15-12-2020, 08:47 PM
Mon sexe a repris de sa vigueur et je le laisse aux bons soins de Claire qui, avec ses mains, lui redonne sa taille maximale. Je me remets en position au dessus de ma cousine. Elle a de nouveau les yeux fermés. Mon gland est à l’entrée de sa fente. Avec un coup de rein, j’enfonce mon pénis d’un seul coup et en entier. Claire pousse un petit cri de surprise mais je pense que ça lui a plu parce qu’elle sourit. Je reprends mon va-et-vient au même rythme que la fois précédente en essayant de rester le plus doux possible et quand je sens le plaisir monter, je ralentis. Au bout d’un moment, même ralentir ne suffit plus alors je suis les conseils de Claire et je sors mon sexe de sa chatte pendant quelques instants pour faire redescendre mon excitation. Après cette pause, quand je retourne, j’ai l’impression que mon pénis est encore plus dur et les sensations sont encore plus intenses.
A nouveau, j’oublie de réfléchir et j’agis par instinct : je fais des mouvements de hanches les plus amples possibles. Les sensations autour de mon pénis sont de plus en plus fortes et se propagent dans tout mon corps ; je sais que je ne vais pas pouvoir m’arrêter. Alors je pose une main sur les seins de Claire que je caresse doucement, je donne quelques coups de reins et au moment où je renfonce mon pénis dans son vagin, je jouis à nouveau en elle, moins abondamment que la première fois mais tout aussi intensément.
A nouveau, je bredouille des excuses. Mais Claire me rassure :
- Ne t’en fais pas, tu t’es bien débrouillé pour ta première fois. Et tu as tenu plus longtemps cette fois-ci.
- Mais j’ai encore…
- Je t’ai dit de ne pas t’en faire. Aller, prends-moi dans tes bras !
Claire et moi nous nous allongeons sur le flanc, face à face sur le canapé. Son corps nu se détache du décor en nuances de gris dans l’obscurité. Je passe un bras par-dessus ses épaules pour la serrer contre moi puis je caresse son dos en suivant sa colonne vertébrale jusqu’à ses fesses. Avec mon autre main, je caresse ses seins du bout des doigts. De temps en temps, je dépose des petits baisers sur son visage et au creux de son cou. Au fil du temps, mon pénis retrouve son état excité. Je le sens se redresser en venir frotter contre le bas ventre de ma cousine.
- On dirait que tu es à nouveau d’attaque ! me dit Claire.
Tiens, comme tu as bien progressé, tu as mérité une petite gâterie. Assois-toi sur mon ventre.
Je m’exécute et je me pose sur le ventre de Claire, un genou de chaque côté. Avec ses mains, elle glisse ma bite entre ses seins pour une branlette espagnole. Elle la frotte avec sa poitrine tandis que de mon côté, je donne des petits coups de bassin presque par réflexe. J’ai le sexe en feu et chaque aller-retour me fait presque mal tout en libérant une onde de plaisir.
- Ça arrive ! dis-je à Claire pour la prévenir.
Elle accélère le rythme de ses caresses avec ses seins et voilà que pour la troisième fois ce soir, je jouis. Mais ce ne sont que quelques gouttes qui tombent sur le cou de Claire. Rien à voir avec les quantités que j’avais éjaculé plus tôt.
- Tu t’étais complètement vidé à l’intérieur ! me dit Claire en souriant. »
A nouveau, j’oublie de réfléchir et j’agis par instinct : je fais des mouvements de hanches les plus amples possibles. Les sensations autour de mon pénis sont de plus en plus fortes et se propagent dans tout mon corps ; je sais que je ne vais pas pouvoir m’arrêter. Alors je pose une main sur les seins de Claire que je caresse doucement, je donne quelques coups de reins et au moment où je renfonce mon pénis dans son vagin, je jouis à nouveau en elle, moins abondamment que la première fois mais tout aussi intensément.
A nouveau, je bredouille des excuses. Mais Claire me rassure :
- Ne t’en fais pas, tu t’es bien débrouillé pour ta première fois. Et tu as tenu plus longtemps cette fois-ci.
- Mais j’ai encore…
- Je t’ai dit de ne pas t’en faire. Aller, prends-moi dans tes bras !
Claire et moi nous nous allongeons sur le flanc, face à face sur le canapé. Son corps nu se détache du décor en nuances de gris dans l’obscurité. Je passe un bras par-dessus ses épaules pour la serrer contre moi puis je caresse son dos en suivant sa colonne vertébrale jusqu’à ses fesses. Avec mon autre main, je caresse ses seins du bout des doigts. De temps en temps, je dépose des petits baisers sur son visage et au creux de son cou. Au fil du temps, mon pénis retrouve son état excité. Je le sens se redresser en venir frotter contre le bas ventre de ma cousine.
- On dirait que tu es à nouveau d’attaque ! me dit Claire.
Tiens, comme tu as bien progressé, tu as mérité une petite gâterie. Assois-toi sur mon ventre.
Je m’exécute et je me pose sur le ventre de Claire, un genou de chaque côté. Avec ses mains, elle glisse ma bite entre ses seins pour une branlette espagnole. Elle la frotte avec sa poitrine tandis que de mon côté, je donne des petits coups de bassin presque par réflexe. J’ai le sexe en feu et chaque aller-retour me fait presque mal tout en libérant une onde de plaisir.
- Ça arrive ! dis-je à Claire pour la prévenir.
Elle accélère le rythme de ses caresses avec ses seins et voilà que pour la troisième fois ce soir, je jouis. Mais ce ne sont que quelques gouttes qui tombent sur le cou de Claire. Rien à voir avec les quantités que j’avais éjaculé plus tôt.
- Tu t’étais complètement vidé à l’intérieur ! me dit Claire en souriant. »