27-11-2021, 11:10 PM
Godefroy, qui décidément avait appris des choses à la fréquentation de Killian, organisa la giclette d'iceluy : quand le sucé émit l'intention de déborder, le garçon s'arrangea pour qu'il le fît sur son museau réuni à celui de Ludovic, en sorte qu'une fois le second couvert de foutre il eût prétexte à l'aller lécher... et en profiter pour insérer sa langue en les lèvres de son pote... comme le lui avait fait Killian, la première fois...
Et ça marcha... et bien, encore ! Au point que Ludovic en redemanda. M'enfin on finit par revenir à la surface, et Killian lui demanda avec un fin sourire :
— Ça va, grand garçon ?
— Oh... je sais plus trop où j'en suis, mais... oui, ça va !
On pouffa tous les trois, et après une douche vivement menée, on s'arsouilla1 derechef avec une belle ardeur...
— P'tain, murmura enfin le beau Ludovic, si Joris savait ça !
Car l'autre pote de Godefroy se nommait Joris (c'est Georges en néerlandais), et était d'une famille flamande et calviniste : autant vous dire que ça rigolait déjà moins, dans ce canton !
Mais... et Killian l'avait pu vérifier, c'était un mec absolument superbe... et châtain aux yeux d'un bleu à coincer l'écluse maritime d'Anvers (500 m de long) s'il s'avisait de les fermer en la regardant ! Bref, c'était pas de la p'tite bière que ce Joris-là, non.
Certes, il partouzait avec une grâce indéniable, mais... de l'avis de ses deux potes, qui s'épanchèrent alors, il gardait de ses origines des retenues... des pudeurs... toutes protestantes... quoique.
— T'aimerais pas qu'on s'amuse aussi avec lui ? demanda Godefroy en prenant Ludovic par le cou.
— Oh ! Je sais pas moi ! Et lui, il est... Il est moins... moins...
— ...porté sur le sexe que toi, par exemple ? compléta doucement Killian.
Ludovic dut sourire — et qu'il plut à Killian, ce sourire-là !
— Tu crois qu'une langue dans le cul, ça lui donnerait de l'assurance ? demanda Godefroy.
On éclata de rire.
— Vous êtes ravagés, les mecs ! fit Ludovic, en joie.
— Tu nous aides à lui apprendre les bonnes manières ? poursuivit Killian.
— Oh ! Ça !... Mais putain, les mecs, vous êtes obsédés par le cul, ou quoi ?
— Ben oui : pas toi ?
— Euh...
— On a envie de jouir un maximum, comme tous les mecs de notre âge... et toi aussi, non ?
— Si... fit Ludovic, baissant le nez.
— Tu nous aides à lui montrer la vraie vie, alors ? demanda Godefroy
— Ffff... souffla, le joli brun, il est pas drôle, le Joris ! Et pourquoi, d'ailleurs ?
— Juste pour faire l'amour. Après, on n'empêche personne de le faire avec qui il veut !
— Il te plaît, Joris ? demanda Ludovic à Godefroy.
— Ben oui.
— T'es devenu gay ?
— Pas besoin de l'être pour trouver ce mec génial, non ?
Là, Ludovic dut marquer le coup. Les deux autres se regardèrent, complices alors.
— Mais... qu'est-ce que vous voulez de lui ? osa alors Ludovic. S'il est pas gay ?
— Tu l'es pas non plus, et pourtant, on s'est bien éclaté, tous les trois, non ? affirma Godefroy.
Derechef, le beau minet baissa les yeux. Killian alla un peu plus loin :
— Parle-lui de sexe avec des mecs, sans parler de nous... ou tu parles de moi seulement, puisqu'il ne me connaît pas. Mais tu abordes le sujet vu par un hétéro, évidemment !
— Ouais, génial, ça ! fit Godefroy.
— Vous êtes deux beaux obsédés, surtout !
— Ah oui, t'as remarqué ? fit gaiement Killian. De ta super belle queue, surtout, Ludovic !
Ludovic accepta donc de travailler son ami au corps... au figuré dans un premier temps.
Les deux autres se dirent, après son départ, que quel que serait le résultat de ces magouilles, on avait encore de beaux moments à venir avec le fin Ludovic... et même sans lui.
— P'tain ! conclut Godefroy, quand j't'ai repéré à L'Héron rond, j'pensais pas qu'on irait jusque là dans le cul !
— Dans le cul des autres surtout, hein ?
— Ah ! Ah ! Ah ! J'adore, mon p'tit pédé !
— P'tit pédé comment ?
— D'amour ! Mon p'tit pédé d'amour, oui, Killian !
Ambiance.
Il y eut un genre de hasard, deux jours plus tard : à peine arrivé à L'Héron rond, Killian reçut un appel de Godefroy qui annulait leur rendez-vous ; mais ce garçon avait déjà opté pour son grand gorgeon de Stella...
Or il vit soudain paraître le fin Ludovic, à qui il fit un grand geste du bras ; le garçon vint se poser près de lui... non sans lui avoir fait deux bonnes bises.
— En fait... j'avais rencard avec Joris, pour...
— ...lui parler du gros contrat international qui va changer sa vie ? coupa Killian avec son fin humour habituel... et qui donna un immense sourire à ce bel enfant.
— Si je suis là, c'est peut-être mieux ? — Ludovic opina, et Killian continua : — En l'attendant, j'te raconte comment on s'est rencontrés avec Godefroy, tiens !
Ceci fait, Killian ajouta :
— Et tu vois : si t'avais eu envie de pisser au lieu de sucer un péquet2 de vieille fille, tu m'aurais rencontré aussi !
Ludovic sourit, et fit alors un geste : Joris avait paru.
Comme un rayon de soleil, pas moins. Et vite, Killian comprit que Ludovic était impressionné par le minet... Y avait de quoi !
— Joris... C'est Killian, dont je t'ai parlé. Il est là par hasard... mais comme ça, vous ferez connaissance.
La froide et implacable beauté du beau Joris glaça d'abord un Killian qui se dit cependant tout de suite que ce mec, avec ses airs de madonne protestante, était aussi un mec à partouzes... Donc, il avait ses points faibles. La queue, probablement, comme tous les mecs...
Mais c'était vrai qu'il était à tomber par terre, ce mannequin international ! Et qu'il savait y faire pour impressionner ses interlocuteurs... Killian se dit qu'aucun partouzeur... aucun mec, même, ne refuse de se faire sucer, par qui que ce soit.
— Je vois que tu commences fort, toi, fit le minet en désignant la grande chope de Killian.
— Je soutiens la bière belge, la meilleure du monde ! Et j'avais rencard avec un grand causeur... qui me fait défaut !
— Tant mieux, fit doucement Ludovic, on causera nous-mêmes.
Où Killian s'efforça de se mettre au miveau intellectuel d'un Joris qui ne lui parut pas inaccessible. Même, ce garçon ne tarda pas à se détendre, sans doute sensible qu'il était à l'humour de Kévin, tandis que Ludovic y allait de ses remarques, et de ses éclats de rire...
Et puis... et puis il il arriva que, sans s'en rendre compte peut-être, Killian eut à cœur de séduire ce garçon-là. Et plus pour son compte que pour les fantasmes de Godefroy...
Pour l'instant, il n'y avait rien de fait... mais le mec semblait détendu, au point que Killian il alla de son couplet de pauvre petit gay trahi par un méchant amoureux... Et ce numéro fit sourire largement le garçon. Qui, une fois un peu parti, osa :
— Et c'est parce que ton mec t'a lâché que tu te rabats sur les honnêtes hétéros ?
— Hep ! Il y a autant d'honnêtes hétéros que d'honnêtes gays : zéro sur Terre. Mais si je peux échanger des recettes avec un gentil garçon, pourquoi pas ?
— J'aime la formule ! fit Joris en un large sourire. Et c'est avec ça que t'as débauché mon pote ?
— Y a pas que la recette... y faut le coup de main ! Et si t'es un peu curieux... tu mates les pros, et tu te fais une idée.
Les mectons se regardèrent, obligés de sourire ; et Killian osa y aller brutalement :
— Tu me fais quoi, ce soir, Ludovic ? Mon pote m'a lâchement laissé tomber, et toi, chuis sûr que t'as des pulsions de jeune homme !
Il n'en fallut guère plus pour que ce joli monde se retrouvât, nu, sous les lambris d'un Killian qui n'en espérait pas tant !
Il décapsula vitement quelques bouteilles de raides belges... tout en espérant rendre raides les Belges qu'il avait sous la main. Et ça ne manqua pas. Vite, il eut la certitude que Ludovic prenait plaisit à cet exhibitionnisme... car il en faisait un peu plus qu'espéré ! Et même... Et même que ce bel enfant avait quelques louches vues sur son hétéro de pote...
Bref, tout s'annonçait bien... qui se déroula comme dans un enchantement. D'abord carré dans un crapaud3 hors d'âge, Joris ne tarda pas à se palucher comme un ado en surchauffe, et à se lever pour se rapprocher de l'action, surtout quand Ludovic souffla, visiblement à l'intention d'iceluy, d'ailleurs :
— P'tain ! J'vais t'niquer, Killian, j'vais t'la mettre à fond, oui !
— Ouiiii ! compléta le voyeur, dont la belle, très belle bite longue, fine, pâle et lisse fascinait Killian...
Qui donc en était à se faire enfiler lorsqu'il souffla :
— Joris, j'te suce ?
— Euh... Oh... Tu veux ?
Ainsi fut fait. Autant vous dire que la suite ne se perdit pas en vains méandres ! Joris sembla vite avoir perdu toute la retenue comme l'exquise éducation qu'on lisait précédemment en ses yeux de petit garçon sage...
— Jouis pas ! cria enfin Ludovic, alors que Killian pompait Joris avec ardeur. Tu me la mets, bébé !
Vous voyez le tableau. Le détail des figures qui s'enchaînèrent ensuite m'échappe un peu, cependant. Mais bon ! Vous saisissez le principe. Et puis... Killian eut une idée : il fit s'apposer l'une contre l'autre les queues des mectons et les suça ensembe, d'abord... avant d'essayer un truc jamais fait... Une double pénétration.
Ils firent une drôle de tronche, les minets, quand leurs jolies queues furent branlées, puis sucées ensemble ! Puis quand elles eurent à s'immiscer à deux en le chaud pertuis d'un Killian qui débutait, en ça... Mais qui assura.
On se sépara sur de louches regards, oui da… en emportant d'encore plus louches pensées ! Vite averti par Killian, Godefroy décida d'organiser immédiatement une partie à quatre... alors que Joris ignorait tout de ses récents états de service. Mais Killian affirma que le dernier venu ne partirait pas en courant en le découvrant...
Au dam de ces dames, le samedi suivant fut déclaré « soirée entre potes ». Il vous aurait fallut voir la binette de Joris découvrant Godefroy nu (et en érection) sur le canapé de Killian ! La Leffe coula d'abord à flot, avant que la mouille de ces jeunes gens la remplaçât avantageusement, qui ne les grisa pas moins. Ah ! La belle et chaude soirée qu'icelle !
Et puis... les choses évoluèrent, petit à petit. Si nos trois hétéros le sont restés... ils ont désormais, dans leur jardin secret, une douce et chaude amitié : Godefroy pour Ludovic, et Joris pour Killian. Qui fédère tout le monde, lui !
Car ce fut en cette gente compagnie qu'il dépucela Joris... et il ne fallut pas des semaines pour que tout le monde enculât tout le monde ! Et si Ludovic et Godefroy restèrent fidèles à tous leurs plaisirs passés et nouveaux, Joris, lui... finit par s'abonner à vie à Killian, avec déclaration officielle à L'Héron rond !
Et ça marcha... et bien, encore ! Au point que Ludovic en redemanda. M'enfin on finit par revenir à la surface, et Killian lui demanda avec un fin sourire :
— Ça va, grand garçon ?
— Oh... je sais plus trop où j'en suis, mais... oui, ça va !
On pouffa tous les trois, et après une douche vivement menée, on s'arsouilla1 derechef avec une belle ardeur...
— P'tain, murmura enfin le beau Ludovic, si Joris savait ça !
Car l'autre pote de Godefroy se nommait Joris (c'est Georges en néerlandais), et était d'une famille flamande et calviniste : autant vous dire que ça rigolait déjà moins, dans ce canton !
Mais... et Killian l'avait pu vérifier, c'était un mec absolument superbe... et châtain aux yeux d'un bleu à coincer l'écluse maritime d'Anvers (500 m de long) s'il s'avisait de les fermer en la regardant ! Bref, c'était pas de la p'tite bière que ce Joris-là, non.
Certes, il partouzait avec une grâce indéniable, mais... de l'avis de ses deux potes, qui s'épanchèrent alors, il gardait de ses origines des retenues... des pudeurs... toutes protestantes... quoique.
— T'aimerais pas qu'on s'amuse aussi avec lui ? demanda Godefroy en prenant Ludovic par le cou.
— Oh ! Je sais pas moi ! Et lui, il est... Il est moins... moins...
— ...porté sur le sexe que toi, par exemple ? compléta doucement Killian.
Ludovic dut sourire — et qu'il plut à Killian, ce sourire-là !
— Tu crois qu'une langue dans le cul, ça lui donnerait de l'assurance ? demanda Godefroy.
On éclata de rire.
— Vous êtes ravagés, les mecs ! fit Ludovic, en joie.
— Tu nous aides à lui apprendre les bonnes manières ? poursuivit Killian.
— Oh ! Ça !... Mais putain, les mecs, vous êtes obsédés par le cul, ou quoi ?
— Ben oui : pas toi ?
— Euh...
— On a envie de jouir un maximum, comme tous les mecs de notre âge... et toi aussi, non ?
— Si... fit Ludovic, baissant le nez.
— Tu nous aides à lui montrer la vraie vie, alors ? demanda Godefroy
— Ffff... souffla, le joli brun, il est pas drôle, le Joris ! Et pourquoi, d'ailleurs ?
— Juste pour faire l'amour. Après, on n'empêche personne de le faire avec qui il veut !
— Il te plaît, Joris ? demanda Ludovic à Godefroy.
— Ben oui.
— T'es devenu gay ?
— Pas besoin de l'être pour trouver ce mec génial, non ?
Là, Ludovic dut marquer le coup. Les deux autres se regardèrent, complices alors.
— Mais... qu'est-ce que vous voulez de lui ? osa alors Ludovic. S'il est pas gay ?
— Tu l'es pas non plus, et pourtant, on s'est bien éclaté, tous les trois, non ? affirma Godefroy.
Derechef, le beau minet baissa les yeux. Killian alla un peu plus loin :
— Parle-lui de sexe avec des mecs, sans parler de nous... ou tu parles de moi seulement, puisqu'il ne me connaît pas. Mais tu abordes le sujet vu par un hétéro, évidemment !
— Ouais, génial, ça ! fit Godefroy.
— Vous êtes deux beaux obsédés, surtout !
— Ah oui, t'as remarqué ? fit gaiement Killian. De ta super belle queue, surtout, Ludovic !
Ludovic accepta donc de travailler son ami au corps... au figuré dans un premier temps.
Les deux autres se dirent, après son départ, que quel que serait le résultat de ces magouilles, on avait encore de beaux moments à venir avec le fin Ludovic... et même sans lui.
— P'tain ! conclut Godefroy, quand j't'ai repéré à L'Héron rond, j'pensais pas qu'on irait jusque là dans le cul !
— Dans le cul des autres surtout, hein ?
— Ah ! Ah ! Ah ! J'adore, mon p'tit pédé !
— P'tit pédé comment ?
— D'amour ! Mon p'tit pédé d'amour, oui, Killian !
Ambiance.
Il y eut un genre de hasard, deux jours plus tard : à peine arrivé à L'Héron rond, Killian reçut un appel de Godefroy qui annulait leur rendez-vous ; mais ce garçon avait déjà opté pour son grand gorgeon de Stella...
Or il vit soudain paraître le fin Ludovic, à qui il fit un grand geste du bras ; le garçon vint se poser près de lui... non sans lui avoir fait deux bonnes bises.
— En fait... j'avais rencard avec Joris, pour...
— ...lui parler du gros contrat international qui va changer sa vie ? coupa Killian avec son fin humour habituel... et qui donna un immense sourire à ce bel enfant.
— Si je suis là, c'est peut-être mieux ? — Ludovic opina, et Killian continua : — En l'attendant, j'te raconte comment on s'est rencontrés avec Godefroy, tiens !
Ceci fait, Killian ajouta :
— Et tu vois : si t'avais eu envie de pisser au lieu de sucer un péquet2 de vieille fille, tu m'aurais rencontré aussi !
Ludovic sourit, et fit alors un geste : Joris avait paru.
Comme un rayon de soleil, pas moins. Et vite, Killian comprit que Ludovic était impressionné par le minet... Y avait de quoi !
— Joris... C'est Killian, dont je t'ai parlé. Il est là par hasard... mais comme ça, vous ferez connaissance.
La froide et implacable beauté du beau Joris glaça d'abord un Killian qui se dit cependant tout de suite que ce mec, avec ses airs de madonne protestante, était aussi un mec à partouzes... Donc, il avait ses points faibles. La queue, probablement, comme tous les mecs...
Mais c'était vrai qu'il était à tomber par terre, ce mannequin international ! Et qu'il savait y faire pour impressionner ses interlocuteurs... Killian se dit qu'aucun partouzeur... aucun mec, même, ne refuse de se faire sucer, par qui que ce soit.
— Je vois que tu commences fort, toi, fit le minet en désignant la grande chope de Killian.
— Je soutiens la bière belge, la meilleure du monde ! Et j'avais rencard avec un grand causeur... qui me fait défaut !
— Tant mieux, fit doucement Ludovic, on causera nous-mêmes.
Où Killian s'efforça de se mettre au miveau intellectuel d'un Joris qui ne lui parut pas inaccessible. Même, ce garçon ne tarda pas à se détendre, sans doute sensible qu'il était à l'humour de Kévin, tandis que Ludovic y allait de ses remarques, et de ses éclats de rire...
Et puis... et puis il il arriva que, sans s'en rendre compte peut-être, Killian eut à cœur de séduire ce garçon-là. Et plus pour son compte que pour les fantasmes de Godefroy...
Pour l'instant, il n'y avait rien de fait... mais le mec semblait détendu, au point que Killian il alla de son couplet de pauvre petit gay trahi par un méchant amoureux... Et ce numéro fit sourire largement le garçon. Qui, une fois un peu parti, osa :
— Et c'est parce que ton mec t'a lâché que tu te rabats sur les honnêtes hétéros ?
— Hep ! Il y a autant d'honnêtes hétéros que d'honnêtes gays : zéro sur Terre. Mais si je peux échanger des recettes avec un gentil garçon, pourquoi pas ?
— J'aime la formule ! fit Joris en un large sourire. Et c'est avec ça que t'as débauché mon pote ?
— Y a pas que la recette... y faut le coup de main ! Et si t'es un peu curieux... tu mates les pros, et tu te fais une idée.
Les mectons se regardèrent, obligés de sourire ; et Killian osa y aller brutalement :
— Tu me fais quoi, ce soir, Ludovic ? Mon pote m'a lâchement laissé tomber, et toi, chuis sûr que t'as des pulsions de jeune homme !
Il n'en fallut guère plus pour que ce joli monde se retrouvât, nu, sous les lambris d'un Killian qui n'en espérait pas tant !
Il décapsula vitement quelques bouteilles de raides belges... tout en espérant rendre raides les Belges qu'il avait sous la main. Et ça ne manqua pas. Vite, il eut la certitude que Ludovic prenait plaisit à cet exhibitionnisme... car il en faisait un peu plus qu'espéré ! Et même... Et même que ce bel enfant avait quelques louches vues sur son hétéro de pote...
Bref, tout s'annonçait bien... qui se déroula comme dans un enchantement. D'abord carré dans un crapaud3 hors d'âge, Joris ne tarda pas à se palucher comme un ado en surchauffe, et à se lever pour se rapprocher de l'action, surtout quand Ludovic souffla, visiblement à l'intention d'iceluy, d'ailleurs :
— P'tain ! J'vais t'niquer, Killian, j'vais t'la mettre à fond, oui !
— Ouiiii ! compléta le voyeur, dont la belle, très belle bite longue, fine, pâle et lisse fascinait Killian...
Qui donc en était à se faire enfiler lorsqu'il souffla :
— Joris, j'te suce ?
— Euh... Oh... Tu veux ?
Ainsi fut fait. Autant vous dire que la suite ne se perdit pas en vains méandres ! Joris sembla vite avoir perdu toute la retenue comme l'exquise éducation qu'on lisait précédemment en ses yeux de petit garçon sage...
— Jouis pas ! cria enfin Ludovic, alors que Killian pompait Joris avec ardeur. Tu me la mets, bébé !
Vous voyez le tableau. Le détail des figures qui s'enchaînèrent ensuite m'échappe un peu, cependant. Mais bon ! Vous saisissez le principe. Et puis... Killian eut une idée : il fit s'apposer l'une contre l'autre les queues des mectons et les suça ensembe, d'abord... avant d'essayer un truc jamais fait... Une double pénétration.
Ils firent une drôle de tronche, les minets, quand leurs jolies queues furent branlées, puis sucées ensemble ! Puis quand elles eurent à s'immiscer à deux en le chaud pertuis d'un Killian qui débutait, en ça... Mais qui assura.
On se sépara sur de louches regards, oui da… en emportant d'encore plus louches pensées ! Vite averti par Killian, Godefroy décida d'organiser immédiatement une partie à quatre... alors que Joris ignorait tout de ses récents états de service. Mais Killian affirma que le dernier venu ne partirait pas en courant en le découvrant...
Au dam de ces dames, le samedi suivant fut déclaré « soirée entre potes ». Il vous aurait fallut voir la binette de Joris découvrant Godefroy nu (et en érection) sur le canapé de Killian ! La Leffe coula d'abord à flot, avant que la mouille de ces jeunes gens la remplaçât avantageusement, qui ne les grisa pas moins. Ah ! La belle et chaude soirée qu'icelle !
Et puis... les choses évoluèrent, petit à petit. Si nos trois hétéros le sont restés... ils ont désormais, dans leur jardin secret, une douce et chaude amitié : Godefroy pour Ludovic, et Joris pour Killian. Qui fédère tout le monde, lui !
Car ce fut en cette gente compagnie qu'il dépucela Joris... et il ne fallut pas des semaines pour que tout le monde enculât tout le monde ! Et si Ludovic et Godefroy restèrent fidèles à tous leurs plaisirs passés et nouveaux, Joris, lui... finit par s'abonner à vie à Killian, avec déclaration officielle à L'Héron rond !
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.