07-08-2020, 02:30 PM
1ere ANNEE NOUVEL AN : (19 / 20) (Chez les Viala)
Gêner par mes vêtements somme toute encombrant, je tire un coup sec sur les pressions du pyjama et les scratchs de la couche puis d’un bon je saute dans les bras de Thomas qui pour ne pas que je pèse de trop sur son cou se sert de ses mains pour me maintenir au niveau des fesses m’aidant ainsi à être dans une position plus confortable afin de pouvoir l’embrasser de tout mon saoul.
La chaleur de ses mains sur ma peau m’excite comme ce n’est pas possible quand je me rappelle où elles se sont positionnées pour me soutenir. Mon regard stupéfait fixe le sien rougi par toutes les larmes de rire qu’il a et qu’il déverse à nouveau s’étant bien sûr rendu compte depuis le début que j’étais cul nu dans ses bras.
Son rire à voir la tête que je fais quand je m’en aperçois n’a d’égal que celui de toutes les personnes écroulées derrière moi, je tourne et penche la tête pour regarder le désastre apercevant mes fesses blanches à moitié recouvertes par les mains de Thomas quand au même moment un flash me fait plisser les yeux.
- (Frédéric entre deux crises de fou rire) J’en aurais…… au moins prise……. une …et je crois ……….que celle-là, je vais la faire……. encadrer.
Thomas est tellement mort de rire qu’il est obligé de me poser au sol, aussitôt mes mains partent sur mes fesses pour les cacher le plus possible de la vue de tous. En fait je me retrouve entièrement nu n’ayant rien mis d’autre que le pyjama et l’énorme couche qui me tenait déjà bien assez chaud comme ça, mon visage doit refléter l’énorme état de gêne que je ressens car toute la famille est repartie en vrille et hoquette et pleure à tout va.
Je me tourne alors vers eux les mains toujours protégeant mes fesses et Aurélien s’écroule sur la table en voyant mon sexe rester tout raide du contact physique d’avec Thomas qui se retrouve de par mon geste dressé fièrement vers eux.
- (Je dirige machinalement mon regard vers ce qu’il fixe hilare et constate les dégâts moi aussi) Ouaih !! Ben là vous m’excuserez mais je n’ai que deux mains et elles ne peuvent pas être partout.
Je me retourne alors les mains toujours plaquées aux fesses et d’une démarche assurée je sors de la pièce pour aller dans ma chambre mettre les vêtements prévus à l’origine pour la soirée. Derrière moi c’est un déchaînement de rire tel que je suis sûr qu’il est entendu de tout l’immeuble.
La soirée fut plus calme ensuite quoiqu’à certains moments l’un ou l’autre me regardant reparte seul en quelques soubresauts de rires nerveux. Je suis à la droite de Thomas et à la gauche de Damien qui lui finit la soirée en pyjama car la serpillière qu’est devenu son beau pantalon blanc trempe dans le lavabo de la salle de bains.
5 …..4….3…2..1. Minuit !!!! Vive la nouvelle année !!! Nous nous embrassons au son des bouteilles de champagne qui se débouchent et après les traditionnels vœux et embrassades, nous terminons la soirée à discuter gaiement.
Thomas jette de fréquents coups d’œil sur son « petit » ami, il sourit car le « petit » lui va très bien mais le sens des deux mots prononcés ensemble lui va aussi à merveille. Ses joues rouges de bonheur constellées des petites taches si craquantes, ses yeux vert qui ressortent merveilleusement et donnent à son visage un attrait irrésistible surmonter d’une coupe en pétard ressemblant à un feu de joie font de ce garçon ce qui est bien parti pour devenir le plus beau cadeau que la vie lui aura apporté.
Annie voit bien toute la tendresse des regards que ce magnifique jeune homme pose sans cesse sur celui qu’elle considère maintenant comme un de ses fils, autant elle trouve normal de savoir ce garçon amoureux prêt à assumer sa vie sexuelle, autant elle n’arrive pas à voir Florian assurer dans ces mêmes actes. Il lui paraît tellement frêle et enfantin qu’elle ne peut l’imaginer faire l’amour comme tout un chacun et elle espère sincèrement que ce n’est qu’une idée qu’elle se fait car pour Annie il est plus comme Damien ou même Guillaume en attente de terminer son développement.
Pourtant elle a pu constater et pas qu’une fois pense-t-elle en souriant qu’il a tous les atouts (Elle rit mais se souvient impressionnée) et quels atouts !!! Nécessaires mais c’est plus fort qu’elle, il est encore pour elle un petit garçon encore dépendant des adultes.
Aurélien et Guillaume discutent dans leur coin en fixant les amoureux et organisent une modification du plan de couchage afin qu’ils puissent se retrouver ensemble, comprenant parfaitement leurs envies de câlins qu’ils n’osent montrer en public mais qui transparaissent d’une manière évidente dans leurs regards.
Ils se lèvent et d’un commun accord vont dans la chambre de Guillaume pousser quelques meubles et rapprocher les deux lits laissant suffisamment de place pour y déposer le matelas qu’ils vont chercher dans la chambre d’Aurélien. Une fois chose faite et un sourire de contentement aux lèvres, ils regagnent le salon et rejoignent Philippe pour l’avertir du petit changement.
Celui-ci ne peut que sourire à l’initiative des deux garçons qui montrent l’attachement qu’ils portent déjà au petit couple qui ne s’est aperçu de rien de leur manège continuant à se dévorer du regard.
1ere ANNEE NOUVEL AN : (20 / 20) (Chez les Viala)
L’heure arrive enfin où les bâillements deviennent plus fréquents que les paroles et Annie constate avec une certaine émotion que les grands-parents de Florian se sont endormis sur le canapé dans les bras l’un de l’autre, un léger coup de coude à Frédéric qui découvre lui aussi ému les deux vieillards enlacés dormant du sommeil du juste un léger sourire aux lèvres le fait se lever et prendre la parole.
- Je pense qu’il est temps d’aller se coucher.
Personne ne le contredit car l’envie de dormir est ressentie par tous, il secoue gentiment Maryse et Michel qui le suivent sans une parole vers la chambre qui leur a été attribuée. Philippe souhaite la bonne nuit aux personnes restant dans la pièce et se dirige sans demander son reste à la suite de Frédéric pour piquer le roupillon dont il a envie depuis un moment déjà.
Annie rester seule avec les garçons prend elle aussi le chemin de sa chambre sans avoir oublié de les embrasser tendrement tous les cinq leurs souhaitant également une bonne nuit.
Les garçons une fois dans le couloir s’apprêtent à investir leur antre et Aurélien voit Thomas lancer un regard attristé à Florian n’ayant pas la moindre envie de le quitter. Celui-ci une fois devant la porte ouverte aperçoit le matelas posé par terre et comprend aussitôt qu’il n’a pas été mis là par hasard.
- (Aurélien amusé) Nous ne voulions pas séparer les amoureux alors nous avons prévu un petit chamboulement dans les plans des parents, Thomas pourra coucher dans le lit et Damien prendra le matelas (il sourit s’attendant à nos réactions) avec « Flo »
- (Guillaume en riant silencieusement) Hi ! Hi ! Je ne sais pas si Damien va dormir tranquille cette nuit
- (Je ne suis pas dupe de leur manège) Très drôle les gars !! Tout ça parce que vous êtes jaloux que je sois avec un mec aussi canon (J’attrape « Thom » par le bras) Aller !! Viens bébé, ne les écoute pas !!
- (Damien mort de rire voyant le grand blond souriant comme un benêt se laisser mener vers le lit de Florian) Je crois que tu pourrais l’appeler n’importe comment qu’il ne réagirait même pas, regarde-le !! Hé « Thom » !!
- (Aurélien regarde lui aussi Thomas dans son nuage et sourit) Eh bien !! Y a pas à dire, si c’est ça l’amour je ne suis pas pressé d’avoir l’air aussi bêta moi !!!
- (Guillaume voit bien que tout ce qu’ils pourront dire ne changera absolument rien pour Thomas trop amoureux pour comprendre qu’il se fait charrier par la fratrie) Et ben !! C’est pas du chiqué !! Il en pince vraiment le blondinet.
Les quolibets finissent par cesser et après un déshabillage rapide nous nous retrouvons tous sous la couette et Damien le plus près de l’interrupteur éteint la lumière après nous avoir souhaité d’une voix égrillarde une bonne nuit et de ne pas faire trop de bruits.
Thomas vient passer son bras sous ma nuque et se serrer contre moi, ses lèvres cherchent les miennes qui finissent par se trouver et un long baiser nous unit enfin !! Je n’attendais que ça et je pense sans me tromper que lui aussi depuis que nous nous sommes retrouvés en début de soirée.
Son torse nu vient se poser doucement contre le mien m’envoyant un frisson de plaisir qu’il ressent également, ma main va caresser son dos à la peau d’une douceur extrême qui soude encore plus fort nos lèvres tellement j’ai envie de lui.
Ma main parcourt sa colonne vertébrale tout en douceur lui déclenchant de multiples frissons, sa main libre se pose sur mon torse et descend lentement suivant les courbes de mes muscles et se gavant de la délicatesse de ma peau ; Nos langues jouent un ballet et s’emmêlent avec volupté dans un plaisir jamais ressenti auparavant.
Quand nos lèvres se séparent, c’est pour reprendre notre respiration et prononcer dans un souffle presque imperceptible des « je t’aime » langoureux ; je change de position en m’allongeant sur son corps et je sens à travers nos slips l‘énorme envie qui bande nos sexes cherchant à traverser ses minces parois de tissu pour se fondre l’un avec l’autre.
Je sais que nous n’irons pas plus loin ce soir, non pas parce que c’est l’envie qui nous manque mais simplement parce que nous sommes bien comme ça et que pour l’instant ça nous suffit à l’un et à l’autre ; Un dernier baiser et nous nous endormons ainsi d’un sommeil baigné de bonheur, du bonheur d’être enfin ensemble.
1ere ANNEE avant pâques : (1 / 13) (Réunion à la fac)
La salle de réunion est comble ce qui est un fait à marquer d’une pierre blanche car souvent lors de celles-ci il y a un absentéisme conséquent, certains enseignants trouvant toujours un prétexte quelconque pour y échapper malgré l’obligation qu’ils ont d’y assister pour le bien des étudiants.
Alain Dupré qui le préside savait très bien ce qu’il faisait en mettant le cas De Bierne à la fin de la longue liste des sujets à traiter, il se doutait bien que personne ne voudrait manquer de connaître les décisions qui se prendront à son encontre.
La matinée passe alors à considérer les cas les plus difficiles et les moyens à mettre en œuvre pour aplanir toutes les difficultés rencontrées lors du premier trimestre.
La partie budgétaire venant d’être enfin bouclée et les nouvelles instructions académiques à mettre en œuvre résolues, il reste les quelques cas d’étudiants aux cursus ne leur correspondant pas à réorienter ainsi que les quelques problèmes d’indisciplines à résoudre.
Cela leur prend une partie de l’après-midi et quand enfin ils entendent le doyen aborder le sujet tant attendu, ils se redressent tous et suivent avec attention le rapport que celui-ci tient dans ses mains et leur lit d’une voix vibrante.
A la fin de son exposé, un silence impressionnant se fait dans la salle, chacun attendant avec une avidité certaine quelles ont été les décisions prises ainsi que les implications qui ils le savent les concerneront tous à un degré plus ou moins important.
Avant de reprendre la parole pour donner les instructions précises qu’ils devront mettre au plus vite en application, Alain regarde ses collègues en souriant car sachant pertinemment qu’ils seront tous parties prenantes dans les démarches essentielles à ce qui va suivre.
Il se racle la gorge afin de gagner les quelques secondes qui lui sont nécessaires afin que sa voix prenne toute l’assurance requise et ne soit plus troublée par l’émotion qu’il a eue en lisant les différents feuillets résumant les possibilités pour le moins extraordinaire de ce jeune garçon qui s’est présenté à lui quelques mois auparavant le laissant sans voix en quittant son bureau.
- Messieurs !! Voici après analyse les différents points auxquels nous allons devoir tous nous atteler afin de parfaire si c’est possible l’éducation de ce garçon aux aptitudes exceptionnelles, le premier point et le plus difficile pour nous à accepter car quelque part il met en cause nos connaissances et notre reconnaissance à tous, (Il appuie très fort sur le mot qui suit) « L’administration » de tutelle de laquelle nous dépendons a pris la décision suivante au vu des nombreuses épreuves théoriques que nous avons fait subir à notre jeune prodige qui s’en est sorti avec la modique note de vingt sur vingt, ce qui jusqu’à aujourd’hui était absolument et là je pèse mes mots « impossible !!! » Aussi a-t-il été décidé étant donné que Florian puisque c’est bien de lui que nous parlons et que ce jeune homme tient absolument à poursuivre ses « études » parmi nous ; que ce serait aux (Il appuie sur le mot suivant) « sommités » (Il regarde autour de lui et devant les visages fermés des personnes qu’il tient en haleine) et oui vous avez bien entendu, aux « sommités » médicales de venir à lui pour qu’il acquière leurs savoirs, savoir dont ce jeune homme va sûrement s’imbiber à leurs plus grands étonnements en quelques instants (là il les fait rire en poursuivant) comme il l’a fait sans s’en rendre compte avec vous avec sa gentillesse et la gouaille qui est devenue également légendaire dans le campus.
Frédéric qui bien sûr est présent connaît alors un fort moment d’émotion en entendant et en réalisant à quel point « son » Florian est considéré parmi ses collègues car leurs visages rieurs aux dernières paroles du doyen ne prêtent pas à l’erreur sur leurs sentiments envers le gamin.
- Donc messieurs et mesdames sachez que nous aurons l’insigne honneur de voir ses (Il insiste lourdement sur le mot qui de toute apparence lui reste dans la gorge) « sommités » se faire vampiriser de leurs connaissances comme les pauvres (Il rit) ignares que nous sommes pour eux. Maintenant que nous reste-t-il vous direz-vous ? Eh bien il nous reste pour l’instant l’aspect pratique où là nos administrateurs nous reconnaissent « encore » une certaine utilité, aussi je vous demanderais à tous d’intégrer le jeune Florian dans tous les actes médicaux qui l’intéresseront et croyez-moi le connaissant il n’est pas près de vous lâcher les baskets.
Un énorme éclat de rire sort de la salle, les personnes étrangères à cette réunion passant près de là devant se demander à quoi jouent leurs « maîtres à penser » pour s’éclater autant lors d’une réunion habituellement soporifique au possible.
Gêner par mes vêtements somme toute encombrant, je tire un coup sec sur les pressions du pyjama et les scratchs de la couche puis d’un bon je saute dans les bras de Thomas qui pour ne pas que je pèse de trop sur son cou se sert de ses mains pour me maintenir au niveau des fesses m’aidant ainsi à être dans une position plus confortable afin de pouvoir l’embrasser de tout mon saoul.
La chaleur de ses mains sur ma peau m’excite comme ce n’est pas possible quand je me rappelle où elles se sont positionnées pour me soutenir. Mon regard stupéfait fixe le sien rougi par toutes les larmes de rire qu’il a et qu’il déverse à nouveau s’étant bien sûr rendu compte depuis le début que j’étais cul nu dans ses bras.
Son rire à voir la tête que je fais quand je m’en aperçois n’a d’égal que celui de toutes les personnes écroulées derrière moi, je tourne et penche la tête pour regarder le désastre apercevant mes fesses blanches à moitié recouvertes par les mains de Thomas quand au même moment un flash me fait plisser les yeux.
- (Frédéric entre deux crises de fou rire) J’en aurais…… au moins prise……. une …et je crois ……….que celle-là, je vais la faire……. encadrer.
Thomas est tellement mort de rire qu’il est obligé de me poser au sol, aussitôt mes mains partent sur mes fesses pour les cacher le plus possible de la vue de tous. En fait je me retrouve entièrement nu n’ayant rien mis d’autre que le pyjama et l’énorme couche qui me tenait déjà bien assez chaud comme ça, mon visage doit refléter l’énorme état de gêne que je ressens car toute la famille est repartie en vrille et hoquette et pleure à tout va.
Je me tourne alors vers eux les mains toujours protégeant mes fesses et Aurélien s’écroule sur la table en voyant mon sexe rester tout raide du contact physique d’avec Thomas qui se retrouve de par mon geste dressé fièrement vers eux.
- (Je dirige machinalement mon regard vers ce qu’il fixe hilare et constate les dégâts moi aussi) Ouaih !! Ben là vous m’excuserez mais je n’ai que deux mains et elles ne peuvent pas être partout.
Je me retourne alors les mains toujours plaquées aux fesses et d’une démarche assurée je sors de la pièce pour aller dans ma chambre mettre les vêtements prévus à l’origine pour la soirée. Derrière moi c’est un déchaînement de rire tel que je suis sûr qu’il est entendu de tout l’immeuble.
La soirée fut plus calme ensuite quoiqu’à certains moments l’un ou l’autre me regardant reparte seul en quelques soubresauts de rires nerveux. Je suis à la droite de Thomas et à la gauche de Damien qui lui finit la soirée en pyjama car la serpillière qu’est devenu son beau pantalon blanc trempe dans le lavabo de la salle de bains.
5 …..4….3…2..1. Minuit !!!! Vive la nouvelle année !!! Nous nous embrassons au son des bouteilles de champagne qui se débouchent et après les traditionnels vœux et embrassades, nous terminons la soirée à discuter gaiement.
Thomas jette de fréquents coups d’œil sur son « petit » ami, il sourit car le « petit » lui va très bien mais le sens des deux mots prononcés ensemble lui va aussi à merveille. Ses joues rouges de bonheur constellées des petites taches si craquantes, ses yeux vert qui ressortent merveilleusement et donnent à son visage un attrait irrésistible surmonter d’une coupe en pétard ressemblant à un feu de joie font de ce garçon ce qui est bien parti pour devenir le plus beau cadeau que la vie lui aura apporté.
Annie voit bien toute la tendresse des regards que ce magnifique jeune homme pose sans cesse sur celui qu’elle considère maintenant comme un de ses fils, autant elle trouve normal de savoir ce garçon amoureux prêt à assumer sa vie sexuelle, autant elle n’arrive pas à voir Florian assurer dans ces mêmes actes. Il lui paraît tellement frêle et enfantin qu’elle ne peut l’imaginer faire l’amour comme tout un chacun et elle espère sincèrement que ce n’est qu’une idée qu’elle se fait car pour Annie il est plus comme Damien ou même Guillaume en attente de terminer son développement.
Pourtant elle a pu constater et pas qu’une fois pense-t-elle en souriant qu’il a tous les atouts (Elle rit mais se souvient impressionnée) et quels atouts !!! Nécessaires mais c’est plus fort qu’elle, il est encore pour elle un petit garçon encore dépendant des adultes.
Aurélien et Guillaume discutent dans leur coin en fixant les amoureux et organisent une modification du plan de couchage afin qu’ils puissent se retrouver ensemble, comprenant parfaitement leurs envies de câlins qu’ils n’osent montrer en public mais qui transparaissent d’une manière évidente dans leurs regards.
Ils se lèvent et d’un commun accord vont dans la chambre de Guillaume pousser quelques meubles et rapprocher les deux lits laissant suffisamment de place pour y déposer le matelas qu’ils vont chercher dans la chambre d’Aurélien. Une fois chose faite et un sourire de contentement aux lèvres, ils regagnent le salon et rejoignent Philippe pour l’avertir du petit changement.
Celui-ci ne peut que sourire à l’initiative des deux garçons qui montrent l’attachement qu’ils portent déjà au petit couple qui ne s’est aperçu de rien de leur manège continuant à se dévorer du regard.
1ere ANNEE NOUVEL AN : (20 / 20) (Chez les Viala)
L’heure arrive enfin où les bâillements deviennent plus fréquents que les paroles et Annie constate avec une certaine émotion que les grands-parents de Florian se sont endormis sur le canapé dans les bras l’un de l’autre, un léger coup de coude à Frédéric qui découvre lui aussi ému les deux vieillards enlacés dormant du sommeil du juste un léger sourire aux lèvres le fait se lever et prendre la parole.
- Je pense qu’il est temps d’aller se coucher.
Personne ne le contredit car l’envie de dormir est ressentie par tous, il secoue gentiment Maryse et Michel qui le suivent sans une parole vers la chambre qui leur a été attribuée. Philippe souhaite la bonne nuit aux personnes restant dans la pièce et se dirige sans demander son reste à la suite de Frédéric pour piquer le roupillon dont il a envie depuis un moment déjà.
Annie rester seule avec les garçons prend elle aussi le chemin de sa chambre sans avoir oublié de les embrasser tendrement tous les cinq leurs souhaitant également une bonne nuit.
Les garçons une fois dans le couloir s’apprêtent à investir leur antre et Aurélien voit Thomas lancer un regard attristé à Florian n’ayant pas la moindre envie de le quitter. Celui-ci une fois devant la porte ouverte aperçoit le matelas posé par terre et comprend aussitôt qu’il n’a pas été mis là par hasard.
- (Aurélien amusé) Nous ne voulions pas séparer les amoureux alors nous avons prévu un petit chamboulement dans les plans des parents, Thomas pourra coucher dans le lit et Damien prendra le matelas (il sourit s’attendant à nos réactions) avec « Flo »
- (Guillaume en riant silencieusement) Hi ! Hi ! Je ne sais pas si Damien va dormir tranquille cette nuit
- (Je ne suis pas dupe de leur manège) Très drôle les gars !! Tout ça parce que vous êtes jaloux que je sois avec un mec aussi canon (J’attrape « Thom » par le bras) Aller !! Viens bébé, ne les écoute pas !!
- (Damien mort de rire voyant le grand blond souriant comme un benêt se laisser mener vers le lit de Florian) Je crois que tu pourrais l’appeler n’importe comment qu’il ne réagirait même pas, regarde-le !! Hé « Thom » !!
- (Aurélien regarde lui aussi Thomas dans son nuage et sourit) Eh bien !! Y a pas à dire, si c’est ça l’amour je ne suis pas pressé d’avoir l’air aussi bêta moi !!!
- (Guillaume voit bien que tout ce qu’ils pourront dire ne changera absolument rien pour Thomas trop amoureux pour comprendre qu’il se fait charrier par la fratrie) Et ben !! C’est pas du chiqué !! Il en pince vraiment le blondinet.
Les quolibets finissent par cesser et après un déshabillage rapide nous nous retrouvons tous sous la couette et Damien le plus près de l’interrupteur éteint la lumière après nous avoir souhaité d’une voix égrillarde une bonne nuit et de ne pas faire trop de bruits.
Thomas vient passer son bras sous ma nuque et se serrer contre moi, ses lèvres cherchent les miennes qui finissent par se trouver et un long baiser nous unit enfin !! Je n’attendais que ça et je pense sans me tromper que lui aussi depuis que nous nous sommes retrouvés en début de soirée.
Son torse nu vient se poser doucement contre le mien m’envoyant un frisson de plaisir qu’il ressent également, ma main va caresser son dos à la peau d’une douceur extrême qui soude encore plus fort nos lèvres tellement j’ai envie de lui.
Ma main parcourt sa colonne vertébrale tout en douceur lui déclenchant de multiples frissons, sa main libre se pose sur mon torse et descend lentement suivant les courbes de mes muscles et se gavant de la délicatesse de ma peau ; Nos langues jouent un ballet et s’emmêlent avec volupté dans un plaisir jamais ressenti auparavant.
Quand nos lèvres se séparent, c’est pour reprendre notre respiration et prononcer dans un souffle presque imperceptible des « je t’aime » langoureux ; je change de position en m’allongeant sur son corps et je sens à travers nos slips l‘énorme envie qui bande nos sexes cherchant à traverser ses minces parois de tissu pour se fondre l’un avec l’autre.
Je sais que nous n’irons pas plus loin ce soir, non pas parce que c’est l’envie qui nous manque mais simplement parce que nous sommes bien comme ça et que pour l’instant ça nous suffit à l’un et à l’autre ; Un dernier baiser et nous nous endormons ainsi d’un sommeil baigné de bonheur, du bonheur d’être enfin ensemble.
1ere ANNEE avant pâques : (1 / 13) (Réunion à la fac)
La salle de réunion est comble ce qui est un fait à marquer d’une pierre blanche car souvent lors de celles-ci il y a un absentéisme conséquent, certains enseignants trouvant toujours un prétexte quelconque pour y échapper malgré l’obligation qu’ils ont d’y assister pour le bien des étudiants.
Alain Dupré qui le préside savait très bien ce qu’il faisait en mettant le cas De Bierne à la fin de la longue liste des sujets à traiter, il se doutait bien que personne ne voudrait manquer de connaître les décisions qui se prendront à son encontre.
La matinée passe alors à considérer les cas les plus difficiles et les moyens à mettre en œuvre pour aplanir toutes les difficultés rencontrées lors du premier trimestre.
La partie budgétaire venant d’être enfin bouclée et les nouvelles instructions académiques à mettre en œuvre résolues, il reste les quelques cas d’étudiants aux cursus ne leur correspondant pas à réorienter ainsi que les quelques problèmes d’indisciplines à résoudre.
Cela leur prend une partie de l’après-midi et quand enfin ils entendent le doyen aborder le sujet tant attendu, ils se redressent tous et suivent avec attention le rapport que celui-ci tient dans ses mains et leur lit d’une voix vibrante.
A la fin de son exposé, un silence impressionnant se fait dans la salle, chacun attendant avec une avidité certaine quelles ont été les décisions prises ainsi que les implications qui ils le savent les concerneront tous à un degré plus ou moins important.
Avant de reprendre la parole pour donner les instructions précises qu’ils devront mettre au plus vite en application, Alain regarde ses collègues en souriant car sachant pertinemment qu’ils seront tous parties prenantes dans les démarches essentielles à ce qui va suivre.
Il se racle la gorge afin de gagner les quelques secondes qui lui sont nécessaires afin que sa voix prenne toute l’assurance requise et ne soit plus troublée par l’émotion qu’il a eue en lisant les différents feuillets résumant les possibilités pour le moins extraordinaire de ce jeune garçon qui s’est présenté à lui quelques mois auparavant le laissant sans voix en quittant son bureau.
- Messieurs !! Voici après analyse les différents points auxquels nous allons devoir tous nous atteler afin de parfaire si c’est possible l’éducation de ce garçon aux aptitudes exceptionnelles, le premier point et le plus difficile pour nous à accepter car quelque part il met en cause nos connaissances et notre reconnaissance à tous, (Il appuie très fort sur le mot qui suit) « L’administration » de tutelle de laquelle nous dépendons a pris la décision suivante au vu des nombreuses épreuves théoriques que nous avons fait subir à notre jeune prodige qui s’en est sorti avec la modique note de vingt sur vingt, ce qui jusqu’à aujourd’hui était absolument et là je pèse mes mots « impossible !!! » Aussi a-t-il été décidé étant donné que Florian puisque c’est bien de lui que nous parlons et que ce jeune homme tient absolument à poursuivre ses « études » parmi nous ; que ce serait aux (Il appuie sur le mot suivant) « sommités » (Il regarde autour de lui et devant les visages fermés des personnes qu’il tient en haleine) et oui vous avez bien entendu, aux « sommités » médicales de venir à lui pour qu’il acquière leurs savoirs, savoir dont ce jeune homme va sûrement s’imbiber à leurs plus grands étonnements en quelques instants (là il les fait rire en poursuivant) comme il l’a fait sans s’en rendre compte avec vous avec sa gentillesse et la gouaille qui est devenue également légendaire dans le campus.
Frédéric qui bien sûr est présent connaît alors un fort moment d’émotion en entendant et en réalisant à quel point « son » Florian est considéré parmi ses collègues car leurs visages rieurs aux dernières paroles du doyen ne prêtent pas à l’erreur sur leurs sentiments envers le gamin.
- Donc messieurs et mesdames sachez que nous aurons l’insigne honneur de voir ses (Il insiste lourdement sur le mot qui de toute apparence lui reste dans la gorge) « sommités » se faire vampiriser de leurs connaissances comme les pauvres (Il rit) ignares que nous sommes pour eux. Maintenant que nous reste-t-il vous direz-vous ? Eh bien il nous reste pour l’instant l’aspect pratique où là nos administrateurs nous reconnaissent « encore » une certaine utilité, aussi je vous demanderais à tous d’intégrer le jeune Florian dans tous les actes médicaux qui l’intéresseront et croyez-moi le connaissant il n’est pas près de vous lâcher les baskets.
Un énorme éclat de rire sort de la salle, les personnes étrangères à cette réunion passant près de là devant se demander à quoi jouent leurs « maîtres à penser » pour s’éclater autant lors d’une réunion habituellement soporifique au possible.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
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