Immunité (SF, gay, derniers épisodes)

[Lange128]

Je suis probablement bouché à l'émeri, mais je n'ai pas compris de quel masque il s'agissait. Peut-être une référence manquante dans ma base de données ?
En tout cas, cette suite est plus effrayante que tout ce que tu as écrit jusqu'à présent ! Se faire percer le frein doit être affreusement douloureux.  :'( Je sais bien qu'il y a des gens qui le font, mais j'ai toujours pensé que c'étaient des maso. Ici Patrice n'a pas l'air de trop souffrir, mais c'est la version soft !  :-*
Merci, Lange.

Merci [member=67]emmanolife[/member].

Je te laisse réfléchir encore quelques jours au sujet des masques.

Ce n’était pas mon but d’effrayer mes lecteurs en évoquant ce sujet. Je ne sais pas si l’on peut faire une anesthésie locale avant, mais on pourrait au moins mettre une pommade à la lidocaïne. Cela aurait pu être pire si Patrice avait voulu se faire circoncire pour ressembler à Adelin. J’aurais dû essayer pour me mettre dans la peau de mon personnage.

Cela me rappelle un médecin qui m’avait dit après m’avoir enlevé un ongle incarné que je pouvais prendre du paracétamol si j’avais mal, mais que d’habitude c’étaient les femmes qui prenaient des anti-douleurs. Sous-entendu : les hommes doivent supporter la souffrance. Je pense que Patrice n’a pas voulu passer pour une chochotte en présence de son ami.

Version soft ? Ça m'arrive effectivement de m'autocensurer lorsque j'estime que quelque chose n'est pas publiable et même parfois d'écrire une deuxième version personnelle, mais pas ici, le perçage n'est pas vraiment quelque chose qui me fait fantasmer. Ce serait plus l'idée de me rendre dans un studio pour le faire, discuter avec le personnel, exposer mon pénis. On trouve sur Internet des explications pour faire les piercings soi-même, une alternative aurait été qu'Adelin le fasse à son ami.

[bech]

Les filles se font bien percer l'oreille (pas que des filles d'ailleurs)

[Lange128]

La fin de ce récit approche, encore quelques suites et ce sera aussi la fin d’une époque, celle de mes récits érotiques sur Doctissimo. Peut-être une remise en question pour l’auteur ? Je m’aperçois que j’écris souvent la même chose et vous allez retrouver quelques-uns de mes fantasmes habituels pour terminer en beauté, avec un peu de nostalgie, pour moi, pas pour mes héros.

Dernier jour - 30 juin 2020 (2)

L’appartement des parents de Patrice était situé au dernier étage de l’immeuble, l’ascenseur arrivait directement à l’intérieur, il fallait une clef pour y accéder. Une sonnerie discrète annonça l’arrivée de la cabine, la mère de Patrice, prénommée Léna, et ses sœurs, Chloé et Ambre, sortirent de la cuisine pour accueillir les nouveaux arrivants.

Patrice resta en retrait, il avait gardé son masque.

— Bonjour, dit-il timidement, je pense qu’il vaut mieux garder nos distances.

Ça l’arrangeait car il n’aurait pas voulu d’effusions entre sa mère et lui devant Adelin.

— Bonjour mon grand garçon, dit sa mère. C’est bien toi ? Je te reconnais à peine avec ta nouvelle coiffure, et tu as maigri. Tu es allé chez le coiffeur ce matin ?

Patrice faillit répondre qu’il s’était fait percer la queue, mais il se retint.

— Non, nous avions un coiffeur parmi nous à l’hôpital. Il en a profité pour s’entraîner, et c’est lui qui a choisi la coiffure.
— C’est très réussi, dit Chloé.
— Tu peux enlever ton masque, fit la mère, ton père a parlé au professeur Dupont-Lajoie, il n’y a plus de risque de nous contaminer.
— Mon père le connaît ?
— Ils ont fait leurs études ensemble.

Patrice espéra que le professeur n’avait pas donné de détails trop intimes  à son père concernant les examens qu’il avait subi. Il lui avait souvent envoyé des messages pendant son séjour, parlant surtout de sa maladie et des vaccins, et pas de la récolte de fluides prostatiques.

Patrice ôta son masque et sa mère eut la surprise de découvrir qu’il ne s’était pas rasé depuis deux semaines.

— Tu es vraiment un homme maintenant, dit-elle en riant. Cette expérience t’a muri, mais j’aurais préféré dans d’autres conditions. Présente-nous le jeune homme qui t’accompagne.
— Excuse-moi, j’ai oublié, dit Patrice en se tournant son ami. Adelin, qui était aussi un cobaye et qui vit seul.
— Enchantée, fit la mère, on se serrera la main lorsque le virus aura disparu.
— Merci de m’avoir invité, dit Adelin.

Patrice présenta ensuite ses sœurs.

— Nous devons finir de préparer le déjeuner, dit la mère.
— J’espère que tu n’as pas fait quelque chose de trop compliqué, fit Patrice.
— Non, des salades, des chips et des grillades. Mousse au chocolat maison, ton dessert préféré. Va un moment dans ta chambre, nous prendrons l’apéritif lorsque ton père sera là.

Patrice obéit et Adelin le suivit.

— Ta mère est sympathique, dit ce dernier, elle pense me serrer la main lorsque le virus aura disparu. Cela peut durer encore des mois.
— Elle a peut-être déjà compris. Elle est discrète et ne va pas me poser de questions.
— C’est ça ta chambre ? Je n’en n’ai jamais vu une d’aussi bien rangée.
— Euh, je crois que ma mère a fait un peu d’ordre pendant mon absence.
— Je me demandais quels posters tu aurais contre le mur, ce sont bien des hommes, mais je ne les connais pas. C’est qui ?
— Jonas Kaufmann et Klaus Florian Vogt, des chanteurs d’opéra.
— Assez sexy.
— J’espère que tu m’en dessineras d’autres. Et tu pourras aussi venir habiter ici, on achètera un lit plus grand.
— Je préfère rester chez ma duchesse pour le moment, j’aurais l’impression de vous déranger ici et nous aurons plus de temps pour étudier en étant séparés.
— Pas de souci, on se verra le week-end.

Patrice et Adelin échangèrent un baiser. Le père, prénommé Clément, arriva à ce moment-là. Ils sortirent de la chambre pour le saluer.

— Salut papa, dit Patrice, comment vas-tu ?
— Salut mon grand, ça va bien, beaucoup de travail comme toujours. Eh bien, tu as changé… Je n’en reviens pas.
— Il paraît. Je te présente Adelin qui était avec moi à l’hôpital.
— Bonjour, Monsieur le Docteur, dit Adelin.
— Pas de formules de politesse en famille, appelez-moi par mon prénom, Clément. Prenons l’apéritif tout de suite, je n’ai pas pu prendre congé cet après-midi et je devrai vous quitter à 14 heures. Je vais me laver les mains.

Ils se rendirent sur la terrasse où des bouteilles de champagne rosé étaient déjà au frais dans un seau à glace. La mère et ses filles les rejoignirent.

— Ouvre une bouteille, dit Léna à Patrice.

C’était la première fois que cette tâche lui incombait et Patrice eut un peu de mal, mais il réussit. Son père revint et ils trinquèrent.

— Tu n’as rien à nous dire ? demanda sa sœur Chloé à Patrice.
— Je vous raconterai le séjour à l’hôpital pendant le repas, mais je préférerais parler d’autre chose.
— Je pensais justement à autre chose. Avec vos masques…
— Quels masques ? fit le père. Je ne les ai pas vus.
— Des masques arc-en-ciel LGBTQIA+.
— Tiens, dit le père, on avait déjà le L, maintenant je pense que c’est le G, il nous manquera encore BTQIA+, mais je n’ai pas fait assez d’enfants pour avoir tout l’alphabet.
— L ? s’étonna Patrice.
— Oui, fit sa mère, Ambre nous a annoncé pendant ton absence qu’elle a une amie.
— Et moi qui avait peur de vous le dire.
— Tu sais bien que nous n’avons jamais influencé vos choix, continua Léna, c’est pour cela que nous ne vous avons pas donné d’instruction religieuse, vous êtes libres de faire ce que voulez de votre vie.
— Euh, fit Patrice, hésitant, aussi de renoncer aux traditions familiales ?
— Bien sûr, dit le père, je ne t’ai jamais obligé à devenir médecin, ni à te faire circoncire.
— Je ne vais plus faire d’études de médecine, cela ne me conviendrait pas.
— Heureusement que tu as découvert cela, j’aurais aimé que ce soit dans d’autres circonstances, mais je m’en doutais.

Patrice était soulagé, il sauta au cou de ses parents, sans plus respecter les distances, en leur disant combien il les aimait.

Le repas se déroula dans la bonne humeur, on ne parla plus du séjour à l’hôpital des deux amis. Patrice demanda à son père s’il pourrait aussi inviter ses sœurs à la soirée.

— Si elles sont d’accord, répondit-il. Je ne savais pas le nombre exact de convives et ils m’ont dit à l’hôtel qu’ils préféraient quelques personnes en plus, les affaires vont mal en ce moment.

Le père les quitta à 14 heures, ils restèrent sur la terrasse jusqu’à 15 heures. La mère leur dit qu’ils pourraient se rafraîchir avant que les sœurs ne squattassent la salle de bain des enfants.

Patrice se rendit dans sa chambre avec Adelin pour prendre des habits propres.

— Tu mets quoi ? demanda Adelin.
— Je vais mettre une chemise blanche estivale avec des pantalons sombres.
— C’est chic. Je n’ai qu’un tee-shirt propre… et mes jeans sales.
— Pas de souci, je ne peux pas te prêter des habits, ils seraient trop petits.
— On se douche ensemble ?
— Je ne sais pas… Pourquoi pas ? Je pense qu’elles rangent la cuisine.
— Rôle traditionnel des femmes dans ta famille.
— Oui, j’avoue qu’elles m’ont toujours gâté.

Les deux amis se déshabillèrent, ne gardant que leurs sous-vêtements, boxer bleu nuit pour Patrice et slip rouge pour Adelin, puis se rendirent discrètement à la salle de bain.

— D’habitude je ne me promène pas à poil dans l’appartement, fit Patrice.
— Nous n’étions pas à poil et tu es un homme à présent, a dit ta mère. Tu peux montrer ta queue à tes sœurs, d’ailleurs l’une des deux ne regarde que les minous. La deuxième doit être bisexuelle. LGB…
— Zut, je n’y avais pas pensé, en les invitant ce soir elles verront nos bites.
— Tu pourras leur montrer ta bague de fiançailles.

Adelin baissa le boxer de Patrice.

— Je vais d’abord soigner ton zizi, dit Adelin, changer le pansement et vérifier que le piercing ne gêne pas les érections.

[emmanolife]

La famille de Patrice semble plutôt plus ouvert que ce qu'on avait cru en lire jusque là !
Finalement, le confinement lui aura plutôt réussi, lui qui se désolait d'être toujours puceau à 18 ans...
Mais, au fait, il est toujours puceau, là, ou est-ce que j'ai loupé un épisode ? Tu n'as pas oublié quelque chose, Lange 128 ?

[Lange128]

La famille de Patrice semble plutôt plus ouvert que ce qu'on avait cru en lire jusque là !
Finalement, le confinement lui aura plutôt réussi, lui qui se désolait d'être toujours puceau à 18 ans...
Mais, au fait, il est toujours puceau, là, ou est-ce que j'ai loupé un épisode ? Tu n'as pas oublié quelque chose, Lange 128 ?

Merci [member=67]emmanolife[/member].

Je ne voulais pas terminer sur une note triste et un conflit entre Patrice et sa famille. Il peut y avoir des incohérences dans ce genre de romans-feuilletons, je ne me rappelle pas toujours de tous les détails des épisodes précédents, mais je pense que Patrice avait surtout peur de faire son coming out. Il ne savait pas comment ses parents réagiraient.

Je ne me souviens pas que mes parents aient abordé le sujet de l’homosexualité directement avec moi quand j’étais jeune. Ma mère m’avait quand même demandé une fois si j’avais déjà essayé de faire l’amour (elle n’avait pas précisé le sexe de l’autre personne, elle pensait probablement à une femme).

Qu’est-ce perdre son pucelage ? Pour moi c’est avoir une relation sexuelle avec une autre personne, mais pas forcément une pénétration anale ou vaginale. Adelin a masturbé et sucé plusieurs fois Patrice et celui-ci a fait un massage de la prostate à Adelin. Pour moi ils ne sont plus puceaux, mais on peut avoir un autre avis.

[Philou0033]

Bonjour Daniel,
j'ai lu enfin cette suite que j'attendais depuis quelque temps...
Patrice a pu, grâce à ses sœurs, annoncé qu'il est gay. Bien entendu pas besoin de deviner qu'Adelin est l'élu de son cœur!
Tout se passe bien, dans une ambiance décontractée et sans hausse de ton.
C'est une excellente façon de finir ce récit, les parents sont mis devant les faits et ils ne leur restent plus qu'à faire en sorte que la famille reste unie!
Bon dimanche!
Je t'embrasse!
Philou

[Lange128]

Bonjour Daniel,
j'ai lu enfin cette suite que j'attendais depuis quelque temps...
Patrice a pu, grâce à ses sœurs, annoncé qu'il est gay. Bien entendu pas besoin de deviner qu'Adelin est l'élu de son cœur!
Tout se passe bien, dans une ambiance décontractée et sans hausse de ton.
C'est une excellente façon de finir ce récit, les parents sont mis devant les faits et ils ne leur restent plus qu'à faire en sorte que la famille reste unie!
Bon dimanche!
Je t'embrasse!
Philou

Merci [member=19]Philou0033[/member].

Mes récits se terminent presque toujours bien et les deux amoureux ont déjà eu assez d’épreuves à l’hôpital. Comme je l’ai dit pour terminer sur Docti, on peut rêver, rêver d’un monde idéal où l’homophobie n’existe pas.

Je n’y ai pas pensé en écrivant, il est possible que le professeur avait entendu parler de l’idylle entre Patrice et Adelin et qu’il ait avisé le père car celui-ci n’a pas manifesté de surprise.

Bon dimanche.
Je t’embrasse.
Daniel

[emmanolife]

C'est fini, alors ?  :o  Je n'ai pas vu le mot FIN...
J'espérais une conclusion plus sexe, ce n'était que du touche-pipi jusque là  ;D  Chacun ses goûts !
Et, si c'est fini, merci pour ce récit ! 
Tu vas reprendre les deux cousins, maintenant ? J'allais juste m'y mettre quand tu as commencé celui-ci. 

[Lange128]

C'est fini, alors ?  :o  Je n'ai pas vu le mot FIN...
J'espérais une conclusion plus sexe, ce n'était que du touche-pipi jusque là  ;D  Chacun ses goûts !
Et, si c'est fini, merci pour ce récit ! 
Tu vas reprendre les deux cousins, maintenant ? J'allais juste m'y mettre quand tu as commencé celui-ci. 

Non, ce n’est pas encore fini, je mettrai le mot FIN.

Je vais quand même répondre maintenant à tes questions.

En groupe cela va rester du « touche-pipi », je n’envisage pas de partouze entre tous les participants. Les deux personnages principaux vont passer à la vitesse supérieure, la question est de savoir si je vais le décrire en détail ou pas. Je pourrais imaginer leur première pénétration anale, mais si elle se passe trop bien, on me reprochera que ce n’est pas réaliste, et si cela se passe mal, ce n’est pas très heureux comme fin. Je verrai selon mon inspiration du moment.

La suite ? Je ne te cache pas que la disparition de Docti me force à me remettre en question. Mes « Deux cousins » sont trop jeunes pour Scribay, je dois les vieillir un peu, il n’y aura pas de continuité avec la première partie. Je pense reprendre les personnages, mais ne plus raconter chaque jour de leur vie, plutôt me concentrer sur certains évènements, une suite de nouvelles plus ou moins longues plutôt qu’un roman qui ne se termine jamais.

Je te donne des exemples, sans garantie que je les écrive comme ceci :

Koen et Frédéric seraient invités en Allemagne pour découvrir le centre de recherches sexuelles de l’université du professeur Latte, un peu dans la continuité de ce récit, avec des expériences pseudo-scientifiques. J’imagine aussi des soirées avec les étudiants dans des caves typiques où la bière coule à flots. Il ne me reste plus qu’à choisir la ville, je connais bien Nuremberg, mais c’est un peu grand, je pense plutôt à Heidelberg.

Une autre idée serait que Koen et Frédéric invitent l’un des élèves de l’école pour faire une excursion le week-end afin de mieux faire connaissance. Chaque élève pourrait ainsi raconter sa vie, ce que je voulais intituler « Les Carnets de Koen ».

Quelque chose qui m’intéresserait serait de savoir pourquoi leur école encourage la liberté des corps et est tolérante envers l’homosexualité, mais ce serait plutôt un travail de recherche des théories à la mode à cette époque ou alors en créer une.

J’envisageais aussi un voyage aux États-Unis l’année suivante, avec des rencontres avec des hippies.

Tu vois que ne suis pas à court d’idées, il faudra encore les concrétiser et voir si on me suit toujours sur les nouvelles plateformes. Mon ambition n’est pas d’avoir 10’000 lecteurs, mais pas non plus seulement une dizaine. Cela dépendra aussi de la survie du site Gai-Éros, qui n’est pas convivial, mais qui a beaucoup de public.

[emmanolife]

Bonsoir, Lange 128.
Merci pour ces précisions, j'attends la suite et fin !
Pour les Deux Cousins, ma suggestion serait, afin d'éviter les interminables republications (en version expurgée pour certains) telles qu'on les voit actuellement sur Scrubmuche, de ne pas republier ce que tu as déjà publié dans Docti, mais plutôt de proposer aux lecteurs intéressés de leur en envoyer le pdf, et puis reprendre le récit comme tu l'as fait ici, sans temps mort.
Bonne soirée.

[Philou0033]

Bonjour [member=28]Lange128[/member]
merci pour les précisions apportées dans la réponse à [member=67]emmanolife[/member] !
je suivrai tes récits et j'attends donc avec impatience de les lires!
Philou

[Lange128]

Bonsoir, Lange 128.
Merci pour ces précisions, j'attends la suite et fin !
Pour les Deux Cousins, ma suggestion serait, afin d'éviter les interminables republications (en version expurgée pour certains) telles qu'on les voit actuellement sur Scrubmuche, de ne pas republier ce que tu as déjà publié dans Docti, mais plutôt de proposer aux lecteurs intéressés de leur en envoyer le pdf, et puis reprendre le récit comme tu l'as fait ici, sans temps mort.
Bonne soirée.

Je ne vais pas republier de longs récits, ce serait effectivement trop fastidieux de les adapter.

La première partie du récit se trouve pour le moment à deux endroits, je ne sais pas pour combien de temps :

https://www.wattpad.com/myworks/204131584-deux-cousins

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Caté...ux_cousins

Il manque quelques épisodes publiés sur Docti, mais je pense les réécrire ou les abandonner car ils ne s’intégreraient plus dans la suite.

[emmanolife]

Bonjour, Lange 128.
Merci pour les liens !
Celui de Wattpad marche très bien. Celui de Gai-Eros, je ne suis pas sûr : si j'avais été patient, le texte aurait peut-être fini par arriver, mais l'attente me semblait interminable.
J'avais cru comprendre que Wattpad avait fait dégager beaucoup de textes érotiques, et que c'est pour ça que les gens de Scribay étaient un peu nerveux quand ils ont vu arriver les auteurs et les lecteurs de Docti. Apparemment le texte reste dans leurs critères d'acceptabilité ?

[Lange128]

Bonjour, Lange 128.
Merci pour les liens !
Celui de Wattpad marche très bien. Celui de Gai-Eros, je ne suis pas sûr : si j'avais été patient, le texte aurait peut-être fini par arriver, mais l'attente me semblait interminable.
J'avais cru comprendre que Wattpad avait fait dégager beaucoup de textes érotiques, et que c'est pour ça que les gens de Scribay étaient un peu nerveux quand ils ont vu arriver les auteurs et les lecteurs de Docti. Apparemment le texte reste dans leurs critères d'acceptabilité ?

Bonjour [member=67]emmanolife[/member].

Je pense que Wattpad ne supprime des textes que si quelqu’un les signale, je doute que les modérateurs aient le temps de tout lire. La plupart de mes textes sur Wattpad n’ont jamais été lus, ou alors seulement par une ou deux personnes, ce qui limite le risque d’être signalé…

En cas de censure sur Wattpad et/ou de disparition de Gai-Éros, il faudrait que je fasse des fichiers PDF comme tu l’as proposé, mais cela demanderait du temps et je préférerais le consacrer à écrire de nouveaux récits.

Une autre possibilité serait de les mettre en vente sur Amazon ou à la fnac sans intention de gagner de l’argent, le moins cher possible. C’est peut-être là qu’ils resteraient disponibles le plus longtemps. Pas de risque de censure, on y trouve les œuvres du Divin Marquis.

[bech]

Il y a aussi la possibilité de faire une association d'auteurs qui publieraient leurs textes sur un site gratuit en plus de ce forum et éventuellement d'autres. Il s'agirait de cloner les oeufs pour pouvoir les mettre à l'identique dans plusieurs paniers.

J'avais donné pas mal de détails sur docti, j'en ai reparlé ici :
https://forum.slygame.fr/index.php?topic...797#msg797
(dans la 2ème partie du message).