22-12-2020, 05:32 PM
J'aime beaucoup tes divinité, ils font toujours de drôle de choses ?. Merci d'avoir à nouveau pensé à tes lecteurs ?
22-12-2020, 05:32 PM
J'aime beaucoup tes divinité, ils font toujours de drôle de choses ?. Merci d'avoir à nouveau pensé à tes lecteurs ?
23-12-2020, 11:11 AM
(20-12-2020, 04:15 PM)Moloch link a écrit :... Burydan ne partagera pas sa friandise... du moins pour le moment...Pour son propre plaisir, ou pour celui de Rhonin ? Je sais, je sais, patience… (20-12-2020, 04:15 PM)Moloch link a écrit :c'est une de mes positons préférées...On finit tjs bien par se retrouver sur des trucs, hein… ;D Le jour où vous commencez une chaîne sur PornHub ou vous lancez un OnlyFans, file-moi le lien, steup’ Les érections de Rhonin doivent probablement autant aux caresses de Burydan qu’à la réactivité de l’adolescence aux stimuli, ça démarre au quart de tour, ces petites mécaniques nerveuses (note à moi-mm, en googler le scope d’âge, tiens…) C’est assez parlant que le garçon propose qu’ils se lavent mutuellement, soit il veut rendre le service, soit il essaie +- inconsciemment de se positionner (au figuré) pour un peu mieux 'équilibrer' leur relation… Enfin, l’évolution est qd mm tjs très timide, comme pour sa surprise à l’idée que B s’occupe de ses orteils (ce qui a tt de mm un léger parfum de soumission, mais je suis p-ê loin dans le cliché), son hésitation à prendre l’initiative d’approcher l’œillet de son maître (ce qui, symboliquement, tendrait à déplacer le rapport act’/pass’), ou son plaisir à goûter sa semence dans la bouche de Burydan, non ? Ou alors, j’extrapole vrmt trop, ça m’arrive ¯\_(ツ)_/¯ Hmmm… Rhonin est aussi réceptif que réactif, en fait, qu’un jeune homme puisse jouir 3x en 12h, ok, mais recevoir 2x l’… hommage sur le mm laps de temps m’impressionnera tjs un peu : En plus du vocabulaire particulier à Genesia, j’adore les petits détails du genre du "Nom de moi-mm" d’Angelina, ou ceux plus perchés comme les roses et des laitues dans l’offrande à la déesse, il faut y penser En fait, les parties mythologie me font rêver, différemment mais autant que le récit, TimChalam est déjà parfait au naturel, mais sa beauté multipliée par 10… :-*
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
23-12-2020, 09:10 PM
Maitre Moloch, je te souhaite ainsi qu'à tous les "zamis" lecteurs, malgré cette période difficile de bonne fête de Noël et nouvel an.
gros bizoux de la savane !
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
28-12-2020, 05:16 PM
Bonjour à tous et aux autres.
Merci pour vos coms les zamis. J'espère que, malgré la fin du monde, vous avez passé un bon Noël et que le gros monsieur en rouge et blanc (merci coca) vous a mis pleins de jolis joujoux dans vos petits souliers. Merci mon rô minet. Heureusement que ta savane est équipée de wifi... correction faite. De rien Melinda, toute le plaisir est pour moi. Mon petit renard chéri, non, pas de chaine pornhub ou autre, mais il est vrai que nous nous sommes amusé... deux ou trois fois... ou un peu plus... pour tester la qualité vidéo du dernier iphone... et que celui qui ne l'a jamais fait me jette la première pierre... et je suis persuadé qu'une vidéo avec toi entre nous deux serait encore plus... plus... enfin plus, quoi... faire miauler de plaisir un renard... C'est vrai, Rhonin a un peu de mal à faire certaines choses à son maître. L'anulingus entre autres. En même temps, pour lui, c'est un préliminaire merveilleux mais fait pour... préparer le terrain, on va dire... mais le plaisir qu'il donne à son maître devrait l'enhardir dans la suite du récit... ou pas... Bon, OK, j'ai un peu abusé sur les orgasmes à deux minutes d'intervalle... fantasme sans doute... à mon blondinet il lui faut bien... trois minutes pour être de nouveau d'attaque... Petite précision : les laitues c'est vrai. C'était une offrande habituelle pour Aphrodite. Tout de suite, la suite.
28-12-2020, 05:39 PM
CHAPITRE CIV
''Pulchra vestimenta'' Burydan se réveilla. Il sentit une caresse humide sur sa bite. Il baissa la tête et vit que Rhonin était en train de la lécher lentement. Il fourragea ses doigts dans les mèches blondes de son minet, le laissant faire un petit moment. Alors que Rhonin se délectait de l'érection matinale de son bel étalon, celui-ci attrapa ses hanches et le fit se mettre à quatre pattes au-dessus de lui. C'était devenu un petit rituel, un magnifique 69 au petit matin. Jouir dans la bouche l'un de l'autre leur permettait de patienter jusqu'au soir. Sauf, évidemment, quand Burydan ne se retenait plus. Il attirait Rhonin dans un fourré et le lutinait à cœur content. Burydan était irrassasiable et Rhonin doté d'une vitesse de récupération qui forçait l'admiration. Ils avaient toujours envie de la peau de l'autre, du corps de l'autre... de l'autre, tout simplement. Après que Rhonin ait joui dans la bouche de son maître et que son maître ait joui dans sa bouche, et après une longue séance de caresses et de baisers brûlants, ils firent un bonne toilette et descendirent. Un bon petit déjeuner : œufs, lait chaud, beurre frais, pain doré tout juste sortit du four, chair salée, fromage, fruits... Rhonin dévorait comme s'il n'avait pas manger depuis huit jours. Burydan le regardait en souriant, mais où pouvait-il mettre tout ça ? - Tu as assez manger ? - Oh oui maître, c'était délicieux... - Bien, allons-y, nous avons quelques emplettes à faire... - Des emplettes, maître ? - Oui. Regarde un peu comment tu es vêtu. - C'est les seuls vêtements que dame Alduine m'a laissé emmener. De toute façon, les vêtements, chez dame Alduine... Burydan se rappela que chez la maquerelle les prostitués évoluaient pratiquement nus parmi les clients. Histoire que le chaland puisse juger de la qualité de la ''marchandise'' avant de la ''louer''. - Ce n'est pas digne d'un petit page... - Ainsi, maître, je suis votre page ? - La journée, oui... - Pourquoi ''la journée'' . - Parce que, la nuit, tu redeviens mon petit esclave sexuel... Rhonin sourit. ''Pas que la nuit'' se dit-il en repensant aux étuves, la veille. Ils arrivèrent dans la principale artère de la ville et Rhonin ouvrit des yeux ronds. Lui qui n'était jamais sorti de son bordel de Rotter'Dam n'avait jamais vu ça. Toutes les boutiques et les échoppes avaient déployé leurs volets, sur la place du marché les étals se succédaient, des colporteurs haranguaient la foule. On vendait de tout : des lames, épées, dagues, poignards ; des épices venant de tout Siméria et de toutes les autres îles de Genesia ; tout ce qui est possible de produire à partir du cuir ou du tissu ; des fruits et des légumes à profusion ; des onguents, potions et mixtures destinés à faire repousser les cheveux ou guérir les aveugles ; un marchand proposait des petits apakas à côté d'un qui vendait de la graisse de kujira. Un homme, gros et habillé de blanc, criait ''oublis (1), galettes, pâtés chauds'' et Burydan vit l’œil de Rhonin briller. ''C'est pas possible, se dit-il, il n'a pas encore faim...''. Mais apparemment si. Burydan cria - Boulanger, tire par ici... Le boulanger se fraya un chemin parmi la foule. - Bonjour à vous, qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? - Tes oublis sont-ils bons ? - Les meilleurs de tout Siméria... même de Genesia en fait... - Dans ce cas donne m'en deux... - Cela fera 4 mayis... Burydan paya le boulanger et tendit les oublis à Rhonin : - Mange, estomac sur pattes... - La grand merci à vous, maître... - Fais attention tout de même, si tu deviens obèse je te revends à un marchand d'esclave... Rhonin blêmit et baissa la tête. Et Burydan s'en voulu. Il mit un bras autour des épaules de Rhonin et dit, de sa voix la plus douce : - Excuse moi, bébé, c'était stupide et blessant. Et tu sais bien que jamais je ne me séparerai de toi... jamais... - Vous... vous me le promettez, maître ? - Je te donne ma parole, bébé. - Même si je deviens chauve et ventripotent ? - Même si tu deviens chauve, ventripotent, podagre, goutteux, borgne, cul de jatte et édenté. Mais je te ferai sans doute moins souvent l'amour... Rhonin sourit et mordit dans ses oublis. - Sont-ils bons ? - Excellents maître. En voulez-vous un morcel ? - Non, merci bébé. Inutile que nous devenions obèses tous les deux... Petit rire espiègle de son blondinet. Burydan s'arrêta devant une boutique. - Bien, première étape. Ils entrèrent. Derrière un comptoir en bois se tenait une femme d'une soixantaine d'années, un chignon de cheveux gris sur l'arrière du crâne et des yeux marrons qui pétillaient. - Bonjour mes beaux jeunes hommes. Je me nomme Suzanne Goutchi. Que puis-je faire pour vous ? - Je voudrais quelques habits pour mon petit page... voyez un peu comment il est habillé... - En effet, dit Suzanne avec un petit rire, connaissez-vous les mensurations de... - Rhonin. Non. - Ah... et toi, Rhonin, les connais-tu ? - Euh... non, madame. Suzanne rosit d'être ainsi madamer par un si joli drôle. - Eh bien suis moi, mon garçon, nous allons mesurer tout cela. Ils disparurent derrière un paravent et réapparurent quelques minutes plus tard. - Très bien, j'ai tout ce dont j'ai besoin... - Pouvez-vous me faire une copie de ces mesures ? - Bien sûr. Suzanne griffonna sur une feuille de papier, la tendit à Burydan qui la rangea dans une de ses poches. - Alors, mon beau monsieur, que vous faut-il ? - Sept chemises et sept pantalons de toile légère... - Très bien de seconde ou de troisième main ? - Seconde, si possible. - Ça l'est... espérez un petit. Suzanne disparu dans l'arrière boutique et revint avec cinq chemises et trois pantalons. - Voilà ce que j'ai à la taille de ce jeune homme. - Que ça ? - Ce ne sont que des échantillons, monsieur. - Ah, très bien. Rhonin, qu'est-ce qui te plaît ? - Vous... vous me demandez mon avis, maître ? - Eh bien oui, c'est toi qui va les porter après tout... Rhonin choisit sept chemises de différentes couleurs et sept pantalons. Suzanne empaqueta le tout. - Cela fera 51 capokeis et 30 mayis. Mais ce drôlissou est tellement mignon que j'arrondis à 51... - Pouvez vous faire livrer le tout à l'auberge du ''Lion Silencieux'' ? - Bien sûr, monsieur, vous les aurez en fin de matinée... - Parfait. Burydan fouilla dans son escarcelle et déposa 51 capokeis sur le comptoir. - Vous... vous ne barguignez pas ? dit Suzanne - Le dois-je ? - Non, mais il est rare qu'un de mes clients paye sans essayer de rabattre un petit. - Vous nous avez déjà fait une ristourne de 30 mayis, c'est très gentil et tout à fait suffisant... Burydan et Rhonin sortirent. - Merci, maître, merci de m'avoir acheté de si beaux habits... - Oh mais ce n'est que pour parer au plus pressé, bébé... - Ce qui veut dire ? - Que nos emplettes sont loin d'être finies. Suis moi... Il entrèrent dans une autre boutique. Derrière un comptoir se tenait une femme qui aurait pu être la jumelle de la précédente. - Bonjours mes gentilshommes. Je me nomme Louise Shannel. Que puis-je faire pour vous ? - Je voudrais quelques habits pour mon petit page. - Très bien. Connaissez-vous ses mesures ? Burydan tendit le morceau de papier de Suzanne. Louise le copia et le rendit à Burydan. - Parfait. Alors, que vous faut-il ? - Sept chemises de toile épaisse à longues manches, sept chemises de toile légère à longues manches, sept chemises de toile légère à manches courtes, sept pantalons de toile épaisse, sept pantalons de toile légère, sept demi-pantalons de toile légère, Sept vestes de toiles épaisse, sept veste de toile légère, deux manteaux de pluie, sept tricots en mianhua, sept tricots en lana, sept paires de chaussettes en mianhua, sept paires de chaussettes en lana, sept sous-vêtements, une écharpe et un bonnet en lana Louise écrivait à toute vitesse. - Avez vous des préférences pour les couleurs ? - Avez-vous des échantillons ? - Oui da. Elle disparu dans l'arrière boutique et revint avec plusieurs tissus colorés. Burydan regarda Rhonin et lui dit : - Choisis... Rhonin, hébété que son maître lui achète tant de choses, mit quelques secondes à remettre les mots dans l'ordre. Il palpa, tâta et caressa les morceaux de tissu et fit son choix, se retournant à chaque fois vers son maître pour avoir son accord, mais Burydan se contentait de sourire. - Combien de temps pour faire ça ? demanda Burydan. Suzanne réfléchit et dit : - Une quinzaine de jours... - C'est long... - Oh, monsieur, une telle commande... - Et si je ne barguigne pas le prix et paye de suite ? - Dans ce cas... je vais mettre toutes mes couturières dessus... dix jours... je ne peux pas moins... - Très bien, dix jours. Et le prix ? Suzanne fit les comptes et dit : - Sans barguigner, monsieur ? - Comme je te l'ai dit... - 25 simeris tout rond... Burydan paya les 25 simeris. Rhonin ouvrit des yeux ronds. Il n'avait jamais vu autant d'astrium d'un coup. Ils ressortirent et entrèrent dans une troisième boutique. C'était un maroquinier cette fois. - Bonjour messieurs. Je m'appelle Lou Houivuithon. Que puis-je pour vous ? - Je voudrais quelques petites choses pour mon petit page. - Connaissez-vous ses mensurations ? Burydan tendit de nouveau le petit morceau de papier que Lou recopia. - Alors, je vous écoute... - Cinq pantalons de cuir épais, cinq pantalons de cuir souple, trois vestes de cuir, trois vestes fourrées, trois paires de chaussures, une paire de bottes, une paire de bottes fourrées... - Très bien, connaissez vous la pointure de votre page... - Euh... non... Lou mesura le mignon petit pied de Rhonin et dit : - Le tout dans... 15 jours... - 10 jours... - Oh monsieur, 10 jours c'est peu... - Je paye de suite sans barguigner, cela vaut bien une remise de 5 jours... Lou réfléchit. Un client qui payait sans contester les prix... et tout de suite... - Très bien. 10 jours. - Alors, combien pour tout ça ? - 45 simeris... Burydan paya devant un Rhonin encore plus stupéfait. - Oh maître. Je ne sais quoi dire... c'est... c'est... trop... trop pour un simple esclave... et... - Mais c'est le minimum pour un petit page, histoire de faire honneur à son maître. Mais c'est vrai que c'est trop... tu es tellement plus beau entièrement nu... Rhonin sourit. Merci infiniment. Vous êtes le meilleur des maîtres... Il flânèrent dans les rues, regardant la foultitude d'objets qui se vendaient dans les échoppes et boutiques. Dans la vitrine d'un joaillier, Rhonin remarqua un bijou. - Quelque chose qui te plaît, bébé ? - Non. Mais un maître que j'ai eu, avant dame Alduine, portait un pendentif de ce genre. Rhonin désigna à Burydan le pendentif en question, en forme d’œil avec un zaphiri en guise de prunelle. - Et alors ? - Savez-vous ce que cela représente ? - Évidemment. Pas toi ? - Euh, non... - Mécréant que tu es. On l'appelle Oudjet. Il représente l’œil que le grand dieu Hodin a perdu lors de la bataille contre les dieux anciens. Quiconque le porte se met sous sa protection. - Que docte vous êtes, maître. - Je sais, dit laconiquement Burydan avec un petit sourire, je sais. Rhonin n'arrivait pas à détacher son regard du bijou. - Dis moi, bébé, c'est quand ton anniversaire ? demanda Burydan alors qu'ils repartaient vers l'auberge. - Je ne sais pas maître. - Comment ça tu ne sais pas ? - Je connais l'année de ma naissance, mais la date précise, aucune idée... - Ainsi tu n'as donc jamais fêter ton anniversaire ? - Non, jamais. On ne fête pas les anniversaires des esclaves, maître... Même Burydan avait toujours fêté son anniversaire. Bon, quand il était chez ses parents ça constituait à un jour sans corvée et sans raclée de son père, chez Gershaw à un énorme gâteau fait par son maître (et qui était mangeable, chose rare, les talents culinaires de Gershaw de Bélothie étant inversement proportionnels à sa dextérités à l'épée) et depuis il fêtait tous les ans son anniversaire en invitant à un bon dîner ses amis. Il regarda Rhonin avec tristesse. Arrivés à l'auberge, ils prirent un copieux déjeuner. - Que faisons nous cet après midi, maître ? - Nous avons une visite à rendre vers cinq heures. - A qui ? - Dolf Dietriech. - Qui est-ce ? - Un marchand. L'ami d'un ami. - Ah. Mais qu'allons nous faire jusqu'à 5 heures ? - Une sieste. - Une sieste, maître ?! De quatre heures ?! Êtes vous mal allant ? - Nullement bébé. Mais j'ai très envie d'une sieste avec toi. Une sieste... crapuleuse... - Que signifie ''crapuleuse'' maître ? - Cela signifie, bébé, que nous allons nous mettre nus, nous enlacer tendrement, nous coucher sur le lit et je vais te caresser pendant des heures, et tu me caresseras aussi pendant des heures. Mais uniquement des caresses, bébé, pas de sexe... du moins, si j'arrive à me retenir... tu sais parfaitement l'effet que ton petit corps me fait... - Oui, je le sais, dit Rhonin en souriant. Mais ce n'est rien par rapport à l'effet que votre corps divin me fait, maître... Ils montèrent, se déshabillèrent, s'enlacèrent, et se couchèrent sur le lit. Burydan caressa le corps de son minet du bout des doigts, de ses mains, de ses lèvres et de sa langue, n'omettant aucun pouce carré de peau, en insistant sur ses oreilles, ses tétons, son nombril, ses aines et en léchouillant ses petits petons et en lui suçotant les orteils. Rhonin caressa le corps sculptural de son maître du bout des doigts, de ses mains, de ses lèvres et de sa langue, n'omettant aucun pouce carré de peau, en insistant sur ses tétons, son nombril, ses aines et lapant un long moment ses aisselles. Ils bandaient tous les deux comme des gaidaros et Burydan dû se faire violence pour ne pas succomber à la tentation de besogner son petit esclave. Mais il préférait se réserver pour la nuit. Cette nuit il ferait l'amour à Rhonin comme un dingue et l'épuiserait de plaisir.
28-12-2020, 07:17 PM
Et bien, il va en falloir des esclaves pour transporter la garde robe de Rhonin....
Joyeux Noel à tous !
29-12-2020, 03:33 PM
Rhonin est tellement adorable de candeur et de gratitude, mais aussi, il a une vie dont il n’aurait jamais pu rêver ¯\_(ツ)_/¯ (mm si, interrogé, Burydan mettrait sa fierté de côté pour avouer qu’il a autant de chance que lui, il ne mentirait pas, le garçon est trop chou ¬‿¬ )
Mais il a oublié les 4 malles et les 2 ânes pour trimballer les fringues de son toy boy O.O J’ai juste plus de boxer et de chaussettes que lui, pour le reste, j’ai compté… 35 chemises (je ne connais que mon épéiste personnel qui n’en soit pas loin), 31 pantalons, 18 vestes et manteaux… Je n’en ai pas le quart, et pourtant, je fais docilement tout ce que fait Rhonin (ok, presque tout ¬‿¬ ) Il n’est pas rhabillé pour l’hiver, là, mais pour les 70 à venir (sauf s’il grossit ^^ ) Après, bah, il a quelques anniversaires à rattraper, le pauvret, c’est un peu triste, mais comme il le dit, dans son (ancien) statut… ¯\_(ツ)_/¯ Ils pourraient décider d’une date, pq pas celle où ils se sont rencontrés ? C’est juste un détail, mais tu n’as pas donné la traduction d’oubli, srmt une pâtisserie, tellement pas mon kiff, mais par curiosité… Hmmm... Merci pour la prop’ étrangement flatteuse d’interpréter le petit cornichon et les deux petits oignons du sandwich dans l’une de vos sex-tapes, mais je n’ai mm jamais fait qu’un seul selfie (et encore, des 50cm du bas) alors bon, on en discute entre nous et… je te dis quoi
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
29-12-2020, 05:13 PM
Bonjour à tous et aux autres.
Merci pour vos coms les zamis. Je sais, je sais, c'est un peu abusé le nombre de fringues que Burydan achète à son blondinet. Surtout qu'il le préfère entièrement nu... mais c'est le plaisir que prend Rhonin à être ainsi couvert de cadeaux qui plaît à son maître. Ces beaux yeux bleus brillant de plaisir à être ainsi paré de beaux habits. Et puis aussi, c'est assez gratifiant pour Burydan s'il le fait passer pour son page, la vêture ce celui-ci devant donner une idée de la richesse et de l'importance de son maître. Et enfin il faut un peu de rechange au petit minet car Burydan n'hésitera pas à lui arracher lesdits vêtements avant de le jeter sur sa couche et le besogner comme un furieux... Quant au transport de la garde-robe, ne vous inquiétez pas, c'est prévu. Pour l'anniversaire, tu te doutes bien, mon renard chéri, que si j'ai révélé cette information dans mon récit, c'est pour m'en servir... Et question tristesse pour son ancien statut, ça ne va pas s'arranger... mais vraiment pas du tout... sales souvenirs... Alors un oubli (ou oublie) est une pâtisserie du Moyen Age. D'abord simple galette de farine d'eau et très semblable à l'hostie chrétienne, elle s'est étoffée pour devenir l'ancêtre de la gaufre. Et elle était tellement répandue, très bonne, peu chère et idéale pour le carême, que non seulement une taxe était payée au seigneur avec ces gâteaux et que le métier ''d'oublieux'' (ou ''oublieur'') existait. Je pense être assez dextre pour transformer des légumes en fruits. Ainsi je suis certain que je pourrai changerton petit cornichon et tes deux oignons en une belle banane et deux kiwis. et je suis preneur du selfie. Surtout si on voit tes mignons petits pieds (ça, c'est pour mon blondinet) et je pourrai m'imaginer ramener tes jambes écartées vers ton torse pour nous permettre un accès aisé à ton... et tes mollets sur mes épaules pendant que je te... Hum, je vous abandonne deux minutes... lisez la suite en attendant que ma libido se calme... ou se déchaine sur mon beau blond... ouais, plutôt ça... ''mon petit bouchon, tu peux venir deux minutes ?!?!'' CHAPITRE CV ''Annorum horribilis'' Rhonin était bien. Couché de tout son long sur le corps chaud de son maître, la tête nichée dans le profond sillon entre ses deux énormes pectoraux, il lui caressait tout doucement les flancs. Les caresses de Burydan l'avaient excité comme jamais, et sa bite dure et gonflée était collée à celle de son étalon, qui était dans le même état. Il aurait adoré que son maître le prenne avec fougue et passion, là, maintenant, tout de suite. Burydan lui avait dit qu'il n'y aurait que des caresses et pas de sexe. Il avait failli craquer plusieurs fois, et supplier son maître de lui faire l'amour, mais en esclave docile et obéissant, il s'était tu. Mais là, il était bien. Il sentait les mains de son beau mâle caresser lentement son dos, ses reins et ses fesses, et c'était... bon. Burydan était bien. Repu de baisers brûlants et de caresses suaves, il avait son petit minet tout contre lui. Il sentait sa jolie bite dure et gonflée tout contre la sienne, bandée à fond, et aimait ça. Il avait failli craquer plusieurs fois et prendre son minet avec fougue, mais avait réussi à refréner ses pulsions. ''Ce soir, se répétait-il, je veux qu'il soit excité toute la journée en attendant fébrilement la nuit. Et là, je lui ferai l’amour comme jamais...'' Alors qu'il caressait le corps chaud de son blondinet, une phrase qu'il lui avait dite le matin lui revint en mémoire. - Dis moi, bébé, tu m'as dit qu'un de tes maîtres avait un oudjet en pendentif. Alduine n'a pas été ta première maîtresse ? - Non, maître, j'en ai eu trois avant elle. - Raconte. Je vivais avec mes parents dans une chétive masure. Nous étions neuf enfants et le petit lopin de terre que nous exploitions ne permettait pas de tous nous nourrir. Nous crevions littéralement de faim. Un jour, un homme vint. Il était habillé tout en cuir et avait une cravache à la main. Je vis qu'il était arrivé à cheval, accompagné de plusieurs hommes et un grand chariot bâché. - Ce sont ces deux là, dit mon père en désignant ma petite sœur de 9 ans et moi, 8 ans. - Voyons voir, dit l'homme. Il s'approcha de nous et nous palpa. Puis nous fit ouvrir la bouche pour inspecter nos dents. - 10 simeris pour la fille, 5 pour le garçon... - C'est tout ? dit mon père. - La garcelette se vendra bien. J'ai des clients friands de la chair tendrelette. Mais le garçon est chétif. C'est à cet instant que je compris. Mon père nous vendait à un marchand d'esclaves. L'homme paya mon père et nous amena vers le chariot. Je hurlai, pleurai mais plusieurs coups de cravaches me firent taire. Ma sœur et moi, en larmes furent attachés et le chariot partit. Nous fûmes vendus. Ma sœur fut acheté par un gros bourgeois, sans doute pour son harem. Un couple m'acheta. Ils avaient besoin d'un petit esclave à tout faire. J'arrivai dans une grande maison cossue. Il y avait déjà d'autres esclaves, mais ils m’accueillirent bien, vu mon jeune âge. Mes maîtres étaient très gentils, ne me battant pas à tout bout de champs, et même moins que mon père, qui nous frappait quand il était ivre. Je travaillai de l'aube au couchant, balayant la maison, aidant la cuisinière, et j'avais un toit sur la tête, une petit chambrette bien chauffée et je mangeai à ma faim. Malheureusement, mon maître fit une chute dans les escaliers et se brisa le col. Ma maîtresse dû donc se passer d'une partie de ses esclaves. Certes, nous n'étions pas payés, mais la nourriture, les vêtements, etc... Je fus revendu à un grand propriétaire terrien. Je travaillai dans les plantations de mianhua. Le travail était dur et le contremaître nous battait quand il jugeait que nous ne travaillions pas assez vite, pour se passer les nerfs, ou pour s'amuser. Un jour, je fis tomber mon panier. Le contremaître m'attrapa par la nuque en m’agonisant d'injures. Il m'entraîna dans une pièce à côté du séchoir. Elle était vide, seule une chaîne pendait du plafond. Il me lia mes mains et me les attacha à cette chaîne. - Je vais te montrer comment on corrige les esclaves ici... Je pensai qu'il allait me fouetter, mais non. Il abaissa mon pantalon pour découvrir mes fesses et me viola. Je hurlai de douleur pendant qu'il labourait mon cul vierge, tout en m'insultant. Une fois qu'il eut jouit, il me détacha et me dit de retourner au travail. J'avais mal et avait l'impression qu'il m'avait déchiré. Je le voyais souvent trouver n'importe quel prétexte pour amener un jeune garçon dans cette pièce. Et je devins l'un de ses jouets. Étant chétif et peu endurant, je fus revendu. J'arrivai dans une tannerie et c'était atroce. Je pataugeai de l'aube au couchant dans l'urine, mes pieds commencèrent à partir en lambeaux. J'avais 15 ans quand mon maître me revendis. Et j'étais en piteux état. Une belle femmes m'acheta. Elle m'amena dans une belle et grande maison. Elle s'appelait dame Alduine, me dit-elle, et allait prendre soin de moi. Un médecin vint pour s'occuper de mes pieds rongés par l'urine, elle me mit dans une très jolie chambre et me donna de beaux habits. Pendant plus d'un mois, je n'eus rien à faire, mangeai à ma faim et me prélassai dans ma chambre douillette. Mes pieds étant remis, dame Alduine me dit qu'elle allait m'installer ailleurs pendant au moins un mois. Elle me conduisit dans une grande maison. Ce qui m'étonna c'est que, dans le parc entouré de hauts murs, des hommes musculeux patrouillaient avec des chiens. Nous entrâmes dans la maison. Un homme haut de plus de quatre pieds et très musclé vint à notre rencontre. Il salua dame Alduine et me désigna du menton. - C'est lui ? - Oui, dit dame Alduine. - Novice ? - Oui, je pense. - Bien, repassez dans... un mois. Tarif habituel. Dame Alduine acquiesça et partit. Je restai là, ne comprenant pas ce qui se passait. - Euh, dis-je, qu'est ce qui... Je ne pu continuer. Je reçus une énorme gifle qui me fit tomber à terre. L'homme mit sa botte sur ma gorge, m'étranglant à moitié, et me dit d'une voix dure : - Ta gueule salope. Ici tu parles quand on te le dit, pas avant. Je me nomme Igor et je suis le maître ici. Tu es dans la maison de dressage, chienne, où tu vas apprendre à devenir une bonne petite pute docile et obéissante. Il m'attrapa par les cheveux et me confia à deux de ses hommes, tout aussi massifs que lui, qui m'amenèrent dans une chambre à l'étage. Ils m'y jetèrent pratiquement et refermèrent la porte au verrou. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Il n'y avait qu’une paillasse dans cette chambre. Un minuscule fenestrou garni de barreaux laissait passer un peu de lumière. Je m'allongeai sur la paillasse en me demandant où j'étais tombé. A l'aube, un homme ouvrit la porte. - Lève toi ! Je battis des paupières et me levai lentement. Il me donna un grand coup de cravache dans les reins. - Ici, quand on te donne un ordre, tu réponds ''oui maître'' et tu te presses. Il me repoussa durement sur la paillasse et me dit à nouveau : - Lève toi ! Je me levai de nouveau et il me cravacha en disant : - Oui maître, je t'ai dit ! Il me repoussa de nouveau et me dit : - Lève toi ! - Oui maître. - Dessape toi. - Quoi ? Nouveaux coup de cravache. - A poil ! Je m'apprêtais à me déshabiller quand il me frappa à nouveau. - A poil ! - Oui maître. Il me sourit. Mais c'était un sourire cruel. Une fois nu, il m'observa et me dit : - A quatre pattes chienne ! J'avais appris ma leçon et répondit : - Oui maître. Il se mit à genoux derrière moi et me prit violemment en m'insultant et en me frappant. Quand il termina, j'étais en pleurs et la douleur était insoutenable. Il remonta son pantalon et sortit. Je me recroquevillai sur ma paillasse en pleurant. Je ne sais pas combien de temps je restai ainsi, mais un autre homme entra et me viola à son tour. Pendant un mois, je fus violé et battu 5 à 6 fois par jour. Je ne mangeai que si j'obéissais à mes maîtres. Lorsque je rechignai, une fois, deux hommes me prirent sauvagement en même temps. Ils m'apprirent à sucer. Si je ne le faisais pas bien, ils me cravachaient et me violaient encore plus durement. Je n'étais rien, me disaient-ils. Une raclure, une roulure, un morceau de viande, un trou à jus. Ils défilaient, les uns après les autres ou à plusieurs. J'en suçai un pendant que l'autre me baisait. Et ils sortaient en riant. Deux heures plus tard un autre venait... encore et encore... En trois semaine de ce traitement, j'étais devenu une petite pute docile et soumise. A peine j'entendais la clef dans la serrure que je me mettais à genoux. J'étais toujours violé plusieurs fois par jour mais un peu moins durement. Ou alors m'y étais-je habitué. J'avais honte, au début, mais là ce n'était plus de la honte, ni même de la résignation. J'étais une loque à peine humaine et n'avais plus de sentiments. La porte s'ouvrit et Igor entra. Me voyant ainsi, à genoux, à attendre son bon vouloir, il sourit. - On t'a bien dressé, hein, petite pute... - Oui maître. C'était la première fois qu'il entrait dans ma chambre. - Tu sors demain, traînée, mais je n'allais pas te laisser partir sans m'amuser avec toi. Tu vas voir, petite salope, mes hommes, comparés à moi, sont doux. Je vais te faire couiner chienne. Il me prit comme une bête un long moment. Il avait un sexe énorme et me pilonnait comme un forcené. Quand il me prenait par derrière, il m'attrapait par les cheveux et me mettait de grandes claques sur les fesses, quand il me prenait par devant, il me giflait. Plus je criais fort plus il me martelait fort. Il retira d'un coup sa bite de mon cul endolori et me dit : - Je vais t'en mettre plein la gueule petite salope. Il crapahuta au dessus de moi et m'étrangla. - Ouvre la bouche et sors ta langue roulure. Il se masturba frénétiquement et jouis sur ma langue, dans ma gorge et sur mon visage en beuglant. Il étala son foutre sur ma face et me gifla. Il remit son pantalon. J'étais toujours couché, le cul en feu. - Ouais, vraiment bien dressé, dit-il, et il me cracha au visage. Le lendemain, la clef joua dans la serrure. Un homme entra. Il tenait un paquet dans la main. Il s'approcha de moi. J'étais toujours à genoux et attendait qu'on me dise quoi faire. Il m'attrapa par les cheveux et sortit sa bite : - Allez, suce salope, et applique toi si tu ne veux pas tâter de ma cravache. Je le suçai donc avec application. Il me noya la gorge à plusieurs reprises. Il me tendit sa bite toute poisseuse : - Nettoie, sale petite pute. Il remballa sa queue, ouvrit le paquet et me jeta des vêtements au visage. - Enfile ça ! Il sortit. J'enfilai les vêtements. Ça me fit bizarre, cela faisait un mois que je vivais constamment nu. La porte s'ouvrit de nouveau. Je me mis précipitamment à genoux. C'était Igor. Il me mit un collier en cuir autour du cou et me tira par la laisse. - Debout esclave ! Nous descendîmes au rez-de-chaussée. Dame Alduine attendait. Quand elle me vit elle eut un sourire suffisant aux lèvres. - Alors ? demanda-t-elle à Igor. - Dressé, docile, soumis et obéissant. Mais si jamais il se rebiffe, vous n'aurez qu'à le ramener ici. Il se tourna vers moi et m’attrapa par le collier. - Si jamais tu ne fais pas ce qu'on te dit de faire, quand on te dit de le faire, comme on te dit de le faire, tu reviendras ici. Et les quatre semaines que tu as passé ici te paraîtront douces par rapport à ce qu'on fait subir aux petites putes rebelles. Tu vas voir. Il me reprit par la laisse et m'entraîna vers une pièce. Il ouvrit la porte. Un garçon, d'à peu près mon age, était empalé sur l'un des hommes d'Igor. Il le martelait, le faisant monter et descendre sur sa queue. Face au garçon, un autre homme lui baisait la bouche. Ce qui me frappa c'était le dos du garçon. Il était strié de plusieurs marques. Des coups de fouet. L'homme qui empalait le minet l'attira vers lui, celui qui se faisait sucer passa dans son dos. Le garçon hurla de douleur quand une deuxième bite se joignit à la première. Les deux hommes le martelèrent comme des dingues. Et, contre le mur du fond, des garçons étaient attachés à des croix en X. Ils voyaient ce qu'ils allaient subir lorsque ce serait leur tour. - T'as compris, salope, me dit Igor. Si tu reviens ici, tu vas morfler... Je suivis dame Alduine... je commençai à travailler dans son bordel, enchaînant les clients... et puis, un jour, un homme beau comme un dieu me loua pour la nuit et me fit découvrir un plaisir que je n'avais jamais connu. Il me montra qu'on pouvait me faire l'amour avec douceur et tendresse. Quelques temps plus tard des militaires vinrent me chercher pour m'amener à lui. Il me dit que maintenant j'étais à lui, tout à lui et rien qu'à lui et voilà... Burydan regarda Rhonin. A ce récit il avait blêmi à plusieurs reprises. Lui qui pensait avoir eu une vie atroce, celle de son minet était bien pire. - Oh, bébé, c'est... horrible... - Oui. Mais maintenant, je suis bien avec vous, maître... Rhonin regarda Burydan, une larme coula sur sa joue. - Serrez moi bien fort dans vos bras, maître, et embrassez moi tendrement, s'il vous plaît... - Tout ce que tu voudras, bébé, tout ce qu tu voudras...
31-12-2020, 10:25 AM
Coucou Moloch et les ‘zamis’,
Un bon réveillon de saint Sylvestre, suivi d’une excellente année pour tous. Tous mes vœux pour l’an neuf avec, au plus vite, un retour à la vie normale et beaucoup, beaucoup, de belles suites Genésienne… Bonne année 2021 !!! Gros bizoux à tous (et léchouilles ciblées à certains !)
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
31-12-2020, 04:49 PM
Voui, pour la référence à l’anniversaire éludé de Rhonin, je me disais bien qu’aucun détail n’est jamais gratuit ou innocent, et que ça trotterait dans la tête de Burydan, comme le pendentif de l’œil d’Hodin
J’ai souri à la douce torture qu’il impose au garçon, à distiller l’envie pour la repousser à plus tard… Plus qu’à l’épée, son plus grand exploit aura été de le réconcilier avec la confiance, puis avec le plaisir, vu que ouais… la suite ne prête pas vrmt à sourire :-\ Au CSD de Köln, j’avais vu un mec baladé en collier et laisse, je m’étais dit que c’était le truc le plus humiliant du monde, alors en plus, si ce n’est pas consenti… Mais il faut vrmt remettre tout en proportion, et là je ne sais plus trop ce qui est le pire, les travaux épuisants et dégradants, ou sa déshumanisation par la ‘formation’ qu’il subit :'( Sauf que le pire, c’est probablement l’idée de ne jamais pouvoir en sortir, sans aucune perspective d’autre chose d’un peu mieux, jusqu’au moment où il ne plairait plus, et là… ??? Rhonin n’est pas trop taillé comme son maître actuel, je l’imagine mal se venger lui aussi de son père, mais malgré l’arrivée de Burydan, il est probablement devenu trop résigné, là :-\ Bon, ben j’aurai appris que l’urine sert au tannage du cuir… Je ne sais pas comment je replacerais cette info mais c’est pas perdu, quoi :
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
31-12-2020, 04:52 PM
(31-12-2020, 10:25 AM)fablelionsilencieux link a écrit :Coucou Moloch et les ‘zamis’,Belle bête, ton renard argenté [member=54]fablelionsilencieux[/member]@ Plein de belles et bonnes choses à tous pour 2021
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
02-01-2021, 10:58 PM
Merci Moloch pour ce délicieux récit et bonne année à tous :-*
03-01-2021, 06:15 PM
Bonjour à tous et aux autres.
Merci pour vos coms les zamis. Et surtout une très bonne année 2021. Bon, pour moi, ça commence mal, couvre feu à 18 heures... mais on va faire avec... Merci mon rô minet, correction effectuée. Heureux de savoir que tu es toujours parmi nous Siriux. eh oui mon petit renard, l'urine permet d'assouplir le cuir et d'enlever plus facilement les restes de chair, de graisse et les poils des peaux. Ce sont les Grecs puis les Romains qui ont mis au point cette technique. Si, la plupart du temps, il s'agissait d'urine animale, des collectes étzient faites également dans les latrines publiques. Et à Fès, au Maroc, il y a encore une tannerie artisanale qui emploie cette méthode. Je ne sais pas, mon gros chat, où tu as réussi à trouver une photo de moi que même moi je ne connais pas.... sauf que j'ai un peu plus d'abdos... Tout de suite, la suite... bonne lecture... PS : certains de mes lecteurs peuvent trouver que la description de la ''maison de dressage'' est un peu abusée et que ça sort du cerveau sadique de votre serviteur. Et ils auraient tort. Je me suis permis de reprendre le témoignage que j'avais lu il y a de ça quelques années d'une prostituée française qui avait subit ce traitement. Et, aux dernières nouvelles, ça existe toujours.
03-01-2021, 06:20 PM
CHAPITRE CVI
''Ex malo bonum'' Rhonin, la tête nichée dans le profond sillon entre les magnifiques pectoraux de son maître, se sentait lentement glisser dans le sommeil. Il était bien. Certes, les souvenirs qu'il avait racontés à Burydan avaient fait remonter à la surface des sentiments mêlés de crainte, de peur, d'angoisse et de honte. Mais, comme si le fait d'en parler avait été libérateur, ça lui avait fait du bien. Il savait qu'il ne risquait rien avec son bel étalon. Il savait qu'il ne lui ferait jamais de mal. Il savait qu'il ne laisserait personne lui faire du mal. Il se sentait en sécurité dans ses bras musclés. Chacune de ses caresses, chacun de ses baisers étaient comme un baume sur les plaies béantes de sa petite vie. 16 ans de douleurs, de souffrances et d'humiliations. 16 ans où il n'avait été qu'une marchandise qu'on achetait et qu'on revendait, qu'on utilisait et qu'on louait. Une chose, un objet, un jouet. Pour Burydan aussi, au départ, il s'était senti comme un jouet. Chez dame Alduine, d'abord. Après tout, il n'était qu'un client parmi tant d'autres. Il avait des pécunes assez pour se payer ses services. Certes, il avait été doux et tendre et lui avait même donné du plaisir, mais il n'était là que de passage et l'oublierait très vite. Mais il ne l'avait pas oublié. Il l'avait demandé en cadeau au roi. Lui, un cadeau. Il était toujours une marchandise... Au départ il avait fait contre mauvaise fortune bon cœur. Après tout mieux valait être l'esclave sexuel d'un seul homme que de dizaines d'autres. Et puis Burydan était doux, tendre, patient et prévenant. Puis il y avait eu autre chose. Une chose étrange que Rhonin n'arrivait pas à définir. Quand son maître lui faisait l'amour, il lui susurrait des mots tendres à l'oreille. Et il y avait une telle note de sincérité dans sa voix. Quand il le regardait de ses beaux yeux gris, ça le rendait tout chose. Son maître le regardait comme s'il était le plus beau garçon du monde. Rhonin adorait ses gestes doux et tendres: il lui relevait quelques mèches pour dégager son front et y déposer un petit poutoune, sa main caressait doucement sa joue, ses doigts ébouriffaient ses cheveux quand il se moquait gentiment de lui, et sa façon de l'enlacer et le serrer fort, fort, fort. Et Rhonin comprit ce qu'était cette chose étrange qu'il n'arrivait pas à définir... il était définitivement, inexorablement et inconditionnellement tombé amoureux de son maître. C'était irrationnel, mais c'était comme ça. ''Puissent les dieux me venir en aide'' pensa-t-il. Burydan était bien. Il adorait sentir le petit corps de son minet tout contre lui, sur lui. Ses mains caressaient sa peau de lait et il sentait frémir son petit blond tout mignon. L'histoire atroce que lui avait raconté Rhonin l'avait secoué. Sa vie, qui était tout de même sordide et aurait fait pleurer dans les chaumières, n'était rien, ou pas grand chose, comparée à la vie de son petit minet. Il ne comprenait pas comment on pouvait faire autant de mal à un garçon si mignon et si fragile. Il ne comprenait pas comment on pouvait faire autant de mal à un garçon tout court. Certes, Burydan n'avait plus guère d'illusions sur la nature humaine. Dans sa vie de chasseur de prime il s'était lancé sur les traces de violeurs, assassins et meurtriers et le récit de leurs exactions aurait rempli d'effroi n'importe qui, mais martyrisé ce petit corps qu'il tenait fermement serré dans ses bras... Retourner à Rotter'Dam, défoncer la porte du bordel, passer tous les sbires d'Alduine au fil de l'épée et pendre cette ordure de maquerelle avec ses propres tripes... et ce serait encore trop doux pour elle... et trouver la ''maison de dressage'', y rassembler tous les salauds qui avaient fait du mal à son blondinet, y bouter le feu, et entendre leurs cris de douleur quand ils brûleraient vifs... et ce serait encore trop doux pour eux... Burydan avait des dizaines de questions en tête, mais qu'il ne poserait pas à Rhonin pour ne pas lui refaire vivre cette partie horrible de sa courte vie. Mais il y en avait une, pernicieuse, insidieuse qui taraudait son esprit ''Reste-t-il avec moi parce qu'il a peur ?'' Son petit minet tout mignon se montrait-il ployable, docile et obéissant, accédant à tous les caprices de Burydan, juste parce qu'il avait peur qu'il l'envoie lui aussi dans une ''maison de dressage'' ? Avait-il peur que Burydan se lasse de lui et qu'il le revende à son tour ? Qu'il se retrouve à nouveau dans un bordel et repasse par la case ''dressage''. Restait-il avec lui, non seulement parce qu'il était son esclave mais aussi, et surtout, parce que ce qui l'attendait en dehors de ce servage était encore pire ? Burydan regarda Rhonin qui dormait paisiblement, la tête sur sa poitrine. Qu'il était beau. Trognon. Adorable. Ses cheveux dorés ses grand yeux bleus, son petit nez retroussé, ses lèvres roses, son petit corps doux chaud et fragile. Au début, Burydan cru qu'il était obsédé par Rhonin parce que ses cheveux blonds et ses yeux bleus lui rappelait Darren, et que son petit corps fluet et fragile lui rappelait Martouf. Un mélange des deux en fait. Mais il savait à présent qu'il se mentait pour justifier un sentiment qu'il s'était promis de ne plus jamais ressentir. Il était définitivement, inexorablement et inconditionnellement tombé amoureux de son esclave. C'était irrationnel, mais c'était comme ça. ''Puissent les dieux me venir en aide'' pensa-t-il. Il serra un peu plus fort Rhonin dans se bras et s'endormit à son tour. |
|