01-03-2022, 05:35 PM
Hors-série / 3 : "Le facteur remplaçant se déniaise en tournée"
22 novembre 1915
Cher frère,
J’espère que cette lettre te trouvera en bonne santé et que tout se passe bien pour toi sur le front. Donne-nous de tes nouvelles plus souvent.
Quand tu es parti pour la guerre, la poste t'a remplacé par le père Louis. Mais à cause de sa jambe folle, il n'a pas pu assurer ta tournée très longtemps. On est resté quelques semaines sans facteur et comme je suis le plus âgé des jeunes dans les hameaux du coin, c'est moi qui allais chercher le courrier pour tous une fois par semaine.
Au début le receveur des postes refusait de me le donner mais le Maire est intervenu et j'ai pu prendre celui des personnes qui me l'avaient demandé. Cette situation a duré encore quelques semaines et sur l'intervention du Maire et du préfet, j'ai été nommé officiellement ton remplaçant. Et le receveur m'a dit qu'à 16 ans (enfin presque) je devais être devenu le plus jeune facteur de France.
Papa, Maman, les sœurs et frères t'embrassent et moi aussi. Prends soin de toi.
Ton frère Aristide.
3 janvier 1916
Mon cher frère,
J’espère que tu as reçu le colis qu'on t'a envoyé pour Noël. Ici tout le monde va bien et on espère qu'il en est de même pour toi.
Je t'envoie une photo de moi dans l'uniforme que l'administration des Postes m'a fourni et comme tu peux le voir j'ai aussi un vélo ! La tournée n'en est pas moins longue mais plus rapide.
Tout le monde t'embrasse
Ton frère Aristide.
15 février 1916
Mon cher frère,
J’ai tellement de choses à te raconter que je t'écris une longue lettre cette fois.
Il y a deux semaines je suis allé apporter la pension de veuve de guerre à la Marie, tu sais, celle de la ferme après le pont de pierre. Ses beaux-parents n'étaient pas là et son bébé dormait. Elle m'a fait entrer, je lui ai payé son mandat, elle m'a offert de m'asseoir et m'a payé un verre de vin.
Elle est partie dans la pièce d'à côté et est revenue complètement nue. Je suis devenu tout rouge (elle me l’a dit par après). Elle m'a fait lever et m'a embrassé sur la bouche tout en défaisant la ceinture de mon pantalon et elle a attrapé mon sexe qui était devenu dur comme l’acier. Elle me l'a branlé un peu et ça m'a fait jouir. Mais elle a continué à me branler et comme j'étais toujours dur elle m'a dit de la prendre là, sur la table de la cuisine. Elle s'est mise à gémir si fort que j'ai cru que je lui faisais mal et j'ai voulu arrêter mais elle m'a dit de continuer alors je lui ai obéi. Puis elle s'est mise carrément à crier son plaisir et ses contractions m’ont presque fait jouir à nouveau mais ça a réveillé son bébé. Elle est retournée dans la pièce et elle est revenue habillée avec son bébé. Je suis parti le sourire aux oreilles.
Je n'avais jamais eu de sexe mais qu'est-ce que c'est bon ! Et en plus, elle est très jolie comme femme mais elle n'est pas chanceuse parce que veuve à 20 ans avec un bébé de 6 mois, ça ne doit pas être facile.
J'y suis retourné hier. Elle était seule. Elle m'a fait entrer, je lui ai donné une lettre de son frère et elle m'a directement posé la main sur la braguette. Mon sexe est devenu dur instantanément et je l'ai prise sur le lit de sa chambre. Une fois encore elle s'est mise à gémir très fort et à crier. Et comme je n'avais pas joui j'ai continué à la baiser mais elle m'a fait me retirer avant pour ne pas tomber enceinte. Elle m'a fini à la main.
J'aime de plus en plus ce métier même si le froid vif me gèle jusqu'aux os.
Le valet de la ferme du Grand bois a été mobilisé. À la ferme il ne reste plus que la mère, les filles et le fils qui a mon âge.
Je t’embrasse.
Ton frère Aristide.
9 mars 1916
Mon cher frère,
Tu es un cachotier !
Hier, j'ai apporté du courrier à la Marie mais comme sa belle-mère était là, on n'a rien pu faire. Puis je suis allé en apporter à la ferme du Grand Bois. Juste avant d'y arriver j'avais croisé la mère et les filles qui partaient au marché. Elles m'ont dit qu'il y avait le fils et que je n'aurai qu'à le lui donner.
J'ai frappé à la porte et le Gustave a demandé qui c’était. Quand je lui ai dit que c'était moi ‘’le facteur’’, il m'a dit d’entrer. Il était nu dans un baquet en train de se laver devant la cheminée.
– Tu tombes bien, viens m'aider à me laver le dos.
– Tu es sur ?
– Ton frère me le faisait.
Du coup je lui ai lavé le dos et quand il s'est retourné il bandait comme un âne. Je ne sais pas pourquoi mais moi aussi je bandais. Peut-être parce que je n’avais pas pu sauter la Marie et que j'avais envie de baiser. Il s'est mis à genoux, a défait ma ceinture, ouvert ma braguette, sortit ma queue raide et il l'a mise dans sa bouche et me l'a sucé comme un bonbon. Puis il est sorti de son baquet, est allé jusqu'à la table où il s'est appuyé dessus et m'a dit de venir.
Dans un pot qui était sur la table, il a pris un peu de saindoux, qu'il a tartiné sur ma bite et sur son cul puis il a mis mon gland sur son trou et m'a dit de pousser fort.
C'est rentré tout seul. Je l'ai arrangé un bon moment et il se branlait pendant. Il s'est mis à gémir comme la Marie et j'ai senti son cul qui serrait ma queue et ça m'a bien fait jouir. Il avait l'air content que ça se produise. Il s'est relevé et il m'a embrassé avec la langue. C'est bon aussi.
Puis on a discuté un peu. Il m'a dit que tu l'arrangeais aussi et que j'étais presque aussi doué que toi. Et avant de partir, il m'a donné une lettre à poster et tu sais quoi ?
Elle était pour lui et il m'a dit que c'était pour que je revienne le voir demain. Il aime se faire arranger et depuis que le valet est parti ça lui manque. Et il m'a dit aussi qu'une de ses sœurs, la plus belle voudrait bien que je l'arrange aussi de temps en temps parce que son mari lui manque.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
12 juillet 1916
Mon cher frère,
Hier quand je suis rentré de ma tournée j'ai été convoqué chez le receveur. Il m'a reproché que mes tournées étaient trop longues et duraient trop longtemps.
Je lui ai dit que les gens des fermes éloignées me demandaient des nouvelles du bourg, me demandaient si j'avais des nouvelles de quelqu'un qu'ils connaissaient et que ça prenait du temps tout ça. Il m'a cru et m'a même félicité du service rendu.
Mais en vrai c'est parce qu’avec la Marie on a trouvé un coin secret où je peux la baiser tranquillement presque tous les jours sans que ses beaux-parents nous dérangent. Ensuite je m'arrête chez Gustave pour l'arranger lui aussi et son nouveau valet qui a 15 ans.
Pour la première fois hier j'ai sucé leurs queues. Ce n’est pas désagréable. Et le valet m'a foutu sa langue dans le cul - j’ai aimé. Puis le valet a enculé Gustave et m'a demandé de l'enculer lui. Il a joui très vite et je l'ai remplacé dans le cul de Gustave qui suçait le valet pour lui redonner de la vigueur et c'est là que la Henriette, tu sais, la sœur de Gustave, celle qui a 18 ans, nous a surpris.
Elle nous a dit de continuer, elle a relevé sa jupe et son jupon, elle a descendu sa culotte et elle a commencé à se caresser la chatte. Elle s'est mise à gémir de plus en plus et elle a joui en même temps que nous.
On s'est rhabillé et elle m'a accompagné un bout de chemin. Elle veut bien que je m'occupe d'elle mais elle veut rester vierge pour son futur mari. Elle m'a dit qu'elle allait m'apprendre à la caresser et comment faire pour bien la faire jouir en lui mangeant le sexe. Et elle m'a dit qu'elle me la laisserait lui mettre dans la bouche et dans le cul comme je le fais à son frère et au valet.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
28 octobre 1916
Mon cher frère,
Si tu savais comme tu me manques !
Les tournées sont de plus en plus longues et il y a de plus en plus de courrier à distribuer. Et mes arrêts sont de plus en plus fréquents et variés. Je n'arrive plus à les assurer tous.
En plus de la Marie, de Gustave, de sa sœur et de leur valet il y a aussi la servante et la maitresse de la ferme du ruisseau dont je dois m'occuper mais c'est sans compter les jumeaux du hameau du Plat que j'ai surpris un jour à la rivière alors qu'ils s'arrangeaient entre eux à tour de rôle.
Je ne sais pas qui a parlé de moi et des services spéciaux que je rendais mais depuis quelques temps je dois faire attention de ne pas être seul au risque de me faire caresser ou embrasser. Même la vieille qui tient l'épicerie a essayé de me coincer dans son arrière-boutique c'est pour te dire !
J'ai demandé au receveur pour changer de tournée mais il m'a dit que pour le moment ce n'était pas prévu, ni envisageable, et que les gens étaient contents de moi alors il n'en voyait pas l’utilité.
Il y a deux jours, je suis allé pour la première fois apporter du courrier au château. C'est le vieux garde-chasse qui m'a ouvert et qui m'a dit que madame la comtesse désirait me parler.
Elle voulait que je passe tous les jours que j'ai du courrier ou pas à lui donner parce qu'elle en aurait à poster. C'est une belle femme la quarantaine et avec elle il y avait son fils et sa fille qui sont jumeaux et d'une beauté éblouissante. Je ne sais pas lequel des deux je trouve le plus joli. Ils m'ont donné des lettres à poster et m'ont raccompagné jusqu'à la grille.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
3 décembre 1916
Mon cher frère,
Les jours se suivent et se ressemblent et les tournées durent presque toute la journée maintenant. J'ai une des plus longues et elle fait plus de 25 km. Mais j'ai eu une belle augmentation de salaire. Hélas, ça n'enlève rien à la fatigue que j'ai le soir en rentrant.
En plus je n'ai même plus mon vélo qui a été réquisitionné par l’armée. C'est à pied que je dois tout faire. Et à partir du mois prochain ce n'est pas une mais trois tournées différentes que je devrais faire !
Ça va me reposer le sexe de ne passer que deux fois par semaine chez certains.
Je crois que je suis tombé amoureux des jumeaux du château mais il ne s'est rien passé avec eux. Et heureusement parce que je ne pense pas pouvoir assumer plus que je ne fais déjà.
La Comtesse m'a laissé entendre qu'elle se sentait seule, très seule même et qu'elle aurait grand plaisir à ce que j'aille lui tenir compagnie le dimanche.
Du coup j'y suis allé le dimanche suivant et comme tous les autres elle ne voulait que du sexe. En revanche, contrairement aux autres, avant que je la prenne, elle m'a enfilé une sorte de chapeau sur le sexe pour qu'elle ne tombe pas enceinte comme elle me l'a précisé et quand je suis parti elle m'a donné une pièce de 5 francs en argent et elle m'a dit que j'en aurai une chaque fois que j'y retournerais.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
Plusieurs mois après …...
20 décembre 1918
Mon très cher frère,
J’espère que tu te remets bien de ta blessure et que tu vas bientôt rentrer chez nous. Depuis que la guerre est finie c'est de la folie ici.
Quelques blessés sont déjà rentrés et au château, toute une aile a été transformé en hôpital enfin en maison de convalescence plutôt. Je leur apporte le courrier tous les jours. Et j'ai droit à mes 5 francs presque tous les jours aussi.
Et les choses ont bigrement évoluées avec les jumeaux. Le jeune comte m'a avoué qu'il m'aimait, sur les conseils de sa sœur. Elle aussi est amoureuse de moi d'après son frère. Tout cela en confidences sur l‘oreiller. Aussi, qu’ils aimeraient m’avoir que pour eux seuls.
Alors à partir de demain, je vais une dernière fois faire l'amour avec tous ceux et celles avec qui je le faisais jusqu'à présent et je ne me consacrerais qu'à eux dorénavant. Madame la comtesse m'a dit qu'elle était prête à me prendre à son service, pour le bonheur de ses enfants.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
5 janvier 1919
Mon cher frère,
Je sais par les parents que tu dois rentrer bientôt. Je ne les vois plus trop souvent parce que je suis parti à Paris avec la Comtesse et ses enfants.
Le receveur m'a dit que lorsque tu rentreras, tu reprendras la tournée. Alors je te joins une petite liste de ceux et celles dont je m'occupais et qui ne demanderont pas mieux qu'on s'occupe d'eux à nouveau.
Le petit comte est un garçon formidable, gentil et doux, avec qui j'adore faire l’amour. La petite demoiselle est une vraie furie au lit. Elle enrage de devoir garder sa fleur vierge pour son futur époux mais pour le reste, l'heureux garçon qu'elle épousera sera surpris par son savoir-faire.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide
22 novembre 1915
Cher frère,
J’espère que cette lettre te trouvera en bonne santé et que tout se passe bien pour toi sur le front. Donne-nous de tes nouvelles plus souvent.
Quand tu es parti pour la guerre, la poste t'a remplacé par le père Louis. Mais à cause de sa jambe folle, il n'a pas pu assurer ta tournée très longtemps. On est resté quelques semaines sans facteur et comme je suis le plus âgé des jeunes dans les hameaux du coin, c'est moi qui allais chercher le courrier pour tous une fois par semaine.
Au début le receveur des postes refusait de me le donner mais le Maire est intervenu et j'ai pu prendre celui des personnes qui me l'avaient demandé. Cette situation a duré encore quelques semaines et sur l'intervention du Maire et du préfet, j'ai été nommé officiellement ton remplaçant. Et le receveur m'a dit qu'à 16 ans (enfin presque) je devais être devenu le plus jeune facteur de France.
Papa, Maman, les sœurs et frères t'embrassent et moi aussi. Prends soin de toi.
Ton frère Aristide.
oOoOo
3 janvier 1916
Mon cher frère,
J’espère que tu as reçu le colis qu'on t'a envoyé pour Noël. Ici tout le monde va bien et on espère qu'il en est de même pour toi.
Je t'envoie une photo de moi dans l'uniforme que l'administration des Postes m'a fourni et comme tu peux le voir j'ai aussi un vélo ! La tournée n'en est pas moins longue mais plus rapide.
Tout le monde t'embrasse
Ton frère Aristide.
oOoOo
15 février 1916
Mon cher frère,
J’ai tellement de choses à te raconter que je t'écris une longue lettre cette fois.
Il y a deux semaines je suis allé apporter la pension de veuve de guerre à la Marie, tu sais, celle de la ferme après le pont de pierre. Ses beaux-parents n'étaient pas là et son bébé dormait. Elle m'a fait entrer, je lui ai payé son mandat, elle m'a offert de m'asseoir et m'a payé un verre de vin.
Elle est partie dans la pièce d'à côté et est revenue complètement nue. Je suis devenu tout rouge (elle me l’a dit par après). Elle m'a fait lever et m'a embrassé sur la bouche tout en défaisant la ceinture de mon pantalon et elle a attrapé mon sexe qui était devenu dur comme l’acier. Elle me l'a branlé un peu et ça m'a fait jouir. Mais elle a continué à me branler et comme j'étais toujours dur elle m'a dit de la prendre là, sur la table de la cuisine. Elle s'est mise à gémir si fort que j'ai cru que je lui faisais mal et j'ai voulu arrêter mais elle m'a dit de continuer alors je lui ai obéi. Puis elle s'est mise carrément à crier son plaisir et ses contractions m’ont presque fait jouir à nouveau mais ça a réveillé son bébé. Elle est retournée dans la pièce et elle est revenue habillée avec son bébé. Je suis parti le sourire aux oreilles.
Je n'avais jamais eu de sexe mais qu'est-ce que c'est bon ! Et en plus, elle est très jolie comme femme mais elle n'est pas chanceuse parce que veuve à 20 ans avec un bébé de 6 mois, ça ne doit pas être facile.
J'y suis retourné hier. Elle était seule. Elle m'a fait entrer, je lui ai donné une lettre de son frère et elle m'a directement posé la main sur la braguette. Mon sexe est devenu dur instantanément et je l'ai prise sur le lit de sa chambre. Une fois encore elle s'est mise à gémir très fort et à crier. Et comme je n'avais pas joui j'ai continué à la baiser mais elle m'a fait me retirer avant pour ne pas tomber enceinte. Elle m'a fini à la main.
J'aime de plus en plus ce métier même si le froid vif me gèle jusqu'aux os.
Le valet de la ferme du Grand bois a été mobilisé. À la ferme il ne reste plus que la mère, les filles et le fils qui a mon âge.
Je t’embrasse.
Ton frère Aristide.
oOoOo
9 mars 1916
Mon cher frère,
Tu es un cachotier !
Hier, j'ai apporté du courrier à la Marie mais comme sa belle-mère était là, on n'a rien pu faire. Puis je suis allé en apporter à la ferme du Grand Bois. Juste avant d'y arriver j'avais croisé la mère et les filles qui partaient au marché. Elles m'ont dit qu'il y avait le fils et que je n'aurai qu'à le lui donner.
J'ai frappé à la porte et le Gustave a demandé qui c’était. Quand je lui ai dit que c'était moi ‘’le facteur’’, il m'a dit d’entrer. Il était nu dans un baquet en train de se laver devant la cheminée.
– Tu tombes bien, viens m'aider à me laver le dos.
– Tu es sur ?
– Ton frère me le faisait.
Du coup je lui ai lavé le dos et quand il s'est retourné il bandait comme un âne. Je ne sais pas pourquoi mais moi aussi je bandais. Peut-être parce que je n’avais pas pu sauter la Marie et que j'avais envie de baiser. Il s'est mis à genoux, a défait ma ceinture, ouvert ma braguette, sortit ma queue raide et il l'a mise dans sa bouche et me l'a sucé comme un bonbon. Puis il est sorti de son baquet, est allé jusqu'à la table où il s'est appuyé dessus et m'a dit de venir.
Dans un pot qui était sur la table, il a pris un peu de saindoux, qu'il a tartiné sur ma bite et sur son cul puis il a mis mon gland sur son trou et m'a dit de pousser fort.
C'est rentré tout seul. Je l'ai arrangé un bon moment et il se branlait pendant. Il s'est mis à gémir comme la Marie et j'ai senti son cul qui serrait ma queue et ça m'a bien fait jouir. Il avait l'air content que ça se produise. Il s'est relevé et il m'a embrassé avec la langue. C'est bon aussi.
Puis on a discuté un peu. Il m'a dit que tu l'arrangeais aussi et que j'étais presque aussi doué que toi. Et avant de partir, il m'a donné une lettre à poster et tu sais quoi ?
Elle était pour lui et il m'a dit que c'était pour que je revienne le voir demain. Il aime se faire arranger et depuis que le valet est parti ça lui manque. Et il m'a dit aussi qu'une de ses sœurs, la plus belle voudrait bien que je l'arrange aussi de temps en temps parce que son mari lui manque.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
oOoOo
12 juillet 1916
Mon cher frère,
Hier quand je suis rentré de ma tournée j'ai été convoqué chez le receveur. Il m'a reproché que mes tournées étaient trop longues et duraient trop longtemps.
Je lui ai dit que les gens des fermes éloignées me demandaient des nouvelles du bourg, me demandaient si j'avais des nouvelles de quelqu'un qu'ils connaissaient et que ça prenait du temps tout ça. Il m'a cru et m'a même félicité du service rendu.
Mais en vrai c'est parce qu’avec la Marie on a trouvé un coin secret où je peux la baiser tranquillement presque tous les jours sans que ses beaux-parents nous dérangent. Ensuite je m'arrête chez Gustave pour l'arranger lui aussi et son nouveau valet qui a 15 ans.
Pour la première fois hier j'ai sucé leurs queues. Ce n’est pas désagréable. Et le valet m'a foutu sa langue dans le cul - j’ai aimé. Puis le valet a enculé Gustave et m'a demandé de l'enculer lui. Il a joui très vite et je l'ai remplacé dans le cul de Gustave qui suçait le valet pour lui redonner de la vigueur et c'est là que la Henriette, tu sais, la sœur de Gustave, celle qui a 18 ans, nous a surpris.
Elle nous a dit de continuer, elle a relevé sa jupe et son jupon, elle a descendu sa culotte et elle a commencé à se caresser la chatte. Elle s'est mise à gémir de plus en plus et elle a joui en même temps que nous.
On s'est rhabillé et elle m'a accompagné un bout de chemin. Elle veut bien que je m'occupe d'elle mais elle veut rester vierge pour son futur mari. Elle m'a dit qu'elle allait m'apprendre à la caresser et comment faire pour bien la faire jouir en lui mangeant le sexe. Et elle m'a dit qu'elle me la laisserait lui mettre dans la bouche et dans le cul comme je le fais à son frère et au valet.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
oOoOo
28 octobre 1916
Mon cher frère,
Si tu savais comme tu me manques !
Les tournées sont de plus en plus longues et il y a de plus en plus de courrier à distribuer. Et mes arrêts sont de plus en plus fréquents et variés. Je n'arrive plus à les assurer tous.
En plus de la Marie, de Gustave, de sa sœur et de leur valet il y a aussi la servante et la maitresse de la ferme du ruisseau dont je dois m'occuper mais c'est sans compter les jumeaux du hameau du Plat que j'ai surpris un jour à la rivière alors qu'ils s'arrangeaient entre eux à tour de rôle.
Je ne sais pas qui a parlé de moi et des services spéciaux que je rendais mais depuis quelques temps je dois faire attention de ne pas être seul au risque de me faire caresser ou embrasser. Même la vieille qui tient l'épicerie a essayé de me coincer dans son arrière-boutique c'est pour te dire !
J'ai demandé au receveur pour changer de tournée mais il m'a dit que pour le moment ce n'était pas prévu, ni envisageable, et que les gens étaient contents de moi alors il n'en voyait pas l’utilité.
Il y a deux jours, je suis allé pour la première fois apporter du courrier au château. C'est le vieux garde-chasse qui m'a ouvert et qui m'a dit que madame la comtesse désirait me parler.
Elle voulait que je passe tous les jours que j'ai du courrier ou pas à lui donner parce qu'elle en aurait à poster. C'est une belle femme la quarantaine et avec elle il y avait son fils et sa fille qui sont jumeaux et d'une beauté éblouissante. Je ne sais pas lequel des deux je trouve le plus joli. Ils m'ont donné des lettres à poster et m'ont raccompagné jusqu'à la grille.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
oOoOo
3 décembre 1916
Mon cher frère,
Les jours se suivent et se ressemblent et les tournées durent presque toute la journée maintenant. J'ai une des plus longues et elle fait plus de 25 km. Mais j'ai eu une belle augmentation de salaire. Hélas, ça n'enlève rien à la fatigue que j'ai le soir en rentrant.
En plus je n'ai même plus mon vélo qui a été réquisitionné par l’armée. C'est à pied que je dois tout faire. Et à partir du mois prochain ce n'est pas une mais trois tournées différentes que je devrais faire !
Ça va me reposer le sexe de ne passer que deux fois par semaine chez certains.
Je crois que je suis tombé amoureux des jumeaux du château mais il ne s'est rien passé avec eux. Et heureusement parce que je ne pense pas pouvoir assumer plus que je ne fais déjà.
La Comtesse m'a laissé entendre qu'elle se sentait seule, très seule même et qu'elle aurait grand plaisir à ce que j'aille lui tenir compagnie le dimanche.
Du coup j'y suis allé le dimanche suivant et comme tous les autres elle ne voulait que du sexe. En revanche, contrairement aux autres, avant que je la prenne, elle m'a enfilé une sorte de chapeau sur le sexe pour qu'elle ne tombe pas enceinte comme elle me l'a précisé et quand je suis parti elle m'a donné une pièce de 5 francs en argent et elle m'a dit que j'en aurai une chaque fois que j'y retournerais.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
Plusieurs mois après …...
20 décembre 1918
Mon très cher frère,
J’espère que tu te remets bien de ta blessure et que tu vas bientôt rentrer chez nous. Depuis que la guerre est finie c'est de la folie ici.
Quelques blessés sont déjà rentrés et au château, toute une aile a été transformé en hôpital enfin en maison de convalescence plutôt. Je leur apporte le courrier tous les jours. Et j'ai droit à mes 5 francs presque tous les jours aussi.
Et les choses ont bigrement évoluées avec les jumeaux. Le jeune comte m'a avoué qu'il m'aimait, sur les conseils de sa sœur. Elle aussi est amoureuse de moi d'après son frère. Tout cela en confidences sur l‘oreiller. Aussi, qu’ils aimeraient m’avoir que pour eux seuls.
Alors à partir de demain, je vais une dernière fois faire l'amour avec tous ceux et celles avec qui je le faisais jusqu'à présent et je ne me consacrerais qu'à eux dorénavant. Madame la comtesse m'a dit qu'elle était prête à me prendre à son service, pour le bonheur de ses enfants.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide.
oOoOo
5 janvier 1919
Mon cher frère,
Je sais par les parents que tu dois rentrer bientôt. Je ne les vois plus trop souvent parce que je suis parti à Paris avec la Comtesse et ses enfants.
Le receveur m'a dit que lorsque tu rentreras, tu reprendras la tournée. Alors je te joins une petite liste de ceux et celles dont je m'occupais et qui ne demanderont pas mieux qu'on s'occupe d'eux à nouveau.
Le petit comte est un garçon formidable, gentil et doux, avec qui j'adore faire l’amour. La petite demoiselle est une vraie furie au lit. Elle enrage de devoir garder sa fleur vierge pour son futur époux mais pour le reste, l'heureux garçon qu'elle épousera sera surpris par son savoir-faire.
Je t'embrasse
Ton frère Aristide
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)