CHAPITRE XI (suite)
- Bonjour mon chéri.
- Bonjour ma puce.
- Lorsque je me suis réveillée, il y avait un grand vide dans le lit. J’ai fait comme si j’étais chez moi et c’est drôle parce que j’avais l’impression d’être déjà chez moi. J'allais dire chez nous. J’ai cherché de quoi prendre le petit déjeuner. J’ai trouvé une de tes chemisettes blanches dans ta penderie. J’aime bien mettre tes chemises. J’adore ton odeur. J’ai l’impression d’être avec toi partout où je vais. Embrasse-moi.
Je dépose un tout petit bisou sur le nez d’Alice qui me tendait ses lèvres.
- Oh toi … mieux que ça.
Je l’embrasse sur ses joues, sur son front. Un bisou sur l’une de ses paupières, un autre sur l’oreille. J’effleure ses lèvres qui sourient délicieusement. Alice conquise, s’attend à recevoir les miennes et je m’échappe dans son cou, j’embrasse ses cheveux et mes lèvres survolent son épaule, passent sur l’un de ses seins où je dépose un baiser d’amour.
- Embrasse-moi gros coquin me supplie-t-elle.
Nos lèvres se retrouvent. Je titille sa langue avec la mienne avant de plonger délicieusement dans un baiser fougueux où l’amour et la passion se mélangent pour mieux s’associer en toute insolence. Mes mains courent sur ma chemise portée par Alice, au-dessus, en dessous. Alice est collée à moi. Je suis tout chose. Une main se perd sur ses fesses. Je passe sur son minou.
- Mais tu es toute nue là-dessous?
- Gros bêta, un string, tu ne laisses pas ça six mois sur les fesses et j’ai bien pensé te piquer un de tes slips à la sortie de la douche mais je n’ai pas osé. Et puis je suis très bien comme ça.
- Viens.
J’emmène Alice devant ma penderie.
- Tu aimes ?
- Tu n’es pas possible mon chéri. Tu as dévalisé le magasin ? Oui j’aime beaucoup la couleur. Tu me le mets ?
Je me baisse et mes lèvres courent sur le corps d’Alice. En chemin, elles rencontrent ses seins, son ventre plat, son nombril, son pubis. J’embrasse la naissance de son sexe avec la bravoure du conquérant, je continue sur l’une de ses jambes magnifiquement effilées, je passe de l’une à l’autre. Alice me tend un de ses pieds. Je l’embrasse et je l’emprisonne. Son minou qui me nargue ouvertement. Elle me tend l’autre pied où je passe la ficelle et je remonte le string, faisant dans le même temps courir mes lèvres dans un marathon ascendant.
- Tourne toi lui dis-je.
Ses fesses sont juste devant mon visage, magnifiques et somptueuses. Impossible de résister. Je les caresse avec désir. Je les embrasse avec l’ivresse fou d’un ivrogne en manque depuis des siècles. Mes lèvres papillonnent partout en remontant le petit bout de tissus que j’ajuste en écartant légèrement les deux lobes fessiers. La ficelle rose vient s’y loger délicatement, recouvrant à peine sa petite noisette brune. Je caresse le tissu, devant, derrière.
- Résultat magnifique. Tu es trop belle ma chérie mais je me demande s’il n’y avait pas plus urgent que de remonter ta culotte.
- Tu abuses. C’est toi qui me l’a proposé mon chéri et maintenant qu’elle est mise … et puis je n’ai pas envie maintenant. J’ai une autre idée.
- Bonjour mon chéri.
- Bonjour ma puce.
- Lorsque je me suis réveillée, il y avait un grand vide dans le lit. J’ai fait comme si j’étais chez moi et c’est drôle parce que j’avais l’impression d’être déjà chez moi. J'allais dire chez nous. J’ai cherché de quoi prendre le petit déjeuner. J’ai trouvé une de tes chemisettes blanches dans ta penderie. J’aime bien mettre tes chemises. J’adore ton odeur. J’ai l’impression d’être avec toi partout où je vais. Embrasse-moi.
Je dépose un tout petit bisou sur le nez d’Alice qui me tendait ses lèvres.
- Oh toi … mieux que ça.
Je l’embrasse sur ses joues, sur son front. Un bisou sur l’une de ses paupières, un autre sur l’oreille. J’effleure ses lèvres qui sourient délicieusement. Alice conquise, s’attend à recevoir les miennes et je m’échappe dans son cou, j’embrasse ses cheveux et mes lèvres survolent son épaule, passent sur l’un de ses seins où je dépose un baiser d’amour.
- Embrasse-moi gros coquin me supplie-t-elle.
Nos lèvres se retrouvent. Je titille sa langue avec la mienne avant de plonger délicieusement dans un baiser fougueux où l’amour et la passion se mélangent pour mieux s’associer en toute insolence. Mes mains courent sur ma chemise portée par Alice, au-dessus, en dessous. Alice est collée à moi. Je suis tout chose. Une main se perd sur ses fesses. Je passe sur son minou.
- Mais tu es toute nue là-dessous?
- Gros bêta, un string, tu ne laisses pas ça six mois sur les fesses et j’ai bien pensé te piquer un de tes slips à la sortie de la douche mais je n’ai pas osé. Et puis je suis très bien comme ça.
- Viens.
J’emmène Alice devant ma penderie.
- Tu aimes ?
- Tu n’es pas possible mon chéri. Tu as dévalisé le magasin ? Oui j’aime beaucoup la couleur. Tu me le mets ?
Je me baisse et mes lèvres courent sur le corps d’Alice. En chemin, elles rencontrent ses seins, son ventre plat, son nombril, son pubis. J’embrasse la naissance de son sexe avec la bravoure du conquérant, je continue sur l’une de ses jambes magnifiquement effilées, je passe de l’une à l’autre. Alice me tend un de ses pieds. Je l’embrasse et je l’emprisonne. Son minou qui me nargue ouvertement. Elle me tend l’autre pied où je passe la ficelle et je remonte le string, faisant dans le même temps courir mes lèvres dans un marathon ascendant.
- Tourne toi lui dis-je.
Ses fesses sont juste devant mon visage, magnifiques et somptueuses. Impossible de résister. Je les caresse avec désir. Je les embrasse avec l’ivresse fou d’un ivrogne en manque depuis des siècles. Mes lèvres papillonnent partout en remontant le petit bout de tissus que j’ajuste en écartant légèrement les deux lobes fessiers. La ficelle rose vient s’y loger délicatement, recouvrant à peine sa petite noisette brune. Je caresse le tissu, devant, derrière.
- Résultat magnifique. Tu es trop belle ma chérie mais je me demande s’il n’y avait pas plus urgent que de remonter ta culotte.
- Tu abuses. C’est toi qui me l’a proposé mon chéri et maintenant qu’elle est mise … et puis je n’ai pas envie maintenant. J’ai une autre idée.
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