23-06-2022, 01:40 PM
(22-06-2022, 10:43 PM)lelivredejeremie link a écrit :Pour être honnête, le harcèlement par la fratrie m'a mis un peu mal à l'aise
Et moi plus qu'un peu...
Amitiés de Louklouk !
23-06-2022, 01:40 PM
(22-06-2022, 10:43 PM)lelivredejeremie link a écrit :Pour être honnête, le harcèlement par la fratrie m'a mis un peu mal à l'aise Et moi plus qu'un peu...
Amitiés de Louklouk !
30-06-2022, 12:21 PM
Les malheurs de Sofiane
Quatrième texte : Trois chansons dans le bar, ça fait dans les dix minutes, à m’appliquer, et lui interdire de se toucher, pour qu’il finisse par gémir ‘’Oooh, je vais… je vais…’’. ‘Ça fait un peu garçon facile de sucer un mec dans les toilettes’ me suis-je dit… Sauf que celles d’un bar gay... Puis, aussi, c’est assez moyen de ne même pas connaitre… — Tu ne vas pas me croire si je te confie que c’est la première fois que je… enfin, tu vois… un inconnu…’’ ai-je murmuré, un peu piteux. — Alors, tu ne me croiras pas non plus si je te dis que c’est la première fois que ça m’arrive. — C’est la loose, je ne connais même pas ton prénom… J’ai trop bu. Et on ne se reverra probablement pas, mais pour ce que ça vaut, je ne suis pas comme ça… — Je te crois, Joachim. Tu vaux mieux que des coups à la sauvette, et moi aussi, mais la vie fait que c’est pas toujours possible. — Tu… tu connais mon prénom ? — Je t’ai observé depuis que tu es entré dans le bar. Oh ! Ce n’est pas la première fois, moi, on ne me remarque pas, ma force et ma faiblesse, mais toi, tu illumines ! — J’éclaire juste les cabines des toilettes avec la lampe de mon portable… Mais du coup, le tien ? — Euh… Un Huawei Y7, c’est nul. — Un… ? Non, ton prénom, je veux dire. — Ah ! Ben… Enaïfos. C’est Grec, voilà…. De… D’Athènes. — Ah ouais, quand même, direct la capitale ! Du coup, Paris plutôt que le Larzac, je capte ton choix de relocalisation. Après, j’ai fait du grec au lycée, et Enaïfos, je n’arrive pas à relier sémantiquement à un truc existant, et… — Ouais, ben, c’est comme ça, mes parents ont choisi !’’ a-t-il claqué un peu abruptement, en rangeant son sexe étonnamment encore raide, dont une goutte de semence perlait au bout du gland, dans son pantalon, qu’il a remonté d’un geste sec. ‘Hmmm… Un peu brusque, lui, et peut-être aussi dans les échanges plus… profonds’, ai-je alors pensé… Ce qui n’est pas pour me déplaire. Comme je ne semble pas le faire pour lui, son regard gris et chaud m’enveloppe… Voudrait-il plus ? Je ne suis pas certain de pouvoir le lui offrir ce soir, mais demain matin… Et si j’essayais ? — Désolé, mais bon, what’s in a name ? Enfin, dans un prénom, en fait, Eamonn, Laszlo ou Emre sont inhabituels aussi… — Jamais entendu’’ il a dit. — Irlande, République Tchèque et Hongrie. — C’était à Paris ou là-bas ? Je connais que la… enfin, mon pays et la France, et encore… — Sur place, oui, mais je pense capter, en Grèce, le clergé orthodoxe, tout ça… — Ouais, on dira ça… Je pourrais dire qu’il m’intriguait, ce serait toujours plus honorable qu’admettre que je rêvais qu’il me prenne doucement, puis violemment, avec l’espoir naïf qu’il m’amène au plaisir, sans qu’à mon tour je me touche… Ce qui est du champ du possible. Rare, mais potentiellement atteignable, ça l’a fait avec Mouss, j’avais conclu que c’était une question d’épaisseur bien plus que de longueur ! — Enfin, bon, comme je t’ai avoué, j’ai peut-être un peu trop bu, je vais rentrer dans mon petit appart’ vide, me caler tout seul dans mon lit, mais ne m’en veux pas si je rêve de toi. Je te laisse à la soirée, avant de rentrer dans ta famille aimante, je sais quand même que vous, les Grecs, vous êtes très famille, c’est cool, je t’envie un peu…’’ ai-je murmuré, un peu hypocrite sur ce coup-là. — Ma famille aimante… Ouais… Juste que ma mère… Maria, oui, Maria… préfère me voir rentrer en bonne santé le lendemain en forme qu’à deux heures du mat’ un peu rebou, moi aussi, j’avoue. Si tu peux m’offrir un coin de parquet… A peine étions-nous rentrés chez moi, alors qu’une heure sonnait à l’église proche, j’ai tendu un drap sur mon canapé, avant d’y poser un édredon d’été. Saint-Grégoire frappait trois coups lorsque j’ai senti le corps chaud d’Enaïfos se coller à mon dos, dans mon lit, et sa raideur se coller à mon bassin. Vers sept heures, avant que ce bon vieux Greg se remette à marteler, j’ai senti son corps se séparer du mien, et un murmure encore endormi… ‘’C’était bon pour toi aussi, j’espère…’’ Sauf que c’était juste dans son rêve, mais sa remarque inconsciente m’a fait imaginer qu’il serait un amant attentif au plaisir de l’autre, et inquiet de l’avoir atteint. J’ai rejeté le drap et ai abaissé l’élastique de son boxer pour découvrir un gland décalotté, même mou, sur un sexe suturé… Que j’ai pris en bouche, pour lui faire retrouver sa forme optimale, sous le regard maintenant éveillé, et brillant d’Enaïfos. Avant de l’enjamber et de poser mon bassin sur le sien… — Si tu préfères du latex, j’ai, mais… pour ce que ça vaut, et pour ce que vaut ma parole, je suis sous PrEP… Truvada, si tu vois, et je peux te montrer la boite… Et sans, c’est mieux, sauf avec un éjaculateur précoce, mais hier, tu ne l’étais pas trop, alors voilà, quoi. — C’est bizarre, je te fais confiance, Joachim’’ a-t-il dit, avant de pousser son gland salivé sur mon intimité. Je l’ai retourné sur cent quatre-vingt degrés, il a été étonné, j’ai expliqué sommairement mon étrange préférence pour une domination soft… au départ, avant d’être possédé avec plus d’énergie… Je suis sur le flanc, ma main court sur son torse perlé de transpiration, alors que sa semence s’écoule lentement le long de ma fesse gauche… — A quoi ressemble le paradis orthodoxe auquel tu viens de renoncer, mon bel Enaïfos ? ai-je murmuré. — Je suis maudit dans le paradis orthodoxe, dans le tien, et dans le mien… Mais c’est mon choix. — Le… tien ? — Tu es intelligent et cultivé, tu as déjà plus ou moins capté qu’Enaïfos n’est pas un prénom grec. — Je n’ai pas… — Et tu as raison, mon prénom, c’est Sofiane, mais ça la fout toujours mal d’être rebeu en France, mais comme je ne suis pas trop… typé, on dira… — Les yeux gris… ? — Ma mère est berbère, c’est une bizarrerie génétique… — C’est beau ! Et ça n’a rien à voir avec rien. — Non, en effet, comme ton prénom biblique, et donc un peu juif, et la présence de ceci’’ a-t-il dit, en pinçant doucement mon prépuce. — Mon prénom, c’est une bizarrerie de ma mère… — Elles sont probablement toutes un peu étrange, que veux-tu… — Ben… Vu que tu demandes… Ce que je voudrais maintenant, et là… — Encore ? — Encooooore…’ ai-je gémi
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
02-07-2022, 02:41 AM
Biblique...Fricotin? Oh...je m'égare du Nord, si je me perds à trouver un nom d'auteur. Je ne m'y essaierai donc pas. Appréciation intéressée pour ce conte quelque peu déroutant où chacun tient un rôle d'improvisation pour finir d'un aveu sur la vérité. On y a cru, à la "gréquitude", comme le dirait une ancienne ministre, éphémère candidate au plus haut poste du pays. Mais les deux protagonistes se retrouveront-ils? Vaste question!
03-07-2022, 09:04 AM
C'est vrai que Google ne ramène pas grand chose sur Enaïfos, mais j'ai quand même pu obtenir son analyse psychologique :
Définition émotionnelle Vous êtes une personne émotive et ont besoin de se sentir aimé ou entouré. Voilà pourquoi l'amour prend une place particulière dans votre vie. Essayez de concevoir votre existence autour de ce qui est le plus important pour vous, alors seulement est une vie stable possible. Le plus gros problème est toujours votre exigence envers vous-même et d'autres. Voilà pourquoi il est pas rare pour vous de chercher désespérément le bonheur avant d'être en mesure d'obtenir une vie stable (bien que le bonheur peut-être déjà à côté de vous)! Toujours entre deux émotions trouver parfois difficile de savoir ce que vous voulez et avoir le désir de fonder une maison, une famille, l'envie de flottement, ou vice-versa! L'engagement est quelque chose de très grave pour vous (jamais prendre à la légère), car elle nécessite une réflexion et une dose réelle de l'amour. capacité sociale Très timide ou réservé mais toujours valorisant des amis et de la communication, car il vous donne rassurer sur le chemin de la construction d'une famille forte. Ainsi l'amitié tient une place importante dans votre vie. Formidable, non ?
12-07-2022, 12:29 PM
Coucou les gens,
Je livre l'ordre des auteurs par récit de l’hors-série « Les malheurs de Sofiane » ce qui donne : 01/ [member=87]Louklouk[/member] 02/ [member=28]Lange128[/member] 03/ @Gaétan 04/ [member=168]lelivredejeremie[/member]
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12-07-2022, 01:10 PM
Re-oucou les gens,
Je vous livre la photo du prochain texte... Mercure
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
12-07-2022, 01:11 PM
Premier Policeman — Chef ! Y a un truc, là ! dit Kévin. Le chef ralentit, et stoppa : le truc qu'il y avait là était une forme assise au pied d'un mur, la tête dans les genoux. — Va voir ! Le chef Victor et son adjoint Hervé attendirent donc un instant dans la voiture de police. Kévin reparut : — Un p'tit mec désespéré... mais j’ai pas réussi a comprendre s'il avait été agressé. — Bon ! fit Victor, tu t'en occupes, et tu nous rappelles quand tu l'as couché ? — Eh ! Mais... — T'as la fibre maternelle, non ? ricana le chef, pourtant pas un mauvais homme. Promis, on vient te chercher ! — Mais !... La voiture redémarra, et Kévin pesta contre ces deux connards, qui n'avaient décidément pas de cœur. Il retourna vers la victime... d'il ne savait quoi, en vérité. Le minet était en larmes, et Kévin crut n'avoir jamais vu tels torrents s'écouler d'yeux humains... Enfin, il parvint à apprendre que le garçon se nommait Anatole et ne vivait pas loin de là. Il lui proposa donc de le raccompagner. Toujours reniflant, le mecton le suivit ; de fait, il ne leur fallut pas plus de cinq minutes pour parvenir au studio d'Anatole. Alors que le mec était tombé sur son canapé, Kévin demanda, incertain tout de même : — Ça va aller, maintenant ? — Je... Oh... Non, non ! Et le mec de se remettre à chialer dans les grandes largeurs. Kévin vint s'asseoir près de lui, et le minet s'agrippa soudain à lui. — Me laisse pas, s'te plaît ! — Mais... T'es chez toi, là, tu risques plus rien, je crois... Ou tu me racontes ? — Ben... c'est mes amis... mes potes... qui se foutent de moi tout le temps... — ...Drôles d'amis ! coupa doucement Kévin. — Ils sont... hétéros, et... — Ah ! fit Kévin, surpris. Et... alors ? — Ils se foutent de ma pomme, et là... — Ils t'ont agressé... sexuellement ? — Non, non, mais... ils m'ont demandé si je pouvais pas les... les... — Sucer ? osa Kévin, pas trop sûr de lui, sur ce coup-là. Et... c'était... impossible, pour toi ? — Non, non, mais... y avait... y avait... — Qui ? — Ben... Bruno. Et... Bruno, je l'aime. — Il le sait ? — Bien sûr que oui ! — Alors où est le problème ? — Ben... il a jamais voulu de moi, et... devant les autres... il se moquait de moi … Et c'est même lui qui a eu l'idée que je le fasse... à tout le monde. — Pas un gentil mec, ça... souffla Kévin, un peu dépassé... mais ne se sentant point en droit d'abandonner le pleurnichard. — Parce que je voulais pas, ils m'ont laissé là tout seul. — Bon ! fit Kévin, reprenant un peu ses esprits, y pas là de quoi porter plainte ! Car après tout, si t'es amoureux d'un connard, c'est pas de sa faute, hein ? — Maiiis ! — Je vais te laisser, Anatole. Tu vas dormir tranquille et si tu veux tu m'appelles demain. J'aurai des adresses et des idées à te donner, assura Kévin, tout dans son rôle de flic. — Nooon ! gémit Anatole, reste avec moi !... Tu dois pas bosser toute la nuit, quand même ? — Non, mais... — Reste, j't'en supplie ! — Je peux pas... murmura Kévin, touché par le désespoir du mecton. — Reste avec moi, j't'en supplie ! Kévin ne répondit plus. Il appela son chef pour lui dire que, puisque son service était terminé, il restait au chevet d'un citoyen qui pourrait « faire une connerie »... Il le tiendrait évidemment au courant au plus tôt. — Te fais pas piquer ton arme de service, hein ? ordonna le chef. Pour l'autre... c'est toi qui vois ! — Oh ! Dans la carrée, les choses avaient évolué, cependant. Car désormais, Anatole était à poil. Un p'tit mec fin, presque maigre, au teint pâle mais avec des poils sombres bien distribués... M'enfin, ce n'est pas ce qui attira le regard de Kévin, non. Ce fut la quéquette du garçon. Car ce fluet minet était monté, monté... comme un prince, pas moins ! — S'tu veux, on va se doucher, et pis on se couche ? Totalement désemparé devant l'apparente naïveté du garçon, Kévin hésita un instant. — Viens ! dit le minet avec un bien triste sourire, t'es déjà si gentil de pas me laisser tout seul ! Kévin n'avait pas de souci avec la nudité (il fallait bien se changer au commissariat, après la gym obligatoire), et il se déloqua sans que le mecton lui jetât un regard. — Je savais pas que les agents pouvaient être aussi bien foutus ! dit le garçon dans la douche. Kévin sourit : il n'était pas mécontent de lui, en effet, qui prenait soin de sa fine musculature naturelle. Mais surtout, il songea que c'était la première fois qu'il était coincé dans une douche avec un gay avéré... Non qu'il en eût peur, mais... tout simplement, il n'en côtoyait pas, et ce n'était pas dans la police qu'iceux s'affichaient, malgré l'existence d'une association de flics gays. Et puis en cas de problème, il ne ferait qu'une bouchée de cette petite chose ! Il demanda son âge au garçon : car il paraissait si jeune ! — Vingt-cinq ans, et toi ? — Pareil. Oh ! Toi, tu les fais pas ! — Tu croyais sauver un mineur du ruisseau ? — Euh... fit Kévin, surpris. — Kévin, puisque tu bosses plus, on boit un p'tit coup avant de dormir ? J'avais acheté une bouteille de vodka avant la soirée... et je l'ai oubliée, tant mieux ! Ça me donnera du courage pour te raconter ma vie... Rassure-toi ! Ça tient en deux phrases sans subjonctif ! Kévin était étonné par ce drôle de personnage, qui sur un immense fond de tristesse, parvenait à sourire, et à faire de l'humour... Dans un coin de la pièce était un petit sofa des années cinquante d'on ne sait plus quel siècle où l'on se carra l'un contre l'autre, le verre en main. Une grande lampée plus tard, Kévin eut un petit coup de chaud dans la poitrine, et se trouva finalement content de cette fin de soirée inattendue. Anatole se conta vite fait : ce garçon avait passé sa jeune vie à aimer des hétéros qui se foutaient de sa pomme. Puis il passa à l'attaque et interviewa Kévin... qui se laissa faire en souriant. On avait des parcours différents, mais on se retrouva sur plus d'un point, concernant la vision de la vie. À un moment, le garçon prit le bras de Kévin pour se le passer autour du cou — on était resté nu — et il en posa les doigts sur son téton. — Caresse-moi, j'aime bien... susurra le mec... dont le téton durcit en effet vitement. Kévin sourit bêtement et obéit. — Même seulement ça, Bruno a jamais voulu me le faire... soupira Anatole. — Tu peux pas t'en détacher ? — Si je rencontrais des mecs, peut-être, mais... je pense qu'à lui. — Eh ben voilà ! C'est par là qu'il faut commencer : le lâcher, et vite, encore ! — Tu m'aiderais ? — Je suis pas spécialiste, mais on a plein de renseignements de toutes sortes pour des cas comme le tien ! On continua de causer, doucement, de ces choses, et finalement les doigts d'Anatole trouvèrent le téton de Kévin... qui eut un frisson. — Oh ! T'aimes ça aussi, constata le garçon. Kévin ne répondit pas et reprit une gorgée. Était-ce la vodka qui lui troublait la vue, ou la bite d'Anatole était en train de grandir, joliment ? Il en avait maté, des films de cul, mais ce qui s'annonçait là semblait... étonnant ! — J'aurais jamais pensé qu'y avait des mecs si bien dans la police ! soupira Anatole. — Y a des mecs bien partout ! réussit à articuler Kévin, désormais fasciné par le chibre incroyable qui achevait de prendre sa grandeur sous ses yeux ébahis. Oh putain, quelle tige ! Et pas un gros machin tordu et plein de veines partout, non ! Une queue parfaitement harmonieuse, lisse et droite, avec un long prépuce... et auréolée d'une touffe de grande personne. Bref, Kévin n'aurait jamais imaginé avoir ça sous les yeux un jour ! Il reprit une bonne dose de vodka : heureusement, ce qu'il avait déjà bu l'avait un peu désinhibé ; il osa : — C'est peut-être ton... bel engin, qui lui fait peur, à ton Bruno ?... — Il l'a jamais vu. Et j'm'en fous : ce que je veux, c'est qu'il me défonce, lui ! — Tu te trompes de cible, je crois. Vois des mecs... qui aiment les mecs... et équipé comme tu l'es, tu seras vite une star dans le pays ! — Tu trouves que... — T'es une exception, Anatole, profites-en. Alors Anatole prit la main droite de Kévin (dont la gauche était toujours sur son téton) et se la posa sur la bite. — Caresse-moi, Kévin, t'es gentil, toi. Il dut saisir cet ineffable engin, Kévin, qui n'avait oncques tenu autre bite que la sienne... À la fois chaud, doux et dur, l'objet lui fila d'abord un gentil frisson, puis... un soupir d'Anatole lui indiqua de bouger, un peu. Et le voilà parti à branloter, doucement, une pine hors du commun ! La vodka et les soupirs du mecton firent qu'il ne se défila pas. Et quand la main de son patient se referma sur sa quéquette... elle était déjà demi-dure. Et il ne lui fallut pas des lustres pour qu'elle fût roidissime ! Là, il commença à perdre ses repères... si tant est qu'il en eût encore ! Un temps plus tard, il ouït : — Si je te suçais un bon coup, est-ce que ça te ferait plaisir de me démonter, Kévin ? — Mais... fit Kévin, à la fois surpris et... — Ouais, tu me la mets, hein ? T'es si doux, toi ! — Oh, je... Anatole se jeta sur la belle quéquette d'un Kévin qui ferma les yeux en poussant un énorme soupir. Vite, il sut que ce mec suçait... bien bien bien ! Et lorsque ce gentil garçon se mit à quatre pattes, il n'hésita pas, entrant en ce douillet intérieur avec juste une dose de salive. Ô curieuse et étrange sensation ! Il n'avait jamais sodomisé de nana, et la fermeté de l'endroit le ravit aussitôt. Il ne tarda pas à prendre un rythme qui plut à son compère, et ce fut après plusieurs changements de position qu'il en vint à emplir ce garçon de son petit jus blanc. Il avait dessoûlé depuis un bon moment déjà... et ce fut en toute connaissance de cause qu'il prit son pied. — Suce-moi, bébé ! — Oh, ça... Et Kévin suça, maladroitement, certes, mais il suça. Après quelques toussotements et d'amusantes figures géométriques, Anatole lui inonda in fine le museau, avant de venir le lécher comme une panthère érotomane. Puis on se rinça la bouche à la vodka-framboise, en ronronnant. On s'endormit un peu plus tard, doucettement enlacés. Et le matin, ce fut dans la bouche d'Anatole que Kévin s'éveilla. — Ton Bruno, là, c'est un sale mec, non ? — J'étais son fan club au lycée, et il en a toujours profité, sans jamais rien me donner, avoua simplement Anatole. — Ouais : un sale mec, donc. Tu voudrais pas lui défoncer la carcasse avec ton arme de guerre ? demanda calmement Kévin, faisant exploser Anatole d'un rire quasi inextinguible. — Oh ! Oh ! hoqueta-t-il enfin, mais comment ? — Je sais pas... mais je vais trouver : file-moi son pedigree, à ton malfrat ! L'Amour veille à tout, comme on a tendance à l'oublier. Il se trouva que ce Dieu, très favorable aux humains, croisa la route de Bruno qui, un soir de beuverie, rentrait chez lui dans la belle auto que son père lui avait offerte, par faiblesse, sans doute. Les Dieux n'ont pas les mêmes états d'âme que nous, et Cupidon driva le rude Bruno vers une ruelle où cet idiot, largement aviné, s'embourba comme un pro. Bien évidemment, le fils de Vénus avait choisi l'endroit idoine, juste à côté de chez Anatole... où passa justement Kévin. Stupéfaction d'iceluy, quand ils découvrit le grand corps de Bruno qui ronflait sur son volant ! Avec une facilité qui l'étonna (mais ils ne savait pas qu'un Dieu était de l'intrigue), il saisit et fit monter le gars Bruno, toujours bourré, chez un Anatole qui crut tomber de la Lune en reconnaissant son tourmenteur. — On va lui apprendre les bonnes manières ! Sors ta bite ! ordonna un Kévin hors de lui. — Non... euh... je veux pas le violer, Kévin ! — Bon, bon... Alors on va le faire dégueuler... et quand il reprend ses esprits, tu te présentes gentiment... et tu le défonces. Mais là, faut pas le rater, mon Bébé ! T'en as envie, non ? — Oh, je sais plus trop, là... Cupidon est de bonne composition, mais pas poire : il jugea que la comédie avait assez duré... et fila une trique pas possible au gars Anatole. Vite penché sur les toilettes, le Bruno dégueula le plus joliment du monde... et recouvra le peu d'esprits qui lui restaient. Douché promptement, il n'avait toujours pas reconnu Anatole... qui ne tarda pas à lui bouffer la rondelle, quand le délinquant fut allongé sur son lit. Kévin veillait à l'intendance, qui avait sorti le bidon de gel d'Anatole (il en connaissait la cachette, depuis quelques semaines, eh oui!), et... ce fut sous les auspices de la police que le cul du beau mais con Bruno fut inauguré par Anatole. Les Dieux assurent rarement le service après-vente, mais Cupidon avait trouvé l'histoire amusante, et il fit en sorte que cette brute de Bruno modifiât radicalement son attitude. Il se rapprocha de son admirateur... mais ce ne fut que pour s'en faire défoncer à l'extrême... car maintenant, c'est aussi Kévin que le chibre sublime d'Anatole taraude sans ménagements ! Au commissariat, on a fait un peu la gueule, d'abord, avant d'en rigoler. Et l'Amour n'est pas mécontent de ce petit coup !
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13-07-2022, 11:53 PM
On parle de dieux grecs, ou romains, là, ils étaient méchamment moins regardants sur les principes un minimum moraux, genre la douce manipulation qu'Anatole applique envers Kévin, ou sa vengeance pour le harcèlement pratiqué par Bruno. C'était une époque plus facile pour certains aspects :
Après, en mode 'to serve and protect', le jeune flic a encore le feu sacré, mais en début de carrière, c'est pas bizarre
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
13-07-2022, 11:54 PM
Oh ! Et aussi, si ce n'est pas du Louklouk, c'est rudement bien imité ;D
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
14-07-2022, 01:04 AM
Ahhh que de flammes à éteindre! Il aurait dû se diriger plutôt vers la brigade des Sapeurs Pompiers(1) que dans la nationale police, le Kévin! Comment, petit à petit, on évolue dans la nouveauté et ses envoûtantes délices. Je parie qu'il ne s'attendait pas à pareille fête en consolant le "mecton" Anatole. Autre nouvelle (à vérifier) : il y aurait donc des affinités gay-es chez nos protecteurs officiels. Après tout, pourquoi pas : pour entrer dans ce corps(2), la hiérarchie ne demande pas les orientations intimes des candidats.
Cette belle petite histoire, même traitée avec un..."parfait" subjonctif(3) toujours bienvenu(4), ravirait les plus difficiles. Grand merci à son très connu auteur au double Look. Bien à vous tous, KLO. ------------------------------------------- 1-Un esprit chagrin parlerait-il d'un "Sapier Pompeur"? 2-"Entrer dans un corps" : quelle intéressante occupation, n'est-ce pas mes amis! 3-Vu la qualité de ce texte, même le subjonctif éprouverait des difficultés pour être "imparfait". 4-Comme le signalait benoîtement monsieur Montparnasse. (14-07-2022, 01:04 AM)KLO7514 link a écrit :Ahhh que de flammes à éteindre! Il aurait dû se diriger plutôt vers la brigade des Sapeurs Pompiers(1) que dans la nationale police, ....... Après tout, pourquoi pas : pour entrer dans ce corps(2) -Un esprit chagrin parlerait-il d'un "Sapier Pompeur"? [size=10pt] oui mais Pompier bon oeil [/size] "Entrer dans un corps" : quelle intéressante occupation, n'est-ce pas mes amis! Que ce soit a l armee comme a la morgue, il y a toujours cette reconnaissance entre ceux qui ont servi dans le meme corps!! salutations...
16-07-2022, 12:45 AM
Addenda pour l'ami Stuka : il m'arrive assez fréquemment de signaler l'existence des "pompiers de Bonneuil", toujours prêts, comme les scouts !
17-07-2022, 02:32 PM
Deuxième Policeman
Arnaud et Ghislain étaient policiers depuis peu dans une petite ville de province. Ils s’appréciaient beaucoup et aimaient bien se retrouver ensemble pour patrouiller. Ce soir-là, ils débutèrent la patrouille de nuit vers 21 heures, Arnaud était au volant, comme d’habitude. C’était un lundi, la boîte de nuit était fermée et il n’y aurait certainement pas de rixes. Ils firent le tour de la ville sans itinéraire planifié à l’avance et se retrouvèrent dans le quartier le plus récent. — C’est amusant de voir les fenêtres des appartements encore allumées, fit Arnaud. On dirait que tous les architectes ont les mêmes plans, que tous les habitants ont les mêmes vies : le couple sur le sofa d’inspiration nordique, endormi devant une émission débile à la télévision, les ados boutonneux dans leurs chambres en train de se branler en visionnant des pornos sur leur smartphone. — Tu n’as pas tort, mais n’as-tu pas la même vie qu’eux ? En quoi es-tu différent ? — Je n’ai ni femme, ni ado boutonneux. Et c’est moi qui me branle en matant des pornos. — Je te ressemble, mais je préfère lire des récits érotiques. La radio grésilla et interrompit leur conversation : — Central à patrouille 001. Une mémère à chien-chien nous signale un homme nu couché dans l’herbe au Parc Hervé Guibert. — Patrouille 001 à central, répondit Ghislain, bien compris. Mort ou vif, le gars ? — Elle n’a pas osé s’approcher trop près. Elle vous attend. — C’est mieux ainsi, on y va. Arnaud alluma les gyrophares et ils furent en quelques minutes sur le lieu du crime, enfin ils ne savaient pas encore s’il y avait vraiment eu un crime. Le chien-chien de la dame, un minuscule caniche blanc, était très excité et les accueillit avec des aboiements à réveiller tout le quartier. — Du calme, Bijou, dit la mémère, ce sont de gentils policiers et ils ne vont pas me violer. Bijou fut à moitié convaincu et se mit à grogner. — Bonsoir messieurs, continua-t-elle, vous l’excuserez, nous devrions être rentrés à cette heure, il est fatigué. — Bonsoir madame, fit Ghislain, nous ne vous retiendrons pas longtemps, je pense que vous avez donné votre nom au central, on vous rappellera demain si nous avons besoin d’un témoignage. — Je serais ravie, je pense même qu’un reporter de « La Dépêche du Soir » m’interviewera si j’ai découvert un cadavre. — Je crois que ce journal a cessé de paraître. Où est le corps ? — Ici, dit la dame en le montrant du doigt. Ce qui m’a troublé est qu’il est entièrement nu et qu’il a un gros… zizi. Bien plus gros que celui de mon défunt mari, paix à son âme. — Parfait, dit Arnaud, vous pouvez rentrer chez vous. — Je ne peux pas rester ? — Cela nuirait au sommeil de Bijou. Bonne nuit, madame. — Oui, bonne nuit, messieurs. La dame s’éloigna pour observer discrètement la scène de plus loin, cachée derrière un buisson. Ghislain passa un masque et des gants puis s’approcha prudemment du corps, il tâta le pouls au poignet. — Tu peux venir, dit-il à son collègue, c’est Marcel et il n’est pas mort, sûrement bourré, comme à son habitude. Arnaud s’approcha, il éclaira les différentes parties du corps avec sa lampe de poche. — La dame avait raison, il a vraiment une grosse bite. — J’avais déjà remarqué lors d’une fouille au corps. — Il a une blessure au mollet, je me demande ce que c’est. — Sais pas, une piqûre d’insecte peut-être. Le dénommé Marcel ouvrit les yeux et dit : — Où suis-je ? Ah, je vous reconnais, mes anges gardiens. — Ouais, encore toi, fit Arnaud. Tu vas passer une nouvelle fois la nuit dans la cellule de dégrisement. — Assez confortable, à part les chiottes qui puent. — Je m’inquiète quand même de cette rougeur à la jambe. Sais-tu ce que c’est ? Marcel leva la tête : — Je suis à poil ! Où sont mes habits ? — Sais pas, on reviendra les chercher plus tard, lorsqu’il fera jour. Réponds plutôt à ma question. — Non, je ne sais pas ce que c’est. — Tu as de la chance, tu passeras la nuit à l’hôpital plutôt qu’au trou. Cajolé par une infirmière, ça te dit ? — Ça ou autre chose… — On va t’aider à te lever. Les deux policiers soutinrent Marcel et le menèrent jusqu’à la voiture. — Pisse et dégueule avant de monter, nous ne voulons pas passer le reste de la nuit à nettoyer tes déjections. Marcel pissa longuement, mais assura qu’il n’avait rien dans l’estomac. Arnaud enclencha à nouveau les gyrophares pour être le plus vite possible à l’hôpital et réduire les risques. Un médecin et une infirmière, sortis d’un roman de la collection Harlequin Blanche et égarés par erreur sur ce site, les accueillit. C’était le Dr Thibault d’Arbois de Jubainvile, jeune interne qui venait de terminer ses études, irrésistible, courageux, charmeur et sexy, et Mademoiselle Nadège Dupont, infirmière cherchant depuis des années un héros, un vrai, afin de vivre une passion tumultueuse. — Bonsoir messieurs, dit le médecin, que puis-je faire pour ce jeune homme ? — Bonsoir docteur, fit Ghislain, vous pourriez regarder s’il a assez de sang dans l’alcool, mais c’est surtout cette rougeur à la jambe qui nous inquiète. Si c’est suspect, examinez-le partout et faites-nous un rapport. — Contrôlez aussi ses hémorroïdes, vous voyez ce que je veux dire, ajouta Arnaud. Il est connu des services de police pour avoir du sexe tarifé avec d’autre hommes. — J’en profiterai pour le tester au VIH et autres IST. — Bonne idée, et si vous pouviez le convaincre de ne plus boire… mais je crains que ce soit mission impossible. Les policiers donnèrent le nom complet du jeune homme à l’infirmière et la prièrent d’appeler le central dès qu’ils sauraient ce qu’était la blessure. Ils accompagnèrent Marcel jusqu’à un box, c’était le seul patient en cette douce soirée de juillet. Mlle Dupont était déçue, elle avait pensé que le Dr Thibault la prendrait sauvagement dans ce box cette nuit-là et la déflorerait. C’était raté. Ce patient avait une grosse bite, mais elle imaginait que le docteur en avait une encore plus grosse. Elle avait regardé discrètement son dossier médical, mais n’avait pas trouvé cette information. Elle avait juste trouvé qu’il était circoncis, la connaissance de ce détail intime était un petit secret entre les deux qui la laissait augurer d’un avenir radieux. Les policiers reprirent leur ronde de nuit, sans rien voir de suspect. Une heure plus tard, après avoir contrôlé si tout allait bien pour un sans-abri couché sur un banc, Arnaud dit à son collègue : — Nous sommes plus des assistants sociaux que des policiers, nous aidons tous les paumés de la société. — Ne sommes-nous pas nous aussi un peu paumés ? — Pourquoi dis-tu cela ? — Sais-tu ce que l’on murmure lorsque nous avons le dos tourné ? — Je devine, que nous sommes deux pédés, fit Arnaud — Oui, malgré des cours, ils continuent à traiter les gens de pédés et ne peuvent pas dire gay, homosexuel, LGBT, que sais-je encore de plus politiquement correct. — Nous avons tutoyé Marcel, nous aurions dû le vouvoyer et lui dire « Monsieur », c’est ce que l’on apprend aux cours. — Pas faux. La radio grésilla et interrompit leur conversation : — Central à patrouille 001. Rien de suspect pour le dénommé Fleury Marcel retrouvé nu dans un parc. Enquête terminée. — Patrouille 001 à central, répondit Ghislain, bien compris. — Le jour se lève, dit Arnaud, on va récupérer ses habits. Ils les trouvèrent facilement, près de l’endroit où le corps gisait. Ghislain prit un sac en plastique, passa un masque et des gants et ramassa chaque objet l’un après l’autre. — Capote usagée, dit-il, le gars qui l’a baisé a au moins pris ses précautions. On la garde ? — Non, ce n’est plus une pièce à conviction. — Portemonnaie vide, bouteille vide, tee-shirt, jean, godasses, jock-strap, c’est plus rapide pour se faire enculer. Pauvre type, il me fait pitié. — Allons, les flics sentimentaux ça n’existe pas. Ghislain jeta la capote et la bouteille dans une poubelle et ils retournèrent à l’hôpital. L’infirmière lisait un roman de la collection Harlequin Blanche. Le médecin leur dit : — Merci d’avoir retrouvé ses habits. Le patient dort, il m’a prié de vous remercier pour ce que vous avez fait pour lui. — Nous ne faisons que notre métier, fit Arnaud. — Je lui ai parlé longtemps, il désire s’en sortir, il veut faire une cure de désintoxication et arrêter de se prostituer, trouver du travail. — Serment d’ivrogne. — Non, je pense qu’il est sincère, il a eu honte de se retrouver nu dans ce parc. — Espérons qu’il tiendra parole. Les deux policiers quittèrent l’hôpital, c’était l’heure de rentrer au poste et de faire un bref rapport des évènements de la nuit. Arnaud dit à Ghislain : — Tu n’es pas obligé de me répondre. Es-tu gay, homosexuel ou LGBT ? — Oui, gay, et toi ? — Aussi. Ils ont raison nos collègues. On dit que les homosexuels sont efféminés, c’est inexact, je t’ai vu à poil sous la douche après le sport, tu es très viril… et sexy. — Arrête, on se croirait dans un roman à l’eau de rose. — Tu m’as dit que tu aimais la littérature. — Pas ce genre, dit Ghislain, il me faut des vraies scènes de cul. Que fais-tu après le travail ? — Je vais dormir dans mon appartement aux meubles d’inspiration nordique, dit Arnaud. — Pas de plan cul prévu ? — Non, même pas de branlette, je suis trop crevé. — Et si tu venais dormir chez moi dans mon appartement aux meubles d’inspiration nordique ? Je te préviens, ma télé est en panne. — Pas de souci, on trouvera bien une autre occupation au réveil. Arnaud arrêta la voiture et ils échangèrent leur premier baiser. Deux fins heureuses pour cette historiette : Le mariage des deux policiers fit grand bruit. Le maire, gay lui aussi, avait discrètement demandé à son service de communication de faire de la pub afin de prouver que toutes les orientations sexuelles et tous les genres cohabitaient harmonieusement dans ses services et qu’il ne laissait passer aucune discrimination. Les collègues d’Arnaud et de Ghislain furent déçus, ils durent se rabattre sur deux pervenches qui étaient assurément des gouines. Le mariage entre le Dr Thibault d’Arbois de Jubainvile et Marcel Fleury fut beaucoup plus discret, la vieille noblesse n’aimait pas trop avoir des gays dans la famille, les lectrices de la collection Harlequin Blanche non plus. Marcel avait arrêté de boire et débuté une formation d’infirmier, au grand dam de Mlle Nadège Dupont. Heureusement, peu après, un nouvel interne débarqua à l’hôpital, irrésistible, courageux, charmeur, intact et sexy. La littérature est faite pour rêver, n’êtes-vous pas de cet avis ?
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
17-07-2022, 07:23 PM
Après Louklouk pour le précédent, je parierai Lange2[sup]7[/sup] pour celui-là.
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