08-08-2020, 08:34 AM
1ere ANNEE juillet : (13/35) (Retour une semaine en arrière) (Nuit du cinq au six juillet) (2ème partie)
Éric explique alors dans le détail la demi-heure que Raphaël a manqué, celui-ci rit de bon cœur comprenant qu’un grand pas va se faire cette nuit pour tous ses couples d’amoureux que la soirée « légèrement » arrosée a mis dans tous leurs états. Il fixe avec intérêt le beau brun qui a su lui prendre son cœur et en s’approchant doucement de lui.
- Il est peut-être encore un peu tôt pour dévaliser la devanture tu ne crois pas ? Maintenant si je suis venu c’est peut-être déjà pour préparer la pâte.
- (Éric agréablement surpris) Hum !! Je ne dis pas non, en plus je suis sûr que les ingrédients sont de toute première fraîcheur.
- Allons vérifier tout ça alors !!
***
Chambre de Flavien et Carole
Flavien n’a gardé que son boxer qui est à la peine de contenir tout ce qui est à l’intérieur tellement le grand jeune homme est en état d’excitation. Carole termine d’ôter son maillot en ne ratant rien de la chose qui met autant à mal le sous-vêtement de son ami, elle sourit en pensant à l’allusion qu’elles ont faite Léa et elle en se disant qu’elle en a très envie en fin de compte.
Une fois en slip et en soutien-gorge, elle vient s’allonger tout contre lui et sa main se pose sur sa poitrine musclée tout en approchant ses lèvres des siennes pour un baiser fougueux. Baiser dont elle a envie depuis le début de la soirée, le corps lisse et chaud de Flavien que sa main parcourt en suivant les bosses et les creux de ses muscles surdéveloppés lui fait mouiller sa petite culotte et elle sent son petit sexe s’ériger signe d’une très grosse envie de plaisirs partagés.
Flavien respire difficilement tellement les caresses prodiguées par son amie l’électrisent, il sent sa main aux doigts si légers passée sur ses abdos et descendre vers son aine avec une lenteur calculée qui le mène doucement mais sûrement vers un plaisir indescriptible. Son sexe est tellement raide que son gland arrive à s’échapper de l’élastique de son boxer et vient se déployer jusque sous son nombril, le faisant soupirer d’aise sous le regard intéressé de sa compagne.
Carole ne peut que se rassasier des dix-neuf centimètres plutôt épais dont une partie seulement apparaît pour l’instant à sa vue, elle sourit car autant ce sexe paraît très bien proportionné sur ce grand blond baraqué autant elle imagine mal le même engin entre les jambes de Florian qui est encore petit et plutôt fluet.
Son majeur vient caresser la hampe si douce et remonte vers le beau gland encore qu’à moitié décalotté mais déjà tout humide d’excitation, il redescend ensuite et son ongle doucement comme une plume vient griffer cette peau tendre amenant à son ami des frémissements d’extase.
Carole enjambe Flavien et son visage vient quémander un baiser pendant que son bas-ventre se frotte sur le sexe palpitant, le fin tissu de sa petite culotte trempé de son désir à elle prend la forme de ce mât épais et entrouvre ses lèvres gorgées de sang pour venir titiller le clitoris décapuchonné qui au contact lui envoie une onde de plaisir telle qu’il ne manque pas beaucoup pour lui déclencher l’orgasme qu’elle sent monter dans son corps.
Jusque-là rien de nouveau entre les deux amants car ils ont appris à se donner du plaisir rien qu’en frottements et en jeux de mains, ce que s’apprête à faire Carole est tout nouveau pour elle mais l’envie est là et elle n’a pas l’intention cette fois-ci de le réprimer. Aussi elle descend lentement le long du corps musclé de son beau blond et lentement refait le parcourt de sa main il y a quelques instants avec ses lèvres.
Ses genoux reculent au fur et à mesure de l’avancée de sa bouche vers sa proie qui loin d’être terrifiée, se tend et se décolle du ventre du garçon pour exprimer son consentement aux envies de ses lèvres qui maintenant ne sont plus qu’à quelques millimètres d’elle.
Flavien cherche sa respiration, des râles de plaisirs s’échappent de sa gorge de ténor et font frissonner sa partenaire qui s’excite encore plus au son de cette voix si rauque et si puissante. Il sent l’humidité révélatrice sur ses jambes quand le petit slip de la jeune fille vient se frotter dessus, une douce chaleur vient d’un seul coup recouvrir son gland en le décalottant entièrement et il frémit de tout son corps quand la bouche chaude prend son sexe de plus en plus loin en profondeur.
Il ne peut empêcher ses reins de donner des petits coups nerveux afin d’entrer encore plus profondément, Carole s’active de plus en plus rapidement maintenant et serre ses lèvres pour épouser au plus près les formes noueuses des veines palpitantes. Sa main prend la base du sexe de Flavien et suit le mouvement de sa tête dans un mouvement de va-et-vient sensuel qui amène le garçon dans un paroxysme de sensations telles qu’il n’en a rarement connu jusqu’à présent.
Ce n’est pas la première fois pour Flavien qu’une fille lui octroie ce genre de gâterie, mais venant de celle qu’il aime le plaisir en est décuplé. Il sent ses bourses se contracter et ses testicules venir se coller à la base de son sexe, il sent également l’énorme bouffée de chaleur et les picotements caractéristiques de l’orgasme qui monte en lui.
Son cerveau défaille et il n’a ni le temps ni l’envie d’avertir Carole, qui étant donné son manque de recul sur les connaissances des réactions masculines ne se doute de rien. Quand elle se sent soudainement soulever par le corps qui se cambre avec une puissance incroyable et que la semence de son amant fuse en jets épais et copieux au fond de sa gorge dans un gémissement de délivrance que pousse Flavien en tremblant sous la puissance du plaisir que lui délivrent ses sens.
Flavien pousse un gémissement de délivrance, en tremblant sous la puissance du plaisir que lui délivrent ses sens.
Carole d’abord surprise essaie d’avaler cette matière épaisse au goût si particulier mais pas désagréable somme toute, puis fini par s’avouer vaincue par la quantité qui déferle en elle et laisse couler le trop-plein le long de ses lèvres. L’intensité de l’orgasme de Flavien, les sons qui s’échappent toujours de sa gorge et les frottements de son sexe le long de ses jambes déclenchent le sien qui la laisse exsangue au bout d’un temps qui lui paraît interminable, ses nerfs tendus par un plaisir si pur et si animal qu’ils la rendent sans force et la font s’affaler sur le garçon.
Un long, très long moment passe ainsi où ils reprennent tant bien que mal leurs respirations et le contrôle de leurs corps, Flavien l’attire vers lui et l’embrasse langoureusement avec passion puis les yeux se ferment et ils s’endorment vaincus par le plaisir.
1ere ANNEE juillet : (14/35) (Retour une semaine en arrière) (Nuit du cinq au six juillet) (3ème partie)
***
Chambre de Mathis et Damien
Damien referme soigneusement le rideau de séparation et commence à se dévêtir en louchant sur son copain qui l’imite point par point en souriant. Il ne reste bientôt plus aux deux garçons que leurs slips, blanc pour Mathis et noir pour Damien moulant à la perfection leurs petites fesses et la protubérance indiquant que la nuit ne fait pour eux que commencer.
Ça fait deux nuits déjà qu’ils partagent la même chambre, en tout bien tout honneur mourant d’envie tous deux d’aller plus loin mais n’osant tout simplement pas à le proposer à l’autre.
Mais cette nuit n’est pas comme les précédentes, déjà pour Damien qui a avoué à ses parents son attirance pour le petit blond si craquant qui le regarde en ce moment d’un air espiègle. Pour Mathis ce serait plutôt l’effet du punch qu’il s’est servi plusieurs fois en douce pendant la soirée et qui lui monte à la tête, déclenchant sa libido et lui ôtant certaines barrières dites morales.
- (Damien amusé du regard troublé de son ami) Tu ne te couches pas ?
- (Mathis mi-amusé et complètement excité) Pourquoi tu trouves que ce sera plus pratique pour toi ?
- (Ne comprenant pas la question) Comment ça ?
- (Mathis en riant silencieusement) Pour déguster ton dessert pardi !!
Damien troublé car il avait dit ça tout à l’heure pour plaisanter et ne pensait vraiment pas que son ami y referait allusion.
- Hum !! Pourquoi ? Ça te plairait ?
- Assez oui !! Mais j’ai faim aussi alors je crois bien que je vais me prendre un petit truc à grignoter pour t’accompagner.
- Ah oui ? Comme par exemple ?
Mathis s’écroule sur le matelas en le tapotant près de lui pour que Damien l’y rejoigne, une fois son ami à ses côtés il se tourne vers lui et le dévore des yeux.
- Plusieurs trucs en fait !! En plus comme ce sont des petits fours je crois bien que je vais me taper un gland, un éclair et deux petits seins que je me ferais le plaisir d’honorer Hi ! Hi !
Damien l’enjambe et lui tient les deux mains fermement de chaque côté du corps, son visage rieur s’approche de celui de son ami qui n’essaie même pas de résister trop content que ce soit Damien qui prenne les initiatives.
- Salop !! Je vais t’en donner moi des petits fours !! Et puis d’abord je suis sûr que tu n’aies pas mieux loti que moi mon gars.
- C’est à voir gamin !! Dans ma famille on est tous plutôt précoce, attends-toi à ne plus savoir où te mettre quand tu auras vu le monstre.
Damien se frotte doucement le sexe contre celui de son ami, il sourit malicieusement en constatant que ce n’est pas non plus d’une grosseur phénoménale mais plutôt dans des proportions semblables aux siennes.
- C’est ça que tu appelles un monstre ? Ma parole tu dois te branler derrière une loupe alors !!
- Très drôle !! Quand tu l’auras dans la bouche, tu déchanteras beau merle.
- (Damien pris d’un doute en entendant son ami) Dis voir Mathis ? Tu ne trouves pas qu’on brûle les étapes là ? Tu ne serais pas un peu bourré par hasard ?
- (Mathis ricane car c’est vrai qu’il se sent euphorique) Juste un petit peu alors !! Mais je me sens trop bien et j’ai envie de découvrir plein de choses avec toi, pas toi ?
- Si bien sûr !! Mais je ne voudrais pas que demain on le regrette et qu’on s’évite, tu comprends ?
- Je t’aime « Dami », de ça au moins je suis sûr et demain ce sera toujours vrai.
- Moi aussi je t’aime « Math ».
- Alors !! On fait quoi ?
- Déjà tu pourrais m’embrasser, je ne l’ai jamais fait et à voir la réaction des autres quand ils le font, ça doit être super.
- C’est ce que je te proposais de faire tu te rappelles ?
- (Damien amusé) Heu !! Je ne crois pas non !! Je parlais de ma bouche alors que toi tout à l’heure tu voyais certainement autre chose.
- Ok j’avoue, arrête de frotter ta bite contre la mienne alors, sinon je ne réponds plus de rien. Tu m’excites trop tu sais et puis il n’y a pas de mal à se faire du bien, tu voudrais qu’on attende aussi longtemps que Thomas ?
- Mais non !! Juste que je voudrais y aller progressivement, du genre une découverte à la fois. En plus je kiffe trop d’attendre un peu, ça me met les nerfs en pelote et c’est super-bon aussi.
- D’accord !! Tu as raison alors embrasse-moi mais je ne te promets pas de pouvoir contrôler mes mains, j’ai trop envie de te toucher.
Damien approche ses lèvres contre celles de son ami et l’embrasse doucement appréciant le contact si doux qui le fait frissonner de bonheur, sa langue sort doucement et entre dans la bouche de Mathis qui lui aussi apprécie le contact et mêle la sienne à celle de Damien en soupirant de plaisir.
Les sexes des deux garçons palpitent l’un contre l’autre et dans un long frisson qui les prend dans un ensemble parfait, dégorge leurs sèves dans leurs sous-vêtements qui n’en demandaient pas tant déjà tout humide de leurs excitations.
Leurs baisers durent encore un long moment avant que l’heure tardive, la journée très chargée ainsi que la soirée festive n’arrive à bout de leurs résistances et qu’ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre.
1ere ANNEE juillet : (15/35) (Retour une semaine en arrière) (Nuit du cinq au six juillet) (4ème partie)
***
Chambre de Florian et Thomas.
J’entre dans la chambre derrière Thomas qui s’assoit sur le lit pendant que je referme le rideau de séparation. J’allume la petite lampe suspendue au bout de sa rallonge et une fois planté devant lui, je le regarde en souriant constatant à quel point il me dévore des yeux.
- (Amusé) Hé !! Tu attends quoi là ?
- (Surpris) Comment ça ?
- J’attends mon deuxième cadeau d’anniversaire, ou alors c’était des paroles en l’air ?
- Tu veux maintenant !! Comme ça !!
- (Je vois son regard qui s’affole et je décide de m’amuser un peu) Allez mon gars !! Hop!! À poils!! Si tu réfléchis trop tu ne vas plus oser le faire et j’ai trop envie de te faire l’amour pour de bon.
Thomas déglutit avec difficulté et commence à déboutonner en tremblant sa braguette me lançant un regard effarouché qui ne me trompe pas sur ce qu’il ressent devant ma demande. Demande qu’il n’ose pas refuser de peur de me décevoir.
- Allez !! Arrête !! Tu ne me connais pas donc ? Que tu plonges à chaque fois que je balance une connerie ?
- (Ravalant sa salive visiblement rassuré) Tu plaisantais ?
- (Je viens m’asseoir à côté de lui et lui prends la main) Bien sûr qu’est-ce que tu crois ? J’en ai envie mais certainement pas de cette façon (Je lui souris) Et puis si c’est mon cadeau d’anniversaire, je te laisse me l’offrir à ta façon.
- (Sourire en retour) Tu aimerais vraiment ?
- Pas si tu te forces c’est clair !! Maintenant si tu en as envie alors ne sois pas timide, j’en rêve depuis des mois.
Des gémissements rauques très virils parviennent alors à nos oreilles, une mimique d’amusement apparaît sur nos lèvres. Vite remplacé par une forte excitation d’entendre cette voix mâle que nous reconnaissons appartenir à Flavien atteindre les limites de l’orgasme.
- (Thomas) On dirait bien que le grand passe à la vitesse supérieure avec Carole.
- (Amusé) On dirait bien oui !! Remarque ça nous change des cris de « Séb ».
Nouveau râle qui nous dresse les poils tellement il est rempli de sensualité et de plaisir.
- (Thomas) Si elle est en train de lui faire ce que je pense, il va grimper aux arbres d’ici pas longtemps.
Mon sexe commence à donner des signes manifestes d’envie que l’on s’occupe de lui, je pose innocemment la main de « Thom » dessus histoire qu’il constate et prenne des initiatives.
- (Thomas) Hum !! Je vois qu’il y a du remue-ménage là-dedans et je présume que tu n’as pas envie de dormir toi, pas vrai ?
- (Je pose ma main sur sa braguette entrouverte) Pourquoi !! T’as envies toi ?
Thomas se lève et va débrancher la prise de la rallonge, du coup nous voilà dans le noir absolu et c’est son souffle qui guide mes yeux vers lui cherchant à apercevoir son ombre sa silhouette. Sa main se pose sur mon visage et ses lèvres prennent les miennes, un long baiser tout en tendresse qui me laisse haletant attendant la suite avec impatience.
- (Thomas d’une voix douce) Tu me laisses faire, tu veux bien ?
- (Bien sûr que je veux) Oui !!
Thomas ôte alors un à un tous mes vêtements avec une lenteur calculée qui mettent mes nerfs à rude épreuve, ses mains prennent bien garde de ne pas toucher mon corps et quand enfin je me retrouve entièrement nu, il me pousse doucement sur le lit pour que je m’y allonge de tout mon long.
- (Thomas dans un souffle) Tu ne bouges pas d’accord ?
- D’accord !!
Je l’entends se dévêtir aux froissements des vêtements qui chutent au sol, puis son corps vient me recouvrir et sa bouche retrouve la mienne. De très longues minutes passent alors à nous câliner, faisant monter la pression entre nos deux corps commençant à s’échauffer du fait de nos libidos exacerbées.
Éric explique alors dans le détail la demi-heure que Raphaël a manqué, celui-ci rit de bon cœur comprenant qu’un grand pas va se faire cette nuit pour tous ses couples d’amoureux que la soirée « légèrement » arrosée a mis dans tous leurs états. Il fixe avec intérêt le beau brun qui a su lui prendre son cœur et en s’approchant doucement de lui.
- Il est peut-être encore un peu tôt pour dévaliser la devanture tu ne crois pas ? Maintenant si je suis venu c’est peut-être déjà pour préparer la pâte.
- (Éric agréablement surpris) Hum !! Je ne dis pas non, en plus je suis sûr que les ingrédients sont de toute première fraîcheur.
- Allons vérifier tout ça alors !!
***
Chambre de Flavien et Carole
Flavien n’a gardé que son boxer qui est à la peine de contenir tout ce qui est à l’intérieur tellement le grand jeune homme est en état d’excitation. Carole termine d’ôter son maillot en ne ratant rien de la chose qui met autant à mal le sous-vêtement de son ami, elle sourit en pensant à l’allusion qu’elles ont faite Léa et elle en se disant qu’elle en a très envie en fin de compte.
Une fois en slip et en soutien-gorge, elle vient s’allonger tout contre lui et sa main se pose sur sa poitrine musclée tout en approchant ses lèvres des siennes pour un baiser fougueux. Baiser dont elle a envie depuis le début de la soirée, le corps lisse et chaud de Flavien que sa main parcourt en suivant les bosses et les creux de ses muscles surdéveloppés lui fait mouiller sa petite culotte et elle sent son petit sexe s’ériger signe d’une très grosse envie de plaisirs partagés.
Flavien respire difficilement tellement les caresses prodiguées par son amie l’électrisent, il sent sa main aux doigts si légers passée sur ses abdos et descendre vers son aine avec une lenteur calculée qui le mène doucement mais sûrement vers un plaisir indescriptible. Son sexe est tellement raide que son gland arrive à s’échapper de l’élastique de son boxer et vient se déployer jusque sous son nombril, le faisant soupirer d’aise sous le regard intéressé de sa compagne.
Carole ne peut que se rassasier des dix-neuf centimètres plutôt épais dont une partie seulement apparaît pour l’instant à sa vue, elle sourit car autant ce sexe paraît très bien proportionné sur ce grand blond baraqué autant elle imagine mal le même engin entre les jambes de Florian qui est encore petit et plutôt fluet.
Son majeur vient caresser la hampe si douce et remonte vers le beau gland encore qu’à moitié décalotté mais déjà tout humide d’excitation, il redescend ensuite et son ongle doucement comme une plume vient griffer cette peau tendre amenant à son ami des frémissements d’extase.
Carole enjambe Flavien et son visage vient quémander un baiser pendant que son bas-ventre se frotte sur le sexe palpitant, le fin tissu de sa petite culotte trempé de son désir à elle prend la forme de ce mât épais et entrouvre ses lèvres gorgées de sang pour venir titiller le clitoris décapuchonné qui au contact lui envoie une onde de plaisir telle qu’il ne manque pas beaucoup pour lui déclencher l’orgasme qu’elle sent monter dans son corps.
Jusque-là rien de nouveau entre les deux amants car ils ont appris à se donner du plaisir rien qu’en frottements et en jeux de mains, ce que s’apprête à faire Carole est tout nouveau pour elle mais l’envie est là et elle n’a pas l’intention cette fois-ci de le réprimer. Aussi elle descend lentement le long du corps musclé de son beau blond et lentement refait le parcourt de sa main il y a quelques instants avec ses lèvres.
Ses genoux reculent au fur et à mesure de l’avancée de sa bouche vers sa proie qui loin d’être terrifiée, se tend et se décolle du ventre du garçon pour exprimer son consentement aux envies de ses lèvres qui maintenant ne sont plus qu’à quelques millimètres d’elle.
Flavien cherche sa respiration, des râles de plaisirs s’échappent de sa gorge de ténor et font frissonner sa partenaire qui s’excite encore plus au son de cette voix si rauque et si puissante. Il sent l’humidité révélatrice sur ses jambes quand le petit slip de la jeune fille vient se frotter dessus, une douce chaleur vient d’un seul coup recouvrir son gland en le décalottant entièrement et il frémit de tout son corps quand la bouche chaude prend son sexe de plus en plus loin en profondeur.
Il ne peut empêcher ses reins de donner des petits coups nerveux afin d’entrer encore plus profondément, Carole s’active de plus en plus rapidement maintenant et serre ses lèvres pour épouser au plus près les formes noueuses des veines palpitantes. Sa main prend la base du sexe de Flavien et suit le mouvement de sa tête dans un mouvement de va-et-vient sensuel qui amène le garçon dans un paroxysme de sensations telles qu’il n’en a rarement connu jusqu’à présent.
Ce n’est pas la première fois pour Flavien qu’une fille lui octroie ce genre de gâterie, mais venant de celle qu’il aime le plaisir en est décuplé. Il sent ses bourses se contracter et ses testicules venir se coller à la base de son sexe, il sent également l’énorme bouffée de chaleur et les picotements caractéristiques de l’orgasme qui monte en lui.
Son cerveau défaille et il n’a ni le temps ni l’envie d’avertir Carole, qui étant donné son manque de recul sur les connaissances des réactions masculines ne se doute de rien. Quand elle se sent soudainement soulever par le corps qui se cambre avec une puissance incroyable et que la semence de son amant fuse en jets épais et copieux au fond de sa gorge dans un gémissement de délivrance que pousse Flavien en tremblant sous la puissance du plaisir que lui délivrent ses sens.
Flavien pousse un gémissement de délivrance, en tremblant sous la puissance du plaisir que lui délivrent ses sens.
Carole d’abord surprise essaie d’avaler cette matière épaisse au goût si particulier mais pas désagréable somme toute, puis fini par s’avouer vaincue par la quantité qui déferle en elle et laisse couler le trop-plein le long de ses lèvres. L’intensité de l’orgasme de Flavien, les sons qui s’échappent toujours de sa gorge et les frottements de son sexe le long de ses jambes déclenchent le sien qui la laisse exsangue au bout d’un temps qui lui paraît interminable, ses nerfs tendus par un plaisir si pur et si animal qu’ils la rendent sans force et la font s’affaler sur le garçon.
Un long, très long moment passe ainsi où ils reprennent tant bien que mal leurs respirations et le contrôle de leurs corps, Flavien l’attire vers lui et l’embrasse langoureusement avec passion puis les yeux se ferment et ils s’endorment vaincus par le plaisir.
1ere ANNEE juillet : (14/35) (Retour une semaine en arrière) (Nuit du cinq au six juillet) (3ème partie)
***
Chambre de Mathis et Damien
Damien referme soigneusement le rideau de séparation et commence à se dévêtir en louchant sur son copain qui l’imite point par point en souriant. Il ne reste bientôt plus aux deux garçons que leurs slips, blanc pour Mathis et noir pour Damien moulant à la perfection leurs petites fesses et la protubérance indiquant que la nuit ne fait pour eux que commencer.
Ça fait deux nuits déjà qu’ils partagent la même chambre, en tout bien tout honneur mourant d’envie tous deux d’aller plus loin mais n’osant tout simplement pas à le proposer à l’autre.
Mais cette nuit n’est pas comme les précédentes, déjà pour Damien qui a avoué à ses parents son attirance pour le petit blond si craquant qui le regarde en ce moment d’un air espiègle. Pour Mathis ce serait plutôt l’effet du punch qu’il s’est servi plusieurs fois en douce pendant la soirée et qui lui monte à la tête, déclenchant sa libido et lui ôtant certaines barrières dites morales.
- (Damien amusé du regard troublé de son ami) Tu ne te couches pas ?
- (Mathis mi-amusé et complètement excité) Pourquoi tu trouves que ce sera plus pratique pour toi ?
- (Ne comprenant pas la question) Comment ça ?
- (Mathis en riant silencieusement) Pour déguster ton dessert pardi !!
Damien troublé car il avait dit ça tout à l’heure pour plaisanter et ne pensait vraiment pas que son ami y referait allusion.
- Hum !! Pourquoi ? Ça te plairait ?
- Assez oui !! Mais j’ai faim aussi alors je crois bien que je vais me prendre un petit truc à grignoter pour t’accompagner.
- Ah oui ? Comme par exemple ?
Mathis s’écroule sur le matelas en le tapotant près de lui pour que Damien l’y rejoigne, une fois son ami à ses côtés il se tourne vers lui et le dévore des yeux.
- Plusieurs trucs en fait !! En plus comme ce sont des petits fours je crois bien que je vais me taper un gland, un éclair et deux petits seins que je me ferais le plaisir d’honorer Hi ! Hi !
Damien l’enjambe et lui tient les deux mains fermement de chaque côté du corps, son visage rieur s’approche de celui de son ami qui n’essaie même pas de résister trop content que ce soit Damien qui prenne les initiatives.
- Salop !! Je vais t’en donner moi des petits fours !! Et puis d’abord je suis sûr que tu n’aies pas mieux loti que moi mon gars.
- C’est à voir gamin !! Dans ma famille on est tous plutôt précoce, attends-toi à ne plus savoir où te mettre quand tu auras vu le monstre.
Damien se frotte doucement le sexe contre celui de son ami, il sourit malicieusement en constatant que ce n’est pas non plus d’une grosseur phénoménale mais plutôt dans des proportions semblables aux siennes.
- C’est ça que tu appelles un monstre ? Ma parole tu dois te branler derrière une loupe alors !!
- Très drôle !! Quand tu l’auras dans la bouche, tu déchanteras beau merle.
- (Damien pris d’un doute en entendant son ami) Dis voir Mathis ? Tu ne trouves pas qu’on brûle les étapes là ? Tu ne serais pas un peu bourré par hasard ?
- (Mathis ricane car c’est vrai qu’il se sent euphorique) Juste un petit peu alors !! Mais je me sens trop bien et j’ai envie de découvrir plein de choses avec toi, pas toi ?
- Si bien sûr !! Mais je ne voudrais pas que demain on le regrette et qu’on s’évite, tu comprends ?
- Je t’aime « Dami », de ça au moins je suis sûr et demain ce sera toujours vrai.
- Moi aussi je t’aime « Math ».
- Alors !! On fait quoi ?
- Déjà tu pourrais m’embrasser, je ne l’ai jamais fait et à voir la réaction des autres quand ils le font, ça doit être super.
- C’est ce que je te proposais de faire tu te rappelles ?
- (Damien amusé) Heu !! Je ne crois pas non !! Je parlais de ma bouche alors que toi tout à l’heure tu voyais certainement autre chose.
- Ok j’avoue, arrête de frotter ta bite contre la mienne alors, sinon je ne réponds plus de rien. Tu m’excites trop tu sais et puis il n’y a pas de mal à se faire du bien, tu voudrais qu’on attende aussi longtemps que Thomas ?
- Mais non !! Juste que je voudrais y aller progressivement, du genre une découverte à la fois. En plus je kiffe trop d’attendre un peu, ça me met les nerfs en pelote et c’est super-bon aussi.
- D’accord !! Tu as raison alors embrasse-moi mais je ne te promets pas de pouvoir contrôler mes mains, j’ai trop envie de te toucher.
Damien approche ses lèvres contre celles de son ami et l’embrasse doucement appréciant le contact si doux qui le fait frissonner de bonheur, sa langue sort doucement et entre dans la bouche de Mathis qui lui aussi apprécie le contact et mêle la sienne à celle de Damien en soupirant de plaisir.
Les sexes des deux garçons palpitent l’un contre l’autre et dans un long frisson qui les prend dans un ensemble parfait, dégorge leurs sèves dans leurs sous-vêtements qui n’en demandaient pas tant déjà tout humide de leurs excitations.
Leurs baisers durent encore un long moment avant que l’heure tardive, la journée très chargée ainsi que la soirée festive n’arrive à bout de leurs résistances et qu’ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre.
1ere ANNEE juillet : (15/35) (Retour une semaine en arrière) (Nuit du cinq au six juillet) (4ème partie)
***
Chambre de Florian et Thomas.
J’entre dans la chambre derrière Thomas qui s’assoit sur le lit pendant que je referme le rideau de séparation. J’allume la petite lampe suspendue au bout de sa rallonge et une fois planté devant lui, je le regarde en souriant constatant à quel point il me dévore des yeux.
- (Amusé) Hé !! Tu attends quoi là ?
- (Surpris) Comment ça ?
- J’attends mon deuxième cadeau d’anniversaire, ou alors c’était des paroles en l’air ?
- Tu veux maintenant !! Comme ça !!
- (Je vois son regard qui s’affole et je décide de m’amuser un peu) Allez mon gars !! Hop!! À poils!! Si tu réfléchis trop tu ne vas plus oser le faire et j’ai trop envie de te faire l’amour pour de bon.
Thomas déglutit avec difficulté et commence à déboutonner en tremblant sa braguette me lançant un regard effarouché qui ne me trompe pas sur ce qu’il ressent devant ma demande. Demande qu’il n’ose pas refuser de peur de me décevoir.
- Allez !! Arrête !! Tu ne me connais pas donc ? Que tu plonges à chaque fois que je balance une connerie ?
- (Ravalant sa salive visiblement rassuré) Tu plaisantais ?
- (Je viens m’asseoir à côté de lui et lui prends la main) Bien sûr qu’est-ce que tu crois ? J’en ai envie mais certainement pas de cette façon (Je lui souris) Et puis si c’est mon cadeau d’anniversaire, je te laisse me l’offrir à ta façon.
- (Sourire en retour) Tu aimerais vraiment ?
- Pas si tu te forces c’est clair !! Maintenant si tu en as envie alors ne sois pas timide, j’en rêve depuis des mois.
Des gémissements rauques très virils parviennent alors à nos oreilles, une mimique d’amusement apparaît sur nos lèvres. Vite remplacé par une forte excitation d’entendre cette voix mâle que nous reconnaissons appartenir à Flavien atteindre les limites de l’orgasme.
- (Thomas) On dirait bien que le grand passe à la vitesse supérieure avec Carole.
- (Amusé) On dirait bien oui !! Remarque ça nous change des cris de « Séb ».
Nouveau râle qui nous dresse les poils tellement il est rempli de sensualité et de plaisir.
- (Thomas) Si elle est en train de lui faire ce que je pense, il va grimper aux arbres d’ici pas longtemps.
Mon sexe commence à donner des signes manifestes d’envie que l’on s’occupe de lui, je pose innocemment la main de « Thom » dessus histoire qu’il constate et prenne des initiatives.
- (Thomas) Hum !! Je vois qu’il y a du remue-ménage là-dedans et je présume que tu n’as pas envie de dormir toi, pas vrai ?
- (Je pose ma main sur sa braguette entrouverte) Pourquoi !! T’as envies toi ?
Thomas se lève et va débrancher la prise de la rallonge, du coup nous voilà dans le noir absolu et c’est son souffle qui guide mes yeux vers lui cherchant à apercevoir son ombre sa silhouette. Sa main se pose sur mon visage et ses lèvres prennent les miennes, un long baiser tout en tendresse qui me laisse haletant attendant la suite avec impatience.
- (Thomas d’une voix douce) Tu me laisses faire, tu veux bien ?
- (Bien sûr que je veux) Oui !!
Thomas ôte alors un à un tous mes vêtements avec une lenteur calculée qui mettent mes nerfs à rude épreuve, ses mains prennent bien garde de ne pas toucher mon corps et quand enfin je me retrouve entièrement nu, il me pousse doucement sur le lit pour que je m’y allonge de tout mon long.
- (Thomas dans un souffle) Tu ne bouges pas d’accord ?
- D’accord !!
Je l’entends se dévêtir aux froissements des vêtements qui chutent au sol, puis son corps vient me recouvrir et sa bouche retrouve la mienne. De très longues minutes passent alors à nous câliner, faisant monter la pression entre nos deux corps commençant à s’échauffer du fait de nos libidos exacerbées.
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