23-08-2020, 04:31 PM
Ce récit n'est pas de moi.
Nous avions commencé à rouler depuis longtemps déjà et notre petite Ford nous rapprochait chaque minutes un peu plus de notre destination finale : la Bretagne. Nous devions y passer deux semaines du mois d'Aout, au bord de l'eau, chez mon oncle et ma tante. Je me réjouissais à l'idée de revoir cette branche de la famille et plus particulièrement ma cousine, Claire. Nos parents ne se voyaient que très rarement, non pas qu'ils soient fâché mes les occupations de chacun et la distance font que parfois les gens se voient moins. Ainsi, je n'avais rencontré ma cousine qu'à de très rares occasions, au cours de dîner familiaux chez mes grand parents. Le dernier de ces dîner avait eut lieu il y a plus de 5 ans. Autant dire que je n'avais qu’un souvenir très flou des discussions que j'avais eu avec Claire. Une seule chose était certaine, ses photos sur Facebook me l'avaient confirmé, la fille que je trouvais déjà jolie il y a 5 ans de cela était devenue une demoiselle des plus charmantes et à l'apogée de sa beauté.
Nos avons le même âge tout les deux, 18 ans, et notre Bac en poche depuis quelques semaines. Voilà à peut prêt tout ce que je sais d'elle. Autant dire que nous avons du temps à rattraper. J'attends de l'avoir sous les yeux pour vous la décrire physiquement, le portrait n'en sera que plus vivace ! Quant à moi je m'appelle Cyril, je suis brun, les yeux verts, je fais un bon mètre 80. Je suis légèrement bronzé mais pas tant que ça pour quelqu'un qui habite dans le Sud de la France ( nous venons de Orange ). Je suis plutôt musclé, pas un athlète non plus mais disons que j'ai fait un peu de musculation.
Je viens d'apercevoir un panneau "Bienvenue en Bretagne" sur le bord de l'autoroute. Pas trop tôt... Mais il nous reste encore au moins une heure de route pour arriver à destination. On devrait arriver pour le goûter... J'espère seulement que les nuages qui assombrissent le ciel vont se dissiper et que le Bretagne, trahissant se réputation, nous offrira des jours chauds et un soleil radieux. Y a intérêt ! Entre la piscine de la maison de ma cousine et l'océan tout proche, on n’aura que l'embarras du choix si il fait beau. Sinon, j'imagine qu'on jouera aux dominos pendant deux semaines...
Nous quittons l'autoroute pour rejoindre de petites routes qui sillonnent la campagne. Assis à l'arrière de la voiture, je regarde le paysage par le fenêtre et pour passer le temps, je laisse mes pensées vagabonder. Une scène me revient en mémoire. Elle s'est passée il y a deux ans alors que mes parents nous avaient laissé l'appartement à ma sœur et à moi, l'espace d'un week end qu'ils avaient passé de leur côté en amoureux à Venise. Ma sœur Justine et moi avions décidé de profiter de leur absence pour sortir le samedi soir. Justine est brune, fine avec une poitrine plutôt petite. Elle se coiffe de telle sorte que ses cheveux tombent en cascade sur son dos et encadrer son visage aux yeux couleur noisette en ondulant légèrement. Aujourd'hui elle a 21 ans et elle ne fait pas partie du voyage parce que ses études lui prennent beaucoup de temps. A l'époque elle avait 19 ans et moi 16.
« -Je vais chez Tom ce soir , lui avais-je dis. On va se faire une soirée jeux vidéo et je dormirai chez lui. Je rentrerai demain vers midi je pense, alors ne t'inquiète pas !
-Pas de souci, on va au ciné avec des copines ce soir et après je rentre. »
Je me doutais bien qu'elle avait prévu un peu plus qu’un simple ciné, de même que moi j’avais prévu plus qu’une bête soirée jeux vidéos. Mais c’était un accord tacite entre nous de profiter à fond de cette soirée de liberté sans se préoccuper de ce que ferai l’autre. Pour ma part, je devais aller en boîte de nuit avec Tom. Nous n'avions pas l'âge requis bien sûr mais il connaissait un videur qui pourrait nous faire rentrer. Je n'étais pas tes friand de ce genre de soirées mais il m'avait convaincu de l'accompagner parce que, disait-il, « il y a des filles superbes en boite » . À 19 heures, ma sœur était partie au cinéma et je devais rejoindre Tom chez lui à 20 heures. Mais c'est vers 19heures30 que je reçu un sms de Tom m'annonçant que son ami videur n'était pas de service ce soir là et qu'il faudrait repousser notre excursion à une autre fois… C'était une bonne excuse, mais j'étais convaincu qu'il s'était dégonflé... C'est donc un peu dégouté que je me couchai et je m'endormis rapidement.
Le bruit de la porte d'entrée de la maison me réveilla. Mon réveil indiquait minuit. J'entendais deux voix, celle de ma sœur et une autre plus grave. C'était Thibault, son petit copain avait qui elle sortait depuis maintenant 6 mois. Un gars sympa, blond et musclé. Ils parlaient plutôt fort et je pouvais discerner presque tout ce qu'ils disaient.
« - Tu es sûr que ton frère n'est pas là ?
- Mais oui, t'inquiète pas pour ça , il ne reviendra que demain dans la matinée ! Ça te rassure si je vais vérifier dans sa chambre ?
- Oui, fait ça s’il te plait »
J'étais à présent parfaitement réveillé, tous mes sens en alerte. Le plus doucement possible, je sortis de mes couvertures et je me cachai sous mon lit alors que j'entendais les pas de ma sœur qui se rapprochaient. Ça peut paraître idiot de se cacher sous son propre lit alors que l'on a rien fait de mal... Mais j'avais le pressentiment que je ne devais en aucun cas montrer ma présence. La porte de ma chambre s'ouvrit et ma sœur s'approcha de mon lit. De là où j'étais, je ne voyais que ses petits pieds fins. Mon cœur battait la chamade mais ma sœur finit par sortir de ma chambre en fermant la porte. Je sortais alors de ma cachette et me remettais sur mon lit tandis que j'entendais les deux amoureux entrer dans la chambre de ma sœur qui est accolée à la mienne. Pendant 20 minutes je n'entendis presque rien puis tout à coup, je cru percevoir un bruit aqueux. Je me levai sur la pointe des pieds, marchai jusqu'au mur qui sépare nos deux chambres pour y coller mon oreille. J'entendis alors plus distinctement ce bruit aqueux qui revenait régulièrement et tout à coup :
« Mmmmmh ».
C'était ma sœur qui gémissait. Je restais planté là, l'oreille contre le mur, les bras ballant. Mais mon pénis devait avoir compris ce qui se passait avant mon cerveau parce que j'avais un début d'érection. Au bout de quelques minutes, les gémissements se firent plus fort si bien que je pouvais les entendre même en étant allongé sur mon lit. J'avais enlevé mon pyjama je me trouvais allongé sur le dos, nu et avec, cette fois, une belle érection.
Justine devait avoir passé un seuil en termes de plaisir parce qu'à la place des gémissements, elle poussait maintenant de petits cris.
- Han han han. Han !
Je commençais un va et vient avec ma main le long de mon pénis.
- Oh oui, han !
Je n'avais encore jamais bandé aussi fort et mon pénis était devenu plus dur et gonflé que jamais ! Et je continuais mon va et vient en écoutant Justine se faire prendre. Je calquais le rythme de ma masturbation sur les réactions de ma sœur. Dans ses moments de silence, je ralentissais mon mouvement tandis que lorsqu'elle s'exclamait « oh oui, plus vite ! », j'accélérais.
J'imaginais Thibault donnant des coups de rein de plus en plus rapide pour satisfaire ma sœur tout en massant ses petits seins avec ses mains. J'imaginais ma sœur, en sueur, allongée sur le dos, caressant le torse musclé de son amant, en train de se faire prendre dans la pièce d'à coté. J'imaginais le plaisir que les deux se donnaient mutuellement et cela m'excitait au plus haut point. Le couple approchait de l'orgasme. Les cris de ma sœur étaient devenus de plus en plus aiguës et de plus en plus fort.
- Han han han. Continue, oh oui c'est bon continue, han !
J'entendais parfois Thibault qui gémissait lui aussi de sa voix grave. Je sentais le plaisir monter en moi tandis que je continuais ma masturbation. Une sensation de plaisir s’emparait de mon corps et tous mes muscles étaient tendus.
- Je vais jouir ! cria ma sœur.
- Moi aussi.
- Jouis sur mes seins s'il te plait, je veux... han ... Je veux te voir jouir !
Thibault devait mettre toutes ses forces dans ses derniers coups de reins pour donner à ma sœur le maximum de plaisir.
- Han c'est tellement bon han. Oh ouuiiiiiiii !
Justine poussa un véritable hurlement tant l'orgasme était intense et au même moment, Thibault gémit à son tour en éjaculant sur les seins de ma sœur. Entendre ces deux la jouir en même temps déclencha l'éjaculation chez moi. Tout mon corps se raidit puis mon dos se cambra tandis qu'une vague de plaisir comme je n'en avais jamais ressenti envahissait dans mon corps. Un premier jet de sperme chaud sortit de mon pénis et se répandit sur mon torse, mes jambes et le lit. Puis un deuxième. Puis un troisième. À chaque jet, une nouvelle onde de plaisir plus intense que la précédente se déclenchait. Je me retrouvais alors sur mon lit, le souffle court, incapable de bouger, le torse trempé de sperme. Et je savais que ma sœur qui avait joui en même temps que moi dans la pièce d'à côté était exactement dans le même état.
Cette nuit là, Justine atteint l'orgasme deux nouvelles fois avant que, enfin satisfaite, elle ne se décide à dormir. Je n'avais pas perdu une miette de ce qui s'était passé et j'avais synchronisé deux nouvelles masturbations avec les ébats de ma sœur et de Thibault. A chaque fois, la quantité de sperme que j'éjaculais diminuait si bien que s'il avait fallu recommencer une nouvelle fois, je serais probablement resté sec. Le lendemain, je profitai que ma sœur quitte la maison quelques minutes pour sortir de ma chambre. À son retour, je prétendais être rentré pendant son absence.
"-Tu as l'air fatigué, m'avait-elle dit.
- Oh je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit... Tu sais ce que c'est, quand on commence on ne s'arrête plus... avec les jeux vidéos, répondis-je malicieusement."
Ce week end mouvementé se termina sans que jamais ma sœur ne pu se douter de ce qui s'était réellement passé. Mais ce que j'avais entendu m'avait marqué et les nombreuses questions que je me posais encore continueraient d'alimenter mes fantasmes !
Nous avions commencé à rouler depuis longtemps déjà et notre petite Ford nous rapprochait chaque minutes un peu plus de notre destination finale : la Bretagne. Nous devions y passer deux semaines du mois d'Aout, au bord de l'eau, chez mon oncle et ma tante. Je me réjouissais à l'idée de revoir cette branche de la famille et plus particulièrement ma cousine, Claire. Nos parents ne se voyaient que très rarement, non pas qu'ils soient fâché mes les occupations de chacun et la distance font que parfois les gens se voient moins. Ainsi, je n'avais rencontré ma cousine qu'à de très rares occasions, au cours de dîner familiaux chez mes grand parents. Le dernier de ces dîner avait eut lieu il y a plus de 5 ans. Autant dire que je n'avais qu’un souvenir très flou des discussions que j'avais eu avec Claire. Une seule chose était certaine, ses photos sur Facebook me l'avaient confirmé, la fille que je trouvais déjà jolie il y a 5 ans de cela était devenue une demoiselle des plus charmantes et à l'apogée de sa beauté.
Nos avons le même âge tout les deux, 18 ans, et notre Bac en poche depuis quelques semaines. Voilà à peut prêt tout ce que je sais d'elle. Autant dire que nous avons du temps à rattraper. J'attends de l'avoir sous les yeux pour vous la décrire physiquement, le portrait n'en sera que plus vivace ! Quant à moi je m'appelle Cyril, je suis brun, les yeux verts, je fais un bon mètre 80. Je suis légèrement bronzé mais pas tant que ça pour quelqu'un qui habite dans le Sud de la France ( nous venons de Orange ). Je suis plutôt musclé, pas un athlète non plus mais disons que j'ai fait un peu de musculation.
Je viens d'apercevoir un panneau "Bienvenue en Bretagne" sur le bord de l'autoroute. Pas trop tôt... Mais il nous reste encore au moins une heure de route pour arriver à destination. On devrait arriver pour le goûter... J'espère seulement que les nuages qui assombrissent le ciel vont se dissiper et que le Bretagne, trahissant se réputation, nous offrira des jours chauds et un soleil radieux. Y a intérêt ! Entre la piscine de la maison de ma cousine et l'océan tout proche, on n’aura que l'embarras du choix si il fait beau. Sinon, j'imagine qu'on jouera aux dominos pendant deux semaines...
Nous quittons l'autoroute pour rejoindre de petites routes qui sillonnent la campagne. Assis à l'arrière de la voiture, je regarde le paysage par le fenêtre et pour passer le temps, je laisse mes pensées vagabonder. Une scène me revient en mémoire. Elle s'est passée il y a deux ans alors que mes parents nous avaient laissé l'appartement à ma sœur et à moi, l'espace d'un week end qu'ils avaient passé de leur côté en amoureux à Venise. Ma sœur Justine et moi avions décidé de profiter de leur absence pour sortir le samedi soir. Justine est brune, fine avec une poitrine plutôt petite. Elle se coiffe de telle sorte que ses cheveux tombent en cascade sur son dos et encadrer son visage aux yeux couleur noisette en ondulant légèrement. Aujourd'hui elle a 21 ans et elle ne fait pas partie du voyage parce que ses études lui prennent beaucoup de temps. A l'époque elle avait 19 ans et moi 16.
« -Je vais chez Tom ce soir , lui avais-je dis. On va se faire une soirée jeux vidéo et je dormirai chez lui. Je rentrerai demain vers midi je pense, alors ne t'inquiète pas !
-Pas de souci, on va au ciné avec des copines ce soir et après je rentre. »
Je me doutais bien qu'elle avait prévu un peu plus qu’un simple ciné, de même que moi j’avais prévu plus qu’une bête soirée jeux vidéos. Mais c’était un accord tacite entre nous de profiter à fond de cette soirée de liberté sans se préoccuper de ce que ferai l’autre. Pour ma part, je devais aller en boîte de nuit avec Tom. Nous n'avions pas l'âge requis bien sûr mais il connaissait un videur qui pourrait nous faire rentrer. Je n'étais pas tes friand de ce genre de soirées mais il m'avait convaincu de l'accompagner parce que, disait-il, « il y a des filles superbes en boite » . À 19 heures, ma sœur était partie au cinéma et je devais rejoindre Tom chez lui à 20 heures. Mais c'est vers 19heures30 que je reçu un sms de Tom m'annonçant que son ami videur n'était pas de service ce soir là et qu'il faudrait repousser notre excursion à une autre fois… C'était une bonne excuse, mais j'étais convaincu qu'il s'était dégonflé... C'est donc un peu dégouté que je me couchai et je m'endormis rapidement.
Le bruit de la porte d'entrée de la maison me réveilla. Mon réveil indiquait minuit. J'entendais deux voix, celle de ma sœur et une autre plus grave. C'était Thibault, son petit copain avait qui elle sortait depuis maintenant 6 mois. Un gars sympa, blond et musclé. Ils parlaient plutôt fort et je pouvais discerner presque tout ce qu'ils disaient.
« - Tu es sûr que ton frère n'est pas là ?
- Mais oui, t'inquiète pas pour ça , il ne reviendra que demain dans la matinée ! Ça te rassure si je vais vérifier dans sa chambre ?
- Oui, fait ça s’il te plait »
J'étais à présent parfaitement réveillé, tous mes sens en alerte. Le plus doucement possible, je sortis de mes couvertures et je me cachai sous mon lit alors que j'entendais les pas de ma sœur qui se rapprochaient. Ça peut paraître idiot de se cacher sous son propre lit alors que l'on a rien fait de mal... Mais j'avais le pressentiment que je ne devais en aucun cas montrer ma présence. La porte de ma chambre s'ouvrit et ma sœur s'approcha de mon lit. De là où j'étais, je ne voyais que ses petits pieds fins. Mon cœur battait la chamade mais ma sœur finit par sortir de ma chambre en fermant la porte. Je sortais alors de ma cachette et me remettais sur mon lit tandis que j'entendais les deux amoureux entrer dans la chambre de ma sœur qui est accolée à la mienne. Pendant 20 minutes je n'entendis presque rien puis tout à coup, je cru percevoir un bruit aqueux. Je me levai sur la pointe des pieds, marchai jusqu'au mur qui sépare nos deux chambres pour y coller mon oreille. J'entendis alors plus distinctement ce bruit aqueux qui revenait régulièrement et tout à coup :
« Mmmmmh ».
C'était ma sœur qui gémissait. Je restais planté là, l'oreille contre le mur, les bras ballant. Mais mon pénis devait avoir compris ce qui se passait avant mon cerveau parce que j'avais un début d'érection. Au bout de quelques minutes, les gémissements se firent plus fort si bien que je pouvais les entendre même en étant allongé sur mon lit. J'avais enlevé mon pyjama je me trouvais allongé sur le dos, nu et avec, cette fois, une belle érection.
Justine devait avoir passé un seuil en termes de plaisir parce qu'à la place des gémissements, elle poussait maintenant de petits cris.
- Han han han. Han !
Je commençais un va et vient avec ma main le long de mon pénis.
- Oh oui, han !
Je n'avais encore jamais bandé aussi fort et mon pénis était devenu plus dur et gonflé que jamais ! Et je continuais mon va et vient en écoutant Justine se faire prendre. Je calquais le rythme de ma masturbation sur les réactions de ma sœur. Dans ses moments de silence, je ralentissais mon mouvement tandis que lorsqu'elle s'exclamait « oh oui, plus vite ! », j'accélérais.
J'imaginais Thibault donnant des coups de rein de plus en plus rapide pour satisfaire ma sœur tout en massant ses petits seins avec ses mains. J'imaginais ma sœur, en sueur, allongée sur le dos, caressant le torse musclé de son amant, en train de se faire prendre dans la pièce d'à coté. J'imaginais le plaisir que les deux se donnaient mutuellement et cela m'excitait au plus haut point. Le couple approchait de l'orgasme. Les cris de ma sœur étaient devenus de plus en plus aiguës et de plus en plus fort.
- Han han han. Continue, oh oui c'est bon continue, han !
J'entendais parfois Thibault qui gémissait lui aussi de sa voix grave. Je sentais le plaisir monter en moi tandis que je continuais ma masturbation. Une sensation de plaisir s’emparait de mon corps et tous mes muscles étaient tendus.
- Je vais jouir ! cria ma sœur.
- Moi aussi.
- Jouis sur mes seins s'il te plait, je veux... han ... Je veux te voir jouir !
Thibault devait mettre toutes ses forces dans ses derniers coups de reins pour donner à ma sœur le maximum de plaisir.
- Han c'est tellement bon han. Oh ouuiiiiiiii !
Justine poussa un véritable hurlement tant l'orgasme était intense et au même moment, Thibault gémit à son tour en éjaculant sur les seins de ma sœur. Entendre ces deux la jouir en même temps déclencha l'éjaculation chez moi. Tout mon corps se raidit puis mon dos se cambra tandis qu'une vague de plaisir comme je n'en avais jamais ressenti envahissait dans mon corps. Un premier jet de sperme chaud sortit de mon pénis et se répandit sur mon torse, mes jambes et le lit. Puis un deuxième. Puis un troisième. À chaque jet, une nouvelle onde de plaisir plus intense que la précédente se déclenchait. Je me retrouvais alors sur mon lit, le souffle court, incapable de bouger, le torse trempé de sperme. Et je savais que ma sœur qui avait joui en même temps que moi dans la pièce d'à côté était exactement dans le même état.
Cette nuit là, Justine atteint l'orgasme deux nouvelles fois avant que, enfin satisfaite, elle ne se décide à dormir. Je n'avais pas perdu une miette de ce qui s'était passé et j'avais synchronisé deux nouvelles masturbations avec les ébats de ma sœur et de Thibault. A chaque fois, la quantité de sperme que j'éjaculais diminuait si bien que s'il avait fallu recommencer une nouvelle fois, je serais probablement resté sec. Le lendemain, je profitai que ma sœur quitte la maison quelques minutes pour sortir de ma chambre. À son retour, je prétendais être rentré pendant son absence.
"-Tu as l'air fatigué, m'avait-elle dit.
- Oh je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit... Tu sais ce que c'est, quand on commence on ne s'arrête plus... avec les jeux vidéos, répondis-je malicieusement."
Ce week end mouvementé se termina sans que jamais ma sœur ne pu se douter de ce qui s'était réellement passé. Mais ce que j'avais entendu m'avait marqué et les nombreuses questions que je me posais encore continueraient d'alimenter mes fantasmes !