04-01-2022, 03:42 PM
Dans le hall de nuit nous croisons Christine et Denis. Nous sommes nus comme d’habitude quand nous sortons de la salle de bain. La sœur de Ben affiche un large sourire, Denis lui aussi esquisse un sourire amusé. Christine nous dit alors :
Chr : « Alors les amoureux, vous en avez profité ?
Ben : Heu, ben, … oui !
Chr : Vous n’avez pas été discrets même avec le son de l’eau de la douche qui coulait.
Moi : A ce point !
Den : Oui Phil, nous vous avons laissé le temps de vous cajoler !
Moi : Merci à vous deux !
Chr : Pas de souci !
Ben : Désolé ma grande sœur, mais bon tu sais quand les hormones travaillent… !
Chr : Ne t’inquiète pas frangin, c’est ça la jeunesse.
Ben : Bon, bonne nuit à vous !
Chr : Merci à vous aussi.
Den : Allez les gars, dormez bien !
Moi : Bonne nuit les amoureux.
Nous nous sommes tous les quatre mis à rire de bon cœur. Nous entrons alors tous les deux dans la chambre de mon chéri. Une fois la porte fermée nous nous embrassons une nouvelle fois à pleine bouche, nos langues se sont lancées dans une folle sarabande pour notre plus grand plaisir.
Nous nous couchons dans le lit de Ben. Mes mains se sont une nouvelle fois posées sur le corps de Ben, inutile de dire que Ben a immédiatement réagi. Nous voilà tous les deux en train de nous caresser. Ma bouche vient sucer les tétons de Ben. Puis elle descend vers les abdominaux de mon chéri. Je sens ses muscles se raidir tout comme son phallus par ailleurs. Ma langue rencontre alors le gland décalotté de sa barre de chair, ma langue descend jusqu’au pubis la base de cette délicieuse barre. Puis elle remonte vers le sommet. Puis enfin ma langue entour ce gland déjà humide pour ensuite l’enfourner dans ma cavité buccale. Ben émet des râles de plus en plus sonores. Je m’applique à bien sucer ce beau sucre d’orge qui devient de plus en plus dur. Puis, à force de déplacer mes lèvres sur cette hampe dressée, j’entends mon Ben d’amour me dire qu’il va bientôt jouir. Est-ce pour qu’il se retire de ma bouche, mais je n’ai pas l’intention de m’en défaire, je veux goûter à sa sève de vie ! Quelques secondes après Ben éjacule au fond de ma gorge. J’avale une partie de ce sperme un peu salé. Puis je me replace devant Ben et je l’embrasse à pleine bouche avec une partie de sa semence pour la partager. Ben est comme sur un nuage, il est fatigué après ce moment de pur bonheur, tant pour lui que pour moi. Il me demande un peu de temps pour récupérer avant de me faire des gâteries.
Ben se penche vers moi, m’embrasse et commence à me lécher les tétons, il suit un chemin identique à celui que j’avais suivi auparavant. Puis, je sens que ma queue dressée est engloutie dans la bouche chaude de Ben. Inutile de dire que je nage dans le bonheur. Ben s’applique à me faire sentir quelques sensations avec ses lèvres et sa langue. Mon gland est maintes fois titiller. Je sens au fur et à mesure que ma colonne de chair est parcourue par les lèvres de Ben que mon ventre devient de plus en plus chaud. Je sais que je vais bientôt libérer ma semence. C’est en râlant de plus en plus fort que Ben se rend compte que je suis prêt à venir me répandre dans sa bouche. De fait quelques secondes plus tard, des spasmes libérateurs avertissent mon amoureux que je vais jouir. Ça y est, je suis au septième ciel. Nous nous embrassons alors en mélangeant nos salives et mon sperme.
Avant de songer à dormir, nous discutons de la prochaine journée de passage, de Raphaël également. Puis dans la conversation Ben suggère de prendre aussi quelques draps de bain pour essuyer les éventuels jeunes qui auraient fait trempette involontaire dans l’eau de l’étang. Je trouve qu’il a raison, ce n’est pas un sac de plus qui changer la donne. Puis il vaut mieux tout prévoir que de se trouver dépourvu au moment même.
Je suis tellement heureux avec mon Ben d’amour. Il est sur la même longueur d’onde que moi. Nous semblons nous compléter à merveille. C’est incroyable de sentir qu’on est soutenu et avoir comme des anges gardiens qui veillent sur nous. C’est Marie d’une part, puis ce sont nos parents et les familles et bien sûr ensuite les amis, les véritables amis, ceux sur qui on peut toujours compter. Je dois bien l’avouer, je me sens bien mieux, même après la date anniversaire du décès de mon ami Henri. J’ai mon Ben qui est là auprès de moi et ce que nous avons vécu à deux avec Gaby en montagne n’a fait que renforcer nos liens. Je me rends compte aussi que l’Amitié avec un grand « A » est aussi une valeur qui fait de nous des êtres humains dotés d’un sens aigu de l’autre.
Je prends Ben dans mes bras et le serre tout contre moi. Je lui susurre à l’oreille que je l’aime plus que tout. Il me répond que lui aussi m’aime à la folie. Nous nous regardons alors les yeux dans les yeux, nos regards se font pénétrants et dans ses yeux bleus, je me laisse voguer. Ce n’est que l’appel au sommeil qui nous sort de notre état de communion intense. Nous nous embrassons avant de nous laisser aller chacun dans les bras de Morphée.
Le soleil de septembre montre déjà ses rayons bienfaisants. Il est temps de nous apprêter pour cette grande journée de passage. J’ai déjà entendu Yves se lever et quitter la maison pour aller nous chercher des pistolets frais (petits pains individuels) à la boulangerie. Il est sept heures quarante, nous devons nous presser pour ne pas être en retard. Nous avons effectivement rendez-vous à huit-heures trente près de la gare ferroviaire de Watermael-Boitsfort. Nous devons en fait installer le matériel pour le passage, soit le pont de singe et la tyrolienne.
Nous descendons à la cuisine où nous trouvons déjà Arlette qui a fait passer le café et dressé la table. Nous l’embrassons lorsque Yves arrive avec le sac rempli de bons petits pistolets encore tièdes, nous l’embrassons également. Nous mangeons de bon cœur, l’odeur des petits pains nous a ouvert l’appétit. C’est Yves qui va nous conduire avec nos sacs jusqu’au lieu de rendez-vous. Puis Ben se souvient de sa proposition de prendre des draps de bain en plus pour essuyer les éventuels « naufragés ». Arlette va donc chercher cinq grands draps de plage pour les placer dans un quatrième sac.
Il est temps de partir, nous remercions Arlette et Yves pour le bon petit déjeuner qui nous a donné des forces pour cette nouvelle journée. Nous emportons les sacs que nous plaçons dans le coffre de la voiture. Nous saluons Arlette qui est venue sur le pas de la porte pour nous dire au revoir. Yves prend la route vers la gare, lieu de rendez-vous de la journée. Le soleil se montre de plus en plus, ce qui augure d’une belle journée de fin d’été et nous pouvons espérer une bonne température pour les activités prévues de passage.
Arrivés à la gare, nous retrouvons Marc-Antoine qui est accompagné de Dominique, John et leur ami. Les autres jeunes de l’équipe sont déjà là eux aussi ! Je salue tout le monde et lorsque j’arrive devant le troisième gars qui va nous aider pour les activités, je lui dis :
Moi : « Bonjour, moi c’est Phil, heureux de faire ta connaissance !
Gré : Bonjour Phil, moi c’est Grégory. Je suis content de te rencontrer.
Moi : Merci, mais je pense t’avoir déjà vu, mais je ne me souviens plus où et dans quelles circonstances !
Gré : Je ne vais pas te mentir, j’étais membre du clan dans ton ancienne unité scoute !
Moi : Ah oui, je vois, je te reconnais maintenant !
Gré : J’espère qui tu vas mieux ! Oui je suis au courant de ce qui s’est passé à la troupe lors de la rentrée de septembre l’année dernière !
Moi : Merde alors. Mais…
Gré : Ne t’inquiète pas Phil, moi aussi j’ai quitté cette unité pour les mêmes raisons que toi.
Moi : Ah bon ! (Je suis devenu blême.)
Gré : Oui Phil, moi aussi je suis gay !
Moi : Heu….
Gré : Oui Phil, je suis gay. Marc-Antoine et Jean-Pierre me connaissent et ce matin M-A m’a briffé. Comme ça il n’y a pas de souci, que du contraire, si tu as, non si vous avez Benoît et toi, le moindre problème vous pourrez compter sur moi.
Moi : Merci Greg, je peux t’appeler Greg ?
Gré : Bien sûr, et ça c’est Benoît si je ne m’abuse !
Ben : Oui, c’est bien Benoît ou alors Ben, c’est plus court et j’aime bien que mes amis m’appelle comme ça. Je suis le petit-ami de Phil comme tu l’as dit, mais cela ne nous empêche pas d’être disponibles et à l’écoute des autres.
Gré : C’est bien ce qu’on m’a dit. Puis vous avez aussi un ami dans cette équipe, c’est Gaby. Je suis au courant de ce que vous avez fait en montagne, je vous tire mon chapeau les gars !
Moi : Oui, mais, comment dire, je…
Gré : Tu es comme ça Phil, il faut que tu t’occupes des autres. Je sais ce que c’est et je sais aussi que Ben est de la même trempe !
Ben : Merci Greg, je suis très heureux de te connaître moi aussi. Merci pour ta proposition d’aide en cas de pépin !
M-A : Bon, les gars, nous sommes tous là, je propose que nous formions les équipes, Phil, Philippe et Raphaël vous serez accompagné par John et moi-même, les trois autres iront avec Dominique et Greg. Vos accompagnateurs ont l’équipement qui est prêt, ils n’attendent que vos mains pour porter le matos.
Moi : M-A, Ben et moi nous avons aussi quatre sacs avec des affaires de rechange pour les jeunes qui tomberaient éventuellement dans l’eau.
M-A : Mais c’est incroyable comme vous êtes prévoyants et attentifs aux autres. Je savais que vous aviez l’esprit vif et très ouvert, mais ça c’est inimaginable !
Gré : Tu sais M-A, c’est souvent le fait que nous soyons « différents » qui fait, peut-être, que nous soyons plus prévoyants que les autres !
M-A : En tout cas c’est une très belle initiative ! Bon, en route vers vos points de ralliements.
Nous voilà partis en ce qui concerne mon groupe vers l’étang du Vuylbeek. Nous prenons les deux cordes et le canot gonflable, ainsi que les quatre sacs préparés. Raphaël marche à mes côtés, il ne parle pas beaucoup. Juste ce qu’il faut. Nous arrivons à l’endroit fixé. Je connais bien les lieux pour y être souvent passé, soit avec les scouts ou alors à vélo lors de mes balades en forêt de Soignes.
Chr : « Alors les amoureux, vous en avez profité ?
Ben : Heu, ben, … oui !
Chr : Vous n’avez pas été discrets même avec le son de l’eau de la douche qui coulait.
Moi : A ce point !
Den : Oui Phil, nous vous avons laissé le temps de vous cajoler !
Moi : Merci à vous deux !
Chr : Pas de souci !
Ben : Désolé ma grande sœur, mais bon tu sais quand les hormones travaillent… !
Chr : Ne t’inquiète pas frangin, c’est ça la jeunesse.
Ben : Bon, bonne nuit à vous !
Chr : Merci à vous aussi.
Den : Allez les gars, dormez bien !
Moi : Bonne nuit les amoureux.
Nous nous sommes tous les quatre mis à rire de bon cœur. Nous entrons alors tous les deux dans la chambre de mon chéri. Une fois la porte fermée nous nous embrassons une nouvelle fois à pleine bouche, nos langues se sont lancées dans une folle sarabande pour notre plus grand plaisir.
Nous nous couchons dans le lit de Ben. Mes mains se sont une nouvelle fois posées sur le corps de Ben, inutile de dire que Ben a immédiatement réagi. Nous voilà tous les deux en train de nous caresser. Ma bouche vient sucer les tétons de Ben. Puis elle descend vers les abdominaux de mon chéri. Je sens ses muscles se raidir tout comme son phallus par ailleurs. Ma langue rencontre alors le gland décalotté de sa barre de chair, ma langue descend jusqu’au pubis la base de cette délicieuse barre. Puis elle remonte vers le sommet. Puis enfin ma langue entour ce gland déjà humide pour ensuite l’enfourner dans ma cavité buccale. Ben émet des râles de plus en plus sonores. Je m’applique à bien sucer ce beau sucre d’orge qui devient de plus en plus dur. Puis, à force de déplacer mes lèvres sur cette hampe dressée, j’entends mon Ben d’amour me dire qu’il va bientôt jouir. Est-ce pour qu’il se retire de ma bouche, mais je n’ai pas l’intention de m’en défaire, je veux goûter à sa sève de vie ! Quelques secondes après Ben éjacule au fond de ma gorge. J’avale une partie de ce sperme un peu salé. Puis je me replace devant Ben et je l’embrasse à pleine bouche avec une partie de sa semence pour la partager. Ben est comme sur un nuage, il est fatigué après ce moment de pur bonheur, tant pour lui que pour moi. Il me demande un peu de temps pour récupérer avant de me faire des gâteries.
Ben se penche vers moi, m’embrasse et commence à me lécher les tétons, il suit un chemin identique à celui que j’avais suivi auparavant. Puis, je sens que ma queue dressée est engloutie dans la bouche chaude de Ben. Inutile de dire que je nage dans le bonheur. Ben s’applique à me faire sentir quelques sensations avec ses lèvres et sa langue. Mon gland est maintes fois titiller. Je sens au fur et à mesure que ma colonne de chair est parcourue par les lèvres de Ben que mon ventre devient de plus en plus chaud. Je sais que je vais bientôt libérer ma semence. C’est en râlant de plus en plus fort que Ben se rend compte que je suis prêt à venir me répandre dans sa bouche. De fait quelques secondes plus tard, des spasmes libérateurs avertissent mon amoureux que je vais jouir. Ça y est, je suis au septième ciel. Nous nous embrassons alors en mélangeant nos salives et mon sperme.
Avant de songer à dormir, nous discutons de la prochaine journée de passage, de Raphaël également. Puis dans la conversation Ben suggère de prendre aussi quelques draps de bain pour essuyer les éventuels jeunes qui auraient fait trempette involontaire dans l’eau de l’étang. Je trouve qu’il a raison, ce n’est pas un sac de plus qui changer la donne. Puis il vaut mieux tout prévoir que de se trouver dépourvu au moment même.
Je suis tellement heureux avec mon Ben d’amour. Il est sur la même longueur d’onde que moi. Nous semblons nous compléter à merveille. C’est incroyable de sentir qu’on est soutenu et avoir comme des anges gardiens qui veillent sur nous. C’est Marie d’une part, puis ce sont nos parents et les familles et bien sûr ensuite les amis, les véritables amis, ceux sur qui on peut toujours compter. Je dois bien l’avouer, je me sens bien mieux, même après la date anniversaire du décès de mon ami Henri. J’ai mon Ben qui est là auprès de moi et ce que nous avons vécu à deux avec Gaby en montagne n’a fait que renforcer nos liens. Je me rends compte aussi que l’Amitié avec un grand « A » est aussi une valeur qui fait de nous des êtres humains dotés d’un sens aigu de l’autre.
Je prends Ben dans mes bras et le serre tout contre moi. Je lui susurre à l’oreille que je l’aime plus que tout. Il me répond que lui aussi m’aime à la folie. Nous nous regardons alors les yeux dans les yeux, nos regards se font pénétrants et dans ses yeux bleus, je me laisse voguer. Ce n’est que l’appel au sommeil qui nous sort de notre état de communion intense. Nous nous embrassons avant de nous laisser aller chacun dans les bras de Morphée.
Le soleil de septembre montre déjà ses rayons bienfaisants. Il est temps de nous apprêter pour cette grande journée de passage. J’ai déjà entendu Yves se lever et quitter la maison pour aller nous chercher des pistolets frais (petits pains individuels) à la boulangerie. Il est sept heures quarante, nous devons nous presser pour ne pas être en retard. Nous avons effectivement rendez-vous à huit-heures trente près de la gare ferroviaire de Watermael-Boitsfort. Nous devons en fait installer le matériel pour le passage, soit le pont de singe et la tyrolienne.
Nous descendons à la cuisine où nous trouvons déjà Arlette qui a fait passer le café et dressé la table. Nous l’embrassons lorsque Yves arrive avec le sac rempli de bons petits pistolets encore tièdes, nous l’embrassons également. Nous mangeons de bon cœur, l’odeur des petits pains nous a ouvert l’appétit. C’est Yves qui va nous conduire avec nos sacs jusqu’au lieu de rendez-vous. Puis Ben se souvient de sa proposition de prendre des draps de bain en plus pour essuyer les éventuels « naufragés ». Arlette va donc chercher cinq grands draps de plage pour les placer dans un quatrième sac.
Il est temps de partir, nous remercions Arlette et Yves pour le bon petit déjeuner qui nous a donné des forces pour cette nouvelle journée. Nous emportons les sacs que nous plaçons dans le coffre de la voiture. Nous saluons Arlette qui est venue sur le pas de la porte pour nous dire au revoir. Yves prend la route vers la gare, lieu de rendez-vous de la journée. Le soleil se montre de plus en plus, ce qui augure d’une belle journée de fin d’été et nous pouvons espérer une bonne température pour les activités prévues de passage.
Arrivés à la gare, nous retrouvons Marc-Antoine qui est accompagné de Dominique, John et leur ami. Les autres jeunes de l’équipe sont déjà là eux aussi ! Je salue tout le monde et lorsque j’arrive devant le troisième gars qui va nous aider pour les activités, je lui dis :
Moi : « Bonjour, moi c’est Phil, heureux de faire ta connaissance !
Gré : Bonjour Phil, moi c’est Grégory. Je suis content de te rencontrer.
Moi : Merci, mais je pense t’avoir déjà vu, mais je ne me souviens plus où et dans quelles circonstances !
Gré : Je ne vais pas te mentir, j’étais membre du clan dans ton ancienne unité scoute !
Moi : Ah oui, je vois, je te reconnais maintenant !
Gré : J’espère qui tu vas mieux ! Oui je suis au courant de ce qui s’est passé à la troupe lors de la rentrée de septembre l’année dernière !
Moi : Merde alors. Mais…
Gré : Ne t’inquiète pas Phil, moi aussi j’ai quitté cette unité pour les mêmes raisons que toi.
Moi : Ah bon ! (Je suis devenu blême.)
Gré : Oui Phil, moi aussi je suis gay !
Moi : Heu….
Gré : Oui Phil, je suis gay. Marc-Antoine et Jean-Pierre me connaissent et ce matin M-A m’a briffé. Comme ça il n’y a pas de souci, que du contraire, si tu as, non si vous avez Benoît et toi, le moindre problème vous pourrez compter sur moi.
Moi : Merci Greg, je peux t’appeler Greg ?
Gré : Bien sûr, et ça c’est Benoît si je ne m’abuse !
Ben : Oui, c’est bien Benoît ou alors Ben, c’est plus court et j’aime bien que mes amis m’appelle comme ça. Je suis le petit-ami de Phil comme tu l’as dit, mais cela ne nous empêche pas d’être disponibles et à l’écoute des autres.
Gré : C’est bien ce qu’on m’a dit. Puis vous avez aussi un ami dans cette équipe, c’est Gaby. Je suis au courant de ce que vous avez fait en montagne, je vous tire mon chapeau les gars !
Moi : Oui, mais, comment dire, je…
Gré : Tu es comme ça Phil, il faut que tu t’occupes des autres. Je sais ce que c’est et je sais aussi que Ben est de la même trempe !
Ben : Merci Greg, je suis très heureux de te connaître moi aussi. Merci pour ta proposition d’aide en cas de pépin !
M-A : Bon, les gars, nous sommes tous là, je propose que nous formions les équipes, Phil, Philippe et Raphaël vous serez accompagné par John et moi-même, les trois autres iront avec Dominique et Greg. Vos accompagnateurs ont l’équipement qui est prêt, ils n’attendent que vos mains pour porter le matos.
Moi : M-A, Ben et moi nous avons aussi quatre sacs avec des affaires de rechange pour les jeunes qui tomberaient éventuellement dans l’eau.
M-A : Mais c’est incroyable comme vous êtes prévoyants et attentifs aux autres. Je savais que vous aviez l’esprit vif et très ouvert, mais ça c’est inimaginable !
Gré : Tu sais M-A, c’est souvent le fait que nous soyons « différents » qui fait, peut-être, que nous soyons plus prévoyants que les autres !
M-A : En tout cas c’est une très belle initiative ! Bon, en route vers vos points de ralliements.
Nous voilà partis en ce qui concerne mon groupe vers l’étang du Vuylbeek. Nous prenons les deux cordes et le canot gonflable, ainsi que les quatre sacs préparés. Raphaël marche à mes côtés, il ne parle pas beaucoup. Juste ce qu’il faut. Nous arrivons à l’endroit fixé. Je connais bien les lieux pour y être souvent passé, soit avec les scouts ou alors à vélo lors de mes balades en forêt de Soignes.