07-02-2025, 07:43 PM
Hello ! La phrasette de ce conte m'a été donnée par @Nostalgique début 24, qu'il en soit remercié !
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Adolphe sait ce qu'il veut
Il ne voulait pas, tout en le voulant... et pourtant ! Et pourtant, il avait le moyen de tout vouloir, et de tout avoir, le gracieux Adolphe !
À dix-huit ans tout juste, il venait de terminer son premier mois en cette colocation qu'il avait trouvée par miracle ; un clair appartement de l'après-guerre, à partager avec deux garçons plus vieux que lui : Romain, vingt-et-un ans, attaquait sa troisième année de fac, et Quentin, vingt-deux ans, sa quatrième.
Trois chambres et un mignon salon... meublés de bric et de broc. Mais surtout une ambiance détendue. Vite, les deux garçons semblèrent prendre Adolphe sous leur aile, ce jeune homme débarquant dans une grande ville inconnue. Et cela lui convint.
Il fut un peu heurté, cependant, dans sa jeune pudeur, par l'affirmation qu'ici, on ne faisait pas de manières avec la nudité... Mais ces mecs étant d'un naturel absolu, il suivit le mouvement au bout de quelques jours, presque sans s'en rendre compte.
Ce qu'il ne faisait cependant toujours pas fut sortir de sa chambrette la queue en l'air, alors que les autres ne se gênaient pas...
Romain était un garçon assez grand, brun et fort bien foutu, vivement velu de sombre, et joliment équipé. Souriant toujours, il se présenta comme un obsédé sexuel... ce qui se confirma : il recevait un soir sur deux, et les autres, il allait en ville... où il semblait qu'il eût un passe lui ouvrant toutes les alcôves !
Quentin était grand mince et parfaitement dessiné : un genre de nageur, mais non épilé. Ce châtain-là disposait de jolies toisons aussi, plus fines que celles de Romain. Et d'une gueule de premier de la classe associée à des manières de gendre idéal... Une splendeur, au final. Sans compter un chibre de compétition, qui impressionna Adolphe...
Lequel était une frêle et mince chose blond foncé et au teint pâle. Hors un ventre et une touffe bien pourvus, guère de poils ailleurs. Il n'était pas à plaindre, côté quéquette, ça non ! Mais il issait d'une famille où la pudibonderie faisait figure de vertu... d'où ses hésitations premières à se montrer.
Très bonne ambiance céans, donc. Si Romain était le plus souvent pris par la passion du sexe, Quentin discutait volontiers avec Adolphe, et ce grand et gentil garçon eut vite pour lui l'allure du grand frère qu'il n'avait pas.
Aussi Adolphe lui avait-il conté son parcours intime : il venait d'être dépucelé, pendant l'été, par trois cousines, encore plus effrontées que celles de La Périchole, et qui avaient notoirement abusé de ses capacités...
Quentin en rigola franchement, et affirma qu'ici, il y avait « de la chatte à se faire », formule qui fit exploser le minet de rire.
— J't'emmènerai dans les bons coins, et les bars à minettes !
Ce qu'il fit sans tarder. Mais où il vit qu'Adolphe était aussi bien timide...
— Et si on se faisait une petite soirée à quatre, avec deux de mes copines ? Tu peux quand même pas redevenir puceau !
— Je sais pas... À la fois je veux... et j'hésite...
— J'espère que t'hésites pas à te branler, hein ?
— Non, non, ça, ça va !... sourit Adolphe.
Tout Adolphe, donc. L'idée de partie à quatre faisait cependant son chemin en le pur esprit de ce jeune homme, mais... ça traînait un peu.
Or donc, ce vendredi soir-là, début novembre, il rentra de la fac en fin d'après-midi, et ouït des gémissements significatifs issant de la carrée de Romain. Y avait du plaisir en cours, là-dedans ! Il en sourit largement : ça faisait partie du folklore local, ces fanfares… Sauf que...
Sauf que la porte de Romain n'était pas complètement fermée, et qu'Adolphe ne résista pas à l'envie d'y glisser un œil... Il en eut pour son argent !
Car le gars Romain, sur le dos, était en train de se faire bourrer par un solide Antillais, dont le petit cul musclé valait à lui seul le déplacement... Et il geignait, Romain !
Il eut un coup au cœur, cet enfant-là, pensez ! Certes,la chose gay ne lui était pas étrangère, et il n'avait pas déjà oublié mainte proximité avec des lycéens, qui n'avaient cependant jamais débouché sur rien : toujours son « je veux, je veux pas »...
Mais là, il était devant la réalité. Ce ne fut que dans sa chambre qu'il crut se calmer... quoique... Il se prit la bite vite fait et se branla comme un démon. Apaisé, il alla entrouvrir sa porte en douce... et ouït encore Romain gémir sous les coups de boutoir de l'autre...
Enfin, il l'entendit gueuler, puis s'apaiser... On se transporta à la salle de bains, puis silence.
Apaisé lui-même, il allait même s'endormir quand on frappa doucement : Quentin. En boxer, ce mec était, décidément une splendeur... Il attaqua :
— En forme, ce soir, le Romain ! Il t'as pas empêché de bosser, au moins ?
— On dira qu'il m'a troublé un peu... car oui, il tenait la forme olympique ! répondit Adolphe en pouffant gaiement. Mais je sais pas s'il en parlera tout à l'heure...
— On verra...
Or dans le quart d'heure qui suivit se déroula une jolie scène : Quentin et Adolphe sortirent ensemble de leur chambre, tous deux en boxer... en même temps que Romain... et son bel Antillais, vêtus, eux, et pour sortir.
Léger moment de gêne, vite effacé par Quentin :
— Ciao ! Adolphe, j'allais à la salle de bains : toi aussi ?
— Oui, j'irai après ! fit Adolphe en se rentrant.
Il entendit la porte d'entrée claquer... et alla aussitôt à la salle de bains, où il entra, pour voir Quentin sous la douche... et un peu raide, ma foi.
— Viens ! fit celui-ci.
Adolphe hésita une seconde avant de retirer sa culotte pour rejoindre Quentin, qui baissa le débit de l'eau tiède.
— Tu dois être étonné de ce que t'as vu, évidemment...
— Disons que... je m'y attendais pas... surtout d'un mec comme Romain !
— J'ai pas voulu te le dire au début, pour pas te rebuter... vu que tu nous convenais bien... mais il lui arrive de ces moments où... Bref, tu imagines...
— Non... j'ai vu !
Adolphe expliqua qu'il avait maté, et Quentin éclata de rire.
— Bon ! T'es choqué ?
— Ben... étonné, oui, mais choqué, non !
Entretemps, Quentin avait pris sa roideur maximale... Quelle beauté il montra là ! Car si Adolphe l'avait croisé par-ci, par-là en ce bel état, il n'avait jamais pu l'examiner vraiment. Et là... Ô l'incomparable morceau que ce sceptre-là !
— Quand je les ai moi aussi matés, sur la fin j'ai pas eu le temps de me branler... P'tain, qu'il est beau, son Mathurin ! Et gentil, en plus...
Et Quentin de se prendre la bite, tandis qu'Adolphe se rinçait promptement.
— Tu me déranges pas, tu sais ? fit Quentin. T'as pas envie, toi ?
— Déjà fait ! répondit Adolphe en rigolant, avant de sortir de la douche pour se sécher... tout en gardant un œil sur cette sublime académie... au grand sourire de Quentin.
Rentré dans sa chambre, Adolphe s'avoua troublé par les beautés de Quentin... comme encore par le spectacle donné par Romain.
Encore une fois, il se refusa à accepter cet intérêt... comme il savait s'y intéresser... Un quart d'heure plus tard, on frappa : Quentin, évidemment, qui parut, la queue en l'air et déclara :
— Un service à te demander... T'accepterais de me mater pendant que je me branle. ?
— Hein ? Euh... Ben s'tu veux... mais pourquoi ?
— Je suis assez exbib et... parfois j'ai besoin de regards pour jouir. Et j'aime voir ta bite.
— Oh ! Sérieux ? Alors... si tu veux...
On s'étendit sur le lit d'Adolphe, où Quentin se palucha avec ardeur, l'œil fixé sur la quéquette à Adolphe. Qui ne recrût point, certes. Mais le spectacle étonnant que Quentin offrit à Adolphe lui fila le tournis, pas moins !
Il se demanda dans quel antre de luxure il était tombé... et son indécision chronique reprit le dessus. Oui, c'était excitant, tout ça, et pourtant...
Mais Quentin lui offrit le superbe spectacle d'une remarquable explosion... dont une partie lui retomba sur les abdos... que Quentin vint aussitôt lécher soigneusement.
— Merci, mon pote, je te revaux ça quand tu veux !
— Pas sûr d'en avoir besoin... sourit Adolphe.
— Oh, ça !... Mais y a pas de date de péremption, p'tit gars ! conclut Quentin avec un sourire à ouvrir les pont-levis, en faisant tomber les murailles !
Avant de proposer d'aller manger, enfin ! Il n'était pas si tard que ça, et il fit venir une vaste pizza.
— On reste à poil, tu veux ? Je sais pas qui va nous livrer, mais ça fait toujours son p'tit effet, d'ouvrir à poil... je connais plusieurs livreurs que ça fait rigoler... mais j'ai jamais osé aller plus loin.
— Hein ? Toi qui te dis exhib, et qui leur ouvres à poil ? s'étonna franchement Adolphe.
— Je viens d'une famille bien pensante, et j'ai encore des barrières... pour certaines choses.
— Tu veux dire... concernant les mecs ? osa Adolphe.
Quentin sourit en guise de réponse. Et Adolphe s'en crut encouragé :
— Pourtant... ça t'excite de me mater, non ?
Quentin sourit, et avoua :
— Oui, c'est vrai... Et tu sais pas ce qui me plaît surtout, en toi ? Tes tétons.
— Hein ? fit Adolphe, surpris.
Il avait les tétons larges et sombres, et Quentin lui affirma que c'était rare... et excitant. Adolphe dut sourire, répondant :
— C'est pourtant pas le téton qui fait la poitrine ! Et quand je vois la tienne, je ferais bien l'échange !
— C'est gentil, ça !
On sonna peu après : la pizza.
— Ouaouh ! fit le livreur, garçon que Quentin n'avait jamais vu, en découvrant la nudité des mecs. La prochaine fois, vous demandez Bruno, hein ?
— T'as p'têt' le temps de prendre un pot ? osa Adolphe.
— Non, je bosse... mas la prochaine fois... on s'organise... enfin, si vous voulez !
— T'es sympa, Bruno, conclut Quentin. Et d'ajouter, la porte refermée : T'es gonflé, toi ! J'aurais jamais osé...
— Au point où on en est...
On bouffa la pizza en commentant les charmes réels ou supposé du beau p'tit brun, dont le sourire ravageur et la spontanéité avaient fait impression.
— On en ferait quoi, au fait... vu qu'on est hétéro ? demanda soudain Adolphe.
Quentin, la bouche pleine, faillit s'étouffer.
— Ben... Ben... on s'arrangera pour que Romain soit là... il aura bien des idées lui ! T'en as, toi ?
— Des idées, oui, mais c'est la technique, qui pèche !
— Bref, on est là comme deux ados fantasmant sur le prof de gym, quoi !
— On peut toujours se renseigner... si t'as vraiment envie de revoir le Bruno.
— Ben... ouais, pourquoi pas ? Toi ?
— Pareil.
On décida de conter les circonstances de cette rencontre imprévue à Romain, qui aurait sûrement un avis là-dessus... Pour ce soir, on se sépara après la pizza : on était des étudiants sérieux, et l'on bossait, voyez-vous.
Mais il songea, Adolphe ! Car son coup d'éclat avec le livreur lui parut soudain énorme... et si loin de sa nature profonde... Cependant, il n'arriva pas à regretter ce qu'il n'aurait pas dû vouloir...
Le samedi matin, Quentin et Adolphe se retrouvèrent à la salle de bains, à poil, quand parut Romain, non moins nu :
— Salut les mecs ! Chuis rentré tard... j'espère vous avoir pas réveillés !
— C'est quand tu gueules et fais gueuler, que ça réveille toute la paroisse ! répliqua Quentin, faisant exploser de rire.
Après les ablutions, et habillés — on était en novembre, tout de même — ces jeunes gens se retrouvèrent à la cuisine.
— J'espère que t'es pas trop chiffonné de ce que t'as entendu hier, si t'es rentré tôt, demanda Romain à Adolphe.
— Roro ! Il a pas fait qu'entendre : ta porte était à moitié ouverte, alors il a pu se faire une opinion... de ton oignon ! intervint Quentin, rigouillard.
— Oh ! T'es choqué, Adolphe ?
— Rien du tout ! Je pensais pas à ce genre de... spectacle en arrivant ici, mais... c'est p'têt' ça, la vraie vie ?
— C'est quand tu l'auras vu niquer ou se faire niquer sur le canapé du salon que tu sauras ce que c'est, un vrai spectacle !
— Oh, Quentin ! Respecte ma pudeur ! s'écria Romain.
— Tout le monde sait que t'es le plus grand obsédé de la Communauté urbaine, alors tu vas pas nous jouer les mijaurées de canton devant notre ami ?
Adolphe pouffa : il adorait décidément l'humour de Quentin... en plus du reste, maintenant.
— Tu m'en veux pas trop, donc ? lui demanda Romain.
— Si Quentin résiste depuis deux ans, alors moi aussi !
On passa à autre chose, et quand on se sépara, Romain demanda :
— Est-ce que je pourrais vous inviter à dîner ici ce soir... avec Mathurin ?
— C'est quand même un numéro, çui-là ! commenta Quentin quand Romain fut sorti. Mais bon ! Il est beau, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il aime la vie !
— Le vit aussi, apparemment !
Éclatant de rire, Quentin saisit soudain Adolphe pour l'enlacer vivement.
— Tu me fais rire, toi... J't'adore !
Lorsqu'on se sépara, après de longues secondes, Adolphe dut admettre un petit début de roideur, dans sa culotte... Et même... il avait cru constater le même amusant phénomène chez le beau Quentin.
Il avait été décidé que ces jeunes gens se chargeraient de la table, quand Romain cuisinerait. En fin d'après-midi, Quentin déclara devoir se laver « sérieusement » :
— Au cas où la Perle des Antilles tiendrait absolument à me sucer, évidemment !
— Est-ce que tu serais aussi obsédé que notre pote, toi ?
— Sauf que moi, je le dis pas à tout le monde ! Et je te conseille d'être nickel aussi, des fois que...
— Oh ! Mais je me suis jamais fait sucer par un mec, moi !
— Tu verras, c'est pas un exploit ! Tu fermes les yeux, t'oublies ta maman, et ça vient tout seul !
— Toi, tu...?
— Ben... disons que Romain aime le cul... et partager le cul, alors... Oui, et je m'en suis bien porté.
— Mais... toi... tu... hasarda Adolphe.
— Si je suce aussi ? Ben oui. Pas toi ?
Adolphe rougit fortement. Cet exercice faisait justement partie de sa liste de « je veux, je veux pas »... ou « j'voudrais ben, mais j'peux point ! »
— Bon, tu verras, y a pas péril en la demeure. À moins que tu ne préfères te réserver pour le mignon Bruno ?
Adolphe rougit derechef. Encore un « voulait-ne voulait pas ! » Ça commençait à faire beaucoup, tout ça !
— Oh, je sais pas. C'est un peu rapide tout ça ! avoua Adolphe, désemparé.
Quentin l'attira alors contre lui, pour lui souffler :
— Rien d'obligatoire, jamais ! Ce que tu veux, quand tu veux, et rien d'autre garçon, compris ? Je voudrais que ton séjour ici soit l'un des plus beaux moments de ta vie... Oublie pas de me raconter tes fantasmes ! Y a p'têt' du réalisable à pas cher, là-d'dans !
Et là, encore une fois, contre le grand corps de Quentin, Adolphe se sentit roidir... comme son coloc.
— Allez ! On se lave ensemble, tiens !
Dans la douche, ces Messieurs n'avaient point débandé... et Quentin prévint :
— Pas de folies, là! Car la soirée n'est pas encore commencée... et si elle nous déçoit, on se rattrapera en douce ! Avec le mignon Bruno, par exemple...
Adolphe dut sourire : quel charmeur, ce Quentin ! Néanmoins, il se demandait ce que cette curieuse soirée lui apprendrait...
Parut donc le bel enculeur : Mathurin, une authentique beauté... qui fit frémir Adolphe quand le garçon lui fit la bise en le serrant en ses bras musclés... Ça commençait bien.
La suite fut d'abord des plus bourgeoises... familiales, plutôt, et en le bel Antillais se révéla un drôle de pitre qui fit rire tout le monde. Il faisait bon, dans le salon, chaud, même : Quentin avait avoué à Adolphe qu'il avait poussé le chauffage au maximum... à toutes fins utiles.
Et de fait, Mathurin ôta sans tarder son gros pull à torsades pour paraître en débardeur vert fluo, moulant et si largement échancré qu'il ne celait quasiment rien de cette splendeur musclée... Même Romain fut épaté du culot de son amant !
Évidemment, le p'tit haut s'arrêtait à la hauteur du nombril, et le jean était de taille... très basse. On voyait donc un joli filet velu sur le devant, et le haut de la raie des fesses derrière...
— Eh ! Vous en faites pas autant, les mecs ? Y fait super bon, ici !
Quentin saisit la balle au bond et regarda Adolphe... en ôtant son t-shirt, paraissant torse nu.
— Super ! commenta Mathurin, puis regardant Adolphe, qui avait suivi : oh ! mais t'es tout joli, toi !
Adolphe rougit, et tandis que Romain avait aussi ôté le haut, on trinqua gaiement... Et plus d'une fois, car Mathurin sortit de son sac à dos une bouteille de planteur, alors que les bulles avaient déjà commencé à faire leur effet...
Assis à côté de Romain, Mathurin fit alors venir Adolphe à son autre côté, et le prit aussitôt par le cou. À ce moment, le loupiot n'était plus en état de lui refuser quoi que ce fût, et il ne vit même pas les sourires qu'échangèrent les deux autres...
Soudain, Mathurin tourna la tête et vint prendre la bouche d'Adolphe, qui surpris le laissa faire... et le bavouilleux patin qui s'ensuivit fut le premier que ce jeune homme reçut d'un garçon. Et comme c'était un baiser de pro, il oublia vite fait ceux des trois donzelles qui avaient l'été précédent déshonoré sa mignonne vertu...
Or donc on oublia temporairement le menu, car Romain s'empara de la braguette de Mathurin, tandis que Quentin défaisait celle d'Adolphe... Et y avait du beau monde, là-dessous !
On commença par le hors d'œuvre : sucettes à tout va, et ce fut sous le regard ravi de Quentin qu'Adolphe se lança, avant d'y faire des merveilles. Puis on passa aux figures obligées, et Adolphe fut prié de niquer Romain... en premier, car il avait la quéquette la moins épaisse. Plus tard, il baisa aussi les deux autres avec un vif entrain, et quand toute cette chaude société eut rendu l'âme, on passa à la douche, puis aux agapes... avant de recommencer les folies.
Où Quentin put se féliciter in petto d'avoir deviné juste : car le jeune Adolphe parut dès lors parfaitement à son aise en cette galante compagnie. Cette soirée eut des suites immédiates : Romain devint définitivement accro à Mathurin, et Quentin dut admettre qu'il en pinçait sévèrement pour le fin Adolphe... lequel en redemanda... au point même de faire convoquer le Bruno à pizzas...
Quentin veilla à ce que son protégé... et peut-être fiancé, travaillât efficacement à la fac, s'il voulait que les choses durassent, entre eux... Adolphe comprit le message et...
Et bref... Adolphe sait ce qu'il veut, maintenant !
6. II. 2025
Amitiés de Louklouk !