Quand Mary et Ethan virent atterrir Cylian et William, ils s’empressèrent de leur sauter au cou.
Ethan saluant William à sa façon par un baiser sur les lèvres.
Mary entourant la nuque d’un Cylian visiblement gêné entre ses bras, ses joues prirent une teinte cramoisie.
— Salut sœurette ! J’espère que tu as profité de ton séjour ! Tu vas me manquer !
— Séjour bien court ! J’ai été ravi de te rencontrer. À dans un an, pretty boy ! C’est ici que nos routes se séparent ! répondit la jeune fille.
Cylian salua Ethan d’une tape sur l’épaule.
— J’en prendrai soin pour toi don’t worry ! Cela veut dire qu’à partir de maintenant je vais doubler la dose de caresse pour Cloudy !
Ethan et Cyl’ rirent en cœur...
Cylian se dirigea vers William.
— William... je ne te remercierai jamais assez pour ce que tu as fait pour moi... je... oh et puis merde ! reste avec moi ! Une larme perlait sur la joue du beau garçon aux cheveux châtains.
William peina à trouver les mots en français, gagné lui aussi par les émotions :
— Cylian, tu m’as fait reprendre confiance en moi, tu es plus qu’un ami, nos âmes sont liés même si ce n’est pas de l’amour proprement dit...Mais nous nous reverrons, rassure toi, le destin nous réserve des surprises, j’en suis persuadé ! N’oublie pas que Londres n’est pas si loin pour un « Ethéré ».
Il fit un clin d’œil en direction de Cylian et fouilla dans la poche de son veston, il ajouta :
— Je te donne un lieu où tu devras te rendre quand tu en auras le temps. Prends cette enveloppe, ce sont des amis qui t’apprendront ce que tu dois savoir pour exercer ton don et parler notre langue, sur ce... je vais te dire au revoir dans notre langue...
William se recula et décolla de quelques centimètres du sol, il modifia son champ anti-gravitationnel que Cylian avait l’habitude d’écouter maintenant, sauf que la stridulation se fractionna en une dizaine de sons ! Les sons les plus graves faisaient vibrer les poitrines alentours et les aigus transperçaient les oreilles, tous les élèves s’étaient figés autour de William en écoutant le son de l’ange, assez dissonant pour des oreilles novices, il faut bien le dire.
Seul Cylian écoutait attentivement les résonances de son ami, ces sons lui apportaient confiance et espoir, même s’il ne savait encore les décrypter.
Les sons s’arrêtèrent et William s’approcha de Cylian il lui souffla à l’oreille :
— Cela veut dire : ...
Les chuchotements firent sourire Cylian, William éleva sa voix pour terminer sa phrase :
— Et cela veut dire également « à bientôt mon ami ! ».
Cylian était comme figé de sérénité.
Une main vint alors lui caresser ses longs doigts discrètement, profitant que les élèves étaient occupés à embrasser leurs correspondants dans les sourires et les pleurs généraux.
Cylian reconnaissait également ce signe entre mille, même s’il n’était pas d’origine « éthérée ».
La personne qui se trouvait derrière lui demanda :
— Que t'as-t-il dit ?
Cylian sourit et répondit à Toni derrière lui sans même se retourner.
— Tu ne pourrais pas comprendre mon cœur...
Ethan saluant William à sa façon par un baiser sur les lèvres.
Mary entourant la nuque d’un Cylian visiblement gêné entre ses bras, ses joues prirent une teinte cramoisie.
— Salut sœurette ! J’espère que tu as profité de ton séjour ! Tu vas me manquer !
— Séjour bien court ! J’ai été ravi de te rencontrer. À dans un an, pretty boy ! C’est ici que nos routes se séparent ! répondit la jeune fille.
Cylian salua Ethan d’une tape sur l’épaule.
— J’en prendrai soin pour toi don’t worry ! Cela veut dire qu’à partir de maintenant je vais doubler la dose de caresse pour Cloudy !
Ethan et Cyl’ rirent en cœur...
Cylian se dirigea vers William.
— William... je ne te remercierai jamais assez pour ce que tu as fait pour moi... je... oh et puis merde ! reste avec moi ! Une larme perlait sur la joue du beau garçon aux cheveux châtains.
William peina à trouver les mots en français, gagné lui aussi par les émotions :
— Cylian, tu m’as fait reprendre confiance en moi, tu es plus qu’un ami, nos âmes sont liés même si ce n’est pas de l’amour proprement dit...Mais nous nous reverrons, rassure toi, le destin nous réserve des surprises, j’en suis persuadé ! N’oublie pas que Londres n’est pas si loin pour un « Ethéré ».
Il fit un clin d’œil en direction de Cylian et fouilla dans la poche de son veston, il ajouta :
— Je te donne un lieu où tu devras te rendre quand tu en auras le temps. Prends cette enveloppe, ce sont des amis qui t’apprendront ce que tu dois savoir pour exercer ton don et parler notre langue, sur ce... je vais te dire au revoir dans notre langue...
William se recula et décolla de quelques centimètres du sol, il modifia son champ anti-gravitationnel que Cylian avait l’habitude d’écouter maintenant, sauf que la stridulation se fractionna en une dizaine de sons ! Les sons les plus graves faisaient vibrer les poitrines alentours et les aigus transperçaient les oreilles, tous les élèves s’étaient figés autour de William en écoutant le son de l’ange, assez dissonant pour des oreilles novices, il faut bien le dire.
Seul Cylian écoutait attentivement les résonances de son ami, ces sons lui apportaient confiance et espoir, même s’il ne savait encore les décrypter.
Les sons s’arrêtèrent et William s’approcha de Cylian il lui souffla à l’oreille :
— Cela veut dire : ...
Les chuchotements firent sourire Cylian, William éleva sa voix pour terminer sa phrase :
— Et cela veut dire également « à bientôt mon ami ! ».
Cylian était comme figé de sérénité.
Une main vint alors lui caresser ses longs doigts discrètement, profitant que les élèves étaient occupés à embrasser leurs correspondants dans les sourires et les pleurs généraux.
Cylian reconnaissait également ce signe entre mille, même s’il n’était pas d’origine « éthérée ».
La personne qui se trouvait derrière lui demanda :
— Que t'as-t-il dit ?
Cylian sourit et répondit à Toni derrière lui sans même se retourner.
— Tu ne pourrais pas comprendre mon cœur...