24-01-2022, 11:05 AM
Loïc m’explique qu’il ne sait pas très bien où il en est, il se cherche encore. Il est souvent interpellé par des filles, il est toujours affable avec elles. Bien entendu il y a des bises sur les joues, mais cela ne va pas plus loin. J’avais déjà remarqué qu’il me regardait souvent lors des cours. Notre rapprochement me fait envisager qu’il est vraiment gay. Il a plus de 18 ans et je pense qu’il est déjà au-delà du « touche-pipi » des ados qui veulent tenter autre chose et découvrir toutes les facettes de la sexualité.
Je ne sais pas mais je trouve que Loïc a un « air de famille ». Je ne sais pas ce que c’est, nous n’avons pas les mêmes yeux, ni la même couleur de cheveux, mais il y a quelque chose qui me frappe et je ne sais pas quoi ! Cela n’empêche pas quelques visites que je fais chez Loïc, enfin dans sa famille. Je n’ai jamais vu son papa qui est très souvent en voyage comme le mien en tant qu’acheteur pour des chaînes de supermarchés ! Aurore sa maman est très gentille. J’ai pu sentir que son frère Quentin et sa sœur Angélique étaient super accueillants. Il m’ont tout de suite accepté. J’ai eu la même sensation, soit de les connaître depuis longtemps.
Nous nous rapprochons de plus en plus. Nous sommes presque tout le temps ensemble, du moins lors des cours et de nos activités. Un jour, alors que nous étions à l’entrée de la piscine communale d’Uccle, la piscine Longchamps, j’ai remarqué que sur sa carte de fidélité son nom est « MARTIN » tout comme le mien. Nous nous appelons MARTIN tous les deux. Je n’ai rien dit, mais j’ai été troublé. Il faut dire que ce nom est assez commun, comme Dubois, Dupont, …etc.
Comme il y a du monde au niveau des vestiaires, nous décidons de prendre une cabine pour nous deux. Nous nous changeons sans complexe, nous nous sommes déjà vus nus bien évidemment. Nous restons sages, pas question de rester trop longtemps dans la cabine vu l’affluence, cela pourrait attirer l’attention de personnes homophobes, ce que nous ne voulions à aucun prix !
Nous nous sommes amusés à faire courses en brasse, en crawl et en dos. Loïc est un très bon nageur, il a gagné deux fois et moi une. Nous avons ensuite fait des plongeons en nous amusant. Nous passons en fait un très bon moment dans l’eau. A un moment, alors que nous étions au bord du bassin occupés à discuter, Loïc a posé sa main sur le devant de mon maillot de bain. Nos regards se sont alors croisés. Je n’ai fait qu’une chose, c’est moi aussi de poser ma main sur la protubérance affichée sur le devant de son maillot ! Nous avons malaxé le paquet de l’autre. Je n’avais pas envie d’éjaculer dans mon maillot et d’un commun accord nous avons cessé nos caresses au niveau de nos attributs.
Nous sommes vite passés à la douche avant de rejoindre une cabine que nous avons partagée. Il est inutile de dire que quand nous nous sommes retrouvés à poil, nous nous sommes touchés, caressés et masturbés mutuellement, nous avons répandu nos semences sur nos doigts et sur le sol de la cabine. Une fois rhabillés, nous avons quitté la piscine pour revenir chez Loïc. Aurore nous a accueillis pour nous faire goûter, du cramique et du cacao chaud. Loïc a demandé où étaient son frère et sa sœur, Aurore a répondu qu’ils étaient au cinéma. J’ai senti le regard perçant de la maman de mon ami sur nous. Elle nous regardait l’un après l’autre, passant son regard sur nos regards, tentant d’y lire quelque chose, une information ou une étincelle.
Je me suis demandé si Aurore n’avait pas de doutes concernant notre relation. Bref je sais que nous avons revu nos cours avant que je ne quitte la maison pour rentrer à l’appartement.
Le soir dans mon lit je me suis refait le film de la journée. L’appel à Lolo sur son smartphone pour une séance piscine. Puis notre « collé serré » au bord du bassin, touchant l’un et l’autre nos protubérances. Puis ce goûter avec Aurore la maman de Loïc. Je me souviens de son regard perçant, elle tentait de savoir ce qu’il y avait entre moi et Lolo. Puis cette phrase lorsque je l’ai saluée en quittant la maison : « Tu reviens quand tu veux, tu seras toujours le bienvenu à la maison » !
Le lendemain, lorsque nous étions au cours, nous avons discuté de ce que sa maman m’a dit quand je suis parti mais aussi de son regard appuyé nous observant l’un et l’autre, tour à tour ! Loïc me dit qu’elle fait ça de temps à autre même avec sa sœur et son frère.
Nous suivons le cours de « microéconomie » dans l’auditoire. Je regarde à la sauvette mon nouvel ami, ce garçon blond qui me fait de plus en plus d’effet. Souvent nous genoux se frôlent lorsque nous sommes assis, nos mains parfois se touchent en tournant les pages du manuel d’économie, bref tout est prétexte à faire sentir à l’autre que nous nous apprécions.
Nous allons souvent chez l’un ou chez l’autre, cela dépendant du retour de nos pères. Nous pensions qu’il était trop tôt pour les rencontrer l’un et l’autre. Les visites avec les mamans étaient si empruntes de tendresse et d’acceptation. Juliette, ma maman se doutait bien que Loïc et moi entretenions une relation de plus en plus rapprochée. Elle s’interdisait de rentrer dans ma chambre pour ne pas commettre la même erreur faite lorsque Max et moi nous nous sucions.
Nous sommes déjà à la mi-octobre, le temps passe vite. Nous sommes toujours côte à côte pour suivre les cours. Nous allons régulièrement à la piscine et nous partageons souvent la même cabine. Il est arrivé quelques fois d’entendre des réflexions du style : « Il y a deux gars qui sont dans la même cabine ! » Nous n’avons jamais été inquiétés.
Nous quittons la piscine, après notre séance de natation, pour revenir chez Loïc. En cours de route, nous croisons un jeune de notre âge. Loïc s’arrête, et dit alors au garçon :
Loï : « Salut David, comment vas-tu ?
Dav : Oh salut Lo, ça fait un bail que nous ne nous sommes plus vus !
Loï : Oui, sûrement plus de six mois, juste après les vacances de Pâques !
Dav : Juste, tu as raison. Tu es accompagné ?
Loï : Oui, c’est Dimitri, un copain de fac.
Dim : Bonjour David.
Dav : Bonjour Dimitri.
Dim : Tu peux m’appeler Dimi.
Loï : Tu sais Dimi, je connais David depuis les louveteaux.
Dim : OK, ça fait déjà des années alors.
Dav : Oui, mais nous nous sommes perdus de vue il y a au moins un an. J’ai quitté les scouts car je n’avais plus assez de temps entre les études, le sport, et d’autres activités !
Loï : Ça m’a fait plaisir de te revoir. Bien le bonjour à tes parents.
Dav : Idem pour les tiens. À plus Lo.
Loï : Oui, à plus. »
Nous reprenons notre route tout en parlant de David et des mouvements de jeunesse. Il faut dire que je n’ai jamais été scout, j’allais en colonie pour les vacances avec la mutuelle. Parfois il y avait l’un ou l’autre des garçons que je retrouvais d’année en année. Nous ne nous voyons qu’à la colo, jamais en dehors.
Nous voilà arrivés chez Loïc, seule Aurore est présente, la sœur et le frère de Lolo sont au théâtre. C’est le moment de manger un bout, il y a des gaufres encore tièdes qui n’attendent qu’à être dévorées. Nous mangeons ce délicieux goûter en nous regardant souvent Loïc et moi. Alors que nous dévorions des yeux, et sans préambules, Aurore nous dit :
Aur : « Je ne suis pas née de la dernière pluie, mais vous avez l’air de bien vous entendre. Je sens bien qu’il y a plus que de l’amitié. Vous avez l’un et l’autre un regard attendrissant qui me fait penser que vous vous aimez !
Dim et Loï : Heu ….
Aur : Loïc je me doute depuis un certain temps que tu es plus attiré par les garçons que par les filles, bien qu’elles soient souvent à tes basques ! Puis toi Dimitri, tu dévores des yeux Loïc ! Il y a des signes que ne mentent pas !
Loï : Comment dire, … heu, …, je dois bien dire que je suis attiré par Dimi, nous … nous sommes bien ensemble !
Aur : Je m’en doutais mon grand, cela ne change rien, je t’aime comme tu es, tu restes mon fils. Et toi Dimitri tu es le bienvenu à la maison.
LoÏ : Merci maman, j’avais si peur d’être rejeté !
Aur : Mais que vas-tu penser là mon Lolo. Viens dans mes bras !
Des larmes coulent sur mes joues. Je vois que Dimi pleure aussi, il est rouge pivoine. La maman et mon ami se font un gros câlin.
Aur : Viens aussi près de nous Dimi. Je vous aime tous les deux mes loulous.
Dim : Merci. Je me sens un peu plus léger. »
Je rejoins alors mon chéri et sa maman. Nous nous faisons un gros câlin à trois. C’est un moment particulier, spécial, car je ne m’attendais pas à ce que cela se passe aussi bien.
Je ne sais pas mais je trouve que Loïc a un « air de famille ». Je ne sais pas ce que c’est, nous n’avons pas les mêmes yeux, ni la même couleur de cheveux, mais il y a quelque chose qui me frappe et je ne sais pas quoi ! Cela n’empêche pas quelques visites que je fais chez Loïc, enfin dans sa famille. Je n’ai jamais vu son papa qui est très souvent en voyage comme le mien en tant qu’acheteur pour des chaînes de supermarchés ! Aurore sa maman est très gentille. J’ai pu sentir que son frère Quentin et sa sœur Angélique étaient super accueillants. Il m’ont tout de suite accepté. J’ai eu la même sensation, soit de les connaître depuis longtemps.
Nous nous rapprochons de plus en plus. Nous sommes presque tout le temps ensemble, du moins lors des cours et de nos activités. Un jour, alors que nous étions à l’entrée de la piscine communale d’Uccle, la piscine Longchamps, j’ai remarqué que sur sa carte de fidélité son nom est « MARTIN » tout comme le mien. Nous nous appelons MARTIN tous les deux. Je n’ai rien dit, mais j’ai été troublé. Il faut dire que ce nom est assez commun, comme Dubois, Dupont, …etc.
Comme il y a du monde au niveau des vestiaires, nous décidons de prendre une cabine pour nous deux. Nous nous changeons sans complexe, nous nous sommes déjà vus nus bien évidemment. Nous restons sages, pas question de rester trop longtemps dans la cabine vu l’affluence, cela pourrait attirer l’attention de personnes homophobes, ce que nous ne voulions à aucun prix !
Nous nous sommes amusés à faire courses en brasse, en crawl et en dos. Loïc est un très bon nageur, il a gagné deux fois et moi une. Nous avons ensuite fait des plongeons en nous amusant. Nous passons en fait un très bon moment dans l’eau. A un moment, alors que nous étions au bord du bassin occupés à discuter, Loïc a posé sa main sur le devant de mon maillot de bain. Nos regards se sont alors croisés. Je n’ai fait qu’une chose, c’est moi aussi de poser ma main sur la protubérance affichée sur le devant de son maillot ! Nous avons malaxé le paquet de l’autre. Je n’avais pas envie d’éjaculer dans mon maillot et d’un commun accord nous avons cessé nos caresses au niveau de nos attributs.
Nous sommes vite passés à la douche avant de rejoindre une cabine que nous avons partagée. Il est inutile de dire que quand nous nous sommes retrouvés à poil, nous nous sommes touchés, caressés et masturbés mutuellement, nous avons répandu nos semences sur nos doigts et sur le sol de la cabine. Une fois rhabillés, nous avons quitté la piscine pour revenir chez Loïc. Aurore nous a accueillis pour nous faire goûter, du cramique et du cacao chaud. Loïc a demandé où étaient son frère et sa sœur, Aurore a répondu qu’ils étaient au cinéma. J’ai senti le regard perçant de la maman de mon ami sur nous. Elle nous regardait l’un après l’autre, passant son regard sur nos regards, tentant d’y lire quelque chose, une information ou une étincelle.
Je me suis demandé si Aurore n’avait pas de doutes concernant notre relation. Bref je sais que nous avons revu nos cours avant que je ne quitte la maison pour rentrer à l’appartement.
Le soir dans mon lit je me suis refait le film de la journée. L’appel à Lolo sur son smartphone pour une séance piscine. Puis notre « collé serré » au bord du bassin, touchant l’un et l’autre nos protubérances. Puis ce goûter avec Aurore la maman de Loïc. Je me souviens de son regard perçant, elle tentait de savoir ce qu’il y avait entre moi et Lolo. Puis cette phrase lorsque je l’ai saluée en quittant la maison : « Tu reviens quand tu veux, tu seras toujours le bienvenu à la maison » !
Le lendemain, lorsque nous étions au cours, nous avons discuté de ce que sa maman m’a dit quand je suis parti mais aussi de son regard appuyé nous observant l’un et l’autre, tour à tour ! Loïc me dit qu’elle fait ça de temps à autre même avec sa sœur et son frère.
Nous suivons le cours de « microéconomie » dans l’auditoire. Je regarde à la sauvette mon nouvel ami, ce garçon blond qui me fait de plus en plus d’effet. Souvent nous genoux se frôlent lorsque nous sommes assis, nos mains parfois se touchent en tournant les pages du manuel d’économie, bref tout est prétexte à faire sentir à l’autre que nous nous apprécions.
Nous allons souvent chez l’un ou chez l’autre, cela dépendant du retour de nos pères. Nous pensions qu’il était trop tôt pour les rencontrer l’un et l’autre. Les visites avec les mamans étaient si empruntes de tendresse et d’acceptation. Juliette, ma maman se doutait bien que Loïc et moi entretenions une relation de plus en plus rapprochée. Elle s’interdisait de rentrer dans ma chambre pour ne pas commettre la même erreur faite lorsque Max et moi nous nous sucions.
Nous sommes déjà à la mi-octobre, le temps passe vite. Nous sommes toujours côte à côte pour suivre les cours. Nous allons régulièrement à la piscine et nous partageons souvent la même cabine. Il est arrivé quelques fois d’entendre des réflexions du style : « Il y a deux gars qui sont dans la même cabine ! » Nous n’avons jamais été inquiétés.
Nous quittons la piscine, après notre séance de natation, pour revenir chez Loïc. En cours de route, nous croisons un jeune de notre âge. Loïc s’arrête, et dit alors au garçon :
Loï : « Salut David, comment vas-tu ?
Dav : Oh salut Lo, ça fait un bail que nous ne nous sommes plus vus !
Loï : Oui, sûrement plus de six mois, juste après les vacances de Pâques !
Dav : Juste, tu as raison. Tu es accompagné ?
Loï : Oui, c’est Dimitri, un copain de fac.
Dim : Bonjour David.
Dav : Bonjour Dimitri.
Dim : Tu peux m’appeler Dimi.
Loï : Tu sais Dimi, je connais David depuis les louveteaux.
Dim : OK, ça fait déjà des années alors.
Dav : Oui, mais nous nous sommes perdus de vue il y a au moins un an. J’ai quitté les scouts car je n’avais plus assez de temps entre les études, le sport, et d’autres activités !
Loï : Ça m’a fait plaisir de te revoir. Bien le bonjour à tes parents.
Dav : Idem pour les tiens. À plus Lo.
Loï : Oui, à plus. »
Nous reprenons notre route tout en parlant de David et des mouvements de jeunesse. Il faut dire que je n’ai jamais été scout, j’allais en colonie pour les vacances avec la mutuelle. Parfois il y avait l’un ou l’autre des garçons que je retrouvais d’année en année. Nous ne nous voyons qu’à la colo, jamais en dehors.
Nous voilà arrivés chez Loïc, seule Aurore est présente, la sœur et le frère de Lolo sont au théâtre. C’est le moment de manger un bout, il y a des gaufres encore tièdes qui n’attendent qu’à être dévorées. Nous mangeons ce délicieux goûter en nous regardant souvent Loïc et moi. Alors que nous dévorions des yeux, et sans préambules, Aurore nous dit :
Aur : « Je ne suis pas née de la dernière pluie, mais vous avez l’air de bien vous entendre. Je sens bien qu’il y a plus que de l’amitié. Vous avez l’un et l’autre un regard attendrissant qui me fait penser que vous vous aimez !
Dim et Loï : Heu ….
Aur : Loïc je me doute depuis un certain temps que tu es plus attiré par les garçons que par les filles, bien qu’elles soient souvent à tes basques ! Puis toi Dimitri, tu dévores des yeux Loïc ! Il y a des signes que ne mentent pas !
Loï : Comment dire, … heu, …, je dois bien dire que je suis attiré par Dimi, nous … nous sommes bien ensemble !
Aur : Je m’en doutais mon grand, cela ne change rien, je t’aime comme tu es, tu restes mon fils. Et toi Dimitri tu es le bienvenu à la maison.
LoÏ : Merci maman, j’avais si peur d’être rejeté !
Aur : Mais que vas-tu penser là mon Lolo. Viens dans mes bras !
Des larmes coulent sur mes joues. Je vois que Dimi pleure aussi, il est rouge pivoine. La maman et mon ami se font un gros câlin.
Aur : Viens aussi près de nous Dimi. Je vous aime tous les deux mes loulous.
Dim : Merci. Je me sens un peu plus léger. »
Je rejoins alors mon chéri et sa maman. Nous nous faisons un gros câlin à trois. C’est un moment particulier, spécial, car je ne m’attendais pas à ce que cela se passe aussi bien.