En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti)

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Mon vagin est en feu et je ressens un plaisir immense à chaque coup de rein. Maxence me met une fessée qui m’envoie aussitôt une onde de plaisir. A présent, je ne gémis plus, je crie carrément ! Et tant pis si quelqu'un nous entend, c’est vraiment trop bon ! Ma vision se brouille. Je sens la bite de Maxence tressaillir dans mon ventre, signe qu’il est proche de la jouissance lui aussi. Encore quelques coups de reins et je perds complètement le contrôle !


- Mmmmmh ouuuuiiiiii !!!


Je pousse un long gémissement aigu tandis qu’une explosion de plaisir me fait perdre toute résistance. Mon vagin se contracte mécaniquement. Mon corps est vidé de son énergie et je m’effondre sur le bureau, la respiration haletante. Je sens que Maxence se retire, il me prend par la taille, me soulève sans problème et me retourne. Je suis maintenant sur le bureau mais sur le dos face à lui. Il attrape les bretelles de ma robe, les fait glisser vers le bas pour me déshabiller complètement puis après avoir balancé ma robe à l’autre bout de la pièce, il fait de même avec mon soutien-gorge. Il me regarde droit dans les yeux en se branlant et au bout de quelques va-et-vient seulement, il se met à jouir en poussant un râle, recouvrant mes seins avec son foutre.


Hors-série 2 (4/4)


Je reçois toute la jouissance de Maxence sur mes seins. Son sperme chaud coule un peu partout le long de ma poitrine et de mon ventre. J’essaye de retrouver mon souffle mais impossible de calmer ma respiration. Mon étalon respire bruyamment lui aussi, encore sonné par son orgasme. Il pose ses mains sur mes seins et les malaxe doucement en étalant son sperme. Ca fait comme un massage et je ferme les yeux pour en profiter tout en essayant de retrouver mes esprits.
- Désolé pour ta robe, dit-il enfin. J’ai été un peu brusque mais je voulais vraiment jouir sur tes seins ! Ils me font fantasmer à mort !
- Contente qu’ils te plaisent, dis-je alors qu’il a toujours ses mains dessus. Alors, apparemment ça te faisait fantasmer pas mal de le faire au lycée ?
- Carrément ! Et dans ma salle de cours, je te raconte même pas ! Ca valait le coup d’attendre ma récompense !
- Et attends, c’est pas fini !
- Tu veux qu’on recommence ?
- Avec une bite comme la tienne, impossible que je me contente d’un seul orgasme !
- Mmmmh tu en veux combien des orgasmes ?
- Le maximum ! Tu va pouvoir faire ça pour moi ?
- Sans problème ! Mais je te préviens, j’ai les couilles vides là !
- Ca a l’air d’aller pourtant, regarde, tu as déjà repris de la vigueur ! dis-je en désignant son sexe qui se remet doucement à gonfler.
- C’est ta faute ça Claire, tu es vraiment trop excitante !
Décidemment, je ne suis pas déçue par Maxence ! Non seulement il sait prendre des initiatives mais en plus il maîtrise l’art de faire des compliments. Et puis, c’est un super coup au lit ! Sa bite a déjà repris une belle taille et je pense que dans quelques minutes, il sera prêt pour un deuxième tour ! Je pensais pas que ça m’exciterait autant de la faire au lycée, mais c’est vraiment un super expérience ! Espérons juste que personne ne nous ait entendu parce que je n’ai pas retenu mes cris !
- Dis, depuis que tu m’as enlevé ma robe, j’ai un peu froid !
- C’est pour ça que tes tétons pointent alors ? dit-il en plaisantant.
- Sûrement ! En tout cas, c’est sûr qu’ils ne pointent pas à cause de toi !
En réponse à ma petite provocation, Maxence approche son visage de mon entre jambe. Je sens son souffle entre mes cuisses et je me prépare pour ce qui va arriver ! Sa langue se pose sur mes lèvres, les parcourt de haut en bas et s’attarde sur mon clito ce qui me fait me tordre de plaisir. J’ai l’impression d’être de retour dans sa chambre, comme l’autre jour. Sauf que cette fois, je ne suis pas allongé sur son lit mais sur son bureau, dans son ancienne salle de maths au lycée ! Je gémis doucement sous l’effet du plaisir mais je ne compte pas le laisser me faire jouir avec sa langue : j’ai envie de sentir sa bite à nouveau en moi !
- Bon, passons aux choses sérieuses ! dis-je en me redressant.
Je constate que sa bite a repris sa taille maximale !
- Assieds-toi ! dis-je en montrant sa chaise.
Maxence s’exécute et s’assoit, son sexe dressé. Il comprend assez vite où je veux en venir. Je m’assieds sur ses genoux doucement, en guidant son membre à l’intérieur de moi. Pour la deuxième fois, je sens mon vagin remplit par sa bite. Dans cette position, il a vue sur mon dos et je suis sûre que ça le frustre un peu de ne pas voir mes seins !
- C’est parti… murmure-t-il en me faisant un bisou sur l’épaule.
C’est surtout à moi de travailler là : je monte et je descends mes fesses en cadence. Maxence a posé ses mains sur mes hanches et accompagne mes mouvements. Mes seins font des bonds de haut en bas et mes tétons pointent à fond tandis que le plaisir monte doucement en moi. Maxence prend pas mal de plaisir aussi comme le montrent les gémissements qui lui échappent de temps en temps. Mais c’est moi qui gère le rythme et je parviens à une allure où chaque mouvement m’arrache un cri de plaisir ! Au fur et à mesure, je monte mes fesses de plus en plus hautes et je me laisse tomber pour bien m’empaler sur sa bite qui vient taper au fond de ma chatte ! Nos corps claquent à chaque mouvement !
- Mhhhhh ! C’est bon !
C’est comme si ma chatte et sa bite étaient devenues plus sensibles et je sens que l’on va jouir beaucoup plus rapidement ce coup ci ! Maxence a raffermi sa prise sur mes hanches. Tout son corps s’est tendu et son sexe est devenu encore plus dur.
- Je vais pas tarder à venir ! gémit-il.
- Ahhhh vas-y ! Viens en moi !!
Il ne lui en faut pas plus ! A peine a-t-il eu mon autorisation qu’il sa lâche complètement et jouit à l’intérieur de moi ! Je sens ma chatte se remplir de son liquide chaud ! Pour la deuxième fois aujourd’hui, il se vide, en plusieurs saccades. J’ai du mal à croire qu’il lui restait autant de sperme dans les couilles ! Sentir jouir Maxence en moi déclenche aussitôt mon orgasme !
- Ouiii, je jouuuuiiiiis !
Maxence passe ses bras autour de moi et me serre fort tandis que nous jouissons ensemble, tremblants de plaisir. Nous restons longtemps dans cette position, complètement épuisés. Au bout d’un moment, je me relève ce qui libère son sexe et je pose un baiser sur ses lèvres.
- Je crois que je ne me lasserai jamais de ta bite… murmuré-je.
- Ni moi de ton corps ! Mais tu sais Claire, maintenant que j’ai mon bac, je vais pouvoir partir en Erasmus comme j’avais prévu. Ca ne nous laisse pas beaucoup de temps pour profiter…
- Oh… Profitions alors !Comme prévu, reprenons cette histoire après une ellipse temporelle. La fin de l’année universitaire s’est bien déroulée : j’ai réussi sans souci mes examens à la fac. Le début de l’été a été tranquille aussi. Je suis rentré chez mes parents et j’en ai profité pour revoir des amis de l’époque du lycée et surtout pour me reposer un peu. Aussi, je me suis inscrit pour un mois dans la salle de sport vers chez moi. J’y suis allé presque tous les jours et même s’il n’y a pas de miracles en un mois, mes amis m’ont quand même dit que j’avais pris un peu de muscle. Ca fait toujours plaisir. Et puis faut dire que j’avais de bonnes raisons d’être toujours fourré là bas…


Dans une salle de sport, il y a toujours 1 ou 2 nanas jolies et bien foutues en principe. Mais là ce n’était pas une ou deux, c’était beaucoup plus ! Dans les premiers jours où je suis arrivé, y avait une fille brune, vraiment très mignonne avec une silhouette de sportive. Elle venait toujours s’entrainer avec son copain aux mêmes horaires que moi à peu près. Un soir, j’étais venu m’entrainer assez tard et j’avais enchainé sur une douche dans les vestiaires. Dans la douche d’à côté, j’avais entendu des petits cris aigus et étouffés, des cris féminins alors qu’on était dans le vestiaire des hommes. J’avais terminé ma douche tranquillement mais j’avais attendu pour ouvrir ma porte que j’entende la porte d’à côté s’ouvrir. Ce qui fait que je me suis retrouvé dans le vestiaire en même temps que le fameux couple. On était tous les trois enroulés dans nos serviettes. Ils sont devenus tous rouges en me voyant. Ils avaient encore le souffle court, les pauvres. Bref, ils m’ont demandé de ne pas raconter qu’ils avaient « pris leur douche ensemble parce que c’est interdit par le règlement de la salle ». Bien sûr j’ai promis et je n’ai rien dit à personne. Quant à eux, ils devaient bien savoir que j’avais tout entendu de leur fameuse « douche ».

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Par la suite, j’ai bien sympathisé avec le mec. On a commencé à s’entraider sur certains exercices et un jour, alors que sa copine n’était pas là, il m’a avoué qu’ils étaient bien en train de baiser ce soir là (ce que j’avais compris tout seul bien sûr). Il m’a dit qu’il faisait ça assez souvent, soit dans les vestiaires des hommes, soit dans les vestiaires des femmes et que j’étais le premier à les avoir surpris parce qu’ils avaient été moins prudents cette fois là. Sa copine voulait même qu’ils essaient dans la salle de sport mais ils ne pouvaient pas à cause des caméras de sécurité… J’avoue que ça m’est arrivé une fois ou deux de faire exprès de trainer sous la douche pour les entendre faire l’amour. Ça, il ne l’ont jamais su bien sûr parce que j’attendais qu’ils soient partis pour sortir à mon tour… C’était plutôt excitant, d’ailleurs en y repensant, je me sens un peu à l’étroit dans mon short. Mais penser à tout ça, ça aide à faire passer le trajet en voiture plus rapidement !


Souvenez-vous, les parents de Claire avaient invité les miens, et moi avec évidemment, à venir les voir en Bretagne cette été. Et c’est justement ce pourquoi je suis en route. Je suis assis à l’arrière de la voiture familiale tandis que nous avançons sur l’autoroute. Ca me rappelle l’an dernier où j’étais dans la même situation presque jour pour jour. Beaucoup de choses se sont déroulées depuis l’an dernier, c’est le moins qu’on puisse dire… A l’époque, je n’imaginais pas que mon séjour en Bretagne serait le théâtre de mes ébats avec Claire et même avec Marianne ! J’ avoue que j’espère que ça va recommencer comme ça cet été… En tout cas, nous voilà partis pour passer les premiers jours du mois d’Août en vacances chez ma cousine. Justine, ma sœur, n’est pas avec nous. Je l’avais presque convaincue de se joindre à nous mais elle doit finir d’écrire son mémoire pour les cours avant tout. Elle m’a promis de faire tout son possible pour pouvoir se libérer deux jours. J’attends un appel de sa part pour savoir ce qu’il en est.


Le temps passe, trop lentement à mon goût, et nous finissons par arriver à destination. Je reconnais immédiatement la ville, la route qui amène à la grande maison de Claire, un peu à l’écart. Le temps a l’air clément : j’espère qu’on aura l’occasion d’aller à la plage. On se gare dans la petite cour devant la maison, les pneus crissent sur le gravier. A peine le temps de se garer et de descendre de la voiture que Claire, suivie de ses parents sortent de la maison pour venir nous accueillir. Tout le monde s’embrasse, ils sont contents de nous voir. Claire me fait la bise et un petit clin d’œil. Je suis vraiment content de la retrouver même si on s’est vus il n’y a pas si longtemps que ça. En plus, elle a sorti ses vêtements d’été, mois d’Août oblige, et j’avoue que son minishort et son débardeur légèrement décolleté me donne pas mal d’idées… Mais il faut que je me calme parce qu’on n’est même pas encore rentrés dans la maison là.


Je ne sais pas si vous vous rappelez bien de comment est la maison. Au rez-de-chaussée, il y a cuisine, salon, salle de bain, chambre des parents de Claire et chambre d’amis où mes parents vont dormir. A l’étage, auquel on accède par un petit escalier, il y a la chambre de Claire qui possède sa propre pièce d’eau, une seconde salle de bain et au bout du couloir une petite chambre d’amis où je vais dormir. Et depuis la fenêtre de ma chambre, j’ai vue sur la piscine qui se trouve sur le côté de la maison, à l’abri des regards…
Nous nous sommes réunis au salon où nous buvons du thé en discutant de tout et de rien. Il est aux alentours de 16h00 passées. Au fil du temps, la conversation des adultes commence un peu à m’ennuyer. Et il me semble que Claire n’en pense pas moins… Mon oncle s’en rend compte et nous dit :


- Dites les jeunes, et si vous alliez profiter de la piscine pendant qu’il y a encore du soleil ?
- Oui, bonne idée ! s’exclame Claire.
- Va récupérer ton sac dans la voiture, dit mon père en me tendant les clés.


Je saisis les clés et je file à la voiture. Mon cœur s’est accéléré rien qu’en entendant le mot piscine. Je récupère mon sac de voyage et je retourne dans la maison. Claire m’a attendu pour monter. Je vais à sa suite dans les escaliers en essayant de ne pas tomber vu que mon sac est un peu lourd et me gène.


- Tu te rappelles d’où est ta chambre ? demande Claire en rigolant tandis que nous arrivons à l’étage.
- Bien sûr ! Au fond du couloir. Ta chambre est à gauche et la salle de bain à droite !
- Exacte ! Quelle mémoire !


J’ai vécu tellement de choses dans ces différentes pièces que je vois mal comment j’aurais pu les oublier… Mais pour l’heure, je retrouve ma petite chambre de l’an dernier avec son petit lit, son petit bureau et sa fenêtre qui donne sur la piscine.


- Viens dans ma chambre quand tu es prêt, dit Claire. Je vais me changer !
- A toute.


Je pose mon sac sur le lit et je jette un coup d’œil par la fenêtre. La piscine est bien là, l’eau est bleue et me donne envie de nager ! Je fouille dans mon sac pour trouver ma serviette et mon maillot de bain que j’enfile ainsi qu’un short de sport et me voilà prêt. Je quitte la chambre et je vais toquer chez Claire.


- Entre Cyril ! dit-elle.

Je pousse la porte. Premier choc des vacances en découvrant ma cousine en maillot de bain derrière la porte. Elle me fait un grand sourire tandis que je contemple son maillot deux pièces blanc. La haut maintient bien sa poitrine et lui donne une forme vraiment sexy… Pour le reste, elle est toujours aussi fine et belle. Bon, je m’attendais à quelque chose comme ça venant d’elle mais elle est tellement belle que j’ai l’impression de la voir pour la première fois à chaque fois que je la regarde…


- J’aime quand tu me regardes avec ces yeux là Cyril !
- Je te trouve belle et sexy comme ça…
- Ahah avoue que je t’ai manqué depuis ces quelques mois !
- Carrément !
- Bon j’hésitais avec cet autre maillot, dit-elle en montrant un maillot une pièce blanc lui aussi et qui a l’air bien sexy également, posé sur son lit. Mais je me suis dit qu’avec un deux pièces, tu pourrais me mettre de la crème solaire !
- Ahah tu penses à tout…
- Je suis content qu’on puisse passer du temps ensemble, Cyril… dit-elle en faisant un pas vers moi.
- Moi aussi, murmuré-je, le regard perdu dans son décolleté.
- Ah et au fait… tu bandes un peu je crois !


Je rougis en constatant qu’en effet, une grosse bosse déforme mon short.


- Ahah Cyril, si tu es dans cet état là dès le premier jour, je sens qu’on va bien s’amuser ! Bon, on y va ?
- Commence à y aller, dis-je. Moi je vais essayer de me calmer un peu…
- Comme tu veux. Ou sinon, passe par la porte de derrière pour ne pas croiser les adultes !
- Je préfère prendre quelques minutes pour être bien sûr qu’ils ne voient rien de louche, réponds-je toujours en rougissant légèrement.
- OK, à tout de suite du coup !


Claire s’enroule dans une grande serviette et descend. Moi, je retourne dans ma chambre et je m’allonge sur mon lit en essayant de chasser de ma tête toutes les images qui me viennent… Au bout de quelques minutes, j’ouvre ma fenêtre et je jette un coup d’œil. Claire est debout juste en dessous, elle me sourit.


- Alors Cyril, ça va mieux ? dit-elle.
- Je t’avoue que tu ne m’aides pas trop là…


En effet, vous pouvez imaginer la vue que j’ai depuis ma fenêtre. Une vue plongeante sur sa belle poitrine de Claire mais j’essaye de faire abstraction. Tout son corps est illuminé par le soleil de cette fin d’après-midi.479

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ce doit être l'été qui arrive car je sens la chaleur qui monte !!!

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Oui c'est ça !

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- Bon, tu te dépêches ? Je vais attraper un coup de soleil là !
- J’arrive, j’arrive…


C’est parti, je descends donc, enroulé dans ma serviette. Je sors de la maison, je fais le tour et je rejoins la piscine. Cette dernière est isolée de l’environnement extérieur par un petit muret, des buissons et la façade de la maison où se trouve ma fenêtre. Nous sommes donc à l’écart, à l’abri des regards indiscrets. Claire est assise sur un transat, les yeux mi-clos, profitant du soleil.


- Te voilà ! dit-elle en me voyant arriver. Mets-toi un peu en maillot !


Je pose ma serviette sur un autre transat puis je retire mon short et mon t-shirt pour me retrouver en maillot. Claire me regarde faire.


- Dis Cyril, t’aurais pas pris un peu de muscle depuis la dernière fois ?
- Ah, euh… Peut-être, j’en sais rien…


Je la joue modeste mais en vrai je suis très content qu’elle l’ait remarqué ! J’aimerais qu’elle
regarde mon corps comme je regarde le sien. Claire se lève et touche des doigts mes pectoraux comme pour les tester. Comme d’habitude, je rougis à son contact.


- Si si je t’assure tu as pris, c’est beaucoup plus ferme ! Tu es encore mieux comme ça qu’avant ! Bon, dépêche-toi de me mettre de la crème, je sens que je brûle là !


Elle me désigne le flacon de crème solaire avant de s’allonger sur le ventre en se servant dans ses mains comme d’un oreiller. Je prends place à côté d’elle et je commence mon travail par ses épaules et le haut de son dos. Mes doigts glissent sur sa peau qui est extrêmement douce et qui se met à briller grâce à la crème. En même temps, j’essaye de lui faire un genre de massage vu que je sais qu’elle aime ça mais sans trop insister non plus. Le contact entre mes doigts et sa peau est très agréable pour moi, et pour elle aussi j’espère ! Je descends mes mains pour atteindre la bas du dos. Toute en étalant la crème, je regarde le bas de son maillot sans savoir quoi faire. Dans ma tête, je me vois arracher sa culotte et mem mettre à malaxer ses fesses à pleines mains mais… à la place, je soulève un tout petit peu sa culotte et je passe ma main très légèrement sur le haut de ses fesses sans en faire plus. Mais ce simple effleurement déclenche chez moi l’érection que j’avais du mal à retenir depuis le début.


- On peut savoir ce que tu fais ? demande Claire d’un ton sarcastique.
- Je me suis dit que si ton maillot bougeait un peu, ça serait dommage que tu attrapes un coup de soleil à cet endroit…
- T’as pas tord… Merci de te faire autant de souci pour moi…


Sans répondre, je continue mon travail par l’arrière des cuisses. Quand c’est fait :


- Tu veux que je te fasse le ventre aussi ?
- Non, je peux me débrouiller pour l’avant ! répond-elle en se relevant.


Claire se saisit de la crème et se penche en avant pour badigeonner ses cuisses. Elle m’offre au passage une vue superbe de son décolleté et je peux même voir ce grain de beauté que j’aime tant qu’elle a entre les deux seins ! Elle passe ensuite à son ventre qui est plat et ferme puis elle met de la crème sur le haut de ses seins. Je ne perds pas une miette de la scène et je suis sûr qu’elle se délecte de savoir que je suis en train de la mater. Quand elle a fini, elle me lance la bouteille de crème que j’attrape à la volée et je m’en passe rapidement sur le corps. J’ai toujours mon érection et impossible de la cacher vu que je suis en maillot mais je ne fais de remarque sur le sujet et, bizarrement, Claire non plus. Cette dernière s’est accroupie près du bassin et a plongé sa main dans l’eau.


- Elle est bonne ! s’exclame-t-elle.


Je m’approche de l’eau à mon tour. A ma grande surprise, Claire se colle un peu à moi en posant ses mains sur mes pectoraux. Elle approche son visage du mien et dit d’une voie caressante :


- Je pense qu’on va passer de bons moments ensemble cette semaine…

Le temps de remonter à la surface et de me frotter les yeux, je vois Claire sur le bord, en train de repositionner le haut de son maillot sur ses seins. En tombant, j’ai dû faire glisser son maillot mais malheureusement, je n’ai pas eu le temps de profiter de la vue… Dommage que je n’ai pas serré mes doigts plus forts sinon, en ce moment, Claire aurait été seins nus devant moi et moi j’aurais eu son maillot avec moi dans l’eau. Avec tout ça, j’en oublierais presque qu’elle vient de me jeter à l’eau ! J’aurais bien voulu me venger mais à la place, je regarde ma cousine au bord de l’eau qui est complètement morte de rire… Un fou rire incontrôlable apparemment…


- Tu trouves ça malin Claire ?
- Ahah désolé Cyril, c’était trop tentant ! Ahahah !
- Bon tu me rejoins dans l’eau du coup ?
- Ahah écoute pour cette aprèm je crois que je vais me contenter de bronzer un peu !

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Claire retourne s’allonger sur son transat tandis que moi j’en profite pour faire quelques longueurs. Je me rends compte que la muscu m’aide pour la natation : je sens que mes mouvements de crawl sont plus puissants qu’avant ! Après une demi-heure environ, je sors de l’eau. Claire est en train de bronzer sur le ventre, visiblement assoupie. En temps normal, je l’aurais matée à fond mais là je suis de mauvaise humeur et je viens de trouver une idée pour me venger ! Je me sèche tranquillement et je me rhabille. Claire n’a pas bougé, c’est parfait…
Je m’approche du bassin et je plonge ma serviette dedans. J’en fais une boule détrempée et juste avant de quitter les lieux, je jette ma bombe à eau sur le dos de Claire. Derrière moi, j’entends Claire pousser un petit cri de surprise « ah c’est froid !! » tandis que je prends la fuite. Elle doit être trempée, ma vengeance est accomplie !


Je remonte à ma chambre en vitesse et je jette un coup d’œil par la fenêtre. Je peux apercevoir Claire qui a déjà eu le temps de se sécher. Elle est en train de rassembler ses affaires et se prépare à remonter. Je n’insiste pas plus parce que je veux pas qu’elle me voit en train de la mater. J’en profite pour m’installer un peu mieux dans la chambre. De mon sac, je sors un livre que je mets sur la table de nuit puis je sors mes vêtements que je range dans l’armoire. Reste plus qu’à se détendre en attendant le repas du soir.


Alors que je suis sur mon lit, occupé à lire depuis un moment déjà, on frappe à ma porte.


- Entrez !


C’est Claire qui tient à la main ma serviette qu’elle a visiblement essorée.


- Tiens je te ramène ça ! Bon, on va dire qu’on est quitte ?
- Ca me va ! dis-je avec un sourire.
- Ils nous appellent en bas pour manger, on descend ?


C’est ainsi que s’est achevée cette première journée, ou plutôt cette première après-midi chez Claire. La nuit a été calme mais j’espère au fond de moi que les suivantes le seront un peu moins.

Le lendemain, je me réveille vers 9h00. Je descends et je retrouve tout le monde autour de la table du petit déjeuner. Après avoir mangé, Claire et moi nous remontons.


- Je vais prendre ma douche ! dis-je.
- OK, tu connais le chemin ! Dis Cyril, on a déjà… fait des choses sous cette douche nous ?
- Euh oui… Une fois l’an dernier…
- Ah je me souviens maintenant ! C’était pas mal faudrait qu’on remette ça !


Je suis tout rouge mais Claire me regarde dans les yeux avec un grand sourire sans se démonter.


- Bon, je vais prendre ma douche aussi, annonce-t-elle. Mais n’oublie pas que j’ai ma salle de bain perso dans ma chambre !
- Ah oui, c’est vrai… Du coup on ne prendra pas notre douche ensemble aujourd’hui…
- Ahah avoue que tu aurais aimé !
- Ouais j’avoue…
- Promis, on se fera ça au moins une fois cet été ! Vu comme tu es doué pour mettre la crème solaire, ça doit être génial de se faire savonner par toi mon cher Cyril ! Mais pour cet après-midi j’ai d’autres projets !
- C'est-à-dire ?
- Je voudrais qu’on aille se balader un peu tous les deux. Il y a une petite forêt pas loin avec un sentier. J’ai pensé qu’on pourrait aller s’y promener si tu es d’accord !
- Ouais c’est une bonne idée !


Sur ce, nous allons à la douche chacun de notre côté. L’eau chaude me fait du bien et termine de me réveiller. J’avoue que les promesses de Claire me mettent l’eau à la bouche. De toute façon, elle a décidé de me faire languir, comme d’habitude. Je décide de prendre mon mal en patience.


En début d’après-midi, Claire et moi on se prépare pour notre virée en forêt. Elle a choisi une tenue de sport ce qui est plutôt adapté à la situation mais elle est quand même très sexy : elle porte un petit short gris qui moule bien ses fesses (à mon avis elle doit porter un string dessous) et une brassière de sport orange. Sa belle poitrine est vraiment sexy, bien maintenue par la brassière. Ses épaules sont nues et sa tenue laisse une partie de son ventre découverte également. Elle a fait une queue de cheval avec ses cheveux ce qui n’est pas habituel mais qui lui donne un petit air que j’aime beaucoup ! Bref, nous voilà en route : je la suis, c’est elle qui connait le chemin.

Sur la route, nous parlons de plein de choses. Et notamment de Marianne. Je ne l’ai pas revue depuis un an l’air de rien ! Claire propose de l’inviter demain pour qu’on aille ensemble à la plage. J’avoue que l’idée de me retrouver avec ces deux nanas en maillot de bain me plait assez. Surtout que Marianne a une belle paire de seins elle aussi dans mon souvenir, même s’ils sont plus petits que ceux de Claire. Ce sont des filles très différentes physiquement et psychologiquement de toute façon. Et indépendamment de son physique, je suis content de la revoir, Marianne. C’est vraiment une fille très gentille qui me correspond sur bien des sujets, sans vouloir me la jouer sentimentale. Claire envoie un sms à Marianne en direct et cette dernière lui répond presque immédiatement. C’est donc réglé, demain aprèm, ça sera plage avec les deux filles !


Nous voilà arrivés à l’orée de la forêt. Le chemin devient un petit peu moins praticable mais rien de bien méchant. Aussi, maintenant que nous sommes à l’ombre des arbres, il fait un petit peu moins chaud mais rien de gênant : on est quand même en plein mois d’Août ! Depuis le temps qu’on marche Claire et moi, on a encore croisé personne ! C’est cool, ça me donne l’impression d’être seul au monde avec elle ! Soudain, je reçois un sms qui dit la chose suivante :


« Salut Cyril, j’ai pu prendre de l’avance dans la rédaction de mon mémoire. Du coup je vais pouvoir monter vous voir en Bretagne. J’ai prévenu tout le monde par téléphone à l’instant, j’arrive après-demain ! »


- Oh Claire, j’ai reçu un sms de Justine ! Elle arrive après-demain !
- Ah, elle a pu se libérer ? C’est cool ça !


Je repense à la conversation que j’ai eue avec Justine la dernière fois que je l’ai vu… Si vous vous rappelez, elle s’était faite larguée et elle déprimait un peu. Je lui avais suggéré d’essayer avec une fille et comme elle n’avait pas l’air contre l’idée, j’avais suggéré qu’elle essaye avec Claire. Sauf que j’avais proposé ça sur un coup de tête et que Claire n’est pas au courant. Aïe !


- Euh Claire… J’ai peut-être fait une connerie…
- C'est-à-dire ?


Je prends quelques minutes pour lui exposer la situation tandis que nous continuons à marcher.

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- Ahah donc si je comprends bien, tu lui as suggéré de le faire avec moi ?
- Bah je me suis dit que c’était une bonne idée… Vu que t’aimes bien le faire avec des filles de temps en temps. Et puis t’es pas du genre pudique alors…
- C’est vrai, c’est vrai…
- Et puis tu es assez bienveillante au lit alors pour une initiation, j’ai pensé que ça serait bien pour elle.
- Mmmmh… On va pas se mentir, l’idée de pouvoir initier quelqu'un ça me plait plutôt pas mal…


Claire a l’air de s’imaginer la scène. Elle passe sa langue sur ses lèvres comme si elle se régalait d’avance. Je suis déjà rassuré qu’elle ne l’ait pas mal pris. Mais non seulement elle a bien pris la chose mais en plus, elle a l’air emballée par l’idée. Je remarque que ses tétons ont commencé à pointer. D’ailleurs, moi-même j’ai une légère érection en imaginant ce qui pourrait se passer entre Justine et Claire dans les prochains jours…


- Elle arrive après-demain mais pas sûr qu’elle reste longtemps, tu crois que tu auras le temps de passer à l’action ?
- Oh tu sais j’arrive à être assez persuasive…
- Pas faux…
- En plus, si elle est demandeuse à la base, ça sera facile. J’aurai juste à la mettre à l’aise… J’ai déjà ma petite idée sur comment m’y prendre…


Les tétons de Claire pointent carrément, maintenant ! C’est très visible à travers sa brassière. Je peux voir qu’elle imagine la scène et que ça l’excite…


- Mmmh Cyril, j’avais une petite idée derrière la tête en t’amenant ici. Et je crois que c’est pile le bon moment… Suis moi !

Claire m’attrape par le bras et m’entraine derrière elle. Nous nous écartons peu à peu du chemin pour nous enfoncer dans le bois. Tout en essayant de deviner ce que Claire a en tête, je cherche des points de repère pour retrouver notre route plus tard. Ça serait bête qu’on se perde n’est-ce pas… Elle s’arrête au niveau d’un gros arbre, un chêne au tronc massif que je reconnais à la forme de ses feuilles.


- Ici ça fera l’affaire, murmure-t-elle.
- Qu’est ce que tu as derrière la tête ?
- Dis moi Cyril, pardon de le dire comme ça mais… tu as déjà fait l’amour en pleine nature ?
- Euh… quoi ?? Non, jamais…


Mon cœur s’accélère alors que je crois que je commence à comprendre.


- Ca te dirait d’essayer ?
- Ici ??
- Ici… Maintenant… répond-elle en prenant un petit air coquin.


Claire se hisse sur la pointe de pieds et dépose un baiser sur mes lèvres. Je la tire contre moi et je lui rends son baiser fougueusement. Ses seins écrasés contre mon torse achèvent de me donner une érection.


- J’ai envie que tu me prennes vite et fort, aujourd’hui… murmure-t-elle tout doucement dans mon oreille.


Claire se retourne prend appui avec ses mains sur le tronc de l’arbre, m’offrant ainsi une vue merveilleuse sur ses fesses. Impossible pour moi de résister. Je pose doucement mes mains sur ses hanches et je descends son short jusqu’à ses pieds. Comme prévu, elle porte en string en dessous, que je baisse également. La vue que j’ai est incomparable ! Je me demande ce qu’elle ressent en ce moment, avec petite chatte toute humide à l’air dans la forêt. Pour moi en tout cas, l’effet est immédiat et la bosse sur mon short en témoigne. Je décide de préparer un peu Claire même si elle est déjà bien excitée. Je pose mes mains sur ses fesses ce qui me permet au passage d’en apprécier la fermeté : elle est sportive ça c’est sûr ! Mon visage s’approche de son cul et du bout de ma langue, je commence à caresser ses lèvres. Claire a tout de suite un petit gémissement et je la sens se tortiller. Ca m’encourage à continuer mes coups de langue encore quelques temps, histoire qu’elle se mette bien à mouiller.


- Mmmh j’aime bien ta langue mais si tu y aillais avec ta bite maintenant… gémit-elle au bout de quelques minutes.


Croyez-moi, quand une fille vous dit ça, ses désirs sont des ordres. A mon tour, je baisse mon short ainsi que mon caleçon jusqu’à mes chevilles. Mon pénis est bien dressé, prêt à passer à l’action.


- Cambre toi un peu plus Claire s’il-te-plait…


Ma cousine s’exécute et creuse un peu le dos, faisant ressortir ses fesses encore davantage pour faciliter la pénétration. Je ne peux plus tenir devant sa petite chatte offerte. D’un coup sec, j’enfonce mon gland en elle. Ma bite pénètre sa chatte sans difficulté. Aussitôt, je commence un va et vient puissant, comme elle me l’avait demandé, en prenant appui avec mes mains sur ses hanches. Claire ne tarde pas à gémir. Elle remue son cul pour accentuer la pénétration et semble prendre beaucoup de plaisir. Moi aussi bien sur je prends mon pied. Mon sexe qui bouge à toute allure dans se chatte me fait un bien fou à chaque coup de rein.
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J’arrive à peine à croire que peux enfin faire l’amour à Claire ! Depuis le temps que j’en rêvais et depuis le temps qu’elle me fait attendre… Mais là c’est sûr, je suis en train de la baiser ! Et je ne pensais pas que ça viendrait aussi vite ces vacances, vu comme elle avait l’habitude de me faire languir. Et pourtant, elle est bien là, complètement offerte en train de jouir sous mes coups de bite.


- Oh ouiiiii ! Ahh ! Ahh !


Claire s’est complètement lâchée. Elle ne fait aucun effort pour retenir ses cris qui résonnent parmi les arbres. Je l’ai rarement vu comme ça alors je pense qu’elle doit être en train de réaliser un genre de fantasme. Et je suis content qu’elle le fasse avec moi du coup… Heureusement qu’on s’est éloignés du sentier principal parce qu’on doit l’entendre de loin là tellement elle gémit… J’adorerais voir ses seins balancer d’avant en arrière au fil de mes coups de reins… ça rendrait la scène vraiment parfaite mais ils sont maintenus fermement par sa brassière. Ca sera pour une autre fois. En tout cas, j’imagine que ses tétons doivent être tous durs de plaisir et d’excitation. Je ralentis un peu le rythme pour ne pas jouir trop vite. Je ne voudrais pas la priver de son plaisir en venant trop rapidement.


- Mmmh Cyril c’est bon !


Pour moi aussi c’est bon, je me demande combien de temps je vais encore pouvoir tenir ! Sauf que à côté de nous, je commence à entendre des bruits de pas qui se rapprochent en courant. Soudain, un garçon d’une vingtaine d’année apparait, tout essoufflé et qui devient rouge pivoine en découvrant la scène. Nos regards se croisent et je rougis de honte à mon tour. Il y a une seconde super gênante où il s’arrête de bouger complètement, paralysé de stupeur. Moi aussi, je suis à l’intérieur de Claire sans plus rien faire puis je me retire d’elle. Claire, elle, se concentrait sur son plaisir les yeux fermés et n’a encore rien entendu et rien vu…


- Pourquoi tu t’arrêtes ??

Claire se retourne et de rend compte de ce qui se passe…


- Oh… lâche-t-elle, surprise et même un peu perturbée.
- Euh je suis désolé euh… commence le garçon. J’ai entendu des cris, j’ai voulu voir si tout allait bien… Enfin… euh… bref désolé !


Il est tout rouge et bafouille complètement ce qui est normal dans une situation pareille. J’espère que Claire va pouvoir gérer la situation…


- Attends attends, calme-toi. Viens par là ! dit Claire avec un petit sourire, elle semble avoir retrouvé une partie de ses moyens.


Il s’approche de nous. Il est blond, les cheveux courts, habillé avec un short et un genre de foulard autour du cou. Il doit avoir notre âge environ. Claire a l’air relativement à l’aise avec la situation. Moi, je suis complètement gêné, débout la bite à l’air et j’ai déjà débandé.


- Bon, déjà, comment tu t’appelles ? demande Claire
- Euh, Yoann…
- OK Yoann, je suis Claire et voici Cyril. Bon, on va pas se mentir, tu as compris qu’on n’était pas en train de faire du yoga à l’instant…


Il a un petit rire nerveux. Je remarque qu’il ne peut pas s’empêcher de baisser le regard vers la chatte de Claire. Il essaye de se forcer à la regarder dans les yeux mais son regard redescend à chaque fois. En même temps je peux le comprendre, c’est pas tous les jours qu’on tombe sur une fille comme elle, la culotte baissée, en se promenant en forêt… En tout cas, le fameux Yoann a l’air toujours aussi choqué mais la bosse qui est apparue sur son short traduit quand même une forme d’excitation…


- Tu habites dans le coin Yoann ?
- Euh… ouais… J’habite pas loin mais là, je suis avec des potes, on fait un campement pas loin.
- Ah donc vous êtes plusieurs… Et ils sont loin d’ici tes potes ?
- Bah oui un peu loin quand même. Enfin, euh … je pense pas qu’ils vous aient euh… entendus…


Soulagement pour moi, et sûrement pour Claire aussi. On ne va pas se retrouver avec 15 autres mecs, c’est déjà ça. Un seul c’est suffisamment compliqué à gérer.


- Je vois, je vois… Et toi, qu’est ce que tu fais ici alors ?
- Bah j’étais de corvée de bois pour le feu de ce soir… Du coup je me suis pas mal éloigné. Et puis j’ai entendu des… enfin des… des cris. Du coup j’ai lâché mon bois et je suis allé voir ce qui se passait…


- Et c’est comme ça que tu es tombé sur nous… On est désolé si on t’a inquiété ! s’exclame Claire.


Je les regarde discuter et je vous avoue que leur échange est un peu surréaliste. On dirait une conversation complètement normale. Au détail près que Claire a le bas du corps dénudé, les fesses encore rougies de la levrette et qu’elle discute avec un mec qui l’a surprise pendant qu’elle se faisait baiser… En pleine forêt… Et moi qui suis à côté la bite à l’air.


- Je voulais pas vous déranger je suis vraiment vraiment désolé !


Il a l’air comme rassuré de ne pas se faire engueuler. C’est un comble, c’est quand même pas de sa faute. En tout cas, il balbutie moins que toute à l’heure même si il est toujours aussi rouge. Je suis son regard qui va alternativement des yeux de Claire à son entre-jambe : c’est presque amusant avec un regard extérieur.


- Ne t’en fais pas pour ça… répond Claire. Mais dis moi, tu as l’ai un peu à l’étroit dans ton short, tu es sûr que ça va aller ?

Yoann semble soudain réaliser son érection. Il rougit encore plus et a le reflexe de mettre ses mains devant pour essayer de la cacher. Je sens que la conversation est en train de déraper. Claire a encore bien mené les choses… Après avoir vérifié que nous étions bien les trois seules personnes dans les parages, elle s’est sûrement dit qu’elle pourrait bien en profiter un peu de la situation. Et bien sûr elle est experte pour allumer les mecs…489

[admirateur17]

oui, je confirme, il fait de plus en plus chaud !

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- Tu n’as pas à avoir honte, continue Claire avec sa voix caressante. C’est normal d’être excité après ce que tu viens de voir. D’ailleurs regardes, mes tétons pointent à travers la brassière : moi aussi je suis excitée…
- Ah, euh… oui… je vois… bafouille Yoann, l’air à nouveau complètement perturbé.
- Bon tu sais quoi, j’ai envie de te faire un petit cadeau… Pour nous faire pardonner d’avoir gêner ta collecte de bois… dit-elle en faisant un pas vers lui.
- Ah, euh… c’est pas la peine, vraiment…
- Viens par là !


Claire attrape Yoann par son foulard et l’attire à elle. Leurs visages sont très proches et Claire lui chuchote des choses que je n’arrive pas à entendre. Mais ça a l’air de lui faire de l’effet parce qu’il rougit encore plus… Puis il commence à déboutonner son short et se retrouve en caleçon, déformé par une bosse magistrale.


- Assieds-toi là bas, dit Claire en montrant du doigt une grosse pierre assez plate située un peu plus loin sur le sol.


Yoann s’exécute et s’assoit, les jambes légèrement écartées. Claire m’adresse un discret clin d’œil puis se dirige vers lui. Il est tout tremblant et n’a pas l’air de comprendre ce qui lui arrive ni de trop savoir comment réagir mais Claire gère la situation. Elle s’agenouille devant lui et lui jette un regard qui en dit long. Puis elle fait glisser le caleçon de Yoann le long de ses jambes, lentement, en prenant bien son temps, révélant ainsi son sexe dressé. Je constate qu’il n’a pas forcément une très grosse bite et j’avoue que ça flatte un peu mon égo. Mais ça na pas l’air de déranger Claire qui du bout des doigts commence à caresser ses couilles. Je me rapproche de la scène pour mieux voir. Yoann ne sait toujours pas comment réagir. Il ne comprend pas comment, en quelques minutes, sa corvée de bois a pu se transformer en quelque chose comme ça. Une chose est sûre, malgré sa surprise, il prend du plaisir ! Surtout depuis que Claire a commencé un va et vient sur son membre avec sa main. Elle observe le gland de son protégé qui apparait et disparait au rythme de la masturbation. Et soudain, sans prévenir, elle le prend en bouche.


- Ahhhh !!!


Yoann rejette la tête en arrière et pousse immédiatement un gémissement. Visiblement, il ne s’attendait pas à ça et ça lui fait du bien… Je vois donc Claire à quatre pattes, la tête entre les jambes de Yoann en train de gober son pénis. Elle arrive à le prendre en bouche presque entièrement et elle le pompe consciencieusement. Notre nouvel ami a les yeux fermés, la tête toujours jetée en arrière. Ses cheveux blonds contrastent avec son visage qui est tout rouge et régulièrement, il pousse des gémissements.


J’observe la scène. Le cul de Claire est orienté vers moi. Comme elle est à quatre pattes, elle a le dos bien cambré et ses fesses ressortent. Je me rends compte que je me suis remis à bander, pas étonnant vous me direz ! Et il me prend l’envie de finir ce que j’avais commencé toute à l’heure… Impossible de résister : je me place derrière Claire, je positionne mon gland à l’entrée de sa fente et je la pénètre avec force en commençant tout de suite de grands va-et-vient.


Je ne sais pas si Claire est surprise ou si elle s’attendait à ce que je fasse ça. En tout cas, elle gémit presque immédiatement même si le son est étouffé puisqu’elle a la bouche pleine. La sensation de chaleur et de picotements autour de mon pénis est encore plus forte que toute à l’heure et je prends encore plus mon pied !


J’ai conscience qu’il ne faudra pas longtemps pour qu’on arrive à l’orgasme elle et moi vu qu’on en était déjà pas loin toute à l’heure. Yoann, lui, arrive déjà au bout de sa résistance. Il faut dire que même moi, je sais pas combien de temps je pourrais résister à un tel traitement de la part de Claire. Dans un réflexe, il a posé ses mains sur la tête de ma cousine et il accompagne ses mouvements. Il a les yeux mi-clos et semble au bord de la rupture…


- Attention, je vais… mmhh… je vais venir !! parvient-il à articuler entre deux gémissements.


A sa grande surprise, Claire continue au même rythme. Soudain, son corps se fige, ses yeux s’écarquillent et il laisse échapper un cri plus fort que les autres en se vidant dans la bouche de Claire. Elle nettoie bien son gland et le libère enfin, laissant Yoann avec les yeux perdus dans le vide et le corps vidé de toute énergie.

Claire peut maintenant se concentrer sur le plaisir que je lui donne. Elle se remet à gémir avec force. La position n’est pas super confortable pour moi mais j’arrive quand même à garder un bon rythme et à prendre du plaisir.


- Mmmmh vas-y Cyril, c’est bon là ! je sens que ça vient ! gémit Claire.


Je prends Claire avec toute la force qu’il me reste en faisant bien claquer ses fesses à chaque mouvement. Ses cris deviennent de plus en plus aigus. Brusquement, son vagin se contracte autour de mon sexe. J’ai gagné : elle jouit ! Elle pousse un cri final qui doit s’entendre à des centaines de mètres à la ronde ! Yoann regarde, incrédule, le visage de ma cousine déformé par le plaisir et par la force de son orgasme à quelques centimètres de lui. Encore quelques allers-retours dans sa chatte et je jouis à mon tour. Je me retire juste à temps pour me vider contre l’arbre le plus proche.
Après cette agitation, il y a un long silence. On entend plus que le bruit de la forêt de celui de nos respirations qui peinent à se calmer. C’est Claire qui parle la première :


- Allez, c’est fini, tout le monde se rhabille…


Ces mots semblent nous réveiller. Nous nous relevons tous et nous enfilons nos vêtements.


- Je sais pas quoi dire… murmure Yoann
- Alors ne dis rien. Ce qui compte, c’est le moment qu’on a vécu, pas les mots qu’on dit après… répond Claire, un peu philosophe pour le coup.


Nous autres garçons avons les couilles bien vides et Claire semble elle aussi avoir eu son compte pour la journée.


- Tu as une copine ? demande-t-elle à Yoann.
- Euh… oui… Mais elle ne m’a jamais fait comme toi. Je veux dire me faire… jouir dans euh… sa bouche quoi !
- Je vois… En tout cas, le mieux c’est que tu oublies que tu nous as rencontrés. Tu peux garder un souvenir de ce moment mais il ne faudra jamais en parler à personne !
- Oui, oui c’est promis. Ça sera notre secret. Jamais je ne te trahirai après tout ce que tu as fait pour moi !


Claire s’approche de lui et lui murmure quelque chose à l’oreille, ce qui le fait devenir rouge pivoine. J’aimerais savoir de quoi il s’agit… Puis, sur ce, nous retournons chacun de notre côté.


Nous retrouvons le sentier principal, Claire et moi, et nous repartons en sens inverse, en direction de la maison… J’imagine que Yoann gardera un souvenir inoubliable de la belle inconnu qui l’a sucé un jour dans les bois…


- Bon… c’était inattendu, dis-je.
- C’est clair… En tout cas ça aurait pu être pire : on aurait pu être découverts par des adultes ou par des gens qui nous connaissent, genre des gens de ma classe des années précédentes… Là on aurait été mal parce que toute la ville aurait été mise au courant !
- Ouais, vu comme ça on s’en est plutôt bien tirés. J’espère quand même qu’on finir par avoir un moment tranquille !
- T’inquiète pas pour ça. Mais pour l’instant, rentrons à la maison.
- Je peux te poser une question ?
- Oui
- Tu l’as sucé… par plaisir ou par nécessité ?
- Sincèrement, je l’ai fait pour acheter son silence. Après, tu sais comment je suis… sur le coup, j’ai pris du plaisir aussi. Mais j’espérais que tu en profiterais pour venir me prendre par derrière. Je suis contente que tu l’aies fait !
- Je suis rassuré alors, dis-je. Je commençais à me dire qu’à moi tout seul, c’était pas suffisent pour t’exciter…
- Ne pense pas ça ! J’aurais préféré qu’on ne soit que tous les deux cette après-midi, promis !


Je suis un peu rasséréné par ses paroles. Nous changeons de sujet de conversation et nous parlons d’autre chose jusqu’au retour à la maison. Puis nous prenons une douche, chacun de notre côté. On n’a plus assez d’énergie pour faire quoi que ce soit de productif de la fin d’après-midi et de la soirée.


Pendant le repas du soir, nous évitons soigneusement de donner des détails sur notre promenade en forêt. On regarde un film à la télé puis on va se coucher. Demain, nous irons à la plage avec Marianne.

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Le lendemain matin se passe tranquillement. J’avais bien dormi vu que j’étais quand même un peu fatigué par les évènements de la veille. Au petit-déjeuner, les adultes nous annoncent une bonne nouvelle.


- On a pensé que dans les prochains jours, pas tout de suite vu que Justine va nous faire une visite surprise, mais après, on pourrait allez passer quelques jours dans le camping du coin. Vous auriez votre propre tente les jeunes et puis il y a une piscine et un terrain de tennis !


- Oui, c’est vrai qu’on a deux tentes dans la réserve ! dit Claire. C’est bien des tentes 4 places, non ?
- Oui oui, c’est ça !
- Dans ce cas, on pourrait inviter Marianne dans notre tente des jeunes ? demande Claire.
- Ah oui bien sûr, bien sûr.
- On la voit cette aprèm, on lui proposera, pas vrai Cyril ?
- Ah euh… oui, oui bonne idée !
- Bien dans ce cas c’est décidé ! On va réserver les emplacements dans la journée.


Rassurez-vous, il s’agit d’un vrai camping, pas d’un campement sauvage dans la forêt comme celui de Yoann. En début d’après-midi, Claire et moi nous mettons en route pour retrouver Marianne à la plage. Je vous avoue que je suis un peu stressé. Et en même temps, j’ai vraiment hâte de la revoir après tout ce temps. Nous marchons un bon moment, chargés de nos sacs de plage. Il fait très chaud et le soleil brille fort dans le ciel. On va pouvoir se baigner et bronzer ça va être génial ! Nous arrivons au bord de la plage. Marianne nous attend à la limite du sable. En nous voyant arriver, elle nous fait un grand geste de la main.


- Salut vous deux, dit-elle.
- Salut ma chérie, dit Claire en lui faisant la bise.
- Salut Marianne, dis-je en faisant de même.


Ce premier contact physique me fait un peu frissonner et je sens que Marianne est troublée elle aussi. A croire que le souvenir des moments qu’on a passés ensemble est encore présent. Claire nous regarde d’un air amusé.


- Et si on allait s’installer pour commencer ! Vous aurez tout le temps de fêter vos retrouvailles quand vous serez sur le sable !
- Oui c’est vrai ! Allons nous installer, dis-je.


Nous sortons nos serviettes de nos sacs de plage respectifs et nous les installons côte à côte sur la plage. Nous ne sommes pas les seuls à avoir eu l’idée de venir profiter du beau temps au bord de l’eau. Il y a déjà pas mal de vacanciers autour de nous mais la plage n’est pas bondée non plus, loin de là. Ca va quand même être agréable ! Je retire rapidement mes vêtements pour me retrouver en short de bain que j’avais gardé sous mes vêtements. Claire fait de même : elle avait enfilé son maillot sous ses vêtements. Cette fois, elle porte le maillot une pièce blanc que j’avais vu sur son lit l’autre jour. Il lui va vraiment bien et met sa poitrine en valeur en l’écrasant légèrement. Et puis le blanc s’accorde magnifiquement bien avec ses cheveux blonds.


Marianne jette un regard plein d’envie et d’admiration à Claire, comme si elle rêvait d’avoir le même corps qu’elle. Puis son regard devient un peu soucieux.


- Euh… je suis bête mais j’ai pas pensé à mettre mon maillot sous mes vêtements… dit-elle.
- Bah c’est pas grave, tu vas te changer maintenant ! répond Claire
- Oui mais y a plein de monde… rougit-elle. Tu peux me tenir ma serviette pour me cacher s’il te plait, Claire ?
- Roh c’est relou. Cyril va le faire, moi je vais tester la température de l’eau !


Et sur ces mots, Claire part en trottinant vers la mer, me laissant seuls et rougissant avec Marianne.


- Euh Cyril, tu veux bien .. ?
-Oui, oui… Aucun problème…


Nous nous levons. Marianne s’enroule dans sa serviette et je maintiens la serviette tendue autour d’elle pour dissimuler son corps aux gens tout autour de nous. Marianne s’agite et essaye de sa déshabiller et de se rhabiller rapidement. De ma position, je pourrais voir à peu près tout ce que je voudrais mais il ne faudrait pas qu’elle me surprenne… Je ne veux pas baisser dans son estime dès le premier jour. Du coup, je détourne la tête pudiquement tout en tenant la serviette bien haut pour bien cacher ses seins à la vue des autres. Difficile pour moi de penser que Marianne et nue juste à côté de moi et que je ne peux pas en profiter… Ma bite est en train de durcir légèrement dans mon maillot, ça va être dur de la cacher par la suite… Impossible de résister, je jette un petit coup d’œil au moment ou Marianne est en train de mettre son maillot : un maillot de bain une pièce vert. Juste à temps pour apercevoir la courbe de son dos et ses fesses rebondies. Pendant une seconde, je m’imagine jouir sur ses fesses après lui avoir fait l’amour et cette pensée achève de me donner une érection.


- Ca y est c’est bon Cyril, je suis prête ! Tu peux lâcher.


La serviette qui était le seul rempart entre le corps nu de Marianne et le regard des gens alentours est maintenant le seul rempart entre Marianne et mon érection. Pas question qu’elle me voit dans cet état.


- A l’eau maintenant !


En disant ça, je lâche la serviette et je pars en courant vers la mer. Marianne doit se demander ce que je fous mais c’est pour la bonne cause ! En me voyant arriver, Claire se marre. Elle jette un coup d’œil à mon entre-jambe avant que j’ai le temps de la cacher sous l’eau.


- Et bien, elle te fait de l’effet Marianne !
- Pfff c’est encore de ta faute. C’est toi sa meilleure amie, c’est à toi de lui tenir la serviette !
- Empotés comme vous êtes tous les deux, vous avez besoin que je vous donne un coup de main, crois moi !
- Tais toi, elle arrive !

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Suite et fin très bientôt !

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L’arrivée de Marianne met fin à la conversation. Son maillot de bain lui va vraiment bien à elle aussi. Sa poitrine est un peu plus petite que celle de Claire, certes, mais physiquement elle tient vraiment la route, avec son teint naturellement bronzé et son air timide qui lui donnent beaucoup de charme.


L’eau est suffisamment bonne pour qu’on y reste un long moment mais suffisamment froide pour annuler mon érection. C’est parfait. En plus, on s’est éloigné du bord donc on a de l’eau jusqu’au cou (surtout les deux filles, qui sont plus petites que moi). Donc je ne peux rien voir de leurs corps et je me concentre sur la conversation pour essayer d’être drôle et de faire une bonne impression.


Au bout d’un moment, les deux filles commencent à avoir froid. Nous décidons de revenir à nos serviettes et nous sortons de l’eau. Je fais exprès de marcher derrière elles pour pouvoir mater un peu leurs fesses. Pour le coup, j’aurais bien du mal à dire laquelle des deux a les plus jolies : je crois qu’elles sont parfaites chez la brune comme chez la blonde ! Comme elles discutent entre elles, elles ne se rendent compte de rien. Les filles décident de se mettre de la crème ce qui est une bonne idée parce que le soleil tape fort ! Pas de massage sexy pour aujourd’hui parce qu’il y a vraiment trop de monde autour ! Et puis, avec leurs maillots une-pièce, il n’y a que les bras et les jambes qui dépassent. Après, elles s’étendent sur leurs serviettes et se font bronzer. Je fais de même mais assez rapidement, j’en ai marre. Je m’assieds donc en tailleur et je sors un livre. Je ne peux pas m’empêcher de jeter un coup d’œil de temps à autres vers mes voisines : leurs corps enduits de crème brillent sous le soleil et elles semblent s’être assoupies. Leurs ventres plats se soulèvent régulièrement au rythme de leurs respirations. Tout est paisible.

Après un bon moment, Marianne se réveille et vient me rejoindre sur ma serviette.

-Tu as fini de bronzer ? dis-je
-Oh tu sais, comme je le suis déjà un peu naturellement, j’évite de trop m’exposer…

Nous parlons de plein de choses différentes. J’ai le sentiment que Claire s’est réveillée mais qu’elle ne se manifeste pas pour nous laisser l’occasion de discuter en tête à tête et je lui en suis très reconnaissant ! Au fil de la conversation, je finis par poser à Marianne une question qui m’intéresse :

- Tu as un copain en ce moment Marianne ?
- Euh… Non et toi, une copine ? répond-elle en rougissant intensément.
- Non…

Je ne sais pas comment interpréter son rougissement. Est-ce qu’elle rougit parce qu’elle a eu une autre expérience depuis l’été dernier ? Ou au contraire parce que justement elle n’en a pas eu d’autre ? En tout cas, j’ai cru voir du soulagement chez elle quand j’ai dit que je n’avais personne. Mais je me fais peut-être des idées…

Au bout d’un moment, Claire finit par émerger. Nous sommes sur la plage depuis longtemps et nous commençons à être déshydratés donc nous décidons de rentrer. Nous discutons sur le chemin du retour :

-Ah Marianne, d’ici quelques jours on va faire du camping avec Cyril ! On a une tente pour 4, ça te dirait de te joindre à nous ?
-Oui carrément !!
-Marianne a l’air très heureuse de cette proposition. Claire ajoute innocemment :
-Ah, on ne t’a pas dit mais la sœur de Cyril vient passer 2 jours chez nous. Cyril va devoir dormir par terre parce qu’on n’a plus assez de lit !
-Ah merde, j’avais pas pensé à ça, dis-je un peu dépité.
-Mais Cyril, tu voudrais eux… commence Marianne. Ca te dirait de, euh… venir dormir chez moi. On a une chambre d’ami, ça serait mieux que dormir, euh… par terre…

Je rougis, Marianne rougit, Claire se marre.

-Ca a l’air d’être une bonne idée, tu en penses quoi Cyril ? dit le blonde.
-Euh oui, oui avec grand plaisir, merci Marianne !

Et bien, les choses prennent une tournure inattendue. Inattendue et très agréable !
En plus, je vais dormir dans un vrai lit et pas dans un sac de couchage par terre ou sur le canapé donc c’est parfait !
Le lendemain, c’est le jour de l’arrivée de Justine. Dans la matinée, j’ai fait le ménage dans ma chambre puisque c’est Justine qui va y dormir. Je change les draps, je passe un coup de balais par acquis de conscience et je transporte mon sac et mes affaires dans la salle télé. Je pose tout sur le canapé où j’aurais sûrement dû dormir sans l’intervention de Marianne.


Justine arrive de Paris et elle nous rejoint vers 13h30, juste à l’heure pour le café. Les retrouvailles sont chaleureuses. J’observe particulièrement le moment où elle salue Claire. Elles ne se sont pas vues depuis tellement longtemps ! Je sens qu’il y a un peu d’électricité entre les deux filles quand elles se font la bise.

-Fais visiter l’étage à Justine, me dit Claire. Moi je vais aider à débarrasser la table.

Je guide donc ma sœur à l’étage supérieur. Je lui montre la chambre de Claire, la salle de bain, la salle télé et enfin ma chambre… qui est sa chambre du coup.

-Voilà, c’est là que tu vas dormir. On a tout rangé, tu as même vue sur la piscine regarde !
-C’est super ! Mais toi, tu vas dormir où ? Sur le canapé ?
-Je me suis fait inviter chez une amie pour les deux nuits…
-Bien joué… tu gères !
-Ahah on fait ce qu’on peut !
-Dis moi Cyril, tu as parlé à Claire de ce qu’on s’était dit ?
-Oui ! toujours motivée ?
-Bah je sais pas trop… Je pense que ça dépendra de comment les choses vont se passer… J’ai toujours envie d’essayer quelque chose de nouveau mais je sais pas trop, on verra…

Claire nous rejoint

-Alors Justine, satisfaite de ta nouvelle chambre ?
-Oui carrément ! Elle est super !
-Si tu n’est pas trop fatiguée, on pourrait aller à la plage tous les 3 cette après-midi .
-Bonne idée ! Donne moi juste le temps de vider mon sac et de trouver mon maillot de bain !
-Euh les filles, je ne serai pas de la partie, dis-je. J’ai reçu un sms de Marianne, elle m’a dit que je pouvais venir dès cette après-midi. Du coup je vais y aller bientôt !
-Il est très fort ! dit Claire à l’intention de Justine.
-Je vois ça !

Nous rions tous les trois de bon cœur. Pendant que Justine finit de s’installer, je file à la douche et je m’habille relativement bien histoire de faire une bonne impression à Marianne. Je prends quelques affaires dont un pyjama dans un petit sac et me voilà prêt à partir. Les deux filles et moi quittons la maison en même temps sur le coup des 15h00. Au premier croisement, nous nous séparons : elles vont en direction de la plage, moi en direction de la ville.


Je prends donc la direction de la ville. Ce n’est pas une longue marche même si la maison de Claire est un peu excentrée. Sur le chemin, je passe devant une boulangerie qui a l’air pas mal et j’achète quelques chouquettes pour ne pas arriver les mains vides. En fouillant mes poches pour trouver de la monnaie, je saisis mon téléphone. Je veux regarder l'heure rapidement mais je constate que la batterie est complètement déchargée. Heureusement que je me rappelle l’adresse. J’arrive au pied de l’immeuble de Marianne. Je sonne à l’interphone qui… ne marche pas. J’essaye encore et encore mais rien n’y fait… Et bien sûr, je ne peux pas appeler dans l'état où est mon téléphone. Au moment ou je commence à perdre espoir, un mec brun de mon âge arrive à la porte. Il me jette un coup d’œil et comprend tout de suite le problème.


-Ouais, il est souvent en panne ces temps-ci. Je vais t’ouvrir.
-Merci c’est cool !
-Tu viens voir qui ?
-Marianne, tu dois peut-être la connaître…
-Ah oui, bien sûr, c’est ma voisine de palier. Je vais te guider.


J’entre à sa suite dans le hall de l’immeuble puis dans le petit ascenseur.


-C’est au dernier étage. 5ème , dit-il.
-Tu connais bien Marianne, demandé-je pour faire la conversation.
-Oui ! On est voisin depuis qu’on est petits et on a souvent été dans le même classe jusqu’au lycée. Donc ouais je la connais plutôt bien. Je m’appelle Tom au fait !
-Cyril, enchanté.
-Attends, tu serais LE Cyril ? dit il, visiblement surpris.

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L’ascenseur arrive et nous nous retrouvons sur le palier. Il n’y a que deux portes. J’en déduis que se sont celles de Marianne et celle de Tom.


-C’est trop drôle continue-t-il. Tu sais que Marianne m’a beaucoup parlé de toi !


Il sonne à une des porte et Marianne ouvre.


-Cyril est là ! s’exclame-t-il goguenard.
-Hein ? ah… euh, je vois. Salut vous deux, entrez si vous voulez !
-Désolé Marianne, j’ai un gâteau au four, il faut que j’aille chez moi. Mais si vous n’avez rien à faire, ça vous dit de passer prendre le goûter à 17h00 ?
-Marianne m’interroge du regard.
-C’est une très bonne idée ! dis-je.
-Dans ce cas, parfait ! A toute à l’heure !


L’idée de manger un gâteau tout fraichement préparé me plait bien. Et en plus, pour me faire bien voir de Marianne, je dois me faire bien voir de ses potes !

J’entre donc chez Marianne qui referme la porte derrière nous. Je sens qu’elle est un peu gênée et je le suis aussi : un peu comme si elle et moi on avait peur de ne rien avoir à se dire. Mais nos craintes respectives sont vites dissipées parce que tout se passe pour le mieux. Elle me fait d’abord visiter l’appartement, la chambre d’amis où je vais passer deux nuits, sa chambre ensuite qui se trouve juste à côté… J’ai de petits frissons en rentrant dans sa chambre et en imaginant tout ce qu’on pourrait y faire… La porte de sa penderie est entrouverte et je peux y voir une pile de sous-vêtements bien rangés. Marianne s’excuse pour le désordre bien qu’il n’y ait aucun désordre et m’entraine ensuite dans la cuisine. La pièce est assez lumineuse grâce à un genre de baie vitrée et la clim fonctionne bien donc on est au frais !

Dans un premier temps, après avoir remarqué que Marianne a un téléphone de la même marque que la mienne, je lui emprunte son chargeur pour gratter quelques pourcents de batterie. Nous nous asseyons à table et nous buvons un jus de fruit tout en discutant et en grignotant les chouquettes. On parle de pleins de choses, on se raconte nos vies pendant l’année écoulée. Pour ma part, j’évite certains détails : vous pouvez imaginer lesquels ! Je remarque que Marianne rigole à toutes mes blagues, même les moins drôles ce qui est plutôt bon signe.

A un moment, je reçois un sms de Claire. Je l’ouvre. C’est une photo, un selfie d’elle et de Justine sur la plage. La photo est prise d’un peu en haut et m’offre une superbe vue sur les décolletés de leurs maillots de bain deux-pièces. Ça me fait un petit effet je dois admettre. Je montre la photo à Marianne qui, avec son regard de fille, ne voit pas la même chose que moi.


-Ta sœur a l’air super cool ! s’exclame-t-elle. Elles ont l’air de bien s’amuser à la plage !


C’est vrai que les deux filles arborent un sourire radieux sur la photo.
Quand arrive 17h00, nous partons chez Tom. On n’a que le pallier de l’étage à traverser ce qui nous prend environ 3 secondes. Et nous voilà donc chez Tom qui nous fait rentrer et assoir dans le salon. Il nous sert à boire ainsi que le gâteau qui sort du four. On discute et les deux me racontent les circonstances de leur rencontre : apparemment, ils ont été dans la même classe pendant plusieurs années d’affilée jusqu’à la fin du lycée. Et comme ils étaient voisins, ils se voyaient très souvent. Au bout d’un moment, Marianne nous dit :


-Les gars, excusez-moi une minute je vais à la salle de bain.


Elle nous laisse donc quelques minutes seuls, Tom et moi. Je remarque un dvd posé sur le meuble à côté de la télé : un film dont l’actrice principale est blonde et vraiment canon ! J’en fais la remarque à Tom :


-Elle est vraiment mignonne elle ! dis-je.
-Oui carrément ! J’aimerais bien l’avoir dans mon lit ça c’est sûr ahah !
-Ahah je suis d’accord ! dis-je un peu surpris quand même qu’il me dise ça tout d’un coup… Tu es plutôt « blonde » que « brune » apparemment !
-Mmmh oui plutôt blonde ! Toi aussi ?


Je réfléchis une seconde et l’image de Claire m’apparait assez spontanément comme mon idéal physique.


-Oui plutôt « blonde » !
-Y en a une qui est vraiment canon… commence-t-il. C’est une super copine de Marianne et elle venait souvent la voir chez elle donc je l’ai croisée quelques fois…

Je sens qu’il va me dire un truc énorme et je me retiens d’éclater de rire !


-Elle s’appelle Claire, continue-t-il. Elle est tellement bonne !


Je sors mon téléphone et je lui montre la photo que m’a envoyé Claire toute à l’heure.


-Ça serait pas elle ? dis-je avec un clin d’œil.
-Oh la vache ! Comment t’as eu cette photo ?? demande-t-il en rougissant, les yeux rivés sur le décolleté des deux filles.
-Alors, c’est elle ou pas ?
-Oui oui, c’est elle ! Tellement canon ! Et la brune aussi est bonne !!
-Alors la blonde, Claire, c’est ma cousine. Et la brune, c’est ma sœur.


Tom a comme un gros bug. Il reste immobile et tout rouge. Puis il se met à balbutier :

[pinmaritime108]

-Oh je suis vraiment désolé !! Je voulais pas parler comme ça des gens de ta famille, je sais pas quoi dire…
-Ahah c’est bon, c’est bon ne t’en fais pas ! En plus, je suis sûr que Claire serait flattée de savoir ce que tu penses d’elle.


Je suis soudain pris d’un grand fou rire. Au début, Tom a un rire nerveux puis il se met à rire également. C’est à ce moment-là que Marianne réapparait.


-Et ben je vois que vous êtes devenus bien copains, ça me fait plaisir ! dit-elle, visiblement émue.


Peu de temps après, Marianne et moi retournons chez elle. Et c’est à peine un quart d’heure plus tard que ses parents rentrent du travail. Elle me présente donc à sa famille. Je suis accueilli un peu comme un prince avec un diner somptueux comme si j’étais son fiancé ou je ne sais quoi… D’ailleurs, j’ai l’impression que Marianne leur a déjà beaucoup parlé de moi. La soirée se passe donc bien et nous allons nous coucher sans plus d’évènements.


Le lit est très confortable, les draps sont frais. Pourtant j’ai un peu de mal à trouver le sommeil. En fait, avant d’éteindre la lumière, j’ai ajouté Tom sur les réseaux sociaux. On a discuté un peu. Au début il s’est excusé à nouveau d’avoir osé dire de ma cousine qu’elle était « bonne ». Mais je l’ai rassuré et comme il a vu que j’étais assez à l’aise avec ça, il a fini par me dire tout le bien qu’il pensait de Claire. Bref la conversation étant un peu excitante, faut croire que Claire fait le même effet à tout le monde.


Je finis pourtant par m’endormir. Quand j’entrouvre les yeux, il y a de la lumière qui pénètre dans la pièce malgré les rideaux fermés. Le jour doit être bien avancé. Mais quelque chose n’est pas comme d’habitude. Je sens comme une douce chaleur et une pression autour de mon sexe. J’ouvre carrément les yeux cette fois. Marianne est assise sur le bord du lit, penchée au-dessus de moi, la main posée sur mon sexe qui commence à se tendre.


-Marianne… qu’est-ce que…
-Si tu ne veux pas dis le… Mais si tu es d’accord, ne dis rien…


Marianne n’a pas l’air très à l’aise, comme si elle faisait un immense effort pour aller contre sa nature timide et réservée. Elle est toute rouge et elle tremble légèrement. Conformément à ses consignes, je ne dis rien…


-Mes parents sont partis au travail, nous sommes seuls. Tu as dormi longtemps… murmure-t-elle.


La brune commence un va-et-vient autour de mon sexe. Ses mouvements le long de ma bite sont un peu maladroits, on sent tout de suite qu’elle n’a pas trop l’habitude. Mais malgré tout, elle parvient à me donner du plaisir. J’écarte un peu les jambes pour mieux savourer. J’ai une superbe vue sur le décolleté de sa chemise de nuit puisqu’elle est penchée sur moi. D’ailleurs je crois qu’elle a dégraphé un ou deux boutons exprès. Je peux deviner la marque de ses tétons au bout de ses seins. Ajouté à ça l’excitation de la situation et je vais bientôt me mettre à jouir !

-C’est bon Marianne… finis-je par dire pour l’encourager.


Ses mouvements sont de plus en plus rapides, elle commence à trouver son rythme. Je décide de ne pas chercher à me retenir mais de profiter à fond de ce réveil inattendu. En laissant échapper un petit gémissement, je me laisse complètement aller et je jouis en grosses saccades entre les mains de Marianne.


-Merci… soupiré-je.
-Va prendre ta douche et rejoins moi dans la cuisine… murmure-t-elle.


Et juste après avoir dit ça, elle pose un léger baiser sur mes lèvres et disparait. Pas très sûr de ce qui vient de se passer, je me lève doucement, j’ouvre les volets et je vais prendre ma douche. L’eau chaude m’aide à me réveiller et à retrouver mes esprits. Mais je ne comprends toujours pas comment la si timide Marianne a pu faire ce qu’elle a fait…

Je rejoins Marianne dans la cuisine au bout d’une demi-heure. Elle porte une petite robe d’été bleue. Elle est assise en train de boire un café, le corps légèrement vouté. Elle a l’air dépitée et ne me regarde pas quand je rentre.


-Ca va ? demandé-je doucement.
-Oui… répond-elle les yeux perdus dans sa tasse de café. Je suis désolée pour toute à l’heure… Je n’aurais peut-être pas dû…
-Mais pourquoi ? demandé-je. C’était très bien…
-Y a quelque chose que je voudrais te dire depuis longtemps Cyril. Toute la journée d’hier j’ai attendu le bon moment mais je n’ai pas trouvé… En fait, ce que je veux te dire c’est… Enfin non rien, laisse tomber…
-Ecoute Marianne. Je sais pas ce que tu voulais me dire. Mais j’aimerais faire quelque chose pour toi, pour te remercier de ce matin. Suis-moi si tu veux.


Je lui tends ma main qu’elle prend. Nos regards se croisent avec beaucoup d’intensité et je vois dans les yeux de la brune un genre de tristesse qui me donne envie de la protéger. Je l’emmène jusqu’à sa chambre. A cet instant, je pense qu’elle sait où je veux en venir et elle se met à trembler un peu.


-Marianne, tu es tellement belle ce matin…