05-10-2024, 09:28 PM
Premier "mec aux tags":
En lisant sa réponse je sentais que mon entre-jambe s'activait sérieusement et pourtant je n'avais aucune raison de me réjouir car je me faisais franchement insulter, traiter d'allumeur sans foi ni loi, que pour me recevoir il avait renoncé à des parties oh combien prometteuse mais que les photos de la partie inférieure de mon corps étaient suffisamment alléchantes pour que son slip soit rapidement inondé. Bref, je n'avais pas intérêt à me manifester à nouveau.
Il faut dire que mon correspondant parisien avait de quoi être fâché car il m'attendait au dernier TGV, lequel avait bien sûr un retard de près d'une heure.
"En t'attendant dans le froid et les courants d'air glacés, je sentais mon excitation grandir, je regardais régulièrement ta photo où tu t'exhibais dans le plus simple appareil afin que je puisse te reconnaître lorsque tu descendrais de ton wagon",
Or, au moment où le train s'immobilisait, son 06 se faisait entendre, il lut que j'avais raté mon train d'où sa colère. L'explication de l'embouteillage ne lui parut pas convaincante, à raison je dois l'admettre car j'avais passé l'après-midi avec un homme d'une cinquantaine d'années que j'aimais bien mais qui, son âge aidant, ne réagissait que lentement à mes stimulations pourtant bien ciblées ! Mais je savais par expérience qu'il ne fallait jamais désespérer, que j'allais assister à un ralenti saisissant de sa montée vers le bonheur.
De mollasson, son sexe tendait vers une bandaison de plus en plus marquée, de sec son gland émettait de plus en plus de liquide pré séminal, son odeur anonyme voire désagréable se transformait au fil des quarts d'heure en un parfum musqué dont mon odorat s'enivrait. Son corps, bien sûr totalement livré à mon regard concupiscant, commençait à être zébré par des contractions, d'abord timides puis de plus en plus marquées et renforcées par des gémissements dont la puissance et la fréquence augmentaient avec sa perte inexorable de maîtrise. Son gland que le prépuce ne parvenait plus à protéger passait du rose au rouge vif et lâchait de plus en plus de sécrétion. L'instant fatidique finissait par arriver, tout son corps n'était plus qu'une masse de muscles tendus à l'extrême. Son membre s'immobilisa quelques secondes avant d'émettre un liquide spermique, pas très abondant mais épais. C'était le moment où j'empoignais ses testicules que je malaxais consciencieusement d'une main alors que l'autre s'immisçait dans sa raie, curieusement imberbe ce qui facilitait l'intrusion de mon indexe ce qui régulièrement provoquait chez moi une réaction violente en m'épanchant généreusement sur son ventre et ses organes.
C'est ce qui s'est passé le jour où je devais prendre mon train et vous comprendrez aisément que j'aie laissé passer l'heure d'autant que ce jour-là sa semence fut très abondante.
Lorsque je quittais mon cinquantenaire, il devait être aux environs de vingt heures et je n'avais pas envie de rentrer chez moi, mais je n'avais également pas envie de rechercher une nouvelle aventure : J'étais repus et contrarié d'avoir vu partir le TGV mais en même temps quelque peu soulagé car cette expédition à Paris m'inquiétait quelque peu car si Paris était la ville de tous les plaisirs, c'était également celle de tous les excès, de tous les risques or, si j'aimais les découvertes j'entendais toujours rester maître de la situation, de ma situation. Or mon Léonard parisien, je ne le connaissais pas sinon par des images bien spéciales. Sur une des dernières photos où il me promettait monts et merveilles, l'arrière-fonds de l'une d'entre elles me sembla assez particulière, je dirais même assez sordide même si la netteté laissait à désirer.
Je décidais de me balader sans buts précis après avoir acheté un sandwich au saumon. Le froid était vif mais supportable je découvris une grande bâtisse qui dû avoir son heure de gloire mais qui aujourd'hui était totalement désaffectée et à l'abandon. Une fenêtre dont les carreaux étaient depuis longtemps cassés et le peu qui en restait était recouvert d'une épaisse couche de saleté. Une faible lueur de lampe de poche signalait que quelqu'un était à l'intérieur. Le cœur battant je m'approchais, m'attendant à découvrir un ou des couples en train de baiser, garçon et fille ou entre des personnages de même sexes. Je ne vis rien mais le rayon de la petite lampe était toujours visible.
Curieux, je trouvais une porte délabrée, j'allumais la lampe de mon portable et j'entrais et j'eus un flash : une ravissante jeune femme sursauta mais en se retournant elle me vit, elle eut l'air immédiatement rassurée et me fit un large sourire
- Oh, je suis vraiment soulagée de te voir car j'avais rendez-vous avec un ami qui voulais me montrer quelque chose mais cela fait près d'une heure que je l'attends ce goujat et tu crois qu'il m'aurait envoyé un texto, non rien !
- Mais qu'est-ce que tu fais encore là à cette heure, c'est dangereux pour une belle fille comme toi, même moi je ne m'y sens pas à l'aise ?
- [elle rit de bon cœur] Oh ne t'inquiète pas, je pratique les arts martiaux et ne m'approche pas qui veut.
À cette révélation, c'est tout juste si je ne fis pas un saut en arrière car le ton de la voix pour n'être pas menaçant n'en était pas moins très résolu
- Ne t'inquiète pas, j'ai tout de suite vu que tu fais partie des gentils, tu as un sourire et des yeux charmeurs et, en plus ce qui n'est pas désagréable, tu es beau même si ton habillement n'est pas vraiment attirant. Au fait, moi c'est Laurence !
- Xavier, enfin, c'est moi qui m'appelle comme ça, j'y peux rien, ce sont mes parents qui l'ont choisi, il parait que cela fait classe
- Mais Xavier, j'aime beaucoup ce prénom et derrière ton accoutrement je trouve que tu le portes très bien. Mais veux-tu bien me ramener en ville car même si je sais me défendre… je préfère être sous la protection d'un beau garçon. Beau, enfin n'exagérons pas mais comme l'habit ne fait pas le moine, j'en reste à ma première impression, tu es beau.
Il y avait très longtemps, c'était même peut-être une première qu'une fille me fit rougir mais heureusement elle ne le vit pas car sa lampe n'était pas dirigée sur moi mais sur le petit sentier escarpé qui descendait directement vers le fleuve qui roulait ses eaux noires. Je voulais éviter le chemin que j'avais pris pour arriver mais je me rendis vite compte que cela n'était pas sans danger et qu'il fallait être prudent si nous ne voulions pas piquer une tête dans les eaux tourbillonnantes. J'avais l'habitude des randonnées mais tel n'était visiblement pas le cas de ma compagne d'un soir. À un moment donné elle me tendit sa main pour que je l'aide, ce que je fis sans réfléchir : je sentis une main à la peau très douce et tiède malgré la température. Ce contact inattendu mais combien agréable me fit comme un choc, je découvrais quelque chose que j'ignorais, la douceur qui émanait du corps d'une femme.
Nous étions maintenant arrivés en bas, à quelques mètres de l'eau mais, fort heureusement il y avait une petite trace forestière sur laquelle je me trouvais déjà alors que Laurence était encore sur la dernière marche de l'abrupte sentier par lequel nous étions descendus. Elle se trouvait donc légèrement au-dessus de moi, elle se pencha et déposa un baiser sur mon front.
- Merci dit-elle, seule je n'y serais jamais arrivé, peut-être qu'en ce moment je serais au fond de l'eau !
- Ce serait vraiment dommage car je ne t'aurais jamais rencontrée et je n'aurais pas eu la chance de recevoir ce premier baiser
En évoquant ce premier baiser, j'aurais dû, si j'avais été parfaitement honnête, parler de "premier baiser féminin". Je m'attendais à une réaction mais il n'en fut rien. Bien au contraire, elle me prit la main et nous poursuivîmes notre marche jusqu'au centre-ville. Il faisait froid, un bar était encore ouvert, nous commandâmes deux chocolats chauds. Ça ne m'était encore jamais arrivé, normalement j'aurais pris un whisky alors qu'à ce moment je voulais prendre la même boisson qu'elle.
Nous arrivâmes au pied de son immeuble, je la regardais intensément et je vis qu'elle en faisait autant. Elle se pencha et me fit un léger baiser sur la bouche avant qu'elle ne me demande mon numéro de portable.
À sept heures trente, j'ai reçu un message me demandant si j'avais bien dormi.
Je n'ai jamais répondu aux nombreux messages de Léonard qui s'excusait de sa brutale réaction.
J'ai toujours ignoré mes anciens collègues
Laurence a fait connaissance de mon cinquantenaire et ils sont devenus de bons amis
Laurence, encore elle, est enceinte…
En lisant sa réponse je sentais que mon entre-jambe s'activait sérieusement et pourtant je n'avais aucune raison de me réjouir car je me faisais franchement insulter, traiter d'allumeur sans foi ni loi, que pour me recevoir il avait renoncé à des parties oh combien prometteuse mais que les photos de la partie inférieure de mon corps étaient suffisamment alléchantes pour que son slip soit rapidement inondé. Bref, je n'avais pas intérêt à me manifester à nouveau.
Il faut dire que mon correspondant parisien avait de quoi être fâché car il m'attendait au dernier TGV, lequel avait bien sûr un retard de près d'une heure.
"En t'attendant dans le froid et les courants d'air glacés, je sentais mon excitation grandir, je regardais régulièrement ta photo où tu t'exhibais dans le plus simple appareil afin que je puisse te reconnaître lorsque tu descendrais de ton wagon",
Or, au moment où le train s'immobilisait, son 06 se faisait entendre, il lut que j'avais raté mon train d'où sa colère. L'explication de l'embouteillage ne lui parut pas convaincante, à raison je dois l'admettre car j'avais passé l'après-midi avec un homme d'une cinquantaine d'années que j'aimais bien mais qui, son âge aidant, ne réagissait que lentement à mes stimulations pourtant bien ciblées ! Mais je savais par expérience qu'il ne fallait jamais désespérer, que j'allais assister à un ralenti saisissant de sa montée vers le bonheur.
De mollasson, son sexe tendait vers une bandaison de plus en plus marquée, de sec son gland émettait de plus en plus de liquide pré séminal, son odeur anonyme voire désagréable se transformait au fil des quarts d'heure en un parfum musqué dont mon odorat s'enivrait. Son corps, bien sûr totalement livré à mon regard concupiscant, commençait à être zébré par des contractions, d'abord timides puis de plus en plus marquées et renforcées par des gémissements dont la puissance et la fréquence augmentaient avec sa perte inexorable de maîtrise. Son gland que le prépuce ne parvenait plus à protéger passait du rose au rouge vif et lâchait de plus en plus de sécrétion. L'instant fatidique finissait par arriver, tout son corps n'était plus qu'une masse de muscles tendus à l'extrême. Son membre s'immobilisa quelques secondes avant d'émettre un liquide spermique, pas très abondant mais épais. C'était le moment où j'empoignais ses testicules que je malaxais consciencieusement d'une main alors que l'autre s'immisçait dans sa raie, curieusement imberbe ce qui facilitait l'intrusion de mon indexe ce qui régulièrement provoquait chez moi une réaction violente en m'épanchant généreusement sur son ventre et ses organes.
C'est ce qui s'est passé le jour où je devais prendre mon train et vous comprendrez aisément que j'aie laissé passer l'heure d'autant que ce jour-là sa semence fut très abondante.
Lorsque je quittais mon cinquantenaire, il devait être aux environs de vingt heures et je n'avais pas envie de rentrer chez moi, mais je n'avais également pas envie de rechercher une nouvelle aventure : J'étais repus et contrarié d'avoir vu partir le TGV mais en même temps quelque peu soulagé car cette expédition à Paris m'inquiétait quelque peu car si Paris était la ville de tous les plaisirs, c'était également celle de tous les excès, de tous les risques or, si j'aimais les découvertes j'entendais toujours rester maître de la situation, de ma situation. Or mon Léonard parisien, je ne le connaissais pas sinon par des images bien spéciales. Sur une des dernières photos où il me promettait monts et merveilles, l'arrière-fonds de l'une d'entre elles me sembla assez particulière, je dirais même assez sordide même si la netteté laissait à désirer.
Je décidais de me balader sans buts précis après avoir acheté un sandwich au saumon. Le froid était vif mais supportable je découvris une grande bâtisse qui dû avoir son heure de gloire mais qui aujourd'hui était totalement désaffectée et à l'abandon. Une fenêtre dont les carreaux étaient depuis longtemps cassés et le peu qui en restait était recouvert d'une épaisse couche de saleté. Une faible lueur de lampe de poche signalait que quelqu'un était à l'intérieur. Le cœur battant je m'approchais, m'attendant à découvrir un ou des couples en train de baiser, garçon et fille ou entre des personnages de même sexes. Je ne vis rien mais le rayon de la petite lampe était toujours visible.
Curieux, je trouvais une porte délabrée, j'allumais la lampe de mon portable et j'entrais et j'eus un flash : une ravissante jeune femme sursauta mais en se retournant elle me vit, elle eut l'air immédiatement rassurée et me fit un large sourire
- Oh, je suis vraiment soulagée de te voir car j'avais rendez-vous avec un ami qui voulais me montrer quelque chose mais cela fait près d'une heure que je l'attends ce goujat et tu crois qu'il m'aurait envoyé un texto, non rien !
- Mais qu'est-ce que tu fais encore là à cette heure, c'est dangereux pour une belle fille comme toi, même moi je ne m'y sens pas à l'aise ?
- [elle rit de bon cœur] Oh ne t'inquiète pas, je pratique les arts martiaux et ne m'approche pas qui veut.
À cette révélation, c'est tout juste si je ne fis pas un saut en arrière car le ton de la voix pour n'être pas menaçant n'en était pas moins très résolu
- Ne t'inquiète pas, j'ai tout de suite vu que tu fais partie des gentils, tu as un sourire et des yeux charmeurs et, en plus ce qui n'est pas désagréable, tu es beau même si ton habillement n'est pas vraiment attirant. Au fait, moi c'est Laurence !
- Xavier, enfin, c'est moi qui m'appelle comme ça, j'y peux rien, ce sont mes parents qui l'ont choisi, il parait que cela fait classe
- Mais Xavier, j'aime beaucoup ce prénom et derrière ton accoutrement je trouve que tu le portes très bien. Mais veux-tu bien me ramener en ville car même si je sais me défendre… je préfère être sous la protection d'un beau garçon. Beau, enfin n'exagérons pas mais comme l'habit ne fait pas le moine, j'en reste à ma première impression, tu es beau.
Il y avait très longtemps, c'était même peut-être une première qu'une fille me fit rougir mais heureusement elle ne le vit pas car sa lampe n'était pas dirigée sur moi mais sur le petit sentier escarpé qui descendait directement vers le fleuve qui roulait ses eaux noires. Je voulais éviter le chemin que j'avais pris pour arriver mais je me rendis vite compte que cela n'était pas sans danger et qu'il fallait être prudent si nous ne voulions pas piquer une tête dans les eaux tourbillonnantes. J'avais l'habitude des randonnées mais tel n'était visiblement pas le cas de ma compagne d'un soir. À un moment donné elle me tendit sa main pour que je l'aide, ce que je fis sans réfléchir : je sentis une main à la peau très douce et tiède malgré la température. Ce contact inattendu mais combien agréable me fit comme un choc, je découvrais quelque chose que j'ignorais, la douceur qui émanait du corps d'une femme.
Nous étions maintenant arrivés en bas, à quelques mètres de l'eau mais, fort heureusement il y avait une petite trace forestière sur laquelle je me trouvais déjà alors que Laurence était encore sur la dernière marche de l'abrupte sentier par lequel nous étions descendus. Elle se trouvait donc légèrement au-dessus de moi, elle se pencha et déposa un baiser sur mon front.
- Merci dit-elle, seule je n'y serais jamais arrivé, peut-être qu'en ce moment je serais au fond de l'eau !
- Ce serait vraiment dommage car je ne t'aurais jamais rencontrée et je n'aurais pas eu la chance de recevoir ce premier baiser
En évoquant ce premier baiser, j'aurais dû, si j'avais été parfaitement honnête, parler de "premier baiser féminin". Je m'attendais à une réaction mais il n'en fut rien. Bien au contraire, elle me prit la main et nous poursuivîmes notre marche jusqu'au centre-ville. Il faisait froid, un bar était encore ouvert, nous commandâmes deux chocolats chauds. Ça ne m'était encore jamais arrivé, normalement j'aurais pris un whisky alors qu'à ce moment je voulais prendre la même boisson qu'elle.
Nous arrivâmes au pied de son immeuble, je la regardais intensément et je vis qu'elle en faisait autant. Elle se pencha et me fit un léger baiser sur la bouche avant qu'elle ne me demande mon numéro de portable.
À sept heures trente, j'ai reçu un message me demandant si j'avais bien dormi.
Je n'ai jamais répondu aux nombreux messages de Léonard qui s'excusait de sa brutale réaction.
J'ai toujours ignoré mes anciens collègues
Laurence a fait connaissance de mon cinquantenaire et ils sont devenus de bons amis
Laurence, encore elle, est enceinte…
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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