23-07-2020, 11:25 AM
Chapitre 1 :
Driiiinnng…driiiinnng…
Le temps d’ouvrir mes yeux et d’émerger que j’éteins mon réveil et m’assois sur le rebord de mon lit, ce n’est pas la peine de regarder derrière moi pour voir quelqu’un, je suis seule depuis…
Mes yeux commencent à s’embuer en pensant à ce maudit jour où j’ai perdu mes parents et mon fiancé le jour de notre mariage.
Cela fait 2 ans que c’est arrivée, mais je n’arrive pas à oublier.
On avait décidé de se marier le jeudi 13 Juillet 2000, comme cela j’aurais droit au feu d’artifice, qui se déroulait la veille du 14 juillet, pour célébrer notre union. Je trouvais cela romantique et je me sentais comme une princesse. J’étais là plus heureuse des femmes ce jour là, en entendant mon futur mari et mes parents devant la mairie.
Mais le destin en a voulut autrement. Un camion s’est encastré dans les 2 voitures, celle de mes parents et celle de Julien. Tous les trois sont décédés sur le coup.
Mes sourires s’étaient changés en cris et pleurs. Un médecin à du me faire une piqûre calmante pour ma crise de nerf qui ne passait pas.
Je ne suis allé qu’à un enterrement, celui de mes parents, car la mère de Julien disait à qui veut l’entendre que c’était de ma faute que son fils était mort. Pour un parent, le coupable c’est toujours celui ou celle qui reste.
elle avait décidé que les obsèques de son fils soit le même jour et dans le caveau familial qui se trouvait dans un autre cimetière, en plus je n'y étais pas convié. Mon avocat avait dit que je pouvais les traîner en justice, mais je ne voulais pas laisser mon fiancé dans une morgue en attendant un jugement qui risquait d’être en ma défaveur.
J’ai tout quitté, le reste de ma famille, travail, ville. J’avais besoins de me retrouver seule.
6 mois après, je me retrouvais à Paris, dans ce 4 pièces dans le 6ème arrondissement de Paris à côté des "jardins du Luxembourg".
Grâce à l’héritage de mes parents, j’ai un joli pécule que je fais fructifier en bourse, en épargne et en crowdlending via un conseiller financier qui s’occupe de tout.
Je suis dans mes souvenirs quand j’entends un bruit venant de ma cuisine et une odeur de café, le souci c’est que je n’ai ni cafetière, ni café, préférant le thé, mais le plus inquiétant c’est qu’il y a une personne que je ne connais pas chez moi, certainement pas un voleur qui me préparerait le petit-déjeuner pour me remercier des bricoles sans valeur que j’ai dans mon salon, ni à un squatteur qui se promène avec une machine à café sous son bras pour dénicher un endroit pour dormir.
J’ai peur et je prends mon mobile pour appeler police secours, mais c’est à ce moment là qu’il décide de faire des siennes en buggant. Je m’octroie la seule arme à ma disposition, ma pantoufle, sur le coup je ne vois pas la scène du ridicule en voulant assommé l’intrus à coup de chausson en daim à part le faire mourir de rire.
J’ouvre la porte de ma chambre aussi silencieusement que possible, Cccrriiii… Cccrriiii… et mer…credi… !
-Bonjour Maddy ! Installe-toi le petit-déjeuner est presque prêt.
Une femme est en train de faire cuire des œufs dans ma cuisine. De dos, elle est brune avec des nattes qui descendent sur sa poitrine, elle doit être jeune vue sa tenue vestimentaire, baskets, jean bleu troué et usagé et un débardeur noir à bretelles.
Mais comment sait-elle mon prénom et comment est-elle entrée et depuis combien de temps ?
-Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Comment êtes-vous entré ?
-Chaque chose en son temps, d’abord tu manges, tu prends ta douche, tu t’habille et ensuite je t’expliquerai.
-Vous…
-Stop ! Assis toi sur le tabouret et dis-moi ce que tu penses de mes œufs.
Elle me dit ça en tournoyant sa main en l’air.
Pourquoi je me dirige contre mon gré sur ce tabouret que je n’ai jamais eus vers ce plan de travail qui n’existait pas hier ?
-Avec ou sans sucres ?
Je lui fais signe 2 sucres avec mes doigts en V
-Mange, ensuite on discutera comme 2 vieilles copines.
Me dit-elle en me regardant et avec un grand sourire. Je pense ^le sosie de Pocahontas à moins que ça ne soit elle en chair et en os !
Elle se met à rigoler sans aucune raison.
^Bon, c’est une folle ! Elle se marre toute seule et agit comme si on était des amies d’enfance.
En entendant, je la détaille de la tête aux pieds. Je dirais qu’elle à entre 20 et 25 ans, elle est plus grande que moi 1m 60 environ.
Pendant que je l’observe, elle me fait signe de manger, ce qu'elle vient de me servir, avec sa main qui va vers sa bouche, et bien sur je lui obéis. Des œufs brouillés avec des allumettes de lardons. Beurk !
^Hummm… ! C’est délicieux, ce ne sont pas des lardons mais du bacon, avec le café ça se marie bien et le jus d’orange pressé, je ne croyais pas que c’était encore de la saison.
-Merci ! Pour le compliment, les oranges viennent de Waïkerie, là-bas elles sont de saison.
^hein… ! Elle lit dans les pensées et parle de walkyrie.
-Non pas Walkyrie mais Waïkerie une ville au Nord d’Adélaïde, tu verras c’est très jolie.
-Comment ça ? je verrai !
Soudain son bracelet-cercle s’illumine à son poignet, elle a juste le temps de le couvrir avec son autre main pour me le cacher.
-Il faut que j’y aille, profite du beau temps dehors car demain il pleut.
Et elle disparaît.
Driiiinnng…driiiinnng…
Le temps d’ouvrir mes yeux et d’émerger que j’éteins mon réveil et m’assois sur le rebord de mon lit, ce n’est pas la peine de regarder derrière moi pour voir quelqu’un, je suis seule depuis…
Mes yeux commencent à s’embuer en pensant à ce maudit jour où j’ai perdu mes parents et mon fiancé le jour de notre mariage.
Cela fait 2 ans que c’est arrivée, mais je n’arrive pas à oublier.
On avait décidé de se marier le jeudi 13 Juillet 2000, comme cela j’aurais droit au feu d’artifice, qui se déroulait la veille du 14 juillet, pour célébrer notre union. Je trouvais cela romantique et je me sentais comme une princesse. J’étais là plus heureuse des femmes ce jour là, en entendant mon futur mari et mes parents devant la mairie.
Mais le destin en a voulut autrement. Un camion s’est encastré dans les 2 voitures, celle de mes parents et celle de Julien. Tous les trois sont décédés sur le coup.
Mes sourires s’étaient changés en cris et pleurs. Un médecin à du me faire une piqûre calmante pour ma crise de nerf qui ne passait pas.
Je ne suis allé qu’à un enterrement, celui de mes parents, car la mère de Julien disait à qui veut l’entendre que c’était de ma faute que son fils était mort. Pour un parent, le coupable c’est toujours celui ou celle qui reste.
elle avait décidé que les obsèques de son fils soit le même jour et dans le caveau familial qui se trouvait dans un autre cimetière, en plus je n'y étais pas convié. Mon avocat avait dit que je pouvais les traîner en justice, mais je ne voulais pas laisser mon fiancé dans une morgue en attendant un jugement qui risquait d’être en ma défaveur.
J’ai tout quitté, le reste de ma famille, travail, ville. J’avais besoins de me retrouver seule.
6 mois après, je me retrouvais à Paris, dans ce 4 pièces dans le 6ème arrondissement de Paris à côté des "jardins du Luxembourg".
Grâce à l’héritage de mes parents, j’ai un joli pécule que je fais fructifier en bourse, en épargne et en crowdlending via un conseiller financier qui s’occupe de tout.
Je suis dans mes souvenirs quand j’entends un bruit venant de ma cuisine et une odeur de café, le souci c’est que je n’ai ni cafetière, ni café, préférant le thé, mais le plus inquiétant c’est qu’il y a une personne que je ne connais pas chez moi, certainement pas un voleur qui me préparerait le petit-déjeuner pour me remercier des bricoles sans valeur que j’ai dans mon salon, ni à un squatteur qui se promène avec une machine à café sous son bras pour dénicher un endroit pour dormir.
J’ai peur et je prends mon mobile pour appeler police secours, mais c’est à ce moment là qu’il décide de faire des siennes en buggant. Je m’octroie la seule arme à ma disposition, ma pantoufle, sur le coup je ne vois pas la scène du ridicule en voulant assommé l’intrus à coup de chausson en daim à part le faire mourir de rire.
J’ouvre la porte de ma chambre aussi silencieusement que possible, Cccrriiii… Cccrriiii… et mer…credi… !
-Bonjour Maddy ! Installe-toi le petit-déjeuner est presque prêt.
Une femme est en train de faire cuire des œufs dans ma cuisine. De dos, elle est brune avec des nattes qui descendent sur sa poitrine, elle doit être jeune vue sa tenue vestimentaire, baskets, jean bleu troué et usagé et un débardeur noir à bretelles.
Mais comment sait-elle mon prénom et comment est-elle entrée et depuis combien de temps ?
-Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Comment êtes-vous entré ?
-Chaque chose en son temps, d’abord tu manges, tu prends ta douche, tu t’habille et ensuite je t’expliquerai.
-Vous…
-Stop ! Assis toi sur le tabouret et dis-moi ce que tu penses de mes œufs.
Elle me dit ça en tournoyant sa main en l’air.
Pourquoi je me dirige contre mon gré sur ce tabouret que je n’ai jamais eus vers ce plan de travail qui n’existait pas hier ?
-Avec ou sans sucres ?
Je lui fais signe 2 sucres avec mes doigts en V
-Mange, ensuite on discutera comme 2 vieilles copines.
Me dit-elle en me regardant et avec un grand sourire. Je pense ^le sosie de Pocahontas à moins que ça ne soit elle en chair et en os !
Elle se met à rigoler sans aucune raison.
^Bon, c’est une folle ! Elle se marre toute seule et agit comme si on était des amies d’enfance.
En entendant, je la détaille de la tête aux pieds. Je dirais qu’elle à entre 20 et 25 ans, elle est plus grande que moi 1m 60 environ.
Pendant que je l’observe, elle me fait signe de manger, ce qu'elle vient de me servir, avec sa main qui va vers sa bouche, et bien sur je lui obéis. Des œufs brouillés avec des allumettes de lardons. Beurk !
^Hummm… ! C’est délicieux, ce ne sont pas des lardons mais du bacon, avec le café ça se marie bien et le jus d’orange pressé, je ne croyais pas que c’était encore de la saison.
-Merci ! Pour le compliment, les oranges viennent de Waïkerie, là-bas elles sont de saison.
^hein… ! Elle lit dans les pensées et parle de walkyrie.
-Non pas Walkyrie mais Waïkerie une ville au Nord d’Adélaïde, tu verras c’est très jolie.
-Comment ça ? je verrai !
Soudain son bracelet-cercle s’illumine à son poignet, elle a juste le temps de le couvrir avec son autre main pour me le cacher.
-Il faut que j’y aille, profite du beau temps dehors car demain il pleut.
Et elle disparaît.
Signature pour le sexe féminin
???
Signature pour le sexe masculin
????
???
Signature pour le sexe masculin
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