L'obsédé (hétéro) - Terminé

[jkf]

Pas très sympa non plus. Tant qu'il en reste au niveau des fantasmes, ça va encore...
Le texte me fait penser un peu penser à une histoire de Romr ("Dans tes bras", je crois) où le compagnon de la mère était en fait tombé amoureux du fils : ça se termine mal.
Merci, jkf !

Hello Emmanolife,
Je viens de lire la fin du récit de romr et effectivement ça se termine mal. Ici on n'est pas tout à fait sur le même registre.
Pour l'instant, c'est l'écriture qui m'emmène et comme je l'ai déjà précisé, je ne sais pas encore où.
A+
JKF

[jkf]

bonjour ,jkf,

Je sens un malaise d'Eric au point de vu sexuel, il d'écrit Annie comme une personne plus que banale qui donne pas envie
par conte quand Cloé rentre dans la cuisine c'est autre chose, on le sens plus enthousiaste

je  pense qu'il y a un manque quelque part

A+ jkf

bises

Hello Grostimido,
Pour Eric, il n'y a pas de malaise dans sa sexualité. Annie a changé avec le temps, la ménopause aidant. Elle est juste moins désirable. Chloé est plus proche de son idéal féminin.
A+
JKF

[curieux]

Bonjour jkf,

Cette fois, il y va y avoir de belles nanas, mais pas que.
De toute façon, heureux de te relire et je te fais confiance pour la suite.

[jkf]

Bonjour jkf,

Cette fois, il y va y avoir de belles nanas, mais pas que.
De toute façon, heureux de te relire et je te fais confiance pour la suite.

Hello Curieux,
Merci pour ton comm.
Effectivement il y aura des jolies filles mais pas que. 
La suite probablement en fin de journée.
A+
JKF

[Pierre771]

... il y va y avoir de belles nanas, mais pas que.
...

Attention, "pas que", c'est une (horrible) faute de français, bien que courante.
Il faudrait dire, par exemple, "pas uniquement", "pas seulement".

Si, le héros tel que tu le décris souffre d'un très gros malaise dans sa sexualité.
Quelqu'un qui va regarder du porno alors qu'il a dans son lit une femme pas plus mal qu'une autre et qui reluque sa très jeune belle-fille au lieu de s'occuper d'une femme qui n'a d'autre tort que d'être du même âge que lui est à minima mal à l'aise avec sa sexualité, voire mal à l'aise tout court...
Et au risque de me répéter : très mal élevé !

Ton idée était de décrire un parfait gentleman ?

PS Ce n'est pas une critique. Ce qui est amusant, justement, ce sont ses défauts

[jkf]

[quote author=curieux link=topic=230.msg4788#msg4788 date=1603378327]
... il y va y avoir de belles nanas, mais pas que.
...

Attention, "pas que", c'est une (horrible) faute de français, bien que courante.
Il faudrait dire, par exemple, "pas uniquement", "pas seulement".

Si, le héros tel que tu le décris souffre d'un très gros malaise dans sa sexualité.
Quelqu'un qui va regarder du porno alors qu'il a dans son lit une femme pas plus mal qu'une autre et qui reluque sa très jeune belle-fille au lieu de s'occuper d'une femme qui n'a d'autre tort que d'être du même âge que lui est à minima mal à l'aise avec sa sexualité, voire mal à l'aise tout court...
Et au risque de me répéter : très mal élevé !

Ton idée était de décrire un parfait gentleman ?

PS Ce n'est pas une critique. Ce qui est amusant, justement, ce sont ses défauts
[/quote]
Hello Pierre771,
Des fautes de français, il y en a car je ne suis pas puriste sur le style et parfois j'aime utiliser le langage parlé dans mes récits.
Sur la pornographie, je pense qu'il y a un certain nombre de personnes capables de mater du porno alors qu'ils ont dans leur lit largement de quoi les satisfaire. Après l'un n’empêche pas l'autre... Pour mémoire, l'un des flux les plus importants sur Internet, c'est justement la pornographie. Et il n'y a pas que des frustrés, il y a aussi des personnes tout à fait normales. De la à en déduire qu'elles sont mal élevées, je pense que le qualificatif n'est pas le plus approprié. C'est mon avis. Tu es libre bien évidemment d'avoir le tien. Je n'impose aucune vérité.
Des défauts, Eric en aura et donc du coup il ne sera pas si parfait que ça. Ce n'est qu'un homme
Merci pour ton commentaire.
A+
JKF

[jkf]

Chapitre I (suite)


La voiture de Charlotte se gare dans la cours. Le bruit du moteur est assez caractéristique. Charlotte possède une vieille deux-chevaux remise en état par son demi-frère. Avec sa couleur canari, on la repère de loin. Charlotte aime l’originalité. Elle n’a peur de rien, ni du ridicule ni du sérieux.

A première vue, c’est une jeune fille agréable et sympathique avec des cheveux bruns qui tirent sur le noir et qui, lorsqu’ils sont libres, viennent caresser le haut de ses fesses. Charlotte aime les monter en queue de cheval. Cela lui donne un petit air très coquin qui va de pair avec son visage en forme de fouine. Les yeux vifs marron foncés, on devine de suite l’humeur du moment, capable de passer du gant de velours lorsqu’elle est volage au fusil mitrailleur lorsqu’elle est colère.

Charlotte n’aime pas qu’on lui résiste. Ce qu’elle veut, elle doit l’obtenir. C'est une question de principe qui vaut pour toutes les situations de vie. Elle est petite, mince avec des formes bien marquées notamment au niveau de la poitrine. Sa poitrine, c’est en quelque sorte sa fierté première. Tous les hommes noient leurs regards désespérés entre ses seins lourds et fermes et le décolleté profond reste une marque de fabrique incontournable. Parfois elle porte un soutien-gorge rembourré pour souligner encore davantage ses formes féminines, parfois elle laisse ses seins libres sous ses vêtements. Pour qui la croise, l’instant reste souvent mémorable et cet instant déjà si agréable s’incruste à merveille dans les mémoires masculines mais pas que, lorsque se retournant, Charlotte jette sur la table son deuxième atout ; ses fesses.

Les fesses de Charlotte, c’est quelque chose. Des rondeurs parfaites, des courbes démentielles lorsque le mini short caresse son postérieur. A les regarder, on n’a de cesse de vouloir se transformer en siège conducteur juste pour les accueillir et les choyer avec délectation au moindre cahot. Mais pour l’heure, le siège est chagrin. Charlotte vient de sortir de la voiture après avoir tiré le frein à main et coupé le moteur. Elle ouvre le coffre, se saisie de ses affaires et se dirige vers la maison.

Miha vient l’accueillir, la queue en l’air en se frottant avec conviction contre ses chevilles. Charlotte se baisse pour caresser le duvet de la siamoise. Miha adore Charlotte. C’est sa préférée. Et ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est de partager son lit, parfois au-dessus lorsqu’il fait trop chaud parfois sous la couette lorsqu’il fait un peu plus frais, en fin de nuit. Elle profite de la moiteur de son corps nu pour se prélasser entre ses jambes, la tête blottie au creux de ses fesses. Charlotte adore cette boule de poils qui bénéficie allègrement de la chaleur de son fessier et lorsque la petite langue râpeuse s’active sur la fourrure de son pelage, les mouvements de la tête féline lui donnent des frissons de bien être. Charlotte dort très souvent sur le ventre et lorsque Miha vient chercher la tiédeur de son corps, charlotte écarte ses jambes pour que la chatte puisse venir s’y lover.

- Bonjour Eric. Maman n’est pas là ?
- Bonjour Charlotte. Elle est partie au marché tôt ce matin.
- Ah ok. Je ne fais que passer en coup de vent. Tu lui diras que j’ai laissé mes fringues sales dans la lingerie comme d’habitude. Lisa organise une petite fête et je vais lui donner un coup de main pour l’aider à préparer. Je ne rentrerai que demain en fin de matinée.
- Pas de soucis Charlotte. Je lui laisserai le message.

Charlotte monte à sa chambre récupérer quelques vêtements pour la soirée et elle frappe à la porte de sa sœur. Sans réponse elle ouvre. Personne !

- Chloé n’est pas là ?
- Non elle est au marché avec ta mère.
- Ah ok. Tu pourras lui dire qu’elle est invitée elle aussi. Je lui ai envoyé un SMS mais elle ne répond pas.
- Ok, je lui dirai Charlotte.
- Merci Eric. Bonne journée et à demain.
- A demain. Amuse-toi bien.

- °° -

[Pierre771]

La description de Charlotte ouvre l'appétit.
Beaucoup de tentations dans cette maison...

[jkf]

La description de Charlotte ouvre l'appétit.
Beaucoup de tentations dans cette maison...

Et ce n'est qu'un début  :

[jkf]

Chapitre I (Suite)

Le ronronnement du moteur s’efface lentement du paysage aussitôt remplacé par le tic tac régulier de l’horloge. Miha en profite pour s’avachir au fond d’un des deux fauteuils du salon, résignée devant la pénurie de câlin et la perspective éloignée du prochain repas.

Eric est maintenant seul à la maison. Il emprunte les escaliers qui mènent au sous-sol. Son sang bouillonne dans ses veines. Il perçoit le battement de son cœur sur ses tempes, synonyme d’une excitation profonde. Arrivé dans la lingerie, il repère facilement le sac déposée quelques minutes au préalable pas Charlotte à proximité de la machine à laver. Il le renverse et trie les vêtements en séparant la lingerie des autres frusques. Il met aussi de côté les collants.

Eric adore les sous-vêtements féminins et plus généralement tout ce qui touche de près ou de loin au sexe. Les petites culottes lui livrent nombre de secrets sur la femme qui les porte et son imaginaire déborde d’enthousiasme devant les odeurs sexuelles et l’abondance des traces qui ornent le fond des goussets. Parfois Charlotte est très généreuse mais il arrive aussi de temps en temps que son sexe marque une certaine réserve, un défoulement timide, peu prononcé, juste un filet étiré qui prend source après la naissance du clitoris pour terminer à la jointure des fesses. Quel que soit la représentation, Eric adore.

Et aujourd’hui il a beaucoup de chance. Il a comptabilisé huit culottes en tout genre, string, tanga, shorty, culotte invisible et deux collants. Il sourit. Huit, pour une semaine de cinq jours, c’est trois de trop, probablement des accidents et certains indices corroborent.

- °° -

[Pierre771]

Merci pour la suite
C'est très bien écrit
Perso, les sous-vêtements me laissent un peu froid

[jkf]

Merci pour la suite
C'est très bien écrit
Perso, les sous-vêtements me laissent un peu froid

Hello Pierre771,
Merci pour ton com.
A+
JKF

[jkf]

Chapitre I (Fin de chapitre)


Eric connaît tous les sous-vêtements portés par Charlotte. Dès qu’une petite nouvelle se présente, il est capable de la repérer immédiatement. Et ici, il y deux petites culottes inconnues avec ceci de particulier qu’elles ne sont pas très récentes. Elles ont déjà été largement utilisées, en témoignent les couleurs légèrement ternies probablement par de nombreux passages à la machine à laver.

En poursuivant les investigations, Eric remarque que les tailles sont différentes. Charlotte a pour habitude de placer ses petites fesses bien au chaud dans un trente-six douillet alors que celle qu’il a en main affiche un trente-huit. Surprenant, d’autant que la deuxième petite inconnue est elle aussi de la même taille.

Il y a là une énigme qu’il faudra résoudre. Mais pour l’heure, il y a plus urgent d’autant qu’un autre indice vient perturber la réflexion d’Eric. Dans le fond du gousset, collés aux sécrétions vaginales desséchées, il y a des poils pubiens noir. Or, Charlotte est de couleur châtain et de plus, elle est entièrement épilée. Eric le sait. Il a déjà croisée à de nombreuses reprises la jeune fille dans le couloir, à la sortie de la salle de bain entièrement nue, sans complexe. Contrairement à Chloé, Charlotte n’a aucune pudeur. Non pas qu’elle soit exhibitionniste, elle aime simplement vivre avec sa nudité. C’est pour elle une règle de vie et ses vacances, elle ne les conçoit pas en dehors des plages naturistes. Annie a beau pester devant l’indécence de sa fille, rien n’y fait.

Eric s’interroge. D’où peuvent bien provenir les poils noir ? Il hume les traces vaginales laissées sur les différents sous-vêtements et là aussi les effluves ne correspondent pas. Sur les deux petites inconnues le parfum est plus prononcé, plus fort que sur celles qu’il a l’habitude de sentir.

Enfin, les traces sexuelles laissées sont elles aussi différentes. Charlotte a une fente timide, effilée et ses petites lèvres laissent échapper des sécrétions journalières peu abondantes. Or les deux félonnes sont largement tâchées. Il y a dans les traces de mouille une générosité affolante qui n’hésite pas à s’imposer sur toute la surface du gousset.

Eric caresse tous les tissus, les respire, les compare. Son excitant est à son paroxysme. Il tient dans ses mains toute la sexualité de Charlotte et probablement celle d’une illustre inconnue. C'est encore plus grisant. Il est si proche et en même temps si éloigné de leur sexe qu’il a le sentiment de partager un peu de leurs intimités. Pour lui, ce n’est pas du vol, juste un recyclage écologique du produit des muqueuses et des tissus sur lesquels elles adhérent. Toutes ses sécrétions, toutes ses odeurs irrémédiablement perdues dans les eaux de lavage alors que lui n’a de cesse de les honorer, de les déifier, de les porter aux vertus de l’amour, du plaisir et de la jouissance ; horrible sacrilège dont il se fait le défenseur silencieux.

Et cette douce inconnue qui le provoque par culotte interposée. Insupportable érotisme de ce sexe délaissé, maculé, gluant de cyprine, offrande magnifique à qui sait l’apprécier, cupide et si généreux.

Eric n’en peut plus. Il déboutonne sa brayette, sort précipitamment le sexe de son slip et caresse les tissus souillés avec sa verge. Elle a pris une dimension impressionnante. Il se masturbe avec une délectation frénétique, une culotte sur le nez, une autre sur son sexe baveux. Plus rien n’existe que ces effluves sexuels qu’il consomme sans aucun remord, presque comme si elles étaient siennes.

Le plaisir prend de la hauteur. Le gland frémit, se durcit tout contre les traces sexuelles féminines. Eric accélère le mouvement. Le frottement devient plus intense plus humide aussi, plus glissant sur les effluves sexuelles laissées sur le gousset. L’excitation est à son comble et le sperme, délogé des coursives arrières de ses testicules, gicle en de longues saccades interminables.

Eric a juste eu le temps d’écarter la culotte pour jouir dans la paume de sa main en évitant ainsi d’éclabousser le sous-vêtement.

Il s’essuie le sexe et la main avec un des chandails sales de Charlotte qu'il roule en boule, range les vêtements dans le sac qu'elle a apporté et regagne tranquillement le rez-de-chaussée.

- °°° -

[Pierre771]

Merci pour la suite ! Situation intéressante

Charlotte, jeune femme apparemment libérée, vit toujours avec sa mère et son beau-père, apparemment. Elle ne ramène jamais de partenaire ?
Elle ne craint pas de susciter le désir de son beau-père insatisfait avec sa femme et plein de désirs inassouvis ?
Ces sous-vêtements non identifiés seraient-ils ceux d'une amante inconnue ?
Je n'ai absolument pas ce genre de fantasmes de sous-vêtements et d'odeurs mais j'admets...
Quel âge a-t-il ? 55 ans ? Quelle forme !

[jkf]

Merci pour la suite ! Situation intéressante

Charlotte, jeune femme apparemment libérée, vit toujours avec sa mère et son beau-père, apparemment. Elle ne ramène jamais de partenaire ?
Elle ne craint pas de susciter le désir de son beau-père insatisfait avec sa femme et plein de désirs inassouvis ?
Ces sous-vêtements non identifiés seraient-ils ceux d'une amante inconnue ?
Je n'ai absolument pas ce genre de fantasmes de sous-vêtements et d'odeurs mais j'admets...
Quel âge a-t-il ? 55 ans ? Quelle forme !

Hello Pierre771,
Charlotte partage surtout les week-ends avec sa mère et son beau-père. On ne lui connait pas de petit copain.
A titre personnel, je n'ai pas non plus ce genre de fantasmes, donc j'imagine. Je suis en revanche séduit par le magnifique soulignement du corps féminin qu'offrent des sous-vêtements de qualité.

A voir.
A+
JKF