18-11-2021, 10:22 PM
Voici enfin la suite, désolé pour l’attente qui a dû vous paraître interminable. Il m’arrive d’écrire autre chose que ce récit.
Chapitre 10 - Vacances aux Pays-Bas (11)
Mercredi 19 août 1964, Amsterdam
Rembrandt demanda quelque chose en néerlandais à Frédéric, puis le répéta en anglais, voyant qu’il n’avait pas compris :
— Et toi, comment t’appelles-tu ?
— Frédéric.
— Tu viens d’où ?
— De Suisse.
— Tu parles français ?
— Oui.
— Je te chanterai quelque chose dans ta langue tout à l’heure. Tu es d’accord que je touche ta bite et que je la suce ?
— Bien sûr, dit Frédéric en riant, pourquoi cette question ?
— Il y a des hommes qui préfèrent se branler eux-mêmes en nous matant. Tu me dis si quelque chose ne te plaît pas.
Rembrandt caressa le membre sur l’étoffe du slip avant de glisser sa main à l’intérieur. Il le décalotta, jouant avec le prépuce et le frein, effleurant la couronne du gland, jusqu’à l’obtention d’une belle érection. Il entreprit ensuite de déshabiller Frédéric qui fut surpris car il allait se retrouver nu en présence des autres, il se laissa faire, ce devait être l’habitude de la maison. Rembrandt lui enleva son polo, puis il s’agenouilla, lui ôta ses chaussures, ses chaussettes, son pantalon et son slip. Cette nudité incongrue et inattendue excita le Suisse et le fit bander encore plus fort. Il devina que Koen était dans le même état à côté de lui, mais il se garda bien de contrôler.
Rembrandt caressa les couilles et la hampe, puis les lécha longuement, du liquide suinta du méat. Il s’attaqua ensuite au gland et le prit dans sa bouche, débutant des va-et-vient tout en tenant fermement la base du pénis. Frédéric se détendit, chercha la position la plus confortable et ferma les yeux, laissant l’excitation monter, lentement et inexorablement. Il voulut dire à Rembrandt qu’il allait jouir mais celui-ci l’avait remarqué et sorti le pénis de sa bouche, il s’écarta pour ne pas recevoir la semence sur son visage. Il la recueillit dans un mouchoir et nettoya ensuite le gland, avant d’aider Frédéric à remettre son slip.
— Tu as aimé ? demanda Rembrandt à Frédéric à voix basse.
— C’était parfait, mais je ne sais pas si j’aurais encore de l’influx plus tard.
— T’inquiète pas, moi, j’en aurai. Je me réjouis de mettre ma grosse bite dans ton petit cul. Rare que j’aie des mecs aussi jeunes que toi.
Le prostitué s’éclipsa. Frédéric reprit ses esprits en écoutant les bruits de succion sur le pénis de Koen. Celui-ci jouit quelques instants plus tard en poussant un cri, c’était inhabituel de sa part, il contrôlait mieux ses émotions d’habitude.
— Ils sont calés, chuchota Frédéric à l’oreille de son ami.
— Ce sont des pros. Je ne veux pas te vexer, mais le mien suce mieux que toi.
— Je ne me vexe pas, nous avons encore beaucoup à apprendre pour atteindre leur niveau.
Le barman alluma une bougie sur le comptoir du bar. L’homme en face d’eux avait gardé son débardeur qui cachait mal son embonpoint, ainsi que son slip. Le capitaine entra avec un autre client, vêtu d’un costume gris et d’une cravate bleu roi. Il avait des lunettes avec une épaisse monture noire, il tenait une serviette de cuir noir à la main. Il paraissait emprunté et s’assit en face de Koen qui dit à Frédéric :
— Ce doit être un employé de banque qui a une femme et des enfants et qui a envie de se faire sucer par un homme pour la première fois.
— Tu es bien renseigné, est-il surveillé par les services secrets ?
— Non, ce ne sont que des suppositions.
— Ou alors c’est un membre des services secrets qui te surveille pour faire un rapport à ton père.
Le barman apporta un verre à l’homme avant de le débraguetter. Koen révisa son jugement :
— Je pense plutôt qu’il a une queue de fonctionnaire, il doit travailler au fisc. Elle est aussi grise que son costume.
— Tu penses qu’on peut déterminer la profession d’un homme en fonction de sa bite ?
— Je vais faire des recherches à ce sujet et je te redirai.
Le capitaine interrompit les élucubrations de Koen. Il avait un accordéon et commença à en jouer. Il alluma un projecteur au centre de la pièce. Un homme entra, vêtu que d’un string rouge. Il avait une musculature impressionnante mais belle, ce n’était pas un bodybuilder. Il ouvrit une caisse posée devant le bar et en sortit des haltères. Koen ne put s’empêcher de dire qu’il avait une petite queue.
— Ne te fie pas aux apparences, rétorqua Frédéric, tu verras quand tu l’auras entre tes fesses.
— Non, moi je veux baiser avec celui qui m’a sucé.
L’haltérophile présenta un numéro comique de cirque, essayant à de nombreuses reprises de soulever les haltères, sans jamais y arriver. Il parlait, faisant rire les spectateurs, Frédéric ne comprenait pas. À la fin, il réussit à les élever au-dessus de sa tête en faisant des grimaces. Il termina son numéro en enlevant son string, confortant l’opinion de Koen au sujet de la grosseur de sa queue.
— Bravo Luuk ! fit le capitaine. Quelqu’un voudrait-il aussi essayer ?
— Moi, dit Koen, je suis sûr qu’elles sont fausses.
— Tu n’es pas le premier à douter. Viens essayer.
Koen se leva et se plaça sous le projecteur. Il dut se rendre à l’évidence : c’étaient des vraies haltères et il ne put pas les soulever. Il félicita le sportif et voulut retourner à sa place.
— Enlève aussi ton slip, Thomas ! dit l’homme en débardeur. C’est le gage pour les incrédules.
— Tu es bien curieux, Joop, dit le capitaine. Ces jeunes gens ne sont pas des habitués comme toi, ils ont payé, eux.
Koen se sentait à l’aise sur cette péniche et tout le monde finirait par être à poil, il baissa son slip pour faire plaisir à Joop.
— Belle bite, dit celui-ci. On peut voir celle de l’autre garçon ?
Frédéric hésita, Koen l’encouragea. Ils se retrouvèrent les deux l’un à côté de l’autre, le slip sur les chevilles. L’employé de banque ou fonctionnaire jouit à ce moment-là, toujours sucé par le barman.
— Tu pourrais aussi lui dire qu’il a une belle bite, dit le capitaine à Joop, je traduirai, il est Suisse.
— Ouais, elle est aussi belle, mais j’aime mieux celle de mon compatriote.
— Chauvin ! Merci les gars de votre collaboration, je vous invite pour le repas après, c’est moi qui fais la cuisine sur ce rafiot, il paraît que je suis plus doué pour ça que pour le cul. On va continuer les spectacles. C’est au tour de Marlène.
— Marlène ? s’étonna Koen. Une femme ?
— Et alors ? dit Frédéric, ce ne serait pas la première fois qu’une femme te suce. Il me semble que je t’ai laissé batifoler avec Dom.
Chapitre 10 - Vacances aux Pays-Bas (11)
Mercredi 19 août 1964, Amsterdam
Rembrandt demanda quelque chose en néerlandais à Frédéric, puis le répéta en anglais, voyant qu’il n’avait pas compris :
— Et toi, comment t’appelles-tu ?
— Frédéric.
— Tu viens d’où ?
— De Suisse.
— Tu parles français ?
— Oui.
— Je te chanterai quelque chose dans ta langue tout à l’heure. Tu es d’accord que je touche ta bite et que je la suce ?
— Bien sûr, dit Frédéric en riant, pourquoi cette question ?
— Il y a des hommes qui préfèrent se branler eux-mêmes en nous matant. Tu me dis si quelque chose ne te plaît pas.
Rembrandt caressa le membre sur l’étoffe du slip avant de glisser sa main à l’intérieur. Il le décalotta, jouant avec le prépuce et le frein, effleurant la couronne du gland, jusqu’à l’obtention d’une belle érection. Il entreprit ensuite de déshabiller Frédéric qui fut surpris car il allait se retrouver nu en présence des autres, il se laissa faire, ce devait être l’habitude de la maison. Rembrandt lui enleva son polo, puis il s’agenouilla, lui ôta ses chaussures, ses chaussettes, son pantalon et son slip. Cette nudité incongrue et inattendue excita le Suisse et le fit bander encore plus fort. Il devina que Koen était dans le même état à côté de lui, mais il se garda bien de contrôler.
Rembrandt caressa les couilles et la hampe, puis les lécha longuement, du liquide suinta du méat. Il s’attaqua ensuite au gland et le prit dans sa bouche, débutant des va-et-vient tout en tenant fermement la base du pénis. Frédéric se détendit, chercha la position la plus confortable et ferma les yeux, laissant l’excitation monter, lentement et inexorablement. Il voulut dire à Rembrandt qu’il allait jouir mais celui-ci l’avait remarqué et sorti le pénis de sa bouche, il s’écarta pour ne pas recevoir la semence sur son visage. Il la recueillit dans un mouchoir et nettoya ensuite le gland, avant d’aider Frédéric à remettre son slip.
— Tu as aimé ? demanda Rembrandt à Frédéric à voix basse.
— C’était parfait, mais je ne sais pas si j’aurais encore de l’influx plus tard.
— T’inquiète pas, moi, j’en aurai. Je me réjouis de mettre ma grosse bite dans ton petit cul. Rare que j’aie des mecs aussi jeunes que toi.
Le prostitué s’éclipsa. Frédéric reprit ses esprits en écoutant les bruits de succion sur le pénis de Koen. Celui-ci jouit quelques instants plus tard en poussant un cri, c’était inhabituel de sa part, il contrôlait mieux ses émotions d’habitude.
— Ils sont calés, chuchota Frédéric à l’oreille de son ami.
— Ce sont des pros. Je ne veux pas te vexer, mais le mien suce mieux que toi.
— Je ne me vexe pas, nous avons encore beaucoup à apprendre pour atteindre leur niveau.
Le barman alluma une bougie sur le comptoir du bar. L’homme en face d’eux avait gardé son débardeur qui cachait mal son embonpoint, ainsi que son slip. Le capitaine entra avec un autre client, vêtu d’un costume gris et d’une cravate bleu roi. Il avait des lunettes avec une épaisse monture noire, il tenait une serviette de cuir noir à la main. Il paraissait emprunté et s’assit en face de Koen qui dit à Frédéric :
— Ce doit être un employé de banque qui a une femme et des enfants et qui a envie de se faire sucer par un homme pour la première fois.
— Tu es bien renseigné, est-il surveillé par les services secrets ?
— Non, ce ne sont que des suppositions.
— Ou alors c’est un membre des services secrets qui te surveille pour faire un rapport à ton père.
Le barman apporta un verre à l’homme avant de le débraguetter. Koen révisa son jugement :
— Je pense plutôt qu’il a une queue de fonctionnaire, il doit travailler au fisc. Elle est aussi grise que son costume.
— Tu penses qu’on peut déterminer la profession d’un homme en fonction de sa bite ?
— Je vais faire des recherches à ce sujet et je te redirai.
Le capitaine interrompit les élucubrations de Koen. Il avait un accordéon et commença à en jouer. Il alluma un projecteur au centre de la pièce. Un homme entra, vêtu que d’un string rouge. Il avait une musculature impressionnante mais belle, ce n’était pas un bodybuilder. Il ouvrit une caisse posée devant le bar et en sortit des haltères. Koen ne put s’empêcher de dire qu’il avait une petite queue.
— Ne te fie pas aux apparences, rétorqua Frédéric, tu verras quand tu l’auras entre tes fesses.
— Non, moi je veux baiser avec celui qui m’a sucé.
L’haltérophile présenta un numéro comique de cirque, essayant à de nombreuses reprises de soulever les haltères, sans jamais y arriver. Il parlait, faisant rire les spectateurs, Frédéric ne comprenait pas. À la fin, il réussit à les élever au-dessus de sa tête en faisant des grimaces. Il termina son numéro en enlevant son string, confortant l’opinion de Koen au sujet de la grosseur de sa queue.
— Bravo Luuk ! fit le capitaine. Quelqu’un voudrait-il aussi essayer ?
— Moi, dit Koen, je suis sûr qu’elles sont fausses.
— Tu n’es pas le premier à douter. Viens essayer.
Koen se leva et se plaça sous le projecteur. Il dut se rendre à l’évidence : c’étaient des vraies haltères et il ne put pas les soulever. Il félicita le sportif et voulut retourner à sa place.
— Enlève aussi ton slip, Thomas ! dit l’homme en débardeur. C’est le gage pour les incrédules.
— Tu es bien curieux, Joop, dit le capitaine. Ces jeunes gens ne sont pas des habitués comme toi, ils ont payé, eux.
Koen se sentait à l’aise sur cette péniche et tout le monde finirait par être à poil, il baissa son slip pour faire plaisir à Joop.
— Belle bite, dit celui-ci. On peut voir celle de l’autre garçon ?
Frédéric hésita, Koen l’encouragea. Ils se retrouvèrent les deux l’un à côté de l’autre, le slip sur les chevilles. L’employé de banque ou fonctionnaire jouit à ce moment-là, toujours sucé par le barman.
— Tu pourrais aussi lui dire qu’il a une belle bite, dit le capitaine à Joop, je traduirai, il est Suisse.
— Ouais, elle est aussi belle, mais j’aime mieux celle de mon compatriote.
— Chauvin ! Merci les gars de votre collaboration, je vous invite pour le repas après, c’est moi qui fais la cuisine sur ce rafiot, il paraît que je suis plus doué pour ça que pour le cul. On va continuer les spectacles. C’est au tour de Marlène.
— Marlène ? s’étonna Koen. Une femme ?
— Et alors ? dit Frédéric, ce ne serait pas la première fois qu’une femme te suce. Il me semble que je t’ai laissé batifoler avec Dom.
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