13-02-2023, 09:11 PM
Un avait commencé par mes pieds et l'autre par mon dos. Ils se rejoignirent au niveau de mes fesses et ils ne se privèrent pas de me les masser. J'eus même droit à un doigt fureteur. Ils me firent allonger sur le dos et là aussi ils se rejoignirent au niveau central… sur ma queue, qui jouait le mât de cocagne.
Puis ce fut au tour de Steph de passer entre nos mains pour le passage de crème et quand on se rejoignit au niveau de ses fesses Franck insista beaucoup sur sa rondelle si bien qu'il y enfila vite quatre doigts, puis je le vis replier son pouce et forcer un peu.
Steph soufflait, un peu comme une femme qui accouche. La main passa entière. Il força encore un peu et une partie de son avant-bras entra. Puis il se mit à faire quelques allers retours et ressortit son bras avec le poing fermé. Il claqua la fesse de Steph, en disant :
- La suite, ça sera pour plus tard. C'est à mon tour de me faire masser.
Franck prit donc la place de Steph et on lui passa de la crème après solaire. Steph s'en mit sur la queue et le baisa quelques minutes avant de se retirer et dit en riant :
- Pour toi aussi la suite ça sera pour tout à l’heure.
- Allez Steph, encore un peu.
- Non, tu en as assez pour le moment. Au fait Jean-François, on a commandé des pizzas. Tu restes avec nous pour manger et pour dormir ?
- C'est si gentiment proposé que je ne peux pas refuser. Mais vous comptez vraiment dormir ?
- Pas tout de suite, après manger, on voudrait aussi s'amuser un peu, avant. Pour une fois qu'on trouve un bon étalon endurant ça serait dommage de ne pas en profiter.
Les pizzas ne devraient plus tarder.
Une dizaine de minutes après, ça frappait à leur porte. Franck alla ouvrir et il me présenta Nick (Nicolas de son vrai nom). Il posa les pizzas sur la table et quitta ses fringues. Lui n'était pas très grand mais sa queue était énorme, aussi grosse que la mienne. Mais sur un gars de sa taille ça la faisait paraître encore plus immense.
- Je n’ai pas droit à ma pipe de bienvenue aujourd'hui les salopes ?
Aussitôt Steph et Franck se mirent à genoux pour satisfaire leur 'maître’. Et quand il banda bien il leur demanda d’arrêter.
- Si on mangeait les pizzas tant qu'elles sont chaudes ?
On passa à table et au bout d'un moment, les pizzas à moitié consommées, Franck passa sous la table . Je le sentis me caresser la bite. Puis il me la suça.
- Si tu allais aider l'autre salope. On est deux à sucer. C'est comme ça que vous recevez vos invités ?
Steph le rejoignit. De temps en temps ils échangeaient.
- Alors Jeff, tu préfères lequel ?
- C'est des bons suceurs tous les deux. Steph avale plus profond mais Franck se sert mieux de sa langue. Et ils ont un bon cul tous les deux.
- Pour ça ils se valent, oui. Allez, on va à la chambre, j'en ai marre de me faire sucer. En position.
Ils se mirent à quatre pattes, côte à côte, mais pas dans le même sens. Puisque Nick était en train de s'occuper de Steph, j'allais m'occuper de Franck. Je déroulais une capote sur ma queue et je l'enfilais d'une seule poussée.
- Ho putain, oui, je la sens bien ta grosse queue. Elle me remplit bien. Vas y démonte moi le cul… Oui comme ça… Tape bien au fond… Vas y plus sec…
- Tu devrais aussi lui coller des claques sur le cul. Elle aime trop, cette salope. Toi qui as de grandes paluches, il va apprécier. Tu verras ça lui donne de l'énergie dans les coups de cul.
- Et toi salope, vas chercher tes pinces à seins et les poids qui vont avec. Quand je t'aurai posé ça, je m'occuperai de ton cul. Et tu vas morfler . Apporte plutôt la valise où vous rangez vos jouets. Ça pourra nous donner des idées à Jeff et à moi.
Quand il revint Nick vida une quantité impressionnante de sextoys sur le lit. Il y avait tout un tas de godes et de plugs, sans compter des cock-rings en métal, en cuir, avec ou sans clous …
Je pris un petit gode que j'ajoutais à ma queue. Il couina quand je l'enfonçais d'un coup.
Pour Franck c'était une autre histoire. Nick avait pris une cravache dans les gadgets en vrac sur le lit et il lui zébrait les fesses. Franck ne bandait pas mais un fil de mouille coulait de sa queue. Nick devait en avoir marre de le frapper. Il ouvrit un pot de graisse, je ne savais pas trop, il en tartina le cul de Franck.
Il enfila directement quatre doigts dans le cul de Franck, il replia le pouce et força. Ses sphincters lâchèrent et la main de Nick entra jusqu'au niveau du poignet. Il força, fit quelques mouvements d'avant en arrière, força encore et il ne s'arrêta que quand tout son avant-bras fut à l’intérieur.
Franchement, je ne trouvais pas ça bandant comme pratique. Bon, après tout, on ne me demandait pas de le faire et j'avais le cul de Steph à disposition... J'aimais mieux, ça.
Franck et Nick s'en donnaient à cœur joie et les cris rauques de Franck allaient finir par attirer le voisinage. Franck attrapa une bouteille de poppers et se gazait, comme il disait, à longueur de temps. Il tendit la bouteille à Steph qui fit de même.
Mais ce qui me surprit c'est quand Nick retira son bras, que Steph se libéra de ma queue et alla remplacer Nick qui était allé se laver pour enlever l'espèce de graisse qu'il avait sur les bras. J'étais en train de me demander quelle suite il allait y avoir parce que franchement ça me plaisait de moins en moins quand Nick revint et qu'il tomba à genoux devant ma queue et commença à me sucer.
Il essayait de me prendre en gorge profonde et Steph me fit signe de le tenir par le crâne et de forcer. Ça, je pouvais le faire. Je le pris derrière la tête et je forçais pour que les derniers centimètres entrent. Je restais comme ça sans bouger le temps qu'il suffoque un peu, je le laissais respirer et je recommençais. Il en bandait raide qu’il voulut se branler.
- Non, tu ne touches pas à ta queue. Parce que je crois bien qu'ici il n'y a pas deux salopes mais trois, et toi tu dois être la pire ! Tu fais le malin parce que tu as une grosse queue mais je suis sûr que quand tu vas te prendre la mienne dans le cul, tu vas couiner encore plus fort que quand Franck a pris ton bras. Je vais te montrer ce que c'est un vrai mec qui sait se servir de sa queue. Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
- Tu peux prendre la graisse, elle est compatible avec le latex et elle lubrifie mieux. En revanche vas-y en douceur, je ne suis pas trop habitué à prendre une queue.
J'enfilais une capote, je pris de la graisse avec mes doigts, je tartinais sa rosette et j'enfilais deux doigts, direct. C'est vrai qu'il était serré. Je ne voulais pas lui casser le cul d’entrée. Je pris mon temps pour le préparer convenablement.
Mais je crois que, comme Steph et Franck, il devait aimer avoir mal. Au bout de trois doigts j'y mis ma queue et je l’enfonçais. Lui aussi poussa un cri rauque quand mon gland le perfora. Il contracta son anus et je le fis se détendre en lui collant deux grandes claques sur les fesses tout en poussant. Ma queue entra en plein, d’un trait. Steph lui fit sniffer du poppers. Il se détendit un peu. Je le pris par les hanches et je me mis à le 'bourriner’. Sa queue mouillait grave.
Steph et Franck avaient changé de place. Mais Franck ne fistait pas Steph. Ils jouaient avec des godes. Ils en avaient un double, de belle taille, et s'en était enfoncé une bonne longueur chacun. Et ils complétaient ça en en rajoutant quelques autres plus ou moins gros.
Je prenais maintenant Nick en missionnaire. Sa queue s'était mise à bander bien dur et tout d'un coup, il râla et une longue giclée de sperme se mit à s'écouler de sa queue. Il tremblait de tous ses membres. Je me mis à le baiser de plus belle. Il me demanda d'arrêter mais égoïstement je continuais. Si bien qu'il se remit à pisser du sperme, encore plus fort et bien plus longtemps. J'étais sur le point de jouir. Je me retirais et je lui tartinais la figure de sperme.
Franck et Steph retirèrent les joujoux qu'ils avaient dans les fesses et vinrent lécher le sperme qui coulait sur Nick. On alla prendre une douche à tour de rôle. Et on s’installa tous dans le salon. On but un coup et les deux gourmands vinrent téter nos queues. Autant Nick que moi, on réagit à leurs caresses et cette fois on refit l'amour, presque, calmement.
Les garçons eurent droit à une double pénétration chacun. Et comme on avait déjà joui plusieurs fois, tous autant qu'on était, ça dura bien plus longtemps que normalement. On reprit une douche et on se retrouva une nouvelle fois au salon.
- Tu restes dormir avec nous Nick ?
- Non je ne peux pas. Il faut que je sois à la maison quand ma copine rentrera tout à l’heure.
- Tu as une copine, Nick ?
- Oui, elle bosse dans une boite de nuit les week-ends. Et elle rentre sur le coup de six heures. Donc, j'ai trois heures pour reprendre un peu de forces parce que chaque fois qu'elle rentre, elle est tellement excitée qu'il faut que je lui fasse l’amour. Je m'habille et je file.
Il nous roula une pelle à chacun pour nous dire au revoir.
- Tu restes Jeff ?
- Oui, je veux bien.
- Tu te mets au milieu de nous ?
- Comme vous voulez.
Et le matin, quand je me réveillais on était enlacés tous les trois. Je réussis à m'extirper de ce sac de jambes et de bras, sans les réveiller et je m’habillais. Je réussis à trouver une boulangerie où j'achetais des viennoiseries et du pain. Puis je retournais au mobile-home des garçons.
Ils étaient réveillés et me firent un grand sourire quand je passais la porte. Ils étaient à poil, évidemment. Je posais ce que je tenais sur la table de la cuisine et je me mis nu.
Oui, je sais, c'est naturiste.
- On croyait que tu étais parti.
- Mais je n'en avais pas l’intention. J'avais juste envie de vous faire un petit plaisir.
- Cool ça. Tu bois du café ou du thé ?
- Du café, noir et sans sucre.
On petit déjeuna tout en discutant.
- Tu viens avec nous à la plage, cet après-midi ?
- Si vous m'accepter, je veux bien.
- Bien sûr qu'on t’accepte. En revanche, avec ce que vous nous avez mis hier soir, aujourd'hui c'est relâche. Alors si tu as envie de sexe on ne sera pas vexé si tu vas faire un tour dans les bois.
- C'est bon, moi aussi j'ai bien donné alors je n'ai pas des plus envie de sexe non plus. Mais, si l'envie de me tailler une pipe vous prend cet après-midi, ne vous privez pas. Par contre, je dois partir vers dix-huit heures. Je dois récupérer un pote qui arrive à la gare de Montpellier à dix-neuf heures.
- Tu vas niquer avec lui, ce soir ?
- Hé, hé ! Non, il est hétéro. Mais il est vraiment beau gosse, pas autant que moi mais presque.
- Ça va tes chevilles ?
- Oui, pourquoi ?
On partit à la plage sur le coup de midi et à dix-huit heures je les déposais devant l'entrée de leur camping puis j'allais récupérer Tom à la gare. Et cette fois encore il avait réservé une chambre… avec un lit double.
On crevait de chaud. Très vite on fut nus et on prit une douche… à tour de rôle.
- Putain Jeff t'es vraiment bronzé.
- La plage mec, la plage. Rien de tel pour bronzer.
- J'y suis allé aussi avec ma copine ce week-end mais je n'ai pas tant bronzé que toi.
- Normal t'es un nordiste. En plus, tu bronzes avec un maillot de bain. C'est nul les traces. Et tu mets des shorts de bain, encore plus nul.
- Il vaut mieux que j'ai un short de bain parce que quand ma copine me passe de la crème… Humm, je te dis pas la trique que je choppe.
- Bin, de cette façon, tu as dû prendre un bon acompte avant de venir.
- Pas depuis quatre jours. C'était zone rouge. Alors non, je n'ai pas pris d’avance. Donc, si cette nuit tu sens ma queue dans tes fesses, c'est que je t'aurai confondu avec Caro.
- De toute façon c'est pas avec ta bite que tu risques de me faire mal. Fais plutôt attention que ce ne soit pas la mienne qui se coince entre tes miches. Mais fais gaffe, elle risque de chercher ton petit trou vierge.
- Oh ! Tu oserais m’enculer ?
- T'as un beau petit cul, une taille fine où m'accrocher pour bien te baiser, alors pourquoi pas… Hé, hé ! Fais pas la gueule, je rigole.
- Et toi c'est quand que tu as baisé.
- Ce matin, de bonne heure. Hier après-midi je suis tombé sur des salopes et j'ai passé la nuit chez elles. J'ai les couilles vides pour deux ou trois jours. Après, je ne te promets rien.
- D'ici là, tu n'auras qu'à te branler, comme moi, sous la douche.
- J'espère que tu rinces bien, après. Je ne voudrais pas écraser tes enfants.
- Pfff. T’es con ! T'as révisé un peu les cours?
- Oui, enfin, vite fait, surtout la théorie parce que la pratique c'est moins évident. Bon, après y'a rien de plus, par rapport à ce qu'on a appris pendant nos études.
On discuta encore un moment, on alla manger un bout au fastfood du coin puis on rentra se coucher.
Dans la nuit Tom dut me confondre avec Caro parce qu'il se colla à mon dos et posa sa main sur ma hanche. Ça me réveilla et me fit bander. Petit à petit, je sentis sa queue qui se frayait un chemin entre nos corps, venant se nicher entre mes globes.
Doucement je commençais à bouger mes fesses pour bien l’exciter. Puis je me rendis compte que ce que je lui faisais pendant son sommeil était dégueulasse. Je m’arrêtais.
Mais là, c'est lui qui donna des petits coups de rein. Il se mit à gémir et je sentis trois grosses giclées de sperme contre mes fesses. Bin merde alors, je ne m'attendais pas à ça !
Puis il se retourna de l'autre côté du lit. Je me levais et j'allais à la salle de bain m'essuyer les fesses avec du papier cul. Je retournais me coucher.
Le matin quand on se réveilla on avait tous les deux la trique qui soulevait le drap. On se, marra en constatant notre « bonne santé »
- Tu vas diminuer ça sous la douche le premier où j'y vais ?
- Vas y le premier Tom, moi je ferai ça dans le lit. J'aime mon confort.
- Non, mais ! Tu ne vas pas te branler dans notre lit, non plus .
- Et pourquoi pas ?
- Bin parce que c'est notre lit !
- J'aimerai bien savoir le nombre de gens qui y ont déjà baisé dans ‘notre’ lit.
On se chamailla encore un peu et finalement nos érections retombèrent seules. On prit la douche, on but le café et on alla à la fac.
Comme la semaine précédente, c'était deux heures de théorie et deux heures de pratique et ça, deux fois par jour. Le soir quand on rentrait on se mettait en tenue de sport et on allait courir. Le jeudi soir on courut un peu plus que d'habitude et on rentra en discutant, trottinant.
- Jeff, tu as déjà sauvé la vie de quelqu’un ?
- Je pense que oui, même plusieurs et toi ?
- Non jamais. Tu as fait comment ?
- Le premier c'est le gars qui nous louait notre appartement quand on faisait nos études . Il a fait un infarctus et on a du lui faire avec un pote du bouche à bouche et un massage cardiaque . Le second c'est un gars qui s'était ramassé des coups de couteau. J'étais avec un pote avec qui je faisais mes études d’infirmier. On lui a fait des pansements compressifs et quand on a réussi à arrêter les hémorragies on l'a recousu à la super glu.
- Tu me fais marcher là ?
- Non, Tom, je te jure que ce que je te raconte est vrai.
- D'accord, je te crois. Il y en a d'autres ? Parce que tu as dit le premier , le second c'est donc qu'il y en avait un autre. Parce qu'on dit qu'il n'y en a jamais 2 sans 3 ...
- Non en fait il y en a ‘des’ autres.
Je lui racontais l’accident.
- Et tu as osé lui faire une trachéotomie et avec un couteau suisse, en plus ? Là, je ne suis pas sûr de te croire.
- Quand on rentre, je te montre. Il y a eu un article dans le Provençal. On peut le trouver sur le net.
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Puis ce fut au tour de Steph de passer entre nos mains pour le passage de crème et quand on se rejoignit au niveau de ses fesses Franck insista beaucoup sur sa rondelle si bien qu'il y enfila vite quatre doigts, puis je le vis replier son pouce et forcer un peu.
Steph soufflait, un peu comme une femme qui accouche. La main passa entière. Il força encore un peu et une partie de son avant-bras entra. Puis il se mit à faire quelques allers retours et ressortit son bras avec le poing fermé. Il claqua la fesse de Steph, en disant :
- La suite, ça sera pour plus tard. C'est à mon tour de me faire masser.
Franck prit donc la place de Steph et on lui passa de la crème après solaire. Steph s'en mit sur la queue et le baisa quelques minutes avant de se retirer et dit en riant :
- Pour toi aussi la suite ça sera pour tout à l’heure.
- Allez Steph, encore un peu.
- Non, tu en as assez pour le moment. Au fait Jean-François, on a commandé des pizzas. Tu restes avec nous pour manger et pour dormir ?
- C'est si gentiment proposé que je ne peux pas refuser. Mais vous comptez vraiment dormir ?
- Pas tout de suite, après manger, on voudrait aussi s'amuser un peu, avant. Pour une fois qu'on trouve un bon étalon endurant ça serait dommage de ne pas en profiter.
Les pizzas ne devraient plus tarder.
Une dizaine de minutes après, ça frappait à leur porte. Franck alla ouvrir et il me présenta Nick (Nicolas de son vrai nom). Il posa les pizzas sur la table et quitta ses fringues. Lui n'était pas très grand mais sa queue était énorme, aussi grosse que la mienne. Mais sur un gars de sa taille ça la faisait paraître encore plus immense.
- Je n’ai pas droit à ma pipe de bienvenue aujourd'hui les salopes ?
Aussitôt Steph et Franck se mirent à genoux pour satisfaire leur 'maître’. Et quand il banda bien il leur demanda d’arrêter.
- Si on mangeait les pizzas tant qu'elles sont chaudes ?
On passa à table et au bout d'un moment, les pizzas à moitié consommées, Franck passa sous la table . Je le sentis me caresser la bite. Puis il me la suça.
- Si tu allais aider l'autre salope. On est deux à sucer. C'est comme ça que vous recevez vos invités ?
Steph le rejoignit. De temps en temps ils échangeaient.
- Alors Jeff, tu préfères lequel ?
- C'est des bons suceurs tous les deux. Steph avale plus profond mais Franck se sert mieux de sa langue. Et ils ont un bon cul tous les deux.
- Pour ça ils se valent, oui. Allez, on va à la chambre, j'en ai marre de me faire sucer. En position.
Ils se mirent à quatre pattes, côte à côte, mais pas dans le même sens. Puisque Nick était en train de s'occuper de Steph, j'allais m'occuper de Franck. Je déroulais une capote sur ma queue et je l'enfilais d'une seule poussée.
- Ho putain, oui, je la sens bien ta grosse queue. Elle me remplit bien. Vas y démonte moi le cul… Oui comme ça… Tape bien au fond… Vas y plus sec…
- Tu devrais aussi lui coller des claques sur le cul. Elle aime trop, cette salope. Toi qui as de grandes paluches, il va apprécier. Tu verras ça lui donne de l'énergie dans les coups de cul.
- Et toi salope, vas chercher tes pinces à seins et les poids qui vont avec. Quand je t'aurai posé ça, je m'occuperai de ton cul. Et tu vas morfler . Apporte plutôt la valise où vous rangez vos jouets. Ça pourra nous donner des idées à Jeff et à moi.
Quand il revint Nick vida une quantité impressionnante de sextoys sur le lit. Il y avait tout un tas de godes et de plugs, sans compter des cock-rings en métal, en cuir, avec ou sans clous …
Je pris un petit gode que j'ajoutais à ma queue. Il couina quand je l'enfonçais d'un coup.
Pour Franck c'était une autre histoire. Nick avait pris une cravache dans les gadgets en vrac sur le lit et il lui zébrait les fesses. Franck ne bandait pas mais un fil de mouille coulait de sa queue. Nick devait en avoir marre de le frapper. Il ouvrit un pot de graisse, je ne savais pas trop, il en tartina le cul de Franck.
Il enfila directement quatre doigts dans le cul de Franck, il replia le pouce et força. Ses sphincters lâchèrent et la main de Nick entra jusqu'au niveau du poignet. Il força, fit quelques mouvements d'avant en arrière, força encore et il ne s'arrêta que quand tout son avant-bras fut à l’intérieur.
Franchement, je ne trouvais pas ça bandant comme pratique. Bon, après tout, on ne me demandait pas de le faire et j'avais le cul de Steph à disposition... J'aimais mieux, ça.
Franck et Nick s'en donnaient à cœur joie et les cris rauques de Franck allaient finir par attirer le voisinage. Franck attrapa une bouteille de poppers et se gazait, comme il disait, à longueur de temps. Il tendit la bouteille à Steph qui fit de même.
Mais ce qui me surprit c'est quand Nick retira son bras, que Steph se libéra de ma queue et alla remplacer Nick qui était allé se laver pour enlever l'espèce de graisse qu'il avait sur les bras. J'étais en train de me demander quelle suite il allait y avoir parce que franchement ça me plaisait de moins en moins quand Nick revint et qu'il tomba à genoux devant ma queue et commença à me sucer.
Il essayait de me prendre en gorge profonde et Steph me fit signe de le tenir par le crâne et de forcer. Ça, je pouvais le faire. Je le pris derrière la tête et je forçais pour que les derniers centimètres entrent. Je restais comme ça sans bouger le temps qu'il suffoque un peu, je le laissais respirer et je recommençais. Il en bandait raide qu’il voulut se branler.
- Non, tu ne touches pas à ta queue. Parce que je crois bien qu'ici il n'y a pas deux salopes mais trois, et toi tu dois être la pire ! Tu fais le malin parce que tu as une grosse queue mais je suis sûr que quand tu vas te prendre la mienne dans le cul, tu vas couiner encore plus fort que quand Franck a pris ton bras. Je vais te montrer ce que c'est un vrai mec qui sait se servir de sa queue. Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
- Tu peux prendre la graisse, elle est compatible avec le latex et elle lubrifie mieux. En revanche vas-y en douceur, je ne suis pas trop habitué à prendre une queue.
J'enfilais une capote, je pris de la graisse avec mes doigts, je tartinais sa rosette et j'enfilais deux doigts, direct. C'est vrai qu'il était serré. Je ne voulais pas lui casser le cul d’entrée. Je pris mon temps pour le préparer convenablement.
Mais je crois que, comme Steph et Franck, il devait aimer avoir mal. Au bout de trois doigts j'y mis ma queue et je l’enfonçais. Lui aussi poussa un cri rauque quand mon gland le perfora. Il contracta son anus et je le fis se détendre en lui collant deux grandes claques sur les fesses tout en poussant. Ma queue entra en plein, d’un trait. Steph lui fit sniffer du poppers. Il se détendit un peu. Je le pris par les hanches et je me mis à le 'bourriner’. Sa queue mouillait grave.
Steph et Franck avaient changé de place. Mais Franck ne fistait pas Steph. Ils jouaient avec des godes. Ils en avaient un double, de belle taille, et s'en était enfoncé une bonne longueur chacun. Et ils complétaient ça en en rajoutant quelques autres plus ou moins gros.
Je prenais maintenant Nick en missionnaire. Sa queue s'était mise à bander bien dur et tout d'un coup, il râla et une longue giclée de sperme se mit à s'écouler de sa queue. Il tremblait de tous ses membres. Je me mis à le baiser de plus belle. Il me demanda d'arrêter mais égoïstement je continuais. Si bien qu'il se remit à pisser du sperme, encore plus fort et bien plus longtemps. J'étais sur le point de jouir. Je me retirais et je lui tartinais la figure de sperme.
Franck et Steph retirèrent les joujoux qu'ils avaient dans les fesses et vinrent lécher le sperme qui coulait sur Nick. On alla prendre une douche à tour de rôle. Et on s’installa tous dans le salon. On but un coup et les deux gourmands vinrent téter nos queues. Autant Nick que moi, on réagit à leurs caresses et cette fois on refit l'amour, presque, calmement.
Les garçons eurent droit à une double pénétration chacun. Et comme on avait déjà joui plusieurs fois, tous autant qu'on était, ça dura bien plus longtemps que normalement. On reprit une douche et on se retrouva une nouvelle fois au salon.
- Tu restes dormir avec nous Nick ?
- Non je ne peux pas. Il faut que je sois à la maison quand ma copine rentrera tout à l’heure.
- Tu as une copine, Nick ?
- Oui, elle bosse dans une boite de nuit les week-ends. Et elle rentre sur le coup de six heures. Donc, j'ai trois heures pour reprendre un peu de forces parce que chaque fois qu'elle rentre, elle est tellement excitée qu'il faut que je lui fasse l’amour. Je m'habille et je file.
Il nous roula une pelle à chacun pour nous dire au revoir.
- Tu restes Jeff ?
- Oui, je veux bien.
- Tu te mets au milieu de nous ?
- Comme vous voulez.
Et le matin, quand je me réveillais on était enlacés tous les trois. Je réussis à m'extirper de ce sac de jambes et de bras, sans les réveiller et je m’habillais. Je réussis à trouver une boulangerie où j'achetais des viennoiseries et du pain. Puis je retournais au mobile-home des garçons.
Ils étaient réveillés et me firent un grand sourire quand je passais la porte. Ils étaient à poil, évidemment. Je posais ce que je tenais sur la table de la cuisine et je me mis nu.
Oui, je sais, c'est naturiste.
- On croyait que tu étais parti.
- Mais je n'en avais pas l’intention. J'avais juste envie de vous faire un petit plaisir.
- Cool ça. Tu bois du café ou du thé ?
- Du café, noir et sans sucre.
On petit déjeuna tout en discutant.
- Tu viens avec nous à la plage, cet après-midi ?
- Si vous m'accepter, je veux bien.
- Bien sûr qu'on t’accepte. En revanche, avec ce que vous nous avez mis hier soir, aujourd'hui c'est relâche. Alors si tu as envie de sexe on ne sera pas vexé si tu vas faire un tour dans les bois.
- C'est bon, moi aussi j'ai bien donné alors je n'ai pas des plus envie de sexe non plus. Mais, si l'envie de me tailler une pipe vous prend cet après-midi, ne vous privez pas. Par contre, je dois partir vers dix-huit heures. Je dois récupérer un pote qui arrive à la gare de Montpellier à dix-neuf heures.
- Tu vas niquer avec lui, ce soir ?
- Hé, hé ! Non, il est hétéro. Mais il est vraiment beau gosse, pas autant que moi mais presque.
- Ça va tes chevilles ?
- Oui, pourquoi ?
On partit à la plage sur le coup de midi et à dix-huit heures je les déposais devant l'entrée de leur camping puis j'allais récupérer Tom à la gare. Et cette fois encore il avait réservé une chambre… avec un lit double.
On crevait de chaud. Très vite on fut nus et on prit une douche… à tour de rôle.
- Putain Jeff t'es vraiment bronzé.
- La plage mec, la plage. Rien de tel pour bronzer.
- J'y suis allé aussi avec ma copine ce week-end mais je n'ai pas tant bronzé que toi.
- Normal t'es un nordiste. En plus, tu bronzes avec un maillot de bain. C'est nul les traces. Et tu mets des shorts de bain, encore plus nul.
- Il vaut mieux que j'ai un short de bain parce que quand ma copine me passe de la crème… Humm, je te dis pas la trique que je choppe.
- Bin, de cette façon, tu as dû prendre un bon acompte avant de venir.
- Pas depuis quatre jours. C'était zone rouge. Alors non, je n'ai pas pris d’avance. Donc, si cette nuit tu sens ma queue dans tes fesses, c'est que je t'aurai confondu avec Caro.
- De toute façon c'est pas avec ta bite que tu risques de me faire mal. Fais plutôt attention que ce ne soit pas la mienne qui se coince entre tes miches. Mais fais gaffe, elle risque de chercher ton petit trou vierge.
- Oh ! Tu oserais m’enculer ?
- T'as un beau petit cul, une taille fine où m'accrocher pour bien te baiser, alors pourquoi pas… Hé, hé ! Fais pas la gueule, je rigole.
- Et toi c'est quand que tu as baisé.
- Ce matin, de bonne heure. Hier après-midi je suis tombé sur des salopes et j'ai passé la nuit chez elles. J'ai les couilles vides pour deux ou trois jours. Après, je ne te promets rien.
- D'ici là, tu n'auras qu'à te branler, comme moi, sous la douche.
- J'espère que tu rinces bien, après. Je ne voudrais pas écraser tes enfants.
- Pfff. T’es con ! T'as révisé un peu les cours?
- Oui, enfin, vite fait, surtout la théorie parce que la pratique c'est moins évident. Bon, après y'a rien de plus, par rapport à ce qu'on a appris pendant nos études.
On discuta encore un moment, on alla manger un bout au fastfood du coin puis on rentra se coucher.
Dans la nuit Tom dut me confondre avec Caro parce qu'il se colla à mon dos et posa sa main sur ma hanche. Ça me réveilla et me fit bander. Petit à petit, je sentis sa queue qui se frayait un chemin entre nos corps, venant se nicher entre mes globes.
Doucement je commençais à bouger mes fesses pour bien l’exciter. Puis je me rendis compte que ce que je lui faisais pendant son sommeil était dégueulasse. Je m’arrêtais.
Mais là, c'est lui qui donna des petits coups de rein. Il se mit à gémir et je sentis trois grosses giclées de sperme contre mes fesses. Bin merde alors, je ne m'attendais pas à ça !
Puis il se retourna de l'autre côté du lit. Je me levais et j'allais à la salle de bain m'essuyer les fesses avec du papier cul. Je retournais me coucher.
Le matin quand on se réveilla on avait tous les deux la trique qui soulevait le drap. On se, marra en constatant notre « bonne santé »
- Tu vas diminuer ça sous la douche le premier où j'y vais ?
- Vas y le premier Tom, moi je ferai ça dans le lit. J'aime mon confort.
- Non, mais ! Tu ne vas pas te branler dans notre lit, non plus .
- Et pourquoi pas ?
- Bin parce que c'est notre lit !
- J'aimerai bien savoir le nombre de gens qui y ont déjà baisé dans ‘notre’ lit.
On se chamailla encore un peu et finalement nos érections retombèrent seules. On prit la douche, on but le café et on alla à la fac.
Comme la semaine précédente, c'était deux heures de théorie et deux heures de pratique et ça, deux fois par jour. Le soir quand on rentrait on se mettait en tenue de sport et on allait courir. Le jeudi soir on courut un peu plus que d'habitude et on rentra en discutant, trottinant.
- Jeff, tu as déjà sauvé la vie de quelqu’un ?
- Je pense que oui, même plusieurs et toi ?
- Non jamais. Tu as fait comment ?
- Le premier c'est le gars qui nous louait notre appartement quand on faisait nos études . Il a fait un infarctus et on a du lui faire avec un pote du bouche à bouche et un massage cardiaque . Le second c'est un gars qui s'était ramassé des coups de couteau. J'étais avec un pote avec qui je faisais mes études d’infirmier. On lui a fait des pansements compressifs et quand on a réussi à arrêter les hémorragies on l'a recousu à la super glu.
- Tu me fais marcher là ?
- Non, Tom, je te jure que ce que je te raconte est vrai.
- D'accord, je te crois. Il y en a d'autres ? Parce que tu as dit le premier , le second c'est donc qu'il y en avait un autre. Parce qu'on dit qu'il n'y en a jamais 2 sans 3 ...
- Non en fait il y en a ‘des’ autres.
Je lui racontais l’accident.
- Et tu as osé lui faire une trachéotomie et avec un couteau suisse, en plus ? Là, je ne suis pas sûr de te croire.
- Quand on rentre, je te montre. Il y a eu un article dans le Provençal. On peut le trouver sur le net.
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