03-04-2021, 03:38 PM
Il baissa la tête, pensif.
- Si.
- C’est ça que je ressentais moi aussi.
- Tu veux dire que tu pourrais recommencer ?
- Oui !
Sa question était plus de la curiosité que de l’envie, contrairement à ma réponse. Je sentais mon sexe s’inonder à mesure que je lui parlais.
- Tu veux dire que tu as envie ?
- Oh que oui !
- Avec toi c’était super agréable, mais t’es ma sœur…
- J’ai envie de toi Loïc.
Ça y était, je perdais déjà la tête. C’était aussi fort que la fois précédente, pas pire, mais pas mieux. Et je compris que je ne pouvais rien faire quand j’étais dans cet état là. Quelqu’un au fond de moi me disait d’arrêter, mais une autre personne était aux commandes de mon corps. Moi je m’observais assez perversement.
- Dis-moi Loïc, tu as un fantasme ?
- Pardon ?
- J’ai envie de te faire plaisir.
- Bah… oui, sur la table de la cuisine.
- Va chercher la laisse de Tosca… je serai toute à toi.
Un sourire se dessina sur le visage de Loïc qui se leva et partit sans demander son reste. Tosca était notre ancienne chienne, un labrador qui avait été adopté alors que maman écoutait en boucle l’Opéra éponyme. Damien m’avait transmis son fantasme, et Loïc semblait le partager. Il ne devait pas être rare. Il revint bien vite avec le collier et la laisse.
- Allez, retire-moi ces vêtements. Une chienne n’en porte pas.
Je souris. J’avais l’impression d’entendre Damien.
CHAPITRE 21: La faiblesse de la chair
Mes vêtements tombèrent sans attendre et sans question. Je m’agenouillai devant lui pour qu’il puisse aisément me passer le collier autour du cou.
- Tu en as vraiment envie ?
- Oh que oui !
- Dans ce cas…
A ma grande surprise, il sortit de sa poche son téléphone portable et me le tendit. Il y avait un message d’un numéro non-enregistré.
Bonjour Loïc, vous ne me connaissez pas mais je m’appelle Damien et je suis le petit ami de Louise. Elle m’a contacté ce matin pour m’avouer ce qu’elle avait fait avec vous. Il ne faut surtout pas lui en tenir rigueur, même si cela peut être compliqué à gérer. Contre mon avis, elle a accepté de servir de cobaye dans un protocole pharmaceutique de test d’un nouveau médicament. Il semblerait que, parmi les effets secondaires, une explosion de la libido soit à craindre. Une bonne douche froide devrait suffire à l’aider s’il devait y avoir récidive.
J’étais stupéfaite. Comment avait-il eu connaissance du numéro de mon frère ? J’étais également soulagée : il excusait mon comportement de la veille. Je relevai la tête vers Loïc. La surprise avait dissipé, au moins temporairement, mon envie. Il avait la laisse à la main.
- Alors, on laisse tomber ?
- Oui… je suis désolée, je vais retourner me coucher.
Il fallait profiter de ces moment de lucidité pour m’éloigner de lui. Plus j’étais proche d’un homme et plus l’effet était fort. En plus, je n’avais aucune idée du temps que durerait ce retour à la normale. Je me levai et partis, laissant mes vêtements là, préférant ne pas perdre de temps. J’étais arrivée à sa porte quand je sentais ses mains me saisir par les hanches et m’attirer en arrière, me plaquant contre son érection. Son sexe était dur, bien sensible à travers son box. Il venait tout naturellement épouser le creux de mes fesses. Je sentis ma raison me quitter très vite, bien trop vite. Il vint me mordiller le lobe de l’oreille pour me chuchoter :
- Moi je t’aime bien en petite chienne en chaleur. En es-tu une ?
- O-oui.
Je bredouillais, l’esprit confus et le cœur battant la chamade. L’une de ses mains vint caresser mon sexe alors que l’autre remonta pour saisir mon sein fermement, jouant distraitement avec mon téton. Il me murmura à l’oreille :
- As-tu envie de retourner dans ta chambre ?
Je me concentrai, rassemblant toute ma volonté pour lui répondre. Mais dans ce délai, sans doute trop long, son doigt glissa entre mes lèvres pour venir effleurer mon clitoris. Le frisson qui me parcourut balaya mes résistances.
- Alors, chienne ou sœur ?
- L-les deux…
- Est-ce que tu prends la pilule ?
- Non.
- Je n’ai pas de capote…
- Pas grave !
Il se figea, semblant soudain comprendre.
- Mais alors hier on a pris un risque ?
- Oui.
- Et si jamais…
- J’en ai envie !
- Si.
- C’est ça que je ressentais moi aussi.
- Tu veux dire que tu pourrais recommencer ?
- Oui !
Sa question était plus de la curiosité que de l’envie, contrairement à ma réponse. Je sentais mon sexe s’inonder à mesure que je lui parlais.
- Tu veux dire que tu as envie ?
- Oh que oui !
- Avec toi c’était super agréable, mais t’es ma sœur…
- J’ai envie de toi Loïc.
Ça y était, je perdais déjà la tête. C’était aussi fort que la fois précédente, pas pire, mais pas mieux. Et je compris que je ne pouvais rien faire quand j’étais dans cet état là. Quelqu’un au fond de moi me disait d’arrêter, mais une autre personne était aux commandes de mon corps. Moi je m’observais assez perversement.
- Dis-moi Loïc, tu as un fantasme ?
- Pardon ?
- J’ai envie de te faire plaisir.
- Bah… oui, sur la table de la cuisine.
- Va chercher la laisse de Tosca… je serai toute à toi.
Un sourire se dessina sur le visage de Loïc qui se leva et partit sans demander son reste. Tosca était notre ancienne chienne, un labrador qui avait été adopté alors que maman écoutait en boucle l’Opéra éponyme. Damien m’avait transmis son fantasme, et Loïc semblait le partager. Il ne devait pas être rare. Il revint bien vite avec le collier et la laisse.
- Allez, retire-moi ces vêtements. Une chienne n’en porte pas.
Je souris. J’avais l’impression d’entendre Damien.
CHAPITRE 21: La faiblesse de la chair
Mes vêtements tombèrent sans attendre et sans question. Je m’agenouillai devant lui pour qu’il puisse aisément me passer le collier autour du cou.
- Tu en as vraiment envie ?
- Oh que oui !
- Dans ce cas…
A ma grande surprise, il sortit de sa poche son téléphone portable et me le tendit. Il y avait un message d’un numéro non-enregistré.
Bonjour Loïc, vous ne me connaissez pas mais je m’appelle Damien et je suis le petit ami de Louise. Elle m’a contacté ce matin pour m’avouer ce qu’elle avait fait avec vous. Il ne faut surtout pas lui en tenir rigueur, même si cela peut être compliqué à gérer. Contre mon avis, elle a accepté de servir de cobaye dans un protocole pharmaceutique de test d’un nouveau médicament. Il semblerait que, parmi les effets secondaires, une explosion de la libido soit à craindre. Une bonne douche froide devrait suffire à l’aider s’il devait y avoir récidive.
J’étais stupéfaite. Comment avait-il eu connaissance du numéro de mon frère ? J’étais également soulagée : il excusait mon comportement de la veille. Je relevai la tête vers Loïc. La surprise avait dissipé, au moins temporairement, mon envie. Il avait la laisse à la main.
- Alors, on laisse tomber ?
- Oui… je suis désolée, je vais retourner me coucher.
Il fallait profiter de ces moment de lucidité pour m’éloigner de lui. Plus j’étais proche d’un homme et plus l’effet était fort. En plus, je n’avais aucune idée du temps que durerait ce retour à la normale. Je me levai et partis, laissant mes vêtements là, préférant ne pas perdre de temps. J’étais arrivée à sa porte quand je sentais ses mains me saisir par les hanches et m’attirer en arrière, me plaquant contre son érection. Son sexe était dur, bien sensible à travers son box. Il venait tout naturellement épouser le creux de mes fesses. Je sentis ma raison me quitter très vite, bien trop vite. Il vint me mordiller le lobe de l’oreille pour me chuchoter :
- Moi je t’aime bien en petite chienne en chaleur. En es-tu une ?
- O-oui.
Je bredouillais, l’esprit confus et le cœur battant la chamade. L’une de ses mains vint caresser mon sexe alors que l’autre remonta pour saisir mon sein fermement, jouant distraitement avec mon téton. Il me murmura à l’oreille :
- As-tu envie de retourner dans ta chambre ?
Je me concentrai, rassemblant toute ma volonté pour lui répondre. Mais dans ce délai, sans doute trop long, son doigt glissa entre mes lèvres pour venir effleurer mon clitoris. Le frisson qui me parcourut balaya mes résistances.
- Alors, chienne ou sœur ?
- L-les deux…
- Est-ce que tu prends la pilule ?
- Non.
- Je n’ai pas de capote…
- Pas grave !
Il se figea, semblant soudain comprendre.
- Mais alors hier on a pris un risque ?
- Oui.
- Et si jamais…
- J’en ai envie !