Hello !
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Le Stage de Frédéric
— Ça, c'est de l'attraction-avant ! s'exclama Frédéric en découvrant l'anatomie de son pote.
— C'est toi qui l'as voulu ! répliqua Pierre-Luc en achevant de se déloquer, sur la petite plage naturiste de la Côte d'Azur.
Ces deux-là se connaissaient depuis à peine un an, soit depuis le début de leur deuxième année de fac, et surtout de leur colocation. Qui avait super bien marché, et qui les avait amenés à louer un petit appartement sur la côte pour trois semaines — aidées par leurs parents.
Où cependant ils devaient partager une même chambre, ce qui n'était pas le cas à Montparnasse, où tout le bien-être moderne était de mise... Mais on était parvenu à une intimité qui faisait que cela ne devrait pas poser de problème.
Intimité qui n'avait jamais été jusqu'à ce qu'on se vît nu, étrangement. Et pourtant... Frédéric parlait de cul tout le temps, et Pierre-Luc ne semblait pas choqué, qui répondait en rigolant. Et c'est Frédéric qui avait insisté pour qu'on fît du naturisme...
On y était donc. Et Frédéric en eut pour son argent ! S'il savait Pierre-Luc très bien foutu : élancé et finement musclé, fort joliment velu de sombre — c'était un brun aux yeux bleus —, il le découvrait aussi super bien monté... du moins avant la mobilisation générale.
N'ayant pas à se plaindre lui-même, il s'effeuilla en souriant. Il était encore tôt, et la plagette était quasi déserte.
— T'as pas peur de bander au premier p'tit nichon ? ironisa Pierre-Luc.
— Et toi ?
— M'en fous ! J'assume !
— Eh ben on verra !
Le premier bain des vacances fut des plus agréables, et Pierre-Luc reconnut volontiers que c'était un plaisir que de se baigner à poil. Entre-temps, la petite plage s'était peuplée, et Pierre-Luc eut ce commentaire en sortant de l'eau :
— Ah ! Y de la chatte, maintenant !
— On verra qui résistera le mieux...
— Mais j'ai pas l'intention de résister, moi ! fit Pierre-Luc en souriant.
Au reste, deux nanas s'étaient posées tout près de leur affaires, mignonnes comme tout. On se salua gentiment, et ce n'est que quand ces dames décidèrent d'aller au bain qu'on les y suivit... sur un regard incitatif, et qu'on engagea la conversation.
Alors que les mecs s'étaient un peu éloignés, Frédéric souffla :
— Tu te rappelles qu'on a chacun un lit double... mais dans la même chambre ?
— Y a plus qu'à espérer qu'elles sont pas trop bégueules !
— Hein ? Tu baiserais en public ? sursauta Frédéric.
— Comme toi, mon pote, comme toi ! pouffa Pierre-Luc, que Frédéric n'aurait jamais imaginé tel. Elles ont pas l'air farouche, alors on va voir. Au pire, tu niqueras dans la cuisine ! Ah ! Ah !
De fait on causa et recausa, et ces fillettes ne semblaient pas trop effarouchables, non !
Et Frédéric, qui avait été frappé par la taille de la bite de son pote, en temps de paix, se redemanda alors ce qu'il verrait, les hostilités ouvertes...
Bref, on prit rencard pour le soir même, après dîner. On avait déjà pris soin d'emplir le garde-manger, et de se commencer une gentille petite cave... avec des bulles, puisqu'on recevrait dès ce soir. Mais... alors qu'on rentrait, on vit dans le petit jardin de la maison, entouré de murs mais orné de six troènes, une forme allongée sur un transat : une nana seins nus, et dont le mini monokini ne cachait pas le sexe officiel... Elle leva les yeux et sourit en saluant. La bicoque avait deux étages, et donc trois petits appartements loués pour les vacances ; elle était au premier, les garçons au second.
La fille était brune et délicatement bronzée, et tout sourire. On sympathisa donc, et quand on rentra chez soi, Frédéric souffla :
— P'tain ! Tu bandes !
— Pas toi ?
On alla se doucher séparément, mais Pierre-Luc, premier sorti, déclara :
— On reste comme ça ? Après tout, les filles savent à quoi s'attendre...
La dînette expédiée, on se mit en devoir d'accueillir ces demoiselles... qui parurent en grand sourire, et en tenue légère. Laquelle ne tint pas la distance, comme bien vous pensez.
On s'amusa bien, et le ci-devant prude Frédéric fut bien excité de voir le gros rondin de son pote défoncer ces petites filles... car on changea de cavalier au mitan de la soirée.
Icelles ayant regagné leur couvent, on causa :
— Alors ? demanda Pierre-Luc, toujours vivant ?
— Ouais... T'es un chaud, toi !
— T'as bien dû entendre !
— Ouais... mais souvent les nanas en font beaucoup... et là j'ai vu qu'elles gueulaient pas pour rien !
— Merci pour le compliment, fit Pierre-Luc en un joli sourire — mais en avait-il d'autres ? Maintenant, on se fait la minette du dessous ?
— Elle nous a dit qu'elle avait un mec, je crois...
— Eh ben tu lui donnes ton cul, et voilà tout !
— T'as une façon de manager le monde, toi !
En descendant le lendemain, on tomba, au premier, sur un mec très haut, très blanc, très pâle et surtout très roux. Et beau, vraiment, surtout par ses rares yeux verts.
— Ho ! Véronique m'a parlé de vous ! Ciao, moi, c'est Joël, fit le mec avec un sourire à tomber par terre. Je vais à la plage, et vous ?
— On allait zoner un peu...
— Vous m'accompagnez, tant qu'y fait pas encore trop chaud ?
Ainsi fut fait. Sans surprise, le mec conduisit les garçons sur la plagette naturiste, totalement déserte à cette heure.
La plastique du rouquin valait le déplacement : il était finement musclé et découplé, et ses fines poilures flamboyantes valaient le détour, assurément ! Surtout sa large touffe de feu, qui épata les mectons. Et les mecs se regardèrent lorsqu'il dévoila son long et épais serpent rose pâle...
On alla batifoler dans les eaux territoriales, où les mecs entendirent une drôle de question :
— Vous êtes ensemble ?
— Hein ? Mais non, non, pourquoi ?
— Vous faites un beau couple... et vous avez l'air d'être ensemble, c'est tout.
— Ben non.
— Vous avez jamais essayé ?
— Hein ?
— Quand on est potes, ça coûte rien de se faire une opinion ! Vous vous plaisez vraiment pas ?
— Non ! Si ! Enfin non !
— Bon, c'est pas grave : y a pas l'feu ! Ça vous dirait, une petite soirée... intime, chez nous ?
Les mecs sourirent, et le beau Joël en conclut à leur accord. On se sépara pour la journée, et les minets fantasmèrent une bonne partie du temps sur ce qui allait se passer là. Pierre-Luc était le plus chaud, à l'étonnement de son pote, qui ne le connaissait pas ainsi :
— Elle va chauffer, Mémène : une dans la chatte, une dans le cul, et une dans la bouche !
À l'heure dite, on sonna : leurs hôtes étaient nus... et Joël l'avait bien un peu plus qu'à demi dure... Ce qui faisait déjà un bel engin, qu'on s'en convainque !
On ne perdit pas de temps en vaines palabres... tandis qu'on picolait d'une main, Véronique, prit celle de Pierre-Luc pour se la mettre sur la chatte... qu'il trouva fort humide. Sans façon, Joël prit celle de Frédéric pour se la mettre sur la queue... à l'effroi de ce garçon.
Qui sentit croître vite fait le superbe cimeterre du rouquin. En effet, son braquemart se courbait un peu vers le haut, évoquant la belle arme orientale. Et quel engin ! Et il dut faire ce que Joël lui fit incontinent : le branler. Une première pour lui... du moins depuis ses quelques expériences de puceau au lycée. Bon ! Ce ne lui fut pas une épreuve, évidemment, d'autant que cette rousse splendeur lui fit vite du bien : elle savait faire !
Et Joël de se pencher, après un petit moment, sur la belle queue bien raide de Frédéric... tandis que Pierre-Luc avait déjà commencé à bouffer la patronne.
Et Frédéric émit un long gémissement de satisfaction. Oh p'tain, la bouche de ce mec ! Évidemment plus grande que celle des petites minettes qui s'efforçaient de bien faire en pompant son dard généreux (oui, il l'était, sans excès), minettes dont ce n'était de plus d'évidence pas la tasse de thé...
Joël, lui semblait aimer ça ! Au bout d'un moment, il souffla :
— Tu veux me la mettre ?
— Mais...
— Viens.
Et Frédéric de se retrouver sans préambule dans le joli cul musclé du superbe rouquin. Qui le conseilla :
— Bourre-moi bien, mon bébé, comme aux autoscooters ! (1)
Frédéric était assez chaud pour n'avoir pas besoin d'encouragements... et il finit par jouir en hurlant ès profondeurs de son rouquin... tandis que Pierre-Luc prenait un pied voisin, quoique moins sonore. Mais Joël eut encore une idée :
— Féfé ! Tu me fais jouir sur la gueule de ton pote ?
— Hein ? firent les deux minets.
— Hop !
Les mectons n'osèrent pas refuser, et voilà mon Frédéric d'empoigner le superbe mandrin... Le mec était à point, aussi les choses ne durèrent-elle pas des heures... Et Pierre-Luc accepta bravement la blanche averse que lui réserva Joël.
Après la douche d'usage, on repicola, on grignota en parlant de choses et d'autres, et les voisins, habitués des lieux, donnèrent même moult conseils polissons aux minets, concernant les endroits à visiter. Puis on remit ça.
— C'coup-ci, c'est Pierre-Luc qui me défonce, et toi tu t'occupes de Madame !
Les mecs se regardèrent, mais furent bien incapables de dire un mot. Et la séance reprit : décidément, ces deux-là étaient des pros du sexe, et Pierre-Luc dut convenir que les caresses de Joël lui faisaient plus que du bien... Et ce fut pour finir Frédéric qui prit le petit jus blanc du rouquin sur le museau. Vite léché par Joël, d'ailleurs, qui en profita pour forcer les lèvres du garçon, et lui rouler un patin olympique.
Et la soirée s'acheva non sans moult promesses d'avenir...
Chez eux, les garçons gardèrent d'abord un prudent silence, tout en se désapant. Encore une fois, Pierre-Luc attaqua :
— Alors, ton expérience... rouquine ?
— Ben... Bonne, et la tienne ?
— Ouais... Tu recommencerais ?
— Faut trouver le bon mec, je crois, non ? Et lui, c'est...
— Un genre de merveille, souffla Pierre-Luc.
— Oui. Oh... p'tain... On n'est pas en train de virer...
— On est en vacances, mon pote... c'est-à-dire... en stage ! Et on n'est pas sûrs d'être embauchés à la fin !
— Ah ! Ah ! Ah ! J't'adore, toi ! éclata Frédéric. Et pis... tu te choques pas, hein ? Ben... J'adore te voir baiser.
— T'es pas mal non plus, tu sais... quand tu tires un mec ! Et même... on dirait que... t'aimes ça, non ?
— Te fous pas de moi, s'te plaît !
— Je me fous pas de mon ami... qui va me le faire aussi.
Où Frédéric eut l'impression que la cathédrale d'Amiens venait de lui tomber en bloc sur le museau, avec tout son clergé, les paroissiens, les chevaux et les charrettes !
— Maiiis !... bêla-t-il, en un soupir à fendre l'âme.
— Ce serait gentil de ta part, ajouta Pierre-Luc, sans rire.
— Gentil, gentil !... Maiiis !
— On a le temps d'y repenser, Frédéric... puisqu'on est en stage. L'important serait quand même de pas le rater...
— Joël ?
— Non : le stage ! Ah ! Ah ! Ah ! Je vois qu'il t'a marqué !
— Ta gueule, fit Frédéric, boudeur.
— Je rigole pas, murmura Pierre-Luc, il est trop bien monté... et toi... j'aimerais, oui.
— T'es gay, maintenant ?
— J'en saurai plus quand tu me l'auras fait.
— Oooh... soupira Frédéric, fortement déconcerté.
Sans s'en rendre compte, les garçons se mirent à roucouler. Certes, ils revirent un jour sur deux les fillettes de la plage, hautement demandeuses, et ne s'en plaignirent pas, mais... peu après, Pierre-Luc suggéra de prier Joël pour superviser la perte de son pucelage... arrière.
Ce mec était d'une patience exquise, et possédait un tact que lui eût envié la Cour de Versailles. Bref, il dirigea les opérations avec une sublime autorité.
Le beau vit de Frédéric fit donc les délices du petit trou de son ami. Comme, un peu plus tard, celui de Pierre-Luc lui rendit la pareille, toujours sous l'égide d'un Joël qui prit son p'tit pourcentage, comme vous devinez !
On était à la moitié du séjour, et la suite ne fut plus consacrée qu'à l'exploration mutuelle... tandis que les petites filles de la plage furent léguées aux voisins du dessous. Joël veillait à tout... et sans s'oublier !
Arriva le moment où le sublime braquemart du rouquin fit valoir ses droits sur deux petits culs désormais... mis au parfum. La séance fut rude, mais plaisante : après avoir percé l'un et l'autre, Joël les pria de le prendre ensemble...
Avant d'ordonner, dans la douche, une mignonne session de « multi-pissage », comme il dit, à l'effarement des minets. À savoir qu'on se compissa avec sérieux, nouveauté que les garçons trouvèrent amusante, in fine.
Désormais, plus de nanas dans le lit des garçons : Joël seul y avait ses entrées... triomphales. Et cet excellent pédagogue de dispenser ses cours du soir... ou de l'après-midi, et même du matin avec science et patience. Et tendresse aussi.
Et, un jour qu'on venait de se vider de la belle manière :
— Bon courage pour votre reconstruction !
— Pardon ?
— Vous vous croyiez bien hétéros, non ? Faut revoir ça, maintenant. Et je suis là pour vous, les mecs. Toujours.
De fait, le beau rouquin devint l'ami privilégié du couple qui venait de se découvrir. Et rentré lui aussi à Paris, il leur en fit apprendre de belles, à ces débutants ! Qui comprirent que leur année de coloc' leur avait servi à s'apprendre... et qu'il ne leur manquait plus que la pratique pour être au mieux.
— Finalement, on a été embauchés à la fin du stage ! constata Frédéric, tout sourire, dans les bras de son amoureux.
14. VIII. 2021
Celle-ci sur une liste de mots (en gras) de [member=156]KLO7514[/member].
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Le Stage de Frédéric
— Ça, c'est de l'attraction-avant ! s'exclama Frédéric en découvrant l'anatomie de son pote.
— C'est toi qui l'as voulu ! répliqua Pierre-Luc en achevant de se déloquer, sur la petite plage naturiste de la Côte d'Azur.
Ces deux-là se connaissaient depuis à peine un an, soit depuis le début de leur deuxième année de fac, et surtout de leur colocation. Qui avait super bien marché, et qui les avait amenés à louer un petit appartement sur la côte pour trois semaines — aidées par leurs parents.
Où cependant ils devaient partager une même chambre, ce qui n'était pas le cas à Montparnasse, où tout le bien-être moderne était de mise... Mais on était parvenu à une intimité qui faisait que cela ne devrait pas poser de problème.
Intimité qui n'avait jamais été jusqu'à ce qu'on se vît nu, étrangement. Et pourtant... Frédéric parlait de cul tout le temps, et Pierre-Luc ne semblait pas choqué, qui répondait en rigolant. Et c'est Frédéric qui avait insisté pour qu'on fît du naturisme...
On y était donc. Et Frédéric en eut pour son argent ! S'il savait Pierre-Luc très bien foutu : élancé et finement musclé, fort joliment velu de sombre — c'était un brun aux yeux bleus —, il le découvrait aussi super bien monté... du moins avant la mobilisation générale.
N'ayant pas à se plaindre lui-même, il s'effeuilla en souriant. Il était encore tôt, et la plagette était quasi déserte.
— T'as pas peur de bander au premier p'tit nichon ? ironisa Pierre-Luc.
— Et toi ?
— M'en fous ! J'assume !
— Eh ben on verra !
Le premier bain des vacances fut des plus agréables, et Pierre-Luc reconnut volontiers que c'était un plaisir que de se baigner à poil. Entre-temps, la petite plage s'était peuplée, et Pierre-Luc eut ce commentaire en sortant de l'eau :
— Ah ! Y de la chatte, maintenant !
— On verra qui résistera le mieux...
— Mais j'ai pas l'intention de résister, moi ! fit Pierre-Luc en souriant.
Au reste, deux nanas s'étaient posées tout près de leur affaires, mignonnes comme tout. On se salua gentiment, et ce n'est que quand ces dames décidèrent d'aller au bain qu'on les y suivit... sur un regard incitatif, et qu'on engagea la conversation.
Alors que les mecs s'étaient un peu éloignés, Frédéric souffla :
— Tu te rappelles qu'on a chacun un lit double... mais dans la même chambre ?
— Y a plus qu'à espérer qu'elles sont pas trop bégueules !
— Hein ? Tu baiserais en public ? sursauta Frédéric.
— Comme toi, mon pote, comme toi ! pouffa Pierre-Luc, que Frédéric n'aurait jamais imaginé tel. Elles ont pas l'air farouche, alors on va voir. Au pire, tu niqueras dans la cuisine ! Ah ! Ah !
De fait on causa et recausa, et ces fillettes ne semblaient pas trop effarouchables, non !
Et Frédéric, qui avait été frappé par la taille de la bite de son pote, en temps de paix, se redemanda alors ce qu'il verrait, les hostilités ouvertes...
Bref, on prit rencard pour le soir même, après dîner. On avait déjà pris soin d'emplir le garde-manger, et de se commencer une gentille petite cave... avec des bulles, puisqu'on recevrait dès ce soir. Mais... alors qu'on rentrait, on vit dans le petit jardin de la maison, entouré de murs mais orné de six troènes, une forme allongée sur un transat : une nana seins nus, et dont le mini monokini ne cachait pas le sexe officiel... Elle leva les yeux et sourit en saluant. La bicoque avait deux étages, et donc trois petits appartements loués pour les vacances ; elle était au premier, les garçons au second.
La fille était brune et délicatement bronzée, et tout sourire. On sympathisa donc, et quand on rentra chez soi, Frédéric souffla :
— P'tain ! Tu bandes !
— Pas toi ?
On alla se doucher séparément, mais Pierre-Luc, premier sorti, déclara :
— On reste comme ça ? Après tout, les filles savent à quoi s'attendre...
La dînette expédiée, on se mit en devoir d'accueillir ces demoiselles... qui parurent en grand sourire, et en tenue légère. Laquelle ne tint pas la distance, comme bien vous pensez.
On s'amusa bien, et le ci-devant prude Frédéric fut bien excité de voir le gros rondin de son pote défoncer ces petites filles... car on changea de cavalier au mitan de la soirée.
Icelles ayant regagné leur couvent, on causa :
— Alors ? demanda Pierre-Luc, toujours vivant ?
— Ouais... T'es un chaud, toi !
— T'as bien dû entendre !
— Ouais... mais souvent les nanas en font beaucoup... et là j'ai vu qu'elles gueulaient pas pour rien !
— Merci pour le compliment, fit Pierre-Luc en un joli sourire — mais en avait-il d'autres ? Maintenant, on se fait la minette du dessous ?
— Elle nous a dit qu'elle avait un mec, je crois...
— Eh ben tu lui donnes ton cul, et voilà tout !
— T'as une façon de manager le monde, toi !
En descendant le lendemain, on tomba, au premier, sur un mec très haut, très blanc, très pâle et surtout très roux. Et beau, vraiment, surtout par ses rares yeux verts.
— Ho ! Véronique m'a parlé de vous ! Ciao, moi, c'est Joël, fit le mec avec un sourire à tomber par terre. Je vais à la plage, et vous ?
— On allait zoner un peu...
— Vous m'accompagnez, tant qu'y fait pas encore trop chaud ?
Ainsi fut fait. Sans surprise, le mec conduisit les garçons sur la plagette naturiste, totalement déserte à cette heure.
La plastique du rouquin valait le déplacement : il était finement musclé et découplé, et ses fines poilures flamboyantes valaient le détour, assurément ! Surtout sa large touffe de feu, qui épata les mectons. Et les mecs se regardèrent lorsqu'il dévoila son long et épais serpent rose pâle...
On alla batifoler dans les eaux territoriales, où les mecs entendirent une drôle de question :
— Vous êtes ensemble ?
— Hein ? Mais non, non, pourquoi ?
— Vous faites un beau couple... et vous avez l'air d'être ensemble, c'est tout.
— Ben non.
— Vous avez jamais essayé ?
— Hein ?
— Quand on est potes, ça coûte rien de se faire une opinion ! Vous vous plaisez vraiment pas ?
— Non ! Si ! Enfin non !
— Bon, c'est pas grave : y a pas l'feu ! Ça vous dirait, une petite soirée... intime, chez nous ?
Les mecs sourirent, et le beau Joël en conclut à leur accord. On se sépara pour la journée, et les minets fantasmèrent une bonne partie du temps sur ce qui allait se passer là. Pierre-Luc était le plus chaud, à l'étonnement de son pote, qui ne le connaissait pas ainsi :
— Elle va chauffer, Mémène : une dans la chatte, une dans le cul, et une dans la bouche !
À l'heure dite, on sonna : leurs hôtes étaient nus... et Joël l'avait bien un peu plus qu'à demi dure... Ce qui faisait déjà un bel engin, qu'on s'en convainque !
On ne perdit pas de temps en vaines palabres... tandis qu'on picolait d'une main, Véronique, prit celle de Pierre-Luc pour se la mettre sur la chatte... qu'il trouva fort humide. Sans façon, Joël prit celle de Frédéric pour se la mettre sur la queue... à l'effroi de ce garçon.
Qui sentit croître vite fait le superbe cimeterre du rouquin. En effet, son braquemart se courbait un peu vers le haut, évoquant la belle arme orientale. Et quel engin ! Et il dut faire ce que Joël lui fit incontinent : le branler. Une première pour lui... du moins depuis ses quelques expériences de puceau au lycée. Bon ! Ce ne lui fut pas une épreuve, évidemment, d'autant que cette rousse splendeur lui fit vite du bien : elle savait faire !
Et Joël de se pencher, après un petit moment, sur la belle queue bien raide de Frédéric... tandis que Pierre-Luc avait déjà commencé à bouffer la patronne.
Et Frédéric émit un long gémissement de satisfaction. Oh p'tain, la bouche de ce mec ! Évidemment plus grande que celle des petites minettes qui s'efforçaient de bien faire en pompant son dard généreux (oui, il l'était, sans excès), minettes dont ce n'était de plus d'évidence pas la tasse de thé...
Joël, lui semblait aimer ça ! Au bout d'un moment, il souffla :
— Tu veux me la mettre ?
— Mais...
— Viens.
Et Frédéric de se retrouver sans préambule dans le joli cul musclé du superbe rouquin. Qui le conseilla :
— Bourre-moi bien, mon bébé, comme aux autoscooters ! (1)
Frédéric était assez chaud pour n'avoir pas besoin d'encouragements... et il finit par jouir en hurlant ès profondeurs de son rouquin... tandis que Pierre-Luc prenait un pied voisin, quoique moins sonore. Mais Joël eut encore une idée :
— Féfé ! Tu me fais jouir sur la gueule de ton pote ?
— Hein ? firent les deux minets.
— Hop !
Les mectons n'osèrent pas refuser, et voilà mon Frédéric d'empoigner le superbe mandrin... Le mec était à point, aussi les choses ne durèrent-elle pas des heures... Et Pierre-Luc accepta bravement la blanche averse que lui réserva Joël.
Après la douche d'usage, on repicola, on grignota en parlant de choses et d'autres, et les voisins, habitués des lieux, donnèrent même moult conseils polissons aux minets, concernant les endroits à visiter. Puis on remit ça.
— C'coup-ci, c'est Pierre-Luc qui me défonce, et toi tu t'occupes de Madame !
Les mecs se regardèrent, mais furent bien incapables de dire un mot. Et la séance reprit : décidément, ces deux-là étaient des pros du sexe, et Pierre-Luc dut convenir que les caresses de Joël lui faisaient plus que du bien... Et ce fut pour finir Frédéric qui prit le petit jus blanc du rouquin sur le museau. Vite léché par Joël, d'ailleurs, qui en profita pour forcer les lèvres du garçon, et lui rouler un patin olympique.
Et la soirée s'acheva non sans moult promesses d'avenir...
Chez eux, les garçons gardèrent d'abord un prudent silence, tout en se désapant. Encore une fois, Pierre-Luc attaqua :
— Alors, ton expérience... rouquine ?
— Ben... Bonne, et la tienne ?
— Ouais... Tu recommencerais ?
— Faut trouver le bon mec, je crois, non ? Et lui, c'est...
— Un genre de merveille, souffla Pierre-Luc.
— Oui. Oh... p'tain... On n'est pas en train de virer...
— On est en vacances, mon pote... c'est-à-dire... en stage ! Et on n'est pas sûrs d'être embauchés à la fin !
— Ah ! Ah ! Ah ! J't'adore, toi ! éclata Frédéric. Et pis... tu te choques pas, hein ? Ben... J'adore te voir baiser.
— T'es pas mal non plus, tu sais... quand tu tires un mec ! Et même... on dirait que... t'aimes ça, non ?
— Te fous pas de moi, s'te plaît !
— Je me fous pas de mon ami... qui va me le faire aussi.
Où Frédéric eut l'impression que la cathédrale d'Amiens venait de lui tomber en bloc sur le museau, avec tout son clergé, les paroissiens, les chevaux et les charrettes !
— Maiiis !... bêla-t-il, en un soupir à fendre l'âme.
— Ce serait gentil de ta part, ajouta Pierre-Luc, sans rire.
— Gentil, gentil !... Maiiis !
— On a le temps d'y repenser, Frédéric... puisqu'on est en stage. L'important serait quand même de pas le rater...
— Joël ?
— Non : le stage ! Ah ! Ah ! Ah ! Je vois qu'il t'a marqué !
— Ta gueule, fit Frédéric, boudeur.
— Je rigole pas, murmura Pierre-Luc, il est trop bien monté... et toi... j'aimerais, oui.
— T'es gay, maintenant ?
— J'en saurai plus quand tu me l'auras fait.
— Oooh... soupira Frédéric, fortement déconcerté.
Sans s'en rendre compte, les garçons se mirent à roucouler. Certes, ils revirent un jour sur deux les fillettes de la plage, hautement demandeuses, et ne s'en plaignirent pas, mais... peu après, Pierre-Luc suggéra de prier Joël pour superviser la perte de son pucelage... arrière.
Ce mec était d'une patience exquise, et possédait un tact que lui eût envié la Cour de Versailles. Bref, il dirigea les opérations avec une sublime autorité.
Le beau vit de Frédéric fit donc les délices du petit trou de son ami. Comme, un peu plus tard, celui de Pierre-Luc lui rendit la pareille, toujours sous l'égide d'un Joël qui prit son p'tit pourcentage, comme vous devinez !
On était à la moitié du séjour, et la suite ne fut plus consacrée qu'à l'exploration mutuelle... tandis que les petites filles de la plage furent léguées aux voisins du dessous. Joël veillait à tout... et sans s'oublier !
Arriva le moment où le sublime braquemart du rouquin fit valoir ses droits sur deux petits culs désormais... mis au parfum. La séance fut rude, mais plaisante : après avoir percé l'un et l'autre, Joël les pria de le prendre ensemble...
Avant d'ordonner, dans la douche, une mignonne session de « multi-pissage », comme il dit, à l'effarement des minets. À savoir qu'on se compissa avec sérieux, nouveauté que les garçons trouvèrent amusante, in fine.
Désormais, plus de nanas dans le lit des garçons : Joël seul y avait ses entrées... triomphales. Et cet excellent pédagogue de dispenser ses cours du soir... ou de l'après-midi, et même du matin avec science et patience. Et tendresse aussi.
Et, un jour qu'on venait de se vider de la belle manière :
— Bon courage pour votre reconstruction !
— Pardon ?
— Vous vous croyiez bien hétéros, non ? Faut revoir ça, maintenant. Et je suis là pour vous, les mecs. Toujours.
De fait, le beau rouquin devint l'ami privilégié du couple qui venait de se découvrir. Et rentré lui aussi à Paris, il leur en fit apprendre de belles, à ces débutants ! Qui comprirent que leur année de coloc' leur avait servi à s'apprendre... et qu'il ne leur manquait plus que la pratique pour être au mieux.
— Finalement, on a été embauchés à la fin du stage ! constata Frédéric, tout sourire, dans les bras de son amoureux.
14. VIII. 2021
Amitiés de Louklouk !