Les lecteurs qui me suivent depuis longtemps savent qu’un de mes fantasmes est la visite médicale. Je m’imagine, à tort peut-être, que cela peut déranger. Je vous avertis donc que ce récit est basé sur une telle visite, mais j’ai essayé, comme souvent, d'y mettre de l’humour.
Je précise également que les personnages ont 18 ans ou plus et qu’ils étaient libres de refuser. On n’est jamais trop prudent de nos jours.
Une dernière information, contrairement à mon habitude, il y aura des personnages hétérosexuels, dont un frère et une sœur. Vous êtes prévenus, depuis ici vous lisez à vos risques et périls.
— Dis-moi, vous avez déjà eu cette visite chez l’urologue dans ta classe ? demanda Yves.
— Oui, la semaine dernière, répondit Joël.
— Tu me racontes ?
— Tu es curieux.
— Seulement si tu veux.
— Je plaisantais, je vais te raconter. Nous étions quatre à avoir rendez-vous à 9 heures : Armand, Pierre et André et moi. C’est à l’hôpital universitaire, au département d’urologie, dans un vieux bâtiment. Je suis allé directement depuis chez moi en bus et je me suis annoncé à la réception, elle m’a dit d’aller au deuxième étage et m’a demandé de ne pas passer aux toilettes avant.
— Pourquoi, y avait-il une analyse d’urine prévue ?
— Je vais y venir. J’ai retrouvé les trois autres gars de ma classe. Nous avons attendu quelques minutes dans une salle d’attente. Une infirmière est venue nous chercher après avoir contrôlé nos noms sur une liste. Elle nous a conduits dans une salle avec une table d’examen au milieu, puis nous a expliqué que ce seraient des étudiants qui feraient l’examen, sous la supervision d’un professeur. Nous avons dû enlever nos chemises et pantalons et les poser sur des chaises.
— Pas le slip ? demanda Yves en riant.
— Attends, ne sois pas impatient. Nous étions donc en débardeur et slip, tout le monde avait mis des blancs. Nous avions laissé les chaussettes. Nous nous sommes rassis quelques instants, l’infirmière nous a recommandé de nous lever quand les médecins entreraient, ce qui n’a pas tardé. Le professeur nous a salués et s’est présenté, j’ai oublié son nom. L’infirmière lui a tendu des feuilles avec nos dossiers. Il les a lus rapidement avant de les donner aux deux étudiants, un homme et une femme. Il leur a expliqué qu’il allait d’abord contrôler si nous pissions correctement. L’infirmière a demandé son nom à mon voisin de droite, Armand, et lui a dit de baisser son slip jusqu’aux genoux mais de ne pas l’enlever, il fallait toujours le remettre pour s’asseoir, question d’hygiène.
— Normal, tu peux avoir le cul sale, heureusement le médecin ne le contrôle pas.
— En es-tu sûr ? Bon, je continue. L’infirmière est arrivée avec un récipient gradué. Armand est circoncis et je pensais que cela ne posait pas de problème.
— Moi aussi je suis circoncis !
— Tu ne me l’avais jamais dit
— Tu ne me l’avais jamais demandé. Continue.
— Il a pissé et je le regardais, pas trop discrètement, mais on ne m’a pas fait de remarques. Il avait deux jets. Le médecin a dit à l’étudiant de noter et de regarder plus tard. Armand a remonté son slip. C’était à mon tour, j’ai baissé mon slip. J’étais impressionné de pisser devant d’autres personnes. J’ai demandé si je devais décalotter, ma mère m’a dit de toujours le faire car j’ai un long prépuce. Le professeur a répondu que ce n’était pas nécessaire, c’était pour voir si l’ouverture est assez large.
— Et tu as pu pisser ?
— Oui, j’avais besoin. Je te conseille de boire un verre d’eau avant. J’ai bien secoué la dernière goutte, c’est aussi ma mère qui me le conseille. Elle dit que le slip reste propre.
— Tu en avais mis un propre ?
— Bien sûr, c’est mentionné sur la convocation. Ensuite ce sont Pierre et André qui ont pissé.
— Tu t’étais branlé le matin ? Je le ferai car j’ai peur de bander.
— Non, je l’avais fait le soir avant. Mais n’anticipons pas. Je pensais que c’était Armand qui passerait le premier, mais non, le professeur a demandé à l’étudiante quel nom elle avait sur un de ses dossiers, et elle m’a appelé.
Joël continua son récit :
— L’infirmière m’a dit d’enlever mon slip, le professeur a ajouté que je pourrais aussi enlever mes chaussettes, ce serait plus hygiénique, ainsi que mon débardeur s’il devait examiner les reins. Bref, j’étais à poil. Tu imagines la honte.
— Pourquoi ? À l’école tu te douches aussi à poil, tes potes ont déjà vu ta queue.
— Il n’y a pas de filles dans le vestiaire, là il y avait l’infirmière, et ce n’était pas une vieille fille revêche comme celle qui nous tâte les couilles au lycée, elle était jeune et belle, et puis il y avait l’étudiante.
— Tu ne t’es jamais déshabillé devant une jeune fille ?
— Non, je suis puceau. J’ai dû aller vers la table. Elle était spéciale, courte, et on devait mettre ses jambes écartées sur des supports.
— Comme chez le gynéco pour les femmes ! dit Yves en riant. Ça s’appelle des étriers. Tu devais avoir encore plus la honte.
— Comment tu sais pour le gynéco ?
— Ma sœur a dû y aller, elle voulait prendre la pilule pour baiser avec son copain. Je lui ai demandé comment ça se passait.
— Elle t’a raconté ?
— Pas tout de suite, elle m’a d’abord traité de petit cochon. Ensuite on a passé un marché. Le gynéco a une chaise spéciale où elle a dû s’installer, les jambes écartées. Il lui a enfoncé un truc pour regarder dans son vagin.
— Elle était à poil ?
— Oui, il lui a aussi palpé les nichons.
— Et c’était quoi le marché ?
— J’ai dû lui montrer ma queue, elle voulait voir si elle est plus grosse que celle de son ami.
— C’est aussi une petite cochonne !
— Elle a été déçue, la mienne est plus grosse.
— Au repos ou bandée ?
— Les deux, paraît-il. Bon, on parlera de ma queue une autre fois, continue.
— Encore une question, elle t’a montré sa foufoune ?
— Non, cela ne faisait pas partie du marché.
— Je me suis donc couché sur la table. La tête était surélevée, je voyais tout ce qui se passait. L’infirmière est intervenue, elle a rappelé au professeur qu’elle devait prendre la température à cause de l’épidémie de grippe. « Foutaises. » a-t-il dit « Ce jeune homme n’est pas malade, s’il avait eu de la fièvre il serait resté à la maison pour éviter cet examen. Mais le règlement est le règlement, allez-y. » L’infirmière a trempé le bout du thermomètre dans un pot de vaseline et me l’a enfoncé dans le cul, assez profondément.
— Vous ne prenez pas la fièvre comme ça à la maison ?
— Quand j’étais un bébé, je la prends sous l’aisselle à présent.
— Chez moi on a gardé l’habitude de le mettre dans le derrière.
— Ce n’est quand même pas ta mère qui te le met ainsi à ton âge ?
— Ta question est un peu indiscrète. Continue.
— Le professeur a dit qu’il n’allait pas attendre pour commencer l’examen. Il a donc prié l’étudiante de me décalotter. Elle avait l’air empruntée. Elle ne savait pas s’y prendre, alors que mon prépuce coulisse sans problème. Le professeur lui a dit : « Ne soyez pas si prudente, Mademoiselle, imaginez que c’est celui de votre ami. » Elle a finalement réussi, le professeur lui a dit de répéter le geste plusieurs fois et d’aller le plus loin possible. Elle a aussi du écarter le méat. J’ai fini par bander.
— Encore la honte, tu as eu droit à la totale !
— Ne ris pas, tu vas aussi y passer. L’étudiante a rougi et a dit : « Monsieur le Professeur, il me semble que le patient a une érection ». Il a répondu : « Et alors ? Il vous faudra choisir une autre spécialité que l’urologie si ça vous dérange. Mais, rassurez-vous, d’habitude ce sont les hommes qui ne bandent plus qui viennent consulter. » L’infirmière et l’autre étudiant ont ri, d’ailleurs ils le faisaient à toutes les plaisanteries du professeur, même aux plus mauvaises.
— Et ensuite ?
— Elle m’a tâté mon pénis dressé sur toute sa longueur.
— Il est long ?
— Tu es aussi curieux que ta frangine. Je ne l’ai jamais comparé avec d’autres. Le professeur a expliqué comment voir si j’avais une hernie, elle a dû s’y reprendre à trois fois pour trouver les trous où elle devait mettre les doigts. Ensuite elle m’a palpé les couilles. Elle était trop vigoureuse, j’ai eu mal et ça m’a heureusement fait débander. Le professeur a dit que les testicules sont fragiles, qu’il ne faut pas exagérer, et qu’elle devrait un peu s’entraîner sur ceux de son copain. Les autres ont de nouveau ri, pas elle, ni moi.
— Elle ne doit pas avoir de copain.
— Je ne lui ai pas demandé. Elle m’a donc tâté les couilles pendant une éternité et le professeur a fait la même chose. Il m’a conseillé de le faire aussi une fois par mois. Il a ensuite appelé l’infirmière et lui a dit d’enlever le thermomètre pour libérer la voie.
— Ils voulaient te regarder dans le trou de balle ? Pourquoi ?
— J’ai soif, on va se chercher une limonade au frigo ?
Je précise également que les personnages ont 18 ans ou plus et qu’ils étaient libres de refuser. On n’est jamais trop prudent de nos jours.
Une dernière information, contrairement à mon habitude, il y aura des personnages hétérosexuels, dont un frère et une sœur. Vous êtes prévenus, depuis ici vous lisez à vos risques et périls.
— Dis-moi, vous avez déjà eu cette visite chez l’urologue dans ta classe ? demanda Yves.
— Oui, la semaine dernière, répondit Joël.
— Tu me racontes ?
— Tu es curieux.
— Seulement si tu veux.
— Je plaisantais, je vais te raconter. Nous étions quatre à avoir rendez-vous à 9 heures : Armand, Pierre et André et moi. C’est à l’hôpital universitaire, au département d’urologie, dans un vieux bâtiment. Je suis allé directement depuis chez moi en bus et je me suis annoncé à la réception, elle m’a dit d’aller au deuxième étage et m’a demandé de ne pas passer aux toilettes avant.
— Pourquoi, y avait-il une analyse d’urine prévue ?
— Je vais y venir. J’ai retrouvé les trois autres gars de ma classe. Nous avons attendu quelques minutes dans une salle d’attente. Une infirmière est venue nous chercher après avoir contrôlé nos noms sur une liste. Elle nous a conduits dans une salle avec une table d’examen au milieu, puis nous a expliqué que ce seraient des étudiants qui feraient l’examen, sous la supervision d’un professeur. Nous avons dû enlever nos chemises et pantalons et les poser sur des chaises.
— Pas le slip ? demanda Yves en riant.
— Attends, ne sois pas impatient. Nous étions donc en débardeur et slip, tout le monde avait mis des blancs. Nous avions laissé les chaussettes. Nous nous sommes rassis quelques instants, l’infirmière nous a recommandé de nous lever quand les médecins entreraient, ce qui n’a pas tardé. Le professeur nous a salués et s’est présenté, j’ai oublié son nom. L’infirmière lui a tendu des feuilles avec nos dossiers. Il les a lus rapidement avant de les donner aux deux étudiants, un homme et une femme. Il leur a expliqué qu’il allait d’abord contrôler si nous pissions correctement. L’infirmière a demandé son nom à mon voisin de droite, Armand, et lui a dit de baisser son slip jusqu’aux genoux mais de ne pas l’enlever, il fallait toujours le remettre pour s’asseoir, question d’hygiène.
— Normal, tu peux avoir le cul sale, heureusement le médecin ne le contrôle pas.
— En es-tu sûr ? Bon, je continue. L’infirmière est arrivée avec un récipient gradué. Armand est circoncis et je pensais que cela ne posait pas de problème.
— Moi aussi je suis circoncis !
— Tu ne me l’avais jamais dit
— Tu ne me l’avais jamais demandé. Continue.
— Il a pissé et je le regardais, pas trop discrètement, mais on ne m’a pas fait de remarques. Il avait deux jets. Le médecin a dit à l’étudiant de noter et de regarder plus tard. Armand a remonté son slip. C’était à mon tour, j’ai baissé mon slip. J’étais impressionné de pisser devant d’autres personnes. J’ai demandé si je devais décalotter, ma mère m’a dit de toujours le faire car j’ai un long prépuce. Le professeur a répondu que ce n’était pas nécessaire, c’était pour voir si l’ouverture est assez large.
— Et tu as pu pisser ?
— Oui, j’avais besoin. Je te conseille de boire un verre d’eau avant. J’ai bien secoué la dernière goutte, c’est aussi ma mère qui me le conseille. Elle dit que le slip reste propre.
— Tu en avais mis un propre ?
— Bien sûr, c’est mentionné sur la convocation. Ensuite ce sont Pierre et André qui ont pissé.
— Tu t’étais branlé le matin ? Je le ferai car j’ai peur de bander.
— Non, je l’avais fait le soir avant. Mais n’anticipons pas. Je pensais que c’était Armand qui passerait le premier, mais non, le professeur a demandé à l’étudiante quel nom elle avait sur un de ses dossiers, et elle m’a appelé.
Joël continua son récit :
— L’infirmière m’a dit d’enlever mon slip, le professeur a ajouté que je pourrais aussi enlever mes chaussettes, ce serait plus hygiénique, ainsi que mon débardeur s’il devait examiner les reins. Bref, j’étais à poil. Tu imagines la honte.
— Pourquoi ? À l’école tu te douches aussi à poil, tes potes ont déjà vu ta queue.
— Il n’y a pas de filles dans le vestiaire, là il y avait l’infirmière, et ce n’était pas une vieille fille revêche comme celle qui nous tâte les couilles au lycée, elle était jeune et belle, et puis il y avait l’étudiante.
— Tu ne t’es jamais déshabillé devant une jeune fille ?
— Non, je suis puceau. J’ai dû aller vers la table. Elle était spéciale, courte, et on devait mettre ses jambes écartées sur des supports.
— Comme chez le gynéco pour les femmes ! dit Yves en riant. Ça s’appelle des étriers. Tu devais avoir encore plus la honte.
— Comment tu sais pour le gynéco ?
— Ma sœur a dû y aller, elle voulait prendre la pilule pour baiser avec son copain. Je lui ai demandé comment ça se passait.
— Elle t’a raconté ?
— Pas tout de suite, elle m’a d’abord traité de petit cochon. Ensuite on a passé un marché. Le gynéco a une chaise spéciale où elle a dû s’installer, les jambes écartées. Il lui a enfoncé un truc pour regarder dans son vagin.
— Elle était à poil ?
— Oui, il lui a aussi palpé les nichons.
— Et c’était quoi le marché ?
— J’ai dû lui montrer ma queue, elle voulait voir si elle est plus grosse que celle de son ami.
— C’est aussi une petite cochonne !
— Elle a été déçue, la mienne est plus grosse.
— Au repos ou bandée ?
— Les deux, paraît-il. Bon, on parlera de ma queue une autre fois, continue.
— Encore une question, elle t’a montré sa foufoune ?
— Non, cela ne faisait pas partie du marché.
— Je me suis donc couché sur la table. La tête était surélevée, je voyais tout ce qui se passait. L’infirmière est intervenue, elle a rappelé au professeur qu’elle devait prendre la température à cause de l’épidémie de grippe. « Foutaises. » a-t-il dit « Ce jeune homme n’est pas malade, s’il avait eu de la fièvre il serait resté à la maison pour éviter cet examen. Mais le règlement est le règlement, allez-y. » L’infirmière a trempé le bout du thermomètre dans un pot de vaseline et me l’a enfoncé dans le cul, assez profondément.
— Vous ne prenez pas la fièvre comme ça à la maison ?
— Quand j’étais un bébé, je la prends sous l’aisselle à présent.
— Chez moi on a gardé l’habitude de le mettre dans le derrière.
— Ce n’est quand même pas ta mère qui te le met ainsi à ton âge ?
— Ta question est un peu indiscrète. Continue.
— Le professeur a dit qu’il n’allait pas attendre pour commencer l’examen. Il a donc prié l’étudiante de me décalotter. Elle avait l’air empruntée. Elle ne savait pas s’y prendre, alors que mon prépuce coulisse sans problème. Le professeur lui a dit : « Ne soyez pas si prudente, Mademoiselle, imaginez que c’est celui de votre ami. » Elle a finalement réussi, le professeur lui a dit de répéter le geste plusieurs fois et d’aller le plus loin possible. Elle a aussi du écarter le méat. J’ai fini par bander.
— Encore la honte, tu as eu droit à la totale !
— Ne ris pas, tu vas aussi y passer. L’étudiante a rougi et a dit : « Monsieur le Professeur, il me semble que le patient a une érection ». Il a répondu : « Et alors ? Il vous faudra choisir une autre spécialité que l’urologie si ça vous dérange. Mais, rassurez-vous, d’habitude ce sont les hommes qui ne bandent plus qui viennent consulter. » L’infirmière et l’autre étudiant ont ri, d’ailleurs ils le faisaient à toutes les plaisanteries du professeur, même aux plus mauvaises.
— Et ensuite ?
— Elle m’a tâté mon pénis dressé sur toute sa longueur.
— Il est long ?
— Tu es aussi curieux que ta frangine. Je ne l’ai jamais comparé avec d’autres. Le professeur a expliqué comment voir si j’avais une hernie, elle a dû s’y reprendre à trois fois pour trouver les trous où elle devait mettre les doigts. Ensuite elle m’a palpé les couilles. Elle était trop vigoureuse, j’ai eu mal et ça m’a heureusement fait débander. Le professeur a dit que les testicules sont fragiles, qu’il ne faut pas exagérer, et qu’elle devrait un peu s’entraîner sur ceux de son copain. Les autres ont de nouveau ri, pas elle, ni moi.
— Elle ne doit pas avoir de copain.
— Je ne lui ai pas demandé. Elle m’a donc tâté les couilles pendant une éternité et le professeur a fait la même chose. Il m’a conseillé de le faire aussi une fois par mois. Il a ensuite appelé l’infirmière et lui a dit d’enlever le thermomètre pour libérer la voie.
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