Vu le titre de la discussion, je peux moi aussi mettre une histoire que j'ai publiée dans cette rubrique.
Terry : Bien dormi chéri ?
Willy : Impec ! Et toi ?
Terry : Idem, mais j'ai été réveillé par la lumière et je suis déjà sortie faire un tour.
Willy : Il fait toujours aussi beau.
Terry : Oui, un ciel bleu sans nuages.
Willy : Comme d'habitude ...
T : Remarque à l'époque où il y avait du temps gris, qu'on ne pouvait pas sortir sans se mouiller, c'était pas forcément plus agréable.
W : C'est sûr, mais il devait y avoir moins de problèmes.
T : Pas évident, il arrivait qu'il y ait des inondations.
W : Ouais, comme quoi, on est passé d'une extrémité à l'autre.
T : Ça te dirais de faire un peu de toilette ?
W : Tu es fou, avec quoi ?
T : , avec quelques copains, on a trouvé ce qu'il faut.
W : Tu sais, le savon sec, c'est pas génial, je préfère éviter de l'utiliser trop souvent, ça irrite la peau.
T : Ouais, le savon sec effectivement, mieux vaut de pas l'utiliser trop souvent. Moi, ça fait 3 semaines et demie que je ne me suis pas lavé.
W : Pareil. Mieux vaut éviter ce genre de décapant. Un lavage, ça fait 3 jours de peau qui pèle et des démangeaisons.
T : Justement, pour aujourd'hui, on a mieux à te proposer.
W : Quoi ?
T : De l'eau !
W : Tu es fou, au prix que ça coûte !
T : T'inquiètes, comme je viens de le dire. On a ce qu'il faut.
W : Mais ça va faire de l'eau qui ne sera pas disponible pour boire.
T : Ça tu sais très bien que ce n'est pas un problème. Avec le recyclage de la sueur et des urines, on ne meurt quand même pas de soif.
W : Oui, c'est vrai que le progrès technique issu de l'exploration spatiale, ça a du bon.
...
W : Mais c'est quand même pas croyable comme les choses ont changé en quelques dizaines d'années. Tien, je vais te raconter une histoire.
T : Vas y.
W : Hé bien, mon grand oncle, quant il était jeune, il est allé faire une randonnée dans les calanques de Marseille.
T : Et alors ?
W : Bien entendu, il avait pris de l'eau, mais après une journée de marche, il ne lui en restait plus beaucoup.
T : La mer ne devait pas être loin, mais à cette époque là, on ne devait pas vendre des gourdes désalinisatrices.
W : En effet, et donc, il arrive à une calanque où il y a quelques habitants, et il demande de l'eau à une maison.
T : Normal, s'ils ont des robinets.
W : Il n'y en a pas à cet endroit là. Et d'ailleurs, le monsieur lui a répondu : "ici, l'eau, elle est plus chère que le pastis !"
T : Déjà à cette époque là ?
W : Peut être pas. D'ailleurs, mon grand oncle a pensé que ce marseillais se foutait de lui. Il a donc continué sa randonnée avec le peu d'eau qui restait.
T : Effectivement !
W : Mais tu connais pas la meilleure ?
T : Non.
W : Hé bien, quelques années après, il est revenu faire une randonnée dans ce secteur.
T : Et alors ?
W : Même problème pour l'eau. Il en a demandé à des gens, et on lui a répondu que l'eau était plus chère que le pastis !
T : Ces marseillais se sont donnés le mot.
W : Oui, sauf que cette fois là, il a pensé à demander combien coûtait le pastis.
T : Et alors ?
W : Hé bien, ils l'offraient ! Donc, il a bu un ou deux verres de pastis avec les habitants de la calanque, et après, ils ont été d'accord pour remplir sa gourde d'eau.
T : Hi hi, comme quoi, il fallait y penser...
W : Du reste, de nos jours, l'eau est presque aussi chère que le pastis.
T : C'est sûr.
W : Ils ont baissé les taxes sur l'anis, ce qui fait qu'en France le pastis est au même prix qu'en Espagne, mais avec la difficulté d'avoir de l'eau, on n'en boit pas souvent.
Le téléphone de Terry se met à sonner.
Terry : Allo ... oui, oui, on va arriver ...
Willy : Qui c'était ?
Terry : Félix et David. Allez viens, tu vas pouvoir faire une bonne toilette.
Willy : C'est assez bizarre que tu proposes ça, en plus, pourquoi ce serait à moi d'en profiter ?
Terry serre Willy dans ses bras et l'embrasse sur la bouche.
T : T'inquiètes, comme je l'ai dit. Tu te pose trop de questions. Allez viens, éventuellement, on s'habillera après.
W : C'est sûr ! On ne va pas mettre des vêtement pour les enlever juste après à cause de la toilette.
T : Il y a encore moins de 10 ans, les gens le faisaient.
W : Ouais. C'est au moins l'avantage des nouvelles lois, avec cette chaleur, on n'est pas obligés de s'habiller.
T : En plus, ça évite la lessive. Juste des draps de lit au bout de quelques semaines.
W : C'est sûr. Dire qu'il y a 50 ans, dans certains familles, ils faisaient plusieurs lessives pas semaine !
T : Autre temps, autres moeurs. S'il n'y avait pas eu le changement climatique, on serait peut être encore forcés de s'habiller.
W : Oui, même pour se baigner dans la mer. Ils avaient un vêtement spécial appelé maillot qu'ils mettaient sur la plage.
T : Et ça me rappelle ma petite cousine la première fois que ses parents l'ont emmené à la mer ... lors d'une baignade il y avait des vagues, et même si ses parents la tenaient par la main, elle est tombée et elle s'est mise à pleurer.
W : Elle s'est fait mal ?
T : Non. Mais elle avait mouillé le maillot.
W : Hi hi.
Terry fait un bisou à Willy et l'entraîne dehors en le tenant par la main.
T : Bon, c'est pas tout ça, on va la faire cette toilette ?
T : Voilà, on arrive.
W : On n'est pas les seuls.
T : Ouais, bon, voilà, il y a bien 2 litres d'eau pour se laver et du vrai savon comme avant ...
W : Wouaou ! Le luxe ! Mais je ne comprends toujours pas pourquoi, c'est moi qui aurai ce privilège.
T : T'occupes pas de ça comme j'ai dit, profites d'une bonne toilette.
W : Avec 2 litres d'eau, on pourrait faire ça à deux. Et un peu de nettoyage ne ferait pas de mal à tes beaux cheveux.
T : D'accord si tu veux mon amour.
Terry serre Willy dans ses bras et l'embrasse de nouveau.
Willy : Et qu'est-ce qu'ils font les autres. Même Mikaël vient de sortir son nouveau holloscope ! Hé, les gars, vous connaissez comme moi la loi sur le droit à l'image. Holofilmez tout ce que vous voulez, mais pour les publications, je dois donner l'autorisation et s'il y a des bénéfices, je mérite bien 30 % sur le recettes, étant l'acteur principal.
Raph : T'en fais pas, on connaît les lois.
Mikaël : Et même si ça te parais bizarre Willy, on n'a aucune mauvaise intention.
Willy : D'accord. En plus, c'est vrai que d'ici 10 ou 20 ans, des holofilms d'un mec qui se douche, ça risque d'être rare.
Terry : Raison de plus pour en profiter maintenant, mon chéri.
Terry se plaque derrière Willy avec les bras contre sa poitrine.
Terry : Allez, vas y, En versant un peu d'eau sur nos têtes, on en profitera tous les deux et effectivement, tu as raison, c'est plus économique que si tu te lavais tout seul. En plus, je pourrais te savonner et toi aussi.
Willy verse de l'eau sur sa tête en mettant le seau un peu en arrière pour que Terry en profite aussi. Ensuite, les 2 garçons se font face et chacun prend du savon pour frictionner les cheveux de l'autre. Pour le rinçage de la tête, Terry s'arrange pour que l'eau coule sur leur poitrine. Les deux garçons se frictionnent et se savonnent mutuellement. Willy oublie ses camarades venus les observer et plusieurs d'entre eux holofilmer la scène pour profiter pleinement de l'instant présent.
Willy : Mmmmm. Oh oui, ça faisait longtemps qu'on n'avait pas eu l'occasion de se laver.
Willy : Mmmmm. C'est bon. Dans le dos aussi. Oui, c'est ça. Mmmmm. A l'entrejambe.
Terry : Mmmmm. Tu avais raison mon pote, c'est encore mieux d'en profiter tous les deux, vas y mon amour.
Les deux garçons, continuent à se frictionner les différentes partie du corps.
Willy : Woaouh, c'est super. Trop bien ! Et en plus, on va être tous propres !
10 minutes après, les deux garçons viennent de se sécher avec une serviette.
Terry : Alors, mon chou, ça va ?
Willy : Oh oui, ça fait du bien d'être propre ! Mais je n'ai toujours pas compris pourquoi c'est moi qui ai eu ce privilège, même si je t'en ai fait profiter.
Terry : Pour tes vingt ans mon chéri.
Le groupe des autres garçons : Joyeux anniversaire, joyeux anniiveerrsaiiiiire ...
Terry embrasse Willy.
Willy : Comment, on est déjà le 1er avril ?
Willy regarde sa montre qui lui confirme la date. Il saute sur Terry qu'il embrasse fougueusement.
Willy, finit par poser la tête contre l'épaule de Terry et sanglote.
Willy : Merci mon pote, c'était une très bonne idée.
Terry : Et tu sais, je ne suis pas le seul à avoir travaillé pour qu'elle se réalise.
Willy s'écarte de Terry pour faire face aux autres garçons. Après leur éteinte, les pénis de Terry et Willy monte vers le ciel. Willy a les yeux remplis de larmes et se les essuie d'une main.
Willy : Merci les gars, c'était un superbe cadeau d'anniversaire et pour les holofilms, c'était une bonne idée de conserver un souvenir de cette douche. Vous me montrerez ça. J'ai envie de fêter ça avec vous tous. Ça vous dit de faire la fête ?
Le groupe de garçons (après quelques applaudissements) : Ouais !
Le groupe de garçons : Joyeux anniversaire, joyeux anniiveerrsaiiiiire ...
Terry : Bien dormi chéri ?
Willy : Impec ! Et toi ?
Terry : Idem, mais j'ai été réveillé par la lumière et je suis déjà sortie faire un tour.
Willy : Il fait toujours aussi beau.
Terry : Oui, un ciel bleu sans nuages.
Willy : Comme d'habitude ...
T : Remarque à l'époque où il y avait du temps gris, qu'on ne pouvait pas sortir sans se mouiller, c'était pas forcément plus agréable.
W : C'est sûr, mais il devait y avoir moins de problèmes.
T : Pas évident, il arrivait qu'il y ait des inondations.
W : Ouais, comme quoi, on est passé d'une extrémité à l'autre.
T : Ça te dirais de faire un peu de toilette ?
W : Tu es fou, avec quoi ?
T : , avec quelques copains, on a trouvé ce qu'il faut.
W : Tu sais, le savon sec, c'est pas génial, je préfère éviter de l'utiliser trop souvent, ça irrite la peau.
T : Ouais, le savon sec effectivement, mieux vaut de pas l'utiliser trop souvent. Moi, ça fait 3 semaines et demie que je ne me suis pas lavé.
W : Pareil. Mieux vaut éviter ce genre de décapant. Un lavage, ça fait 3 jours de peau qui pèle et des démangeaisons.
T : Justement, pour aujourd'hui, on a mieux à te proposer.
W : Quoi ?
T : De l'eau !
W : Tu es fou, au prix que ça coûte !
T : T'inquiètes, comme je viens de le dire. On a ce qu'il faut.
W : Mais ça va faire de l'eau qui ne sera pas disponible pour boire.
T : Ça tu sais très bien que ce n'est pas un problème. Avec le recyclage de la sueur et des urines, on ne meurt quand même pas de soif.
W : Oui, c'est vrai que le progrès technique issu de l'exploration spatiale, ça a du bon.
...
W : Mais c'est quand même pas croyable comme les choses ont changé en quelques dizaines d'années. Tien, je vais te raconter une histoire.
T : Vas y.
W : Hé bien, mon grand oncle, quant il était jeune, il est allé faire une randonnée dans les calanques de Marseille.
T : Et alors ?
W : Bien entendu, il avait pris de l'eau, mais après une journée de marche, il ne lui en restait plus beaucoup.
T : La mer ne devait pas être loin, mais à cette époque là, on ne devait pas vendre des gourdes désalinisatrices.
W : En effet, et donc, il arrive à une calanque où il y a quelques habitants, et il demande de l'eau à une maison.
T : Normal, s'ils ont des robinets.
W : Il n'y en a pas à cet endroit là. Et d'ailleurs, le monsieur lui a répondu : "ici, l'eau, elle est plus chère que le pastis !"
T : Déjà à cette époque là ?
W : Peut être pas. D'ailleurs, mon grand oncle a pensé que ce marseillais se foutait de lui. Il a donc continué sa randonnée avec le peu d'eau qui restait.
T : Effectivement !
W : Mais tu connais pas la meilleure ?
T : Non.
W : Hé bien, quelques années après, il est revenu faire une randonnée dans ce secteur.
T : Et alors ?
W : Même problème pour l'eau. Il en a demandé à des gens, et on lui a répondu que l'eau était plus chère que le pastis !
T : Ces marseillais se sont donnés le mot.
W : Oui, sauf que cette fois là, il a pensé à demander combien coûtait le pastis.
T : Et alors ?
W : Hé bien, ils l'offraient ! Donc, il a bu un ou deux verres de pastis avec les habitants de la calanque, et après, ils ont été d'accord pour remplir sa gourde d'eau.
T : Hi hi, comme quoi, il fallait y penser...
W : Du reste, de nos jours, l'eau est presque aussi chère que le pastis.
T : C'est sûr.
W : Ils ont baissé les taxes sur l'anis, ce qui fait qu'en France le pastis est au même prix qu'en Espagne, mais avec la difficulté d'avoir de l'eau, on n'en boit pas souvent.
Le téléphone de Terry se met à sonner.
Terry : Allo ... oui, oui, on va arriver ...
Willy : Qui c'était ?
Terry : Félix et David. Allez viens, tu vas pouvoir faire une bonne toilette.
Willy : C'est assez bizarre que tu proposes ça, en plus, pourquoi ce serait à moi d'en profiter ?
Terry serre Willy dans ses bras et l'embrasse sur la bouche.
T : T'inquiètes, comme je l'ai dit. Tu te pose trop de questions. Allez viens, éventuellement, on s'habillera après.
W : C'est sûr ! On ne va pas mettre des vêtement pour les enlever juste après à cause de la toilette.
T : Il y a encore moins de 10 ans, les gens le faisaient.
W : Ouais. C'est au moins l'avantage des nouvelles lois, avec cette chaleur, on n'est pas obligés de s'habiller.
T : En plus, ça évite la lessive. Juste des draps de lit au bout de quelques semaines.
W : C'est sûr. Dire qu'il y a 50 ans, dans certains familles, ils faisaient plusieurs lessives pas semaine !
T : Autre temps, autres moeurs. S'il n'y avait pas eu le changement climatique, on serait peut être encore forcés de s'habiller.
W : Oui, même pour se baigner dans la mer. Ils avaient un vêtement spécial appelé maillot qu'ils mettaient sur la plage.
T : Et ça me rappelle ma petite cousine la première fois que ses parents l'ont emmené à la mer ... lors d'une baignade il y avait des vagues, et même si ses parents la tenaient par la main, elle est tombée et elle s'est mise à pleurer.
W : Elle s'est fait mal ?
T : Non. Mais elle avait mouillé le maillot.
W : Hi hi.
Terry fait un bisou à Willy et l'entraîne dehors en le tenant par la main.
T : Bon, c'est pas tout ça, on va la faire cette toilette ?
T : Voilà, on arrive.
W : On n'est pas les seuls.
T : Ouais, bon, voilà, il y a bien 2 litres d'eau pour se laver et du vrai savon comme avant ...
W : Wouaou ! Le luxe ! Mais je ne comprends toujours pas pourquoi, c'est moi qui aurai ce privilège.
T : T'occupes pas de ça comme j'ai dit, profites d'une bonne toilette.
W : Avec 2 litres d'eau, on pourrait faire ça à deux. Et un peu de nettoyage ne ferait pas de mal à tes beaux cheveux.
T : D'accord si tu veux mon amour.
Terry serre Willy dans ses bras et l'embrasse de nouveau.
Willy : Et qu'est-ce qu'ils font les autres. Même Mikaël vient de sortir son nouveau holloscope ! Hé, les gars, vous connaissez comme moi la loi sur le droit à l'image. Holofilmez tout ce que vous voulez, mais pour les publications, je dois donner l'autorisation et s'il y a des bénéfices, je mérite bien 30 % sur le recettes, étant l'acteur principal.
Raph : T'en fais pas, on connaît les lois.
Mikaël : Et même si ça te parais bizarre Willy, on n'a aucune mauvaise intention.
Willy : D'accord. En plus, c'est vrai que d'ici 10 ou 20 ans, des holofilms d'un mec qui se douche, ça risque d'être rare.
Terry : Raison de plus pour en profiter maintenant, mon chéri.
Terry se plaque derrière Willy avec les bras contre sa poitrine.
Terry : Allez, vas y, En versant un peu d'eau sur nos têtes, on en profitera tous les deux et effectivement, tu as raison, c'est plus économique que si tu te lavais tout seul. En plus, je pourrais te savonner et toi aussi.
Willy verse de l'eau sur sa tête en mettant le seau un peu en arrière pour que Terry en profite aussi. Ensuite, les 2 garçons se font face et chacun prend du savon pour frictionner les cheveux de l'autre. Pour le rinçage de la tête, Terry s'arrange pour que l'eau coule sur leur poitrine. Les deux garçons se frictionnent et se savonnent mutuellement. Willy oublie ses camarades venus les observer et plusieurs d'entre eux holofilmer la scène pour profiter pleinement de l'instant présent.
Willy : Mmmmm. Oh oui, ça faisait longtemps qu'on n'avait pas eu l'occasion de se laver.
Willy : Mmmmm. C'est bon. Dans le dos aussi. Oui, c'est ça. Mmmmm. A l'entrejambe.
Terry : Mmmmm. Tu avais raison mon pote, c'est encore mieux d'en profiter tous les deux, vas y mon amour.
Les deux garçons, continuent à se frictionner les différentes partie du corps.
Willy : Woaouh, c'est super. Trop bien ! Et en plus, on va être tous propres !
10 minutes après, les deux garçons viennent de se sécher avec une serviette.
Terry : Alors, mon chou, ça va ?
Willy : Oh oui, ça fait du bien d'être propre ! Mais je n'ai toujours pas compris pourquoi c'est moi qui ai eu ce privilège, même si je t'en ai fait profiter.
Terry : Pour tes vingt ans mon chéri.
Le groupe des autres garçons : Joyeux anniversaire, joyeux anniiveerrsaiiiiire ...
Terry embrasse Willy.
Willy : Comment, on est déjà le 1er avril ?
Willy regarde sa montre qui lui confirme la date. Il saute sur Terry qu'il embrasse fougueusement.
Willy, finit par poser la tête contre l'épaule de Terry et sanglote.
Willy : Merci mon pote, c'était une très bonne idée.
Terry : Et tu sais, je ne suis pas le seul à avoir travaillé pour qu'elle se réalise.
Willy s'écarte de Terry pour faire face aux autres garçons. Après leur éteinte, les pénis de Terry et Willy monte vers le ciel. Willy a les yeux remplis de larmes et se les essuie d'une main.
Willy : Merci les gars, c'était un superbe cadeau d'anniversaire et pour les holofilms, c'était une bonne idée de conserver un souvenir de cette douche. Vous me montrerez ça. J'ai envie de fêter ça avec vous tous. Ça vous dit de faire la fête ?
Le groupe de garçons (après quelques applaudissements) : Ouais !
Le groupe de garçons : Joyeux anniversaire, joyeux anniiveerrsaiiiiire ...