26-04-2021, 01:06 AM
Quatrième ruelle,
Il fait nuit et malgré la fraîcheur de l'air et le couvre-feu, ce garçon déambule pieds nus dans les rues de la ville vide et ne portant, visiblement, rien d'autre que son jeans.
Tous les jours et quel que soit le temps, à la même heure il passe devant chez moi. J'ai beau guetter son retour jusqu'à très tard dans la nuit mais soit il rentre encore plus tard, soit il rentre par un autre chemin.
Ce garçon m'intrigue par son air mélancolique et sa démarche hésitante. Il a les yeux grands ouverts mais il semble ne rien voir. N'y tenant plus, un jour, je me décide à le suivre.
On marche un long moment jusqu'à arriver à un parc au bord de la rivière. Il s'assoit sur un banc de pierre et semble contempler l'eau qui coule. Il reste là sans bouger d'un poil. Même le froid et l'humidité ambiante ne le font pas frissonner.
Au bout d'une heure, il se relève et part dans une autre direction. Il est tard et demain je dois me lever tôt. Je le suivrai vendredi comme ça j'aurai tout mon samedi pour me remettre.
J'attends donc le vendredi soir pour le suivre. Il passe devant chez moi, à la même heure et je le suis. Il va sur son banc habituel où il s’assoit. Il y reste une heure, se lève et repart. Cette fois je le suis jusqu'à ce qu'il rentre dans ce que les gens du coin appellent « le château ».
C'est une maison bourgeoise d'un autre siècle un peu délabrée. Je n'ose pas rentrer à sa suite.
Le lendemain soir, il passe. Je prends un raccourci et je vais m'asseoir sur le banc. Il s'assoit à côté de moi et fixe l’eau.
– Bonsoir, la nuit est fraîche tu n'as pas froid comme ça torse nu ?
Pas de réponse. Il ne tourne même pas la tête vers moi. Je lui caresse le dos et je fais même descendre ma main, par la taille assez lâche de son pantalon, sur le haut de ses fesses – réel velours. Toujours aucune réaction. Mais l'heure est passée. Il se relève et part. Je le suis. Il reprend le même chemin que la veille et rentre dans le vieux manoir délabré.
Arrivé à la maison, je m'allonge sur mon lit et je me tape la méga branlette de ma vie en pensant à ce que j'avais fait, mais surtout en pensant ce que je lui ferai – je l’espère - demain.
Tout le dimanche je fais et je refais dans ma tête plusieurs scenarii que je compte bien lui faire et ils sont de plus en plus chauds, tous autant les uns que les autres.
Et le soir à l'heure dite il vient s'asseoir sur le banc et directement je lui mets la main sur la braguette.
IL NE BOUGE PAS D'UN POIL !
Je m'enhardis et je déboutonne ladite braguette. J'en sors un sexe imposant même au repos. Je me mets entre ses jambes pour le sucer. Je sens que petit à petit celui-ci se développe pour atteindre une taille plus qu’honorable, bien longue et épaisse comme je les aime.
Au bout d'un bon quart d'heure il m'envoie une incroyable dose de sperme dans la bouche que j'ai du mal à avaler. Je m'assois à côté de lui après avoir baissé mon jogging, je prends sa main et je la pose sur mon sexe dur. Il ne bouge pas. Je serre sa main avec la mienne et je me branle par son intermédiaire.
Je suis sur le point de jouir, je me lève, lui ouvre la bouche et j'approche ma queue que j'enfonce juste un peu. Le temps de lui envoyer mon sperme bien au fond du gosier. Je me retire mais il ne bouge pas. Il referme juste la bouche tout seul et déglutit.
Je profite du temps qu'il me reste pour le caresser, le lécher, jouer avec ses seins. J'essaie aussi de l'embrasser mais il ne bouge pas d'un pouce, bien que ses tétons pointent.
Je reboutonne sa braguette juste à temps avant qu'il ne se lève pour partir.
J'ai encore le goût de son sperme dans la bouche. Il est à la fois acre et sucré. Je ne résiste pas à me branler une nouvelle fois. J'en veux plus. Je veux sa bite et son cul, maintenant que j'ai eu sa bouche et sa main.
Pour sa queue c'est assez simple. Je n'aurai qu'à le sucer et m'asseoir dessus. Pour son cul je ne sais pas encore mais on verra bien comment je vais m'y prendre.
Donc le lendemain dès qu'il est assis, je lui dégrafe son pantalon, je l'embouche et quand il est bien dur je m’assieds sur cette belle tige. J'en ai mal aux cuisses à force de monter et de descendre mais finalement, en me branlant en rythme, je réussis à jouir d’enfer.
Je me retourne et je le suce comme si ma vie en dépend.. je réussis même à passer un doigt entre ses jambes et à titiller sa rondelle. Ça y est, il m'envoie sa dose. Je regarde ma montre. J'ai encore un peu de temps. Je le mets droit et il ne se rassoie pas. Je passe derrière lui et je lui bouffe le cul. Il est totalement glabre. Ça tombe bien j'aime pas les poils.
Sa queue rebande sous ma caresse. J'enfile un doigt, trouve sa prostate et stimule le bouton. Mon autre main n’est pas inactive, après avoir craché dans ma paume, je le branle vigoureusement. Il m'envoie une seconde dose sur les doigts. J'ai juste le temps de lui remonter et refermer le pantalon, avant qu'il reparte vers chez lui.
***
Merde, fait chier !
Je me suis endormi, je vais être à la bourre. J'enfile vite fait mon cock-ring, mon training à même la peau, je mets une poignée de dosettes de gel dans ma poche et je pars en courant. J'arrive en même temps que lui. Je le fais se lever et je tombe son pantalon. Il porte toujours le même, pourtant, son hygiène est impeccable. Je passe derrière lui et je lui bouffe le cul tout en le branlant. Puis je le doigte après avoir mis du lubrifiant. Il ne réagit toujours pas, malgré son érection d’acier.
Son cul est souple et quand je pousse mon gland dedans, je sens ses sphincters lâcher facilement et je m'enfonce en douceur, ma queue qui n'est pourtant pas petite entre comme dans une motte de beurre mou. Je le tiens serré par les hanches et mon pubis bat un rythme fou contre ses fesses dures.
Soudain il se raidit et je vois sa queue expulser de nombreux jets de sperme. Ma queue éclate et envoie la sauce bien au fond de lui. Il bande encore. Je le suce et j'avale le nectar qu'il me donne.
Ce petit jeu m'a amusé quelques jours et je me suis lassé de baiser 'un poupon gonflable’. Je n'y suis pas retourné le soir suivant, ni le soir d'après d’ailleurs.
Le troisième soir – vendredi - quelqu'un frappe à ma porte. C'est mon beau gosse qui cette fois est bien réveillé.
– Je vois que mon numéro de somnambule ne t'amuse plus. Alors si tu veux tester mes capacités une fois ‘réveillé’ je suis ton homme. Ça te branche ?
– Tu attends quoi pour rentrer ?
– Que tu m'y invites.
– Donne-toi la peine d'entrer chez moi.
Il rentre, je referme la porte, il vient vers moi, me colle contre le mur, lèche mon cou et… il y plante ses dents et me vide de mon sang.
***
Je viens de me réveiller contre lui. On a fait l'amour je ne sais combien de fois depuis deux jours.
– Il s'est passé quoi ? Tu m'as fait quoi ?
– Je t'ai transformé en vampire.
– Tu rigoles ?
– Non. Tu vois, tu vas rester comme ça pour l’éternité. Toi et moi, on est lié à vie.
– Mais pour vivre, il va falloir que je boive du sang, que je tue du monde ? Rester enfermé le jour, ne plus voir le soleil ? Je préfère mourir.
Il se met à rigoler… tellement, qu'il est à la limite de s'en étouffer !
– Non, tu n'as pas vu mon bronzage, ni mon cul blanc pendant que tu me baisais. Je suis un mutant. Nous ne sommes pas très nombreux encore mais ça viendra.
On peut vivre normalement le jour comme tout le monde.
La seule chose qu'il nous faut pour vivre c'est notre dose de sperme quotidienne. Si tu ne trouves personne, tu peux boire le tien, mais c'est bien plus agréable de boire celui des autres surtout quand ils sont mignons comme toi.
– Tu veux dire que si j'avale ma dose quotidienne je vais vivre et rester jeune tout le temps.
– Oui mais tu n'es pas obligé de l’avaler. Si tu te fais féconder ton corps assimilera tout aussi bien le sperme.
On ne s'est pas séparé une seule fois pendant un siècle, nous nourrissant l’un de l’autre. Puis on a intégré des petits nouveaux pour nous stimuler et au bout de trois siècles on s'est séparé. Mais juste avant de partir il m'a dit :
– Tu es celui qui est resté le plus longtemps avec moi. On reste ami ?
– On reste ami. Oui !
– Ah, un conseil avant qu'on se sépare. Tu as du te rendre compte que je sélectionnais toujours nos amants. C’est parce qu’il faut te méfier des bouffe minou.
– Ah bon, pourquoi ?
– Parce que mes deux derniers amants sont morts à cause d’hétéros. Le premier parce qu'il en a sucé un qui venait de baiser sa copine sans capote et le deuxième parce qu'il en a embrassé un qui avait fait un cunnilingus à la sienne.
– Je ne comprends pas.
– Le point commun entre les deux, c'est la cyprine. C'est un poison mortel pour nous.
Il fait nuit et malgré la fraîcheur de l'air et le couvre-feu, ce garçon déambule pieds nus dans les rues de la ville vide et ne portant, visiblement, rien d'autre que son jeans.
Tous les jours et quel que soit le temps, à la même heure il passe devant chez moi. J'ai beau guetter son retour jusqu'à très tard dans la nuit mais soit il rentre encore plus tard, soit il rentre par un autre chemin.
Ce garçon m'intrigue par son air mélancolique et sa démarche hésitante. Il a les yeux grands ouverts mais il semble ne rien voir. N'y tenant plus, un jour, je me décide à le suivre.
On marche un long moment jusqu'à arriver à un parc au bord de la rivière. Il s'assoit sur un banc de pierre et semble contempler l'eau qui coule. Il reste là sans bouger d'un poil. Même le froid et l'humidité ambiante ne le font pas frissonner.
Au bout d'une heure, il se relève et part dans une autre direction. Il est tard et demain je dois me lever tôt. Je le suivrai vendredi comme ça j'aurai tout mon samedi pour me remettre.
J'attends donc le vendredi soir pour le suivre. Il passe devant chez moi, à la même heure et je le suis. Il va sur son banc habituel où il s’assoit. Il y reste une heure, se lève et repart. Cette fois je le suis jusqu'à ce qu'il rentre dans ce que les gens du coin appellent « le château ».
C'est une maison bourgeoise d'un autre siècle un peu délabrée. Je n'ose pas rentrer à sa suite.
Le lendemain soir, il passe. Je prends un raccourci et je vais m'asseoir sur le banc. Il s'assoit à côté de moi et fixe l’eau.
– Bonsoir, la nuit est fraîche tu n'as pas froid comme ça torse nu ?
Pas de réponse. Il ne tourne même pas la tête vers moi. Je lui caresse le dos et je fais même descendre ma main, par la taille assez lâche de son pantalon, sur le haut de ses fesses – réel velours. Toujours aucune réaction. Mais l'heure est passée. Il se relève et part. Je le suis. Il reprend le même chemin que la veille et rentre dans le vieux manoir délabré.
Arrivé à la maison, je m'allonge sur mon lit et je me tape la méga branlette de ma vie en pensant à ce que j'avais fait, mais surtout en pensant ce que je lui ferai – je l’espère - demain.
Tout le dimanche je fais et je refais dans ma tête plusieurs scenarii que je compte bien lui faire et ils sont de plus en plus chauds, tous autant les uns que les autres.
Et le soir à l'heure dite il vient s'asseoir sur le banc et directement je lui mets la main sur la braguette.
IL NE BOUGE PAS D'UN POIL !
Je m'enhardis et je déboutonne ladite braguette. J'en sors un sexe imposant même au repos. Je me mets entre ses jambes pour le sucer. Je sens que petit à petit celui-ci se développe pour atteindre une taille plus qu’honorable, bien longue et épaisse comme je les aime.
Au bout d'un bon quart d'heure il m'envoie une incroyable dose de sperme dans la bouche que j'ai du mal à avaler. Je m'assois à côté de lui après avoir baissé mon jogging, je prends sa main et je la pose sur mon sexe dur. Il ne bouge pas. Je serre sa main avec la mienne et je me branle par son intermédiaire.
Je suis sur le point de jouir, je me lève, lui ouvre la bouche et j'approche ma queue que j'enfonce juste un peu. Le temps de lui envoyer mon sperme bien au fond du gosier. Je me retire mais il ne bouge pas. Il referme juste la bouche tout seul et déglutit.
Je profite du temps qu'il me reste pour le caresser, le lécher, jouer avec ses seins. J'essaie aussi de l'embrasser mais il ne bouge pas d'un pouce, bien que ses tétons pointent.
Je reboutonne sa braguette juste à temps avant qu'il ne se lève pour partir.
J'ai encore le goût de son sperme dans la bouche. Il est à la fois acre et sucré. Je ne résiste pas à me branler une nouvelle fois. J'en veux plus. Je veux sa bite et son cul, maintenant que j'ai eu sa bouche et sa main.
Pour sa queue c'est assez simple. Je n'aurai qu'à le sucer et m'asseoir dessus. Pour son cul je ne sais pas encore mais on verra bien comment je vais m'y prendre.
Donc le lendemain dès qu'il est assis, je lui dégrafe son pantalon, je l'embouche et quand il est bien dur je m’assieds sur cette belle tige. J'en ai mal aux cuisses à force de monter et de descendre mais finalement, en me branlant en rythme, je réussis à jouir d’enfer.
Je me retourne et je le suce comme si ma vie en dépend.. je réussis même à passer un doigt entre ses jambes et à titiller sa rondelle. Ça y est, il m'envoie sa dose. Je regarde ma montre. J'ai encore un peu de temps. Je le mets droit et il ne se rassoie pas. Je passe derrière lui et je lui bouffe le cul. Il est totalement glabre. Ça tombe bien j'aime pas les poils.
Sa queue rebande sous ma caresse. J'enfile un doigt, trouve sa prostate et stimule le bouton. Mon autre main n’est pas inactive, après avoir craché dans ma paume, je le branle vigoureusement. Il m'envoie une seconde dose sur les doigts. J'ai juste le temps de lui remonter et refermer le pantalon, avant qu'il reparte vers chez lui.
***
Merde, fait chier !
Je me suis endormi, je vais être à la bourre. J'enfile vite fait mon cock-ring, mon training à même la peau, je mets une poignée de dosettes de gel dans ma poche et je pars en courant. J'arrive en même temps que lui. Je le fais se lever et je tombe son pantalon. Il porte toujours le même, pourtant, son hygiène est impeccable. Je passe derrière lui et je lui bouffe le cul tout en le branlant. Puis je le doigte après avoir mis du lubrifiant. Il ne réagit toujours pas, malgré son érection d’acier.
Son cul est souple et quand je pousse mon gland dedans, je sens ses sphincters lâcher facilement et je m'enfonce en douceur, ma queue qui n'est pourtant pas petite entre comme dans une motte de beurre mou. Je le tiens serré par les hanches et mon pubis bat un rythme fou contre ses fesses dures.
Soudain il se raidit et je vois sa queue expulser de nombreux jets de sperme. Ma queue éclate et envoie la sauce bien au fond de lui. Il bande encore. Je le suce et j'avale le nectar qu'il me donne.
Ce petit jeu m'a amusé quelques jours et je me suis lassé de baiser 'un poupon gonflable’. Je n'y suis pas retourné le soir suivant, ni le soir d'après d’ailleurs.
Le troisième soir – vendredi - quelqu'un frappe à ma porte. C'est mon beau gosse qui cette fois est bien réveillé.
– Je vois que mon numéro de somnambule ne t'amuse plus. Alors si tu veux tester mes capacités une fois ‘réveillé’ je suis ton homme. Ça te branche ?
– Tu attends quoi pour rentrer ?
– Que tu m'y invites.
– Donne-toi la peine d'entrer chez moi.
Il rentre, je referme la porte, il vient vers moi, me colle contre le mur, lèche mon cou et… il y plante ses dents et me vide de mon sang.
***
Je viens de me réveiller contre lui. On a fait l'amour je ne sais combien de fois depuis deux jours.
– Il s'est passé quoi ? Tu m'as fait quoi ?
– Je t'ai transformé en vampire.
– Tu rigoles ?
– Non. Tu vois, tu vas rester comme ça pour l’éternité. Toi et moi, on est lié à vie.
– Mais pour vivre, il va falloir que je boive du sang, que je tue du monde ? Rester enfermé le jour, ne plus voir le soleil ? Je préfère mourir.
Il se met à rigoler… tellement, qu'il est à la limite de s'en étouffer !
– Non, tu n'as pas vu mon bronzage, ni mon cul blanc pendant que tu me baisais. Je suis un mutant. Nous ne sommes pas très nombreux encore mais ça viendra.
On peut vivre normalement le jour comme tout le monde.
La seule chose qu'il nous faut pour vivre c'est notre dose de sperme quotidienne. Si tu ne trouves personne, tu peux boire le tien, mais c'est bien plus agréable de boire celui des autres surtout quand ils sont mignons comme toi.
– Tu veux dire que si j'avale ma dose quotidienne je vais vivre et rester jeune tout le temps.
– Oui mais tu n'es pas obligé de l’avaler. Si tu te fais féconder ton corps assimilera tout aussi bien le sperme.
On ne s'est pas séparé une seule fois pendant un siècle, nous nourrissant l’un de l’autre. Puis on a intégré des petits nouveaux pour nous stimuler et au bout de trois siècles on s'est séparé. Mais juste avant de partir il m'a dit :
– Tu es celui qui est resté le plus longtemps avec moi. On reste ami ?
– On reste ami. Oui !
– Ah, un conseil avant qu'on se sépare. Tu as du te rendre compte que je sélectionnais toujours nos amants. C’est parce qu’il faut te méfier des bouffe minou.
– Ah bon, pourquoi ?
– Parce que mes deux derniers amants sont morts à cause d’hétéros. Le premier parce qu'il en a sucé un qui venait de baiser sa copine sans capote et le deuxième parce qu'il en a embrassé un qui avait fait un cunnilingus à la sienne.
– Je ne comprends pas.
– Le point commun entre les deux, c'est la cyprine. C'est un poison mortel pour nous.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)