07-02-2022, 10:28 AM
Voilà un essayage de maillot inattendu qui va laisser de très bons souvenirs à l’un et l’autre. Pour une première fois Loïc s’est bien défendu. Inutile de dire qu’il a kiffé et qu’il est prêt à recommencer.
Bien entendu nous n’avons pas vu le temps passer, il est presque seize heures, nous nous rhabillons. Je prends donc deux draps de bain que je place dans un sac avec nos deux boxer car nous avons déjà enfilé les maillots de bain pour gagner du temps. Je prépare aussi un sac avec de quoi loger chez Lolo car il m’a invité pour la soirée et passer la nuit chez lui, enfin chez ses parents. En fait nous n’avons pas de cours avant dix heures trente demain.
Je vois que mon chéri à le sourire aux lèvres, il est heureux, il m’a aimé et je l’ai aimé. Je vois des étincelles de joie dans ses yeux, de plus il me dévore aussi du regard. Nous nous rapprochons et nous embrassons à pleine bouche, laissant nos langues danser entre elles. Nous n’échangeons aucun mot, pas besoin, nos regards en disent assez long sur l’amour qui a nous unit de plus en plus.
Nous prenons le métro et ensuite nous changeons de ligne pour prendre un tram en direction d’Uccle, soit vers la piscine du Longchamps. Le voyage dure près de quarante minutes. C’est peu avant dix-sept heures que nous entrons dans le vestiaire. Nous nous désapons chacun dans une cabine et nous déposons nos vêtements placés sur un porte-habits à la consigne.
Nous sommes enfin dans l’eau. Il y a déjà un peu moins de monde vu l’heure déjà avancée. Nous avons encore une bonne heure de temps pour profiter du grand bassin. Nous disposons d’une ligne de nage rien que pour nous. Nous nageons comme des dératés heureux d’être à deux pour nous éclater. Je me rends compte que Loïc se débrouille pas mal en dos crawlé, bien mieux que moi, j’ai plein d’eau qui arrive sur le visage et je déteste ça. En revanche je suis meilleur en crawl que lui.
Nous passons un très bon moment ensemble à nager et à nous amuser. Nous profitons de quelques moments de répit pour nous couler l’un l’autre gentiment. Nous nous frôlons très souvent au niveau de nos protubérances. Nous devons quand même faire attention de ne pas nous faire remarquer.
Il va être temps de quitter le bassin de natation car le maitre-nageur nous fait signe en montrant sa montre, indiquant ainsi que nous devons sortir de l’eau. Nous accédons à sa demande et rejoignons les douches et les vestiaires. La douche bien chaude nous fait le plus grand bien, elle est d’ailleurs la bienvenue après cette séance de natation. Nous recherchons nos vêtements à la consigne en remettant le bracelet numéroté à l’employée. Nous nous dirigeons vers les cabines et entrons à deux dans une cabine plus grande que les autres, elle est souvent destinée aux parents avec enfants pour s’occuper d’eux.
Inutile de dire que nous en profitons pour nous embrasser et nous caresser, nous étions quelque peu échauffés lors de nos frôlements de corps lorsque nous nous amusions à nous couler l’un l’autre. Une fois les maillots ôtés, nous laissons apparaitre nos attributs pointant vers le plafond, c’est très tentant de voir cette barre de chair à portée de main, il n’en faut pas plus pour que je m’empare de la queue de Lolo et que j’entame des mouvements masturbatoires. Mon ami fait de même sur mon sexe bandé. Nous devons faire attention de ne pas émettre trop de sons indiquant la montée des sensations pour ne pas éveiller les soupçons sur notre activité. Loïc caresse mon scrotum avec son autre main, je ressens alors la chaleur monter, mon ventre est de plus en plus chaud. Je place aussi mon autre main sur les deux petites pommes d’amour de mon chéri, qui émet immédiatement un râle de bonheur. Nous poursuivons notre masturbation mutuelle pour notre plus grande satisfaction. Je sens bien que je vais bientôt jouir, c’est une question de secondes. Lolo lui aussi souffle de plus en plus, il doit lui aussi être au bord de la jouissance. Puis dans un râle partagé nous laissons nos semences s’épandre sur nos mains et nos ventre. Quelques gouttes sont tombées sur le sol de la cabine. Nos lèvres se soudent une nouvelle fois pour un baiser appuyé.
Il est temps de se dépêcher, nous essuyons les traces de sperme avec un mouchoir et nous nous habillons sans trop traîner car je pense que nous sommes presque les derniers dans les vestiaires. Nous sortons de la cabine et nous nous dirigeons vers la sortie du bâtiment. Nous passons la porte vitrée et nous sommes sur l’esplanade d’accès. Il ne reste alors qu’une dizaine de marches à descendre pour rejoindre le chemin reliant l’arrêt des bus et des trams.
A une vingtaine de mètres devant nous je vois qu’il y a un groupe de cinq gars d’une vingtaine d’années, à peine plus âgés que nous, nous regarder avec un air méchant. Je sens que Loïc lui aussi marque un moment d’hésitation, faut-il prendre nos jambes à notre cou pour remonter vers l’entrée de la piscine ou alors poursuivre notre route en passant près de ce groupe de jeunes. Nous n’avons pas le temps de réagir que les cinq gars se ruent vers nous en criant « A mort les PD – à mort les PD ». Nous avons Loïc et moi à peine le temps de nous retourner que nous sommes agrippés par ces cinq énergumènes. Les coups pleuvent, je tente de protéger mon visage avec mes mains et mes bras. Je ne vois pas ce qu’il se passe avec Loïc, j’entends bien qu’il reçoit lui aussi des coups et qu’il crie. Je ne sais pas combien de coups j’ai reçus ni même combien de temps a duré cette attaque, mais j’ai entendu au loin deux personnes se diriger vers nous en criant à nos assaillants de nous lâcher. Je suis à terre, j’ai mal partout.
Je regarde autour de moi et je vois deux hommes, deux employés de la piscine, arriver à ma hauteur. Loïc est à trois mètres de moi, il tremble de tous ses membres. L’un des hommes se penche vers Lolo tandis que l’autre me relève. Je vais voir comment va Loïc, il est prostré, il pleure et a son pantalon trempé, il s’est uriné dessus de peur. Je parviens à mettre mon chéri assis et nous l’aidons à se mettre debout.
L’un des employés veut faire appel à la police, mais Loïc préfère d’abord rentrer chez lui avant de déposer plainte au commissariat du quartier. L’autre employé nous demande comment nous allons rentrer. Je lui dis que c’est en tram. Il nous propose de nous conduire chez Loïc en voiture. Je sens bien que Loïc a honte d’avoir pissé dans son pantalon et qu’il préfère rentrer en voiture en lieu et place des transports en commun. Nous acceptons sa proposition directement.
Dans la voiture, lors du trajet, l’employé parle avec moi, il dit se prénommer Jean-Luc. Loïc lui ne desserre pas les dents. Notre conducteur me demande d’expliquer ce qui s’est passé. Quand il apprend que c’est une attaque homophobe, il fulmine et nous signale que ce n’est pas la première fois que ça arrive. Jean-Luc nous dit aussi qu’il va nous communiquer ses coordonnées pour que nous les donnions à la police pour qu’il soit entendu par la suite en tant que témoin des faits. Je le remercie chaleureusement d’une part pour son intervention mais aussi de nous avoir ramenés et de s’être proposé de témoigner.
Nous arrivons chez Loïc, je remercie encore Jean-Luc pour tout ce qu’il a fait pour nous. Je sens que Lolo est mal, il appréhende de rentrer dans cet état chez lui. Je le rassure et lui explique qu’Aurore saura comprendre ce qui s’est passé. De nouvelles larmes coulent sur les joues de mon Lolo. Je le tiens par un bras placé dans le bas de son dos et nous avançons vers la porte d’entrée de la villa de ses parents. Je prends les clefs qu’il me tend et j’ouvre.
Nous pénétrons dans le hall d’entrée lorsque Angélique sort du living. Elle marque un temps d’arrêt en voyant l’état dans lequel se trouve son grand frère. Sans un mot elle s’avance vers lui et le serre doucement dans ses bras. Elle appelle alors Aurore.
Ang : « Maman tu peux venir s’il te plait.
Aur : Que se passe-t-il Angélique ?
Ang : Il y a un souci avec Loïc.
Aur : J’arrive.
Aurore sort de la cuisine et reste en arrêt en voyant son fils debout dans le hall d’entrée. Elle s’avance vers lui et lui dit :
Aur : Que s’est-il passé Lo ?
Loï : Heu, je … heu
Dim : Nous avons été attaqués à la sortie de la piscine.
Aur : Mais par qui Dimitri, … pourquoi ?
Dim : C’est difficile à expliquer, heu… c’est cinq gars qui se sont rués sur nous quand nous allions arriver à l’arrêt de tram pour rentrer.
Aur : Pourquoi vous ont-ils tabassé ?
Dim : Ils nous ont traité de … heu … de « PD » !
Aur : Ce n’est pas vrai, j’ai toujours craint ce moment-là !
Ang : Quoi vous avez été traités de « PD ». Ils sont homophobes, donc vous … heu, vous êtes gays ?
Aur : Angélique arrête s’il te plait !
Ang : Je m’en suis doutée.
Loï : Arrête, arrête !
Ang : Ne t’en fais pas Lolo, je t’aime comme tu es.
Aur : Vous savez que je vous aime tous les deux, comme vous êtes. Je redoutais ce genre de chose, mais le mal est fait. Va te changer Lolo, puis on en parle après.
Loï : Merci maman.
Aur : Dimi si tu veux bien, accompagne-le.
Dim : Oui, je vais aller avec lui. »
Nous montons à l’étage tandis qu’Aurore et Angélique se rendent dans le living. On peut entendre qu’elles discutent entre elles. J’aide Loïc à se dévêtir pour prendre une bonne douche. Je me dessape aussi pour l’accompagner. Ensuite nous allons dans sa chambre pour enfiler des vêtements propres.
Bien entendu nous n’avons pas vu le temps passer, il est presque seize heures, nous nous rhabillons. Je prends donc deux draps de bain que je place dans un sac avec nos deux boxer car nous avons déjà enfilé les maillots de bain pour gagner du temps. Je prépare aussi un sac avec de quoi loger chez Lolo car il m’a invité pour la soirée et passer la nuit chez lui, enfin chez ses parents. En fait nous n’avons pas de cours avant dix heures trente demain.
Je vois que mon chéri à le sourire aux lèvres, il est heureux, il m’a aimé et je l’ai aimé. Je vois des étincelles de joie dans ses yeux, de plus il me dévore aussi du regard. Nous nous rapprochons et nous embrassons à pleine bouche, laissant nos langues danser entre elles. Nous n’échangeons aucun mot, pas besoin, nos regards en disent assez long sur l’amour qui a nous unit de plus en plus.
Nous prenons le métro et ensuite nous changeons de ligne pour prendre un tram en direction d’Uccle, soit vers la piscine du Longchamps. Le voyage dure près de quarante minutes. C’est peu avant dix-sept heures que nous entrons dans le vestiaire. Nous nous désapons chacun dans une cabine et nous déposons nos vêtements placés sur un porte-habits à la consigne.
Nous sommes enfin dans l’eau. Il y a déjà un peu moins de monde vu l’heure déjà avancée. Nous avons encore une bonne heure de temps pour profiter du grand bassin. Nous disposons d’une ligne de nage rien que pour nous. Nous nageons comme des dératés heureux d’être à deux pour nous éclater. Je me rends compte que Loïc se débrouille pas mal en dos crawlé, bien mieux que moi, j’ai plein d’eau qui arrive sur le visage et je déteste ça. En revanche je suis meilleur en crawl que lui.
Nous passons un très bon moment ensemble à nager et à nous amuser. Nous profitons de quelques moments de répit pour nous couler l’un l’autre gentiment. Nous nous frôlons très souvent au niveau de nos protubérances. Nous devons quand même faire attention de ne pas nous faire remarquer.
Il va être temps de quitter le bassin de natation car le maitre-nageur nous fait signe en montrant sa montre, indiquant ainsi que nous devons sortir de l’eau. Nous accédons à sa demande et rejoignons les douches et les vestiaires. La douche bien chaude nous fait le plus grand bien, elle est d’ailleurs la bienvenue après cette séance de natation. Nous recherchons nos vêtements à la consigne en remettant le bracelet numéroté à l’employée. Nous nous dirigeons vers les cabines et entrons à deux dans une cabine plus grande que les autres, elle est souvent destinée aux parents avec enfants pour s’occuper d’eux.
Inutile de dire que nous en profitons pour nous embrasser et nous caresser, nous étions quelque peu échauffés lors de nos frôlements de corps lorsque nous nous amusions à nous couler l’un l’autre. Une fois les maillots ôtés, nous laissons apparaitre nos attributs pointant vers le plafond, c’est très tentant de voir cette barre de chair à portée de main, il n’en faut pas plus pour que je m’empare de la queue de Lolo et que j’entame des mouvements masturbatoires. Mon ami fait de même sur mon sexe bandé. Nous devons faire attention de ne pas émettre trop de sons indiquant la montée des sensations pour ne pas éveiller les soupçons sur notre activité. Loïc caresse mon scrotum avec son autre main, je ressens alors la chaleur monter, mon ventre est de plus en plus chaud. Je place aussi mon autre main sur les deux petites pommes d’amour de mon chéri, qui émet immédiatement un râle de bonheur. Nous poursuivons notre masturbation mutuelle pour notre plus grande satisfaction. Je sens bien que je vais bientôt jouir, c’est une question de secondes. Lolo lui aussi souffle de plus en plus, il doit lui aussi être au bord de la jouissance. Puis dans un râle partagé nous laissons nos semences s’épandre sur nos mains et nos ventre. Quelques gouttes sont tombées sur le sol de la cabine. Nos lèvres se soudent une nouvelle fois pour un baiser appuyé.
Il est temps de se dépêcher, nous essuyons les traces de sperme avec un mouchoir et nous nous habillons sans trop traîner car je pense que nous sommes presque les derniers dans les vestiaires. Nous sortons de la cabine et nous nous dirigeons vers la sortie du bâtiment. Nous passons la porte vitrée et nous sommes sur l’esplanade d’accès. Il ne reste alors qu’une dizaine de marches à descendre pour rejoindre le chemin reliant l’arrêt des bus et des trams.
A une vingtaine de mètres devant nous je vois qu’il y a un groupe de cinq gars d’une vingtaine d’années, à peine plus âgés que nous, nous regarder avec un air méchant. Je sens que Loïc lui aussi marque un moment d’hésitation, faut-il prendre nos jambes à notre cou pour remonter vers l’entrée de la piscine ou alors poursuivre notre route en passant près de ce groupe de jeunes. Nous n’avons pas le temps de réagir que les cinq gars se ruent vers nous en criant « A mort les PD – à mort les PD ». Nous avons Loïc et moi à peine le temps de nous retourner que nous sommes agrippés par ces cinq énergumènes. Les coups pleuvent, je tente de protéger mon visage avec mes mains et mes bras. Je ne vois pas ce qu’il se passe avec Loïc, j’entends bien qu’il reçoit lui aussi des coups et qu’il crie. Je ne sais pas combien de coups j’ai reçus ni même combien de temps a duré cette attaque, mais j’ai entendu au loin deux personnes se diriger vers nous en criant à nos assaillants de nous lâcher. Je suis à terre, j’ai mal partout.
Je regarde autour de moi et je vois deux hommes, deux employés de la piscine, arriver à ma hauteur. Loïc est à trois mètres de moi, il tremble de tous ses membres. L’un des hommes se penche vers Lolo tandis que l’autre me relève. Je vais voir comment va Loïc, il est prostré, il pleure et a son pantalon trempé, il s’est uriné dessus de peur. Je parviens à mettre mon chéri assis et nous l’aidons à se mettre debout.
L’un des employés veut faire appel à la police, mais Loïc préfère d’abord rentrer chez lui avant de déposer plainte au commissariat du quartier. L’autre employé nous demande comment nous allons rentrer. Je lui dis que c’est en tram. Il nous propose de nous conduire chez Loïc en voiture. Je sens bien que Loïc a honte d’avoir pissé dans son pantalon et qu’il préfère rentrer en voiture en lieu et place des transports en commun. Nous acceptons sa proposition directement.
Dans la voiture, lors du trajet, l’employé parle avec moi, il dit se prénommer Jean-Luc. Loïc lui ne desserre pas les dents. Notre conducteur me demande d’expliquer ce qui s’est passé. Quand il apprend que c’est une attaque homophobe, il fulmine et nous signale que ce n’est pas la première fois que ça arrive. Jean-Luc nous dit aussi qu’il va nous communiquer ses coordonnées pour que nous les donnions à la police pour qu’il soit entendu par la suite en tant que témoin des faits. Je le remercie chaleureusement d’une part pour son intervention mais aussi de nous avoir ramenés et de s’être proposé de témoigner.
Nous arrivons chez Loïc, je remercie encore Jean-Luc pour tout ce qu’il a fait pour nous. Je sens que Lolo est mal, il appréhende de rentrer dans cet état chez lui. Je le rassure et lui explique qu’Aurore saura comprendre ce qui s’est passé. De nouvelles larmes coulent sur les joues de mon Lolo. Je le tiens par un bras placé dans le bas de son dos et nous avançons vers la porte d’entrée de la villa de ses parents. Je prends les clefs qu’il me tend et j’ouvre.
Nous pénétrons dans le hall d’entrée lorsque Angélique sort du living. Elle marque un temps d’arrêt en voyant l’état dans lequel se trouve son grand frère. Sans un mot elle s’avance vers lui et le serre doucement dans ses bras. Elle appelle alors Aurore.
Ang : « Maman tu peux venir s’il te plait.
Aur : Que se passe-t-il Angélique ?
Ang : Il y a un souci avec Loïc.
Aur : J’arrive.
Aurore sort de la cuisine et reste en arrêt en voyant son fils debout dans le hall d’entrée. Elle s’avance vers lui et lui dit :
Aur : Que s’est-il passé Lo ?
Loï : Heu, je … heu
Dim : Nous avons été attaqués à la sortie de la piscine.
Aur : Mais par qui Dimitri, … pourquoi ?
Dim : C’est difficile à expliquer, heu… c’est cinq gars qui se sont rués sur nous quand nous allions arriver à l’arrêt de tram pour rentrer.
Aur : Pourquoi vous ont-ils tabassé ?
Dim : Ils nous ont traité de … heu … de « PD » !
Aur : Ce n’est pas vrai, j’ai toujours craint ce moment-là !
Ang : Quoi vous avez été traités de « PD ». Ils sont homophobes, donc vous … heu, vous êtes gays ?
Aur : Angélique arrête s’il te plait !
Ang : Je m’en suis doutée.
Loï : Arrête, arrête !
Ang : Ne t’en fais pas Lolo, je t’aime comme tu es.
Aur : Vous savez que je vous aime tous les deux, comme vous êtes. Je redoutais ce genre de chose, mais le mal est fait. Va te changer Lolo, puis on en parle après.
Loï : Merci maman.
Aur : Dimi si tu veux bien, accompagne-le.
Dim : Oui, je vais aller avec lui. »
Nous montons à l’étage tandis qu’Aurore et Angélique se rendent dans le living. On peut entendre qu’elles discutent entre elles. J’aide Loïc à se dévêtir pour prendre une bonne douche. Je me dessape aussi pour l’accompagner. Ensuite nous allons dans sa chambre pour enfiler des vêtements propres.