29-05-2022, 11:46 AM
Bon ! On fait quoi, maintenant ?
Amitiés de Louklouk !
29-05-2022, 01:24 PM
(Modification du message : 29-05-2022, 01:48 PM par fablelionsilencieux.)
(29-05-2022, 11:12 AM)lelivredejeremie link a écrit :Si on mixe les deux situations, on obtient celle des mousses sur les bateaux, encore moins enviable :-\ Les mousses ont la frousse qu'on les troussent... D'ailleurs, l'expression pédé comme un "phoque" viendrait en réalité du langage maritime d'antan, pédé comme un foc ! Le foc étant la voile (petite et triangulaire) à l'avant des voiliers... une voile qui prend le vent par l'arrière - allusion à la sodomie. CQFD
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
29-05-2022, 01:43 PM
(29-05-2022, 11:46 AM)Louklouk link a écrit :Bon ! On fait quoi, maintenant ? On arrive, m'sieur ! ;D Juste le temps de rappeler au gens que le jeune homme aux clochettes (muguet) est toujours d'actualité. (mais plus très longtemps) 8) Que les malheurs de Sofiane arrivent sous peu. (donc, avis au retardataires) : Et que les centaures... C'EST MAINTENANT !!!
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29-05-2022, 01:45 PM
Premier Centaure Dans mon malheur j'avais eu de la chance. J'aurais pu mourir dans cet accident, comme mes amis. Mais je n'en étais pas sorti indemne. Le choc frontal avait été si violent que le siège de devant recula et me coupa le pied droit juste au dessus de la cheville. Je ne suis en vie que grâce à l'intervention d'un mec, pompier volontaire, qui avait assisté à l’accident et réussit à me poser un garrot le temps que le SAMU arrive. Je vous passe mes états d'âme pendant les longs mois qui suivirent… Maintenant, je suis pratiquement autonome, soit en fauteuil - quand ma prothèse me fait souffrir - soit avec mon appareillage et, là, personne ne se rend compte que je suis handicapé – tant que je porte un pantalon. J'avais abandonné mes études et, sous l’insistance de mes parents, les avais reprises. Pour être franc elles me poursuivaient plus que je ne les suivais. Mon ''roommate'', Lucas, suivait des études d'ingénieur en mécanique. Moi je faisais de l’informatique. Il avait comme hobby de construire des automates – très réalistes, je dois dire. Dernier en date, il planchait sur un centaure. Et son problème du moment était les différentes marches que faisaient les chevaux quand ils étaient au pas, au trot ou encore au galop. Il avait réglé le problème pour le faire avancer au pas et la structure du corps de cheval avançait comme il le voulait. Mais : — Ça me saoule, je n'y arrive pas ! Tu n'aurais pas une idée géniale, Alex ? — À part un circuit intégré télécommandé, non je ne vois pas. — Je vais essayer, ça. Quelques semaines passèrent et un soir il me montra son centaure, enfin le corps chevalin du centaure qui marchait, trottait ou galopait sans problème. Le côté mi-homme n’était encore qu’un semblant de mannequin utilisé pour équilibrer son travail. — Tu as réussi Lucas, félicitations. — Maintenant il ne me reste plus qu'à m'occuper de la partie humaine… Dis-moi Alex, t'as pas encore pris de la masse musculaire, toi ? Tu pourrais me servir de modèle ! — Oui, ce serait original, et, oui, j’ai pris de l’ampleur, pas mal même. Tu sais que je m'ennuie en cours alors je vais à la salle quand il y a peu de monde et comme ça on ne me regarde pas comme une bête curieuse. — T'as quoi de spécial pour qu'on te regarde comme une bête curieuse ? — Ma prothèse, andouille ! — Ah ça ! Je n'y fais même plus attention. — Mais toi, Lucas, tu n'as jamais fait de sport ? — Bien sûr que si, même si je suis poids plume, je faisais de la gym et aussi de la lutte gréco-romaine. — Et pourquoi tu as arrêté ? Tu n'avais plus assez de temps pour suivre tes études et faire du sport ? — J'aurais pu m'arranger à faire les deux mais j'en avais marre que mes potes de sport se foutent de moi. — Ah bon, tu étais si nul que ça ? — Non, même pas, j'étais plutôt bon dans ces disciplines ; c'est juste que dès que je luttais, de me coller à mon partenaire, ça me donnait une érection et avec la tenue c'était pas discret du tout. Surtout que je suis pas mal monté. Tu as bien du t'en rendre compte, déjà. On n'est pas plus pudique l'un que l’autre. — Oui mais bon, sur une crevette comme toi c'est sûr que ça te fait une bite d'âne, tandis que sur moi ça fait une bite normale. Jusqu'à présent on s'était montré discrets sur notre sexualité. Quand il m'avait demandé si j'avais quelqu’un, je lui avais répondu que, depuis mon accident, je n'avais plus personne. Bon, même avant mon accident je n'avais personne d’attitré mais c'était un choix. J'aimais bien changer de partenaires et souvent même. Et ce que je lui cachais aussi c'est que, si je ne m'intéressais qu'aux garçons… lui, il était tout à fait mon style de mec (les crevettes avec une grosse queue j'adorais ça). Et quand à mon tour je lui avais demandé s'il avait quelqu’un, il me mima la branlette et me dit qu'il se consacrait à ses études et qu'il verrait après. On n'en n'avait jamais plus reparlé. Il découchait de temps en temps et j'en profitais pour me masturber en fantasmant sur lui. C'est vrai que depuis mon accident j’étais complexé, je me sentais diminué à cause de mon handicap. Et je n'étais plus jamais allé dans un bar ou un lieu de drague gay. Je m'étais fait une raison. On était quelques semaines avant les examens de fin d'année et Lucas me présenta son centaure terminé. Enfin, la structure humaine qui avait une réelle ressemblance avec moi et avait des mouvements synchroniser avec le bas, il tirait même à l'arc en plus de balancer les bras quand il marchait et de les avoir pliés quand il trottait ou qu'il galopait. Les examens passés, on s'était séparés. Chacun était rentré chez ses parents, ni lui, ni moi ne partions en vacances cette année. Moins de dix jours plus tard, je fus surpris de recevoir un coup de fil de sa part. Après avoir échangé quelques banalités, il entra dans le vif du sujet. — Alex, tu m'as bien dit que tu ne faisais rien pendant les vacances ? — Oui c'est bien ça, je suis à la maison et je m'emmerde grave. — Ça te dirait de venir m’aider ? — Pour faire quoi ? — Un parc à thème se monte. Et ils ont vu mon centaure sur You Tube. Ils veulent que j'en fasse un grandeur nature. Mais seul je ne m'en sortirai jamais. Alors ton aide serait la bienvenue. J'ai déjà pas mal avancé mais j'aurais besoin de tes lumières en informatique et j'ai aussi une petite idée derrière la tête que je voudrais essayer avec toi pour rendre le modèle plus réaliste. — Ok, si ma présence est indispensable j’arrive. — Tu peux être là demain ? — Après demain ça ira ? — Oui ça ira. Mes parents étaient heureux de me voir partir. Pas qu'ils en avaient marre de me voir mais que je profite de mes vacances, au lieu de rester enfermé à la maison. J'arrivais pour le repas du soir. Il me présenta sa famille et on devrait partager sa chambre parce que son frère et sa sœur étaient eux aussi rentrés pour les vacances. Mais bon, après un an à dormir dans la même pièce, on n'avait plus grand chose à se cacher l'un l’autre. Ils étaient tous sympa et aucun ne fit de commentaire sur ma prothèse, pourtant Lucas leur en avait parlé. Je n'eu pas eu le temps de monter mon sac dans sa chambre. Il voulut me montrer directement sa réalisation grandeur nature. — Mais il est loin d'être fini ton centaure. — Détrompe-toi, il est pratiquement terminé. — Ah ouais ! Et le corps du centaure, tu l’as mis où ? — Justement, c'est là que tu interviens. — Hein, comment ça ? — En fait il faut être deux pour le faire fonctionner. Un qui se glisse entièrement dans le corps du cheval et un qui n'y est qu’à moitié, avec le tronc qui dépasse. — Je ne comprends pas. — Pousse-toi, je te montre. Il se glissa dans la structure en passant ses jambes en premier et contrairement à ce que je croyais, il s'allongea sur le dos et, après m’avoir fait mettre en sous-vets, il me demanda de m'asseoir devant lui, mes jambes dans celle du cheval, en pliant les genoux. La position que je devais prendre, à cause de la morphologie du corps et des mécanismes qu’il contenait, faisait que j'étais un peu penché vers l'avant et que ça m'écartait fort les fesses. Heureusement que j'avais mon boxer sinon Lucas aurait eu ma rondelle juste au-dessus des yeux… ou presque. — Tu comprends maintenant ? — Oui, mais, et pour le faire bouger ? — C'est justement à ça que je sers derrière. Tu as vu les consoles que j’ai de chaque côté et les écrans au-dessus de moi ? Ils me servent à voir et à le faire bouger. Ça marche plutôt bien. Demain des gars du parc viennent commencer à ‘’l’habiller’’ de peaux. — Par contre il y a un problème avec ton centaure ? — Ah bon ? Lequel ? — Tu te souviens quand on avait bouffé des flageolets un soir au resto U ? — Ho, putain oui ! Si tu me pètes au nez, je te mords les fesses. Je te signale que je suis dans la bonne position pour le faire. — Ça va pas, non ? — Je plaisante. — J'espère bien. — Quoi que… — Les garçons, on passe à table ! — On arrive. Man ! Le repas fini, je montais mes affaires et j'allais à la salle de bain. Il avait prévu un tabouret en plastique pour moi. Quand j'y entrais, son ‘’petit’’ frère sortait de la cabine de douche – seulement dix-neuf ans mais presque aussi grand que moi. — Oups, désolé ! — c'est bon, j'ai fini. Tu peux rester. Le lendemain quand les gars du parc arrivèrent, ils commencèrent à revêtir le corps du cheval et c'était très crédible. Puis dans l'après-midi je dus me mettre en place pour le raccord peau du cheval, peau humaine. Je dus me mettre en boxer, prendre place et attendre que l'espèce de caoutchouc sèche autour de mes hanches. — Ce n'est pas la peine de venir finir demain. Je dois terminer de monter des caméras sur le devant pour voir où je vais et il faut qu'avec Alex on s'entraine un peu, avant de faire une démo. — D’accord, comme tu voudras Lucas. Tu nous téléphones pour nous dire quand on peut revenir, avec les mesures et le moulage qu’on a, on peut finir le travail. Il suffira d’une heure, pour lui mettre les morceaux manquant ! Dès qu'ils furent partis, Lucas insista pour qu'on commence à s’entrainer. Les débuts furent laborieux parce qu'il ne voyait pas tout d’où on allait. Je l'aidais à installer les caméras latérales nécessaires au panoramique. Il fit les branchements le lendemain. Je vous passe tous les problèmes de réglage qu'on a eu mais on était prêt. Enfin, presque, parce qu'au galop, les vérins et les moteurs pompaient trop. Et même au trot les batteries se vidaient trop vite. Je ne vous explique pas le fou rire qui failli me faire étouffer, en voyant où la prise se branchait sur l’animal et j’en pleurais quand il m’expliqua - très sérieusement – que l’orifice sera caché par la queue à venir ! Il me sembla lors de l'installation du matériel que ses mains trainaient parfois mais je me faisais des idées, sans doute. Ça y était, enfin le grand jour. Les gars du parc sont là avec les responsables pour voir ce que ça donne. Lucas entre dans la carcasse et je m'installe après. On fait notre numéro, les gars filment. — C'est excellent. Très réaliste. Il n'y a qu'une chose qui ne va pas, c'est que le sous-vêtement dépasse quand tu fais certains mouvements. Il faudrait l’enlever. — Ok, je vais le faire. Je retournai dans l’atelier, sortis de mon carcan et j’enlevais ce dernier bout de tissus. J'en profitais pour me gratter les couilles et tirer sur mon sexe, trop heureux de prendre l’air. Et quand je me remis en position, je me souvins que j'avais mes fesses à quelques centimètres de la figure de Lucas. Et plus même, il devait voir en gros plan ma raie et mes burnes fraichement épilées - ce n'est pas parce que je ne baisais plus que je me négligeais. Lucas nous fit ressortir pour refaire le parcours qu’il avait mis en mémoire lors du premier passage, il bougea et ses cheveux caressaient de temps en temps mes fesses. Ça m'a provoqué une érection et, suivant les déplacements, mon gland frottait sur l’intérieur du cuir. J’essayais de rester stoïque, face à l’équipe présente. Et, croyez-moi, ce ne fut pas une mince affaire ! Un frisson me parcourut l’échine. Lucas venait de me donner un coup de langue sur la rondelle. Il recommença ce petit lubrique. Ses mains se firent fureteuses et maintenant, une me caressait les couilles tandis que l'autre me branlait. Bien sûr, pendant qu'il faisait ça, les gars du parc me demandaient de prendre des poses, de montrer mes muscles… Un assistant m'apporta un arc et on me demanda de tirer des flèches sur une cible. Lucas arriva à ses fins. Je tremblais, à en secouer la part animale, tellement la jouissance me vrilla les reins. — Ça ne va pas Alex ? — Si, si ! Je commence à prendre des crampes. — Notez qu'il ne faut pas que le show dure plus d'une vingtaine de minutes, trente grand maximum. Vous y êtes depuis plus d’une heure ! C'est bon les gars, on en a assez vu. Merci de votre aide… Lucas, quand est-ce qu'on peut se voir pour parler de notre affaire ? — Laissez-moi le temps de sortir de la carcasse, de prendre une douche et je suis à vous. À nouveau dans les ateliers, je m'extirpais de la carcasse, je renfilais ma prothèse, mon boxer et j'aidais Lucas à sortir. Avant de me diriger vers les douches, je lui dis : — Quand tu en auras fini avec eux Lucas, nous aussi on a des affaires à régler. — Tu n'as pas aimé ? — J'ai adoré, au contraire mais tu as abusé de la situation. — Tu n'auras qu'à faire de même. — Mais j'y compte bien ! Tu viens me frotter le dos…
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30-05-2022, 12:50 AM
Bonsoir à vous tous autres, amis proches ou lointains,
Un mien ami, vivant lui-même avec un "copain" depuis des lustres, m'informa d'une autre version pour dénommer la qualité citée ci-dessus. Il me dit un jour que la chose s'appliquait plutôt à un gentil chien-chien à son pépère : un "fox". En effet, il aurait été constaté que ce mignon quadrupède mâle ne s'embarrassait point trop, lorsque l'envie l'en prenait, de se préoccuper du sexe de son ou sa partenaire. Il copulait indifféremment "sur" l'un ou l'autre. Au moins, en voilà un qui ne fait pas le bégueule et se contente de ce qu'il trouve. Je pense que c'est d'une grande sagesse de vie : se contenter de ce que l'on a sans chercher midi à quatorze heures! Bien à vous tous, KLO.
30-05-2022, 01:47 AM
Avertissement : l'explication juste ci-dessus aurait dû se trouver bien plus haut, sous celle de Fab à propos du foc.
Ci dessous, voici ce que je pense de «l'homme-cheval». C'est très bien trouvé sauf que la position dorsale dans le "ventre" de messire cheval en plastique ne doit pas être parfaitement reposante même et surtout avec les jambes à l'équerre des cuisses. Le gars Lucas ne se prive pas d'utiliser, là encore, ce qu'il trouve à proximité de ses mains "quand il fait le demi-cheval". C'est une bonne entrée en matière pour montrer à son coloc-chevalo-humain ce qu'il est en réalité. Et Alex semble apprécier beaucoup cette expérience exploratoire. Ça me rappelle un souvenir de jeunesse avec le numéro 3 de l'album des Pieds-Nickelés, «Olé, Olé, soyons gais». La séquence se passe en Espagne et les compères ont décidé , pour Croquignol, de jouer le toréador. Ribouldingue avec Filochard se transforment en taureau avec une toile en forme de bovin. Bien entendu "l'animal" est occis par l'épée du toréador : enthousiasme de la foule autour de l'arène, plui de fleurs, de sombreros... Mais, pour faire plus vrai, el toro, au sol et dans un dernier élan d'agonie, étend brusquement sa patte arrière : celle-ci vient heurter le fondement du courageux matador qui saluait les spectateurs. Furieux, ce dernier roue de coup la pauvre bête théoriquement morte. Et, miracle, elle se met à remuer dans un déchirement sinistre où l'on voit en sortir deux énergumènes qui s'administrent généreusement une dégelée bien sentie de marrons. D'où fuite éperdue du trio!
30-05-2022, 10:28 PM
Deuxième Centaure - L’autre pauvre tache me plante au dernier moment, tu dois m’aider, mec ! - Je… dois ? Et en quel honneur, Bastien ? - Mon honneur ! Marine organise une… - C’est qui, Marine ? - Putain, Joachim, t’es con ou tu fais le con ? La chaudasse rousse en cours de stats, elle organise une soirée anti-Halloween sur… - C’est quoi encore, ça ? - Un Halloween en mai ! T’as jamais fait un barbecue de Noël en juin ? Bref, le thème c’est la mythologie grecque et… elle m’a laissé comprendre qu’elle était curieuse des miennes. De stats, je veux dire, comprendo ? Je n'ai même pas relevé. Que je le sois ou que j’en joue, clair que lui, il me prend vraiment pour un con, les codes des applis de rencontre – principalement gay – les stats, dimensions, performances, je capte, merci ! Ce qui continue à m’échapper, par contre… - Et j’y gagne quoi, mon petit Bastien ? - J’ai pas parlé de mariage, trois gamins, labrador et SUV, hein ! Je resterai dispo pour tes jolies petites fesses, mon Joachim d’amour" a-t-il dit, mielleux. "C’est juste que je sais pas si t’imagines, je me suis jamais perdu dans un trou roux !" - Euuuh… Il y a quand même eu le grand mec tout pâle, là… Ah oui, Joël. - Foufoune, tu veux dire ! Ben ouais, le problème de Bastien… Je devrais dire le problème avec Bastien, puisque c’est surtout le nôtre, c’est qu’il se perd avec autant de plaisir dans des corps féminins que masculins, brimant la moitié du temps les garçons comme moi - ou comme Joël – de ses… performances et dimensions. Tout en nous rendant plus sélectifs, pas tant sur la longueur, il n’est pas Rocco Siffredi, mais sur l’épaisseur, je me souviens encore de ma première fois avec lui, puis aussi du regard halluciné de Joël à la soirée d’intégration à la fac. - Mais tu sais que je peux être très reconnaissant" a-t-il soufflé, avec cette fois un sourire légèrement lubrique, avant de saisir ma main et de la poser sur son entrejambe. - Hmmm… Un minimum de détails, c’est trop demander ? - Arf ! Je t’ai dit, mythologie grecque, un personnage double, tout ça… Pas ma came, ça, mais j’ai cherché dans mes souvenirs de l’antiquité, l’être dual, cruellement séparé par les dieux qui cherche à retrouver son autre moitié, je sais plus trop. Ou alors, non, il y a… comment c’était, lui ? Ah oui, Janus aux deux visages ! Je me suis imaginé collé dos à dos à Bastien une partie de la soirée. Puis aussi, une fois qu’il aura ajouté une rousse à son tableau de chasse, j’ai pensé à sa… reconnaissance. Je suis faible, je sais. Egaré par mes sens et mes hormones, j’ai dit oui. … Et il a peut-être un peu raison, j’ai été légèrement con sur ce coup-là, ou du moins inculte, Janus, c’est la mythologie romaine, pas grecque ! Et je me retrouve avec lui dans un costume de centaure, puis même pas à la place d’honneur, non, je fais l’arrière-train ! Je me suis pris un paquet de claques sur le fessier, sans parler des commentaires "Bon cheval, mais où est le braquemart de 50cm ?" Il y a bien une ouverture à cet endroit, pour pisser si besoin est, puis quelques autres, pour l’aération, et le peu de lumière qui m’offre une vue directe sur le cul de Bastien, sanglé dans un jockstrap qui les expose trop bien, si proches, si inaccessibles… Ça n’a pas duré, heureusement, il a très vite décidé d’abandonner le déguisement pour se balader, nu à l’exception de la poche de tissu qui cache si peu, me laissant, piteux, avec la pelisse synthétique que je suis trop prude pour abandonner, affaissée sur ma taille, bien que j’aie glissé les bras dans les pattes avant, trop longues, et dont les sabots pendouillent ridiculement devant moi. - Etrange chimère’’ a glissé une merveille qui s’est postée devant moi. "Qu’es-tu donc ? Un hybride inédit, mi poney, mi humain ?" - Les commentaires sur ma taille ne me touchent plus depuis longtemps, et je suis un arrière-train de centaure qui ne t’intéressera pas, mais ne te déplaise, je mérite un minimum de… demi-respect. - Je ne voulais pas te vexer, et ne te déplaise à ton tour, ton jugement est un peu hâtif, je pourrais très bien m’intéresser à la moitié arrière… ou inférieure de tout être à l’apparence vaguement humaine" a-t-il glissé, avant d’ajouter "A plus forte raison masculine". - Oh ! Et en quoi cet argument devrait-il m’intéresser, moi ? - Libre spéculation sur le fait que depuis votre séparation, tu ne lâches pas du regard les fesses de ce mec, peut-être ? - Les fesses de Bastien ne m’intéressent pas vraiment... - Le recto, donc… Et qu’y trouve-t-on ? Il m’énervait un peu, je lui ai claqué "Un assez rare treize par quatre et demi, allié à la patience et l’endurance." - Hmmm… Je vois, puis je sens une possible compatibilité" a-t-il murmuré, songeur "Et j’ai conscience que la prostate n’est pas située à hauteur du coude du côlon, mais je peux proposer dix-sept par quatre et demi… Comme a dit Socrate, qui peut le plus…" - … Peut le moins, mais Socrate a vraiment dit cela ? - Il aimait les jeunes et jolis garçons, qui le lui ont apparemment bien rendu, donc… … Son principal… non, son seul défaut est de parler trop ! Tout gay que je sois, je reste un mec, on n’est pas multi-tâches, j’ai maintenu mon bassin au bon angle pour une possession totale et idéale, j’avais une main désespérément accrochée sur sa nuque et l’autre agitée sur ma virilité, mais en zappant par moments son blabla sur mon corps aussi accueillant que joli et fragile, et son intention de l’honorer tous les jours que les dieux de l’Olympe feraient… Après qu’il se soit retiré de moi, me laissant pantelant, j’ai haleté "Au fait, moi, c’est Joachim, je ne connais même pas ton prénom." - Bellérophon. - Gné ? - Désolé, déformation académique, fac de philo et lettres, je fais l’histoire de l’art, dans la mythologie grecque, il a monté Pégase… En vrai, c’est Tristan. - Oh ! C’est joli, ça fait chevalier" ai-je soupiré 'Et un chevalier sans monture, ça ne fait pas sérieux’ ai-je pensé…
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30-05-2022, 11:56 PM
Ah! Donc il y a eu "collusion"- j'allais écrire "collage"...Ce mot aurait tout aussi bien pu "coller" .
Tristan n'est pas triste : tant mieux. Et 17 contre 13, c'est gagné d'avance. Y aura-t-il d'autres fois pour l'insatiable? Ça restera du domaine de l'imaginaire. Merci pour ce "petit poulet". Louklouk peut-être?
31-05-2022, 11:10 AM
(29-05-2022, 01:45 PM)fablelionsilencieux link a écrit :Le choc frontal avait été si violent que le siège de devant recula et me coupa le pied droit juste au dessus de la cheville. Maintenant, je suis pratiquement autonome, soit en fauteuil - quand ma prothèse me fait souffrir - soit avec mon appareillage et, là, personne ne se rend compte que je suis handicapé – tant que je porte un pantalon.Lucas est plutôt doué en ingénierie, il pourrait adapter la prothèse d’Alex pour des performances sportives qui lui feraient un peu oublier son complexe :-\ Assez technique, cette (pas si) petite histoire, avec ce que je lui soupçonne seulement comme background professionnel – informatique ou électronique – je parierais bien sur Bech, tiens
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
01-06-2022, 12:10 PM
Troisième Centaure J'étais bien.. je sentais la longue et grosse queue du centaure s'enfoncer, forer, mon petit cul en chaleur ! Je sentais la puissance de cette belle queue suintante qui grossissait en entrant, m'ouvrant le portillon aux plaisirs. Je sentais la progression du gland chaud et humide que mon conduit absorbait et la matraque de chair et de sang suivait, s'enfonçant en moi, jeune humain… et cela durait, durait ! Il n'y avait qu'une longue pénétration sous laquelle je peinais à respirer mais, perché en équilibre sur une botte de paille pour être à bonne hauteur, j'ouvrais autant que possible mes jambes et je tendais bien mon arrière train qui aime se faire ramoner. Et le mandrin a commencé à se retirer, un peu seulement, pour se renfoncer d'un seul coup cherchant à aller encore plus loin, m'écartelant complètement. La mécanique était lancée. D’abord au pas, il fut vite au trot ! Mes doigts croché dans la paille, je m'entendais gémir, gueuler, supplier qu’il me bourre. Dans mon hystérie, je demandai le galop ! Mais il continua à son rythme, n’augmentant que graduellement sa course vers la ligne d’arrivée. Tel un jockey à Longchamp, mon corps se soulevait en cadence, sauf qu’ici j’étais la monture ! Mes sensations étaient telles que j'aurais pu sculpter dans le marbre la barre vivante, enveloppée dans mon puit d’amour. On approchait du finish, le galop devenait frénétique ! J'étais en transe et j’allais pour me saisir de mon sexe, raide et baveux comme jamais, pour le libérer de ce trop-plein de tension qui … — Dringgg ! Putain de merde ! J'étais dans les bras de Morphée… Je rêvais. Le visionnage de la trilogie du Monde de Narnia - près de sept heures de film non-stop – m’avait laissé des séquelles… loufoques mais fort agréables. Quand j'ouvrais les yeux, je ne vis rien du visage de ce canasson si bien monté. Mais j’avais quatre doigts profondément dans l’oignons et l’autre mains serrée sur mon dard au zénith et dur comme l’acier. Un effleurement de mon gland suffit à ouvrir les vannes et je cartographiais mes draps d’une copie de tout le continent Australien ! Putain de jouissance qui me fit voir des étoiles.. Non, au moins la constellation du Centaure, si pas la voie lactée toute entière… Du haut de mes quinze ans, je n’avais, maintenant, plus aucun doute sur ma sexualité future… et ça, ce n’est pas du cinéma !
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01-06-2022, 09:06 PM
Coucou les gens,
Je vous livre en avance la photo du prochain texte... qui est un peu plus conventionnelle : Policeman La suivante sera nettement plus... perché, si j'ose dire ooOoo
Puis le prochain défi hors-série sera un titre (rappel, il faut écrire une histoire y correspondant.) : « Un fermier vachement dans l’embarra » Vous avez jusqu’au 24 juin pour me les faire parvenir en MP.
ooOoo
Et, jamais deux sans trois, pour ceux que ça intéresse, je leur propose un défi "Loukloukéen" (qui, j'espère, y participera) : 10 mots à placer dans le texte et vu la difficulté, vous avez jusqu’au 1er septembre pour me le faire parvenir en MP. Voici la liste : -abracadabrantesque -bicéphale -réminiscence -contamination -mercantile -grandiloquant -claquemuré -électrolyse -coloquinte -zébulon
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01-06-2022, 10:03 PM
Pff !
Trop fastoches, les mots ! Pour les uniformes, je préfère les facteurs à la police... Et y avait des vaches en face de la maison où je suis né... C'est parti ! Euh, non, faut pas dire que je participe ! Pourvu qu'on me reconnaisse pas !...
Amitiés de Louklouk !
03-06-2022, 07:17 PM
Quatrième Centaure et première clochette Je randonnais dans la campagne parée de vert tendre printanier lorsque je découvris un jeune homme nu couché dans un champ de muguet. Savez-vous quelle est la différence entre la ville et la campagne ? À la campagne, on salue le conducteur en montant dans un bus et on salue les inconnus que l’on croise sur les chemins pédestres. Essayez de faire la même chose en ville, on vous regardera de travers. Je saluai donc ce jeune homme, remarquant qu’un brin de muguet cachait son pénis en érection qu’il caressait sensuellement. — Bonjour, dis-je. — Bonjour, me répondit-il. Auriez-vous deux minutes ? J’aurais quelque chose à vous demander après avoir juté. — Certainement, prenez votre temps. L’éphèbe accéléra ses va-et-vient et laissa échapper sa semence en de nombreux jets qui éclaboussèrent son six pack. — Ahhh, ça va mieux, me dit-il en se levant. Faisons un bout de chemin ensemble si vous êtes d’accord. Il cueillit un brin de muguet et ne prit pas la peine de nettoyer son sperme. — Vous n’avez pas d’habits ? lui fis-je remarquer. — Non, pourquoi en mettrais-je ? — Ce doit être désagréable de marcher pieds nus sur le chemin caillouteux. Votre talon est rouge. — C’est une tique qui m’a piqué, je suis heureusement vacciné contre la méningo-encéphalite verno-estivale. — Contre la Covid aussi ? — S’il vous plaît, pas de polémique déplacée à ce sujet. Nous reprîmes l’itinéraire balisé. — Que vouliez-vous me demander, au fait ? fis-je. — Auriez-vous croisé un centaure ? — Oui, j’en ai vu un il y a dix minutes. Il était en train de euh… de batifoler avec une centauresse, vous voyez ce que je veux dire. Je n’ai pas osé m’approcher, c’est comme avec les vaches et leurs veaux, il vaut mieux se tenir à carreau. — C’est bien mon problème, Chiron n’est pas gay et il préfère baiser les centauresses. — Chiron ? — C’est le nom du centaure, moi je suis Achille. — Enchanté, je m’appelle Ganymède. — Chiron doit tout m’apprendre : la quadrature du cercle, la cynégétique, la poésie d’avant-garde surréaliste, le hard rock, la broderie, etc. Il n’y a qu’une chose qu’il ne peut pas m’apprendre, c’est l’amour physique. — Vous êtes gay ? demandai-je. — Oui, c’est mon talon d’Achille, si je puis m’exprimer ainsi. J’en suis réduit à des branlettes et je suis puceau. — Mais comment avez-vous appris à vous branler si ce n’est pas avec votre Chiron ? — En lisant des récits érotiques sur Slygame, comme tout le monde. — N’auriez-vous pas peur du sexe de votre précepteur qui m’a paru de fort belle taille ? Sans parler de la difficulté à trouver un préservatif XXXXXXXXLLLLLLLLLL. — Je n’ai peur de rien ! Je suis prêt à tous les combats ! Nous marchâmes pendant quelques minutes, contemplant l’éveil printanier de la nature. Je sentais également cet éveil entre mes jambes, tant le jeune homme qui cheminait à mes côtés était beau, presque aussi beau que moi, c’est tout dire. Mon compagnon rompit le silence : — Vous vous appelez Ganymède, m’avez-vous dit. Ne seriez-vous pas aussi gay ? On dit que Zeus est votre amant. — On ne peut rien vous cacher. — Pourriez-vous me faire découvrir l’amour physique ? Sans attendre ma réponse, il se mit à quatre pattes au bord du chemin, dans un champ de boutons d’or. Ému par sa situation difficile due à un mythologue incompétent qui avait négligé sa gaytitude, ému surtout par son beau cul offert, je baissai mon pantalon, déroulai un préservatif XXXLLL sur mon membre turgescent er le pénétrai après l’avoir lubrifié à l’huile d’olive extra-vierge bio. Ses râles de plaisir furent si fort qu’ils attirèrent l’attention de Chiron qui accourut au galop. — Où étais-tu, mon Achilou ? Je t’ai cherché partout. — Ô Maître, je suis confus et désolé, mais Ganymède m’a proposé de me dépuceler. — J’aurais pu le faire, ne dois-je pas te donner une éducation complète ? — Ô Maître, je pensais que vous n’aimiez que les femmes, enfin je voulais dire les centauresses. — Je suis éclectique, je baise tout celles et ceux que je croise : chimères ou LGBTQIA+. En selle ! Je vais poursuivre ton éducation sexuelle et tu verras ce qu’est une vraie bite. — Ô Maître, vous n’avez pas de selle. — Monte à cru, cela stimulera tes gonades. Achille me jeta le brin de muguet en souvenir, ils s’éloignèrent au trot. Touché par ce geste, j’essuyai une larme, remis mon pantalon et repris mon chemin, entrai dans une forêt profonde aux doux murmures, croisai un oiseau dont le chant me guida jusqu’au rocher où était étendu un Walkyrien. Je vous raconterai ceci une autre fois, lorsqu’une photo adéquate aura été publiée.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
03-06-2022, 11:40 PM
Deux centaures valant mieux qu'un seul voire aucun, voici un quidam aux rêves trop fertiles en effets. Je suppose qu'inconsciemment il s'était mis sur les genoux dans son lit et, suivant les indications centauriques, plaçait trois doigts aussi profond que le permettait sa souplesse "fondamentale" et s'agitait membruellement de l'autre main. J'avoue qu'un selfie aurait été de rigueur.
Petite remarque historique : dans un film du père Guitry( Sacha), "Si Versailles m'était conté", le valet de chambre attaché au jeune Louis le quinzième arrive très tôt dans le salon de l'œil de bœuf où se tiennent les courtisans. Il leur déclare : «Messieurs, Sa Majesté, cette nuit, nous a gratifiés d'une "carte de France"». J'étais jeune ado quand j'ai vu ce film avec mes parents. Plus tard je compris, par expérience personnelle, le sens de cette annonce... Nous noterons aussi que vers 14 ans, le même Louis fut surpris dans une encoignure de fenêtre protégée d'un soyeux rideau, à prendre du bon temps avec un jeune page d'à peu près son âge. Ce serait à ce moment que le Conseil de régence, dirigé par Philippe d'Orléans, décida qu'il était grand temps de lui trouver une princesse libre d'attache. Ce fut Marie Leszczynska, 22 ans, qu'il épousa dès sa 15ème année...Et il ne s'en contenta pas : ne dit-on pas que sa descendance pourrait peupler une confortable sous-préfecture? Pour le centaure suivant, je suis déçu pour ce pauvre Achille qui a "raté son coup", si j'ose écrire. Ça partait pourtant d'un bon sentiment, cette aide toute bénévole qu'il s'apprêtait à offrir à Ganymède, quelque peu dans le besoin et presque éploré. Il se consolera cependant car, amateur de ce fromage "pour les jeunes" d'après la pub, il «avale Kiri»! Et c'est le prélude à une célèbre chevauchée revisitée par Richard W. et son "poulain royal", encore un Louis mais seulement numéro 2. (On fait ce qu'on peut!). N.B: le "poulain" en question faisait-il le cheval dans ses moments d'extase? L'histoire ne le dit pas. Bien à vous tous, amis lointains ou de l'ombre. Portez-vous bien et gare aux orages qui illuminent, à l'heure présente, les régions chalonnaises, briviste, limousine, mâconnaise, roannaise, aurillacoise et bisontine. KLO.
04-06-2022, 12:07 AM
Pour le troisième centaure, j’ai plus imaginé le visage de James McAvoy que ce qui met presque le narrateur en transe, pas le plus beau mec du monde, ni le plus charismatique, mais un excellent acteur, au regard un peu triste que j’aimerais voir luire dans le plaisir alors qu’il se perd en moi, peut-être plus que le méga-orgasme auto-accordé. Pour sa capacité – rare, je dois dire – à être assez paradoxalement explicite au milieu d’une production majoritairement douce et tendre, je pourrais pencher pour gaetanbg ¯\_(ツ)_/¯
Quant au 4è, à choisir entre Chiron et Ganymède pour sa first, entre la virilité un peu brute et la délicatesse, daddy contre twink, le choix d’Achille n’aurait pas été le mien, mais soit… Lange ?
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
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