17-01-2022, 02:46 PM
Suite
J'y retournais le lendemain mais on l'avait conduit à la radio. Ce n'est que le surlendemain que je pus le revoir - mieux réveillé. On reparla de nous et il me demanda si j'avais une copine.
– Pour être franc avec toi, non, je n'en ai pas. Evidemment, je baise de temps en temps pour l’hygiène mais rien à longs termes ni de bien sérieux et toi tu en as une, parce que si je me souviens bien tu étais avec Nadège au bahut non ? Et après je vous ai croisé quelques fois en ville aussi.
– C'est du passé tout ça. On n'est plus ensemble depuis l'an dernier. Elle voulait qu'on se marie, qu'on ait des gosses et je ne suis pas encore prêt pour ça.
– Ha dommage, vous formiez un beau couple d’amoureux.
– Pour ça oui, et je te dis pas comme elle était chaude au lit. Sous ses airs de petite fille sage se cache une vraie salope, que des bons souvenirs… Merde fait chier !
– Qu'est-ce-qui ne va pas, tu as mal ?
– Non c'est pas ça, c'est juste que de parler de Nadège ça me fait bander et que, bin comment te dire, depuis que je suis là je me suis pas branlé et tu vois ça me manque vachement. Putain, j'ai trop envie de me vider les burnes.
– C'est vrai que dans ton cas c'est pas trop pratique pour te branler, même, on va dire impossible.
– Je te dis même pas, quand le personnel infirmier vient me faire la toilette le matin dès qu'ils me touchent je bande comme un âne.
Il y a trois jours c'est sorti tout seul pendant la nuit j'ai cru que j'avais pissé au lit tellement j’étais humide. Là, j’ai la trique pour un moment, comme je ne sais pas me soulager seul.
– Tu veux que je te branle, pour te la faire passer ?
– Ho ! Tu le ferais ?
– Si tu veux, oui, pour te rendre service mais, si tu préfères, je peux glisser un mot au chef de service et il te donnera ce qu'il faut pour que ça te passe.
– C’est-à-dire : qu'il me donnera ce qu'il faut pour que ça me passe.
– Simple, il va te donner une gélule anaphrodisiaque qui te fera passer tes érections.
– Hein ! Mais elles reviendront après ?
– Oui bien sûr, ne t'en fait pas.
– Je crois que je prends déjà assez de médocs, tu… tu veux bien m'aider Tom.
Il avait dit ça en rougissant.
– Euh… Tom, ça reste entre nous.
– Tu es un patient et c'est un acte médical. Je suis tenu au secret professionnel.
– Tu vas où ?
– Juste appuyer sur le bouton comme quoi tu es en soins. Comme ça personne ne viendra nous ennuyer.
J'étais en train d'enfiler un gant en latex quand il me dit :
– Tom, je suis allergique au latex !
– Pas grave je vais faire sans.
J'enlevais le drap qui le recouvrait, dessous il était évidemment nu et, putain, c'est vrai qu'il en avait une longue et grosse, sa queue bandait tellement que de la mouille en sortait. Rien que par l’excitation, il était presque décalotté complétement !
Je l'avais là, à portée de main. Je me retournais vers lui et il avait fermé les yeux. Quand je pris son sexe en main, il pulsa plusieurs fois. Je commençais de lents mouvements de haut en bas. Un flot de liquide séminal sortait de son gland et je m'en servis pour le lubrifier.
Il commença à respirer de plus en plus fort et sans me prévenir il lâcha plusieurs grosses giclées. Mais je continuais à le branler et il en sortait toujours.
– Arrête toi Tom s'il te plait, ça me fait mal maintenant et je crois que je n’ai plus rien à cracher pour l’instant.
– Je vais te nettoyer parce que là tu en as vraiment de partout.
J'allais à la salle de bain prendre de quoi le laver. Jean-Phi était sur le lit et il bandait toujours autant (moi aussi). J'enlevais le plus gros avec du papier et je finis au gant. Et c'est encore en rougissant qu'il me demanda si je voulais bien recommencer parce que sa queue lui faisait encore mal tellement il bandait. Je le fis languir un peu mais je fis ce qu'il demandait.
Mais cette fois il fut plus long à venir. Je dus lui masser les couilles un bon moment, jouer avec ses seins qui pointaient… et j'étais à deux doigts de lui tailler une pipe tellement sa queue me faisait envie quand il éjacula.
– Putain Tom, t'es un branleur de première toi !
– Je ne sais pas si je dois le prendre comme un compliment ou comme un reproche.
– T'es con, c'est un compliment. On ne m'a jamais si bien branlé.
– Ha bon parce qu'à part Nadège, tu te faisais branler par d’autres ?
– Tu sais ce que c'est Tom, branler ou se faire branler, sucer ou se faire sucer, c'est pas tromper.
– Ah bon, mais si je te comprends bien, tu es en train de me dire que tu es bi.
– Je n’ai jamais dit ça, moi !
– Mais si, parce que branler ou se faire branler à la rigueur, c’est mixte, tu peux branler une fille ou un gars, mais sucer ou se faire sucer, ça tu peux le faire qu'avec un autre mec.
– C'est ma langue qui a fourché, j'ai voulu dire se faire sucer ou faire un cunni.
– Ha ok, j'avais pas compris comme ça.
– Et puis bon quand on était ado, on a tous fait des concours de branlettes entre potes. Et je t'avoue que certains d'eux m'ont branlé et que j'en ai branlé quelques-uns aussi. Tu as bien dû le faire aussi pas vrai ?
– Oui comme tout le monde, je suppose. Je te laisse beau gosse. Je file travailler. Je repasse après si tu veux.
– Tom, tu pourrais me rendre un service ?
– Oui, évidemment.
– Tu pourrais passer chez moi me récupérer quelques trucs et me les rapporter ici ?
– Oui bien sûr. Tu n'as qu'à me dire ce que tu veux.
– Ok, j'y pense et je te dis ça ce soir.
Son explication sur sucer et se faire sucer ne m'avait pas convaincu mais bon …
Le soir quand je passais le voir, il me donna une liste qu'il avait dicté à une infirmière. Il me dit de prendre les clefs de son appartement dans son placard.
J'allais rentrer chez lui, quand la porte d'en face s'ouvrit et qu'une femme la cinquantaine me demanda qui j’étais.
– Bonsoir Madame, je suis Tom et je suis interne à l'hôpital où Jean-Philippe est soigné. C'est lui qui m'a demandé de passer récupérer quelques affaires le temps que sa famille remonte des Landes pour le voir.
– Votre tête me dit quelque chose. Je vous ai déjà vu mais je ne sais pas où.
– Je suis du coin et j'ai fait toute ma scolarité ici.
– C'est quoi votre nom de famille ?
– Je me nomme Thomas Martin.
– Ah oui tu étais en classe avec mon fils, c'est ça, je m'en souviens maintenant.
– Et votre fils s'appelle comment ?
– Aloïs.
– Aloïs Dupont c'est votre fils ?
– Oui c'est ça.
– Et il devient quoi ?
– Laisse tomber, il ne mérite pas qu'on parle de lui. Il a mal tourné. Bon je te laisse faire ce que tu as à faire. Mon diner va bruler si je ne le surveille pas. Bonne soirée Tom.
– Bonne soirée Madame.
L'appartement de Jean-Phi était plutôt bien rangé. Dans la chambre il y avait bien un peu de bordel sur une chaise mais rien de bien méchant. Je trouvais tout ce qu'il m'avait demandé. Je repartis en me disant :
Comme demain je ne bosse pas, je pourrais rester plus longtemps avec lui et bricoler certaines choses pour qu'il puisse s'en servir avec le bout de ses doigts.
Il me fit un grand sourire quand j'entrais dans la chambre.
– Salut Jean-Phi, ça va ?
– C'est toi le docteur pas moi.
– Ha, ha, ha tu as mangé du clown au petit-déjeuner ce matin ?
– Non c'est juste que je suis content de te voir. Tu as tout trouvé ?
– Oui et j'ai même eu droit à un interrogatoire serré de ta voisine d'en face.
– Tu m’étonnes, c'est une vraie fouine celle-là.
– Je ne savais pas que c'était la mère d’Aloïs. Il est devenu quoi lui ? Parce que quand je lui ai demandé elle m'a répondu qu'il avait mal tourné.
– T'es pas au courant ? Il fait du porno.
– Putain, lui qui était si timide !
– Il a bien changé, crois-moi. Branche mon ordi. Dans un de mes dossiers j'ai une vidéo de lui en pleine action. Tu veux la voir ?
– Oui pourquoi pas.
Il tapa son mot de passe, chercha la vidéo du bout des doigts et la lança. Aloïs, une fille et un autre gars se baignaient. Quand Aloïs sortit de l'eau l'autre gars tira en jouant sur son maillot de bain qui tomba à ses pieds nous laissant admirer ses fesses et quand il se retourna, je pus voir son énorme bite qui bandait.
– Putain mais il a une bite encore plus grosse que la tienne !
– J'arrive pas à en faire le tour avec ma main. Enfin, j’y arriverais pas !
Dans le film Aloïs baisait la meuf, le mec et puis se faisait baiser par lui, sans parler des caresses et autres prélis comme les pipes, cunni ... J'avais la queue raide et Jean-Phi aussi, à voir le chapiteau que faisait l’étoffe le recouvrant. Je me mis à me caresser à travers mon fute de jogging. Je passais la main sous le drap et je branlais Jean-Phi au même rythme que moi. Le film venait de finir et on n'avait pas joui.
– Je sais que je peux te faire confiance et que tu ne diras rien. Je vais t'en montrer un autre.
Il chercha une vidéo et la lança. Au début j'eu du mal à reconnaître les acteurs mais très vite je reconnus Nadège, Aloïs et Jean-Phi. Ils étaient tous les trois sur un canapé. Nadège était entre les deux garçons qui ne se privaient pas de la tripoter. Nadège ne gardait pas ses mains dans ses poches et explorait les braguettes des garçons. Tous se roulaient des pelles. Puis Nadège les suça un petit moment, ensuite elle se releva. Jean-Phi lui fit un cunni tandis qu'Aloïs le suçait, lui. Enfin, ils allèrent à la chambre où ils se mirent en triangle et Nadège suça la bite de Jean-Phi pendant que lui suçait celle d'Aloïs et qu’Aloïs bouffait l’abricot de Nadège. Ils bougèrent pour recommencer inversement. Ça dura un petit moment. Puis Jean-Phi sodomisa Nadège tandis qu’Aloïs la prenait dans le vagin.
Je vous dis pas comment on était excités Jean-Phi et moi. Je dus arrêter plusieurs fois de nous masturber pour ne pas jouir.
Puis Nadège s'allongea sur le dos et Aloïs la prit. Jean-phi s'approcha des fesses d'Aloïs la queue tendue et s'enfonça entre ses fesses. J'en pouvais plus. J'avais très envie de jouir mais je fis tout pour durer. Je voulais éjaculer en même temps qu’eux.
Nadège gémissait de plus en plus fort. Aloïs se retira et Jean-Phi prit sa place. Et à ma grande surpris Aloïs se mit derrière lui et l’embrocha d’une seule traite. J'en pouvais plus. Je tombais mon jogging et mon boxer et je nous branlais comme un fou. Ça ne dura pas longtemps et on jouit ensemble. La vidéo continuait. Les trois gémissaient maintenant et chacun prit son pied.
– Putain Jean-Phi je savais pas ça de toi, ni de Nadège et encore moins d’Aloïs. Vous m'avez fait bander grave là. Je m'en suis mis de partout. Une chance que l’essui est à portée de main.
– Moi itou, je m'en suis mis de partout, si tu veux bien m’éponger aussi. Ça me fait penser que ce jour-là, Aloïs m'a tellement dosé et démonté le cul que j'ai été obligé de prendre une des serviettes hygiéniques de Nadège pour pas salir mon boxer. Dis-moi Tom, tu es bi aussi ?
– On peut dire ça, même si je préfère les mecs. Ça m'arrive de baiser avec une fille.
– T'en a une grosse aussi toi. Un peu plus grosse que la mienne mais moins que celle d’Aloïs. Ça te dirait qu'on se fasse un plan à trois quand je serai en état ?
– Grave trop oui. Mais dis-moi, j'ai encore un peu envie là. Tu me sucerais pas ?
– Suffit de demander. J'ai que la bouche pour le moment. Mais tu verras, je sais aussi me servir de mes mains et mon cul est accueillant également.
Il ne me suça pas cette fois-là parce que quelqu'un frappait à la porte. J'eus juste le temps de le recouvrir et pour moi de tout remonter qu'elle s'ouvrait sur ses géniteurs fébriles. Je les laissais seuls. Ses parents restèrent le week-end.
Jean-Phi resta encore quelques jours, le temps qu'on lui mit une broche et il partit en maison de convalescence.
*
**
Il se remettait bien et d'ici quelques jours il allait revenir en pleine forme.
Entre temps Aloïs avait pris contact avec moi et on s'était vu plusieurs fois, au début ça m'avait cuit de prendre sa matraque. Mais je m'y étais fait, maintenant.
Tout était organisé pour le retour de Jean-Phi. J’espérais que les kinés l’avaient bien remis sur pieds, car ça allait être sa fête !
J'y retournais le lendemain mais on l'avait conduit à la radio. Ce n'est que le surlendemain que je pus le revoir - mieux réveillé. On reparla de nous et il me demanda si j'avais une copine.
– Pour être franc avec toi, non, je n'en ai pas. Evidemment, je baise de temps en temps pour l’hygiène mais rien à longs termes ni de bien sérieux et toi tu en as une, parce que si je me souviens bien tu étais avec Nadège au bahut non ? Et après je vous ai croisé quelques fois en ville aussi.
– C'est du passé tout ça. On n'est plus ensemble depuis l'an dernier. Elle voulait qu'on se marie, qu'on ait des gosses et je ne suis pas encore prêt pour ça.
– Ha dommage, vous formiez un beau couple d’amoureux.
– Pour ça oui, et je te dis pas comme elle était chaude au lit. Sous ses airs de petite fille sage se cache une vraie salope, que des bons souvenirs… Merde fait chier !
– Qu'est-ce-qui ne va pas, tu as mal ?
– Non c'est pas ça, c'est juste que de parler de Nadège ça me fait bander et que, bin comment te dire, depuis que je suis là je me suis pas branlé et tu vois ça me manque vachement. Putain, j'ai trop envie de me vider les burnes.
– C'est vrai que dans ton cas c'est pas trop pratique pour te branler, même, on va dire impossible.
– Je te dis même pas, quand le personnel infirmier vient me faire la toilette le matin dès qu'ils me touchent je bande comme un âne.
Il y a trois jours c'est sorti tout seul pendant la nuit j'ai cru que j'avais pissé au lit tellement j’étais humide. Là, j’ai la trique pour un moment, comme je ne sais pas me soulager seul.
– Tu veux que je te branle, pour te la faire passer ?
– Ho ! Tu le ferais ?
– Si tu veux, oui, pour te rendre service mais, si tu préfères, je peux glisser un mot au chef de service et il te donnera ce qu'il faut pour que ça te passe.
– C’est-à-dire : qu'il me donnera ce qu'il faut pour que ça me passe.
– Simple, il va te donner une gélule anaphrodisiaque qui te fera passer tes érections.
– Hein ! Mais elles reviendront après ?
– Oui bien sûr, ne t'en fait pas.
– Je crois que je prends déjà assez de médocs, tu… tu veux bien m'aider Tom.
Il avait dit ça en rougissant.
– Euh… Tom, ça reste entre nous.
– Tu es un patient et c'est un acte médical. Je suis tenu au secret professionnel.
– Tu vas où ?
– Juste appuyer sur le bouton comme quoi tu es en soins. Comme ça personne ne viendra nous ennuyer.
J'étais en train d'enfiler un gant en latex quand il me dit :
– Tom, je suis allergique au latex !
– Pas grave je vais faire sans.
J'enlevais le drap qui le recouvrait, dessous il était évidemment nu et, putain, c'est vrai qu'il en avait une longue et grosse, sa queue bandait tellement que de la mouille en sortait. Rien que par l’excitation, il était presque décalotté complétement !
Je l'avais là, à portée de main. Je me retournais vers lui et il avait fermé les yeux. Quand je pris son sexe en main, il pulsa plusieurs fois. Je commençais de lents mouvements de haut en bas. Un flot de liquide séminal sortait de son gland et je m'en servis pour le lubrifier.
Il commença à respirer de plus en plus fort et sans me prévenir il lâcha plusieurs grosses giclées. Mais je continuais à le branler et il en sortait toujours.
– Arrête toi Tom s'il te plait, ça me fait mal maintenant et je crois que je n’ai plus rien à cracher pour l’instant.
– Je vais te nettoyer parce que là tu en as vraiment de partout.
J'allais à la salle de bain prendre de quoi le laver. Jean-Phi était sur le lit et il bandait toujours autant (moi aussi). J'enlevais le plus gros avec du papier et je finis au gant. Et c'est encore en rougissant qu'il me demanda si je voulais bien recommencer parce que sa queue lui faisait encore mal tellement il bandait. Je le fis languir un peu mais je fis ce qu'il demandait.
Mais cette fois il fut plus long à venir. Je dus lui masser les couilles un bon moment, jouer avec ses seins qui pointaient… et j'étais à deux doigts de lui tailler une pipe tellement sa queue me faisait envie quand il éjacula.
– Putain Tom, t'es un branleur de première toi !
– Je ne sais pas si je dois le prendre comme un compliment ou comme un reproche.
– T'es con, c'est un compliment. On ne m'a jamais si bien branlé.
– Ha bon parce qu'à part Nadège, tu te faisais branler par d’autres ?
– Tu sais ce que c'est Tom, branler ou se faire branler, sucer ou se faire sucer, c'est pas tromper.
– Ah bon, mais si je te comprends bien, tu es en train de me dire que tu es bi.
– Je n’ai jamais dit ça, moi !
– Mais si, parce que branler ou se faire branler à la rigueur, c’est mixte, tu peux branler une fille ou un gars, mais sucer ou se faire sucer, ça tu peux le faire qu'avec un autre mec.
– C'est ma langue qui a fourché, j'ai voulu dire se faire sucer ou faire un cunni.
– Ha ok, j'avais pas compris comme ça.
– Et puis bon quand on était ado, on a tous fait des concours de branlettes entre potes. Et je t'avoue que certains d'eux m'ont branlé et que j'en ai branlé quelques-uns aussi. Tu as bien dû le faire aussi pas vrai ?
– Oui comme tout le monde, je suppose. Je te laisse beau gosse. Je file travailler. Je repasse après si tu veux.
– Tom, tu pourrais me rendre un service ?
– Oui, évidemment.
– Tu pourrais passer chez moi me récupérer quelques trucs et me les rapporter ici ?
– Oui bien sûr. Tu n'as qu'à me dire ce que tu veux.
– Ok, j'y pense et je te dis ça ce soir.
Son explication sur sucer et se faire sucer ne m'avait pas convaincu mais bon …
Le soir quand je passais le voir, il me donna une liste qu'il avait dicté à une infirmière. Il me dit de prendre les clefs de son appartement dans son placard.
J'allais rentrer chez lui, quand la porte d'en face s'ouvrit et qu'une femme la cinquantaine me demanda qui j’étais.
– Bonsoir Madame, je suis Tom et je suis interne à l'hôpital où Jean-Philippe est soigné. C'est lui qui m'a demandé de passer récupérer quelques affaires le temps que sa famille remonte des Landes pour le voir.
– Votre tête me dit quelque chose. Je vous ai déjà vu mais je ne sais pas où.
– Je suis du coin et j'ai fait toute ma scolarité ici.
– C'est quoi votre nom de famille ?
– Je me nomme Thomas Martin.
– Ah oui tu étais en classe avec mon fils, c'est ça, je m'en souviens maintenant.
– Et votre fils s'appelle comment ?
– Aloïs.
– Aloïs Dupont c'est votre fils ?
– Oui c'est ça.
– Et il devient quoi ?
– Laisse tomber, il ne mérite pas qu'on parle de lui. Il a mal tourné. Bon je te laisse faire ce que tu as à faire. Mon diner va bruler si je ne le surveille pas. Bonne soirée Tom.
– Bonne soirée Madame.
L'appartement de Jean-Phi était plutôt bien rangé. Dans la chambre il y avait bien un peu de bordel sur une chaise mais rien de bien méchant. Je trouvais tout ce qu'il m'avait demandé. Je repartis en me disant :
Comme demain je ne bosse pas, je pourrais rester plus longtemps avec lui et bricoler certaines choses pour qu'il puisse s'en servir avec le bout de ses doigts.
Il me fit un grand sourire quand j'entrais dans la chambre.
– Salut Jean-Phi, ça va ?
– C'est toi le docteur pas moi.
– Ha, ha, ha tu as mangé du clown au petit-déjeuner ce matin ?
– Non c'est juste que je suis content de te voir. Tu as tout trouvé ?
– Oui et j'ai même eu droit à un interrogatoire serré de ta voisine d'en face.
– Tu m’étonnes, c'est une vraie fouine celle-là.
– Je ne savais pas que c'était la mère d’Aloïs. Il est devenu quoi lui ? Parce que quand je lui ai demandé elle m'a répondu qu'il avait mal tourné.
– T'es pas au courant ? Il fait du porno.
– Putain, lui qui était si timide !
– Il a bien changé, crois-moi. Branche mon ordi. Dans un de mes dossiers j'ai une vidéo de lui en pleine action. Tu veux la voir ?
– Oui pourquoi pas.
Il tapa son mot de passe, chercha la vidéo du bout des doigts et la lança. Aloïs, une fille et un autre gars se baignaient. Quand Aloïs sortit de l'eau l'autre gars tira en jouant sur son maillot de bain qui tomba à ses pieds nous laissant admirer ses fesses et quand il se retourna, je pus voir son énorme bite qui bandait.
– Putain mais il a une bite encore plus grosse que la tienne !
– J'arrive pas à en faire le tour avec ma main. Enfin, j’y arriverais pas !
Dans le film Aloïs baisait la meuf, le mec et puis se faisait baiser par lui, sans parler des caresses et autres prélis comme les pipes, cunni ... J'avais la queue raide et Jean-Phi aussi, à voir le chapiteau que faisait l’étoffe le recouvrant. Je me mis à me caresser à travers mon fute de jogging. Je passais la main sous le drap et je branlais Jean-Phi au même rythme que moi. Le film venait de finir et on n'avait pas joui.
– Je sais que je peux te faire confiance et que tu ne diras rien. Je vais t'en montrer un autre.
Il chercha une vidéo et la lança. Au début j'eu du mal à reconnaître les acteurs mais très vite je reconnus Nadège, Aloïs et Jean-Phi. Ils étaient tous les trois sur un canapé. Nadège était entre les deux garçons qui ne se privaient pas de la tripoter. Nadège ne gardait pas ses mains dans ses poches et explorait les braguettes des garçons. Tous se roulaient des pelles. Puis Nadège les suça un petit moment, ensuite elle se releva. Jean-Phi lui fit un cunni tandis qu'Aloïs le suçait, lui. Enfin, ils allèrent à la chambre où ils se mirent en triangle et Nadège suça la bite de Jean-Phi pendant que lui suçait celle d'Aloïs et qu’Aloïs bouffait l’abricot de Nadège. Ils bougèrent pour recommencer inversement. Ça dura un petit moment. Puis Jean-Phi sodomisa Nadège tandis qu’Aloïs la prenait dans le vagin.
Je vous dis pas comment on était excités Jean-Phi et moi. Je dus arrêter plusieurs fois de nous masturber pour ne pas jouir.
Puis Nadège s'allongea sur le dos et Aloïs la prit. Jean-phi s'approcha des fesses d'Aloïs la queue tendue et s'enfonça entre ses fesses. J'en pouvais plus. J'avais très envie de jouir mais je fis tout pour durer. Je voulais éjaculer en même temps qu’eux.
Nadège gémissait de plus en plus fort. Aloïs se retira et Jean-Phi prit sa place. Et à ma grande surpris Aloïs se mit derrière lui et l’embrocha d’une seule traite. J'en pouvais plus. Je tombais mon jogging et mon boxer et je nous branlais comme un fou. Ça ne dura pas longtemps et on jouit ensemble. La vidéo continuait. Les trois gémissaient maintenant et chacun prit son pied.
– Putain Jean-Phi je savais pas ça de toi, ni de Nadège et encore moins d’Aloïs. Vous m'avez fait bander grave là. Je m'en suis mis de partout. Une chance que l’essui est à portée de main.
– Moi itou, je m'en suis mis de partout, si tu veux bien m’éponger aussi. Ça me fait penser que ce jour-là, Aloïs m'a tellement dosé et démonté le cul que j'ai été obligé de prendre une des serviettes hygiéniques de Nadège pour pas salir mon boxer. Dis-moi Tom, tu es bi aussi ?
– On peut dire ça, même si je préfère les mecs. Ça m'arrive de baiser avec une fille.
– T'en a une grosse aussi toi. Un peu plus grosse que la mienne mais moins que celle d’Aloïs. Ça te dirait qu'on se fasse un plan à trois quand je serai en état ?
– Grave trop oui. Mais dis-moi, j'ai encore un peu envie là. Tu me sucerais pas ?
– Suffit de demander. J'ai que la bouche pour le moment. Mais tu verras, je sais aussi me servir de mes mains et mon cul est accueillant également.
Il ne me suça pas cette fois-là parce que quelqu'un frappait à la porte. J'eus juste le temps de le recouvrir et pour moi de tout remonter qu'elle s'ouvrait sur ses géniteurs fébriles. Je les laissais seuls. Ses parents restèrent le week-end.
Jean-Phi resta encore quelques jours, le temps qu'on lui mit une broche et il partit en maison de convalescence.
*
**
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