Julie et moi

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PREFACE

En hommage à Paul B., merci à lui de m'avoir laisser quelques notes, merci à Julie, merci à sa mère. Je suis que le simple biographe d'une vie qui m'a troublée, j'ai écrit ce texte en essayant de me mettre à la place de Paul, c'est donc à travers lui que je raconterai son parcours. Il nous à quitter et laisse à ceux qui l'on connu un magnifique souvenir de lui.
Paul était atteint d'une maladie génétique, la myopathie de duchesne, saloperie qui consume un corps de l'intérieur, année après année, en détruisant muscles par muscles, les premiers à cesser de travailler sont les muscles des jambes, ce qui nécessite un fauteuil roulant puis après c'est dans tout le corps.

Dans ma petite ville je suis connu pour écrire quelques courts textes sans importance pour me distraire mais un jour, j'ai une jeune femme qui m'a rendu visite, c'était Julie.
Elle cherchait quelqu'un de confiance pour raconter ce qui lui était arrivé, quelqu'un qui ne la juge pas mais qui l'écoute.
Elle voulait raconter tout dans les moindres détails, elle pensait changer le regard de la société sur le handicap. Après l'avoir écouter et longuement réfléchit, j'ai accepté ! Pendant plusieurs mois je l'ai écouté, j'ai pris des notes, j'ai posé des questions et j'ai écrit. Paul avait laissé quelques écrits sur sa sexualité et sa vie, c'est ce à permit d'écrire si précis. La question se posa alors où publier ? Elle souhaitait que ce soit sur internet pour être facilement accessible mais à cause de certains passages je ne pouvais le mettre n'importe où, alors nous avons choisit docti. Ayant peu de temps libre, il est possible que la publication soit lente, son histoire m'a ému, j'espère que cela sera de même pour vous .

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CHAPITRE 1 : Une rencontre

Salut, moi c'est Paul, j'ai 14 ans et demi, on est en Septembre 2004, demain je rentre au lycée en 2de, je suis super content. Tout sera nouveau, une nouvelle vie commence !
Je suis un ado comme les autres sauf que je suis en fauteuil roulant avec une myopathie de duchesne.
Bon c'est un peu chiant mais je fais avec, je ne vais pas me plaindre toute la journée non plus. J'ai un peu de chance quand même, j'ai une super maman !

Me voilà au lycée, tout le monde m'a bien accueilli, la direction, les profs et les élèves. Ma classe à l'air génial , on va bien travailler, j'en suis sûr. Le must, il y a plein de jolies filles, mon amour de collège est déjà oublié ! Je suis de nouveau amoureux, elle s'appelle Julie, elle est vraiment trop belle, elle a des yeux verts comme l'émeraude, des cheveux châtains tout raides, des seins de bonne taille mais pas trop gros, des fesses bien fermes, je pense !
Sa voix est douce, elle est gentille, elle s'est assise devant moi, à ma gauche c'était mon auxiliaire de vie scolaire (AVS).
Le courant est bien passé, on a fait connaissance, elle a 17 ans car elle a redoublé 2 fois, une en 2de et l'autre collège, elle habite avec son père à côté du lycée.
C'était une superbe journée, vive la suite !

Mi-Septembre, déjà 2 semaines que je suis au lycée, Julie me parle dès qu'on a un moment, elle est bizarre cette fille, pourquoi s'intéresse t-elle à moi ? Ce n'est pas pour me déplaire, je suis raide dingue, dès qu'elle me fait la bise, je deviens tomate et très serré dans mon caleçon, heureusement je suis assis, personne ne peut rien voir.
Elle pourrait avoir n'importe quel garçon, serait-elle amoureuse de moi ? Ce n'est pas possible, pas dans mon état. Je me masturbe tous les jours en pensant à elle.

J'ai une pièce avec une table et une armoire dans un coin du lycée, à ma disposition, avec les toilettes aménager à côté, c'est là que je passe mon temps  libre, à travailler car le soir j'ai kiné. Mon avs se plaint d'ailleurs car elle a fixé comme objectif mon intégration et mon passage en première.
De quoi elle se mêle ? Je suis assez grand pour savoir ce que je veux, mes camarades j'en ai vite fait le tour, leurs passions, soirées en discothèque le week-end, sorties entre amis le soir et surtout, triste époque, consommation excessive d'alcool jusqu'à l'ivresse, cannabis et sexe, quand je dis sexe c'est qu'une grande partie de mes camarades changeait de partenaires toute les semaines.
J'ai rapidement été écœuré, pour moi sexe c'est amour, la fête sans alcool, faut-il être ivre pour s'amuser ? Et les parents à quoi servent-ils ? On parle d'ados de quinze ans après à mon avis, sur le sexe ils devaient être peu nombreux à avoir coucher car embrasser une fille, lui caresser les fesses ce n'est pas pareil que de la pénétrer.
Heureusement tous ne se comportent pas de la sorte mais rien à faire je n’accroche pas alors l'avs qu'elle s'occupe de ses oignons, je ne vais pas me forcer avec des gens que je n'apprécie pas.
Enfin bref, revenons à Julie qui ne boit pas, ne fumes pas et ne se drogue pas, un jour elle m'a suivit et elle m'a proposé de travailler avec moi, j'ai tout de suite accepté.
C'est super, ont bossent mais ont discutent et rient aussi, c'est la joie de vivre ! Je l'aime mais je n'arrive pas à lui dire, j'ai peur qu'elle me quitte !

CHAPITRE 2 : Le début des ennuis

[ericb]

Merci a toi et a Julie de narrait une histoire différente de celle des autre personnes de tout les jours

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CHAPITRE 2 : Le début des ennuis

Les vacances de la Toussaint sont longues, Julie me manque, elle m'a téléphoné hier, elle aussi je lui manque. Vivement la rentrée !
10 jours après j'ai eu un rendez-vous à l'hôpital, je dois être opérer du dos rapidement, ma colonne vertébrale dévie, il faut la fixer entre deux barres de métal. En attendant il faut que je porte un corset, le rendez-vous avec le chirurgien est prit.
Menteur de toubib, quatre ans plus tôt j'ai été opéré des hanches pour soi disant éviter une déviation du bassin et donc de la colonne, et là il me dit que c'était pour rien, j'ai souffert pour rien, deux mois de morphing pour rien !

Quand je retourne au lycée, je retrouve Julie qui me redonne des forces. Plusieurs semaines après me voici dans un corset qui me maintien le dos, je ne peux plus me pencher et lever mes bras est devenu plus difficile.
J'ai mal avec, il me blesse, je suis retourné plusieurs fois le modifier, ça s'arrange doucement . J'ai rencontré le chirurgien, je lui demande si il y  a des risques, il me regarde froidement et dit »la mort et infection générale ».
Putain, j'ai quinze ans merde, je ne veux pas mourir tout de suite !

J'ai pleuré, pleué, super la nouvelle année ! Et Julie elle est toujours avec moi.

Je ne me ferai pas opérer, c'est des menteurs, je n'ai plus confiance en eux, je change d'hôpital.
Mon esprit va mieux, je me suis habitué au corset, j'ai de nouveau la pêche.
Un après-midi dans ma pièce, je parle avec Julie, on rigole, elle me regarde, je la regarde et d'un coup elle approche ses lèvres des miennes, les déposes dessus et m'embrasse, une fois, deux fois, trois fois, je sens sa langue qui force ma bouche, je l'ouvre, nos deux langues se rencontrent et s'unissent dans un magnifique ballet, mon sexe est tendu au maximum.
N'ayant plus de souffle, Julie se recule puis me dit :
« -je t'aime
-moi aussi
-tu en as mit du temps à me le dire
-j'avais peur que tu le prenne mal
-pourquoi ?
-je ne sais pas, j'étais pas sûr que ce soit réciproque
-et bien si »
Nous nous embrassons de nouveau, je l'aime, elle m'aime, c'est merveilleux, plus rien ne compte ! 

L'année scolaire se termine, je passe en première S et Julie en L, nous nous embrassons, nous sommes début Juin. Je l'invite à la maison, mes parents l'adorent, ma sœur aussi , nous partons nous promener dans la campagne, nous nous embrassons encore, ont s'aiment. Elle part en Gironde avec son père tout le mois de Juillet, vivement Août, je pourrai aller chez elle !

CHAPITRE 3 : Une nouvelle étape

[bech]

Début intéressant, mais le texte est déjà en pause.

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CHAPITRE 3 : Une nouvelle étape

Juillet est long sans Julie, pas de nouvelles d'elle, elle m'avait prévenu, elle campe dans une zone très reculé sans réseau, ni internet. Jusqu'à aujourd'hui je ne pouvait pas me rendre chez elle par manque de véhicule, c'est un bus spécial qui m'emmène au lycée mais maintenant que mes parents ont acheté un master, ça va changer.

J'ai reçu un appel de Julie, demain je peux passer la journée chez elle, son père travaille, elle m'attends pour onze heures. Maman n'est pas trop rassuré mais elle finit par accepté.
Le lendemain, à onze heure pile je suis chez Julie, elle fait la bise à maman et me dépose un doux baiser sur les lèvres. J'ai juste emmené mon urinoir et oui ça fait hôpital mais c'est super pratique.
Maman a jeté un coup d’œil à l'intérieur, Julie ne s'est pas tromper, je peux circuler partout, elle nous laisse tout les deux, c'est génial, c'est la toute première fois que je suis seul avec une fille. Nous nous installons dans le salon, elle me raconte ses vacances, la plage, ses balades...Elle a bronzée, elle est encore plus belle, elle porte un t-shirt avec un beau décolleté qui  laisse voir la naissance de ses seins  et les bretelles de son soutien-gorge avec une petite jupe bleue, qui descend à mi-cuisses, elle a de très belles jambes, je commence à bander.

« -hey, tu ne m'écoutes pas,  tu me mates
-non
-c'est ça »
Je rougis un peu
« -si tu veux voir, tu vas voir, après tout je suis ta petite amie mais avant tu dois me dire bonjour comme il se doit »
Elle retire la tablette de mon fauteuil où j'écris et pose mon assiette et elle vient de nouveau mettre ses lèvres sur les miennes, elles sont si douces, nos langues se retrouvent enfin, le baiser est intense.
« -je t'aime Julie
-moi aussi »

Elle enlève son t-shirt, je découvre son soutien-gorge blanc en dentelle, elle le dégrafe, il tombe. La fille que j'aime est à moins d'un mètre de moi, les seins nus, ils sont beau ses seins, on dirait de grosses poires, j'ai envie de les toucher mais je ne peux pas bouger.
Julie s'approche, sans un mot, elle prend ma main et la dépose sur un sein, je peux bouger un peu mes doigts, ce qui me permet de le caresser légèrement, sa peau est douce, son téton tout dur, j'aperçois des frissons sur son corps.
Elle met ma main sur son autre sein, je recommence pareil, c'est tellement agréable de découvrir le corps d'une femme.

Mon érection est à son maximum, elle repose ma main, me regarde mais ne dit rien, ses yeux si beaux parlent à sa place, je vois le désir dedans. Une femme me désir, moi Paul mais je suis frustré, frustré de ne pas pouvoir la caresser comme je veux.
Julie me tourne le dos, elle enlève sa jupe pour faire apparaître sa culotte, en dentelle blanche qu'elle enlève également.

Je découvre ses fesses rebondies, elle est nue, entièrement nue, c'est la toute première femme nue que je vois(on a pas encore internet à la maison), elle tourne sur elle mène, elle est trop belle, elle me regarde mais moi je suis fixé sur sa touffe de poils entre ses cuisses.
« -tu me trouve comment ?
-magnifique
-merci, tu as déjà vu une fille nue ?
-non jamais
-et internet ?
-on l'a pas
-ha oui c'est vrai ! Tu dois être serré dans ton pantalon ? »
Je vire couleur tomate, elle s'approche, pose la main sur mon entre jambe et tâte.
« -j'ai raison, tu es tout dur, allonges toi »

Grâce à mon super fauteuil à 30 000€, non il n'y a pas d'erreur dans le prix, je baisse mon dossier, mes jambes remontent. Julie ouvre ma braguette, s'empare de mon pénis et le sort, il palpite dans sa main, elle le décalotte, entame quelques va-et-viens puis l'insère dans sa bouche.
Il est tend, je me vide pendant plusieurs secondes, en de puissants jets, je crois me vider, Julie avale tout mais une partie coule de ses lèvres, et quelques tombe sur mon pantalon.
Avec de l'essuie tout, elle me nettoie.

Je met plusieurs minutes pour réaliser, non ce n'est pas un rêve, elle est toujours là, nue et rayonnante.
« tu as aimé Paul ?
-oui
-tant mieux ce n'est pas finit, approches »
Elle prit une chaise, posa une jambe dessus et l'écarta en grand, ouah je découvre son sexe, il est sans poils, tout son sexe a été épiler, sauf son mont de vénus, sa fente est toute mouillée, pourquoi ?
« -tu vois ici, c'est mon clitoris, c'est très sensible, c'est comme ton gland »
Elle se caresse devant moi en gémissant. Mon pénis reprend de la vigueur.
« - Si je mouille, c'est parce que je suis excitée, un garçon ça bande, une fille ça mouille, ça c'est mes lèvres intimes »

Elle a glissé deux doigts dans sa fente et gémit en se doigtant.
« -tient goûtes »
Elle a glissé ses doigts dans ma bouche, je les suces, son jus est délicieux, on  recommence plusieurs fois, elle m'abandonne un instant pour s'occuper d'elle, elle masse son clitoris et se doigte en gémissant soudain elle a poussé un grand cri et s'est arrêtée, elle reprend son souffle.
Quand tu jouis, tu éjacules, chez une fille, elle a son vagin qui se contracte puis tout son corps, j'ai faim !
-et moi ?
-ça te déranges de rester le pénis à l'air ?
-non mais ton père si...
-il ne rentre jamais avant 21H. »

CHAPITRE 4 : Une nouvelle étape (suite)L

[bech]

très sympa Julie. Même si Paul est handicapé, elle lui fait découvrir la sexualité féminie (et la fellation aussi).

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CHAPITRE 4 : Une nouvelle étape (suite)L

Nous allons dans la cuisine, Julie met la table et les frites à cuire, j'admire son corps, elle est trop belle, mon sexe est toujours dressé.
« -ça va Paul, tu mâte ?
-heu...non
-petit coquin, tu crois que je ne te voit pas »
Elle s'approche, prend mon pénis, me masturbe.
« -c'est bon ce que tu me fait
-tant mieux »
Elle s'arrête, retourne aux frites.

Une question me brûle les lèvres
« -pourquoi moi Julie ?
-quoi ? Pourquoi toi ?
-tu es jolie, intelligente, n'importe quel garçon voudrait de toi et tu choisit un handicapé ? »
Houlà, grand silence, j'ai dis une connerie !
Elle revient vers moi, me fixe avec ses yeux verts :
« -quand je te vois, Paul, je vois un beau jeune homme, charmant, intelligent, cultivé, qui s'intéresse à tout et qui a un grand cœur alors oui, il y a le fauteuil bien sûr mais quand je suis avec toi, tout mon corps frisonne, ce n'est pas le fauteuil que je vois, c'est l'homme.
Avec toi, je parle de tout, tu n'as aucune limite. Je me sens bien en ta présence, je crois que cela s'appelle de l'amour et c'est incontrôlable.
J'ai eu deux copains avant toi, deux machos, le premier après m'avoir baiser, il m'a virée, il a eu ce qu'il voulait, se baiser une petite vierge. Le deuxième, je lui servait de trophée , qu'il exhibait devant ses copain,s en me tripotant les fesses en public comme une pute et quand on était seul chez lui, c'était jeux vidéos tout le temps, on a couché ensemble trois fois en six mois »

Quelques larmes coulent sur mon visage, c'est beau ce qu'elle dit, elle m'embrasse et essuie ma joue avec sa main.
« -je ne pourrai jamais te faire l'amour
-ça c'est ce que l'on va voir mais avant, à table ! »

Nous mangeons les frites avec du jambon et en dessert une crème au chocolat, nous parlons de beaucoup de choses dans la bonne humeur. Une fois terminé, Julie fait la vaisselle puis me laisse 5 minutes pour aller dans le garage.
Elle revient avec quatre grosses câles en bois :
« -qu'est ce que tu fais ?
-tu vas voir »
Elle les plaça sous les pieds de la table du salon, prit un tabouret et se mit à quatre pattes dessus . Ouah, la vue, quelles fesses, quel beau sexe, c'est pas que je m'y connaît mais c'est magnifique !
« -approches, ton fauteuil dois passer sous la table »
C'est vrai, ça passe, c'est super, ma tête est juste devant sa fente toute humide.
« -c'est super, tu vas pouvoir me lécher la chatte, commence par mes lèvres ici »

Elle me montre avec son doigt, j'approche ma bouche, je suis enivré par son odeur de femme. Je pose ma langue sur son sexe, je lèche du bas vers le haut , le goût est très agréable. Sa fente s'humidifie d'avantage, elle gémit un peu .
Je suis ses indications, j'arrive sur son clitoris, elle pousse un petit cri, j'ai l'impression que je lui donne du plaisir. Au bout d'un moment, je connais mieux son anatomie j'ai repéré ses points sensibles . Julie ne dit plus rien, elle se colle à ma langue et gémit de plus en plus fort, je fouille sa fente le plus profondément possible. Ma verge me fait mal, soudain je sens Julie se contracter violemment, elle a jouit.

J'ai réussit à la faire jouir ! Après un moment elle descend de la table, elle dépose un baiser sur mes lèvres :
« -tu es le premier à me faire jouir avec ta bouche, il te faut une récompense »
Elle grimpe sur une petite marche, j'approche, elle me tend un sein.
« -suces »
J'approche ma bouche, dépose un baiser à côté de son téton, puis je lèche autour, elle frisonne, j'aspire le téton, le lèche et le tête, Julie respire plus vite, elle me tend le second que je traite pareil, une main glisse entre ses cuisses, elle se masturbe.

Nous arrêtons un moment jusqu'à ce qu'elle reprenne mon pénis en bouche, je jouit, elle avale. Nous discutons mais Julie à d'autres choses en tête.
« -Paul, il faut qu'on essais une pénétration
-comment ?
-je ne sais pas encore »
Elle me branle pour me faire durcir, elle essaie de s'assoir sur moi mais sans muscles dans mes jambes, elle est trop lourde (elle qui est toute maigre) et puis avec le corset qui me grossit mon gland touche tout juste son anus, on n'y arrive pas , si seulement j'avais une plus grande verge.

Du coup on est super déçus, Julie est certaine que l'on y arrivera, un jour ! Pas moi.
L'après-midi se passe bien, on se caresse encore et je rentre chez moi, heureux mais un peu frustré !

CHAPITRE 5 : retour à la réalité

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Paul est un peu étonné que Julie s'intéresse autant à lui qui est handicapé alors qu'il y a beaucoup d'autres garçons. Mais Julie dit en avoir "essayé" deux, l'un est parti après l'avoir baisée et pour le deuxième, elle était une femme objet. Julie voie en Paul beau jeune homme, charmant, intelligent, cultivé, qui s'intéresse à tout et son fauteuil roulant est le seul inconvénient. Elle se sent bien avec lui et ils parlent de tout.

Mais Paul craint de ne jamais pouvoir lui faire l'amour. En utilisant des cales pour qu'ils soient tous deux à la bonne hauteur, Julie lui prouve le contraire en donnant à Paul la possibilité de lui faire une fellation, ensuite, c'est au tour de Julie de faire pareil avec Paul. Julie souhaiterait une pénétration mais n'a pas encore trouver comment y arriver.

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CHAPITRE 5 : retour à la réalité

J'adore  ce mois d'août, je vais chez Julie tous les mardi et samedi, j'ai moins de kiné aussi plus que 3 fois par semaine, c'est moins étouffant. On s'amuse sexuellement à chaque fois, on a réessayer la pénétration, le problème exact, c'est que je n'ai pas de force dans mon bassin et que  je ne peux pas faire de va-et-viens. Il faut que Julie me grimpe dessus et que je sois allongé sur le dos, là ça irait mais le problème c'est que l'on peut le faire que chez moi car il faut me porter pour me coucher et Julie ne peut pas le faire .
Le problème chez moi, c'est que je partage ma chambre avec ma sœur, c'est donc impossible !
Julie pourrai faire des va-et-viens mais elle n'a aucun appui sur le fauteuil.

C'est vraiment dommage mais cela ne nous empêche pas de nous aimer.

Septembre
C'est la rentrée mais pas la joie, je vais moins voir ma chérie, on est pas dans la même filière. En plus, j'ai toujours la même avs et franchement je n'en peux plus, elle veut tout décider à ma place, ce que je dois faire, où je dois aller, ce que je dis, j'ai besoin d'aide mais pas qu'on décide pour moi, j'ai quinze ans quand même !

J'ai changé d'hôpital comme le l'ai déjà dit, le médecin est plus sympa, pour le dos ça peut attendre mais je crois que je n'y échapperai pas, ça me bouffe la tête d'un côté c'est mieux d'y aller mais de l'autre je ne veux pas souffrir, ni mourir, c'est dur !

Octobre

Deux bonnes nouvelles, la première , c'est l'anniversaire à Julie et la deuxième mon avs doit se faire opérée et qu'elle ne reviendra que mi-Janvier, enfin libre ! J'ai invité Julie à la maison, maman a fait un gros gâteau et je lui ai acheté un gros bouquet de roses rouges, elle a 18 ans ! Ensuite on a été se promener dans la campagne, on adore la nature tous les deux.
Elle est vraiment super comme fille, je l'aime.

J'ai été chez elle aux vacances de la Toussaint, grande discussion et sexe, j'aimerai caresser son minou mais j'ai les poignets bloqués, je ne peux pas les tourner.
J'ai une nouvelle avs, elle est très gentille et moi je suis libre.

Novembre

J'ai 16 ans, une petite amie, une famille super, que demander de plus ? Julie m'a enfin présenter son père, il est super, comme elle !

Décembre

Encore des vacances , on fait comme à la Toussaint .

CHAPITRE 6 Une année scolaire surréaliste

Janvier

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CHAPITRE 6 Une année scolaire surréaliste

Janvier

Superbes vacances avec ma chérie. Mon avs est revenue, on s’engueule tous les jours, je ne me laisserai plus faire, c'est la guerre . C'est difficile de travailler dans ces conditions. Julie ne veut plus que l'on se cache, on n'hésite  plus à s'embrasser en public, après tout, tout le monde le fait.
Un jour avec Julie on se croise, trois jours que l'on ne s'était pas vu, elle s'approche et m'embrasse, derrière nous il y a trois gars, il y en a un qui dit :
« -c'est triste une si belle fille avec un handicapé »
On poursuit notre chemin, les autres ont s'en fiche, notre amour est plus fort que tout .

Février

Ce qui devait arriver est arriver, j'ai très vulgairement envoyé mon avs promener, elle s'est plein au CPE, j'ai été convoquer en plein cours à la surprise générale de mes camarades, moi le plus discret de tous, j'ai réveillé la bête.
Blabla.... Le coupable c'est moi, je dois le respect... C'est pas lui qui la supporte, Julie, elle sait comment elle est, elle veut m'aider mais ça sert à rien, je la dissuade.
Et je me fais encore engueuler parce que mademoiselle avs, je ne lui ai pas dit où j'étais, j'étais avec ma chérie, c'est interdit ?
C'est fait exprès pour l'e&&&rder.

Le soir chez moi, je comprends qu'il est impossible qu'elle parte, moi qui avait passé deux mois tranquille. Avec maman, on décide la grève jusqu'à ce que l'académie cède, c'est triste d'en arriver là ! J'ai des camarades sympa qui récupèrent les cours pour moi.
Les  vacances arrivent avec Julie on fait comme d'habitude.
J'adore dévorer sa chatte et la faire jouir avec ma langue, en plus elle est demandeuse. J'aime aussi quand elle prend mes boules en main et me suce, c'est le top. Qu'est ce que se doit-être bien une pénétration... J'arrête de rêver.

Mars

Victoire, l'académie a cédé après 1 mois, vacances comprises, l'avs dehors, vive la nouvelle ! Je retrouve ma liberté et je reprends le stylo, j'ai du mal à écrire à force de ne plus  le faire. Ben oui, l'avs le fait alors pourquoi se fatiguer ?
Pour vivre, tant que je pourrai écrire je le ferai, j'irai jusqu'au bout comme pour tout.
MARS

Lycée bloqué, c'est le CPE à Villepin, on rentre quand même avec Julie, on soutien le mouvement mais on veut notre bac. C'est pas sérieux comme mouvement, en maths-physique il y a toute la classe, en français -histoire, on est 5. Tu parle d'une mobilisation, ça vaut pas 68.
L'avantage c'est qu'avec Julie, on a plein de cours annulés, du coup on se retrouve souvent dans ma pièce et pas pour bosser, on a presque rien à faire.
Un matin, je la voit arriver en robe et collant, elle n'en porte jamais, moi j'attends le cours de 8h, elle passe devant mes camarades et m'embrasse à pleine bouche, houlà quand elle se penche, elle n'a pas de soutien-gorge.
On se met à l'ecart 2mn :
« -c'est quoi ta tenue ?
-tu n'aime pas ?
-pas trop t'es un peu provocante
-c'est pour toi que je le fait mais que aujourd'hui pour t'exciter »
C'est réussit, je bande, sa robe est juste sous ses fesses, tous les gars la regarde.
« -rendez vous 13h30 jusqu'à 16h et...je n'ai pas de culotte »

Elle part, moi je bande et ne pense plus qu'à elle .
Quand on se retrouve dans la pièce, on baisse les stores, je gare mon fauteuil derrière la porte pour la verrouillé et là, elle enlève sa robe, elle est nue en dessous, sans un mot, elle approche je prends un sein en  bouche puis un second, elle gémit.
Elle libère mon pénis, elle s'assoit sur une chaise, jambes écartées, se masturbe jusqu'à la jouissance puis elle me décalotte, me branle et me suce, comme d'habitude je jouis, elle avale.
Pas de cunni pour elle, on a pas nos cales.

Elle m'avoue avoir été très gêner d'être quasi nue mais c'est pour me faire plaisir qu'elle l'a fait . Elle ne le refera plus, être l'allumeuse c'est vraiment pas elle.

Avril et Mai passe tranquille, les vacances de Pâques toujours avec ma chérie puis vient Juin et le bac de français.

CHAPITRE 7 : Une période paisible

[pinmaritime108]

Suite?

[grostimido]

Bonjour,

Oui je veux bien une suite

[pinmaritime108]

CHAPITRE 7 : Une période paisible

On a réussi le bac de français 9 à l'écrit, 14 à l'oral pour moi, 13 à l'écrit et 16 à l'oral pour elle. Julie est venue à la maison 7 jours de suite, elle a son permis maintenant avec une voiture. J'ai été un peu chez elle mais le 18 Juillet, elle est partit en vacances avec son père jusqu'au 15 Aout . J'espère qu'elle ne me quittera pas pendant ce temps.

Septembre

Ma chérie est de retour, le lycée aussi. Je n'ai aucune idée de quoi faire l'année prochaine, Julie se sera la fac pas trop loin, pour moi et son père. D'un point de vue santé, ça va ou presque je ne peut plus soulever un verre d'eau je suis obligé d'utiliser une paille, pour manger je prends appui sur ma tablette et je viens de m'apercevoir que ma tête penche un peu sur la gauche, elle ne peut plus tourner à droite .
Pour ne pas trop me fatigué les profs me propose de passer le bac sur deux ans, j'accepte. Je peux le faire en un an comme tout le monde mais j'ai accepté pour deux raisons, mes très mauvais résultats depuis la rentrée et que je n'ai aucune idée sur mon orientation.

J'en ai mais je veux rester chez moi, ça me paraît une montagne de partir.
Julie ça va, elle a des bonnes notes.

JANVIER

J'ai eu 17 ans Julie 19.
Comme d'habitude on ce voient chez elle aux vacances, ça fait deux ans qu'on est ensemble, c'est super.

JUIN
C'est le bac, Julie l'obtient 14/20, moi je passe philo, espagnol , anglais, histoire, svt, je repasserai la philo l'année prochaine avec les maths et la physique .
J'ai accepté l'opération du dos, je rentre à l'hôpital la dernière semaine d'Août pour m'habituer au respirateur que j'aurai pendant  quelques jours après.
Je serai seul, maman avec son travail ne peut pas rester et Julie sera à la fac.

Pour l'instant ma chérie est là, elle part en vacances dans quelques jours, je la reverrai juste deux jours avant l'hôpital. On profite pour nos petits jeux sexuels, ma tête qui penche me gêne un peu pour son cunni mais j'y arrive .


CHAPITRE 8 : le début de l'enfer