03-08-2024, 10:38 AM
Toni courait après son frère pour tout lui expliquer.
Dans un geste pudique, il avait pris une serviette pour se l'enrouler autour du bassin.
« Et merde ! Si je croise mon père ou si Kevin va directement à lui pour lui expliquer ce qu'il a vu je suis mal ! »
Courir après un trans-pass dans une maison c'est peine perdue se disait Toni. Il n'y a que les chambres qui possèdent des éléments rouges, le reste de la maison offre le libre choix à Kevin de se déplacer comme il veut !
Malgré tout, au rez-de-chaussée Kevin attendait son frère devant les escaliers.
— Tu étais là depuis longtemps à nous regarder ?
— Un bon moment à vrai dire, excuse moi Toni, je ne voulais pas vous espionner je te le jure ! Je dirais rien à papa promis !
— Tu n'as pas à t'excuser, je pense que tu aurais pu le savoir tôt ou tard, c'est ma faute, je n'ai pas fait assez attention et puis, que tu le veuilles où non et même si tu peux trouver ça immoral, j'aime Cylian. Tu ne pourras rien y changer...
— J'ai remarqué, mais tu vois, et c'est la vérité : je suis content que tu sois avec Cylian, il m'a sauvé la vie, c'est comme mon deuxième frère pour moi.
— Tu... tu n'es pas faché ?
— Toni ! Cylian a fait ton bonheur comme il a fait le mien en me sauvant, chacun son tour !
Un ange a remis de la joie dans cette maison et puis, sachant que Cylian est avec toi, cela me fait plaisir ! Je pourrai le retrouver ici plein de fois ! Aller oublie ça et puis... vous étiez tellement mignons ensemble ! Kevin rougit...
— Merci Kevin...
Toni entendit un craquement venant des escaliers, Cylian les observait tout les deux.
Il descendit voir Kevin.
— Écoute Kevin je suis...
— Bon ça va maintenant ! Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! Cela dit je suis heureux de te retrouver ! cria Kevin avec un semblant d'ironie moqueuse.
— Euh...
— Allez papa est parti dans le garage sortir les affaires du coffre, et puis regardez la médaille que j'ai gagné au tournoi de Judo, elle est stylé hein ? Je suis arrivé premier !
Toni et Cylian le regardait tous les deux à moitié nus, hébétés, ne sachant quoi répondre.
Ils remontèrent dans la chambre de Toni.
— Écoute Cylian je suis désolé pour ce qui est arrivé. Mon frère en train de nous avoir vu faire l'amour je sais plus où me mettre...
— C'est mémorable pour une première fois je trouve plutôt. Et puis comme ça... nous ne sommes pas près de l'oublier cette journée. Cylian se tenait le coude contre l'épaule de Toni, inspectant ses yeux, il rigolait à moitié pensant à ce qui s'était passé, « Au moins tout fini bien ! Par contre je vais m'habiller je vais être en retard pour le retour, merci pour tout mon amour !
— De rien et dépêche toi ! Tu vas attraper froid !
Cylian embrassa une dernière fois Tony, il dit au revoir à son frère et gagna le portail de la maison. Un homme assez grand et carré le salua. En le voyant Cylian se dit que Toni était le portrait craché de son père, c'est-à-dire, l'homme qui l'avait en face de lui, mis à part quelques rides et quelques cheveux blancs en plus.
Cylian devait vite rentrer. Il avait encore les affaires de Julien à rapporter à Camille. Il se dit qu'il verrait Camille demain matin au lycée, cela pouvait attendre.
La journée touchait à sa fin, l'air était saturé des premiers parfums d'automne, mais avant de s'envoler, quelque chose attira son attention sur le trottoir d'en face.
Un garçon avec une large capuche sur la tête le regardait fixement droit dans les yeux.
Assez grand, peut être à peine plus vieux que lui, celui-ci le toisait avec un petit sourire en coin. Cylian se rendit compte que même si ses cheveux étaient cachés par la capuche, le garçon dégageait un magnétisme puissant, il était beau, très beau ! Mais pas assez pour se désintéresser de Toni.
Qui était il ? Son expression qu'il avait sur le visage semblait vouloir dire : « Je savais où tu étais, je suis venu jusqu'à toi ! »
Etait-ce encore un coup de Selenn ? Non c'était impossible, Toni lui ayant fait bien comprendre qu'il n'était pas attiré par elle.
A cours d'idée, Cylian préféra s'envoler et laisser le mystérieux garçon l'observer jusqu'à ce qu'il ait disparu en un point minuscule dans le ciel.
Dans un geste pudique, il avait pris une serviette pour se l'enrouler autour du bassin.
« Et merde ! Si je croise mon père ou si Kevin va directement à lui pour lui expliquer ce qu'il a vu je suis mal ! »
Courir après un trans-pass dans une maison c'est peine perdue se disait Toni. Il n'y a que les chambres qui possèdent des éléments rouges, le reste de la maison offre le libre choix à Kevin de se déplacer comme il veut !
Malgré tout, au rez-de-chaussée Kevin attendait son frère devant les escaliers.
— Tu étais là depuis longtemps à nous regarder ?
— Un bon moment à vrai dire, excuse moi Toni, je ne voulais pas vous espionner je te le jure ! Je dirais rien à papa promis !
— Tu n'as pas à t'excuser, je pense que tu aurais pu le savoir tôt ou tard, c'est ma faute, je n'ai pas fait assez attention et puis, que tu le veuilles où non et même si tu peux trouver ça immoral, j'aime Cylian. Tu ne pourras rien y changer...
— J'ai remarqué, mais tu vois, et c'est la vérité : je suis content que tu sois avec Cylian, il m'a sauvé la vie, c'est comme mon deuxième frère pour moi.
— Tu... tu n'es pas faché ?
— Toni ! Cylian a fait ton bonheur comme il a fait le mien en me sauvant, chacun son tour !
Un ange a remis de la joie dans cette maison et puis, sachant que Cylian est avec toi, cela me fait plaisir ! Je pourrai le retrouver ici plein de fois ! Aller oublie ça et puis... vous étiez tellement mignons ensemble ! Kevin rougit...
— Merci Kevin...
Toni entendit un craquement venant des escaliers, Cylian les observait tout les deux.
Il descendit voir Kevin.
— Écoute Kevin je suis...
— Bon ça va maintenant ! Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! Cela dit je suis heureux de te retrouver ! cria Kevin avec un semblant d'ironie moqueuse.
— Euh...
— Allez papa est parti dans le garage sortir les affaires du coffre, et puis regardez la médaille que j'ai gagné au tournoi de Judo, elle est stylé hein ? Je suis arrivé premier !
Toni et Cylian le regardait tous les deux à moitié nus, hébétés, ne sachant quoi répondre.
Ils remontèrent dans la chambre de Toni.
— Écoute Cylian je suis désolé pour ce qui est arrivé. Mon frère en train de nous avoir vu faire l'amour je sais plus où me mettre...
— C'est mémorable pour une première fois je trouve plutôt. Et puis comme ça... nous ne sommes pas près de l'oublier cette journée. Cylian se tenait le coude contre l'épaule de Toni, inspectant ses yeux, il rigolait à moitié pensant à ce qui s'était passé, « Au moins tout fini bien ! Par contre je vais m'habiller je vais être en retard pour le retour, merci pour tout mon amour !
— De rien et dépêche toi ! Tu vas attraper froid !
Cylian embrassa une dernière fois Tony, il dit au revoir à son frère et gagna le portail de la maison. Un homme assez grand et carré le salua. En le voyant Cylian se dit que Toni était le portrait craché de son père, c'est-à-dire, l'homme qui l'avait en face de lui, mis à part quelques rides et quelques cheveux blancs en plus.
Cylian devait vite rentrer. Il avait encore les affaires de Julien à rapporter à Camille. Il se dit qu'il verrait Camille demain matin au lycée, cela pouvait attendre.
La journée touchait à sa fin, l'air était saturé des premiers parfums d'automne, mais avant de s'envoler, quelque chose attira son attention sur le trottoir d'en face.
Un garçon avec une large capuche sur la tête le regardait fixement droit dans les yeux.
Assez grand, peut être à peine plus vieux que lui, celui-ci le toisait avec un petit sourire en coin. Cylian se rendit compte que même si ses cheveux étaient cachés par la capuche, le garçon dégageait un magnétisme puissant, il était beau, très beau ! Mais pas assez pour se désintéresser de Toni.
Qui était il ? Son expression qu'il avait sur le visage semblait vouloir dire : « Je savais où tu étais, je suis venu jusqu'à toi ! »
Etait-ce encore un coup de Selenn ? Non c'était impossible, Toni lui ayant fait bien comprendre qu'il n'était pas attiré par elle.
A cours d'idée, Cylian préféra s'envoler et laisser le mystérieux garçon l'observer jusqu'à ce qu'il ait disparu en un point minuscule dans le ciel.