25-09-2021, 08:16 PM
Premier cône,
Mon Dieu, cette soirée je m'en souviendrai toute ma vie. Avec Paul, on avait décidé de sortir et de s’éclater. Et pour s’éclater, on s'était éclaté et on avait même éclater le cul des deux mecs qu'on avait rencontré.
Paul avait vu sur un site gay qu'une nouvelle boite ouvrait dans une zone industrielle. Elle s'appelait l’Entrepôt. Et depuis qu'il avait vu ça, il me cassait les couilles pour qu'on aille à la soirée inaugurale. J'ai fini par céder.
Paul c'est mon meilleur pote et accessoirement mon amant de substitution quand ça fait un moment que ni lui ni moi on a baisé. On s'est connu au bahut en seconde. Il clamait haut et fort sa sexualité différente. Et comme on était dans la même classe, j'ai essayé de me rapprocher de lui.
Au début il se demandait bien ce que je lui voulais. Puis j'ai enfin osé lui parler, moi le jeune puceau effrayé par sa sexualité… hors norme de celle de ses potes de toujours et qui n'osait l'avouer à personne. Et finalement c'est lui qui m'a donné le courage de sortir du placard auprès de ma famille d'abord puis de mes proches ensuite.
C'est ainsi qu'on est devenu les meilleurs amis du monde.
Je ne dis pas qu'il n'y a pas eu des moments de brouille entre nous mais on se rabibochait toujours.
Ma première expérience sexuelle ce n'est pas avec lui que je l'ai eue mais avec un de ses ex qu'il m'avait présenté. Ça c'est passé un mercredi après-midi chez lui pendant que ses parents étaient au boulot. C'est resté assez soft.
Puis je suis parti au ski avec ma famille et j'ai rencontré deux gars le premier soir dans les toilettes publiques où j'étais allé pour un besoin urgent. Et c'est avec eux que j'ai fini d'être complètement dépucelé. Je les ai vu tous les soirs et même certains après-midi parce qu'il n’avait pas fait beau pendant toute une semaine.
Et bien sûr, quand je suis rentré j'ai tout raconté à Paul, ça l'a fait bander et super excité, ça a été la première fois où on a baisé ensemble. Je l'ai pris et il m'a pris ensuite et il m'a avoué que j'étais le premier mec qu'il baisait. Il n'avait jamais été actif et il aimait bien ça. On a recommencé souvent les jours qui ont suivi puis les cours reprenant on s'est calmé par obligation.
Je l'ai présenté à mes parents et lui m'a présenté aux siens. Je vais dormir chez lui et lui vient chez moi. C'est mon binôme en cours donc on passe de nombreux week-end chez l'un ou chez l’autre.
Il y a une saine émulation entre nous et c'est pour ça que nos parents nous laissent libres de passer nos week-ends ensemble et parfois ils nous autorisent à sortir.
Plus la date approche plus Paul est intenable. Ça fait plusieurs fois qu'il leur téléphone. Ça a été d'abord pour savoir s'il y avait un Dress-code particulier. Ensuite ça a été pour savoir à quelle heure ils ouvraient, puis ça a été pour je ne sais plus quoi encore, si bien que le gars, Jean-Charles, qui lui répondait tout le temps lui a demandé nos prénoms et il lui a dit qu'il laisserait des entrées VIP à nos noms à l’accueil. Il a dû mentir car la boite n'acceptait pas les mineurs mais on allait bientôt avoir dix-huit ans – enfin, dans moins d’un an.
Et depuis Jean-Charles par ci, Jean-Charles par là … Il me saoulait avec ce Jean-Charles à tout bout de champ !
Et c'est enfin le grand jour ! Bon vu que Paul et moi on n'avait pas le permis c'est en métro qu'on allait devoir y aller. Et vu les horaires du week-end on allait devoir faire l'ouverture et la fermeture si on ne voulait pas trainer dans la zone ou rentrer à pied. Et pour plus de facilité j’allais chez Paul en début de soirée. On a pris le dernier métro et on a été dans les premiers à faire la queue. Les vigiles filtraient les entrées. Quand notre tour arriva, on leur dit qu'il y a des invitations à nos noms à l’accueil. Un d'eux alla se renseigner et ils nous firent entrer.
On commença par faire le tour. Il y avait deux pistes de danse avec deux ambiances différentes. Il y avait aussi trois bars et au fond une pièce avec des fauteuils et des tables pour pouvoir boire tranquillement et c'est Paul qui découvrit tout au fond ce que les anglo-saxons appellent une dark-room.
Très vite la boite se remplit et l'ambiance était super chaude. Je croyais qu'il s'agissait d'une boite gay mais non c'est une boite mixte. Tant mieux ça fait moins ghetto. Paul et moi on danse comme des malades entre nous sans tenir compte des mecs ou des meufs qui voulaient intégrer notre duo. Et après une heure à s'éclater au son d'une musique de ouf, on alla jusqu'au bar boire un verre.
— Merde Fred, t'as vu qui c'est le barman ?
— Non, c'est qui ?
— C'est un des pions du bahut. Tony, le blond mignon. Tu vois quand je te disais qu'il devait être gay et que tu m'as envoyé chier.
— Tu vois des gays de partout toi. C'est pas parce qu'il travaille ici qu'il est forcément gay.
— T'as vu sa dégaine. Il est trop chou avec son short en jean trop court qui lui moule le paquet et le cul et son marcel destroy qui lui colle à la peau.
— C'est vrai qu'il est bandant habillé ainsi, ça change du bahut. Je me le taperais bien. Il me fait bander habillé comme ça.
— Tu veux boire quoi ?
— Une bière.
— Ok, je vais commander.
— Attends, je viens avec toi.
On alla du côté où Tony servait et on lui commanda deux bières qu'il nous servit avec le sourire.
— Les mecs, je dis rien pour votre âge, par contre vous fermez vos gueules au bahut sur ce que vous voyez ici.
— T'inquiète pas Tony, on n'en a rien à foutre de ta vie. Oups c'est pas ce que je voulais dire, désolé. Tu fais ce que tu veux de ta vie. Mais ça serait cool que tu viennes habillé comme ça au bahut.
— Même pas en rêve Fred ! Je vous laisse, je bosse moi.
— Combien on te doit ?
— Ce soir c'est offert par la maison, enfin la bière.
On la but et on en commanda une autre qu'on dégusta en matant les mecs au bar et en faisant nos langues de putes comme on savait si bien le faire.
— On retourne danser Paul ?
— Oui je veux bien mais avant faut que j'aille pisser.
— Ok, je t’accompagne. Moi aussi j'ai envie.
On avait repéré les toilettes en faisant notre tour mais on n'y était pas entré. Et là le choc. Des miroirs de partout, urinoirs compris. Il faut que je vous les décrive parce que ça vaut vraiment le coup.
Sur la droite il y a trois cabines de WC, en face de la porte d'entrée deux lavabos et sur la gauche les urinoirs. En fait il n'y en avait qu'un mais immense. Il y a une petite marche pour y accéder et tout le pan de mur n'est qu'un miroir et on pisse contre. C’était… spécial !
Des gémissements sortaient d'une des cabines et parfois on entendait un clic-clac caractéristique et régulier. On se doutait bien de ce qu'il devait s'y passer. Et le gars ramassait bon.
On avait sorti nos queues et on pissait tranquillement en discutant quand la porte s'ouvrit et deux gars vinrent nous rejoindre. Enfin ils s'installèrent entre nous. Eux aussi étaient là pour pisser.
Les gémissements dans la cabine redoublaient en volume.
— Putain le mec, il mange bon. Je parie que tu aimerais être à sa place Steeve.
— Ah bon, pas toi peut-être ? Depuis quand tu n'aimes plus te faire démonter le cul Charley ?
— Excusez-nous les gars, on ne veut pas vous choquer.
— T’inquiète, on en a vu et entendu d'autres et pire que ça.
— Putain mais il me fout la trique à couiner comme ça lui.
C'est Steeve qui venait de dire ça et je regardais sa queue via le miroir. C'est vrai qu'il bandait. Il n'était pas le seul d’ailleurs. Il n'y avait que moi qui l'avait mi dure. On retourna danser tandis que Steeve et Charley restaient aux toilettes.
On dansait depuis un bon moment quand Steeve se colla à moi tandis que Charley se collait à Paul. Bien vite les mains devinrent baladeuses et on alla même faire un petit tour dans la dark-room.
Que du soft, caresses, branlettes réciproques rien de plus. On sympathisa rapidement et Steeve et Charley nous invitèrent à finir la nuit chez eux.
Et c'est en sortant de la boite qu'on trouva ce cône de chantier que Charley enfila sur sa tête pour nous faire rire. J'en profitais pour faire une photo. Au fait le mec qui fait des doigts d'honneur derrière Paul et Charley c'est Steeve.
On s'est revu pendant quelques temps assez souvent, puis de moins en moins souvent et finalement on ne s'est plus vu du tout. Mais c’était pas plus mal, parce qu'on avait trouvé mieux, bien mieux même et beaucoup plus proche de nous.
Tony avait craqué sur nous un jour où il était venu jouer au handball avec nous en cours d'EPS et qu'il nous avait vu à poil sous les douches. Et maintenant c'est chez lui qu'on allait passer nos après-midi sous prétexte de cours de soutien.
C'était devenu un fan de nos queues et de notre savoir-faire et quand on jouait au petit train il était toujours la locomotive parce qu'il faut avouer qu'avec sa petite queue à part pisser et éjaculer il ne risquait pas de nous blesser mais son cul et sa bouche nous suffisaient amplement.
Et puis de toute façon j'avais celle de Paul pour me satisfaire et lui avait la mienne… ça nous suffisait.
Mon Dieu, cette soirée je m'en souviendrai toute ma vie. Avec Paul, on avait décidé de sortir et de s’éclater. Et pour s’éclater, on s'était éclaté et on avait même éclater le cul des deux mecs qu'on avait rencontré.
Paul avait vu sur un site gay qu'une nouvelle boite ouvrait dans une zone industrielle. Elle s'appelait l’Entrepôt. Et depuis qu'il avait vu ça, il me cassait les couilles pour qu'on aille à la soirée inaugurale. J'ai fini par céder.
Paul c'est mon meilleur pote et accessoirement mon amant de substitution quand ça fait un moment que ni lui ni moi on a baisé. On s'est connu au bahut en seconde. Il clamait haut et fort sa sexualité différente. Et comme on était dans la même classe, j'ai essayé de me rapprocher de lui.
Au début il se demandait bien ce que je lui voulais. Puis j'ai enfin osé lui parler, moi le jeune puceau effrayé par sa sexualité… hors norme de celle de ses potes de toujours et qui n'osait l'avouer à personne. Et finalement c'est lui qui m'a donné le courage de sortir du placard auprès de ma famille d'abord puis de mes proches ensuite.
C'est ainsi qu'on est devenu les meilleurs amis du monde.
Je ne dis pas qu'il n'y a pas eu des moments de brouille entre nous mais on se rabibochait toujours.
Ma première expérience sexuelle ce n'est pas avec lui que je l'ai eue mais avec un de ses ex qu'il m'avait présenté. Ça c'est passé un mercredi après-midi chez lui pendant que ses parents étaient au boulot. C'est resté assez soft.
Puis je suis parti au ski avec ma famille et j'ai rencontré deux gars le premier soir dans les toilettes publiques où j'étais allé pour un besoin urgent. Et c'est avec eux que j'ai fini d'être complètement dépucelé. Je les ai vu tous les soirs et même certains après-midi parce qu'il n’avait pas fait beau pendant toute une semaine.
Et bien sûr, quand je suis rentré j'ai tout raconté à Paul, ça l'a fait bander et super excité, ça a été la première fois où on a baisé ensemble. Je l'ai pris et il m'a pris ensuite et il m'a avoué que j'étais le premier mec qu'il baisait. Il n'avait jamais été actif et il aimait bien ça. On a recommencé souvent les jours qui ont suivi puis les cours reprenant on s'est calmé par obligation.
Je l'ai présenté à mes parents et lui m'a présenté aux siens. Je vais dormir chez lui et lui vient chez moi. C'est mon binôme en cours donc on passe de nombreux week-end chez l'un ou chez l’autre.
Il y a une saine émulation entre nous et c'est pour ça que nos parents nous laissent libres de passer nos week-ends ensemble et parfois ils nous autorisent à sortir.
Plus la date approche plus Paul est intenable. Ça fait plusieurs fois qu'il leur téléphone. Ça a été d'abord pour savoir s'il y avait un Dress-code particulier. Ensuite ça a été pour savoir à quelle heure ils ouvraient, puis ça a été pour je ne sais plus quoi encore, si bien que le gars, Jean-Charles, qui lui répondait tout le temps lui a demandé nos prénoms et il lui a dit qu'il laisserait des entrées VIP à nos noms à l’accueil. Il a dû mentir car la boite n'acceptait pas les mineurs mais on allait bientôt avoir dix-huit ans – enfin, dans moins d’un an.
Et depuis Jean-Charles par ci, Jean-Charles par là … Il me saoulait avec ce Jean-Charles à tout bout de champ !
Et c'est enfin le grand jour ! Bon vu que Paul et moi on n'avait pas le permis c'est en métro qu'on allait devoir y aller. Et vu les horaires du week-end on allait devoir faire l'ouverture et la fermeture si on ne voulait pas trainer dans la zone ou rentrer à pied. Et pour plus de facilité j’allais chez Paul en début de soirée. On a pris le dernier métro et on a été dans les premiers à faire la queue. Les vigiles filtraient les entrées. Quand notre tour arriva, on leur dit qu'il y a des invitations à nos noms à l’accueil. Un d'eux alla se renseigner et ils nous firent entrer.
On commença par faire le tour. Il y avait deux pistes de danse avec deux ambiances différentes. Il y avait aussi trois bars et au fond une pièce avec des fauteuils et des tables pour pouvoir boire tranquillement et c'est Paul qui découvrit tout au fond ce que les anglo-saxons appellent une dark-room.
Très vite la boite se remplit et l'ambiance était super chaude. Je croyais qu'il s'agissait d'une boite gay mais non c'est une boite mixte. Tant mieux ça fait moins ghetto. Paul et moi on danse comme des malades entre nous sans tenir compte des mecs ou des meufs qui voulaient intégrer notre duo. Et après une heure à s'éclater au son d'une musique de ouf, on alla jusqu'au bar boire un verre.
— Merde Fred, t'as vu qui c'est le barman ?
— Non, c'est qui ?
— C'est un des pions du bahut. Tony, le blond mignon. Tu vois quand je te disais qu'il devait être gay et que tu m'as envoyé chier.
— Tu vois des gays de partout toi. C'est pas parce qu'il travaille ici qu'il est forcément gay.
— T'as vu sa dégaine. Il est trop chou avec son short en jean trop court qui lui moule le paquet et le cul et son marcel destroy qui lui colle à la peau.
— C'est vrai qu'il est bandant habillé ainsi, ça change du bahut. Je me le taperais bien. Il me fait bander habillé comme ça.
— Tu veux boire quoi ?
— Une bière.
— Ok, je vais commander.
— Attends, je viens avec toi.
On alla du côté où Tony servait et on lui commanda deux bières qu'il nous servit avec le sourire.
— Les mecs, je dis rien pour votre âge, par contre vous fermez vos gueules au bahut sur ce que vous voyez ici.
— T'inquiète pas Tony, on n'en a rien à foutre de ta vie. Oups c'est pas ce que je voulais dire, désolé. Tu fais ce que tu veux de ta vie. Mais ça serait cool que tu viennes habillé comme ça au bahut.
— Même pas en rêve Fred ! Je vous laisse, je bosse moi.
— Combien on te doit ?
— Ce soir c'est offert par la maison, enfin la bière.
On la but et on en commanda une autre qu'on dégusta en matant les mecs au bar et en faisant nos langues de putes comme on savait si bien le faire.
— On retourne danser Paul ?
— Oui je veux bien mais avant faut que j'aille pisser.
— Ok, je t’accompagne. Moi aussi j'ai envie.
On avait repéré les toilettes en faisant notre tour mais on n'y était pas entré. Et là le choc. Des miroirs de partout, urinoirs compris. Il faut que je vous les décrive parce que ça vaut vraiment le coup.
Sur la droite il y a trois cabines de WC, en face de la porte d'entrée deux lavabos et sur la gauche les urinoirs. En fait il n'y en avait qu'un mais immense. Il y a une petite marche pour y accéder et tout le pan de mur n'est qu'un miroir et on pisse contre. C’était… spécial !
Des gémissements sortaient d'une des cabines et parfois on entendait un clic-clac caractéristique et régulier. On se doutait bien de ce qu'il devait s'y passer. Et le gars ramassait bon.
On avait sorti nos queues et on pissait tranquillement en discutant quand la porte s'ouvrit et deux gars vinrent nous rejoindre. Enfin ils s'installèrent entre nous. Eux aussi étaient là pour pisser.
Les gémissements dans la cabine redoublaient en volume.
— Putain le mec, il mange bon. Je parie que tu aimerais être à sa place Steeve.
— Ah bon, pas toi peut-être ? Depuis quand tu n'aimes plus te faire démonter le cul Charley ?
— Excusez-nous les gars, on ne veut pas vous choquer.
— T’inquiète, on en a vu et entendu d'autres et pire que ça.
— Putain mais il me fout la trique à couiner comme ça lui.
C'est Steeve qui venait de dire ça et je regardais sa queue via le miroir. C'est vrai qu'il bandait. Il n'était pas le seul d’ailleurs. Il n'y avait que moi qui l'avait mi dure. On retourna danser tandis que Steeve et Charley restaient aux toilettes.
On dansait depuis un bon moment quand Steeve se colla à moi tandis que Charley se collait à Paul. Bien vite les mains devinrent baladeuses et on alla même faire un petit tour dans la dark-room.
Que du soft, caresses, branlettes réciproques rien de plus. On sympathisa rapidement et Steeve et Charley nous invitèrent à finir la nuit chez eux.
Et c'est en sortant de la boite qu'on trouva ce cône de chantier que Charley enfila sur sa tête pour nous faire rire. J'en profitais pour faire une photo. Au fait le mec qui fait des doigts d'honneur derrière Paul et Charley c'est Steeve.
On s'est revu pendant quelques temps assez souvent, puis de moins en moins souvent et finalement on ne s'est plus vu du tout. Mais c’était pas plus mal, parce qu'on avait trouvé mieux, bien mieux même et beaucoup plus proche de nous.
Tony avait craqué sur nous un jour où il était venu jouer au handball avec nous en cours d'EPS et qu'il nous avait vu à poil sous les douches. Et maintenant c'est chez lui qu'on allait passer nos après-midi sous prétexte de cours de soutien.
C'était devenu un fan de nos queues et de notre savoir-faire et quand on jouait au petit train il était toujours la locomotive parce qu'il faut avouer qu'avec sa petite queue à part pisser et éjaculer il ne risquait pas de nous blesser mais son cul et sa bouche nous suffisaient amplement.
Et puis de toute façon j'avais celle de Paul pour me satisfaire et lui avait la mienne… ça nous suffisait.
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