17-01-2022, 10:32 AM
Maxime et moi nous nous retrouvions régulièrement chez l’un ou chez l’autre pour nous masturber mutuellement, nous embrasser et aussi découvrir la fellation et le « 69 » dont tous les ados parlent sans pour autant l’avoir fait, que ce soit avec une fille ou un garçon !
Un mercredi après-midi, alors que Max était à la maison et que nous étions dans ma chambre, sur mon lit, à poil en train de nous sucer mutuellement, maman a ouvert la porte de ma chambre et nous a donc trouvés en plein ébat ! Elle a refermé la porte très vite. Inutile de dire que Max et moi avons débandé à la vitesse de l’éclair ! Nous venions de nous faire prendre et j’allais devoir expliquer à maman que je suis homo ! J’étais d’autant plus ennuyé car la maman de Max et la mienne se connaissent très bien !
Nous nous sommes rhabillés à toute vitesse pour ensuite sortir de ma chambre. Nous allions affronter le courroux de maman. Je n’en menais pas large ni Max non plus ! Maman nous a demandé de nous assoir dans le divan du salon. Elle était assise sur un fauteuil en face de nous ! Je n’avais jamais vu maman avec la tête qu’elle affichait. Je craignais sa réaction. Max lui avait les larmes aux yeux, je me demandais ce qui allait se passer tant pour moi que pour mon ami lorsqu’il sera rentré chez lui. Après quelques minutes de silence maman nous disait :
Jul : « Bon les garçons, désolé d’être rentrée dans la chambre alors que vous, … heu, vous aviez une attitude, heu… particulière. J’ai été stupéfaite, vous vous en doutez !
Dim : Je suis désolé maman, je suis … navré que tu aies appris de cette façon que je suis … gay !
Jul : Je dois te dire que je commençais à avoir des doutes, je pensais que c’était passager, que tu te cherchais encore.
Dim : Non maman, ça fait plus d’un an que je sais que j’aime les garçons.
Jul : Je ne t’en veux pas, laisse-moi un peu de temps. Maxime tu sais je ne t’en veux pas non plus. Vous avez l’air de vous aimer et je sais qu’on ne peut rien y changer.
Max : Merci, j’avais si peur. (Des larmes coulent doucement sur ses joues)
Jul : Tu n’as pas à t’inquiéter Maxime, je ne dirais rien à ta maman.
Max : Oh merci. Mais je pense que je vais devoir lui en parler.
Dim : Merci maman, je t’aime, tu es géniale.
Jul : Tu ne dois pas être inquiet Dimi, je t’accepte comme tu es.
Dim : Oh, je … (J’éclate en sanglots).
(Juliette, la maman se lève et vient prendre son fils dans ses bras. Mère et fils se font un gros câlin partagé. Une fois celui-ci achevé, Juliette se tourne vers Maxime qui a toujours les larmes aux yeux pour lui faire aussi un câlin.)
Voilà comme j’ai fait mon coming-out malgré moi. Maman a toujours été là pour moi et elle m’a promis de ne rien dire à mon père. Il est vrai qu’il était souvent absent. Il était presque toujours en déplacement pour son job d’acheteur pour les grandes surfaces. Maman n’a jamais rien dit et a toujours accepté que Max revienne à l’appartement pour que nous puissions nous aimer en toute quiétude. Elle savait bien que nous nous aimions et que nous étions allés plus loin dans notre relation : nous nous sodomisions pour notre plus grand bonheur.
Bref je me suis retrouvé tout seul à la fin de mes études secondaires en « Sciences Économiques » à l’Athénée Royale d’Evere.
Les vacances d’été à l’issue de mes études secondaires étaient insipide, rien ne me plaisait, j’étais triste sans Max. Je n’avais pas d’autre ami. Bien heureusement j’ai suivi des stages de multi-sports durant trois semaines, ce qui m’a permis de penser à autre chose.
Je suis rentré mi-septembre dans une haute école pour faire un gradua (baccalauréat) en comptabilité. Je savais que Maxime avait pris une autre option, étant parti un an en Australie. Il m’a dit vouloir faire une année sabbatique en vue de découvrir d’autres mondes et aussi d’apprendre l’anglais dans un pays où il fait chaud. Il n’aime pas l’Angleterre pour son climat qui est trop proche du nôtre ! Je ne cache pas que j’ai été déçu de le voir partir. Nous avions vécu de belles années entre nos seize et dix-huit ans !
Lors de cette rentrée académique, soit un graduat en comptabilité, ce qui m’a rendu heureux c’est de faire la rencontre de Loïc. Nous avons presque le même âge, nous avons en fait deux mois et demi d’écart. Je suis le plus jeune si l’on peut dire que deux mois et demi font beaucoup de différence surtout à dix-huit ans !
En fait nous sommes rencontrés en nous heurtant dans couloir du bahut et nous sommes excusés l’un l’autre. Puis nous nous sommes revus dans le même amphithéâtre. Nous nous sommes placés côte à côte pour suivre le premier cours de « macro-économie » ! A l’issue de celui-ci nous avons du temps et nous sommes allés prendre un café dans un local étudiant.
J’ai donc appris que Loïc avait un frère, Quentin âgé de 16 ans et une sœur Angélique, âgée de 15 ans. Sa maman, Aurore, est responsable caissière dans un supermarché. J’ai aussi appris que son père est lui aussi acheteur pour des chaînes de supermarchés, tout comme le mien. Bref nous n’avons pas souvent l’un et l’autre l’occasion de voir nos pères étant donné qu’ils sont souvent en déplacement dans le pays et à l’étranger. On peut dire que nous vivons plus ou moins la même vie, une maman omniprésente et un papa souvent absent !
Loïc, lui aussi a suivi des humanités en « science économiques » dans une école privée. Nous nous entendons bien d’autant plus que Loïc est fort beau gosse, cheveux blonds avec des yeux bleus, une belle bouille avec un sourire laissant voir ses dents blanches ! Je suis impressionné par ce garçon. Inutile de dire que nous nous sommes échangés nos numéros de gsm !
J’ai eu l’occasion d’aller dans la famille de Loïc. Il habite un beau quartier résidentiel d’Uccle, du côté de Fond-Roy ! C’est une belle villa entourée d’un petit jardin. Bref chaque enfants de la famille à sa propre chambre. Celle de Loïc fait bien quinze mères carré de superficie !
Lorsque je vois pour la première fois le frère et la sœur de Loïc je me rends compte qu’ils ont certains des traits de ressemblance avec moi. Il s’agit seulement d’intuitions, sans plus ! Nous révisons nos cours pour être certain d’avoir tout compris. Nous nous voyons une fois ou deux par semaine.
Je dois dire que je suis de plus en plus accro à Loïc, il me ressemble tant au point de vue caractère mais aussi un peu physiquement. Je me dis que je me fais des idées. Au fur et à mesure de nos visites chez l’un ou chez l’autre nous nous rapprochons. C’est maman qui me dit que Loïc a souvent les yeux tournés vers moi et qu’il est peut-être lui aussi gay ! Je ne sais pas encore s’il est homo ou pas. Il faut dire qu’il me plaît beaucoup avec ses yeux bleus et sa tignasse blonde !
Alors que Loïc est dans ma chambre pour revoir un cours sur la macro-économie, nous sommes assis côte à côte, leurs genoux se touchent souvent. Finalement, nous nous collons l’un à l’autre, nous nous regardons, détournons les yeux pour se regarder une nouvelle fois. Il semble qu’il a y comme une attraction entre nous. Nos visages se rapprochent, nous finissons par poser nos lèvres sur celle du copain.
Alors, nous nous embrassons en laissant nos langues partir dans une folle farandole. Nos mains partent à l’exploration du corps de celui qui nous attire, nous nous caressons l’un et l’autre puis nos mains descendent d'un cran et vont se glisser pour dégrafer le pantalon de notre partenaire. Les boxers sont maintenant baissés à leur tour, nos deux "beaux objets" s'offrent à nos regards et nous entamons une réciproque masturbation passionnée !
Je suis heureux car j’ai enfin un nouveau petit ami avec lequel je vais pouvoir poursuivre une relation tant désirée.
Un mercredi après-midi, alors que Max était à la maison et que nous étions dans ma chambre, sur mon lit, à poil en train de nous sucer mutuellement, maman a ouvert la porte de ma chambre et nous a donc trouvés en plein ébat ! Elle a refermé la porte très vite. Inutile de dire que Max et moi avons débandé à la vitesse de l’éclair ! Nous venions de nous faire prendre et j’allais devoir expliquer à maman que je suis homo ! J’étais d’autant plus ennuyé car la maman de Max et la mienne se connaissent très bien !
Nous nous sommes rhabillés à toute vitesse pour ensuite sortir de ma chambre. Nous allions affronter le courroux de maman. Je n’en menais pas large ni Max non plus ! Maman nous a demandé de nous assoir dans le divan du salon. Elle était assise sur un fauteuil en face de nous ! Je n’avais jamais vu maman avec la tête qu’elle affichait. Je craignais sa réaction. Max lui avait les larmes aux yeux, je me demandais ce qui allait se passer tant pour moi que pour mon ami lorsqu’il sera rentré chez lui. Après quelques minutes de silence maman nous disait :
Jul : « Bon les garçons, désolé d’être rentrée dans la chambre alors que vous, … heu, vous aviez une attitude, heu… particulière. J’ai été stupéfaite, vous vous en doutez !
Dim : Je suis désolé maman, je suis … navré que tu aies appris de cette façon que je suis … gay !
Jul : Je dois te dire que je commençais à avoir des doutes, je pensais que c’était passager, que tu te cherchais encore.
Dim : Non maman, ça fait plus d’un an que je sais que j’aime les garçons.
Jul : Je ne t’en veux pas, laisse-moi un peu de temps. Maxime tu sais je ne t’en veux pas non plus. Vous avez l’air de vous aimer et je sais qu’on ne peut rien y changer.
Max : Merci, j’avais si peur. (Des larmes coulent doucement sur ses joues)
Jul : Tu n’as pas à t’inquiéter Maxime, je ne dirais rien à ta maman.
Max : Oh merci. Mais je pense que je vais devoir lui en parler.
Dim : Merci maman, je t’aime, tu es géniale.
Jul : Tu ne dois pas être inquiet Dimi, je t’accepte comme tu es.
Dim : Oh, je … (J’éclate en sanglots).
(Juliette, la maman se lève et vient prendre son fils dans ses bras. Mère et fils se font un gros câlin partagé. Une fois celui-ci achevé, Juliette se tourne vers Maxime qui a toujours les larmes aux yeux pour lui faire aussi un câlin.)
Voilà comme j’ai fait mon coming-out malgré moi. Maman a toujours été là pour moi et elle m’a promis de ne rien dire à mon père. Il est vrai qu’il était souvent absent. Il était presque toujours en déplacement pour son job d’acheteur pour les grandes surfaces. Maman n’a jamais rien dit et a toujours accepté que Max revienne à l’appartement pour que nous puissions nous aimer en toute quiétude. Elle savait bien que nous nous aimions et que nous étions allés plus loin dans notre relation : nous nous sodomisions pour notre plus grand bonheur.
Bref je me suis retrouvé tout seul à la fin de mes études secondaires en « Sciences Économiques » à l’Athénée Royale d’Evere.
Les vacances d’été à l’issue de mes études secondaires étaient insipide, rien ne me plaisait, j’étais triste sans Max. Je n’avais pas d’autre ami. Bien heureusement j’ai suivi des stages de multi-sports durant trois semaines, ce qui m’a permis de penser à autre chose.
Je suis rentré mi-septembre dans une haute école pour faire un gradua (baccalauréat) en comptabilité. Je savais que Maxime avait pris une autre option, étant parti un an en Australie. Il m’a dit vouloir faire une année sabbatique en vue de découvrir d’autres mondes et aussi d’apprendre l’anglais dans un pays où il fait chaud. Il n’aime pas l’Angleterre pour son climat qui est trop proche du nôtre ! Je ne cache pas que j’ai été déçu de le voir partir. Nous avions vécu de belles années entre nos seize et dix-huit ans !
Lors de cette rentrée académique, soit un graduat en comptabilité, ce qui m’a rendu heureux c’est de faire la rencontre de Loïc. Nous avons presque le même âge, nous avons en fait deux mois et demi d’écart. Je suis le plus jeune si l’on peut dire que deux mois et demi font beaucoup de différence surtout à dix-huit ans !
En fait nous sommes rencontrés en nous heurtant dans couloir du bahut et nous sommes excusés l’un l’autre. Puis nous nous sommes revus dans le même amphithéâtre. Nous nous sommes placés côte à côte pour suivre le premier cours de « macro-économie » ! A l’issue de celui-ci nous avons du temps et nous sommes allés prendre un café dans un local étudiant.
J’ai donc appris que Loïc avait un frère, Quentin âgé de 16 ans et une sœur Angélique, âgée de 15 ans. Sa maman, Aurore, est responsable caissière dans un supermarché. J’ai aussi appris que son père est lui aussi acheteur pour des chaînes de supermarchés, tout comme le mien. Bref nous n’avons pas souvent l’un et l’autre l’occasion de voir nos pères étant donné qu’ils sont souvent en déplacement dans le pays et à l’étranger. On peut dire que nous vivons plus ou moins la même vie, une maman omniprésente et un papa souvent absent !
Loïc, lui aussi a suivi des humanités en « science économiques » dans une école privée. Nous nous entendons bien d’autant plus que Loïc est fort beau gosse, cheveux blonds avec des yeux bleus, une belle bouille avec un sourire laissant voir ses dents blanches ! Je suis impressionné par ce garçon. Inutile de dire que nous nous sommes échangés nos numéros de gsm !
J’ai eu l’occasion d’aller dans la famille de Loïc. Il habite un beau quartier résidentiel d’Uccle, du côté de Fond-Roy ! C’est une belle villa entourée d’un petit jardin. Bref chaque enfants de la famille à sa propre chambre. Celle de Loïc fait bien quinze mères carré de superficie !
Lorsque je vois pour la première fois le frère et la sœur de Loïc je me rends compte qu’ils ont certains des traits de ressemblance avec moi. Il s’agit seulement d’intuitions, sans plus ! Nous révisons nos cours pour être certain d’avoir tout compris. Nous nous voyons une fois ou deux par semaine.
Je dois dire que je suis de plus en plus accro à Loïc, il me ressemble tant au point de vue caractère mais aussi un peu physiquement. Je me dis que je me fais des idées. Au fur et à mesure de nos visites chez l’un ou chez l’autre nous nous rapprochons. C’est maman qui me dit que Loïc a souvent les yeux tournés vers moi et qu’il est peut-être lui aussi gay ! Je ne sais pas encore s’il est homo ou pas. Il faut dire qu’il me plaît beaucoup avec ses yeux bleus et sa tignasse blonde !
Alors que Loïc est dans ma chambre pour revoir un cours sur la macro-économie, nous sommes assis côte à côte, leurs genoux se touchent souvent. Finalement, nous nous collons l’un à l’autre, nous nous regardons, détournons les yeux pour se regarder une nouvelle fois. Il semble qu’il a y comme une attraction entre nous. Nos visages se rapprochent, nous finissons par poser nos lèvres sur celle du copain.
Alors, nous nous embrassons en laissant nos langues partir dans une folle farandole. Nos mains partent à l’exploration du corps de celui qui nous attire, nous nous caressons l’un et l’autre puis nos mains descendent d'un cran et vont se glisser pour dégrafer le pantalon de notre partenaire. Les boxers sont maintenant baissés à leur tour, nos deux "beaux objets" s'offrent à nos regards et nous entamons une réciproque masturbation passionnée !
Je suis heureux car j’ai enfin un nouveau petit ami avec lequel je vais pouvoir poursuivre une relation tant désirée.