17-01-2022, 02:45 PM
Hospitalisé, premier lit:
Après les trois jours d'épreuves en juin, puis une semaine de longue attente pendant laquelle je ne bougeais pas de la maison, passant mon temps à tourner en rond. Les résultats sont enfin tombés.
Ça y est, je suis interne !
Ça fait 6 ans que je bosse comme un fou pour en arriver là.
Je suis sorti dans le top 50 des épreuves classantes nationales (ECN).
J'ai bossé jours et nuits 365 chapitres et 25 gros bouquins de 300 à 600 pages chacun.
Ma vie sociale oubliée, ma vie sexuelle se résumait à mes deux masturbations quotidiennes, matin et soir, pour calmer ma libido et à quelques rares parties de baise, quand celles-ci ne me suffisaient plus. Pour tout loisir je ne m'accordais qu'une heure de jogging par jour et une heure de salle de sport, trois fois par semaine…
La semaine qui suit est de la folie. Je sors tous les soirs et je ramène toujours quelqu'un à la maison pour baiser.
Je suis Thomas et j'ai 25 ans. Brun, les yeux verts, pas loin du mètre quatre-vingt-dix pour 80 kilos de muscles, je suis un beau gosse.
Beau certes mais pas humain d'après mes frères, mes 'amis' de promotion et mes profs. Pour eux je suis une machine à soigner sans une once d'empathie pour mes patients. Pour moi seul le résultat compte, la mort d'un patient est un échec et je ne le supporte pas.
Je suis enfin en vacances !
Il y a 6 ans que je n'en ai pas vraiment pris. J'ai une bourse qui jusqu'ici m'a permis de survivre. Pour améliorer l'ordinaire je bossais les week-ends, les jours fériés et les vacances scolaires dans une clinique privée comme infirmier. Et à partir de novembre je toucherai le SMIC. C'est pas miraculeux mais je ferai avec. Et puis je me dis que je n'en ai plus que pour 3 ans le temps d'obtenir mon doctorat, puis encore 2 ans pour le DESC. (Diplôme d'études spécialisées complémentaires). Eh oui je veux être médecin urgentiste. Mais je ne vais pas vous ennuyer avec ces détails…
Novembre.
Cette fois j'y suis ! Où ? Mais aux urgences, bien sûr ! Dans la clinique où je fais mon internat. L'équipe est plutôt jeune mais très professionnelle. L'ambiance est bonne et les cas intéressants – enfin, mis à part les cas de covid et les tireurs au flanc – puis parfois… inattendus.
Mon premier cas ça a été Vinny, un garçon de 15 ans qui nous est arrivé avec une douleur aigüe au ventre, nausées, constipation et fréquentes envie d'uriner. La crise d'appendicite classique ! Facile comme diagnostique.
En revanche il y avait eu un accident grave et tout le monde était occupé. Il a donc fallu que je prépare Vinny pour son opération. Je lui ai d'abord fait prendre une douche à la bétadine puis je l'ai fait allonger sur le lit.
– Tu vas me faire quoi maintenant ?
– Je vais te raser à blanc.
– C'est obligé ?
– Eh oui ! T'as pas le choix mec.
– Putain, ça fait chier ! Tous mes potes vont se foutre de ma gueule.
– Pourquoi, tu te fous souvent à poil devant tes potes, toi ?
– Bin oui, au moins quatre fois par semaine. Deux fois au bahut après le sport pour prendre la douche et deux autres fois avec mes potes du foot. Putain ça fait vraiment chier ! En plus j'ai galéré grave pour avoir mes poils parce que, comme tu le vois, je ne suis pas très poilu. Rien sur le corps et tu vas me raser les seuls que j’ai.
– Ça repousse et pour tes potes, dis que c’est à la mode qu’ils n’y connaissent rien. Et puis tu sais les meufs préfèrent quand y'a pas de poils. C'est plus doux et elles ne risquent pas de s'en coincer un entre les dents. Tu verras ta meuf va kiffer ça grave.
– Encore faudrait-il que j'en ai une.
– Ça viendra, tu verras. Bon, aller, j'y vais, ne bouge pas si tu ne veux pas que je te coupe.
Je pris la tondeuse et j'enlevais le plus gros. Je ne sais pas si c'est l'effet des vibrations ou du fait que je manipulais son sexe mais Vinny se mit à bander… très dur. Il avait fermé les yeux et faisait une drôle de tète mais se laissait faire sans bouger.
Très professionnellement et sans faire de remarque, j'étalais ensuite la mousse et je le rasais à blanc. Pour harmoniser l’ensemble et un peu par 'sadisme' je lui fis même les couilles et la queue. Je rinçais le tout, j’en avais fini avec lui – lisse comme un bébé.
– Voilà beau gosse, j'en ai fini avec toi. Tu es tout beau.
– J'ai honte Tom, tu dois penser quoi de moi ?
– De quoi tu as honte Vinny ?
– Tu dois penser que je suis gay. Tu me tripotte la queue et je bande raide, non-stop.
– Ah, c'est que ça ? Tu es gay, Vinny ?
– Hé ça va pas non ! Je suis un mec normal moi !
– Les gays sont normaux aussi Vinny, ils ont juste une sexualité différente. Regarde, ton monstre se remet au repos.
Tiens, tu vas avaler ce cachet, c'est pour te calmer avant l’opération. C'est bientôt ton tour.
Un autre cas se présenta à moi quelques jours après. Cette fois il s'agissait d'un mec dans la vingtaine qui s'appelait Corentin. Lui venait parce qu'il « saignait du cul et l’avait sensible » selon ses dires. Sa tête me disait quelque chose. Je le connaissais ce mec mais je ne savais plus d’où. Je le fis entrer dans une salle et je lui demandais de se mettre nu et à quatre pattes sur la table d’examen.
Il se déshabilla et se positionna comme je le lui avais demandé. J'enfilais des gants en latex et je m'approchais de ses belles fesses callipyges. Ça y était, je savais d'où je le connaissais ce mec. Ces tatouages en forme de joker, un sur chaque fesse, ce cul là, je l'avais baisé au sauna il y a deux semaines. Il y était installé sur le sling et je n’avais pas vu sa tête parce qu'il portait une cagoule où il n'y avait qu'un trou pour la bouche. Je m'étais fait sucer pendant qu'un autre mec le baisait et puis je l'avais baisé à mon tour pendant qu'un autre mec avait pris ma place dans sa bouche. Je l'avais si bien baisé qu'il en avait joui. Mais il continua à se faire enfiler.
Je mis un peu de lubrifiant sur mon index et je l'enfilais dans son anus.
Il se crispa sous la douleur.
– Je suis désolé de te faire mal mais je n'ai pas d'autre moyen pour t’ausculter.
– D'habitude, juste un doigt, ça ne me fait pas même frémir.
– Ha bon pourquoi, tu es un adepte du pegging ?
– Euh… c'est quoi le pegging ?
– C'est un terme anglo-saxon qui veut dire que tu te fais sodomiser par ta copine avec des godes.
– Ha ok, euh, pas vraiment, je suis gay alors je préfère des bonnes grosses queues si vous voyez ce que je veux dire.
– Oui je vois très bien. D'ailleurs je t'ai reconnu grâce à tes jokers.
– Ha, tu m'as baisé aussi alors ?
– Oui il y a quelques temps au sauna. Tu étais installé sur le sling avec une cagoule.
– Ah oui, je me souviens, j'avais morflé grave cette fois-là.
– Et tes déchirures, c'est suite à un plan du même style ?
– Oui plus ou moins, j'ai branché un renoi que je connais et je lui ai servi de pute à lui et à tous ses potes tout le week-end. Putain ils m'ont bien défoncé le cul ces salauds.
– Ils te l'ont massacré tu veux dire. Là, tu vas être hors service un bon moment si tu veux guérir.
– Et ça va durer longtemps ?
– Le temps de la cicatrisation.
Un docteur arriva et me demanda mon diagnostique qui était : fissures anales superficielles, sans blessures internes et sans traces d’hémorroïdes. Il le confirma après avoir enfilé un spéculum dans le trou de Corentin.
Quelques jours passèrent sans que je rencontre de cas spéciaux sauf peut-être ce jeune papa de 26 ans à qui j'avais dû enfiler une sonde urinaire parce qu'il n'arrivait plus à pisser seul. Il était rouge de honte de se laisser tripoter le sexe. Et sans mentir il en avait une belle, toute lisse et plutôt grosse.
On était le week-end et en fin d'après-midi. C'était plutôt calme mais mes collègues m'avaient prévenu que ça n'allait pas durer. Les matchs de foot ou de rugby finissant, on allait avoir un arrivage d'entorses et de claquages. Et c'est ce qui arriva.
Je m'occupais d'une entorse à la cheville d'un quadra quand le toubib entra.
– Tom, tu couds assez bien je crois.
– Oui, pas trop mal.
– Alors tu vas à la 10 et tu recouds l'arcade sourcilière du gars. Tu fais ça fin, que ça ne lui laisse pas une grosse cicatrice. Je lui ai déjà fait l'injection de l'anesthésique local. Ça doit être bon maintenant.
Je donnais mon diagnostique avant de changer de pièce. Je tombais sur un gars plutôt mignon avec de magnifiques yeux bleus.
– Je vais commencer à vous recoudre. Si ça vous fait mal, vous me le dites et on attendra que l'anesthésique fasse un peu plus d’effet.
Je commence.
– Ça va je ne sens rien, tu peux continuer.
Ça va me laisser une grosse cicatrice ?
– Je vais faire en sorte qu'elle soit la plus discrète possible. Mais pour ça je vais devoir faire un peu plus de points.
– C'est pas grave. Tu en fais autant que tu veux mais il ne faut pas qu'elle se voit. Je me marie dans trois semaines. Ma meuf va me tuer si j'ai la tête défoncée pour notre mariage.
– Ne t'en fais pas, d'ici là ça ne se verra plus ou presque.
Je finis de le coudre et je croisais un toubib qui me demanda d'aller voir chambre 5, un trauma en moto, qui venait de sonner. Je ne le reconnus pas tout de suite.
– Bonjour, je suis Thomas, interne aux urgences. Tu as sonné ?
– … Thomas, c'est toi ?
– ?? Ah merde, Jean-Phi, je t'avais pas reconnu. Qu'est-ce-qui t’arrive ?
– Je me suis vautré en moto-cross et comme tu peux le voir j'ai une fracture de la jambe, des deux poignets et je sais plus quel os du bras gauche. Mais là, j'ai une urgence, trop envie de pisser. Tu peux m'aider s'il te plait ?
Jean-Phi, je le connaissais depuis le lycée. On était allé en classe ensemble de la troisième à la terminale. On n'avait jamais été très proche l'un de l'autre mais bon, on s’appréciait et on se parlait quand même, en simple pote.
Et pour être franc, à l’époque, c'est sur lui et sa grosse queue - que je voyais dans les vestiaires ou dans les douches - que je fantasmais en me branlant. Bon, j'avoue qu'il y en avait d'autres qui hantait mes rêves éveillés, mais c'est sur lui que je me faisais le plus souvent du bien. Et c'est sans parler de son cul qui était magnifique aussi.
Je pris un urinal, je soulevais le drap qui le recouvrait pudiquement et je pris entre mes doigts son sexe qui m'avait tant fait fantasmer. Délicatement je retirais son prépuce avant d'enfiler son sexe dans le pistolet.
– C'est bon, tu peux te laisser aller.
Il se soulagea longuement et, alors que je le regardai, il me vint une érection. Mais entre ma position au côté du lit et la blouse que j'avais par-dessus ma tenue, il ne s'en rendit pas compte.
– C'est bon, j'ai fini.
Je l’égouttais et remis en place son prépuce avant de le recouvrir. Puis j'allais vider l'urinal et me laver les mains.
– Je vais y aller Jean-Phi.
– Ok, merci. Attends, avant de partir tu voudrais pas me gratter le coin du nez, sur la gauche, ça me rend fou.
– Ok, pas de souci !
Je repasserai te voir tout à l'heure avant de partir.
Je ne le revis que quelques jours après sa sortie des urgences. Il était dans une chambre seule. La taille recouverte d’un drap me laissait voir sur la partie nue quelques ecchymoses et il avait une jambe en traction et les deux bras plâtrés. Quand j’entrais, il dormait. Putain, je ne me souvenais plus qu'il était si beau. Et les 6 ans où je ne l'avais plus revu lui avaient fait perdre son côté gamin pour lui donner un air de mec viril que je kiffais beaucoup. J'allais repartir quand il se réveilla.
– Ça fait longtemps que tu es là ?
– Non, non, j’arrive, mais comme tu dormais j'allais repartir. Comment tu vas ?
– Ça va, je plane un peu à cause des anti-douleurs mais ça va, avec ça j'ai pas mal.
Je m'assis sur le fauteuil à côté du lit et on se parla de nos vies respectives depuis qu'on avait quitté le bahut. Lui avait fait STAPS. Il était prof de gym dans notre ancien bahut. Il me parla aussi de sa famille qui avait quitté la région et qui maintenant vivait dans les Landes. On discuta un petit moment et il se rendormit alors que je lui parlais de ma vie.
(la suite, directement ici en dessous)
Après les trois jours d'épreuves en juin, puis une semaine de longue attente pendant laquelle je ne bougeais pas de la maison, passant mon temps à tourner en rond. Les résultats sont enfin tombés.
Ça y est, je suis interne !
Ça fait 6 ans que je bosse comme un fou pour en arriver là.
Je suis sorti dans le top 50 des épreuves classantes nationales (ECN).
J'ai bossé jours et nuits 365 chapitres et 25 gros bouquins de 300 à 600 pages chacun.
Ma vie sociale oubliée, ma vie sexuelle se résumait à mes deux masturbations quotidiennes, matin et soir, pour calmer ma libido et à quelques rares parties de baise, quand celles-ci ne me suffisaient plus. Pour tout loisir je ne m'accordais qu'une heure de jogging par jour et une heure de salle de sport, trois fois par semaine…
La semaine qui suit est de la folie. Je sors tous les soirs et je ramène toujours quelqu'un à la maison pour baiser.
Je suis Thomas et j'ai 25 ans. Brun, les yeux verts, pas loin du mètre quatre-vingt-dix pour 80 kilos de muscles, je suis un beau gosse.
Beau certes mais pas humain d'après mes frères, mes 'amis' de promotion et mes profs. Pour eux je suis une machine à soigner sans une once d'empathie pour mes patients. Pour moi seul le résultat compte, la mort d'un patient est un échec et je ne le supporte pas.
Je suis enfin en vacances !
Il y a 6 ans que je n'en ai pas vraiment pris. J'ai une bourse qui jusqu'ici m'a permis de survivre. Pour améliorer l'ordinaire je bossais les week-ends, les jours fériés et les vacances scolaires dans une clinique privée comme infirmier. Et à partir de novembre je toucherai le SMIC. C'est pas miraculeux mais je ferai avec. Et puis je me dis que je n'en ai plus que pour 3 ans le temps d'obtenir mon doctorat, puis encore 2 ans pour le DESC. (Diplôme d'études spécialisées complémentaires). Eh oui je veux être médecin urgentiste. Mais je ne vais pas vous ennuyer avec ces détails…
Novembre.
Cette fois j'y suis ! Où ? Mais aux urgences, bien sûr ! Dans la clinique où je fais mon internat. L'équipe est plutôt jeune mais très professionnelle. L'ambiance est bonne et les cas intéressants – enfin, mis à part les cas de covid et les tireurs au flanc – puis parfois… inattendus.
Mon premier cas ça a été Vinny, un garçon de 15 ans qui nous est arrivé avec une douleur aigüe au ventre, nausées, constipation et fréquentes envie d'uriner. La crise d'appendicite classique ! Facile comme diagnostique.
En revanche il y avait eu un accident grave et tout le monde était occupé. Il a donc fallu que je prépare Vinny pour son opération. Je lui ai d'abord fait prendre une douche à la bétadine puis je l'ai fait allonger sur le lit.
– Tu vas me faire quoi maintenant ?
– Je vais te raser à blanc.
– C'est obligé ?
– Eh oui ! T'as pas le choix mec.
– Putain, ça fait chier ! Tous mes potes vont se foutre de ma gueule.
– Pourquoi, tu te fous souvent à poil devant tes potes, toi ?
– Bin oui, au moins quatre fois par semaine. Deux fois au bahut après le sport pour prendre la douche et deux autres fois avec mes potes du foot. Putain ça fait vraiment chier ! En plus j'ai galéré grave pour avoir mes poils parce que, comme tu le vois, je ne suis pas très poilu. Rien sur le corps et tu vas me raser les seuls que j’ai.
– Ça repousse et pour tes potes, dis que c’est à la mode qu’ils n’y connaissent rien. Et puis tu sais les meufs préfèrent quand y'a pas de poils. C'est plus doux et elles ne risquent pas de s'en coincer un entre les dents. Tu verras ta meuf va kiffer ça grave.
– Encore faudrait-il que j'en ai une.
– Ça viendra, tu verras. Bon, aller, j'y vais, ne bouge pas si tu ne veux pas que je te coupe.
Je pris la tondeuse et j'enlevais le plus gros. Je ne sais pas si c'est l'effet des vibrations ou du fait que je manipulais son sexe mais Vinny se mit à bander… très dur. Il avait fermé les yeux et faisait une drôle de tète mais se laissait faire sans bouger.
Très professionnellement et sans faire de remarque, j'étalais ensuite la mousse et je le rasais à blanc. Pour harmoniser l’ensemble et un peu par 'sadisme' je lui fis même les couilles et la queue. Je rinçais le tout, j’en avais fini avec lui – lisse comme un bébé.
– Voilà beau gosse, j'en ai fini avec toi. Tu es tout beau.
– J'ai honte Tom, tu dois penser quoi de moi ?
– De quoi tu as honte Vinny ?
– Tu dois penser que je suis gay. Tu me tripotte la queue et je bande raide, non-stop.
– Ah, c'est que ça ? Tu es gay, Vinny ?
– Hé ça va pas non ! Je suis un mec normal moi !
– Les gays sont normaux aussi Vinny, ils ont juste une sexualité différente. Regarde, ton monstre se remet au repos.
Tiens, tu vas avaler ce cachet, c'est pour te calmer avant l’opération. C'est bientôt ton tour.
Un autre cas se présenta à moi quelques jours après. Cette fois il s'agissait d'un mec dans la vingtaine qui s'appelait Corentin. Lui venait parce qu'il « saignait du cul et l’avait sensible » selon ses dires. Sa tête me disait quelque chose. Je le connaissais ce mec mais je ne savais plus d’où. Je le fis entrer dans une salle et je lui demandais de se mettre nu et à quatre pattes sur la table d’examen.
Il se déshabilla et se positionna comme je le lui avais demandé. J'enfilais des gants en latex et je m'approchais de ses belles fesses callipyges. Ça y était, je savais d'où je le connaissais ce mec. Ces tatouages en forme de joker, un sur chaque fesse, ce cul là, je l'avais baisé au sauna il y a deux semaines. Il y était installé sur le sling et je n’avais pas vu sa tête parce qu'il portait une cagoule où il n'y avait qu'un trou pour la bouche. Je m'étais fait sucer pendant qu'un autre mec le baisait et puis je l'avais baisé à mon tour pendant qu'un autre mec avait pris ma place dans sa bouche. Je l'avais si bien baisé qu'il en avait joui. Mais il continua à se faire enfiler.
Je mis un peu de lubrifiant sur mon index et je l'enfilais dans son anus.
Il se crispa sous la douleur.
– Je suis désolé de te faire mal mais je n'ai pas d'autre moyen pour t’ausculter.
– D'habitude, juste un doigt, ça ne me fait pas même frémir.
– Ha bon pourquoi, tu es un adepte du pegging ?
– Euh… c'est quoi le pegging ?
– C'est un terme anglo-saxon qui veut dire que tu te fais sodomiser par ta copine avec des godes.
– Ha ok, euh, pas vraiment, je suis gay alors je préfère des bonnes grosses queues si vous voyez ce que je veux dire.
– Oui je vois très bien. D'ailleurs je t'ai reconnu grâce à tes jokers.
– Ha, tu m'as baisé aussi alors ?
– Oui il y a quelques temps au sauna. Tu étais installé sur le sling avec une cagoule.
– Ah oui, je me souviens, j'avais morflé grave cette fois-là.
– Et tes déchirures, c'est suite à un plan du même style ?
– Oui plus ou moins, j'ai branché un renoi que je connais et je lui ai servi de pute à lui et à tous ses potes tout le week-end. Putain ils m'ont bien défoncé le cul ces salauds.
– Ils te l'ont massacré tu veux dire. Là, tu vas être hors service un bon moment si tu veux guérir.
– Et ça va durer longtemps ?
– Le temps de la cicatrisation.
Un docteur arriva et me demanda mon diagnostique qui était : fissures anales superficielles, sans blessures internes et sans traces d’hémorroïdes. Il le confirma après avoir enfilé un spéculum dans le trou de Corentin.
Quelques jours passèrent sans que je rencontre de cas spéciaux sauf peut-être ce jeune papa de 26 ans à qui j'avais dû enfiler une sonde urinaire parce qu'il n'arrivait plus à pisser seul. Il était rouge de honte de se laisser tripoter le sexe. Et sans mentir il en avait une belle, toute lisse et plutôt grosse.
On était le week-end et en fin d'après-midi. C'était plutôt calme mais mes collègues m'avaient prévenu que ça n'allait pas durer. Les matchs de foot ou de rugby finissant, on allait avoir un arrivage d'entorses et de claquages. Et c'est ce qui arriva.
Je m'occupais d'une entorse à la cheville d'un quadra quand le toubib entra.
– Tom, tu couds assez bien je crois.
– Oui, pas trop mal.
– Alors tu vas à la 10 et tu recouds l'arcade sourcilière du gars. Tu fais ça fin, que ça ne lui laisse pas une grosse cicatrice. Je lui ai déjà fait l'injection de l'anesthésique local. Ça doit être bon maintenant.
Je donnais mon diagnostique avant de changer de pièce. Je tombais sur un gars plutôt mignon avec de magnifiques yeux bleus.
– Je vais commencer à vous recoudre. Si ça vous fait mal, vous me le dites et on attendra que l'anesthésique fasse un peu plus d’effet.
Je commence.
– Ça va je ne sens rien, tu peux continuer.
Ça va me laisser une grosse cicatrice ?
– Je vais faire en sorte qu'elle soit la plus discrète possible. Mais pour ça je vais devoir faire un peu plus de points.
– C'est pas grave. Tu en fais autant que tu veux mais il ne faut pas qu'elle se voit. Je me marie dans trois semaines. Ma meuf va me tuer si j'ai la tête défoncée pour notre mariage.
– Ne t'en fais pas, d'ici là ça ne se verra plus ou presque.
Je finis de le coudre et je croisais un toubib qui me demanda d'aller voir chambre 5, un trauma en moto, qui venait de sonner. Je ne le reconnus pas tout de suite.
– Bonjour, je suis Thomas, interne aux urgences. Tu as sonné ?
– … Thomas, c'est toi ?
– ?? Ah merde, Jean-Phi, je t'avais pas reconnu. Qu'est-ce-qui t’arrive ?
– Je me suis vautré en moto-cross et comme tu peux le voir j'ai une fracture de la jambe, des deux poignets et je sais plus quel os du bras gauche. Mais là, j'ai une urgence, trop envie de pisser. Tu peux m'aider s'il te plait ?
Jean-Phi, je le connaissais depuis le lycée. On était allé en classe ensemble de la troisième à la terminale. On n'avait jamais été très proche l'un de l'autre mais bon, on s’appréciait et on se parlait quand même, en simple pote.
Et pour être franc, à l’époque, c'est sur lui et sa grosse queue - que je voyais dans les vestiaires ou dans les douches - que je fantasmais en me branlant. Bon, j'avoue qu'il y en avait d'autres qui hantait mes rêves éveillés, mais c'est sur lui que je me faisais le plus souvent du bien. Et c'est sans parler de son cul qui était magnifique aussi.
Je pris un urinal, je soulevais le drap qui le recouvrait pudiquement et je pris entre mes doigts son sexe qui m'avait tant fait fantasmer. Délicatement je retirais son prépuce avant d'enfiler son sexe dans le pistolet.
– C'est bon, tu peux te laisser aller.
Il se soulagea longuement et, alors que je le regardai, il me vint une érection. Mais entre ma position au côté du lit et la blouse que j'avais par-dessus ma tenue, il ne s'en rendit pas compte.
– C'est bon, j'ai fini.
Je l’égouttais et remis en place son prépuce avant de le recouvrir. Puis j'allais vider l'urinal et me laver les mains.
– Je vais y aller Jean-Phi.
– Ok, merci. Attends, avant de partir tu voudrais pas me gratter le coin du nez, sur la gauche, ça me rend fou.
– Ok, pas de souci !
Je repasserai te voir tout à l'heure avant de partir.
Je ne le revis que quelques jours après sa sortie des urgences. Il était dans une chambre seule. La taille recouverte d’un drap me laissait voir sur la partie nue quelques ecchymoses et il avait une jambe en traction et les deux bras plâtrés. Quand j’entrais, il dormait. Putain, je ne me souvenais plus qu'il était si beau. Et les 6 ans où je ne l'avais plus revu lui avaient fait perdre son côté gamin pour lui donner un air de mec viril que je kiffais beaucoup. J'allais repartir quand il se réveilla.
– Ça fait longtemps que tu es là ?
– Non, non, j’arrive, mais comme tu dormais j'allais repartir. Comment tu vas ?
– Ça va, je plane un peu à cause des anti-douleurs mais ça va, avec ça j'ai pas mal.
Je m'assis sur le fauteuil à côté du lit et on se parla de nos vies respectives depuis qu'on avait quitté le bahut. Lui avait fait STAPS. Il était prof de gym dans notre ancien bahut. Il me parla aussi de sa famille qui avait quitté la région et qui maintenant vivait dans les Landes. On discuta un petit moment et il se rendormit alors que je lui parlais de ma vie.
(la suite, directement ici en dessous)
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