15-01-2021, 05:44 PM
Mais Pauline voulait rendre son orgasme à la belle Marina, et plus encore. Elle libéra donc une de ses mains pour la glisser vers le sexe trempé. Sans attendre, mais avec une douceur et une tendresse d’amante, elle glissa doucement deux doigts entre les lèvres de Marina. Elle voulait faire monter le plaisir intense tout doucement. Elle faisait de petits va-et-vient à l’entrée du vagin, sensuels, au rythme des caresses lentes de sa langue autour du clitoris. Puis, à chaque mouvement, elle s’enfonça de plus en plus en Marina, faisant augmenter chaque fois les gémissements de celle-ci. Les reins de Marina se crispaient chaque fois que ses doigts entraient plus avant.
Pendant ses caresses, Pauline couvrait de baisers l’intérieur des cuisses de la jeune fille, passant de son aine à son pubis puis son clitoris. Marina ronronnait sous ces caresses.
Puis Pauline augmenta le rythme de sa masturbation, pénétrant toujours plus de ses doigts. Le souffle de Marina s’accéléra. On pouvait deviner qu’elle essayait de retenir de petits cris de plaisir. Pourtant, Pauline ne la ménageait pas et renforçait ses mouvements, faisant monter toujours plus le plaisir. Les hanches de la jeune fille se crispaient sous le plaisir qui montait encore et encore. La langue de Pauline revint sur son clitoris et le titilla avec délice.
Après ces quelques minutes de traitement toujours plus intensif, Pauline savait que sa partenaire était proche de l’orgasme. Tout en continuant à la masturber de ses deux doigts, elle laissa glisser son annulaire entre ses fesses au même rythme que ses doigts. Tout le jus de Marina était venu lubrifier son petit orifice et le doigt de Pauline n’eut aucun mal entamer une nouvelle caresse. Ne sachant pas si sa partenaire était gênée par ce contact, elle n’essaya pas de pénétrer son anus mais continuait de le masser tendrement au même rythme que sa masturbation.
L’effet fut immédiat et déclencha une nouvelle intensité de cris chez Marina qui étaient à peine contenus par le coussin. Pauline continua avec délice et poussa le plaisir de la jeune fille toujours plus loin. Elle adorait être entre ses cuisses et lui donner tout ce plaisir, la goûter, la sentir se contracter autour de ses doigts.
-"Tu es magnifique" lui susurra-t-elle en relâchant quelques secondes son clitoris.
Marina sembla répondre en relâchant encore davantage ses cuisses, s’abandonnant à la pénétration de Pauline. Elle avait commencé à jouir. Pauline pouvait le sentir à la contraction de son minou sur elle. Marina jouissait par à-coups, rendu presque muette par le plaisir intense. Alors Pauline renforça sa poigne. Les hanches de Marina se cambrèrent encore et soulevèrent son dos. Un long cri transperça le coussin. La scène était torride. Les doigts de Pauline allaient et venaient dans le ventre de Marina pendant que sa langue lapait son clitoris gonflé. Puis, le corps de Marina était retombé dans les draps avant de subir un 2e orgasme qui la cambra à nouveau. Ses cris de jouissance encourageaient Pauline qui transmettait tout son désir dans ses caresses.
Puis Pauline avait progressivement relâchée son étreinte sur Marina, la laissant redescendre doucement. Elle s’était redressée entre les cuisses de sa partenaire et l’admirait, essoufflée, ses longs cheveux bruns collés sur ses épaules en nage, vaincue par le plaisir mais le regard amoureux. Pauline vînt s’allonger le long de son corps et l’étreindre tendrement. Leurs souffles se mêlèrent, leurs frissons de plaisir se répondirent.
-"C’était génial…tellement différent. " finit par dire Marina.
-"Oui. J’ai adoré le faire avec toi. Tu as été…parfaite" ajouta Pauline avec un bisou sur la joue de Marina.
-"Et toi alors ?!" rétorqua Marina avec un baiser timide sur les lèvres de Pauline. "C’était une super expérience, si… sensuelle. Tu étais si érotique. "
-"Je suis contente d’avoir découvert ça avec toi. Tu seras peut-être la seule femme de ma vie. " confessa Pauline.
-"Peut-être. Peut-être qu’il y aura d’autres fois…" ajouta Marina avec un clin d’œil.
Pauline lui répondit avec un même sourire joueur puis elles s’enlacèrent à nouveau tendrement. Les garçons autour n’existaient plus. Ils n’avaient pas osé réagir à la fin de leur câlin, épiant seulement si leurs cris avaient éveillé quelqu’un dans la maison. Mais tous dormaient encore semblait-il.
Au bout d’une vingtaine de minutes, Marina sortit de son état somnolent et quitta l’étreinte de Pauline. Elles savaient que l’expérience prendrait fin et il était temps qu’elles retrouvent leurs lits et leurs amours. Pauline regarda Marina se rhabiller avec tendresse. Une fois fait, elle se pencha sur Pauline et déposa un dernier baiser sur les lèvres de son amante d’un soir avant de quitter la chambre avec Franck.
Quand Tom rejoint Pauline dans le lit, il n’y eut pas de mot échangé. Il la laissa sur son petit nuage de sensations, la devinant encore sensible au toucher. Il vint derrière elle, l’enlaça tendrement et ils s’endormirent ensemble.
Quelques jours plus tard, les vacances se terminaient et, avec elles, un séjour qui avait été très intense pour Pauline et Tom. Ils ne pouvaient repenser à tout ce qui s’était passé entre eux et autour d’eux dans cette maison de campagne sans rougir et avoir le corps parcouru d’un frisson. Les sourires étaient complices quand les cousins et leurs amis leur dirent au revoir et Pauline et Tom se sentaient encore plus unis que lorsqu’ils étaient arrivés. Chacun d’eux avait exploré sa sexualité plus profondément et découvert que le désir et le plaisir pouvaient les faire aller plutôt loin. Ils avaient aussi réaffirmé leur amour l’un pour l’autre, leur confiance et leur complicité.Une relation qui se continue…
Même si le retour à la maison avait été un peu déprimant, Pauline et Tom n’en avaient pas terminé avec leur désir. Et puis, le fait que leur secret ait été découvert, qu’il y ait eu un risque d’être dénoncés avaient poussé les deux frère et sœur à assumer davantage leur relation, à la revendiquer si nécessaire. Ce sentiment les avait encore rapprochés. Toutefois, il devenait du coup beaucoup plus dur de devoir se cacher, de ne pas vivre leur amour aux yeux de tous. Cette situation était en partie compensée par le fait qu’ils vivaient sous le même toit et qu’ils pouvaient profiter de beaucoup de moments ensemble, volés ou non.
Il était maintenant rare que Tom ou Pauline ne rejoigne pas l’autre dans sa chambre une fois toutes les lumières éteintes, que la porte de la salle de bain ne reste pas entrouverte le temps d’échanger un baiser contre le corps nu de l’autre avant de filer. Chaque jour ils se sentaient plus habiles à tromper leurs parents, à déguiser leurs communications par des signes connus d’eux seuls. Paradoxalement, cette complicité accrue pouvait parfois atteindre un paroxysme durant lequel ils prenaient plus de risque pour être l’un avec l’autre, l’un contre l’autre.
Tom attaquait sa 2e année en école d’architecture et Pauline sa 1e année de fac en Langues Etrangères Appliquées. Heureusement leurs cours, leurs devoirs et leur sérieux dans les études les ramenaient à un niveau plus pragmatique. Cela ne les empêchait pas parfois de rêver à prendre un appartement d’étudiants ensemble pour quitter la maison et vivre leur couple plus loin de la maison. « Bientôt » semblait être un peu qui flottait entre eux. La peur de quitter le nid s’opposait encore à l’envie de vivre le monde en adulte. Mais chaque jour, leur amour caché faisait pencher la balance. Il y avait aussi quelque chose qu’ils redoutaient et dont ils parlaient parfois. Vivre ensemble mais devoir cacher leur relation, leur amour aurait un arrière-goût amer. Dans un coin de leur tête, ils sentaient le poids d’un choix dont il fallait se préparer à assumer le coût.
A côté de ces réflexions, la vie quotidienne avait pris un bon rythme et leur relation s’était faite plus amoureuse que sexuelle, plus tendre qu’érotique. Pourtant, une explosion de leur désir lors d’une soirée à la maison avec leurs amis leur avait rappelé combien ils n’étaient rien l’un sans l’autre. Cette soirée avait été l’exemple de l’enivrement qu’ils pouvaient ressentir en laissant leur corps et leur esprit brûler de désir pour l’autre.
La soirée avait commencé comme beaucoup d’autres, leurs amis se réunissant chez eux un soir où leurs parents leur avaient laissé la maison pour passer du temps entre eux. Ils en avaient profité pour fêter l’anniversaire de Stéphanie, une amie de Pauline. Une bonne assemblée avait été regroupée, avec presque une quinzaine de personnes chez eux. Tom portait un jean délavé avec une chemise blanche cintrée, quelques boutons relâchés pour être décontracté. Pauline avait choisi une robe bleue marine rayée de blanc qui lui soutenait joliment la poitrine et ondulait sur ses cuisses jusqu’au-dessus du genou.
La tension était déjà montée d’un cran juste avant que les invités n’arrivent. Tom, en voyant Pauline sortir de sa chambre n’avait pu retenir un regard éloquent et un compliment sur la tenue de sa sœur. Elle avait rougi d’amour et était venue se serrer contre lui. De ses doigts qui se promenaient sur le torse de son frère, elle déboutonna un bouton de plus.
Pendant ses caresses, Pauline couvrait de baisers l’intérieur des cuisses de la jeune fille, passant de son aine à son pubis puis son clitoris. Marina ronronnait sous ces caresses.
Puis Pauline augmenta le rythme de sa masturbation, pénétrant toujours plus de ses doigts. Le souffle de Marina s’accéléra. On pouvait deviner qu’elle essayait de retenir de petits cris de plaisir. Pourtant, Pauline ne la ménageait pas et renforçait ses mouvements, faisant monter toujours plus le plaisir. Les hanches de la jeune fille se crispaient sous le plaisir qui montait encore et encore. La langue de Pauline revint sur son clitoris et le titilla avec délice.
Après ces quelques minutes de traitement toujours plus intensif, Pauline savait que sa partenaire était proche de l’orgasme. Tout en continuant à la masturber de ses deux doigts, elle laissa glisser son annulaire entre ses fesses au même rythme que ses doigts. Tout le jus de Marina était venu lubrifier son petit orifice et le doigt de Pauline n’eut aucun mal entamer une nouvelle caresse. Ne sachant pas si sa partenaire était gênée par ce contact, elle n’essaya pas de pénétrer son anus mais continuait de le masser tendrement au même rythme que sa masturbation.
L’effet fut immédiat et déclencha une nouvelle intensité de cris chez Marina qui étaient à peine contenus par le coussin. Pauline continua avec délice et poussa le plaisir de la jeune fille toujours plus loin. Elle adorait être entre ses cuisses et lui donner tout ce plaisir, la goûter, la sentir se contracter autour de ses doigts.
-"Tu es magnifique" lui susurra-t-elle en relâchant quelques secondes son clitoris.
Marina sembla répondre en relâchant encore davantage ses cuisses, s’abandonnant à la pénétration de Pauline. Elle avait commencé à jouir. Pauline pouvait le sentir à la contraction de son minou sur elle. Marina jouissait par à-coups, rendu presque muette par le plaisir intense. Alors Pauline renforça sa poigne. Les hanches de Marina se cambrèrent encore et soulevèrent son dos. Un long cri transperça le coussin. La scène était torride. Les doigts de Pauline allaient et venaient dans le ventre de Marina pendant que sa langue lapait son clitoris gonflé. Puis, le corps de Marina était retombé dans les draps avant de subir un 2e orgasme qui la cambra à nouveau. Ses cris de jouissance encourageaient Pauline qui transmettait tout son désir dans ses caresses.
Puis Pauline avait progressivement relâchée son étreinte sur Marina, la laissant redescendre doucement. Elle s’était redressée entre les cuisses de sa partenaire et l’admirait, essoufflée, ses longs cheveux bruns collés sur ses épaules en nage, vaincue par le plaisir mais le regard amoureux. Pauline vînt s’allonger le long de son corps et l’étreindre tendrement. Leurs souffles se mêlèrent, leurs frissons de plaisir se répondirent.
-"C’était génial…tellement différent. " finit par dire Marina.
-"Oui. J’ai adoré le faire avec toi. Tu as été…parfaite" ajouta Pauline avec un bisou sur la joue de Marina.
-"Et toi alors ?!" rétorqua Marina avec un baiser timide sur les lèvres de Pauline. "C’était une super expérience, si… sensuelle. Tu étais si érotique. "
-"Je suis contente d’avoir découvert ça avec toi. Tu seras peut-être la seule femme de ma vie. " confessa Pauline.
-"Peut-être. Peut-être qu’il y aura d’autres fois…" ajouta Marina avec un clin d’œil.
Pauline lui répondit avec un même sourire joueur puis elles s’enlacèrent à nouveau tendrement. Les garçons autour n’existaient plus. Ils n’avaient pas osé réagir à la fin de leur câlin, épiant seulement si leurs cris avaient éveillé quelqu’un dans la maison. Mais tous dormaient encore semblait-il.
Au bout d’une vingtaine de minutes, Marina sortit de son état somnolent et quitta l’étreinte de Pauline. Elles savaient que l’expérience prendrait fin et il était temps qu’elles retrouvent leurs lits et leurs amours. Pauline regarda Marina se rhabiller avec tendresse. Une fois fait, elle se pencha sur Pauline et déposa un dernier baiser sur les lèvres de son amante d’un soir avant de quitter la chambre avec Franck.
Quand Tom rejoint Pauline dans le lit, il n’y eut pas de mot échangé. Il la laissa sur son petit nuage de sensations, la devinant encore sensible au toucher. Il vint derrière elle, l’enlaça tendrement et ils s’endormirent ensemble.
Quelques jours plus tard, les vacances se terminaient et, avec elles, un séjour qui avait été très intense pour Pauline et Tom. Ils ne pouvaient repenser à tout ce qui s’était passé entre eux et autour d’eux dans cette maison de campagne sans rougir et avoir le corps parcouru d’un frisson. Les sourires étaient complices quand les cousins et leurs amis leur dirent au revoir et Pauline et Tom se sentaient encore plus unis que lorsqu’ils étaient arrivés. Chacun d’eux avait exploré sa sexualité plus profondément et découvert que le désir et le plaisir pouvaient les faire aller plutôt loin. Ils avaient aussi réaffirmé leur amour l’un pour l’autre, leur confiance et leur complicité.Une relation qui se continue…
Même si le retour à la maison avait été un peu déprimant, Pauline et Tom n’en avaient pas terminé avec leur désir. Et puis, le fait que leur secret ait été découvert, qu’il y ait eu un risque d’être dénoncés avaient poussé les deux frère et sœur à assumer davantage leur relation, à la revendiquer si nécessaire. Ce sentiment les avait encore rapprochés. Toutefois, il devenait du coup beaucoup plus dur de devoir se cacher, de ne pas vivre leur amour aux yeux de tous. Cette situation était en partie compensée par le fait qu’ils vivaient sous le même toit et qu’ils pouvaient profiter de beaucoup de moments ensemble, volés ou non.
Il était maintenant rare que Tom ou Pauline ne rejoigne pas l’autre dans sa chambre une fois toutes les lumières éteintes, que la porte de la salle de bain ne reste pas entrouverte le temps d’échanger un baiser contre le corps nu de l’autre avant de filer. Chaque jour ils se sentaient plus habiles à tromper leurs parents, à déguiser leurs communications par des signes connus d’eux seuls. Paradoxalement, cette complicité accrue pouvait parfois atteindre un paroxysme durant lequel ils prenaient plus de risque pour être l’un avec l’autre, l’un contre l’autre.
Tom attaquait sa 2e année en école d’architecture et Pauline sa 1e année de fac en Langues Etrangères Appliquées. Heureusement leurs cours, leurs devoirs et leur sérieux dans les études les ramenaient à un niveau plus pragmatique. Cela ne les empêchait pas parfois de rêver à prendre un appartement d’étudiants ensemble pour quitter la maison et vivre leur couple plus loin de la maison. « Bientôt » semblait être un peu qui flottait entre eux. La peur de quitter le nid s’opposait encore à l’envie de vivre le monde en adulte. Mais chaque jour, leur amour caché faisait pencher la balance. Il y avait aussi quelque chose qu’ils redoutaient et dont ils parlaient parfois. Vivre ensemble mais devoir cacher leur relation, leur amour aurait un arrière-goût amer. Dans un coin de leur tête, ils sentaient le poids d’un choix dont il fallait se préparer à assumer le coût.
A côté de ces réflexions, la vie quotidienne avait pris un bon rythme et leur relation s’était faite plus amoureuse que sexuelle, plus tendre qu’érotique. Pourtant, une explosion de leur désir lors d’une soirée à la maison avec leurs amis leur avait rappelé combien ils n’étaient rien l’un sans l’autre. Cette soirée avait été l’exemple de l’enivrement qu’ils pouvaient ressentir en laissant leur corps et leur esprit brûler de désir pour l’autre.
La soirée avait commencé comme beaucoup d’autres, leurs amis se réunissant chez eux un soir où leurs parents leur avaient laissé la maison pour passer du temps entre eux. Ils en avaient profité pour fêter l’anniversaire de Stéphanie, une amie de Pauline. Une bonne assemblée avait été regroupée, avec presque une quinzaine de personnes chez eux. Tom portait un jean délavé avec une chemise blanche cintrée, quelques boutons relâchés pour être décontracté. Pauline avait choisi une robe bleue marine rayée de blanc qui lui soutenait joliment la poitrine et ondulait sur ses cuisses jusqu’au-dessus du genou.
La tension était déjà montée d’un cran juste avant que les invités n’arrivent. Tom, en voyant Pauline sortir de sa chambre n’avait pu retenir un regard éloquent et un compliment sur la tenue de sa sœur. Elle avait rougi d’amour et était venue se serrer contre lui. De ses doigts qui se promenaient sur le torse de son frère, elle déboutonna un bouton de plus.