautes sinon il y aura le risque de retrouver les charmants équidés en vadrouille dans des endroits imprévus.
J'espère enfin que Tim n'utilisera pas de pesticides car ces produits, en trop grandes quantités, "tuent" les sols : en Beauce, et en d'autres endroits, hélas! beaucoup de terrains ne donneraient presque plus rien sans très grosses masses d'engrais. Hans et Bé semblent bien s'accommoder, de tous les côtés d'ailleurs. Il y a une façon sans doute non encore essayée : Si Bé faisait le poirier en étant en bonnes dispositions au moment favorable, à part le risque de se casser la figure, qu'est-ce que ça donnerait?
24-03-2023, 07:21 PM
On mangea le plat favori des garçons, c'est à dire du pain, de la charcuterie et du fromage, au grand désespoir de Hans qui, lui, aurait voulu qu'on mange des salades. Les garçons partirent sur le canapé et je les voyais se parler à l’oreille. Qu'est-ce qu’ils manigançaient encore ? Je n'allais pas tarder à le savoir.
On fit demi-tour et l'autre route n'était pas mieux.
Exceptionnellement, la télé était allumée pour voir les informations et on apprit que la région avait vraiment morflé. Qu'il faudrait quelques jours pour que tout soit rentré dans l'ordre surtout pour les petits hameaux éloignés. Après le repas, la première chose que l'on fit, fut d'aller chercher les deux congélateurs de mes grands-parents, celui de mes parents, celui de Gaston et celui des parents de Tim afin de les rebrancher dans la remise. Ça évita que tout soit perdu. Et pendant qu'on retournait travailler avec mon père, les autres s'organisèrent pour loger chez moi le temps que tout rentre dans l’ordre. Le soir j'avais fait la moitié de la route et mon père pareil. C'est Hans et les trois gamins qui sont venus me chercher, quand on rentra, ça sentait bon la cuisine.
On redescendit et on discuta un peu. Puis, Cyprien, Gaston et mon père montèrent se coucher. Je les suivis de peu et je n'entendis même pas quand Hans se coucha, tellement que j'étais fatigué. Et ce qui me surprit le plus, le matin, en me levant ce fut de voir mon père, mon grand-père, Cyprien et Gaston, assis à la table de la cuisine en train de boire le café. C’est papé qui m’apostropha :
Godet après godet je réussis à nettoyer la route. Et c'est Tim qui vint me chercher pour manger. Il était accompagné par les trois diablotins. Il ne me restait que quelques coups de pelle à donner pour finir la portion entamée et je les donnais, avec Adeline sur mes genoux pour les premiers, suivi par Chip et enfin par Gus.
Je me régalais avec le pain fabriqué dans mon four. Et celui des gamins était surprenant mais très mangeable. Et je repartis travailler. Ce n’est qu’à 18 heures passées que j'arrivais dans la plaine, au rond-point qui permettait de monter au village. Au loin un gars me faisait des grands signes. Il y avait de la boue de partout sur la route. J'arrivais jusqu'à lui.
De là j'allais jusqu'à la mairie. Le père de Tim était descendu à la mairie au tout début de l’orage et y était resté. Partout les gens sortaient de la boue des maisons et quand je me garais devant la mairie, le père de Tim était sur le haut des marches et discutait avec des gens. Il me fit signe de venir.
Je repartis et quand j'arrivais au rond-point je vis la voiture de Tim venir dans ma direction.
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24-03-2023, 08:47 PM
Le Bon Samaritain reparaît avec son papa, son "grand'pa" et les gars forts et valides sans oublier les conseils des "anciens". En effet, l'idée de placer un "groupe" est vraiment d'une très grande utilité. Ce gros orage méditerranéen avec les catastrophes inhérentes à ces régions du sud des Cévennes entraîne donc le rassemblement du groupe familial et, par le fait même, illustre bien la raison pour laquelle les "anciens" préféraient construire leurs demeures "en haut" plutôt que dans la plaine où le cours d'eau envahit tout et transforme en lac tout le terrain bas. Nous espérons que la terre emportée vers le bas ne manquera pas pour des cultures sur les coteaux sans quoi il faudrait remonter les mètres-cubes de terre déplacée et les épandre à peu près là d'où elles ont été emmenées par le ruissellement. Qué boulot!
Et voilà le "géniteur" de l'épouse de Bé, maman de Gus et Chip, qui montre le bout de son visage et le fait de présenter ses armoiries rappelle plein de choses à Mamie. D'ici à ce qu'un voyage "in England" se prépare avec Bé, ses gamins et quelques autres avec réception au château de Windsor pour voir "MAMIE ÉLIZABETH the Second" et Papy Philip of Edinburgh dans la plus grande discrétion (sinon "shocking!"), y'a pas loin!
24-03-2023, 10:52 PM
avec Bé c'est toujours l'aventure.Même la météo s'y met !
25-03-2023, 12:38 AM
Un truc qui m'a surpris, c'est qu'à présent, mais ça devait être le cas au début du siècle en pas mal d'endroit, le lignes électriques haute tension A (moins de 50 000 volts) sont le plus souvent enterrées et l'étaient déjà au début du siècle en pas mal d'endroits. Ta commune des fourches doit être vraiment dans un coin perdu pour avoir une ligne électrique aérienne et donc sujettes aux gros problèmes climatiques comme les tempêtes. Seules les lignes très haute tension sont aériennes et comme elles desservent de grandes zones, en cas de problème, on les répare vite.
27-03-2023, 04:21 PM
Elle insista tellement qu'on y alla et internet fonctionnait. Je trouvais vite l'émission dont elle m'avait parlé et je la regardais avec elle en streaming. Et presque à la fin. Je trouvais ce dont ma grand-mère me parlait. Les photos qu'on voyait représentaient une ado de 15/16 ans. C'est vrai qu'elle ressemblait à Victoria, beaucoup même. Elle était la fille d'un des neveux de la reine Élisabeth mais pas que ! Elle était aussi la petite nièce de la reine des Pays-Bas.
Et vint la fameuse photo du bijou. C'était bien le même. Il n'y avait aucun doute là-dessus. Je stoppais l'enregistrement pour noter le numéro de téléphone et l'adresse mail. On partit.
Finalement je finis par m'endormir et quand j'entendis une porte s'ouvrir, je me levais, m'habillais et je descendis. Dès qu'il fit jour on partit à la carrière. Je pris la grosse pelle, celle avec laquelle on chargeait les semi-remorques et je descendis. Et jusqu'au vendredi je dégageais les plus gros entassements que l'eau avait laissé. On avait à nouveau le courant et internet, depuis hier. Enfin, la semaine était finie. Tim et Mary ce samedi-là n'allèrent pas au marché parce que là où ils devaient aller, ça avait aussi été inondé, moins que chez nous. Mais les marchés avaient été tout de même annulés. Du coup on rapporta à chacun son congélateur pendant que les femmes, chez moi, faisaient du ménage et des lessives. En fin de matinée c'est Gilles, son père, Véro et les jumelles qui arrivèrent. Gaston était très ému et on les laissa tranquille. On repartait quand son fils arriva. Dans l'après-midi on retourna aux morilles et on en trouva encore plein. On était seuls avec les garçons à la maison.
Je me levais le premier, comme d'habitude, et je préparais la table du petit-déjeuner mais quand je partis, personne n'était encore debout. Je frappais et j'entrais chez Gaston. Son fils, son petit-fils et Tim étaient assis autour de la table de la cuisine. Je fis la bise à Tim et à Gaston et je serais la main à Louis et à son père, Jacques. On entra directement dans le vif du sujet et je laissais Tim se débrouiller avec eux parce que, personnellement, je m'en moquais un peu. Puis on alla sur le terrain. En fait Tim leur en céda un grand morceau, plus qu'ils ne l'avaient espéré. Et pour la location des terres, je ne leur demandais que ce que les impôts me réclamaient c'est à dire trois fois rien.
Quand l'été arriva, Louis monta tous ses chevaux et son matériel qu'il rangea dans la remise… et c'est la première fois que les jumeaux montèrent dessus. Mais ce ne fut pas la dernière, loin de là. Ils eurent droit tous les jours à deux heures d’équitation. L'été tirait à sa fin. Ça faisait près d'un mois qu'on avait reçu les résultats des tests ADN. Hans avait contacté son cousin (le frère d'Anna ou de Victoria) mais sans lui parler de sa sœur. Il apprit qu'ils allaient passer quelques jours dans le sud de la France fin août. Et ils avaient prévu de se voir à ce moment-là. Justement ils venaient de se téléphoner. Il y avait un changement de programme. Au lieu d'aller à l'hôtel comme prévu, ils étaient invités dans la villa d'un ‘’roi du pétrole’’. Quand Hans me dit son nom, ça me fit sourire. Je le connaissais bien, je lui avais sauvé la vie. Je pris mon téléphone et j'appelais John Smith.
On arriva vers 18 heures à la villa du Cheikh. On nous conduisit directement dans nos chambres… qui communiquaient. Quelques minutes plus tard quelqu'un frappa à ma porte et J'ouvris à John Smith.
Le repas traîna en longueur et dès qu'on put on s’éclipsa. On alla faire un tour dans le parc. Et discrètement on regagna nos chambres. Le petit déjeuner était servi à partir de huit heures. Quand on y arriva l'oncle et la tante de Hans y étaient aussi. Hans s'approcha d'eux et sa tante nous invita à sa table. La conversation se déroula en anglais et ils parlèrent surtout de leur famille. On avait fini et Hans demanda à son oncle et à a tante s'ils pouvaient nous accorder un entretien privé.
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27-03-2023, 10:42 PM
(Modification du message : 27-03-2023, 11:15 PM par emmanolife.)
Je suis un peu paumé avec toutes ces altesses ! J'aime mieux quand ils vont chercher des morilles... Mais peut-être les jumeaux seront-ils invités à passer l'été à Balmoral l'année prochaine...
28-03-2023, 02:03 AM
Bon, résumons-nous : un neveu de Her Majesty. Ou bien c'est un des fils de Margret , d'une sœur de Philip of Mounbatten (ex-Battenberg et "de Grèce"). Mais il me semble qu'il était le seul garçon du roi de Grèce. Et il avait 4 sœurs qui ont toutes épousé des nobles allemands quelque peu "mouillés" avec le régime du IIIe Reich. Donc, Philip a eu des neveux. Margret a eu aussi un fils avec son époux. Les paris sont ouverts pour connaître le "papa" de Victoria.
Je trouve que le nom de Lord et Lady "Moneytimes" cadre bien : Time is money, dit-on "over Channel", surtout à la Bourse de Londres...! Alors, que vont donc se dire Bé, monsieur et madame Moneytimes? Parler "gros sous"? parler "famille"? Rapatrier les cendres de l'épouse de Bé dans le caveau familial "in England"? Non : pas de ça Lisette ! Les petits doivent pouvoir aller retrouver" maman" près de chez eux et pas Outre-Manche. Na ! Et God bless the queen (the king en 2023 !) |
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