27-11-2021, 11:09 PM
— On se la met ?
— Euh, pour moi... je sais pas encore...
— On va le faire scientifiquement... et tu vas grimper au plafond, j'te promets !
— T'es sûr ?
— On commence par moi.
Attentif aux ordres de Killian, lui fit ce que demandé : langue, doigts, pénétration. Vif moment qu'iceluy ! Mais Killian lui interdit de jouir... avant qu'il s'occupât de lui.
Il ne mouftait pas, le beau sportif ! Mais il parut à Killian qu'il n'osait rien dire, alors... Alors Killian fit comme si tout allait de soi, et entama le divin processus. Peu à peu détendu, Godefroy laissa faire... sans oser le moindre commentaire.
Enfin, Killian osa pousser sa fine ogive contre le petit trou de Godefroy... qui était déjà bien ouvert. Ce qui se fit sans douleur et sans récriminations.
— Oh... gémit Godefroy, tu m'encules... Oui, encule-moi !
Vite au fond, grâce aux préparatifs et à la dose de gel, Killian murmura :
— Ça va, bébé, je te fais pas mal ?
— Non, prends-moi, prends-moi, bébé ! Baise-moi à fond !
Le ton était donné. Et cette expérience fut une réussite. Et lorsqu'il eut débordé, Killian souffla :
— P'tain ! T'as tenu une demi-heure... Génial ! T'aimes qu'on t'avale le jus ?
— Tu rigoles ? Pas une nana qui fait ça !
— Moi, si.
Cette dernière séquence ne fut pas la moins émouvante. Et Killian, désormais paré de toutes les audaces, se paya le luxe de recracher le jus de Godefroy sur les lèvres d'iceluy pour l'embrasser vivement.
— J'y crois pas... murmura Godefroy, quand on eut chacun avalé sa part de foutre. Y sont tous comme ça, les mecs ?
— On va loin quand on est bien avec l'autre, je crois... T'aimes le cul... et moi aussi. On a encore des trucs à faire.
— Oh !
On déjeuna, tout en faisant connaissance. Et en se caressant abondamment. Killian était aux anges, mais il s'efforça de ne le montrer pas. Au reste, Godefroy parlait ouvertement de ses bonnes fortunes, et donnait même des détails dont Killian se serait aisément passé, en savourant ses croissants...
Mais il parut qu'on se sentait bien. De plus, ce garçon évoquait, prudement, certes, de possibles prochaines fois... Killian marchait évidemment sur des œufs. Mais il eut la surprise d'entendre cet aveu du beau Godefroy :
— T'as vu mes potes ? Y m'excitent... Tu m'aiderais ?
Sûr qu'il allait pas refuser la mission, Killian ! Un brun et un châtain jolis, grands, bien faits et dans ses goûts... Miam ! La stratégie fut vite mise au point : Godefroy n'aurait qu'à dire qu'il s'était fait draguer, et qu'il tirait un mec... qui suçait bien. Ceci pour appâter ses deux clients sans les effrayer.
Les choses traînèrent un peu, cependant. Plus de deux semaines : ou c'était Godefroy qui ne savait pas vendre ? Entre-temps, on baisait tous les trois jours, en moyenne...
Enfin, l'un des deux, le brun Ludovic accepta de venir mater son pote... pour commencer. Rayonnant garçon au sourire engageant et à l'œil bleu, il était aussi assez déconneur, le verre de Leffe (y en avait plein une péniche de 85 m amarrée dans l'arrière cuisine) en main... mais se troubla quand Killian lui demanda doucement :
— T'aimes pas assez le cul, pour avoir pas voulu tout de suite mater ton pote de partouze avec un mec ? Chut ! Réponds pas ! Allez, Godefroy, on lui montre ce qu'on sait faire ! Et pis toi... tu te branles comme un enragé, hein ? Ou j'te suce tout de suite ?
— Euh... Non, non !... Faites...
Vite à poil, les deux stars de la soirée feignirent d'ignorer le néophyte... qui ne tarda pas à se toucher le paquet, puis à se désaper, par petits bouts. Son bout à lui, ne l'était pas, petit ! Une longue et fine épée lisse et droite...
— Putain ! Trop belle, ta queue, mon pote ! s'écria soudain Killian en relevant le museau de la fente de Godefroy, qu'il était en train d'explorer avec une science de spéléologue.
La suite fut que Godefroy encula gentiment Killian qui, sur le dos, fit signe à Ludovic de venir se faire sucer. Et ça marcha. Sauf que ce jeune homme sursauta, quand son enculeur de copain lui plaqua une main sur la fesse !
Killian ronronnait tout haut, tandis que les autres échangeaient des propos... heureusement réservés à cette fine compagnie :
— Y suce bien mon pote, hein ? feulait Godefroy.
— Ouais, p'tain, c'est bon !
— Tu vas v'nir le bourrer, hein ?
— Ouais, j'vais l'bourrer...
Et autres joyeusetés de la même farine. Le tout parvenant aux oreilles d'un Killian qui était aux anges, dans cette ardente configuration...
— Godefroy ! Tu laisses la place à Ludovic ? J'te bouffe le cul !
Ludovic n'eut pas de mal à se frayer un passage en le doux et bien humide intérieur de Killian... mais ouvrit de grands yeux quand il vit son pote s'asseoir sur le visage du fin enculé, et se pencher pour lui prendre les épaules en le regardant en face, avec un large sourire...
— P'tain ! C'est bon de se faire bouffer la chatte, mec !
Tout à son affaire, Ludovic n'eut pas l'occasion de répondre. Et même, Godefroy eut l'impression qu'il y allait avec encore un peu plus d'énergie, comme si ça l'excitait !
Donc les choses en étaient au meilleur degré de chaleur, toutes sources confondue... Sauf que le néo-enculeur ne voyait pas tout : et c'était que tandis qu'il se faisait fourrer gentiment, Killian doigtait efficacement le gars Godefroy... qui finit par beugler, en se retournant brusquement pour offrir sa rondelle à Ludovic :
— Oh, mec, tu me la mets, vite !
Voilà qui n'avait pas été prévu ! Il y eut un instant de flottement, là... mais Killian cria :
— Vite, vous êtes chauds, là, bourre-le !
Ludovic y alla sans plus de manières que ça, pensez ! Bien qu'habitué déjà depuis quelque temps aux intrusions de Killian, le trou de Godefroy restait ferme et musclé... et ça fit de l'effet au beau mandrin de Ludovic... qui ne se retint pas sur les décibels. Et déborda dans son copain avec force rugissements...
— Tu restes encore avec nous ? demanda doucement Killian. On pourra faire autre chose d'amusant, tu veux ?
Il sembla que le mecton n'osa pas refuser. Pour l'instant, Killian ajouta :
— Mais j'ai pas joui moi...
— Ludo, tu le suces ?
— Ben...
— Viens avec moi !
Et Godefroy d'attirer par la nuque le visage vers le bel et roide objet de Killian, qu'il lécha, soufflant ensuite :
— Tu fais comme moi : tu verras, ça vient tout seul, la technique !
Incapable de refuser, Ludovic suivit donc son initiateur en léchage, et pipe itou.
Il ne refusa pas l'obstacle, non ! Même quand il sentit un doigt de Godefroy venir lui caresser la rondelle... Mais pris par l'action, et la situation internationale, il lui était bien impossible de réagir...
— Ouais, pompe-le, vas-y, pompe-le bien, bébé ! commanda enfin Godefroy.
À ce moment de l'histoire, Ludovic n'avait plus besoin d'encouragements ! Qui eut cependant une surprise de plus : oh, putain ! Mais c'est que Godefroy lui bouffait le cul ! Ce jeune homme émit un immense gémissement, qui fit pouffer Killian. Mais Ludovic continua à pomper la jolie bite.
— Euh, pour moi... je sais pas encore...
— On va le faire scientifiquement... et tu vas grimper au plafond, j'te promets !
— T'es sûr ?
— On commence par moi.
Attentif aux ordres de Killian, lui fit ce que demandé : langue, doigts, pénétration. Vif moment qu'iceluy ! Mais Killian lui interdit de jouir... avant qu'il s'occupât de lui.
Il ne mouftait pas, le beau sportif ! Mais il parut à Killian qu'il n'osait rien dire, alors... Alors Killian fit comme si tout allait de soi, et entama le divin processus. Peu à peu détendu, Godefroy laissa faire... sans oser le moindre commentaire.
Enfin, Killian osa pousser sa fine ogive contre le petit trou de Godefroy... qui était déjà bien ouvert. Ce qui se fit sans douleur et sans récriminations.
— Oh... gémit Godefroy, tu m'encules... Oui, encule-moi !
Vite au fond, grâce aux préparatifs et à la dose de gel, Killian murmura :
— Ça va, bébé, je te fais pas mal ?
— Non, prends-moi, prends-moi, bébé ! Baise-moi à fond !
Le ton était donné. Et cette expérience fut une réussite. Et lorsqu'il eut débordé, Killian souffla :
— P'tain ! T'as tenu une demi-heure... Génial ! T'aimes qu'on t'avale le jus ?
— Tu rigoles ? Pas une nana qui fait ça !
— Moi, si.
Cette dernière séquence ne fut pas la moins émouvante. Et Killian, désormais paré de toutes les audaces, se paya le luxe de recracher le jus de Godefroy sur les lèvres d'iceluy pour l'embrasser vivement.
— J'y crois pas... murmura Godefroy, quand on eut chacun avalé sa part de foutre. Y sont tous comme ça, les mecs ?
— On va loin quand on est bien avec l'autre, je crois... T'aimes le cul... et moi aussi. On a encore des trucs à faire.
— Oh !
On déjeuna, tout en faisant connaissance. Et en se caressant abondamment. Killian était aux anges, mais il s'efforça de ne le montrer pas. Au reste, Godefroy parlait ouvertement de ses bonnes fortunes, et donnait même des détails dont Killian se serait aisément passé, en savourant ses croissants...
Mais il parut qu'on se sentait bien. De plus, ce garçon évoquait, prudement, certes, de possibles prochaines fois... Killian marchait évidemment sur des œufs. Mais il eut la surprise d'entendre cet aveu du beau Godefroy :
— T'as vu mes potes ? Y m'excitent... Tu m'aiderais ?
Sûr qu'il allait pas refuser la mission, Killian ! Un brun et un châtain jolis, grands, bien faits et dans ses goûts... Miam ! La stratégie fut vite mise au point : Godefroy n'aurait qu'à dire qu'il s'était fait draguer, et qu'il tirait un mec... qui suçait bien. Ceci pour appâter ses deux clients sans les effrayer.
Les choses traînèrent un peu, cependant. Plus de deux semaines : ou c'était Godefroy qui ne savait pas vendre ? Entre-temps, on baisait tous les trois jours, en moyenne...
Enfin, l'un des deux, le brun Ludovic accepta de venir mater son pote... pour commencer. Rayonnant garçon au sourire engageant et à l'œil bleu, il était aussi assez déconneur, le verre de Leffe (y en avait plein une péniche de 85 m amarrée dans l'arrière cuisine) en main... mais se troubla quand Killian lui demanda doucement :
— T'aimes pas assez le cul, pour avoir pas voulu tout de suite mater ton pote de partouze avec un mec ? Chut ! Réponds pas ! Allez, Godefroy, on lui montre ce qu'on sait faire ! Et pis toi... tu te branles comme un enragé, hein ? Ou j'te suce tout de suite ?
— Euh... Non, non !... Faites...
Vite à poil, les deux stars de la soirée feignirent d'ignorer le néophyte... qui ne tarda pas à se toucher le paquet, puis à se désaper, par petits bouts. Son bout à lui, ne l'était pas, petit ! Une longue et fine épée lisse et droite...
— Putain ! Trop belle, ta queue, mon pote ! s'écria soudain Killian en relevant le museau de la fente de Godefroy, qu'il était en train d'explorer avec une science de spéléologue.
La suite fut que Godefroy encula gentiment Killian qui, sur le dos, fit signe à Ludovic de venir se faire sucer. Et ça marcha. Sauf que ce jeune homme sursauta, quand son enculeur de copain lui plaqua une main sur la fesse !
Killian ronronnait tout haut, tandis que les autres échangeaient des propos... heureusement réservés à cette fine compagnie :
— Y suce bien mon pote, hein ? feulait Godefroy.
— Ouais, p'tain, c'est bon !
— Tu vas v'nir le bourrer, hein ?
— Ouais, j'vais l'bourrer...
Et autres joyeusetés de la même farine. Le tout parvenant aux oreilles d'un Killian qui était aux anges, dans cette ardente configuration...
— Godefroy ! Tu laisses la place à Ludovic ? J'te bouffe le cul !
Ludovic n'eut pas de mal à se frayer un passage en le doux et bien humide intérieur de Killian... mais ouvrit de grands yeux quand il vit son pote s'asseoir sur le visage du fin enculé, et se pencher pour lui prendre les épaules en le regardant en face, avec un large sourire...
— P'tain ! C'est bon de se faire bouffer la chatte, mec !
Tout à son affaire, Ludovic n'eut pas l'occasion de répondre. Et même, Godefroy eut l'impression qu'il y allait avec encore un peu plus d'énergie, comme si ça l'excitait !
Donc les choses en étaient au meilleur degré de chaleur, toutes sources confondue... Sauf que le néo-enculeur ne voyait pas tout : et c'était que tandis qu'il se faisait fourrer gentiment, Killian doigtait efficacement le gars Godefroy... qui finit par beugler, en se retournant brusquement pour offrir sa rondelle à Ludovic :
— Oh, mec, tu me la mets, vite !
Voilà qui n'avait pas été prévu ! Il y eut un instant de flottement, là... mais Killian cria :
— Vite, vous êtes chauds, là, bourre-le !
Ludovic y alla sans plus de manières que ça, pensez ! Bien qu'habitué déjà depuis quelque temps aux intrusions de Killian, le trou de Godefroy restait ferme et musclé... et ça fit de l'effet au beau mandrin de Ludovic... qui ne se retint pas sur les décibels. Et déborda dans son copain avec force rugissements...
— Tu restes encore avec nous ? demanda doucement Killian. On pourra faire autre chose d'amusant, tu veux ?
Il sembla que le mecton n'osa pas refuser. Pour l'instant, Killian ajouta :
— Mais j'ai pas joui moi...
— Ludo, tu le suces ?
— Ben...
— Viens avec moi !
Et Godefroy d'attirer par la nuque le visage vers le bel et roide objet de Killian, qu'il lécha, soufflant ensuite :
— Tu fais comme moi : tu verras, ça vient tout seul, la technique !
Incapable de refuser, Ludovic suivit donc son initiateur en léchage, et pipe itou.
Il ne refusa pas l'obstacle, non ! Même quand il sentit un doigt de Godefroy venir lui caresser la rondelle... Mais pris par l'action, et la situation internationale, il lui était bien impossible de réagir...
— Ouais, pompe-le, vas-y, pompe-le bien, bébé ! commanda enfin Godefroy.
À ce moment de l'histoire, Ludovic n'avait plus besoin d'encouragements ! Qui eut cependant une surprise de plus : oh, putain ! Mais c'est que Godefroy lui bouffait le cul ! Ce jeune homme émit un immense gémissement, qui fit pouffer Killian. Mais Ludovic continua à pomper la jolie bite.
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.