20-07-2022, 03:47 PM
- Oui, vas-y, mais je ne peux pas te promettre d’y répondre.
- En fait, il y en a plusieurs que je voudrais te poser.
- Vas y, lance-toi.
- ça s’est passé comment ta première fois ?
J'éclatais de rire puis je lui dis :
- Une catastrophe ! C'était avec une fille et j'étais tellement stressé que je ne savais pas quoi faire. Alors elle a pris les choses en main.
Les prélis passés, elle m'a enfilé une capote pour que je la prenne et j'ai éjaculé dedans avant même d'avoir entamé un mouvement dans son minou.
Elle n'a rien dit et on a recommencé plus tard où je n'ai pas tenu bien longtemps non plus.
La deuxième fois, le même jour c'était avec un garçon. Là aussi j'avais tout à apprendre mais contrairement à la fille pour qui c'était également sa première fois, lui était expérimenté. C'est lui qui fit durer, plus que moi et ce fut aussi bon qu'avec la fille. J’ai eu l’été pour déterminer où penchait mon cœur!
- C'est vrai que ça fait mal ?
- De quoi tu parles ?
- Quand on se fait… sodomiser!
- C'est vrai que les premières fois sont rarement agréables. Mais bien préparé et avec le bon mec, ça se passe pas trop mal. Et en actif, c'est bien plus serré qu'un vagin, tu grimpes plus vite dans les tours. Après, en variant le rythme, la profondeur, tu arrives à tenir un grand moment et tu prends un sacré pied.
Mais le truc primordial quand tu fais l'amour ce n'est pas de t'occuper de ta jouissance, mais de donner le plus de plaisir à ton partenaire. C'est un peu comme quand tu te branles, il y a la branlette vite fait pour te calmer et il y a celle que tu fais durer… tu vois ce que je veux dire ?
- Oui, très bien en ce qui concerne la branlette et pour ce qui est sodomie, j'ai un peu d'expérience, mais jamais avec un mec. J'ai des sextoys dont je me sers et le côté actif ne m'intéresse pas trop. Bé, tu voudrais pas que, toi et moi, enfin tu vois pour…
- Oui très bien ! Alors Joris écoute bien ce que je vais te dire. Entre toi et moi il ne se passera jamais rien ! J'ai Liam, je l'aime et il est hors de question que je le trompe. Tu peux comprendre ça ?
- Ok, je prends note et je ne t'en reparlerai plus. J'ai eu ma réponse. Par contre, si tu as un ami gay qui est seul, qui cherche un petit puceau à déniaiser et qui est plutôt mignon, tu fais signe ! Par contre, tu veux bien être mon confident ? Tu sais, je n'ai jamais eu personne à qui dire ce que je ressentais et ça me fait du bien de parler avec toi. Tu me donnerais des conseils aussi ?
- Pas de soucis pour ça ! Dis-moi, ça te dit qu'on se mette en binôme pour bosser à l'école ?
- Jusqu'à ce que j'en trouve un plus doué que toi. Ou plus mignon. Mais ça, ça, sera dur. Bon, on retourne se baigner ?
- Si tu veux.
Il partit en courant, fit un salto avant et retomba dans l'eau les pieds joints. Je me mis au bord de la piscine, Je posais mes mains au bord à plat, je montais l’équilibre, puis je pliais les bras et d'une impulsion je me retrouvais dans l’eau.
- Wow ! Tu es doué toi ! Tu fais de la gym ?
- On peut pas vraiment dire ça, Ma frangine faisait de la danse classique alors je l'imitais et mon frangin du karaté et lui aussi je l’imitais. Du coup je fais le grand écart et je suis ceinture noire de karaté tout comme Titou.
- T'es sérieux là ? Et c'est qui Titou ?
- c'est Timéo, c'est des surnoms qu'on se donnait quand on était gamins. Et oui je suis très sérieux. Mais puisque toi aussi tu fais de la gym tu dois être souple. Tu t'es déjà sucé ?
Il rougit et me répondit un "oui" à peine audible qui me fit éclater de rire. Il se servit de moi comme catapulte ou plongeoir même de trampoline et il faisait des saltos, des vrilles plutôt bien faites, mais les entrées dans l'eau n'étaient pas du tout académiques et les plats succédaient au plats. Je ne compte même pas le nombre de tasses qu'on but tellement on riait. On sortit et on se sécha. Une fois secs, on se rhabilla et on alla arroser le jardin.
Quand on revint Tim et Marie se baignaient dans la piscine en sous-vêtements.
On les rejoignit. Joris et moi on avait des boxers noirs, mais Marie avait des sous-vêtements clairs en dentelle et Tim un fin boxer blanc. Quand ils sortirent de l'eau on rigola. On voyait tout ! Marie rougit un peu tandis que Tim derrière elle, baissa son boxer et nous montra ses fesses, secouant son popotin.
Ce qui nous fit redoubler de rire. Marie se retourna et vit ce que faisait Tim.
- Non, mais ça va pas bien dans ta tête de leur montrer tes fesses !
Il était tout penaud, ce qui nous fit encore plus rire.
On rentra se doucher et on alla manger en ville. Les amoureux étaient calmés et on se promena longuement avant de rentrer.
Le lendemain matin, on alla tous jusqu'à leur bahut et pendant que Tim et Marie s'occupaient de leur inscription, avec Joris on faisait des commentaires sur les mecs qui entraient et sortaient. Joris me donna un coup de coude et me montra de la tête un magnifique rouquin qui arrivait.
- Il ressemble un peu à ton Liam je trouve. Il est mignon et il a l'air bien gaulé.
Je tournais la tête vers lui et c'est vrai qu'il n'était pas mal du tout. Bon pas autant que mon Liam mais en d'autres temps, j'en aurai bien fait mon quatre heures. Et c'est vrai qu'ils se ressemblaient un peu.
On était tellement discret que le mec vit qu'on le matait et au lieu d'aller vers l’entrée, il se dirigea vers nous.
- On se connaît ?
- Non je crois pas, c'est juste que tu ressembles beaucoup à un de mes potes et mon copain a cru que c'était lui.
- Ah ok, désolé, j'ai cru que vous vous foutiez de ma gueule parce que je suis roux.
- Non pas du tout.
- Ok, salut, à plus!
Et il repartit.
- Il va falloir qu'on se calme ! On n'est pas discret. Mais bon sang, il était trop beau ! T'as vu ses yeux bleus ?
- Quand tu verras les yeux verts de Liam, tu ne vas pas en revenir !
- C'est quand que je vais trouver mon mec ? Au fait tu l'as rencontré comment Liam ?
Je finissais de lui raconter notre rencontre quand Marie et Tim sortirent. On reprit le bus et on fit halte pour leurs cartes de transport et on rentra.
Joris était un peu triste de nous voir partir.
- On revient dans deux jours ! Tu vas pas déprimer, quand même ! Au fait file-moi ton tel je t'envoie un sms.
Tim fit comme moi. La mère de Marie débarqua et commença à poser tout un tas de questions et elle fouinait de partout ... Non mais, ho ! On était chez nous, pas chez elle. Ça, j’appréciai pas vraiment !
Marie partie, Joris nous accompagna à la gare et on se fit un gros câlin pour se dire au revoir. Un mec nous regarda de travers mais vu le regard d’assassin que je lui lançais, il traça son chemin.
Il nous fallut quatre heures pour le trajet en train. Chacun rentra chez lui et je commençais à préparer mes affaires en faisant tiroir par tiroir et étagère par étagère. ça faisait déjà deux grands sacs bien bourré, sans compter le sac à dos des papiers et affaires scolaires de base. Et la veille de partir ma mère avait fait les courses et vidé les placards, ce qui faisait trois cartons de bouffe et conserves à emmener !
Heureusement que le père de Tim avait un pick-up !
Le samedi matin, c'est à six heures qu'on partit. À huit heures et quart, après un arrêt boulangerie, on arrivait. On ouvrit le portail et le père de Tim recula. Il nous aida à monter nos affaires et repartit. On mit le frais au frigo et on alla voir si Joris était réveillé. Il fallut qu'on insiste sur la sonnette pour qu'il nous ouvre, les tifs en bataille et à poil.
- Ah salut, c'est vous ? Mais c'est quelle heure, là ?
- Neuf heures , pourquoi ?
- Putain, mais vous êtes fous ! C'est l'avant dernier jour où je pouvais dormir.
On secoua les sacs de croissants et de pain au chocolat, il nous regarda avec le sourire et dit :
- Messieurs, si vous me prenez par les sentiments...
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- En fait, il y en a plusieurs que je voudrais te poser.
- Vas y, lance-toi.
- ça s’est passé comment ta première fois ?
J'éclatais de rire puis je lui dis :
- Une catastrophe ! C'était avec une fille et j'étais tellement stressé que je ne savais pas quoi faire. Alors elle a pris les choses en main.
Les prélis passés, elle m'a enfilé une capote pour que je la prenne et j'ai éjaculé dedans avant même d'avoir entamé un mouvement dans son minou.
Elle n'a rien dit et on a recommencé plus tard où je n'ai pas tenu bien longtemps non plus.
La deuxième fois, le même jour c'était avec un garçon. Là aussi j'avais tout à apprendre mais contrairement à la fille pour qui c'était également sa première fois, lui était expérimenté. C'est lui qui fit durer, plus que moi et ce fut aussi bon qu'avec la fille. J’ai eu l’été pour déterminer où penchait mon cœur!
- C'est vrai que ça fait mal ?
- De quoi tu parles ?
- Quand on se fait… sodomiser!
- C'est vrai que les premières fois sont rarement agréables. Mais bien préparé et avec le bon mec, ça se passe pas trop mal. Et en actif, c'est bien plus serré qu'un vagin, tu grimpes plus vite dans les tours. Après, en variant le rythme, la profondeur, tu arrives à tenir un grand moment et tu prends un sacré pied.
Mais le truc primordial quand tu fais l'amour ce n'est pas de t'occuper de ta jouissance, mais de donner le plus de plaisir à ton partenaire. C'est un peu comme quand tu te branles, il y a la branlette vite fait pour te calmer et il y a celle que tu fais durer… tu vois ce que je veux dire ?
- Oui, très bien en ce qui concerne la branlette et pour ce qui est sodomie, j'ai un peu d'expérience, mais jamais avec un mec. J'ai des sextoys dont je me sers et le côté actif ne m'intéresse pas trop. Bé, tu voudrais pas que, toi et moi, enfin tu vois pour…
- Oui très bien ! Alors Joris écoute bien ce que je vais te dire. Entre toi et moi il ne se passera jamais rien ! J'ai Liam, je l'aime et il est hors de question que je le trompe. Tu peux comprendre ça ?
- Ok, je prends note et je ne t'en reparlerai plus. J'ai eu ma réponse. Par contre, si tu as un ami gay qui est seul, qui cherche un petit puceau à déniaiser et qui est plutôt mignon, tu fais signe ! Par contre, tu veux bien être mon confident ? Tu sais, je n'ai jamais eu personne à qui dire ce que je ressentais et ça me fait du bien de parler avec toi. Tu me donnerais des conseils aussi ?
- Pas de soucis pour ça ! Dis-moi, ça te dit qu'on se mette en binôme pour bosser à l'école ?
- Jusqu'à ce que j'en trouve un plus doué que toi. Ou plus mignon. Mais ça, ça, sera dur. Bon, on retourne se baigner ?
- Si tu veux.
Il partit en courant, fit un salto avant et retomba dans l'eau les pieds joints. Je me mis au bord de la piscine, Je posais mes mains au bord à plat, je montais l’équilibre, puis je pliais les bras et d'une impulsion je me retrouvais dans l’eau.
- Wow ! Tu es doué toi ! Tu fais de la gym ?
- On peut pas vraiment dire ça, Ma frangine faisait de la danse classique alors je l'imitais et mon frangin du karaté et lui aussi je l’imitais. Du coup je fais le grand écart et je suis ceinture noire de karaté tout comme Titou.
- T'es sérieux là ? Et c'est qui Titou ?
- c'est Timéo, c'est des surnoms qu'on se donnait quand on était gamins. Et oui je suis très sérieux. Mais puisque toi aussi tu fais de la gym tu dois être souple. Tu t'es déjà sucé ?
Il rougit et me répondit un "oui" à peine audible qui me fit éclater de rire. Il se servit de moi comme catapulte ou plongeoir même de trampoline et il faisait des saltos, des vrilles plutôt bien faites, mais les entrées dans l'eau n'étaient pas du tout académiques et les plats succédaient au plats. Je ne compte même pas le nombre de tasses qu'on but tellement on riait. On sortit et on se sécha. Une fois secs, on se rhabilla et on alla arroser le jardin.
Quand on revint Tim et Marie se baignaient dans la piscine en sous-vêtements.
On les rejoignit. Joris et moi on avait des boxers noirs, mais Marie avait des sous-vêtements clairs en dentelle et Tim un fin boxer blanc. Quand ils sortirent de l'eau on rigola. On voyait tout ! Marie rougit un peu tandis que Tim derrière elle, baissa son boxer et nous montra ses fesses, secouant son popotin.
Ce qui nous fit redoubler de rire. Marie se retourna et vit ce que faisait Tim.
- Non, mais ça va pas bien dans ta tête de leur montrer tes fesses !
Il était tout penaud, ce qui nous fit encore plus rire.
On rentra se doucher et on alla manger en ville. Les amoureux étaient calmés et on se promena longuement avant de rentrer.
Le lendemain matin, on alla tous jusqu'à leur bahut et pendant que Tim et Marie s'occupaient de leur inscription, avec Joris on faisait des commentaires sur les mecs qui entraient et sortaient. Joris me donna un coup de coude et me montra de la tête un magnifique rouquin qui arrivait.
- Il ressemble un peu à ton Liam je trouve. Il est mignon et il a l'air bien gaulé.
Je tournais la tête vers lui et c'est vrai qu'il n'était pas mal du tout. Bon pas autant que mon Liam mais en d'autres temps, j'en aurai bien fait mon quatre heures. Et c'est vrai qu'ils se ressemblaient un peu.
On était tellement discret que le mec vit qu'on le matait et au lieu d'aller vers l’entrée, il se dirigea vers nous.
- On se connaît ?
- Non je crois pas, c'est juste que tu ressembles beaucoup à un de mes potes et mon copain a cru que c'était lui.
- Ah ok, désolé, j'ai cru que vous vous foutiez de ma gueule parce que je suis roux.
- Non pas du tout.
- Ok, salut, à plus!
Et il repartit.
- Il va falloir qu'on se calme ! On n'est pas discret. Mais bon sang, il était trop beau ! T'as vu ses yeux bleus ?
- Quand tu verras les yeux verts de Liam, tu ne vas pas en revenir !
- C'est quand que je vais trouver mon mec ? Au fait tu l'as rencontré comment Liam ?
Je finissais de lui raconter notre rencontre quand Marie et Tim sortirent. On reprit le bus et on fit halte pour leurs cartes de transport et on rentra.
Joris était un peu triste de nous voir partir.
- On revient dans deux jours ! Tu vas pas déprimer, quand même ! Au fait file-moi ton tel je t'envoie un sms.
Tim fit comme moi. La mère de Marie débarqua et commença à poser tout un tas de questions et elle fouinait de partout ... Non mais, ho ! On était chez nous, pas chez elle. Ça, j’appréciai pas vraiment !
Marie partie, Joris nous accompagna à la gare et on se fit un gros câlin pour se dire au revoir. Un mec nous regarda de travers mais vu le regard d’assassin que je lui lançais, il traça son chemin.
Il nous fallut quatre heures pour le trajet en train. Chacun rentra chez lui et je commençais à préparer mes affaires en faisant tiroir par tiroir et étagère par étagère. ça faisait déjà deux grands sacs bien bourré, sans compter le sac à dos des papiers et affaires scolaires de base. Et la veille de partir ma mère avait fait les courses et vidé les placards, ce qui faisait trois cartons de bouffe et conserves à emmener !
Heureusement que le père de Tim avait un pick-up !
Le samedi matin, c'est à six heures qu'on partit. À huit heures et quart, après un arrêt boulangerie, on arrivait. On ouvrit le portail et le père de Tim recula. Il nous aida à monter nos affaires et repartit. On mit le frais au frigo et on alla voir si Joris était réveillé. Il fallut qu'on insiste sur la sonnette pour qu'il nous ouvre, les tifs en bataille et à poil.
- Ah salut, c'est vous ? Mais c'est quelle heure, là ?
- Neuf heures , pourquoi ?
- Putain, mais vous êtes fous ! C'est l'avant dernier jour où je pouvais dormir.
On secoua les sacs de croissants et de pain au chocolat, il nous regarda avec le sourire et dit :
- Messieurs, si vous me prenez par les sentiments...
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