14-02-2025, 06:01 PM
voici encore une petite histoire repêchée dans les profondeurs de mon ordinateur et que je trouve mignonne, un peu dans le style de Louklouk mais, et c'est essentiel, sans la saveur des termes utilisés par cet écrivain hors du commun. Donc mon ami, comme tu l'as dit récemment, imité mais jamais égalé !
MERCURE
On était en plein hiver, il gelait à pierre fendre et il avait neigé à gros flocons de sorte qu'un blanc tapis recouvrait le sol. Et pourtant, la température était presque insupportable dans la petite mansarde où deux adolescents dormaient paisiblement, totalement nus sur le lit dont le drap qui aurait dû les recouvrir était par terre.
Mercure était là, présent et discret, attentif à admirer la merveille de ces deux petits humains, inconscients du privilège qui était le leur d’être admirer par un dieu descendu directement de l'Olympe grâce aux ailes qui garnissaient ses chevilles. Le jeune dieu que rien ne rebutait avait été chargé d'une mission délicate : procéder à une enquête sur les possibilités de divertissements sur terre car, aussi étonnant que cela puisse paraître, les dieux s'ennuyaient. Pourtant ils disposaient de toutes les facilités pour se distraire mais, finalement, ils se retrouvaient toujours entre eux car ils n'étaient pas si nombreux. Un dieux de l'Olympe ne peut pas s'accoquiner avec n'importe qui d'autant que les plus belles déesses étaient déjà jalousement surveillées par les grands dieux qui disposaient d'un droit de priorité.
La jeunesse de ces lieux privilégiés aspirait donc à des nouveautés qu'elle ne pouvait pas trouver en ces hauts lieux alors que la rumeur, de plus en plus insistante, insinuait que là en bas, sous les nuages, tout était permis pourvu que le culte et les redevances adéquates soient scrupuleusement respectés. Mercure, l'un des plus rusés des jeunes dieux, fut dès lors chargé d'aller procéder à un recensement de ces lieux de plaisir.
Sa recherche l'avait laissé sur sa faim, même s'il avait régulièrement profité des humains afin de tester les meilleures occasions de se distraire et force lui était de constater que ce monde était dirigé par la cupidité, le goût de l'argent et du pouvoir, la fourberie des uns et des autres et qu'au fond, tous ces humains manquaient de fantaisie : C'était toujours un homme et une femme ou une femme et un homme ce qui ne différait pas du milieu olympien. Mercure était épuisé moralement et physiquement car tous les essais qu'il avait vécus l'avait vidé de toute ressource. Mais il aimait le travail bien fait aussi, juste avant de remonter chez lui et faire son rapport, il fit une ultime tentative. Il avait observé deux têtes blondes, l'une avec des cheveux coupés assez courts et l'autre avec des cheveux descendants sur les épaules, qui se donnaient tendrement la main. Ayant repéré leur domicile, une maison assez misérable, il décida de revenir en cet endroit pour sa dernière nuit terrestre.
Mercure était donc dans la petite pièce où il venait de s'introduire et ce qu'il vit le stupéfia : il avait devant lui non pas une femme et un homme, mais deux jeunes garçons nus qui dormaient comme des bienheureux. Doutant de ce qu'il voyait mais n'admirait pas encore, il se pencha sur les deux corps et ne put que constater que et l'un et l'autre possédaient tous les attributs propres à la masculinité. L'un possédait une verge dont n'importe quel dieu aurait rêvé, longue et étroite qui dans la quiétude de son repos s'étendait sur les testicules reposant sur le haut de la cuisse, des cuisses légèrement écartées laissant percevoir le début d'une raie parfaitement imberbe. À la base du sexe, une très légère toison blonde. Mercure pensa à Minerve qui, avec son talent, aurait tellement bien su rendre le velouté de cette peau. Son compagnon dormait à plat ventre, les deux jambes totalement écartées permettant d'admirer deux merveilleuses fesses et laissant voir un petit entonnoir fermé par une peau que Mercure imagina d'une extrême douceur.
Les dieux sont asexués mais pour sa mission, il avait été muni de l'attirail complet du parfait mâle, condition essentielle pour accomplir ses recherches. À vrai dire, il n'en avait fait qu'un usage modéré car ce qu'il avait vu ne l'avait pas vraiment inspiré : cela ne changeait guère de ce qui se passait sur les pentes de l'Olympe.
De la couche des deux garçons montait un parfum qu'il n'avait jamais ressenti jusqu'à cette heure. Un mélange de transpiration, d'un musc puissant et odorant comme seul de jeunes corps peuvent en émettre et, couvrant le tout en s'y mêlant, une odeur qu'il reconnut tout de suite, celle de la divine semence source de vie.
Mercure transpirait à grosses gouttes en raison de la chaleur de la chambrette mais surtout de cette vision digne des dieux qu'il avait sous les yeux. Fasciné, il avait dévêtu le haut de son corps, son pantalon ne tenait que par la rigidité de son sexe au-delà de l'horizontalité laissant apercevoir la toison noir qui le caractérisait.
Les deux ados avaient bougé dans leur sommeil, la jambe de l'un s'était glissée entre les jambes de son ami, les deux sexes s'étaient accolés l'un à l'autre. Une main s'intéressait délicatement à un sexe alors qu'une autre caressait voluptueusement des fesses. Les sexes étaient en action, prenaient de l'ampleur, une perle translucide faisait son apparition. Les prépuces commençaient, sous l'excitation naissante, à se retirer laissant entrevoir une chair encore rosée et attirante.
Mercure était maintenant penché sur les deux corps que son souffle caressait avec tendresse, comme pour les exciter à poursuivre leur progression, les intimer à se confondre dans un même élan de jouissance.
Ne pouvant plus se contenir, Mercure s'était dénudé et son vêtement trainait par terre dans un coin. Habitué à l'ordre, Mercure se saisit de cet habit désormais inutile pour le plier, il constata que celui-ci était franchement humide. Son sexe avait pris une rigidité impressionnante et frôlait la bouche des deux dormeurs qui s'agitaient de plus en plus. La bouche du jeune dieu s'aventurait de plus en plus sur les hampes qui se trémoussaient d'excitation, prélude à une explosion de sensualité, aveuglante d'un plaisir poussé au maximum. Mercure sentait qu'il était en train de perdre le contrôle de ses sens, son sexe d'une pureté parfaite laissait dégouliner un liquide encore translucide mais si odorant qu'il retrouva la saveur qu'il avait découverte en voyant les deux jeunes hommes.
N'y tenant plus il se laissa aller, complètement, sans réserve alors que les deux garçons collés par l'émission de leur semence réciproque, l'un contre l'autre, s'embrassaient les yeux encore éblouis de ce qu'ils venaient de vivre. Ils regardèrent autour d'eux, la pièce était vide mais elle leur apparu comme un endroit bénit des dieux. Ils se racontèrent leur rêve, identique. Un bel homme, avec de beaux tétons qu'aucun poils ne cachait, des côtes légèrement apparentes, des cuisses musclées à souhait. On aurait dit un dieu dont on supposait qu'il avait un sexe hors-norme mais qu'il avait tenu cacher : tout ne se montre pas, mais tout peut s'imaginer. Et généralement l'imagination est plus belle que la réalité.
MERCURE
On était en plein hiver, il gelait à pierre fendre et il avait neigé à gros flocons de sorte qu'un blanc tapis recouvrait le sol. Et pourtant, la température était presque insupportable dans la petite mansarde où deux adolescents dormaient paisiblement, totalement nus sur le lit dont le drap qui aurait dû les recouvrir était par terre.
Mercure était là, présent et discret, attentif à admirer la merveille de ces deux petits humains, inconscients du privilège qui était le leur d’être admirer par un dieu descendu directement de l'Olympe grâce aux ailes qui garnissaient ses chevilles. Le jeune dieu que rien ne rebutait avait été chargé d'une mission délicate : procéder à une enquête sur les possibilités de divertissements sur terre car, aussi étonnant que cela puisse paraître, les dieux s'ennuyaient. Pourtant ils disposaient de toutes les facilités pour se distraire mais, finalement, ils se retrouvaient toujours entre eux car ils n'étaient pas si nombreux. Un dieux de l'Olympe ne peut pas s'accoquiner avec n'importe qui d'autant que les plus belles déesses étaient déjà jalousement surveillées par les grands dieux qui disposaient d'un droit de priorité.
La jeunesse de ces lieux privilégiés aspirait donc à des nouveautés qu'elle ne pouvait pas trouver en ces hauts lieux alors que la rumeur, de plus en plus insistante, insinuait que là en bas, sous les nuages, tout était permis pourvu que le culte et les redevances adéquates soient scrupuleusement respectés. Mercure, l'un des plus rusés des jeunes dieux, fut dès lors chargé d'aller procéder à un recensement de ces lieux de plaisir.
Sa recherche l'avait laissé sur sa faim, même s'il avait régulièrement profité des humains afin de tester les meilleures occasions de se distraire et force lui était de constater que ce monde était dirigé par la cupidité, le goût de l'argent et du pouvoir, la fourberie des uns et des autres et qu'au fond, tous ces humains manquaient de fantaisie : C'était toujours un homme et une femme ou une femme et un homme ce qui ne différait pas du milieu olympien. Mercure était épuisé moralement et physiquement car tous les essais qu'il avait vécus l'avait vidé de toute ressource. Mais il aimait le travail bien fait aussi, juste avant de remonter chez lui et faire son rapport, il fit une ultime tentative. Il avait observé deux têtes blondes, l'une avec des cheveux coupés assez courts et l'autre avec des cheveux descendants sur les épaules, qui se donnaient tendrement la main. Ayant repéré leur domicile, une maison assez misérable, il décida de revenir en cet endroit pour sa dernière nuit terrestre.
Mercure était donc dans la petite pièce où il venait de s'introduire et ce qu'il vit le stupéfia : il avait devant lui non pas une femme et un homme, mais deux jeunes garçons nus qui dormaient comme des bienheureux. Doutant de ce qu'il voyait mais n'admirait pas encore, il se pencha sur les deux corps et ne put que constater que et l'un et l'autre possédaient tous les attributs propres à la masculinité. L'un possédait une verge dont n'importe quel dieu aurait rêvé, longue et étroite qui dans la quiétude de son repos s'étendait sur les testicules reposant sur le haut de la cuisse, des cuisses légèrement écartées laissant percevoir le début d'une raie parfaitement imberbe. À la base du sexe, une très légère toison blonde. Mercure pensa à Minerve qui, avec son talent, aurait tellement bien su rendre le velouté de cette peau. Son compagnon dormait à plat ventre, les deux jambes totalement écartées permettant d'admirer deux merveilleuses fesses et laissant voir un petit entonnoir fermé par une peau que Mercure imagina d'une extrême douceur.
Les dieux sont asexués mais pour sa mission, il avait été muni de l'attirail complet du parfait mâle, condition essentielle pour accomplir ses recherches. À vrai dire, il n'en avait fait qu'un usage modéré car ce qu'il avait vu ne l'avait pas vraiment inspiré : cela ne changeait guère de ce qui se passait sur les pentes de l'Olympe.
De la couche des deux garçons montait un parfum qu'il n'avait jamais ressenti jusqu'à cette heure. Un mélange de transpiration, d'un musc puissant et odorant comme seul de jeunes corps peuvent en émettre et, couvrant le tout en s'y mêlant, une odeur qu'il reconnut tout de suite, celle de la divine semence source de vie.
Mercure transpirait à grosses gouttes en raison de la chaleur de la chambrette mais surtout de cette vision digne des dieux qu'il avait sous les yeux. Fasciné, il avait dévêtu le haut de son corps, son pantalon ne tenait que par la rigidité de son sexe au-delà de l'horizontalité laissant apercevoir la toison noir qui le caractérisait.
Les deux ados avaient bougé dans leur sommeil, la jambe de l'un s'était glissée entre les jambes de son ami, les deux sexes s'étaient accolés l'un à l'autre. Une main s'intéressait délicatement à un sexe alors qu'une autre caressait voluptueusement des fesses. Les sexes étaient en action, prenaient de l'ampleur, une perle translucide faisait son apparition. Les prépuces commençaient, sous l'excitation naissante, à se retirer laissant entrevoir une chair encore rosée et attirante.
Mercure était maintenant penché sur les deux corps que son souffle caressait avec tendresse, comme pour les exciter à poursuivre leur progression, les intimer à se confondre dans un même élan de jouissance.
Ne pouvant plus se contenir, Mercure s'était dénudé et son vêtement trainait par terre dans un coin. Habitué à l'ordre, Mercure se saisit de cet habit désormais inutile pour le plier, il constata que celui-ci était franchement humide. Son sexe avait pris une rigidité impressionnante et frôlait la bouche des deux dormeurs qui s'agitaient de plus en plus. La bouche du jeune dieu s'aventurait de plus en plus sur les hampes qui se trémoussaient d'excitation, prélude à une explosion de sensualité, aveuglante d'un plaisir poussé au maximum. Mercure sentait qu'il était en train de perdre le contrôle de ses sens, son sexe d'une pureté parfaite laissait dégouliner un liquide encore translucide mais si odorant qu'il retrouva la saveur qu'il avait découverte en voyant les deux jeunes hommes.
N'y tenant plus il se laissa aller, complètement, sans réserve alors que les deux garçons collés par l'émission de leur semence réciproque, l'un contre l'autre, s'embrassaient les yeux encore éblouis de ce qu'ils venaient de vivre. Ils regardèrent autour d'eux, la pièce était vide mais elle leur apparu comme un endroit bénit des dieux. Ils se racontèrent leur rêve, identique. Un bel homme, avec de beaux tétons qu'aucun poils ne cachait, des côtes légèrement apparentes, des cuisses musclées à souhait. On aurait dit un dieu dont on supposait qu'il avait un sexe hors-norme mais qu'il avait tenu cacher : tout ne se montre pas, mais tout peut s'imaginer. Et généralement l'imagination est plus belle que la réalité.