16-11-2024, 08:48 AM
La partie fut rude, les 4 joueurs étaient exténués.
Ariel trouva la force de saluer ses adversaires.
— Vous avez bien joué Toni et Cylian, la prochaine fois, je ne ferai pas l'erreur de sous-estimer un éthéré.
— Mais tu as joué divinement bien également lui répondit Cylian.
Abel fit rentrer Cylian, Toni, Vincent et son frère dans la vaste demeure, il les guida dans l'aile sud de la maison.
Derrière une grande porte qu'Abel ouvrit, tous découvrirent avec stupeur sauf Ariel une piscine ainsi qu'un jacuzzi.
— C'est mon père qui l'a fait construire, il y a cinq ans, ça vous plaît ?
Cylian et Toni jubilaient.
Pour l'instant, tout les cinq se dévêtirent pour prendre une douche, comme il n'y avait qu'une place, ils entrèrent deux par deux dans la salle de bain, Ariel en premier, seul, des révisions à l'approche des examens l'attendaient le soir à son appart à Paris, il s'excusa de devoir partir si vite, excuse toute trouvée car il ruminait encore sa défaite.
Vincent toujours blagueur, voulut taquiner les deux frangins.
— Dites les filles, ça vous dit de prendre une douche à trois ? J'aurai de la distraction pendant que je me savonne à regarder deux beaux corps de rêves ! Et entre frangins vous partagez tout non ?
Ariel fut le premier à répondre.
— Excuse moi Vince mais moi sa me dégoutte un peu, je veux bien être tolérant, mais il y a des limites ! Tu fais ce que tu veux avec Abel mais moi j'ai une copine qui m'attend à Paris !
— Oh allez Ariel, je plaisantais !
Quand Ariel eut fini de prendre sa douche il salua tout le monde et prit congé de la troupe.
Abel eut le temps de le rattraper en tenue d'Adam pour lui donner un dernier conseil.
— Ariel, s'il te plaît ne te téléportes pas dans la maison comme la dernière fois ! L'énergie absorbée pour aller jusqu'à Paris nous a littéralement gelé la cuisine ! Maman a même failli tomber sur les plaques de glace sur le carrelage !
— Ne t'inquiètes pas Ab'. Vu la correction que je me suis pris, j'ai retenu la leçon. Étant donnée la distance que j'ai à parcourir, le saut spatial va geler une bonne partie des alentours, autant prendre mes précautions en descendant dans le jardin, je te dis à samedi prochain, pas de bêtise mon frère et embrasse papa et maman pour moi quand ils rentreront.
— OK, ce sera fait !
Toni et Cylian avaient vue sur le jardin d'où ils se trouvaient, ils virent Ariel s'immobiliser au centre du parc avec un petit sac à dos.
Tout d'un coup, Ariel disparut dans un flash de lumière aveuglante, bien plus puissant que ceux qu'ils avaient vu durant le match, une onde invisible secoua doucement les vitres de la bâtisse, puis à l'endroit où se trouvait auparavant le téléporteur, une couche de givre vint s'étendre à toute vitesse sur la pelouse, comme une vague de cristal blanche gelant les plantes alentours jusqu'à une partie de l'eau du bassin jouxtant le parc. Le cercle blanc devait bien faire une vingtaine de mètres.
Spectacle impressionnant se dit Cylian !
Cylian prit son Narcisse par le bras.
— Viens, c'est notre tour de nous doucher, Abou et ptit Cul ont fini de prendre la leur...
— Non mais t'es infernal toi quand tu t'y mets ! rétorqua Toni.
Ils prirent leur douche en s'embrassant l'un contre l'autre, appuyé sur une grande colonne de marbre de Cathare au centre de la douche à rendre jaloux les anges sculptés dans la pierre, au milieu des feuilles d'acanthes taillées dans le roc qui semblait les regarder.
L'eau qui coulait contre leurs lèvres suaves accentuait les désirs.
Cylian mit sa main contre l'épaule de Toni, il descendit jusqu'aux lombaires de son amant et glissa sa main entre ses fesses, Toni poussa un soupir de contentement, l'extrémité de leurs sexes ne mirent pas longtemps à se toucher en pleine érection.
Toni se retourna, ses mains enserrant la base du pilier, sa croupe cambrée en direction du sexe turgescent de son ange, il n'en fallait pas plus à Cylian pour comprendre l'invitation. Celui-ci mit un peu de savon sur la partie intime de son compagnon et pénétra doucement son membre mouillé.
Toni ronronnait de plaisir.
Cylian explosa vite au fond de son amour en plusieurs jets de sperme.
Ils finirent par se rincer mutuellement.
— Ne tardons pas. Les autres doivent se demander où nous sommes s'enquit Toni.
— Il doivent bien avoir une idée de se que nous faisons répondit Cylian d'un clin d'œil.
Quand il rejoignirent le jacuzzi, ils aperçurent Vincent et Abel couchés sur un transat.
Vincent étendu sur le corps musclé d'Abel parcourant son corps de bisous.
Vincent écarta la serviette qu'Abel avait autour de la taille pour s'emparer du membre d'Abel entre ses lèvres.
Il n'y a pas à dire, Abel était gâté par la nature : un sexe assez large d'au moins 21 cm, une toison bien entretenue et rasée troubla Cylian.
Vincent avait deviné la présence des deux curieux par une vision de leur présence dans son esprit, celui-ci tourna la tête dans leur direction;
— Hey, on ne vous dérange pas ? Allez faire un tour dans la piscine, l'eau y est bonne !
Cylian et Toni s'exécutèrent prestement un tantinet gênée d'être arrivés à ce moment là pour trouver les deux tourtereaux l'un contre l'autre.
Vincent dirigea ensuite son regard sur son bel amant couché entre ses jambes, il remonta jusqu'au lèvre d'Abel pour lui susurrer au creux de l'oreille :
— Je t'aime, je veux que ce moment ne finisse jamais.
— Vincent si tu savais comme j'ai attendu ce moment, dans mes rêves jusqu'au moment où je me réveillais le matin, pensant être dans tes bras, je... t'aime mon cœur !
— Abel, je veux que tu me donnes ton amour, s'il te plaît, j'ai envie d'essayer maintenant !
— Tu n'as pas trop peur Tu es sûr, J'ai des capotes dans mon sac.
— Non vas y, je veux le faire avec toi !
Abel se leva pour aller farfouiller dans son sac et revint avec un préservatif et un tube de gel dans ses mains tandis que Vincent se couchait placidement sur le dos.
Abel embrassa délicatement la nuque et le dos fin et délicat de Vincent, il lui ôta sa serviette et lui écarta les cuisses.
Vincent frissonna quand il sentit le gel sur son intimité, il sentit un puis deux doigts explorer délicatement son orifice, puis Abel se positionna contre Vincent, il poussa doucement pour prendre possession du corps de celui qu'il aimait tant. Vincent cria de douleur quand il sentit le sexe pénétrer en lui, puis une sensation de plaisir le gagna.
— C'est divin ! Continue !
Abel faisait des mouvements de plus en plus rapides, caressant les fesses rebondies.
Vincent était au paradis, cette nouvelle sensation le projetait au nirvana, tout son corps était secoué par les muscles puissants de son amour qui le soulevait comme un fétu de paille.
Il serrait les dents, sa pensée se dirigea sans le vouloir à quelques mètre à coté où, sur un fauteuil près de la piscine, Cylian était à califourchon sur son beau blond étendu, l'autre couple faisait l'amour avec une sensualité
qui excita Vincent. Il jouit en même temps que Toni, son bassin se cambra tandis qu'Abel émit un petit cri aigu, il se vida dans Vincent, puis le suça, Abel avalant tout le jus de son amour.
Abel embrassa délicatement Vincent par un baiser sur le front, il se surprit à rester là.
Bien serré contre son cœur, il se sentit bizarre, son cœur battait à tout rompre, un lien invisible l'unissait à Vincent. Une expression triste apparu dans les yeux d'Abel, il plissa légèrement ses sourcils.
Vincent perçut sa tristesse subite :
— Abou, tu as l'air anxieux, dis moi ce qui ne vas pas ? J'ai fais quelque chose de mal ?
— Non mon amour, au contraire tu as été génial, ce n'est rien... Je pense à une chose tout à coup mais ça va passer
— Tu es sur ? Je ferai n'importe quoi pour toi !
— Oui je sais... c'est... ce qui m'inquiète !
Ariel trouva la force de saluer ses adversaires.
— Vous avez bien joué Toni et Cylian, la prochaine fois, je ne ferai pas l'erreur de sous-estimer un éthéré.
— Mais tu as joué divinement bien également lui répondit Cylian.
Abel fit rentrer Cylian, Toni, Vincent et son frère dans la vaste demeure, il les guida dans l'aile sud de la maison.
Derrière une grande porte qu'Abel ouvrit, tous découvrirent avec stupeur sauf Ariel une piscine ainsi qu'un jacuzzi.
— C'est mon père qui l'a fait construire, il y a cinq ans, ça vous plaît ?
Cylian et Toni jubilaient.
Pour l'instant, tout les cinq se dévêtirent pour prendre une douche, comme il n'y avait qu'une place, ils entrèrent deux par deux dans la salle de bain, Ariel en premier, seul, des révisions à l'approche des examens l'attendaient le soir à son appart à Paris, il s'excusa de devoir partir si vite, excuse toute trouvée car il ruminait encore sa défaite.
Vincent toujours blagueur, voulut taquiner les deux frangins.
— Dites les filles, ça vous dit de prendre une douche à trois ? J'aurai de la distraction pendant que je me savonne à regarder deux beaux corps de rêves ! Et entre frangins vous partagez tout non ?
Ariel fut le premier à répondre.
— Excuse moi Vince mais moi sa me dégoutte un peu, je veux bien être tolérant, mais il y a des limites ! Tu fais ce que tu veux avec Abel mais moi j'ai une copine qui m'attend à Paris !
— Oh allez Ariel, je plaisantais !
Quand Ariel eut fini de prendre sa douche il salua tout le monde et prit congé de la troupe.
Abel eut le temps de le rattraper en tenue d'Adam pour lui donner un dernier conseil.
— Ariel, s'il te plaît ne te téléportes pas dans la maison comme la dernière fois ! L'énergie absorbée pour aller jusqu'à Paris nous a littéralement gelé la cuisine ! Maman a même failli tomber sur les plaques de glace sur le carrelage !
— Ne t'inquiètes pas Ab'. Vu la correction que je me suis pris, j'ai retenu la leçon. Étant donnée la distance que j'ai à parcourir, le saut spatial va geler une bonne partie des alentours, autant prendre mes précautions en descendant dans le jardin, je te dis à samedi prochain, pas de bêtise mon frère et embrasse papa et maman pour moi quand ils rentreront.
— OK, ce sera fait !
Toni et Cylian avaient vue sur le jardin d'où ils se trouvaient, ils virent Ariel s'immobiliser au centre du parc avec un petit sac à dos.
Tout d'un coup, Ariel disparut dans un flash de lumière aveuglante, bien plus puissant que ceux qu'ils avaient vu durant le match, une onde invisible secoua doucement les vitres de la bâtisse, puis à l'endroit où se trouvait auparavant le téléporteur, une couche de givre vint s'étendre à toute vitesse sur la pelouse, comme une vague de cristal blanche gelant les plantes alentours jusqu'à une partie de l'eau du bassin jouxtant le parc. Le cercle blanc devait bien faire une vingtaine de mètres.
Spectacle impressionnant se dit Cylian !
Cylian prit son Narcisse par le bras.
— Viens, c'est notre tour de nous doucher, Abou et ptit Cul ont fini de prendre la leur...
— Non mais t'es infernal toi quand tu t'y mets ! rétorqua Toni.
Ils prirent leur douche en s'embrassant l'un contre l'autre, appuyé sur une grande colonne de marbre de Cathare au centre de la douche à rendre jaloux les anges sculptés dans la pierre, au milieu des feuilles d'acanthes taillées dans le roc qui semblait les regarder.
L'eau qui coulait contre leurs lèvres suaves accentuait les désirs.
Cylian mit sa main contre l'épaule de Toni, il descendit jusqu'aux lombaires de son amant et glissa sa main entre ses fesses, Toni poussa un soupir de contentement, l'extrémité de leurs sexes ne mirent pas longtemps à se toucher en pleine érection.
Toni se retourna, ses mains enserrant la base du pilier, sa croupe cambrée en direction du sexe turgescent de son ange, il n'en fallait pas plus à Cylian pour comprendre l'invitation. Celui-ci mit un peu de savon sur la partie intime de son compagnon et pénétra doucement son membre mouillé.
Toni ronronnait de plaisir.
Cylian explosa vite au fond de son amour en plusieurs jets de sperme.
Ils finirent par se rincer mutuellement.
— Ne tardons pas. Les autres doivent se demander où nous sommes s'enquit Toni.
— Il doivent bien avoir une idée de se que nous faisons répondit Cylian d'un clin d'œil.
Quand il rejoignirent le jacuzzi, ils aperçurent Vincent et Abel couchés sur un transat.
Vincent étendu sur le corps musclé d'Abel parcourant son corps de bisous.
Vincent écarta la serviette qu'Abel avait autour de la taille pour s'emparer du membre d'Abel entre ses lèvres.
Il n'y a pas à dire, Abel était gâté par la nature : un sexe assez large d'au moins 21 cm, une toison bien entretenue et rasée troubla Cylian.
Vincent avait deviné la présence des deux curieux par une vision de leur présence dans son esprit, celui-ci tourna la tête dans leur direction;
— Hey, on ne vous dérange pas ? Allez faire un tour dans la piscine, l'eau y est bonne !
Cylian et Toni s'exécutèrent prestement un tantinet gênée d'être arrivés à ce moment là pour trouver les deux tourtereaux l'un contre l'autre.
Vincent dirigea ensuite son regard sur son bel amant couché entre ses jambes, il remonta jusqu'au lèvre d'Abel pour lui susurrer au creux de l'oreille :
— Je t'aime, je veux que ce moment ne finisse jamais.
— Vincent si tu savais comme j'ai attendu ce moment, dans mes rêves jusqu'au moment où je me réveillais le matin, pensant être dans tes bras, je... t'aime mon cœur !
— Abel, je veux que tu me donnes ton amour, s'il te plaît, j'ai envie d'essayer maintenant !
— Tu n'as pas trop peur Tu es sûr, J'ai des capotes dans mon sac.
— Non vas y, je veux le faire avec toi !
Abel se leva pour aller farfouiller dans son sac et revint avec un préservatif et un tube de gel dans ses mains tandis que Vincent se couchait placidement sur le dos.
Abel embrassa délicatement la nuque et le dos fin et délicat de Vincent, il lui ôta sa serviette et lui écarta les cuisses.
Vincent frissonna quand il sentit le gel sur son intimité, il sentit un puis deux doigts explorer délicatement son orifice, puis Abel se positionna contre Vincent, il poussa doucement pour prendre possession du corps de celui qu'il aimait tant. Vincent cria de douleur quand il sentit le sexe pénétrer en lui, puis une sensation de plaisir le gagna.
— C'est divin ! Continue !
Abel faisait des mouvements de plus en plus rapides, caressant les fesses rebondies.
Vincent était au paradis, cette nouvelle sensation le projetait au nirvana, tout son corps était secoué par les muscles puissants de son amour qui le soulevait comme un fétu de paille.
Il serrait les dents, sa pensée se dirigea sans le vouloir à quelques mètre à coté où, sur un fauteuil près de la piscine, Cylian était à califourchon sur son beau blond étendu, l'autre couple faisait l'amour avec une sensualité
qui excita Vincent. Il jouit en même temps que Toni, son bassin se cambra tandis qu'Abel émit un petit cri aigu, il se vida dans Vincent, puis le suça, Abel avalant tout le jus de son amour.
Abel embrassa délicatement Vincent par un baiser sur le front, il se surprit à rester là.
Bien serré contre son cœur, il se sentit bizarre, son cœur battait à tout rompre, un lien invisible l'unissait à Vincent. Une expression triste apparu dans les yeux d'Abel, il plissa légèrement ses sourcils.
Vincent perçut sa tristesse subite :
— Abou, tu as l'air anxieux, dis moi ce qui ne vas pas ? J'ai fais quelque chose de mal ?
— Non mon amour, au contraire tu as été génial, ce n'est rien... Je pense à une chose tout à coup mais ça va passer
— Tu es sur ? Je ferai n'importe quoi pour toi !
— Oui je sais... c'est... ce qui m'inquiète !