Immunité (SF, gay, derniers épisodes)

[Lange128]

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Oui ça chauffe dans le sauna. C'est une très bonne idée, cela permet de surpasser sa timidité. Puis c'est 'occasion pour Patrice de montrer son piercing!
Les garçons auront-ils l'occasion de voir Raphaël de plus prés et d'envisager une petite branlette de sa part?
Merci Daniel pour cette suite!
Je t'embrasse!
Philou

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Le fait de se montrer nu à d'autres est juste une question d'habitude, gênant la première fois, ensuite on s'habitue et l'on y prend plus garde. Tu me connais, dans ce récit ce ne sera pas que du naturisme sans aucun aspect sexuel et il est fort probable qu'une branlette soit au programme, mais Patrice devrait avoir l'habitude, il n'a fait que ça pendant son séjour à l'hôpital. Il y aussi des femmes et ça le dérange un peu. Il ne doit pas encore être totalement sûr de son orientation sexuelle et c'est possible qu'il soit bisexuel, ce qui expliquerait qu'il bande aussi en présence de femmes. Son piercing était ainsi mieux mis en valeur que caché sous le prépuce.

Je t'embrasse.
Daniel

[bech]

Bon, pour le vestiaire, ils ne doivent y aller que par groupe de quatre. Pas la peine d'avoir été à 10 dans la même chambre pour que le virus circule.

Du coup Patrice ne peut voir le déshabillage de tous ceux qu'il connait. Plusieurs (garçons comme filles) s'intéressent à son piercing. Mais à cause de ses soeurs, Patrice est temporairement éloigné de Raphaël qui était le seul habillé au moment des prélèvements de sperme.

[Lange128]

Bon, pour le vestiaire, ils ne doivent y aller que par groupe de quatre. Pas la peine d'avoir été à 10 dans la même chambre pour que le virus circule.

Du coup Patrice ne peut voir le déshabillage de tous ceux qu'il connait. Plusieurs (garçons comme filles) s'intéressent à son piercing. Mais à cause de ses soeurs, Patrice est temporairement éloigné de Raphaël qui était le seul habillé au moment des prélèvements de sperme.

Merci [member=27]bech[/member].

Les déshabillages par quatre étaient destinés à faire durer le suspense, et c’était plus poli de laisser les filles se changer seules. Les vestiaires mixtes sont assez rares, je n’en ai vus qu’en Allemagne.

Si je continue comme cela la visite au spa sera aussi longue que le reste du récit, mais tant que j’ai quelques lecteurs. Sur Slygame on peut aussi lire un récit uniquement avec les mails, sans incrémenter les compteurs.

J’ai passé avant-hier devant un salon qui fait des piercings et j’ai hésité à m’arrêter, mais je n’ai pas osé… Comme dans mon récit, j’aurais pu en avoir un sans rendez-vous, mais ils déconseillent le sauna pendant un mois, Patrice n’aurait donc pas dû y aller. 

[emmanolife]

Où je trouve mes idées ? J’essaie de ne pas les piquer aux autres auteurs, même si c’est inévitable. Pour ce récit c’est évidemment l’actualité qui m’a inspiré, j’ai beaucoup regardé la télévision pendant le confinement alors que je ne le fais pas d’habitude.

Sinon j’ai beaucoup de sources : des souvenirs personnels que je transpose ; beaucoup de recherches sur internet en relation avec mes sujets de prédilection ; des lectures passées, avant je lisais beaucoup ; le théâtre, j’ai parfois repris des idées d’une mise en scène que j’avais appréciée ; je me renseigne pour traiter un thème particulier, par exemple j’ai voulu décrire une initiation dans la franc-maçonnerie alors que je n’y connaissais rien ; des promenades ou des voyages que j’ai faits qui me suggèrent des lieux où mes récits se déroulent. Beaucoup d’idées me viennent spontanément à l’esprit lorsque j’écris.

J’ai quand même recommencé un peu à lire depuis que je suis à la retraite, mais c’est à des doses homéopatiques.

Bonjour, Lange.
Cette façon de faire ne te conduit-elle pas à écrire un peu toujours la même chose, en variant les thèmes ? En suivant les chemins de pensée dont tu as l'habitude ?

Ne pas lire d'autres auteurs, n'est-ce pas aussi leur témoigner un désintérêt à la limite du méprisant ? Tu pourrais aussi voir les récits des autres comme une sorte de trésor, une caverne d'Ali-Baba, où tu pourrais trouver des idées, que tu ferais tiennes en les mettant à ta sauce, ou alors au contraire les évaluer, te dire que tu ferais différemment, ou même te donner des pistes pour des intrigues nouvelles...

Bon allez, je dis ça en n'ayant jamais rien écrit, mais je sais que, en tant que lecteur, je suis de plus en plus sélectif, mais je ne sais pas trop à quoi ça tient, pourquoi un récit m'intéresse et un autre me tombe des mains.

Bon courage en tout cas !

[Lange128]

Bonjour, Lange.
Cette façon de faire ne te conduit-elle pas à écrire un peu toujours la même chose, en variant les thèmes ? En suivant les chemins de pensée dont tu as l'habitude ?

Ne pas lire d'autres auteurs, n'est-ce pas aussi leur témoigner un désintérêt à la limite du méprisant ? Tu pourrais aussi voir les récits des autres comme une sorte de trésor, une caverne d'Ali-Baba, où tu pourrais trouver des idées, que tu ferais tiennes en les mettant à ta sauce, ou alors au contraire les évaluer, te dire que tu ferais différemment, ou même te donner des pistes pour des intrigues nouvelles...

Bon allez, je dis ça en n'ayant jamais rien écrit, mais je sais que, en tant que lecteur, je suis de plus en plus sélectif, mais je ne sais pas trop à quoi ça tient, pourquoi un récit m'intéresse et un autre me tombe des mains.

Bon courage en tout cas !

Bonjour [member=67]emmanolife[/member],

Ce que tu écris est exact et je pourrais apprendre beaucoup et progresser en lisant les romans des autres. Mais je ne crois pas que ce soit du mépris. Je ne vais jamais au cinéma, cela ne signifie pas que je méprise les cinéastes, lorsque j’étais jeune il y a des films qui m’ont marqué. À l’heure actuelle je préfère voir des acteurs en direct sur une scène plutôt qu’en conserve dans un film.

Je pense plutôt que c’est un manque de temps, excuse facile je le sais, mais je dois faire des choix. Cet après-midi, dois-je rester à la maison pour lire un bouquin ou aller me promener ? Il y a 10 ans je serais resté à la maison, maintenant je vais aller me promener, ma montre surveille que je fasse 10’000 pas chaque jour et que je dépense au moins 680 kcal en activité… Ça me permettra au moins de réfléchir à mes futurs récits.

Dans une interview, l’écrivain T. C. Boyle a dit qu’il fallait lire attentivement les oeuvres des autres écrivains, mais il a aussi dit : « Personne ne vous apprendra à devenir écrivain. Pour écrire il faut avoir un don. ». Ai-je un don ? Je le pense, ce qui signifie que je suis devenu un écrivain, mais cela ne signifie pas que je suis devenu un bon écrivain, ça c’est au lecteurs de juger.

[emmanolife]

Ce que tu écris est exact et je pourrais apprendre beaucoup et progresser en lisant les romans des autres. Mais je ne crois pas que ce soit du mépris. Je ne vais jamais au cinéma, cela ne signifie pas que je méprise les cinéastes, lorsque j’étais jeune il y a des films qui m’ont marqué. À l’heure actuelle je préfère voir des acteurs en direct sur une scène plutôt qu’en conserve dans un film.

Je pense plutôt que c’est un manque de temps, excuse facile je le sais, mais je dois faire des choix. Cet après-midi, dois-je rester à la maison pour lire un bouquin ou aller me promener ? Il y a 10 ans je serais resté à la maison, maintenant je vais aller me promener, ma montre surveille que je fasse 10’000 pas chaque jour et que je dépense au moins 680 kcal en activité… Ça me permettra au moins de réfléchir à mes futurs récits.

Dans une interview, l’écrivain T. C. Boyle a dit qu’il fallait lire attentivement les oeuvres des autres écrivains, mais il a aussi dit : « Personne ne vous apprendra à devenir écrivain. Pour écrire il faut avoir un don. ». Ai-je un don ? Je le pense, ce qui signifie que je suis devenu un écrivain, mais cela ne signifie pas que je suis devenu un bon écrivain, ça c’est au lecteurs de juger.

Bonjour, Lange ! J'aime tes réponses sincères 

Je ne suis pas sûr que la question de savoir si tu es un bon écrivain soit une bonne question. Pour certains, un bon écrivain sera celui qui vend au moins 100 000 exemplaires de ses romans, et un très bon plus de 500 000.

En tant qu'amateur, la seule question qui vaille c'est de savoir si tu trouves du plaisir à écrire et si tu donnes du plaisir à tes lecteurs !

[Lange128]

Bonjour, Lange ! J'aime tes réponses sincères 

Je ne suis pas sûr que la question de savoir si tu es un bon écrivain soit une bonne question. Pour certains, un bon écrivain sera celui qui vend au moins 100 000 exemplaires de ses romans, et un très bon plus de 500 000.

En tant qu'amateur, la seule question qui vaille c'est de savoir si tu trouves du plaisir à écrire et si tu donnes du plaisir à tes lecteurs !

Bonjour [member=67]emmanolife[/member],

Une des principales fonctions des forums et autres réseaux sociaux est de parler de soi. Je profite donc de le faire, parfois indirectement dans mes récits ou alors directement en répondant aux commentaires.

Je me réserve le droit de ne pas répondre sincèrement à toutes les questions, mais c’est plutôt celles que la politesse interdit de poser, je n’ai donc pas besoin de refuser d’y répondre (je ne me souviens par exemple pas avoir donné la longueur de mon pénis, mais on ne me l’a jamais demandée).

Oui, j’ai du plaisir à écrire, je ne sais pas si j’en aurais tout la vie, je me lasserais peut-être ou je serais gâteux. Et je sais que je donne du plaisir à mes lecteurs, même s’ils ne me le disent pas. J’aime bien imaginer que quelqu’un bande en me lisant… ou pleure, mais ce doit être plus rare.

[fablelionsilencieux]

[quote author=emmanolife link=topic=83.msg2159#msg2159 date=1597468832]
Bonjour, Lange ! J'aime tes réponses sincères 

Je ne suis pas sûr que la question de savoir si tu es un bon écrivain soit une bonne question. Pour certains, un bon écrivain sera celui qui vend au moins 100 000 exemplaires de ses romans, et un très bon plus de 500 000.

En tant qu'amateur, la seule question qui vaille c'est de savoir si tu trouves du plaisir à écrire et si tu donnes du plaisir à tes lecteurs !

Bonjour [member=67]emmanolife[/member],

Une des principales fonctions des forums et autres réseaux sociaux est de parler de soi. Je profite donc de le faire, parfois indirectement dans mes récits ou alors directement en répondant aux commentaires.

Je me réserve le droit de ne pas répondre sincèrement à toutes les questions, mais c’est plutôt celles que la politesse interdit de poser, je n’ai donc pas besoin de refuser d’y répondre (je ne me souviens par exemple pas avoir donné la longueur de mon pénis, mais on ne me l’a jamais demandée).

Oui, j’ai du plaisir à écrire, je ne sais pas si j’en aurais tout la vie, je me lasserais peut-être ou je serais gâteux. Et je sais que je donne du plaisir à mes lecteurs, même s’ils ne me le disent pas. J’aime bien imaginer que quelqu’un bande en me lisant… ou pleure, mais ce doit être plus rare.
[/quote]

Coucou Daniel, lange128/129, Jules1291, wattpadien d’occasion, Scribayeur tout neuf et re-@Lange129,

Je crois pouvoir dire que j’ai tout lu de tes publications -parfois deux ou trois fois, pour certains textes) et, même si je ne bande pas ou ne pleure pas chaque fois, j’ai toujours autant de plaisir à te lire.

Donc, oui ! tant que tu en as l’envie et la santé, continue à nous livrer tes écrits plus ou moins fantasmés ou explicites des amours garçonnier.

Tu fais des heureux !

[Lange128]

Coucou Daniel, lange128/129, Jules1291, wattpadien d’occasion, Scribayeur tout neuf et re-@Lange129,

Je crois pouvoir dire que j’ai tout lu de tes publications -parfois deux ou trois fois, pour certains textes) et, même si je ne bande pas ou ne pleure pas chaque fois, j’ai toujours autant de plaisir à te lire.

Donc, oui ! tant que tu en as l’envie et la santé, continue à nous livrer tes écrits plus ou moins fantasmés ou explicites des amours garçonnier.

Tu fais des heureux !

Cocuou [member=54]fablelionsilencieux[/member]. C’est moi qui vais verser une larme, tu me touches en me disant que tu as lu tous mes récits.

Ça m’encourage à continuer mais ça me donne aussi une responsabilité, celle de garder le même niveau et de continuer à te passionner. N’hésite donc pas à me dire lorsque tu penseras que je radote et qu'il vaudrait mieux que je prenne ma deuxième retraite (celle d'écrivain).

[fablelionsilencieux]

Tu devais bien te douter que -même si je ne commente pas systématiquement- je suivais tes récits (j’en avait fait la liste je crois) et ma période de bannissement m’avait permis de compléter les quelques -rares- manques que je pouvais avoir, via : http://207.182.143.155/w/index.php/Utili...:Jules1291

(pour les curieux comme moi)

Puis, ta seule responsabilité, c’est de te plaire dans tes rédactions.
Le bonus étant de nous faire partager ceux-ci et, pour nous -contrairement à d’autre sites moins interactifs-, pouvoir te donner notre avis, quasi immédiatement !

[Louklouk]

Quelle drôle d'attitude... L'écriture pour remplacer la lecture. Mais où trouves-tu des idées alors ?

Hello [member=67]emmanolife[/member] !

J'ai très peu lu, après mon enfance, et mes idées, je les trouve dans mes fantasmes.
De plus, j'écris avec juste une idée de départ (bien sûr, ceux qui me connaissent se doutent plus ou moins de la fin !), et les accidents de l'intrigue apparaissent au fil de la plume, ce qui est toujours jouissif.
Quand j'étais jeune, j'avais entrepris de lire Céline, et Proust : j'ai vite arrêté ! Je commençais à ce moment ma vaste production poétique, et pour moi, lire était prendre du temps sur l'écriture...

Je dois cependant avouer que j'ai lu toute la poésie classique depuis la Renaissance jusqu'à la moitié du XXe siècle, et surtout... tout le théâtre de la même période.

Bien sûr, je ne me prive pas d'emprunter des personnages ou des situations aux autres, de terminer des œuvres restées en plan, ou terminées d'une façon qui ne me plaisait pas, voire d'en faire des remakes... On n'en a fait qu'un sur une de mes nouvelles, et j'ai été très flatté !

(voir ma fin alternative de "Plus près de toi", le roman de [member=65]Rowani[/member] , et mon remake de "La Belle Jeanne", de Sangdelicorne)

Voici un début de réponse à la question... que tu ne me posais d'ailleurs pas !

Amitiés à toi, et à tous ceux que ces questions intéressent,
Louklouk

[Lange128]

Dernier jour - 30 juin 2020 (6)

Le pénis de Patrice retrouva une dimension bienséante à la suite d’une douche froide. Les trois filles et les deux garçons prirent ensuite un bain de vapeur, la lumière tamisée ne permettait pas de voir les corps nus dans la brume, au grand soulagement de Patrice. Puis ils rejoignirent les autres après avoir remis leurs peignoirs. Raphaël n’avait pas envie d’aller au sauna, il discutait avec Olivier, assis dans un fauteuil.

Le temps passait, il était bientôt 18h30. Patrice demanda à Adelin :

— Tu ne pourrais pas dire à Raphaël que nous aimerions voir sa bite ?
— Je t’ai déjà dit que ce n’est pas moi qui invite. Attends, suis-moi, j’ai une idée.

Ils allèrent vers Jeremy qui attendait derrière le bar, Adelin lui demanda :

— Ne pourrait-on pas baisser un peu l’éclairage ?
— Certainement. Dois-je sortir ?
— Non, je pense que vous en avez vu d’autres.
— Le personnel d’un hôtel ne regarde jamais ce que font les clients, ou alors, il oublie…

Le masseur diminua l’intensité des parois translucides blanches et éteignit les autres lampes. La pièce était encore éclairée par les bougies posées sur les tables. Les conversations cessèrent. Patrice prit son courage à deux mains :

— Raphaël, c’est à toi.

L’infirmier n’hésita pas, il se leva et ôta rapidement son peignoir, dévoilant un long pénis noueux, le plus long de toute l’assemblée. Patrice se demanda s’il bandait un peu car le prépuce ne recouvrait le gland qu’à moitié. Celui de Djibril était cependant plus élégant et harmonieux, Patrice aurait bien aimé le revoir une dernière fois.

— Voilà, fit l’infirmier, vous êtes satisfaits ?
— Pas tout à fait, dit Adelin, nous aimerions te voir bander.
— Vous êtes des petits cochons, il y a des dames ce soir. On n’est pas dans une caserne.
— Les dames aiment aussi voir des pénis, fit Malia.

Elle écarta les pans du peignoir de son ami Djibril et prit son membre dans sa main. Ils se levèrent et se déshabillèrent entièrement avant d’échanger des caresses. Patrice était stupéfait, il remarqua à peine qu’Adelin s’était placé derrière lui et dénouait aussi la ceinture de son peignoir. Raphaël se rassit et dit à Jibran :

— Ils sont assez chauds ce soir, je ne sais pas ce que le barman a mis dans nos verres. Je te laisse faire.

Jibran commença à branler Raphaël.

— Je suis sûr qu’ils se connaissaient, chuchota Patrice à Adelin.
— C’est possible, ne cause pas tout le temps.

Adelin titilla les tétons de Patrice afin d’éviter de lui manipuler le pénis. Jade et Ambre enlevèrent leurs peignoirs. Olivier demanda à Cosme :

— On pourrait répéter la scène de Angels in America, celle avec le prostitué.
— Excellente idée, tu as des capotes ?
— Toujours.
— Vous pouvez nous en passer une ? demanda Jibran qui avait entendu.
— Ce ne sont pas des XXL.
— C’est pour moi, pas pour Raph. On ne veut pas choquer les puceaux.

Heureusement que Patrice n’avait pas entendu, il se serait senti visé. Adelin était toujours derrière lui, son phallus érigé dans la raie des fesses.

— Regarde Djibril et son amie ! s’exclama Patrice, il a mis son pénis dans son vagin !

Patrice les voyait en ombres chinoises devant la paroi translucide. Il pouvait admirer les amples mouvements de bassin du Noir.

— Oui, c’est ainsi que font les hommes et les femmes ensemble. Tu veux que je te dépucèle ? fit Adelin.
— Plus tard, lorsque nous serons seuls. Sais-tu au moins comment on fait ?
— Comme tu voudras. Je lirai le livre que je t’ai offert avant…

Sacha était indécis, il commença à caresser son pénis sur l’étoffe du peignoir, mais le cœur n’y était pas. Chloé était aussi mal à l’aise, un peu gênée d’être à côté de sa sœur qui faisait l’amour. Celle-ci vint à sa rescousse.

— Tu ne vois pas que le coiffeur est seul ?
— Oui. Tu penses que je devrais…
— Demande-lui.

Chloé se leva et alla vers Sacha.

— Euh… dit-elle. Tu aimerais que je te…
— Si tu veux, dit Sacha en riant. Je suis célibataire en ce moment.
— Je… je n’ai jamais touché le pénis d’un homme.
— T’inquiète pas, cela ne sera pas pire que mon ancienne copine, elle ne savait ni branler, ni sucer. Et elle ne m’a jamais mis le doigt dans le cul comme ton frère.
— Mon frère ? Il t’a mis son doigt dans le…
— C’était pour un examen médical… ou pour me refiler le virus.

Chloé défit la ceinture du peignoir et l’ôta. Sacha la déshabilla aussi.

— Ça alors, fit Patrice, étonné, ma sœur avec le coiffeur.
— La pandémie a changé la vie de beaucoup de monde, parfois de manière positive. Tais-toi maintenant et jouis !

Patrice ne savait plus où regarder : Olivier qui enculait Cosme, debout ; Jibran qui faisait de même avec Raphaël, à quatre pattes sur un fauteuil ; Ambre qui faisait un cunnilingus à Jade ; Djibril qui déposait sa semence dans le vase de Malia, les seuls à respecter la loi divine ; Chloé qui suivait des cours accélérés, elle en était déjà à la fellation ; enfin Jeremy qui regardait les cours de la bourse sur son smartphone. Patrice remarqua à peine lorsqu’il éjacula, ensuite son piercing lui fit mal.

Tout ce petit monde jouit aussi puis se rhabilla pour le dîner. Après celui-ci, vers 23 heures, certains rentèrent chez eux, d’autres décidèrent de passer la nuit à l’hôtel, le père de Patrice ayant entretemps informé son fils qu’il paierait la chambre à ceux qui le désiraient. Chloé dit à son frère :

— Euh, tu n’aurais pas les capotes qu’on t’a offertes ?
— Bien sûr. Tu en veux combien ?
— Deux… ou trois, c’est mieux d’avoir une réserve.
— La prochaine fois c’est moi qui t’en offrirai. Il te plaît l’apprenti coiffeur ?
— On verra…

Raphaël allait se retirer dans sa chambre avec Jibran, lorsque Patrice le retint :

— Toi, tu restes avec moi pour un dernier verre. Tu ne vas pas te défiler.
— Raté, j’ai cru que tu avais oublié.

Les deux couples s’assirent dans le lobby de l’hôtel. Ils commandèrent des cafés avec du cognac.

— Je t’écoute, dit Patrice à Raphaël.
— Je reconnais que j’ai été un peu trop familier avec toi, il faut me comprendre, je sortais d’une longue période d’abstinence. Après j’ai compris qu’une amitié était née entre Adelin et toi.
— Et tu avais Jibran, fit Adelin.
— On se connaissait déjà, on avait déjà eu des plans cul ensemble avant l’épidémie. On a décidé d’essayer autre chose, une relation plus durable.
— Vous avez baisé à l’hôpital ? demanda Patrice.
— Non, le risque était trop grand avec le virus.

Le serveur les interrompit en apportant les cafés.

— Et pourquoi suis-je tombé malade ? questionna Patrice.
— Je ne devrais pas te le dire, mais tu dois le savoir, j’aurais des remords de te le cacher. On ne t’a pas injecté de vaccin, on t’a infecté avec le virus. Cela s’appelle un challenge infectieux.

[bech]

Le moment attendu par Patrice, les autres et au moins certains lecteurs arrive.

Déshabillage, en premier de Raphaël, branlettes partagées. On apprend que Jibran et Raphaël se connaissaient avant le séjour COVID.

Même les filles participent aux manipulations. Il y a même des sodomies. Donc ambiance très chaude pour cette dernière soirée.

Patrice demande à Raphaël pourquoi il a été malade. Il lui répond que lui n'a pas reçu le vaccin, mais le virus. C'est donc pire que ce que j'avais pensé en envisageant qu'il aurait pu recevoir un placebo. Et d'autre part, il y avait un risque qu'il tombe malade avant les 10 premiers jours. Ou alors, il n'y avait pas le virus dans l'injection, mais il l'a eu quelques jours après, par exemple par les aliments.

Je n'ai pas vu le mot "Fin", donc, il devrait rester un ou deux chapitres. Je ne les lirai qu'à partir du 24 aout après quelques jours en déplacement et sans internet.

[Lange128]

Le moment attendu par Patrice, les autres et au moins certains lecteurs arrive.

Déshabillage, en premier de Raphaël, branlettes partagées. On apprend que Jibran et Raphaël se connaissaient avant le séjour COVID.

Même les filles participent aux manipulations. Il y a même des sodomies. Donc ambiance très chaude pour cette dernière soirée.

Patrice demande à Raphaël pourquoi il a été malade. Il lui répond que lui n'a pas reçu le vaccin, mais le virus. C'est donc pire que ce que j'avais pensé en envisageant qu'il aurait pu recevoir un placebo. Et d'autre part, il y avait un risque qu'il tombe malade avant les 10 premiers jours. Ou alors, il n'y avait pas le virus dans l'injection, mais il l'a eu quelques jours après, par exemple par les aliments.

Je n'ai pas vu le mot "Fin", donc, il devrait rester un ou deux chapitres. Je ne les lirai qu'à partir du 24 aout après quelques jours en déplacement et sans internet.

Merci [member=27]bech[/member].

C’est la première fois que je décrivais ce genre de scène avec 12 personnes, avec hommes gays, couples hétéros et lesbiennes, ce n’était pas facile. J’ai essayé de la montrer comme Patrice la voit, plutôt que de faire une description détaillée de chacun des couples.

Tu as raison, une injection du virus le premier jour était trop tôt. Je vais changer le texte et mettre qu’on l’a « infecté avec le virus ». Raphaël expliquera au chapitre suivant, qui sera effectivement le dernier ou l’avant-dernier. Cela dépendra de la longueur, chaque chapitre faisant environ 1’000 mots.

La possibilité d’une infection volontaire existe, très dangereuse puisque c’est une maladie qui peut être mortelle. On en parle maintenant, mais fin juin, date où le récit se déroule, c’était encore trop tôt, c’est pour cela que j’avais mis que c’était de la SF.

[Philou0033]

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !
Super suite. Enfin c'est le moment où, la chaleur aidant, les esprits et les corps se libèrent.
On apprend aussi que Raphaël et Jibran se connaissaient avant!
Les garçons ainsi que Raphaël et même les filles s'y mettent, tous se lâchent. Certains font l'amour, d'autre se masturbent mutuellement et se caressent et d'autres suivent des cours accéléré !
Patrice apprend qu'il n'a pas reçu le vaccin mais bien le virus, raison pour laquelle il est tombé malade !
Vu que je n'ai pas vu ni lu le mot "FIN", j'attends donc la suite mon cher Daniel.
Je t'embrasse!
Philou