En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti)

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- Ca faisait longtemps que je ne l’avais pas vu… dit-elle en frôlant mon sexe avec ses doigts.
- Ca me manquait… murmuré-je.


Une onde de plaisir parcourt mon corps et je me dépêche de finir de me déshabiller tandis que Claire s’allonge sur le lit. Elle est en sous-vêtements et moi complètement nu. Je la regarde, offerte sur le lit et je me demande dans quel ordre faire les choses. Je n’ai pas envie de lui enlever son soutif tout de suite : je préfère attendre un peu pour pouvoir contempler ses deux globes. C’est ce que je préfère chez elle et je veux garder le meilleur pour la fin ! A la place, je lui retire doucement sa culotte, révélant ainsi sa petite chatte qui est comme dans mes souvenirs.


- Combien de fois tu t’es faite sauter sur ce lit ? demandé-je avec un air coquin.
- Plus que tu ne le crois ! répond-elle avec un regard de défi. Tu attends quoi pour faire monter le compteur ?


J’essaye de prendre une attitude dominante mais comme à chaque fois que je suis face à Claire, je suis complètement intimidé. Mon cœur bat à toute vitesse. J’approche mon visage de la chatte de ma cousine et je constate qu’elle est déjà bien mouillée ! Lentement, je m’apprête à poser ma langue sur son clito quand soudain, la porte de la chambre s’ouvre..!

Imaginez la scène, je suis entre les cuisses de Claire, le visage à quelques centimètres de sa chatte, au moment où son copain rentre dans la pièce. En gros, il rentre dans sa chambre pour y trouver sa meuf sur le point de se faire baiser par un de ses invités…


- C’est quoi ce bordel ??


Je me redresse immédiatement, rouge de honte et j’ai ce réflexe idiot de cacher mon sexe avec mes mains. Claire, elle, reste très calme. Elle se relève et avance doucement jusqu’à Julien. Elle commence par refermer la porte derrière lui et nous voilà à nouveau isolés du bruit de la fête. Puis elle regarde son mec dans les yeux en lui adressant un petit sourire en coin.


- Tu te rappelles ce que tu m’avais dit ? Que ça te ferait fantasmer de me baiser avec quelqu’un pour nous regarder. Bah je crois que c’est le moment.


Julien ne répond pas. Il me regarde puis regarde Claire comme si il réfléchissait. Sans attendre sa réponse, Claire s’agenouille devant lui et lui descend son jeans. Elle glisse ensuite sa main dans son caleçon et en ressort une bite assez imposante. Sans prévenir, elle la prend en bouche et commence à la sucer avec énergie. Je suis tétanisé devant cette scène mais je bande à fond. La bite de Julien durcit sous les coups de langue de Claire, tout son corps s’est détendu et il est vraiment en train d’apprécier le moment. A un moment, il pose même ses mains sur la tête de Claire pour l’encourager à aller plus vite. Je me suis mis dans un coin de la pièce et je n’ose pas me branler même si j’en ai très envie…


Julien décide de passer aux choses sérieuses : il attrape Claire par les hanches, il la soulève puis la pose sans ménagement sur le lit. Il retire son t-shirt pour être entièrement nu et il approche son sexe de l’entrée de la chatte de ma cousine. Sa bite est impressionnante, bien plus épaisse que le mienne. Malgré tout, il parvient à pénétrer Claire d’un seul coup. Il faut dire qu’elle mouillait pas mal déjà ! Il commence à la pénétrer assez énergiquement. Claire a les yeux fermés. Elle gémit en savourant chaque coup de rein. Je ne peux plus me retenir et je commence à me branler doucement. Julien arrache le soutif de Claire et l’envoie valser à l’autre bout de la chambre. La belle poitrine de ma cousine, ainsi libérée, remue dans tous les sens. Julien pose une main sur chacun des seins de ma cousine et les malaxe avec force toute en continuant à donner de puissants coups de bassin. Je suis excité au maximum et je dois même arrêter de me branler pour ne pas jouir. Claire gémit de plus en plus fort, je me demande si on ne va pas finir par l’entendre depuis le salon malgré la musique. Julien a du avoir la même pensée que moi parce qu’il essaye d’étouffer ses cris en posant sa main sur sa bouche. Mais cette position n’est pas très confortable pour lui et il préfère sans doute malaxer les seins de Claire.


- Claire, si tu faisais un cadeau à notre invité ? dit-il, assez essoufflé.
- Mmmh. Viens là Cyril, je vais te sucer. Aahhh ! articule Claire entre deux gémissements de plaisir.

En entendant ça, mon cœur manque un battement. C’est sans doute la chose la plus agréable que je pouvais entendre dans cette situation. Je monte sur le lit et je m’installe à genoux à côté de la tête de Claire. Avec une main, elle attrape mon sexe et le glisse dans sa bouche. Claire fait de son mieux mais elle a un peu de mal à bien stimuler mon gland avec sa langue. En même temps, elle se fait secouer dans tous les sens par les coups de rein de Julien et elle est au bord de l’orgasme. Et franchement elle arrive quand même à me donner pas mal de plaisir !


L’avantage, c’est qu’avec ma bite dans sa bouche, les gémissements de Claire sont étouffés. Je pense même que c’est pour ça que Julien lui a demandé de me sucer. Comme elle fait moins de bruit que toute à l’heure, il n’y a plus de risque que les autres invités l’entende depuis le salon. Julien a l’air soulagé que ce détail soit réglé et il se déchaine dans ses coups de bassin. Son visage est rouge et marqué par le plaisir. Celui de Claire également. Très clairement, nous sommes tous les 3 sur le point de jouir. Je me demande qui va craquer en premier ?
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Mon sexe est en feu et la bouche de Claire me procure maintenant un plaisir énorme ! Julien pénètre ma cousine à toute vitesse, tout en pétrissant sa poitrine avec ses mains. Il respire bruyamment et je sens qu’il arrive au bout de son endurance. Mais c’est Claire qui finalement craque la première. Son corps est tout à coup pris d’un grand tremblement. Elle libère mon sexe et pose ses mains sur sa bouche pour étouffer son cri de jouissance. Puis son corps retombe sans énergie sur le lit. Je commence à me branler à toute vitesse, je ne suis plus qu’à quelques secondes de jouir à mon tour. Julien, qui est toujours en train de donner des coups de rein et qui a saisi ma cousine par les hanches, se rend compte de mon état et me dit :


- Tu peux jouir sur ses seins !


Il ne m’en faut pas plus. En poussant un râle de plaisir, je jouis sur la poitrine rougie de Claire. Au même moment, Julien sort sa bite de la chatte de ma cousine et éjacule à son tour sur son ventre et sur ses seins. Des flots de spermes sortent de nos deux bites et Claire est littéralement inondée. Nous reprenons notre souffle quelques instant. Julien essuie la dernière goutte de sperme qui pend de son sexe sur le corps de Claire, mais je n’ose pas faire de même. Ma cousine a l’air complètement dans le gaz.


- Claire, nettoie-toi ! ordonne soudainement Julien. Je vais retourner voir nos invités pour ne pas attirer de soupçons. Et je vais en profiter pour raccompagner Cyril à la sortie.


Claire pousse un vague soupir d’approbation. Sur ces mots, nous nous rhabillons et Julien me raccompagne jusqu’à la porte d’entrée de l’appartement. Nous passons dans le salon mais la musique est forte et les gens très alcoolisés : à mon avis, ils n’ont pas la moindre idée de ce qui vient de se passer. Tant mieux…


- Bon, en temps normal je t’aurais cassé la gueule. Mais c’était pas mal alors on va dire qu’on est quitte.
- Ok…


Je suis bien content qu’il n’ait pas décidé de me casser la gueule justement. A près tout, il m’a quand même trouvé dans sa chambre, entre les cuisses de sa copine…


- Ca a beau être une de tes amies d’enfance, je suis sûr que tu ne connaissais pas ce côté-là de la personnalité de Claire ! dit-il avec un clin d’œil.
- Son côté nympho ? Je n’en avais aucune idée !


La pauvre, si il savait. Enfin le pauvre… c’est lui qui en profite maintenant !


- J’en ai pas fini avec Claire ce soir ! Elle va bien prendre ! dit il. Merci pour ton aide.


Je finis par sortir de l’appartement et je rentre à la coloc. Il fait nuit noir mais la température est douce. C’est assez agréable de marcher dans la rue quand on y est absolument seul. Malgré tout, je ne me sens heureux. J’ai l’impression de m’être fait avoir. Ca fait 2 fois en une journée que Claire se sert de moi. Une première fois avec Lily et maintenant une deuxième fois avec Julien… Peut-être que je n’ai pas le droit de me plaindre… Mais je déprime un peu sur le chemin du retour. Et arrivé à la porte d’entrée de la résidence étudiante, je réalise que je n’ai pas les clés. Heureusement, je connais le code d’entrée du portail et quand j’arrive devant la porte d’entrée de la maison, je frappe et Lily vient m’ouvrir en nuisette.- Oh Cyril c’est toi !
- Désolé, je te réveille sûrement…
- Je suis rentrée il n’y a pas longtemps et je ne m’étais pas encore couchée, dit-elle. Vient dormir dans mon lit cette nuit aussi, tu seras mieux que sur le canapé !
- Ouais…
- Ca n’a pas l’air d’aller.


Nous nous installons côte à côte dans le lit, elle toujours en nuisette et moi en caleçon. Et là, je lui raconte tout : le déroulement de la soirée dans le détail et mon sentiment d’avoir été utilisé deux fois de suite. Je lui explique que je suis triste parce que j’ai l’impression que Claire se moque de moi. Lily m’écoute sans rien dire, elle a l’air vraiment désolée. J’arrive à la fin de mon récit et un petit silence s’installe. Tout a coup, elle s’allonge sur moi et commence à m’embrasser. Je ne m’y attendais pas mais je lui rends son baiser. Elle se redresse un peu, se place à cheval sur moi et commence à frotter son bassin contre le mien. Je ne comprends pas trop ce qui m’arrive ni pourquoi elle fait ça tout à coup mais l’effet est immédiat sur mon sexe qui commence à gonfler. Et qui gonfle encore plus lorsque Lily retire sa nuisette, révélant ainsi ses deux seins, juste sous mes yeux. Elle n’avait pas de soutif, comme à son habitude.
Je pose mes mains sur ses seins et je les malaxe doucement.


- Laisse moi te faire du bien… dit Lily en me souriant.
- Mais Lily, pourquoi ?
- Chut…

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Elle retire sa culotte ainsi que mon caleçon et nous voilà entièrement nus, moi allongé et elle à cheval sur moi. Lily frotte l’entrée de sa chatte contre mon sexe pour s’humidifier un peu puis elle guide ma bite avec sa main pour la faire rentrer en elle. Doucement, ma bite disparait dans la chatte de Lily et je sens une douce chaleur caractéristique m’envahir tandis que mon amazone pousse un petit gémissement.


Lily bouge maintenant son bassin doucement de haut en bas pour stimuler mon sexe. J’ai toujours les mains sur ses seins et je sens ses tétons qui se durcissent. Lily est incroyablement belle ce soir et je la laisse me chevaucher en savourant le moment.


Le temps passe mais Lily ne gémit pas plus que ça. Son visage exprime une grande tendresse mais pas spécialement de plaisir. Je me rends alors compte que j’ai été complètement passif depuis le début et que Lily n’a pas l’air de prendre vraiment son pied. C’est comme si ça n’avait pas d’importance pour elle et que tout ce qu’elle voulait c’était me faire du bien. Je me rends compte que j’ai été égoïste en ne pensant qu’à moi et je me promets de faire en sorte de lui donner du plaisir ce soir. Je me mets donc à bouger le bassin moi aussi. Je pose mes mains sur les hanches de Lily et j’accompagne ses mouvements de haut en bas pour les amplifier. Nos corps claquent à chaque mouvement et je sens que je la pénètre de plus en plus intensément...

Immédiatement, il y a une différence chez Lily. Elle a les yeux mi-clos et pousse de légers gémissements.


- Mmmmh ! Mmmmh…


Les seins de Lily bougent de haut en bas, en cadence, juste sous mes yeux. Ca m’excite au maximum. J’en attrape un que je suce un peu du bout des lèvres et je peux voir ses tétons se durcir encore un peu plus. Nos mouvements restent très lents et très doux ce soir, bien que je la pénètre profondément. Rien à voir avec notre baise de la dernière fois. C’est une façon différente de faire l’amour mais qui est très agréable également. Lily ne pousse pas des cris de plaisir, elle gémit doucement et me murmure des encouragements. Cette fois, elle apprécie le moment autant que moi.


- Oh yes Cyril, it’s good. Oh yes…


Lily se laisse aller et se mets à gémir en anglais, signe qu’elle ne va pas tarder à atteindre son orgasme. Je n’ai pas envie d’accélérer le rythme mais plutôt de laisser les choses se faire. Je passe mes mains dans le dos de Lily pour la tirer un peu vers moi. Elle est rose de plaisir et ses seins bougent dans tous les sens. Au bout d’un moment, dans un ultime murmure, Lily se met à jouir :


- Ohhhh Yeeeessss !


J’éjacule puissamment en elle presque simultanément et elle s’effondre sur moi. Je sers Lily fort contre moi. Nous reprenons notre souffle dans cette position : ses seins sont comprimés contre mon torse, ma bite est encore en elle. Elle a le visage enfoui dans mon cou. Quand nos rythmes cardiaques se sont calmés, elle se redresse e s’allonge à côté de moi sur le lit. Ma bite, libérée, a bien ramolli. Un peu de sperme coule encore de sa chatte.
Je la prends dans mes bras et je lui murmure à l’oreille :


-Merci pour tout…


Je crois que nous nos sommes endormis comme ça… Le lendemain, nous nous réveillons dans les bras l’un de l’autre. Apparemment, Claire n’est pas rentrée cette nuit. Elle doit encore être chez son copain après avoir passé une nuit de folie ! Lily va à la douche. J’hésite à l’accompagner mais si je le fais, on sait tous comment ça va finir. Je préfère lui préparer un bon petit déjeuner : ça me parait une meilleure façon de la remercier pour tout ce qu’elle a fait pour moi.
En mangeant, nous ne parlons pas des évènements de la veille, sauf à un moment où Lily me dit :


- S’il-te-plait Cyril, ne soit pas rancunier envers Claire même si tu as l’impression qu’elle s’est servie de toi. Quand tu n’es pas là, elle n’arrête pas de me dire des choses gentilles sur toi. Et puis tu sais, hier quand tu étais attaché sur la chaise, c’est elle qui t’a sucé à la fin. Elle voulait que tu puisses prendre ton pied toi aussi !


Je suis plutôt heureux après avoir entendu ça. Je réalise que j’ai fait la victime pour par grand-chose et que, après tout, je n’ai pas vraiment de raison de me plaindre.


Claire revient vers midi. Elle porte ses vêtements de la veille mais elle a pris une douche chez Julien et ses cheveux blonds, fraichement lavés, sont vraiment magnifiques. Nous sortons en ville pour manger un dernier repas ensemble. Puis, en début d’après-midi, je reprends la voiture pour rentrer chez moi. J’ai promis à Lily qu’on garderait le contact. Quant à Claire, je la revois dans quelques mois, cet été en Bretagne.

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Dans la voiture, je m’amuse à dresser un bilan de ces quelques jours. Ma grosse déception c’est de ne pas avoir pu baiser Claire alors que j’en rêve depuis des mois et des mois... Mais en même temps, je l’aurais quand même vu toute nue et puis elle m’a sucé deux fois. Quelle chaudasse quand même, son copain a bien de la chance ! Cet été, on devrait être plus tranquilles et loin de tout : j’espère qu’on passera aux choses sérieuses. Quant à Lily, je suis vraiment heureux de l’avoir rencontrée ! On s’est promis de garder le contact mais je sais que ça va être dur. Ca va faire comme avec Marianne si ça se trouve : après avoir passé de super moments ensembles, on va se perdre de vue. La différence, c’est que Marianne, c’est aussi prévu que je la revois cet été en Bretagne. Dimanche soir, il y a un peu de monde sur la route mais je finis par arriver à destination. Et demain, j’ai cours à la fac.


La semaine à la fac se passe tranquillement. Mes potes savaient que je passais le week-end à Paris mais je ne leur donne aucun détail sur ce que j’ai vécu là bas. Pas même à Guillaume même si avec lui j’aurais pu, il n’aurait pas été choqué ! J’ai décidé que je rentrerais chez moi vendredi après-midi, histoire de revoir un peu ma famille. J’ai ma mère au téléphone pour le lui annoncer. Justement, ce Vendredi je n’ai pas cours l’après-midi et donc, en début d’après-midi, juste après avoir mangé, je prends la voiture et je pars.


J’arrive à destination un peu après 15h. Mes parents sont au travail alors je m’attends à trouver la maison vide mais à ma grande surprise, quand je fais tourner la clé dans la serrure, je me rends compte que cette dernière n’est pas verrouillée. La porte s’ouvre et au bout du couloir apparait ma sœur Justine.


- Justine ! Qu’est ce que tu fais là ?
- Je suis rentrée hier soir, je reste pour le week-end !
- Maman ne m’avait pas dit que tu serais là quand je l’ai appelé.
- Elle a surement voulu te faire la surprise, c’est bien son style !


Souvenez-vous, Justine, ma sœur est une fille assez grande et fine, avec des cheveux et des yeux noisettes. Elle a 3 ans de plus que moi et elle a quitté la maison depuis un moment pour ses études. Elle est plutôt bonne élève et elle travaille beaucoup : tellement même qu’elle n’était pas venu avec nous chez Claire l’été dernier. Ca faisait plusieurs mois qu’on ne s’était pas vu l’air de rien…


- J’étais sur le point de me faire un smoothie dans la cuisine, tu en veux un ?
- Avec plaisir !
- Va ranger tes affaires et ta valise, je nous prépare ça !


J’ai vraiment eu droit à un accueil chaleureux, je suis bien content d’être rentré ! Je vais dans ma chambre et je défais ma valise. J’entends le mixeur qui fonctionne dans le cuisine et quelques minutes après, ma sœur m’appelle.


- C’est prêt ! Recette secrète, dit-elle en me tendant un verre.


Je goute le smoothie, qui soit dit en passant est délicieux, et en fermant les yeux, j’énumère :


- Orange, banane, citron, miel.
- Waouh c’est exactement ça, bravo. Viens avec moi ! dit-elle en me conduisant dans sa chambre. On doit avoir des trucs à se raconter depuis le temps !


Nous nous asseyons en tailleur, par terre sur le tapis, nos verres à la main. Nous discutons de choses et d’autres jusqu’à ce que, inévitablement, ma sœur mette sur le tapis le sujet des filles. C’est vrai que pour elle je suis un éternel célibataire qui n’a jamais connu de nanas : en tout cas, c’est à ce point que j’en étais la dernière fois qu’on avait abordé le sujet ensemble. En même temps, c’est pas sa faute, elle connait beaucoup moins bien ma vie que vous, chers lecteurs !


- Et du coup Cyril, avec les filles, ça avance un peu là ?
- Ca va, j’ai eu quelques histoires…
- Je suis rassurée alors ! dit-elle. Quand tu as traversé la période du lycée sans fille à l’horizon, j’étais un peu inquiète pour toi. Et quand les parents m’ont dit que tu t’étais mis en coloc avec une fille, je me suis dit que tu tenais enfin le bon bout !
- Ouais, il y a eu quelque chose avec cette fille de la coloc. Mais c’est terminé, c’était compliqué… dis-je en rougissant.
- Ahah ce qui compte c’est que tu te sois fait des expériences ! Tu es devenu un homme ! rigole Justine.
- Et toi alors ? Toujours avec Thibaut ? demandé-je.
- Malheureusement non… Il m’a quitté y a quelques mois…
- Ah c’est moche… Ca faisait quoi… 3 ans que vous étiez ensemble ?
- Ouais… Enfin, on s’engueulait beaucoup ces derniers mois et sexuellement c’était devenu pas terrible non plus. Je crois qu’il se réservait pour une autre fille… Enfin c’est fini maintenant…
- Justine faut que je t’avoue un truc, dis-je soudainement, en repensant à un évènement passé. C’est quelque chose qui me reste un peu sur la conscience et je veux pas qu’il y ait ce secret là entre nous…
- Vas-y, dit Justine l’air soudain très concentré.
- Tu te rappelles il y a 2 ou 3 ans, quand les parents étaient partis à Venise ? Tu as ramené Thibaut à la maison le soir. Moi je devais pas être là, je devais être chez un pote. Mais en fait j’étais là et j’ai tout entendu de ce que vous avez fait. Je vous ai un peu espionné. Voilà…

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J’avais dit ça très vite, en baissant les yeux et en rougissant, comme un gamin qui avoue une bêtise. Pour ce qui ne savent pas de quel évènement je parle, allez relire le tout premier chapitre de cette histoire, ça vous éclairera !

Je me sens libéré d’un poids maintenant que je lui ai tout raconté : c’est comme si le fait qu’elle ne soit plus avec Thibaut m’avait donnée une occasion de soulager ma conscience. Le visage de Justine est un peu rouge mais elle n’a pas l’air énervée, au contraire. Elle me dit d’une voix douce :


- Merci pour ton honnêteté Cyril. Je vais être honnête à mon tour. Ce que tu viens de m’avouer… je le savais déjà…


- Quoi ? Mais comment ?
- Quand on est rentré dans la maison avec Thibaud ce soir là, la porte d’entrée n’était pas verrouillée. Si tu étais sorti, tu aurais sûrement fermé à clé derrière toi. Après, je sais pas si tu t’en rappelles, je suis venu vérifier dans ta chambre.
- Bien sûr, je m’en rappelle…
- Ton lit était complètement défait. Or je sais que tu es un peu maniaque et que tu gardes ton lit fait jusqu’au moment où tu te couches dedans. Ca faisait 2 indices. Je me suis douté que tu devais t’être caché dans une autre pièce quand tu nous as entendus arriver.
- J’étais sous le lit !
- Ahah !
- Mais pourquoi n’avoir rien dit Justine ?


Ma sœur rougit un peu.


- Ok, je vais être franche… Je savais qu’on était venu là avec Thibaut pour passer aux choses sérieuses. Et sincèrement, ça m’excitait de savoir que quelqu'un allait nous écouter !
- Waouh…


Justine a le rouge aux joues. Moi aussi d’ailleurs. Mais j’ai surtout une belle érection ! Je n’essaye même pas de la cacher. Et d’ailleurs, je pense que ma sœur doit avoir les tétons qui pointent au moment où l’on parle, en se remémorant cette scène.


- Voilà, tu sais tout Cyril… J’espère que je ne te déçois pas trop…
- Non t’inquiète ! Tu sais, j’ai pas mal profité depuis ma chambre moi aussi ! Je vais pas te faire un dessin mais c’est ce soir là que je suis devenu un homme, je crois !
- Petit coquin ! dit Justine en me tirant la langue.
- Hey t’es pas mal dans le genre, toi aussi ! Mais dis m’en plus, ça a changé quoi que tu saches que quelqu'un écoutait ?
- Bah c’était un fantasme je suppose… Pour être franche, c’était une des meilleures baises de ma vie ! Même Thibaut m’a fait la remarque le lendemain : j’étais déchaînée ! Tu as dû m’entendre crier comme une folle mais rassure toi, d’habitude je ne suis pas comme ça, je suis plus calme quand même !


Je regarde ma sœur de haut en bas et je ne peux pas m’empêcher de l’imaginer en situation, en train de crier…


- Tu dois me prendre pour une vraie chaudasse à ta raconter tout ça… dit-elle un peu honteuse.
- Non vraiment pas ! Je ne te juge pas, c’est promis ! Et du coup, ça te manque pas trop depuis que tu es célibataire ?
- De quoi ? Le sexe ? Non franchement ça va… Si je voulais, ça serait facile de trouver un plan cul ou quelque chose comme ça. Mais je sais pas trop… En ce moment j’ai plutôt envie d’autre chose, de douceur…
- T’as déjà pensé à le faire avec une autre fille ?
- Mais je suis pas lesbienne !
- Tu sais, j’ai pas mal d’amies qui font ça entre filles quand elles n’ont pas de copain. Rien de mieux qu’une fille pour comprendre ce que veut une fille au lit, il parait.
- Ahah il faudra peut-être que tu me présente à tes amies alors ! dit Justine avec une lueur dans les yeux.
- En fait, il y en a une que tu connais déjà…
- Ah bon ? Qui c’est ?


J’hésite une seconde…


- C’est Claire…

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- Claire qui ? Pas notre cousine, quand même ? demande-t-elle un peu offusquée.
- Bah si…
- Genre, tu veux vraiment que j’aille faire des cochonneries avec elle ??
- Tu l’as pas vu depuis 10 ans… C’est comme une inconnue pour toi de toute façon, non ?
- C’est pas faux…
- C’était juste une idée comme ça… Ne ta fâche pas… En tout cas, si tu lui demandais, elle n’hésiterait pas à t’initier, ça je peux te le garantir…
- T’inquiète, je suis pas fâchée. Juste un peu surprise par la proposition… Dis moi, vous avez du beaucoup vous rapprocher pendant l’été pour que vous parliez de choses comme ça entre vous !
- Oh tu sais, elle en parle assez librement !! Elle a vraiment dû beaucoup changer depuis la dernière fois que tu l’as vue !


Justine ferme les yeux un moment, comme si elle essayait d’imaginer la scène.


- Après tout, pourquoi pas… murmure-t-elle.
- On va passer deux semaines là bas cet été. Tu verras à ce moment là si ça te tente ou pas ! Si ça se trouve, tu auras retrouvé un mec d’ici là de toute façon.
- Je ne pense pas que je vais monter en Bretagne cet été. Il va falloir que j’avance mon mémoire et que je bosse comme une malade pendant les vacances !
- Oh mais c’est tellement dommage ! dis-je avec un air triste.
- Ecoute, si c’est toi qui le demande Cyril, j’essayerai de faire un effort et d’y aller pour 2 ou 3 jours.
- Je préfère ça !
- Bon Cyril, je vais réfléchir à ce que tu m’as dit. Je pensais pas qu’on pourrait avoir une conversation comme celle là un jour mais c’était plutôt agréable ahah !
- Carrément ! J’ai passé un bon moment moi aussi ! On a une bonne complicité je trouve ! dis-je avec un sourire.
- C’est sûr ! Oulà, j’ai un peu chaud, je vais aller prendre une douche pour me rafraichir ! A toute à l’heure !

Justine se lève et quitte la pièce me laissant seul dans sa chambre avec mon érection et nos deux verres vides. Je ramène les verres à la cuisine. L’air de rien, on vient de parler de cul pendant presque une heure. Et on est bien rentré dans les détails… Et surtout, j’ai proposé à Justine de découvrir le sexe entre filles avec… Claire. Je sais pas ce qui m’a pris ! Et en même temps, c’est vrai que c’est une bonne idée… J'avoue que j’aimerais vraiment les voir faire toutes les deux ! Le plus important, c’est que ma sœur ne soupçonne rien pour Claire et moi !


Je suis bien excité et impossible de me calmer ; je n’arrive pas à faire disparaître complètement mon érection. En passant devant la porte de la salle de bain pour rejoindre ma chambre, j’entends le bruit de l’eau qui coule. Et en arrière plan, je crois entendre comme des petits gémissements. Comme je m’en doutais, Justine a été bien excitée par notre conversation. Et elle a pris le prétexte de la chaleur et de la douche froide pour pouvoir se toucher... En entendant ça, je me remets à bander à fond…


- Et voilà que ma sœur prend une douche parce qu’elle a chaud et elle en profite pour se mettre un doigt dans la chatte ! pensé-je.


Je décide de respecter son moment d’intimité. Par contre, j’en peux plus, il va falloir que je me soulage moi aussi. Je retourne à ma chambre, j’allume l’ordi, je retrouve une vidéo porno que j’avais caché dans un dossier il y a quelques années. L’actrice est blonde, bien proportionnée et elle jouit en poussant des gémissements super excitants ! Je me branle rapidement et je jouis dans un mouchoir au bout de quelques minutes. C’est agréable mais mon but c’était surtout de me calmer. Je me rends compte que ça fait super longtemps que je ne m’étais pas branlé… J’ai eu suffisamment d’occasions avec les filles depuis l’été dernier pour ne pas en avoir besoin. Là c’était un peu un retour en arrière, quand j’étais ado et que je le faisais dans ma chambre, comme au bon vieux temps où je n’avais connu aucune fille !
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Le reste du week-end en famille se passe bien. Avec Justine, on n’a pas fait de nouvelles allusions à notre conversation. Je retourne à la fac dès le Lundi suivant. Encore quelques mois de cours avant les vacances. Je me suis remis à parler à Clémence : je crois qu’on s’est définitivement mis l’un et l’autre dans la friend zone ce qui n’est pas plus mal ! Dans la période qui a suivi, j’ai essayé de prendre régulièrement des nouvelles de Claire par téléphone. Elle me donne des nouvelles de Marianne avec qui elle va partir quelques jours en vacances dans le midi, en voiture. Quand à Lily, elle retourne en Nouvelle-Zélande à la fin de l’année, son échange scolaire étant terminé.
Arrivent les partiels. Je suis plutôt occupé par mes révisions mais ça vaut le coup puisque les épreuves me semblent faciles le jour J. Et maintenant, place aux vacances !

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Alors, bonnes vacances, les p'tits loups!

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Souvenez-vous ! Quelques jours avant les résultats du bac, on s’était lancé un défi avec mon ami Margot pour oublier notre stress. La première qui arrive à coucher avec un inconnu à gagné. Il y avait deux règles : l’inconnu en question devait nous plaire physiquement. Et on avait interdiction de le revoir après. Margot est plutôt très mignonne ! Et moi aussi, je vais pas faire la modeste… Du coup, on se doutait qu’on trouverait bien un bel inconnu pour chacune. Le vrai enjeu, c’était de savoir qui réussirait en premier et c’est Margot qui a gagné ! Et moi, je me suis faite larguée dans la foulée par mon mec. Bon, j’avoue qu’il avait peut-être de bonnes raisons de le faire !


Quoi qu’il en soit, nous sommes le lendemain des résultats du bac. Pour ma part, j’ai eu hier la mention Bien, donc tout va… bien. Le soir, en rentrant du boulot, ma mère vient me parler :


- Dis Claire, j’ai parlé avec Nathalie, ma collègue de bureau qui a un fils en Terminale dans ton lycée.
- Ah oui, je vois de qui tu parles… dis-je après une seconde de réflexion. Son fils s’appelle Maxence, c’est bien ça ?
- Exactement ! Le pauvre a raté le bac hier, il va en rattrapages…
- Aïe ! Pas de chance !
- Il aurait besoin d’aide en maths. Comme tu as eu une très bonne note, je me suis dit que tu pourrais peut-être l’aider ? J’ai dit à sa mère que je t’en parlerai !


Je prends un air un peu blazé mais au fond de moi, je suis très contente ! Vous comprendrez pourquoi bientôt. Pour l’instant, je ne veux pas que ma mère croit que ça me fait plaisir de donner des cours de soutien de maths.


- Ouais, je sais pas trop. Ca me saoule un peu… dis-je.
- Réfléchis-y ! C’est l’occasion de faire une bonne action. En plus, ils te payeront un petit salaire !
- Il est en filière ES ce gars, non ? Je suis en filière S donc les maths de ES je devrais pouvoir lui expliquer, après tout…
- Alors c’est d’accord ?
- Ouais ouais, c’est bon. J’ai rien de prévu dans les jours qui viennent alors ça tombe bien.


Ma mère est ravie. Avant de quitter ma chambre, elle me dit qu’elle en parlera demain à sa collègue pour qu’on puisse commencer les cours au plus vite. Maintenant qu’elle est partie, je peux arrêter de jouer les filles blazées. Le Maxence en question, ce n’est pas n’importe qui au lycée ! Je saisis mon téléphone et j’appelle immédiatement Margot!


- Allo ?
- Allo Margot ? Devine avec qui je vais passer les jours qui viennent ?
- Je sais pas ? Tu as trouvé un nouveau mec ?
- Mais non, mais non ! Avec Maxence ! Je vais l’aider à bosser ses rattrapages de maths !
- Attends, quel Maxence ? Le Maxence ??
- Oui !
- Incroyable ! Mais ça veut dire que tu vas être seule avec lui ?
- Oui. Et peut-être même seule avec lui dans sa chambre ahah !
- Tu vas essayer de le choper ? Je te rappelle que notre défi a pris fin hier avec les résultats du bac, hein ! dit-elle pour ma taquiner.
- Bah moi je suis célibataire maintenant alors je n’ai pas besoin d’un défi pour essayer de choper un mec ! Mais tu sais, pas sûre qu’il se laisse séduire !
- Tu as déjà vu un mec te résister ?
- Pas vraiment… Mais lui il pourrait ! Je ne me suis jamais attaqué à un gars qui est aussi courtisé par toutes les nanas.
- Tu me raconteras tout, hein ? Promis ?
- Promis ! Tu auras tous les détails, même les plus croustillants !


A ce stade, vous devez sans doute vous demander qui est ce Maxence que tout le monde a l’air de connaître. Et bien c’est le mec qui fait mouiller toutes les filles du lycée et qui rend jaloux tous les autres mecs par la même occasion. Un genre de super beau-gosse, magnifique, très sportif. Son seul défaut, apparemment, c’est qu’il n’est pas très bon en maths. Je n’ai jamais eu l’occasion de trop l’approcher vu qu’on n’est pas dans la même filière et donc pas dans la même classe. Mais avec mes copines on a passé pas mal de temps à l’observer. Où qu’il aille, il est suivi par tout un aréopage de filles en délire. Quand on se faisait nos petites séances de caresses entre filles avec Margot et qu’on fantasmait sur tel ou tel mec qu’on voudrait avoir avec nous dans le lit, c’est souvent à lui qu’on pensait. Pour tout vous dire, ça m’est déjà arrivé de me doigter en imaginant qu’il me pénétrait, même à l’époque où j’avais un copain…


J’attends donc le lendemain avec impatience pour avoir des nouvelles. Ma mère a reparlé avec celle de Maxence. J’ai rendez-vous chez lui dès demain après-midi et ensuite tous les après-midi jusqu’aux rattrapages. A raison de 2h par jour avec moi, plus du travail personnel, il devrait s’en sortir, le Maxence !

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Jour 1.

Le lendemain, j’avoue que je me pomponne un peu. Je choisis un minishort et un joli débardeur histoire d’être un peu sexy mais pas trop. Il habite une maison pas très loin de chez moi, ma mère m’a donné l’adresse. Je sonne à la porte.


- Salut ! Tu dois être Claire, dit-il en m’ouvrant.
- C’est ça !


On se fait la bise et il m’invite à rentrer. Il me guide jusqu’à sa chambre. J’en profite pour observer sa silhouette musclée, ses épaules larges, ses bras qui ont l’air fort. Il a le visage fin, ses cheveux sont bruns et courts. Sa chambre ressemble à toutes les chambres de mecs que j’ai pu visiter. A ceci près que sur une étagère se trouvent des trophées de compétition de rugby. Ca explique les muscles. Je pose mes affaires sur son lit, tout près d’une guitare classique. Musicien en plus… Est-ce qu’il a des défauts ?


- Il parait qu’on est dans le même lycée… mais je ne me rappelle pas super bien de toi, désolé.
- C’est sûrement parce que tu étais en ES et moi en S, réponds-je en souriant mais en me disant que c’est pas cool pour moi quand même !
- Je suis content que tu aies accepté de me donner ces cours, enchaine-t-il. Sinon ma mère allait engager un prof et je préfère encore que ça soit quelqu'un de mon âge qui m’explique. C’est moins prise de tête !
- C’est quoi qui n’a pas marché le jour du bac ?
- Pff… J’en sais rien soupire-t-il. Ca me saoule tout ça, je m’en fous du bac…
- Tu n’as pas l’air très motivé !
- Nan je t’avoue que le bac m’intéresse pas du tout ! Je préfère largement faire du sport et de la musique !
- Je vais quand même essayer de te motiver ! lui dis-je. Bon, on s’y met ?
- Allez…


On s’installe à son bureau. Il me laisse la chaise et s’installe à côté de moi sur un tabouret. Nos épaules se touchent : le sienne est ferme et musclée… Par contre, niveau maths, c’est un peu la catastrophe. Il ne connait pas bien ses formules, il a du mal à faire la plupart des exercices. Et surtout, il rechigne pas mal, il n’est pas du tout motivé. Je constate quand même qu’il jette de temps en temps de petits regards vers mon décolleté. Il en profite parce que le tabouret et plus haut que la chaise et puis il est plus grand que moi : ça lui fait une jolie vue d’en haut. Au moins je lui fais un peu d’effet. A la fin des 2 heures, je pars de chez lui.


- Ca serait bien que pour demain tu relises un peu ton cours. Et essaye de refaire quelques exercices aussi…


J’ai pas grand espoir qu’il le fasse mais bon… Cela dit, en passant la porte de chez lui, je peux sentir son regard se poser sur mes fesses. Ca reste un mec après tout.

Jour 2 :


- Salut Claire, me dit-il quand j’arrive. Tu es bien jolie aujourd’hui !


Je ne m’attendais pas à un tel accueil de la part de Maxence, surtout qu’i n’ pas été particulièrement aimable hier. Peut-être qu’il veut se faire pardonner ou que je commence à lui faire de l’effet ? Ou alors c’est la petite robe d’été que je porte aujourd’hui qui est vraiment très jolie. Nouvelle surprise quand il me montre les exercices qu’il a refaits hier après mon départ. La séance d’aujourd’hui se passe étonnamment bien. Il galère toujours autant sur les nouveaux exercices mais je sens qu’il a essayé de relire son cours et il râle moins qu’hier.


Régulièrement, je le vois jeter des regards vers la bretelle gauche de ma robe qui a glissé le long de mon bras, laissant mon épaule nue. Je me garde bien de la remettre en place. A la fin d’une série d’exercices, je me relève et je me mets derrière lui pour corriger. Je profite d’être hors de son champs de vision pour faire descendre ma deuxième bretelle le long de mon épaule. Positionnée debout derrière lui, je commence à corriger. J’aurais très bien pu corriger en restant assise à ma place comme hier… mais dans cette position, mes seins viennent appuyer contre son dos. Je le sens se raidir à ce contact et je devine qu’il rougit un peu. J’appuie de plus en plus mes seins contre son dos musclé. Mes tétons ont durci mais je doute qu’il puisse le sentir… Quand je retourne à ma place, je constate qu’en effet il a rougi et son jeans est soulevé par une bosse au niveau de l’entre-jambe. Finalement, c’est un mec comme les autres et je peux sûrement l’avoir en utilisant mes techniques habituelles ! Mes bretelles qui ne maintiennent plus ma robe accentuent mon décolleté. Maxence me dévisage avec des grands yeux :


- Qu’est ce qu’il y a ? demandé-je.
- Ta robe… Fais attention…
- Ah pardon j’avais pas vu ! dis-je en me rhabillant l’air de rien.


La bosse sur son jeans a encore augmenté de volume : mission accomplie. Au moment de nous séparer, à la fin des deux heures, il me fait une bise plus appuyée que les fois précédente.

Jour 3 :

Je sens Maxence un peu agité, aujourd’hui… J’ai préparé une séance d’exercice un peu plus longue que les autres fois, pas sûre qu’on arrive au bout en 2 heures. Il travaille de mieux en mieux cela dit. Il a de moins en moins besoin de mon aide pour les exos et je commence à me dire qu’il va être prêt pour les rattrapages ! Ses coups d’œil vers moi sont de plus en plus fréquents aussi. Je fais semblant de ne pas m’en rendre compte et je lui offre la vue la plus large possible sur mon décolleté. Si ça le motive à mieux travailler, alors c’est mon devoir de lui donner la meilleure vue possible, pas vrai ?


A la fin des 2 heures, malgré un bon rythme de travail, il reste encore 2 exercices à faire.


- On s’arrête là pour aujourd’hui ? demandé-je.


Maxence ne répond pas. Il pose sa main doucement sur mon bras, son regard alterne entre mes yeux et mes lèvres. Soudain, il s’approche de moi et m’embrasse. Je le repousse un peu du bout des doigts.


- Tu es sûr qu’on devrait faire ça ? demandé-je, histoire de lui résister un peu.


Mais sans prendre la peine de me répondre, voilà qu’il m’embrasse à nouveau. Cette fois, je lui rends son baiser fougueusement. Je ressens un mélange de plaisir et de fierté. C’est vrai qu’il est comme tous les mecs : il suffit de lui montrer un bout de décolleté pour l’exciter, mais au moins il sait prendre des initiatives. D’ailleurs, sa main s’est maintenant posée sur mon sein droit et il commence à me peloter la poitrine. Toujours en l’embrassant, je déboutonne son jeans et je glisse ma main sous son caleçon pour en sortir sa bite qui est déjà presque tendue. A première vue, elle a l’air d’une belle taille, je ne suis pas déçue. En sentant ma main sur son sexe, il se fait plus sauvage et je sens qu’il aimerait bien me déshabiller et me faire passer à la casserole tout de suite. Mais je n’ai pas l’intention de me donner à lui comme ça. Je romps le contact physique entre nous.

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- Et si on terminait ces exos de maths ?
- T’es pas sérieuse Claire ??
- On va jouer un peu, dis-je en commençant à faire des va-et-vient avec ma main sur son sexe. Je vais te branler et si tu arrives à terminer les deux exercices avant de jouir, tu auras une surprise !


Maxence a l’air étonné. Je pense être la première nana à lui faire un coup comme ça ! Aussitôt, il se met à travailler malgré le plaisir que je lui donne. Je ne l’avais encore jamais vu comme ça : les exercices sont longs et difficiles et malgré ça, il arrive à enchainer les questions. Comme quoi, il lui suffisait d’avoir la bonne motivation ! J’essaye de calquer mon rythme sur les réactions de son corps. Quand sa bite se met à palpiter trop fort dans ma main, je ralentis le rythme. Arrivé à la fin du premier exo :


- Moins vite s’il-te-plait Claire, sinon c’est sûr que je n’arriverai pas au bout ! gémit-il.


Mais je maintiens mon rythme cette fois. Je sens qu’il est sur le point de tout lâcher et c’est exactement ce que je veux. Il fa falloir qu’il attende encore un peu pour avoir le droit à autre chose que ma main autour de sa bite… Sa bite, justement, a encore augmenté de volume entre mes doigts. Le pauvre Maxence est tout rouge. Il essaye de se retenir autant qu’il peut et il écrit à toute vitesse. Mais je sais qu’il ne finira pas à temps : je m’en charge. Il arrive à l’avant-dernière question du deuxième exercice quand soudain, il lâche son stylo et rejette son corps en arrière.


- J’abandonne ! Ahhh, c’est bon… gémit-il en jouissant.


Plusieurs jets puissants montent de sa bite et retombent en mouillant son ventre et ses feuilles de maths. Maxence essaie de se calmer et de retrouver une respiration normale. Je ne lui en laisse pas le temps.


- A demain ! dis-je en me levant en en récupérant mes affaires.


Et je le laisse planté là.



Jour 4.


J’avoue que j’ai été un peu cruelle. En même temps, c’est comme ça qu’il faut gérer les mecs : en les faisant attendre ! Une chose est sûre, il a du penser à moi toute la nuit ! Il doit attendre avec impatience notre séance du jour. Mais j’ai prévu de le faire patienter encore un peu…


- Salut Claire ! dit-il quand j’arrive chez lui.


Je sens qu’il hésite un peu pour m’embrasser mais il finit par passer à l’action et je lui rends son baiser avec plaisir.


- Pour hier… commence-t-il.


Je l’interromps d’un geste de la main.


- On en parlera plus tard. Pour l’instant, place aux exos de maths !


Il soupire, sûrement très déçu qu’on ne reprenne pas les choses là où on les avait laissées la dernière fois. Cependant, il se met docilement au travail. Les progrès sont vraiment spectaculaires par rapport à notre toute première séance, je trouve. Il enchaine les exercices sans trop de difficulté tant et si bien qu’il arrive à terminer tous les exercices que j’avais prévu pour aujourd’hui avant la fin des deux heures !


- Et ben… lui dis-je. Tu as été particulièrement efficace aujourd’hui !
- C’est que je voulais qu’il nous reste un peu de temps pour faire… autre chose…
- Je ne vois pas de quoi tu parles ! dis-je en lui souriant.


Mais lui ne se dégonfle pas. Il pose chacune de ses mains sur mes seins et commencent à me peloter à travers la robe, comme hier, en me regardant intensément dans les yeux. Je craque complètement !


- Tu seras content d’apprendre que je n’ai pas mis de culotte alors.
- Mmmh… Allonge toi sur le lit Claire s’il te plait !


Il déplace la guitare pour me faire de la place et je m’allonge sur le dos, sur son lit. Après le plaisir que je lui ai donné hier, c’est à lui de me rendre la pareille. Maxence fait remonter ma robe le long de mes cuisses et il peut constater que je n’ai pas menti : je n’ai pas mis de culotte aujourd’hui. Et je commence même à mouiller un peu... Maxence m’écarte un peu les cuisses puis il approche doucement son visage de ma chatte. Je peux sentir son souffle chaud entre mes cuisses. Je devine que son cœur bât la chamade mais il arrive bien à garder le contrôle de ses émotions !


Enfin, il pose sa langue sur ma chatte ce qui me fait pousser un petit gémissement. Je sens tout de suite qu’il a l’habitude de faire ça ! Ses coups de langues sont précis le long de mes lèvres. Il s’attarde sur mon clitoris ce qui me donne des soubresauts de plaisir. Malgré moi, je me mets à gémir :


- Mmmh… Maxence, continue, c’est bon là !!


Mon corps se cabre sous l’effet du plaisir ! Décidemment, je ne peux pas résister !


- Ahhh ! Ahhhhhhh !!


Maxence est encouragé par mes cris. Sa langue virevolte sur ma chatte et me rend folle jusqu’à ce que, enfin, je jouisse ! Mon corps retombe épuisé sur le lit, la respiration haletante.


- Tu as joui, pas vrai Claire ?
- Ahhh ouiii !
- Prépare toi à jouir encore, je vais te prendre comme jamais ! dit-il en baissant son pantalon et en sortant sa bite imposante.


Cependant, je n’entends pas les choses de cette oreille. Je me redresse sur le lit et je remets ma robe en place.


- Pas aujourd’hui Maxence…
- Quoi ?? Mais pourquoi ?
- Après ton bac…
- Mais je comprends pas ? Tu n’as pas envie de moi ?
- Oh que si… Mais pour ça on va attendre. C’était notre dernier cours aujourd’hui.
- Mais les rattrapages sont dans quelques jours ! Qu’est-ce que je vais faire sans toi ??
- Tu vas travailler comme un fou, tu vas avoir ton bac et en récompense, on se retrouvera et là, tu pourras me baiser comme jamais.
- Mais…
- Grace à la motivation que je viens de te donner, je suis sûr que tu vas réussir ! dis-je avec un sourire d’encouragement.Aussitôt, je ramasse mes affaires et je laisse Maxence seul chez lui, avec son pantalon toujours baissé et l’air de ne pas comprendre ce qui vient de se passer.470

[admirateur17]

Avec une telle motivation il doit exploser les notes !

[pinmaritime108]

Hors-série 2 (3/4)


Dans les jours qui suivirent, Maxence n’essaya pas de m’envoyer de sms et je fis de même. J’étais à peu près sûre qu’il travaillait comme un fou, grâce à la récompense que je lui avais promise. Au fond de moi, j’avais très envie qu’il réussisse pour montrer à tous mon talent de prof de maths mais aussi et surtout parce qu’après avoir observé sa bite l’autre jour, j’ai très envie de savoir ce que ça fait de la sentir en moi.


Quand même, la veille de son épreuve, je lui envoie un sms : « Bon courage pour demain, tu me diras comment ça s’est passé. ». Je sais que son épreuve a lieu le lendemain, en début d’après-midi et le jour J, sur le coup des 16h00, je reçois une réponse : « ça s’est bien passé, je crois que j’ai réussi tous les exercices ». S’ensuit une conversation où il propose qu’on se voit, ce que je refuse. Il me demande de l’accompagner le jour des résultats. Ca c’est une bonne idée que j’accepte.


Ainsi, une semaine plus tard, c’est le jour des résultats (les résultats des rattrapages arrivent bien plus vite que les résultats du bac en tant que tel). L’affichage commence à 10h00. Je retrouve Maxence en bas de chez lui : il porte une chemise blanche décontractée et un short. Pour ma part, je porte une petite robe blanche d’été. On prend le bus et on arrive pile à l’heure devant le lycée. Quelques étudiants sont déjà là et regardent leurs résultats. On s’approche du tableau d’affichage, on cherche son nom dans la liste et c’est… validé !! Explosion de joie chez tous les deux et il m’embrasse devant tout le monde ! Maintenant, il faut rentrer dans le bâtiment pour récupérer le diplôme. On fait la queue pendant 2 minutes puis le proviseur remet son diplôme à Maxence.


- Et bien mon petit Maxence, c’était pas gagné. Toutes mes félicitations !
- Ahah merci Monsieur…


Nous nous dirigeons alors vers la sortie lorsque me vient une idée.


- Et si on en profitait pour visiter le lycée ? dis-je.
- Ca sert à quoi ? C’est notre lycée, on le connait, non ?
- Allez, ça sera marrant, ça sera tout vide !


En effet, le lycée est vide de chez vide. Nous marchons épaule contre épaule dans les couloirs sans croiser personne et sans entendre le moindre bruit à part l’écho de nos pas. Ca me donne des idées…


- Il va falloir qu’on s’occupe de ta récompense !
- Ah j’avais oublié cette histoire, dit-il.
- Menteur, je suis sûre que tu n’as pensé qu’à ça, dis-je en rigolant. Au fait, je t’ai dit que je n’avais pas mis de culotte aujourd’hui ?


Aussitôt, je sens la main de Maxence frôler ma cuisse, glisser sous ma robe et commencer à caresser mes fesses. Il a sans soute voulu vérifier mes dires, le coquin. Il est assez entreprenant, ça fait plaisir ! Nous sommes toujours entrain de marcher dans le couloir et Maxence me malaxe les fesses à fond, il se fait bien plaisir ! Moi je commence à mouiller un peu en pensant à la suite, surtout que l’idée qu’on puisse être surpris à tout moment m’excite pas mal ! Maxence déplace sa main et parvient à glisser un doigt entre mes lèvres trempées. Je pousse un petit gémissement et je m’arrête net. Il se place face à moi et me regarde dans les yeux alors que sa main est toujours sous ma robe et m’embrasse.


Je deviens folle. Je n’ai plus qu’une envie, c’est de sentir sa bite en moi au plus vite. Et je crois qu’il pense à la même chose !


- Viens ! dit-il en me prenant la main et en pressant le pas.


Je le suis tant bien que mal tandis qu’un peu de mouille coule le long de mes cuisses. Nous arrivons à l’entré d’une salle de cours. Il appuie sur la poignée et la porte s’ouvre. Nous rentrons et il prend soin de tirer le verrou derrière nous.


- C’était ma salle de maths, explique-t-il.


Il commence à déboutonner sa chemise. Au même moment, je me mets à genoux devant lui et je baisse son short pour libérer sa bite qui a bien gonflé mais qui est loin d’avoir atteint sa taille maximale. Je la branle quelques secondes entre mes mains puis je la prends en bouche. Maxence pousse un soupir de plaisir. Je commence à m’activer. Il m’a montré l’autre jour qu’il était très habile avec sa langue : à moi de lui montrer que je suis très douée aussi ! Je sens son sexe qui durcit dans ma bouche. Ma langue virevolte autour de son gland tout gonflé de plaisir. Maxence pose ses mains sur ma tête et accompagne mes mouvements pour m’encourage à aller plus profondément. Il a du mal à retenir des gémissements de plaisir ce qui me pousse à m’appliquer tout particulièrement. Mais je n’ai pas envie de pousser trop loin les choses : je veux que sa bite reste bien gonflée et dure et qu’il garde tous ses moyens pour le moment où il va me pénétrer. En même temps, c’est sa récompense donc si il veut jouir dans ma bouche, je le laisserai faire, c’est à lui de gérer !


Justement, Maxence me dit :


- Relève-toi Claire maintenant. Tu crois que ta chatte est prête ou bien tu as encore besoin d’un peu de préparation ?
- Mmmh ça va aller, je suis trempée !
- Ok, viens là alors !


De manière assez autoritaire, il me tire jusqu’à un bureau de la salle de classe.


- C’était mon bureau celui là, explique-t-il.


Et aussitôt, sans que j’aie le temps de comprendre ce qu’il se passe, il me penche en avant. Je me retrouve le buste en appui contre le bureau. Il remonte ma robe pour découvrir mes fesses. Je sens ses mains se poser fermement sur mon dos et soudain, d’un coup sec, il rentre sa bite en moi ! Je pousse un cri de surprise et de plaisir. C’est indéniablement une des plus grosses qui soient rentrées dans ma chatte ! Mon vagin est stimulé à fond par chacun de ses coups de rein. Je m’agrippe de part et d’autre du bureau avec mes mains et je cambre bien mes fesses pour lui faciliter le travail.


J’aime sa façon de me prendre, un peu sauvage. On sent tout de suite qu’il a de la force et de l’endurance. Sans même m’en rendre compte, j’ai commencé à gémir de plaisir.


- T’as l’air d’aimer ça, pas vrai Claire ? dit-il en me pénétrant de plus belle !
- Oooh ouiii ! C’est bon !
- T’es une belle salope !
- Mmmhh je suis ta salope, baise moi bien !! 473

[Arnoc1972]

Merci ca valait le coup d'attendre,  en espérant la suite rapidement ?

[admirateur17]

avec des récompenses comme ça, je vais m'inscrire à plein d'examens...  ;D