02-05-2022, 01:11 PM
CHAPITRE 031 : « confusion » « Samuel »
« Annexe de la maison, servant de laboratoire et de bureaux provisoire à l’équipe de scientifiques, plus tard dans la journée. »
Samuel relève la tête pour la première fois depuis qu’il s’est plongé dans la pile de documents que Willy leur a fournis, conscient des regards nerveux portés sur lui.
- Ce n’était qu’un trait d’humour, il n’y a pas de quoi en faire tout un film !!
Pietro sort de son immobilisme attentiste pour montrer son désarroi, ne comprenant pas vraiment le sens des paroles de son neveu.
- De quel film parles-tu ?
Samuel comprend que c’est sans doute lui qui s’est fait le fameux film, son oncle n’étant pas de ceux qui feindraient de ne pas comprendre.
- Non… rien, laisses tomber, du coup vous attendez quoi figer tous comme vous l’êtes ? vous n’avez donc rien à faire ou bien vous comptiez me laisser tout le travail ?
Devant la gêne de Pietro, reconnaissant la remontrance pour ce qu’elle a de vraie, c’est Théron qui prend la balle au bond pour lui répondre.
- Nous attendions d’avoir ton avis sur ces documents qui apparaissent d’en ne sait où !!
- Je ne peux pas jurer qu’ils sont authentiques, pour cela il nous faudrait les originaux, mais par contre deux choses me paraissent certaines, l’écriture et la personne qui les a écrits, incontestablement la même que pour ceux que nous avons trouvé dans les cavernes.
- Difficile à croire !!
- Si vous ne me croyez pas, pourquoi dans ce cas me demander mon avis ?
- Allons Samuel, personne ne met en doute tes compétences, c’est juste qu’apparemment tu ne t’es monopolisé que sur la traduction et la calligraphie et non sur le support.
- Le support, comment le pourrais je puisque ce ne sont que des photocopies ?
- Regarde mieux et je pense que tu comprendras de quoi je parle.
Samuel fronce les sourcils, cherchant à comprendre ou son oncle veut en venir, il reprend l’un des folios pour cette fois l’étudier de plus près et il ne lui faut pas très longtemps pour enfin comprendre le doute énoncer sur la véracité de ses propres déductions.
- Non !! Comment…
- … est-ce possible ? voilà la question, l’originale n’est pas faite de parchemin, mais de papier vélin de très haute qualité qui plus est !! Imagines-tu ce que cela signifie ?
- En fait rien de nouveau si l’on considère ce que nous connaissions déjà, il nous faut juste changer l’une des dates qui de cent mille ans passe à cent-cinquante mille ans et prendre en considération que très certainement cette personne vivrait encore de nos jours.
Comme s’ils s’étaient tous donnés le mot, ils se retournent vers Willy rester auprès d’eux ou plutôt auprès de son nouveau copain Sam pour qui il lui devient de plus en plus difficile de s’en trouver séparer.
Sentant les regards pointés sur lui, il se montre du doigt visiblement surpris de devenir soudainement le principal point d’intérêt.
- Quoi ??
- Connais-tu la personne qui a écrit ces documents ?
- Comment le saurais-je ?
- Au moins connais-tu celui qui te les a fait parvenir ?
- Bien sûr, mais je n’en sais pas plus sur leurs origines !!
Samuel voit bien qu’il n’en dira pas plus, non pas parce qu’il veut cacher quelque chose, mais simplement parce qu’il n’en sait pas plus, aussi préfère-t-il revenir à la traduction qu’il en a faite en tendant la partie déjà déchiffrée à son oncle.
- Tenez !! Il y a déjà là de quoi cogiter, vous aurez la suite demain dans la journée.
Samuel se lève en montrant bien son intention d’en rester là pour aujourd’hui, comprenant qu’ils s’attendaient tous à ce qu’il y passe la nuit si nécessaire.
- Désolé si je ne suis plus aussi disponible qu’avant, mais j’ai aussi une vie privée et pour ne rien vous cacher un gros besoin de sommeil. J’ai dormi très peu hier avec à la fois le voyage et ensuite ma discussion d’avec Willy qui a duré une bonne partie de la nuit.
Samuel n’en dit pas plus que déjà il s’avance vers la sortie, tirant légèrement la manche de Willy au passage, mais sans s’arrêter ni lui envoyer d’autre signaux sur ses intentions.
Une fois dans la maison, il file directement en cuisine pour se préparer un sandwich, prendre une part de gâteau rester de la veille et repart avec ses encas dans sa chambre, bien décider de n’en ressortir que le lendemain.
Il n’y est pas depuis cinq minutes qu’il entend des pas dans l’escalier accédant à l’étage, un grattement sur sa porte et cette dernière s’entrebâillant pour laisser passer la tête de Willy.
- Je ne te dérange pas ? je peux entrer ?
- Pffttt !! Quelle question, bien sûr que tu peux !!
Willy ne se le fait pas dire deux fois, il entre en refermant derrière lui, hésitant à tourner un tour de clé, mais préférant finalement ne pas le faire de peur que son geste ne soit pris de travers par son ami, qui il l’a bien compris n’a absolument aucunes expériences en relations intimes.
Pas que lui en ait beaucoup plus, mais simplement qu’il était au contact de jeunes pour qui ce genre de distractions semblaient passionnant au possible et sans compter son tuteur avec son harem, c’est du moins comme cela qu’il nomme les magnifiques jeunes hommes toujours près de lui à son service.
Au cours des années où il a été recueilli, il les a vu se faire remplacer un par un de façon régulière pour prendre un poste privilégié dans la garde de sécurité tout de noir vêtu, ce qui l’a toujours intrigué qu’une seule personne reçoive un tel dévouement.
- Tu rêves tout debout ! Hi ! Hi !
- De quoi !! Non pas vraiment, je pensais juste à mon tuteur.
- D’entrer dans ma chambre t’amène de drôles de pensées, tu sembles beaucoup aimer cette personne ?
- Normal puisqu’il m’a sorti de l’orphelina et a été pour moi comme un second père jusqu’à aujourd’hui.
- Un peu comme mon oncle pour moi.
Willy se contente d’un hochement de tête affirmatif, venant s’assoir sur le rebord du lit au plus près de Samuel assit sur sa chaise devant son bureau.
- Tu voulais quelque chose aux faites ?
- Comment ça, ce n’est pas toi qui m’as envoyé un signe en tirant sur ma manche ?
- Oui c’est vrai ! Hi ! Hi ! Je voulais poursuivre notre discussion de cette nuit, mais avant ça allons prendre notre douche, je ne sais pas pour toi mais d’être rester des heures au sous-sol je me sens poisseux.
- Comment ça, « allons » !!! Tu veux dire ensemble ?
- Pourquoi non ? nous sommes deux garçons, je ne vois pas ce qui nous en empêche !! Avec Thomé cela nous arrive souvent et encore ici la douche est beaucoup plus spacieuse, parce que tu verrais chez nous.
Samuel se lève pour se rendre dans la salle de bains, attrapant l’avant-bras de Willy au passage pour qu’il le suive, récupérant deux serviettes de l’autre main.
La salle de bain est en effet beaucoup plus grande que celle dont il a l’habitude et le bac à douche peu servir largement pour deux personnes sans qu’il y ait contact entre eux.
Samuel une fois à l‘intérieur libère Willy et ôte ses vêtements dans la foulée, se positionnant nu dans le bac à douche et activant le mitigeur en évitant le premier jet d’eau froide.
Willy n’arrive pas à détacher son regard du corps parfait de son ami, ni trouvant qu’harmonie dans une musculature dévoilant juste ce qu’il faut où il faut pour le plaisir des yeux.
Pourtant il lui faut réagir vite, faute de quoi il sera rappelé à l’ordre et peut être même découvert à le fixer aux endroits les plus intimes, déjà malgré tout subjugué par la virilité au repos plaquer sur ses deux coussinets imberbes mais déjà d’une bonne taille, lui donnant l’eau à la bouche et la honte d’avoir de telles pensées envers son ami, pensées qui inévitablement lui amène ce que justement il voulait à tout prix éviter.
« Annexe de la maison, servant de laboratoire et de bureaux provisoire à l’équipe de scientifiques, plus tard dans la journée. »
Samuel relève la tête pour la première fois depuis qu’il s’est plongé dans la pile de documents que Willy leur a fournis, conscient des regards nerveux portés sur lui.
- Ce n’était qu’un trait d’humour, il n’y a pas de quoi en faire tout un film !!
Pietro sort de son immobilisme attentiste pour montrer son désarroi, ne comprenant pas vraiment le sens des paroles de son neveu.
- De quel film parles-tu ?
Samuel comprend que c’est sans doute lui qui s’est fait le fameux film, son oncle n’étant pas de ceux qui feindraient de ne pas comprendre.
- Non… rien, laisses tomber, du coup vous attendez quoi figer tous comme vous l’êtes ? vous n’avez donc rien à faire ou bien vous comptiez me laisser tout le travail ?
Devant la gêne de Pietro, reconnaissant la remontrance pour ce qu’elle a de vraie, c’est Théron qui prend la balle au bond pour lui répondre.
- Nous attendions d’avoir ton avis sur ces documents qui apparaissent d’en ne sait où !!
- Je ne peux pas jurer qu’ils sont authentiques, pour cela il nous faudrait les originaux, mais par contre deux choses me paraissent certaines, l’écriture et la personne qui les a écrits, incontestablement la même que pour ceux que nous avons trouvé dans les cavernes.
- Difficile à croire !!
- Si vous ne me croyez pas, pourquoi dans ce cas me demander mon avis ?
- Allons Samuel, personne ne met en doute tes compétences, c’est juste qu’apparemment tu ne t’es monopolisé que sur la traduction et la calligraphie et non sur le support.
- Le support, comment le pourrais je puisque ce ne sont que des photocopies ?
- Regarde mieux et je pense que tu comprendras de quoi je parle.
Samuel fronce les sourcils, cherchant à comprendre ou son oncle veut en venir, il reprend l’un des folios pour cette fois l’étudier de plus près et il ne lui faut pas très longtemps pour enfin comprendre le doute énoncer sur la véracité de ses propres déductions.
- Non !! Comment…
- … est-ce possible ? voilà la question, l’originale n’est pas faite de parchemin, mais de papier vélin de très haute qualité qui plus est !! Imagines-tu ce que cela signifie ?
- En fait rien de nouveau si l’on considère ce que nous connaissions déjà, il nous faut juste changer l’une des dates qui de cent mille ans passe à cent-cinquante mille ans et prendre en considération que très certainement cette personne vivrait encore de nos jours.
Comme s’ils s’étaient tous donnés le mot, ils se retournent vers Willy rester auprès d’eux ou plutôt auprès de son nouveau copain Sam pour qui il lui devient de plus en plus difficile de s’en trouver séparer.
Sentant les regards pointés sur lui, il se montre du doigt visiblement surpris de devenir soudainement le principal point d’intérêt.
- Quoi ??
- Connais-tu la personne qui a écrit ces documents ?
- Comment le saurais-je ?
- Au moins connais-tu celui qui te les a fait parvenir ?
- Bien sûr, mais je n’en sais pas plus sur leurs origines !!
Samuel voit bien qu’il n’en dira pas plus, non pas parce qu’il veut cacher quelque chose, mais simplement parce qu’il n’en sait pas plus, aussi préfère-t-il revenir à la traduction qu’il en a faite en tendant la partie déjà déchiffrée à son oncle.
- Tenez !! Il y a déjà là de quoi cogiter, vous aurez la suite demain dans la journée.
Samuel se lève en montrant bien son intention d’en rester là pour aujourd’hui, comprenant qu’ils s’attendaient tous à ce qu’il y passe la nuit si nécessaire.
- Désolé si je ne suis plus aussi disponible qu’avant, mais j’ai aussi une vie privée et pour ne rien vous cacher un gros besoin de sommeil. J’ai dormi très peu hier avec à la fois le voyage et ensuite ma discussion d’avec Willy qui a duré une bonne partie de la nuit.
Samuel n’en dit pas plus que déjà il s’avance vers la sortie, tirant légèrement la manche de Willy au passage, mais sans s’arrêter ni lui envoyer d’autre signaux sur ses intentions.
Une fois dans la maison, il file directement en cuisine pour se préparer un sandwich, prendre une part de gâteau rester de la veille et repart avec ses encas dans sa chambre, bien décider de n’en ressortir que le lendemain.
Il n’y est pas depuis cinq minutes qu’il entend des pas dans l’escalier accédant à l’étage, un grattement sur sa porte et cette dernière s’entrebâillant pour laisser passer la tête de Willy.
- Je ne te dérange pas ? je peux entrer ?
- Pffttt !! Quelle question, bien sûr que tu peux !!
Willy ne se le fait pas dire deux fois, il entre en refermant derrière lui, hésitant à tourner un tour de clé, mais préférant finalement ne pas le faire de peur que son geste ne soit pris de travers par son ami, qui il l’a bien compris n’a absolument aucunes expériences en relations intimes.
Pas que lui en ait beaucoup plus, mais simplement qu’il était au contact de jeunes pour qui ce genre de distractions semblaient passionnant au possible et sans compter son tuteur avec son harem, c’est du moins comme cela qu’il nomme les magnifiques jeunes hommes toujours près de lui à son service.
Au cours des années où il a été recueilli, il les a vu se faire remplacer un par un de façon régulière pour prendre un poste privilégié dans la garde de sécurité tout de noir vêtu, ce qui l’a toujours intrigué qu’une seule personne reçoive un tel dévouement.
- Tu rêves tout debout ! Hi ! Hi !
- De quoi !! Non pas vraiment, je pensais juste à mon tuteur.
- D’entrer dans ma chambre t’amène de drôles de pensées, tu sembles beaucoup aimer cette personne ?
- Normal puisqu’il m’a sorti de l’orphelina et a été pour moi comme un second père jusqu’à aujourd’hui.
- Un peu comme mon oncle pour moi.
Willy se contente d’un hochement de tête affirmatif, venant s’assoir sur le rebord du lit au plus près de Samuel assit sur sa chaise devant son bureau.
- Tu voulais quelque chose aux faites ?
- Comment ça, ce n’est pas toi qui m’as envoyé un signe en tirant sur ma manche ?
- Oui c’est vrai ! Hi ! Hi ! Je voulais poursuivre notre discussion de cette nuit, mais avant ça allons prendre notre douche, je ne sais pas pour toi mais d’être rester des heures au sous-sol je me sens poisseux.
- Comment ça, « allons » !!! Tu veux dire ensemble ?
- Pourquoi non ? nous sommes deux garçons, je ne vois pas ce qui nous en empêche !! Avec Thomé cela nous arrive souvent et encore ici la douche est beaucoup plus spacieuse, parce que tu verrais chez nous.
Samuel se lève pour se rendre dans la salle de bains, attrapant l’avant-bras de Willy au passage pour qu’il le suive, récupérant deux serviettes de l’autre main.
La salle de bain est en effet beaucoup plus grande que celle dont il a l’habitude et le bac à douche peu servir largement pour deux personnes sans qu’il y ait contact entre eux.
Samuel une fois à l‘intérieur libère Willy et ôte ses vêtements dans la foulée, se positionnant nu dans le bac à douche et activant le mitigeur en évitant le premier jet d’eau froide.
Willy n’arrive pas à détacher son regard du corps parfait de son ami, ni trouvant qu’harmonie dans une musculature dévoilant juste ce qu’il faut où il faut pour le plaisir des yeux.
Pourtant il lui faut réagir vite, faute de quoi il sera rappelé à l’ordre et peut être même découvert à le fixer aux endroits les plus intimes, déjà malgré tout subjugué par la virilité au repos plaquer sur ses deux coussinets imberbes mais déjà d’une bonne taille, lui donnant l’eau à la bouche et la honte d’avoir de telles pensées envers son ami, pensées qui inévitablement lui amène ce que justement il voulait à tout prix éviter.
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