18-02-2022, 10:12 PM
(Modification du message : 19-02-2022, 07:49 PM par fablelionsilencieux.)
Hors série /2 : "Le facteur remplaçant se déniaise en tournée"
C’est peut-être vrai, finalement, que le corps humain ne contient pas assez de sang pour irriguer à la fois le cerveau et les corps caverneux, du moins, c’est mon cas… Ce n’est que quand je me suis entendu gémir "Plus fooort, ouiiiii, je vais jouir" que j’ai réalisé que j’étais au bord de l’éjac’, et surtout que dans le feu de l’action, on avait absolument zappé le latex. Mais comment je me suis retrouvé dans cette situation, moi ?
Sauf que ça, je le sais assez clairement, après une semaine de ce boulot de vacances dont je rentre crevé, avec la perspective de me lever le lendemain à 5h du matin pour reprendre mon service… Pas de sortie le week-end, histoire de mettre un maximum de fric à gauche pour ma première année de fac, logé à la cité U.
Après, il y a bien la branlette, mais bon, entre sa main qu’on connait depuis ses 13 ans et l’invasion de son intimité par des corps qu’on découvre, tous différents…
(***)
Déjà, ça paie mieux que mon job d’étudiant précédent, où je me suis cassé le dos pendant trois étés à réassortir les rayons de la supérette, mais surtout, depuis son divorce, et l’anniversaire de mes 18 ans, la gérante a commencé à me regarder différemment, et me glisser des remarques à la con, genre ‘’Eh bien, mon petit Joachim, si j’avais pu imaginer que le garçon malingre que j’avais hésité à engager deviendrait ce beau grand jeune homme…’’. Pas que la différence d’âge m’aurait gêné, c’est juste qu’elle a beaucoup trop de seins, et pas assez de ce que je préfère regarder. Et pas que regarder, en fait…
Elle n’a jamais soupçonné qu’au fond de la réserve, l’été 2019, j’ai sucé genre huit mètres de queue, mais toujours la même, hein ! celle de Thomas, puis sur deux mois et demi, aussi… En 2020, sur la même période, j’ai visité une trentaine de fois le rectum de Mamadou, qui faisait entièrement mentir le cliché du grand Black, n’étant pas particulièrement bien monté, et surtout étant étrangement avide de mes pas bien plus fantastiques quinze centimètres. L’été dernier avait été celui de la révélation, avec son propre mari – maintenant ex – qui, lui, nous avait repérés dans la réserve, sur les caméras de surveillance.
Je me suis souvent demandé si le fait de nous voir dans des positions peu équivoques avait enfin provoqué un déclic tardif dans son esprit, mais même si c’était le cas, il avait clairement consacré les neuf mois de mon année académique suivante à apprendre à dominer son éjac’ dans un milieu autrement plus confiné que l’intimité fatiguée de sa femme. Mamadou ayant réorienté sa carrière en jouant de sa particularité, qui mettrait en fait la honte à tout son continent d’origine, ‘Monsieur Roger’ s’était placé dès le 1er juillet en m’invitant à un contrôle de stock bien inutile en milieu d’exercice comptable, et en exhibant, derrière une palette de pois-carottes Top Budget, son sexe épais et veiné que j’avais longuement et consciencieusement couvert de salive.
- Bien, ça ! Important, la lubrification" avait-il dit, avant d’ouvrir mon jeans et de le descendre d’un seul mouvement avec mon boxer sur mes chevilles, de me faire pivoter et m’écraser contre les caisses, avant d’écarter mes fesses et d’appliquer une langue intrusive sur ma rosette toujours vierge, Thomas n’ayant pas eu l’initiative – Ni Mamadou, l’envie – de l’explorer.
La caresse m’avait fait m’oublier un moment, jusqu’à ce que la réalité me pète à l’esprit avec la pression de son gland sur mon intimité, pour ce qui est probablement la pire douleur que je n’aie jamais ressentie, mais que j’étais incapable d’exprimer, le cul offert, l’une de ses mains me muselant la bouche, et l’autre calée sur mes hanches. Je m’apprêtais à subir ce que je ne pouvais qualifier que d’un viol, lorsqu’un plaisir diffus s’est manifesté, irradiant lentement dans mon bassin, puis dans mon corps entier. Je m’abandonnais doucement à la sensation grisante, lorsqu’il s’était penché sur moi pour murmurer ‘’Touche-toi, Joachim, profite’’. J’avais porté la main à mon sexe qui commençait à se raidir pour découvrir du bout des doigts mon gland semi-éclos de mon prépuce, et poisseux de pré-sperme. "Mais… c’est quoi ?" avais-je gémi, sans trop m’en rendre compte.
- Tu découvres seulement ta prostate, vraiment ? Fais-toi plaisir, Joachim, dans cette position, à défaut de le voir sur ton visage, je veux l’entendre.
J’avais appliqué le mouvement de ma main sur mon légume tendre pour ce qui a probablement été mon éjac’ la plus abondante, accompagnée d’un orgasme monumental !
- Bon garçon" avait-il sifflé, après s’être retiré, me laissant tremblant et pantelant, ridiculement fasciné par les gouttes de sa semence qui s’écoulaient de mon sphincter encore palpitant dans mon boxer, plic-plic-plic…
Pour ne pas se limiter à l’effet audio, et surtout – je l’ai vite découvert – pour un plaisir augmenté, j’ai modifié la position pour nos ‘échanges’, lui offrant mon sourire épanoui, mes yeux brillants de plaisir, et accessoirement, la vision de ma propre jouissance.
Ne me jugez pas ! Je ne suis pas responsable de leur divorce, ‘Monsieur Roger’ ne pouvait pas se contenter de visiter mes valves rectales un de mes jours de travail sur deux, et sa femme a fini par le surprendre, enfoncé jusqu’à la garde dans le fondement du garçon qui venait tondre leur pelouse.
- Tu te rends compte ? Tristan a seize ans, on le connait depuis qu’il est né, et j’admets qu’il est vraiment un très joli garçon… Mais ce vieux pervers…" avait-elle ragé, oubliant un peu qu’elle a sensiblement le même âge.
N’empêche, le garçon avait conservé son job, et son mari avait quitté le domicile conjugal, sans trop de regrets, je me dis. Mais son intérêt pour les vraiment très jeunes carottes m’avait fait réfléchir, et le voir d’un autre œil.
C’est là qu’alors que je me plaignais des conditions harassantes du boulot, ma marraine m’a sauvé. Une de ses amies – lesbienne - est en charge de l’engagement d’étudiants jobistes pour la Poste. "Marielle te trouvera bien une place, et même dans votre quartier, elle me doit bien ça" avait-elle dit. Sans que j’ose demander en quoi le ‘ça’ consistait. En juillet, j’étais affecté à la distribution des folders de grands magasins et la presse gratuite, avant qu’elle me propose de reprendre le poste de distribution d’un facteur opéré d’une hernie discale.
- J’hésite un peu à te le proposer, la tournée commence à six heures, mais surtout…
- Surtout ?" ai-je murmuré, me demandant ce qui pouvait être pire que me lever au chant du coq.
- Eh bien… pour le dire tout net, et vulgairement… Marcel est juste…un queutard, voilà !
- Un… ?
- Disons qu’il agrémente sa tournée en… agrémentant la journée de certaines femmes au foyer, si tu vois.
- Aaah ! OK, mais je saurai défendre ma vertu, vous savez.
- Soit ! Si tu penses être à la hauteur… Aussi, il y aurait une progression dans le barème de salaire, du rarement vu pour un étudiant jobiste, si tu vois, aussi" a-t-elle dit avec un clin d’œil.
J’ai consciencieusement ignoré ceux des ménagères esseulées qui épiaient l’arrivée du facteur derrière le judas de leur porte, et qui surgissaient soudain en peignoir pour m’inviter à boire un café.
Jusqu’au colis recommandé pour un monsieur Oscar Martin, rue du Chantoir… Vous me direz, des Martin, on secoue un arbre, il en tombe cent-trente, mais Oscar ? Celui dont je me souvenais avait partagé mes quatre années de collège, durant lesquelles il ne s’était jamais trop gêné d’exposer sa plastique sans défauts en cours d’EPS, et surtout ensuite, dans les douches, à se savonner suggestivement, puis dans les vestiaires, à traîner pour se rhabiller, en balançant indolemment un sexe épais…
‘Peu probable que ce soit lui’ ai-je alors pensé, 'ça fait deux ans que je ne l’ai plus jamais croisé', mon Oscar doit être loin, en train de faire couiner des filles aussi superbes que lui.
Le colis sous le bras, j’ai sonné à l’adresse, pour porter le regard sur ma tablette, et initialiser l’appli pour la signature de réception de l’envoi. La porte s’est ouverte sur des pieds nus chaussés de tongs, j’ai forcé mes yeux à remonter sur des jambes musclées, un boxer qui ne cachait pas grand-chose, un torse finement poilu, et finalement, le visage d’Oscar, barré d’un grand sourire.
- Joachim ? T’es facteur ?
- Oh ! Salut, Oscar. Ben ouais, job de vacances.
- Cool ! Ça change du connard qui passe d’hab’ ! Mais entre un moment, viens.
J’étais en avance sur ma tournée, donc bon…
- T’as pas changé" ai-je dit, un peu stupidement. "Mais pourquoi as-tu disparu après le collège ?"
- Je te la fais courte, OK ? Tu de souviens de Brisembois, le prof de musique qu’on avait en cinquième ? Un gros pédo, lui, mais bon, j’étais au fond du placard, il était discret, ça a duré deux ans, jusqu’à ce que mon père découvre. Lui, il a été viré, et moi, j’ai été exilé chez mes grands-parents en Dordogne, la loose, mec ! Mais là, je suis revenu en grâce, et je reprends ma place, voilà. Après, toi non plus, tu n’as pas trop changé, et même si je ne t’avais pas reconnu, il y a des trucs…
- Qu… quoi ?
- Ton fétichisme des orteils, Joachim ! C’était un peu brimant, tu me plaisais déjà au collège, et je m’exhibais surtout pour toi, mais tu calais systématiquement le regard au niveau du carrelage…
- Je ne…
- Maintenant, je sais que c’est un kink… une bizarrerie, assez répandue chez les gays. Alors, ça te dirait… ?
- Tes pieds ?
- Mais non, bêta, on pourrait passer un niveau.
(***)
- Plus fooort, ouiiiii’’ ai-je gémi.
Il s’est pourtant interrompu pour murmurer "J’ai envie d’éjaculer sur toi, ça te va ?"
- Oui ! Non… Comme tu veux, mais retiens-toi encooore, je vais jouir !
- Soit’’ a-t-il dit, n’enfonçant lentement que la moitié de sa colonne de chair, appliquant un massage répété sur ma prostate.
C’est là que j’ai découvert que les mecs de la moitié de l’âge de ‘Monsieur Roger’, et de tous ceux qui l’avaient remplacé, pouvait faire deux fois l’amour sur une heure.
Le courrier du quartier Nord avait dû attendre, Marielle aura reçu des réclamations pour le retard de distribution, et imaginé que j’étais tombé dans le traquenard d’une MILF négligée par son mari, elle n’aura pas pu s’empêcher de le raconter à ma marraine, qui aura souri tranquillement, comme le Chat du Cheshire, sachant très bien que je préfère les mecs.
(***)
C’était cet été.
Là, on est en septembre, et en plein milieu d’un cours de Biodiversité et Sociétés, je viens de recevoir un texto d’Oscar qui m’attend à la table de pique-nique au fond du parking du bâtiment B52 de la fac, déserté à cette heure. Comme je commence à le cadrer, ce sera en levrette, peut-être un peu brutal au début, la crainte de se faire capter, mais c’est pas plus mal, il a l’endurance, j’ai le temps de ressentir du plaisir, et de m’en donner, c’est différent, mais j’aime bien, aussi.
C’est peut-être vrai, finalement, que le corps humain ne contient pas assez de sang pour irriguer à la fois le cerveau et les corps caverneux, du moins, c’est mon cas… Ce n’est que quand je me suis entendu gémir "Plus fooort, ouiiiii, je vais jouir" que j’ai réalisé que j’étais au bord de l’éjac’, et surtout que dans le feu de l’action, on avait absolument zappé le latex. Mais comment je me suis retrouvé dans cette situation, moi ?
Sauf que ça, je le sais assez clairement, après une semaine de ce boulot de vacances dont je rentre crevé, avec la perspective de me lever le lendemain à 5h du matin pour reprendre mon service… Pas de sortie le week-end, histoire de mettre un maximum de fric à gauche pour ma première année de fac, logé à la cité U.
Après, il y a bien la branlette, mais bon, entre sa main qu’on connait depuis ses 13 ans et l’invasion de son intimité par des corps qu’on découvre, tous différents…
(***)
Déjà, ça paie mieux que mon job d’étudiant précédent, où je me suis cassé le dos pendant trois étés à réassortir les rayons de la supérette, mais surtout, depuis son divorce, et l’anniversaire de mes 18 ans, la gérante a commencé à me regarder différemment, et me glisser des remarques à la con, genre ‘’Eh bien, mon petit Joachim, si j’avais pu imaginer que le garçon malingre que j’avais hésité à engager deviendrait ce beau grand jeune homme…’’. Pas que la différence d’âge m’aurait gêné, c’est juste qu’elle a beaucoup trop de seins, et pas assez de ce que je préfère regarder. Et pas que regarder, en fait…
Elle n’a jamais soupçonné qu’au fond de la réserve, l’été 2019, j’ai sucé genre huit mètres de queue, mais toujours la même, hein ! celle de Thomas, puis sur deux mois et demi, aussi… En 2020, sur la même période, j’ai visité une trentaine de fois le rectum de Mamadou, qui faisait entièrement mentir le cliché du grand Black, n’étant pas particulièrement bien monté, et surtout étant étrangement avide de mes pas bien plus fantastiques quinze centimètres. L’été dernier avait été celui de la révélation, avec son propre mari – maintenant ex – qui, lui, nous avait repérés dans la réserve, sur les caméras de surveillance.
Je me suis souvent demandé si le fait de nous voir dans des positions peu équivoques avait enfin provoqué un déclic tardif dans son esprit, mais même si c’était le cas, il avait clairement consacré les neuf mois de mon année académique suivante à apprendre à dominer son éjac’ dans un milieu autrement plus confiné que l’intimité fatiguée de sa femme. Mamadou ayant réorienté sa carrière en jouant de sa particularité, qui mettrait en fait la honte à tout son continent d’origine, ‘Monsieur Roger’ s’était placé dès le 1er juillet en m’invitant à un contrôle de stock bien inutile en milieu d’exercice comptable, et en exhibant, derrière une palette de pois-carottes Top Budget, son sexe épais et veiné que j’avais longuement et consciencieusement couvert de salive.
- Bien, ça ! Important, la lubrification" avait-il dit, avant d’ouvrir mon jeans et de le descendre d’un seul mouvement avec mon boxer sur mes chevilles, de me faire pivoter et m’écraser contre les caisses, avant d’écarter mes fesses et d’appliquer une langue intrusive sur ma rosette toujours vierge, Thomas n’ayant pas eu l’initiative – Ni Mamadou, l’envie – de l’explorer.
La caresse m’avait fait m’oublier un moment, jusqu’à ce que la réalité me pète à l’esprit avec la pression de son gland sur mon intimité, pour ce qui est probablement la pire douleur que je n’aie jamais ressentie, mais que j’étais incapable d’exprimer, le cul offert, l’une de ses mains me muselant la bouche, et l’autre calée sur mes hanches. Je m’apprêtais à subir ce que je ne pouvais qualifier que d’un viol, lorsqu’un plaisir diffus s’est manifesté, irradiant lentement dans mon bassin, puis dans mon corps entier. Je m’abandonnais doucement à la sensation grisante, lorsqu’il s’était penché sur moi pour murmurer ‘’Touche-toi, Joachim, profite’’. J’avais porté la main à mon sexe qui commençait à se raidir pour découvrir du bout des doigts mon gland semi-éclos de mon prépuce, et poisseux de pré-sperme. "Mais… c’est quoi ?" avais-je gémi, sans trop m’en rendre compte.
- Tu découvres seulement ta prostate, vraiment ? Fais-toi plaisir, Joachim, dans cette position, à défaut de le voir sur ton visage, je veux l’entendre.
J’avais appliqué le mouvement de ma main sur mon légume tendre pour ce qui a probablement été mon éjac’ la plus abondante, accompagnée d’un orgasme monumental !
- Bon garçon" avait-il sifflé, après s’être retiré, me laissant tremblant et pantelant, ridiculement fasciné par les gouttes de sa semence qui s’écoulaient de mon sphincter encore palpitant dans mon boxer, plic-plic-plic…
Pour ne pas se limiter à l’effet audio, et surtout – je l’ai vite découvert – pour un plaisir augmenté, j’ai modifié la position pour nos ‘échanges’, lui offrant mon sourire épanoui, mes yeux brillants de plaisir, et accessoirement, la vision de ma propre jouissance.
Ne me jugez pas ! Je ne suis pas responsable de leur divorce, ‘Monsieur Roger’ ne pouvait pas se contenter de visiter mes valves rectales un de mes jours de travail sur deux, et sa femme a fini par le surprendre, enfoncé jusqu’à la garde dans le fondement du garçon qui venait tondre leur pelouse.
- Tu te rends compte ? Tristan a seize ans, on le connait depuis qu’il est né, et j’admets qu’il est vraiment un très joli garçon… Mais ce vieux pervers…" avait-elle ragé, oubliant un peu qu’elle a sensiblement le même âge.
N’empêche, le garçon avait conservé son job, et son mari avait quitté le domicile conjugal, sans trop de regrets, je me dis. Mais son intérêt pour les vraiment très jeunes carottes m’avait fait réfléchir, et le voir d’un autre œil.
C’est là qu’alors que je me plaignais des conditions harassantes du boulot, ma marraine m’a sauvé. Une de ses amies – lesbienne - est en charge de l’engagement d’étudiants jobistes pour la Poste. "Marielle te trouvera bien une place, et même dans votre quartier, elle me doit bien ça" avait-elle dit. Sans que j’ose demander en quoi le ‘ça’ consistait. En juillet, j’étais affecté à la distribution des folders de grands magasins et la presse gratuite, avant qu’elle me propose de reprendre le poste de distribution d’un facteur opéré d’une hernie discale.
- J’hésite un peu à te le proposer, la tournée commence à six heures, mais surtout…
- Surtout ?" ai-je murmuré, me demandant ce qui pouvait être pire que me lever au chant du coq.
- Eh bien… pour le dire tout net, et vulgairement… Marcel est juste…un queutard, voilà !
- Un… ?
- Disons qu’il agrémente sa tournée en… agrémentant la journée de certaines femmes au foyer, si tu vois.
- Aaah ! OK, mais je saurai défendre ma vertu, vous savez.
- Soit ! Si tu penses être à la hauteur… Aussi, il y aurait une progression dans le barème de salaire, du rarement vu pour un étudiant jobiste, si tu vois, aussi" a-t-elle dit avec un clin d’œil.
J’ai consciencieusement ignoré ceux des ménagères esseulées qui épiaient l’arrivée du facteur derrière le judas de leur porte, et qui surgissaient soudain en peignoir pour m’inviter à boire un café.
Jusqu’au colis recommandé pour un monsieur Oscar Martin, rue du Chantoir… Vous me direz, des Martin, on secoue un arbre, il en tombe cent-trente, mais Oscar ? Celui dont je me souvenais avait partagé mes quatre années de collège, durant lesquelles il ne s’était jamais trop gêné d’exposer sa plastique sans défauts en cours d’EPS, et surtout ensuite, dans les douches, à se savonner suggestivement, puis dans les vestiaires, à traîner pour se rhabiller, en balançant indolemment un sexe épais…
‘Peu probable que ce soit lui’ ai-je alors pensé, 'ça fait deux ans que je ne l’ai plus jamais croisé', mon Oscar doit être loin, en train de faire couiner des filles aussi superbes que lui.
Le colis sous le bras, j’ai sonné à l’adresse, pour porter le regard sur ma tablette, et initialiser l’appli pour la signature de réception de l’envoi. La porte s’est ouverte sur des pieds nus chaussés de tongs, j’ai forcé mes yeux à remonter sur des jambes musclées, un boxer qui ne cachait pas grand-chose, un torse finement poilu, et finalement, le visage d’Oscar, barré d’un grand sourire.
- Joachim ? T’es facteur ?
- Oh ! Salut, Oscar. Ben ouais, job de vacances.
- Cool ! Ça change du connard qui passe d’hab’ ! Mais entre un moment, viens.
J’étais en avance sur ma tournée, donc bon…
- T’as pas changé" ai-je dit, un peu stupidement. "Mais pourquoi as-tu disparu après le collège ?"
- Je te la fais courte, OK ? Tu de souviens de Brisembois, le prof de musique qu’on avait en cinquième ? Un gros pédo, lui, mais bon, j’étais au fond du placard, il était discret, ça a duré deux ans, jusqu’à ce que mon père découvre. Lui, il a été viré, et moi, j’ai été exilé chez mes grands-parents en Dordogne, la loose, mec ! Mais là, je suis revenu en grâce, et je reprends ma place, voilà. Après, toi non plus, tu n’as pas trop changé, et même si je ne t’avais pas reconnu, il y a des trucs…
- Qu… quoi ?
- Ton fétichisme des orteils, Joachim ! C’était un peu brimant, tu me plaisais déjà au collège, et je m’exhibais surtout pour toi, mais tu calais systématiquement le regard au niveau du carrelage…
- Je ne…
- Maintenant, je sais que c’est un kink… une bizarrerie, assez répandue chez les gays. Alors, ça te dirait… ?
- Tes pieds ?
- Mais non, bêta, on pourrait passer un niveau.
(***)
- Plus fooort, ouiiiii’’ ai-je gémi.
Il s’est pourtant interrompu pour murmurer "J’ai envie d’éjaculer sur toi, ça te va ?"
- Oui ! Non… Comme tu veux, mais retiens-toi encooore, je vais jouir !
- Soit’’ a-t-il dit, n’enfonçant lentement que la moitié de sa colonne de chair, appliquant un massage répété sur ma prostate.
C’est là que j’ai découvert que les mecs de la moitié de l’âge de ‘Monsieur Roger’, et de tous ceux qui l’avaient remplacé, pouvait faire deux fois l’amour sur une heure.
Le courrier du quartier Nord avait dû attendre, Marielle aura reçu des réclamations pour le retard de distribution, et imaginé que j’étais tombé dans le traquenard d’une MILF négligée par son mari, elle n’aura pas pu s’empêcher de le raconter à ma marraine, qui aura souri tranquillement, comme le Chat du Cheshire, sachant très bien que je préfère les mecs.
(***)
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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