18-01-2022, 02:21 PM
Hospitalisé, deuxième lit:
La nuit de Noël, beaucoup réveillonnent, pas moi. Pas de chance, je suis cloué sur un lit d’hôpital. La chambre n’est pas trop moche, je suis seul, belle vue sur les Alpes qui me rappellent la chute à skis de cet après-midi. Jambe cassée. Fracture ouverte. Hélico. Opération. Quelques jours ou semaines de repos forcé.
Le réveillon dans le chalet de mes parents ne me manque pas vraiment. Grand-maman ne pourra pas me dire : « Côme, tu n’as toujours pas de petite amie ? Tous mes autres petits-enfants sont en couple. » Non, mémé, je n’ai pas de petite amie et je n’en aurai jamais. Je suis toujours puceau. Et, malgré tout le respect que je te dois, les pulls que tu m’offres chaque année à Noël sont moches et démodés. Si seulement tu m’en tricotais un avec toutes les couleurs de l’arc-en-ciel…
Je me réveille le lendemain matin lorsqu’un jeune infirmier entre.
— Bonjour Monsieur Dusapin. Bien dormi ?
— Pas trop mal. Grâce aux calmants.
— Je m’appelle Grégory. Je vais contrôler votre jambe.
Il soulève la couette et inspecte mes blessures. Pas seulement mes blessures, également mon pénis. Dur et dressé sous la chemise d’hôpital. Je balbutie :
— Désolé. Érection matinale.
— Pas de quoi. C’est un bon signe. Je vais vous apporter un urinal.
Un peu de peine à débander, mais je finis par remplir le récipient sous le regard amusé de Grégory. Il revient plus tard pour la toilette après le petit déjeuner. Je bande à nouveau.
— Dans votre situation, me dit-il, il n’est pas interdit de vous masturber. Il y a des mouchoirs sur votre table de nuit.
— Merci pour le conseil, je le suivrai.
— Pas besoin d’ordonnance du médecin et je ne le noterai pas dans votre dossier.
Nous allons sauter ce séjour à l’hôpital, assez monotone et inintéressant, surtout lorsque Grégory avait congé et qu’une infirmière hors d’âge le remplaçait. Au moins, je ne bandais pas, tandis qu’avec lui… J’avais pourtant suivi son conseil.
Toutes les mauvaises choses ont une fin et, ce matin-là, je sors de l’hôpital. J’arrive à marcher avec une canne et à me laver la bite moi-même. Je prends congé de mon infirmier lorsque j’ai une inspiration. Je prends mon courage à deux mains et lui dit :
— Je ne sais comment vous remercier de m’avoir soigné malgré quelques manifestions corporelles qui auraient pu vous importuner.
— Ne sous faites pas de souci pour cela, Monsieur Dusapin. J’en ai vu d’autres.
— Oserais-je vous inviter à dîner au restaurant un de ces jours ?
— Vous osez. Demain soir ? Ça vous va ?
— Bien sûr, cela me permettra de reprendre contact avec la vie.
Nous échangeons nos numéros de portable et je quitte l’hôpital avec ma mère. Je lui explique que j’ai invité mon infirmier à dîner, elle approuve ma générosité, qui est un peu la sienne puisque je vis à ses crochets, n’ayant pas terminé mes études. Je choisis un petit resto aux prix raisonnables, le trois étoiles sera pour une autre fois.
Le lendemain, ma mère fait le taxi et me dépose devant l’entrée du restaurant. Je suis en avance, je présente mon passe et m’assieds à la table que j’ai réservée. Gregory arrive quelques minutes plus tard.
— Bonsoir Monsieur Dusapin, me dit-il. Ça va cette jambe ?
— Bonsoir, Grégory. Elle va bien. On se tutoie ?
— Bien sûr… Côme… Joli prénom.
— J’ai fini par m’habituer.
Il enlève son masque. Je dis :
— Je me rends compte que c’est la première fois que je vois ton visage en entier.
— Oui, avec cette fichue pandémie. Alors que moi j’ai vu le tien. Il te plaît mon visage ?
— C’est comme cela que je me l’imaginais.
— Et j’ai aussi vu ta bite…
— Elle te plaît ?
— C’est contraire à l’éthique de faire de commentaires au sujet du corps des patients.
— Mais encore…
— Oui, elle me plaît. Il faudra que je te montre la mienne un de ces jours. Sans masque mais couvert.
Inutile de vous dire, mais je vous le dis quand même, que j’ai vu la bite de Grégory le soir même. Il a été prudent pour me dépuceler, à cause de mon plâtre.
Et j’ai enfin pu rassurer ma grand-mère : je suis en couple, j’ai un petit ami, j’ai bien dit un petit ami, pas une petite amie. Elle ne l’a pas trop mal pris, elle offre aussi des pulls moches et démodés à Grégory.
La nuit de Noël, beaucoup réveillonnent, pas moi. Pas de chance, je suis cloué sur un lit d’hôpital. La chambre n’est pas trop moche, je suis seul, belle vue sur les Alpes qui me rappellent la chute à skis de cet après-midi. Jambe cassée. Fracture ouverte. Hélico. Opération. Quelques jours ou semaines de repos forcé.
Le réveillon dans le chalet de mes parents ne me manque pas vraiment. Grand-maman ne pourra pas me dire : « Côme, tu n’as toujours pas de petite amie ? Tous mes autres petits-enfants sont en couple. » Non, mémé, je n’ai pas de petite amie et je n’en aurai jamais. Je suis toujours puceau. Et, malgré tout le respect que je te dois, les pulls que tu m’offres chaque année à Noël sont moches et démodés. Si seulement tu m’en tricotais un avec toutes les couleurs de l’arc-en-ciel…
Je me réveille le lendemain matin lorsqu’un jeune infirmier entre.
— Bonjour Monsieur Dusapin. Bien dormi ?
— Pas trop mal. Grâce aux calmants.
— Je m’appelle Grégory. Je vais contrôler votre jambe.
Il soulève la couette et inspecte mes blessures. Pas seulement mes blessures, également mon pénis. Dur et dressé sous la chemise d’hôpital. Je balbutie :
— Désolé. Érection matinale.
— Pas de quoi. C’est un bon signe. Je vais vous apporter un urinal.
Un peu de peine à débander, mais je finis par remplir le récipient sous le regard amusé de Grégory. Il revient plus tard pour la toilette après le petit déjeuner. Je bande à nouveau.
— Dans votre situation, me dit-il, il n’est pas interdit de vous masturber. Il y a des mouchoirs sur votre table de nuit.
— Merci pour le conseil, je le suivrai.
— Pas besoin d’ordonnance du médecin et je ne le noterai pas dans votre dossier.
Nous allons sauter ce séjour à l’hôpital, assez monotone et inintéressant, surtout lorsque Grégory avait congé et qu’une infirmière hors d’âge le remplaçait. Au moins, je ne bandais pas, tandis qu’avec lui… J’avais pourtant suivi son conseil.
Toutes les mauvaises choses ont une fin et, ce matin-là, je sors de l’hôpital. J’arrive à marcher avec une canne et à me laver la bite moi-même. Je prends congé de mon infirmier lorsque j’ai une inspiration. Je prends mon courage à deux mains et lui dit :
— Je ne sais comment vous remercier de m’avoir soigné malgré quelques manifestions corporelles qui auraient pu vous importuner.
— Ne sous faites pas de souci pour cela, Monsieur Dusapin. J’en ai vu d’autres.
— Oserais-je vous inviter à dîner au restaurant un de ces jours ?
— Vous osez. Demain soir ? Ça vous va ?
— Bien sûr, cela me permettra de reprendre contact avec la vie.
Nous échangeons nos numéros de portable et je quitte l’hôpital avec ma mère. Je lui explique que j’ai invité mon infirmier à dîner, elle approuve ma générosité, qui est un peu la sienne puisque je vis à ses crochets, n’ayant pas terminé mes études. Je choisis un petit resto aux prix raisonnables, le trois étoiles sera pour une autre fois.
Le lendemain, ma mère fait le taxi et me dépose devant l’entrée du restaurant. Je suis en avance, je présente mon passe et m’assieds à la table que j’ai réservée. Gregory arrive quelques minutes plus tard.
— Bonsoir Monsieur Dusapin, me dit-il. Ça va cette jambe ?
— Bonsoir, Grégory. Elle va bien. On se tutoie ?
— Bien sûr… Côme… Joli prénom.
— J’ai fini par m’habituer.
Il enlève son masque. Je dis :
— Je me rends compte que c’est la première fois que je vois ton visage en entier.
— Oui, avec cette fichue pandémie. Alors que moi j’ai vu le tien. Il te plaît mon visage ?
— C’est comme cela que je me l’imaginais.
— Et j’ai aussi vu ta bite…
— Elle te plaît ?
— C’est contraire à l’éthique de faire de commentaires au sujet du corps des patients.
— Mais encore…
— Oui, elle me plaît. Il faudra que je te montre la mienne un de ces jours. Sans masque mais couvert.
Inutile de vous dire, mais je vous le dis quand même, que j’ai vu la bite de Grégory le soir même. Il a été prudent pour me dépuceler, à cause de mon plâtre.
Et j’ai enfin pu rassurer ma grand-mère : je suis en couple, j’ai un petit ami, j’ai bien dit un petit ami, pas une petite amie. Elle ne l’a pas trop mal pris, elle offre aussi des pulls moches et démodés à Grégory.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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